Karima Brikh : «Il y a cette peur d'embrasement à l'extérieur des frontières»

  • il y a 4 heures
La journaliste Karima Brikh réagit à l'annonce par Israël de la mort du chef du Hezbollah : «Il y a une pression internationale, il y a cette peur d'embrasement à l'extérieur des frontières».

Category

🗞
News
Transcription
00:00De la hiérarchie, on a vraiment frappé extrêmement fort et maintenant, du côté d'Israël, ils ont atteint le chef du Hezbollah
00:07et qui était donc à sa tête depuis plus de 30 ans avec tout ce qu'on connaît, que ce soit sur les attentats et la menace aussi que pesait le Hezbollah sur les Israéliens.
00:19Notamment, on a vu les dizaines de milliers de déplacés.
00:23Mais vous l'avez dit, c'est qu'il y aura quand même cette pression internationale.
00:26Vous avez parlé de l'ONU et en ce moment, je regardais justement les réactions et du côté de l'ONU, on s'interroge aux personnes qui se déplacent maintenant du Liban vers la Syrie.
00:36Vous avez parlé d'Emmanuel Macron qui a dit « je ne veux pas que ça devienne un deuxième Gaza ».
00:42On voit aussi que les opinions locales, internationales, il y a cette peur un peu aussi d'embrasement à l'extérieur des frontières, ce qu'on a vu notamment après le 7 octobre l'année dernière.
00:54Ça s'est manifesté aussi dans des manifestations ou quoi que ce soit.
00:57Donc, il y a quand même ces tensions-là et ce message à l'international aussi, ces pressions également.

Recommandations