Le corps retrouvé enterré dans le bois de Boulogne, à 100m de l'Université de Paris Dauphine était bien celui de Philippine Le Noir de Carlan. La jeune femme âgée de 19 ans et étudiante à l’université Paris Dauphine était portée disparue depuis vendredi soir.
Aperçue pour la dernière fois à la cantine étudiante où elle a déjeuné le midi, elle devait se rendre chez parents dans la foulée. Constatant qu’elle n’arrive pas, ils tentent de l’appeler à plusieurs reprises. En vain.
Une battue a été organisée samedi par ses proches pour tenter de la retrouver. Grâce à la localisation de son téléphone, des policiers ont repéré son corps en grande partie enterré dans le bois de Boulogne. D’après Le Parisien, il présenterait "de multiples blessures".
C’est en ratissant la zone que l’un des participants a découvert, horrifié, le corps partiellement enterré de la victime samedi en milieu d’après-midi. L’identité judiciaire a relevé sur le cadavre «de multiples traces de sévices et de blessures» sans que la cause de la mort ne soit encore connue.
Selon Le Figaro, des témoins ont rapporté aux enquêteurs avoir aperçu un homme brun d’environ 1m80, le visage dissimulé derrière un masque chirurgical et portant une pioche, se diriger vers le lac du bois de Boulogne.
Une description suspecte à laquelle s’intéresse la brigade criminelle de la police judiciaire de Paris qui recherche activement l'auteur de ce crime et les raisons de son passage à l'acte.
Aperçue pour la dernière fois à la cantine étudiante où elle a déjeuné le midi, elle devait se rendre chez parents dans la foulée. Constatant qu’elle n’arrive pas, ils tentent de l’appeler à plusieurs reprises. En vain.
Une battue a été organisée samedi par ses proches pour tenter de la retrouver. Grâce à la localisation de son téléphone, des policiers ont repéré son corps en grande partie enterré dans le bois de Boulogne. D’après Le Parisien, il présenterait "de multiples blessures".
C’est en ratissant la zone que l’un des participants a découvert, horrifié, le corps partiellement enterré de la victime samedi en milieu d’après-midi. L’identité judiciaire a relevé sur le cadavre «de multiples traces de sévices et de blessures» sans que la cause de la mort ne soit encore connue.
Selon Le Figaro, des témoins ont rapporté aux enquêteurs avoir aperçu un homme brun d’environ 1m80, le visage dissimulé derrière un masque chirurgical et portant une pioche, se diriger vers le lac du bois de Boulogne.
Une description suspecte à laquelle s’intéresse la brigade criminelle de la police judiciaire de Paris qui recherche activement l'auteur de ce crime et les raisons de son passage à l'acte.
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00:00Elle avait prévu de se rendre chez ses parents dans les Yvelines, mais elle n'est jamais arrivée à destination.
00:06Philippine, 19 ans, étudiante en économie, a été retrouvée sans vie avant-hier dans le bois de Boulogne, à l'ouest de Paris, non loin de l'université Paris-Dauphine où elle étudiait.
00:17C'est ici que la jeune femme a été vue pour la dernière fois vendredi dernier.
00:21Ce jour-là, après plusieurs heures sans nouvelles, sa soeur alerte la police.
00:26Très vite, des avis de recherche sont diffusés partout.
00:29Le matin, elle était en cours et le lendemain, ses potes ont commencé à dire que ses parents s'inquiètent pour elle vu qu'elle était censée rentrer chez elle.
00:36Ils ont envoyé une sorte de message de disparition.
00:39Samedi dernier, une cinquantaine de proches et volontaires lancent une battue.
00:43Après une heure de recherche, en localisant son téléphone portable, le corps de Philippine est retrouvé enseveli dans cette zone boisée.
00:51Seule piste pour le moment, un individu suspect muni d'une pioche aurait été aperçu par un témoin dans le bois.
00:58La police procède à des analyses. Une enquête pour homicide volontaire a été ouverte.