• il y a 3 mois
À

, , è , : é ?

Michael Jean Louis reçoit l’avocat Erickson Mooneeapillay, le psychothérapeute Saoud Muthy, de l’ONG Kinouete, et Sam Lauthan, ancien ministre responsable des prisons et ancien assesseur de la.Commission d'enquête sur la drogue.

Une invitation a été lancée à la direction de la prison pour un représentant.

Rendez-vous à 17h30.
Vos appels au 213 7777.

Category

🗞
News
Transcription
00:00:00Merci d'avoir regardé cette vidéo !
00:00:30Bon après-midi à tous, bienvenue dans une nouvelle édition de Tempo Lasso.
00:00:44Un récent cas de pendaison vient ramener la prison sur les devants de l'actualité.
00:00:49Il y a l'enquête qui vient d'initier le cas John Mick Mortengal.
00:00:52Donc, nous ne pouvons pas en parler en particulier.
00:00:55Néanmoins, la prison à Maurice vient faire l'objet de critiques.
00:00:59Beaucoup de critiques et certaines bien dures.
00:01:02Qui réforme le système pénitentiaire à Bézin ?
00:01:04C'est la question qui nous peut débattre aujourd'hui avec nos invités.
00:01:07D'abord, Me Erickson Mouniapilé, avocat spécialisé en droits humains.
00:01:12Saoud Mouti, psychothérapeute, membre de l'ONG Kinuete, qui travaille avec les détenus.
00:01:17Nous avons aussi Sam Luthan, ancien ministre responsable des prisons.
00:01:21Et surtout, ancien assesseur de la commission d'enquête sur la drogue
00:01:24qui vient consacrer un large chapitre à la prison.
00:01:28Messieurs, bon après-midi. Merci d'accepter notre invitation.
00:01:30Bon après-midi.
00:01:32Dans quelques minutes, nous allons ouvrir l'occasion.
00:01:34Raman Valaden, ancien attorney général et autre avocat spécialisé dans les droits humains.
00:01:42Il faut préciser qu'il y a une invitation financée à la direction de la prison
00:01:45pour qu'ils délèguent un représentant de la version de l'administration
00:01:51et la version des mains gardiennes de la prison.
00:01:55La réponse que nous avons reçue, c'est qu'il y avait un approuval du PMO,
00:01:58ce qui est compréhensible, mais après, il semble qu'il a tout perdu
00:02:02dans les méandres de ce système kafkaïen qu'est notre administration.
00:02:07Nous avons aussi contacté le syndicat des gardiens de prison,
00:02:10le président qui compte tenu des malreprisages qu'il a subis la dernière fois
00:02:14qu'il avait une cause avec la presse, l'éthique hispane, je le rappelle.
00:02:17Il préfère pas faire un risque et nous avons aussi essayé d'avoir un ancien du syndicat
00:02:23retraité, mais malheureusement, nous avons eu un empêchement.
00:02:28Deux dernières minutes, tout cela est bien malheureux,
00:02:31mais si un officier ou bien un ancien officier des prisons a envie d'intervenir,
00:02:38mais évidemment, anonymement, on ne lui a pas besoin de ce nom,
00:02:41nous invitons tous ceux qui sont intéressés par ce thème-là
00:02:44à téléphoner au 213-7777, 213-7777, et évidemment, nous invitons tous à nous suivre
00:02:50sur notre page Facebook, Top FM Mauritieuse,
00:02:54que tout le monde puisse suivre l'émission en live.
00:02:56Éric, je vais commencer avec vous.
00:02:58En 2020, vous avez dit dans votre déclaration de presse
00:03:03que nos prisons sont devenues des prisons de la mort.
00:03:07Est-ce qu'ils vont maintenir ça?
00:03:09Est-ce qu'ils ont choisi de changer?
00:03:11Maintenir, nous savons bien qu'en 2020, dans un contexte spécifique,
00:03:17après l'événement du confinement, COVID,
00:03:20nous trouvons la mort de qui j'ai détenu,
00:03:23parmi KLPMS, le détenu Louise, et aussi le détenu Augustin.
00:03:29Donc, ça croit du monde là, une mort devant une circonstance
00:03:33qui reste à être éclaircie.
00:03:35Et moi-même, à l'époque, à la tête d'une ONG,
00:03:40je demandais une enquête judiciaire au DPP,
00:03:43et le DPP m'a écrit...
00:03:45C'est justement mon rappel que...
00:03:47Enfin, selon un article de presse, le DPP t'a écrit là-haut,
00:03:49c'est comme ça qu'il pouvait instituer une enquête judiciaire.
00:03:52Justement.
00:03:53Et le DPP t'écrit, t'y réponds,
00:03:55et t'y dis qu'il pouvait instituer l'enquête judiciaire.
00:03:58Mais malheureusement, vous savez que dans ce genre de cas-là,
00:04:01une enquête judiciaire prend du temps.
00:04:03Et nous avons trouvé dans le passé qu'il y a souvent
00:04:06une enquête judiciaire capable d'aller jusqu'à 6 ans
00:04:08avant qu'elle soit instituée.
00:04:10Dans le cas de Iqbal Dutoufani,
00:04:12dans 3 jours, il a institué une enquête judiciaire.
00:04:15Et malheureusement, le DPP dépend aussi
00:04:17de l'enquête de la police.
00:04:19À quel niveau, à quelle vitesse,
00:04:21l'enquête de la police peut évoluer ?
00:04:23Ça aussi, il y a impacté l'enquête judiciaire.
00:04:26Donc, valeur du jour,
00:04:28il n'y a aucune correspondance du DPP
00:04:31pour instituer l'enquête sur PMS,
00:04:35Louise et Augustin, qui est arrivé en 2020.
00:04:38Et suite à ça, après 2020,
00:04:40toujours malheureusement,
00:04:42on finit dans plusieurs cas.
00:04:44Depuis 1979 jusqu'en 2020.
00:04:47Et nous reçons à peu près 78 mots
00:04:50dans nos bonnes cellules policières
00:04:52et en détention.
00:04:54Et un mot, c'est toujours un mot de trop.
00:04:56Oui, mais, allez, explique-moi une affaire.
00:04:58Vous pouvez dire que l'enquête judiciaire,
00:05:00donc la décision, l'enquête judiciaire
00:05:02dépend de l'enquête de la police.
00:05:04Je ne comprends pas.
00:05:06J'ai l'impression que quand il y a un mot
00:05:08nous nous demandons
00:05:10qu'il y ait dans l'enquête policière
00:05:11ou pas les capables d'instituer l'enquête judiciaire.
00:05:13Certainement, les capables d'instituer
00:05:14l'enquête judiciaire.
00:05:15Mais DPP, façon d'y opérer,
00:05:17ils ne peuvent pas rentrer dans la cour de justice
00:05:19sans qu'il y ait un statement
00:05:21de tout bon protagoniste.
00:05:23Donc, ce qu'ils font, ils attendent
00:05:25que la police prenne un statement
00:05:27avec tout le monde,
00:05:28qu'elle gagne le rapport de la police,
00:05:30du médecin légiste,
00:05:31et de tout bon protagoniste,
00:05:33avant justement d'entrer dans la cour
00:05:35et d'appeler ça dans le témoin.
00:05:37De chez Révin, dans le bureau du DPP,
00:05:39souvent il y a ce qu'ils appellent « queries ».
00:05:41Donc, ils retournent ça à l'enquêteur,
00:05:43ils disent « query tell person,
00:05:45query tell statement ».
00:05:47Malheureusement, dans certains cas-là,
00:05:49il prend beaucoup de temps.
00:05:51Mais il y a certains cas-là,
00:05:53donc, je crois qu'à LPS,
00:05:55il y a un procès qui finit la situation.
00:05:57Certainement.
00:05:58Et là, c'est un autre débat encore une fois.
00:06:00Souvent, des fois, quand il y a un procès
00:06:02institué pour meurtre ou même sauter,
00:06:04dans ce cas-là,
00:06:07à moins que le DPP n'ait pas chié
00:06:09pour poursuivre une demande sous même saut
00:06:11ou bien meurtre.
00:06:13C'est pour cette raison-là, à ce moment-là,
00:06:15qu'ils instituaient l'enquête judiciaire.
00:06:17Nous prenons le cas du soldat franco-mauricien
00:06:19Poméro, Joachim Poméro.
00:06:21Par exemple, l'enquête judiciaire,
00:06:23il l'a instituée seulement après six ans.
00:06:25Donc, il est malheureux,
00:06:27parce qu'après six ans,
00:06:29beaucoup d'autres preuves sont érodées.
00:06:31Et quand on arrive dans la cour,
00:06:33la mémoire aussi est érodée.
00:06:36Mais dans ce cas-là,
00:06:38ça veut dire qu'en 2020, je me rappelle,
00:06:40je trouve l'article de presse du DPP qui dit que oui,
00:06:42il est d'accord pour instituer une enquête judiciaire.
00:06:44Donc, en 2020,
00:06:46ils ont dit qu'en 2024,
00:06:48ils ont oublié le cas PMS, qui est un cas à port,
00:06:50parce qu'il y a d'autres affaires liées là-dedans.
00:06:52Les autres cas-là, c'est
00:06:54des gens qui se suicident
00:06:56officiellement.
00:06:58Et donc, de 2020
00:07:00à 2024,
00:07:02on ne connait pas.
00:07:04D'abord, nous ne connaissons pas
00:07:06ces gens-là qui se suicident officiellement.
00:07:08C'est seulement l'enquête judiciaire
00:07:10qui peut déterminer les raisons
00:07:12du décès de ces personnes-là.
00:07:14Mais l'irrégulière valeur du jour,
00:07:16nous ne connaissons pas qui est arrivé,
00:07:18est-ce qu'il y a eu une enquête judiciaire ou non.
00:07:20Et non plus, nous ne connaissons pas la progression
00:07:22de l'enquête de la police.
00:07:24Donc, je trouve que c'est malheureux,
00:07:26parce qu'avec le temps,
00:07:28la mémoire est érodée,
00:07:30et les preuves scientifiques
00:07:32à l'époque du temps,
00:07:34ça aussi est érodé avec le temps,
00:07:36et c'est malheureux.
00:07:38Je pense qu'il y a des bébés qui peuvent bouger
00:07:40plus rapidement que ça.
00:07:42La semaine dernière,
00:07:44l'avocat dit qu'il est difficile
00:07:46de prouver qu'il y a eu un cas de suicide
00:07:48et pas un cas de suicide.
00:07:50Est-ce que vous êtes d'accord avec cette déclaration-là?
00:07:52Il est difficile de prouver qu'il y a eu un cas de suicide.
00:07:54D'abord, c'est un cas de suicide,
00:07:56parce que dans le milieu carcéral,
00:07:58il y a eu
00:08:00beaucoup d'affaires qui sont arrivées.
00:08:02Il y a eu des agressions,
00:08:04des tortures,
00:08:06ou bien des suicides.
00:08:08Donc, il y a une certaine
00:08:10opacité derrière la prison.
00:08:12D'abord, il n'y a aucune étude
00:08:14qui vient démontrer
00:08:16si vraiment il y a eu un suicide,
00:08:18qui fait savoir que quelqu'un a suicidé.
00:08:20Et donc,
00:08:22tout faire à croire
00:08:24qu'il y a une cause dans cette opacité-là
00:08:26n'est pas capable de déterminer
00:08:28la cause qui fait que quelqu'un est mort
00:08:30dans la détention.
00:08:32Parfois, on s'approche loin d'eux,
00:08:34et ça exacerbe
00:08:36la souffrance de la personne
00:08:38quand on s'approche loin d'eux.
00:08:40Parfois, il y a un élément de guilt.
00:08:42C'est aussi possible.
00:08:44Parfois, la personne
00:08:46en manque,
00:08:48quand il y a une indépendance sur la drogue.
00:08:50Mais tout cela laisse
00:08:52à deviner seulement, ce qui fait
00:08:54qu'il n'y a aucune recherche
00:08:56et aucune publication
00:08:58et aucun suivi.
00:09:00Et ça, ça me dénonce
00:09:02l'opacité qu'il y a dans les prisons.
00:09:04On revient au plateau télé.
00:09:06Au plateau, justement,
00:09:08on termine
00:09:10avec un bon point qui fait
00:09:12enchaîner avec Saoud Mouti,
00:09:14psychothérapeute de l'ONG
00:09:16qui nous était, qui travaille
00:09:18beaucoup dans la prison.
00:09:20Est-ce que...
00:09:22Parlez-moi, M. Mounir Bélépédia,
00:09:24est-ce que tout ce qui s'est passé,
00:09:26l'absence,
00:09:28le manque, etc.
00:09:30Amène-t-il en vie
00:09:32de se suicider, de tuer lui-même,
00:09:34de penser à la vie en prison?
00:09:36Quand il rentre dans la prison,
00:09:38pour lui, c'est un trauma.
00:09:40Premièrement, là, pour l'instant,
00:09:42je vais faire une session
00:09:44sur comment j'ai le stress
00:09:46avec la colère à l'intérieur
00:09:48de la prison avec cette personne-là
00:09:50qui nous trouvait aussi
00:09:52Elle a beaucoup dit
00:09:54que le premier stress qui rentrait
00:09:56c'est comme si la police
00:09:58arrêtait l'homme.
00:10:00La police, ça arrête l'homme.
00:10:02L'homme, c'est la première chose
00:10:04qu'il gagnait, il a la honte.
00:10:06Mais l'homme peut rentrer dans la case,
00:10:08peut faire la fouille, tout cela,
00:10:10et rentre dans la prison.
00:10:12Vous connaissez que j'ai une demeure aussi
00:10:14que le plus grand stress
00:10:16ou quoi qu'il y ait des gens qui ont été prisonniers,
00:10:18la première fois qu'on rentre dans la boxe,
00:10:20dans la cour là,
00:10:22l'homme, l'âme,
00:10:24ou traumatisé, ou qu'il y a tout
00:10:26quelque chose qui fait... Vous connaissez où la vie
00:10:28pèse là. Et il y a beaucoup
00:10:30de changements dans l'environnement,
00:10:32dans l'environnement, c'est-à-dire qu'il y a tout
00:10:34quelque chose qui existe, des gens,
00:10:36un milieu carcéral, quand il y a tout quelque chose
00:10:38qui se passe,
00:10:40le papary, par exemple,
00:10:42tu es dans un endroit, il y a des gens
00:10:44qui volent et tu vois des gens, là-bas,
00:10:46il y a beaucoup là-bas comme ça,
00:10:48c'est extrêmement traumatisant, vous vivez avec ça
00:10:50tous les jours, et que l'environnement
00:10:52n'est pas pareil, la famille n'est pas là,
00:10:54il y a beaucoup de cas qui nous ont trouvé
00:10:56qui rendent le stress fort et la dépression,
00:10:58c'est que beaucoup d'autres familles,
00:11:00d'autres partenaires, d'autres épouses,
00:11:02ils se séparent de l'autre, qu'ils disent,
00:11:04tu n'as fait prison, c'est moi qui te dois,
00:11:06là, ça rend le stress très traumatisant, c'est extrêmement fort.
00:11:08Et ça pousse l'autre à commettre
00:11:10les mérites, les réparations.
00:11:12Moi, je travaille beaucoup avec ces gens-là,
00:11:14on trouve qu'il y a des gens aussi qui rendent le stress
00:11:16fort, bon, prison, il y a ce psychologue,
00:11:18parce que la prison, il y a ce psychologue,
00:11:20il y a le docteur, il y a le psychiatre,
00:11:22et nous, en tant qu'équinétés,
00:11:24nous avons un travail social, nous avons
00:11:26un psychothérapeute, un counseleur,
00:11:28qui nous travaille beaucoup là-bas, mais
00:11:30il y a un protocole qui nous serve,
00:11:32il y a des gens dans le counseling
00:11:34qui nous trouvent identifiés, qui nous disent, il y a un warning sign
00:11:36de suicide, par exemple,
00:11:38on pleure, on la vit, on vire cela,
00:11:40quand on sort, on sort sur les pieds,
00:11:42les pieds, ça veut dire qu'on les court,
00:11:44ça, c'est un warning sign qui nous gagne,
00:11:46là, on a un autre protocole, par exemple,
00:11:48ça, l'officier qui doit, ça,
00:11:50l'autorisation de prison,
00:11:52la réhabilitation centre, nous vous informons,
00:11:54vraiment,
00:11:56vous n'avez pas à mettre tout ça dans un casso,
00:11:58vous avez un détenu, on dit, finissez, il y a un autre protocole
00:12:00qui nous suit, qui nous travaille avec ça.
00:12:02Mais, est-ce que c'est
00:12:04le détenu qui doit demander
00:12:06pour un suivi psychologique,
00:12:08ou est-ce que l'administration
00:12:10aussi est capable de trouver qui s'en a détenu là,
00:12:12les dizaines de suivis,
00:12:14la...
00:12:16Oui, nous avons différents
00:12:18référents avec nous,
00:12:20premièrement, c'est la famille,
00:12:22la famille des enfants qui sont dans la prison,
00:12:24la famille qui nous téléphone,
00:12:26qui nous aide pour que nous puissions
00:12:28suivre nos enfants, ou bien notre épouse,
00:12:30ou bien notre époux.
00:12:32Deuxièmement, nous avons l'officier de prison,
00:12:34qui, par exemple, peut identifier
00:12:36quelque chose, qui nous dit,
00:12:38suis-lui, l'officier de prison,
00:12:40nous suivons la famille de haut,
00:12:42nous suivons la famille de haut.
00:12:44Et nous avons un welfare officer,
00:12:46un fmier, et même,
00:12:48nous faisons un training, dans notre prison,
00:12:50presque toutes les prisons, il y a un training
00:12:52de peer support, c'est-à-dire, dans chaque prison,
00:12:54il y a un groupe de détenus
00:12:56qui nous aide avec un welfare,
00:12:58nous traînons eux pour qu'ils aient
00:13:00un support pour notre ONG,
00:13:02qui aide nous, c'est-à-dire qu'il y a
00:13:04quelqu'un de la cour, qui reste de la cour,
00:13:06qui peut identifier quelqu'un qui a un problème,
00:13:08nous faisons un training,
00:13:10et là, ils sont très fiers avec nous, quand nous rentrons de prison,
00:13:12malheureusement, mais nous faisons une fois la semaine,
00:13:14dans chaque prison, nous parlons tous les jours.
00:13:18Ok, allez, je me préviens avec eux tout à l'heure.
00:13:20Sam Luthan, souvent, la prison,
00:13:22généralement, elle tombe sur
00:13:24PME, mais,
00:13:26si je ne me trompe pas, j'espère que mon mémoire ne va pas faire mal,
00:13:28il y a des fois où il y a des ministres qui sont responsables,
00:13:30le seul ministre qui est responsable
00:13:32des prisons, et c'est toujours l'informatrice qui l'appelle.
00:13:34Oui.
00:13:36Ah, c'est une anomalie.
00:13:38C'est une anomalie?
00:13:40Non, on ne va pas le demander,
00:13:42quand vous faites un livre, vous ne pouvez pas demander
00:13:44qui est le ministre.
00:13:46Je ne me suis pas surpris
00:13:48vraiment. Je suis surpris, oui,
00:13:50parce que, la première fois, normalement,
00:13:52les prisons restent
00:13:54sous la responsabilité du premier ministre,
00:13:56ou la présidente du pays, dans tous les pays.
00:13:58Moi, je visite la prison dans les autres pays,
00:14:00à cause des risques de mutinerie.
00:14:02Moi, j'ai un camarade d'élection pour confier.
00:14:04Risques de mutinerie, révolte,
00:14:06etc., etc. Moi, sans demander,
00:14:08tout le monde est confié
00:14:10à cela. En même temps, il y a
00:14:12un petit défi pour moi,
00:14:14parce qu'avant même
00:14:16l'engagement dans la politique, moi, je parlais souvent de la prison.
00:14:18Je fais la causerie, je parle aux jeunes,
00:14:20je comprends, je fais ma petite conférence,
00:14:22etc. Donc,
00:14:24je fais ce que je peux,
00:14:26et il y a un certain nombre de
00:14:28gens qui sont venus,
00:14:30qui m'ont dit ça à l'époque-là.
00:14:32Mais, avant tout,
00:14:34j'ai besoin de dire que
00:14:36je ne parle pas seulement pour
00:14:38plusieurs rapports, comme chef d'enquête,
00:14:40d'envoyé social, ministre de la prison.
00:14:42Je fais la part des autres,
00:14:44de toute façon, bien dans la neutralité.
00:14:46D'abord,
00:14:48nous ne voulons pas qu'on monte sa carrière,
00:14:50parce que la police encore veut faire l'enquête.
00:14:52Mais seulement, en même temps, nous devons comprendre
00:14:54que j'ai un camarade là pour confirmer
00:14:56qu'il ne peut pas gagner la prison.
00:14:58Donc, il y a des gens
00:15:00qui ont une partie
00:15:02de la force de la défense,
00:15:04c'est la force de la défense
00:15:06qui s'accalme au temps d'une force de la défense.
00:15:08Sur le choc
00:15:10qu'il peut avoir, je ne sais pas combien de temps j'aurai pour cela,
00:15:12la dépression, ils peuvent se suicider.
00:15:14Il est possible de se suicider en prison,
00:15:16si vous avez une vidéo.
00:15:18Mais, en général, il y a aussi des gens
00:15:20qui sont
00:15:22criminels.
00:15:24Je suis très content,
00:15:26parce que, tout à l'heure,
00:15:28j'ai travaillé,
00:15:30c'est une affaire qui est
00:15:32à l'évolution,
00:15:34c'est-à-dire rentrer-sortir,
00:15:36et c'est un travail
00:15:38très dur.
00:15:40C'est un travail
00:15:42avec sa catégorie.
00:15:44Il y a des psychothérapeutes
00:15:46qui sont stressés.
00:15:48Moi, je le connais, je le supporte.
00:15:50Quand c'est l'heure, je peux y aller.
00:15:52Je n'ai pas eu de problèmes
00:15:54C'est-à-dire que je peux travailler avec un groupe
00:15:56de gens qui, généralement,
00:15:58font des affaires,
00:16:00grossiers, viles, guerres, etc.
00:16:02C'est des gens qui sont en prison,
00:16:04qui font partie
00:16:06de l'équipe mafia, etc.
00:16:08Ça ne se plie pas par eux.
00:16:10Encore, ils sont menacés, jurés, etc.
00:16:12Donc, il est très important
00:16:14pour comprendre
00:16:16cette situation-là.
00:16:18Parce que,
00:16:20moi, j'ai eu des cas,
00:16:22un garçon,
00:16:24il a pris de la drogue,
00:16:26il a pris de l'argent pour la droguer,
00:16:28il m'a demandé d'assister.
00:16:30Je lui ai dit qu'il ne pouvait pas.
00:16:32Il a piqué ma main.
00:16:34Ma main est tombée.
00:16:36Sa priorité n'était pas
00:16:38de me voir mourir.
00:16:40Il pensait qu'il allait à la prison.
00:16:42Quand il est arrivé, il a eu des téléphones de la police.
00:16:44On a discuté avec son père,
00:16:46on a discuté, on a discuté.
00:16:48Je lui ai dit qu'il ne pouvait pas.
00:16:50Je lui ai dit qu'il n'avait pas de billets.
00:16:52Il avait un billet de 5 euros.
00:16:54J'ai dit ça à lui.
00:16:56Je suis rentré à Médsoulins.
00:16:58Quand il est arrivé,
00:17:00on a discuté avec son père.
00:17:02J'ai crié.
00:17:04Mon père est tombé dans la couloir.
00:17:06Mon père n'est pas arrivé.
00:17:08Quand il est arrivé,
00:17:10il n'a pas parlé.
00:17:12Je me suis dit
00:17:14qu'il ne pouvait pas avoir un officier de prison,
00:17:16un ministre de prison,
00:17:18comme travaille sur.
00:17:20Si vous avez une catégorie de gens comme ça,
00:17:22ce que je voulais dire,
00:17:24c'est qu'ils ne peuvent pas avoir un sentiment.
00:17:26Il y a une quantité de cas,
00:17:28un crime en milieu familial.
00:17:30Il y a beaucoup de gens qui peuvent souffrir en silence.
00:17:32Avant ça, il arrive la cour,
00:17:34il y a la police,
00:17:36ils peuvent souffrir en silence.
00:17:38Moi, dans trois jours, trois mois seulement,
00:17:40je ne peux pas me suicider.
00:17:42Je peux souffrir en silence.
00:17:44Parfois, ça déborde.
00:17:46C'est un crime.
00:17:48C'est un gros problème.
00:17:50Eric,
00:17:52est-ce que vous pouvez
00:17:54insister sur le fait que
00:17:56nous aussi,
00:17:58nous avons des décès
00:18:00parce qu'il y a eu un règlement de comptes.
00:18:02Ou parce qu'il y a eu une pendaison en prison.
00:18:06Il y a tellement de cas
00:18:08qui nous trouvent ça normal.
00:18:10Mais théoriquement,
00:18:12la prison est responsable.
00:18:14À l'époque,
00:18:16c'était en détention policière.
00:18:18Donc, on ne peut pas supposer
00:18:20qu'il y a eu
00:18:22une façon de se tuer.
00:18:24Donc, en prison aussi,
00:18:26on ne peut pas supposer
00:18:28qu'on puisse se tuer
00:18:30ou faire du mal à quelqu'un.
00:18:32En plus, la prison,
00:18:34c'est un environnement
00:18:36et un espace contrôlés.
00:18:38Donc, au moins,
00:18:40tu peux y arriver.
00:18:42Ce qui me comprend,
00:18:44c'est qu'il y a eu une prison comme à Melrose,
00:18:46quand il n'y a pas de caméra,
00:18:48quand il n'y a pas de surveillance
00:18:50de la Porte de Van Gogh,
00:18:52et il n'y a pas beaucoup de facilité
00:18:54pour détecter un métal, rentrer et sortir.
00:18:56Donc, c'est un espace contrôlé.
00:18:58Ce qui fait que,
00:19:00dans cet environnement-là,
00:19:02il y a beaucoup moins d'agressions,
00:19:04beaucoup moins de suicides.
00:19:06Et s'il y a de la torture,
00:19:08beaucoup moins de torture.
00:19:10C'est pour ça que,
00:19:12quand nous trouvons ces affaires-là arrivées,
00:19:14nous sommes assez surpris.
00:19:16Mais il ne faut pas qu'il y ait une certaine
00:19:18complaisance, une certaine normalisation
00:19:20de la façon dont nous trouvons les choses.
00:19:22Ceci dit, étant
00:19:24que nous prenons toutes les recherches
00:19:26internationales qui nous disent
00:19:28que nous sommes un média
00:19:30qui recense
00:19:32l'affaire, qui publie
00:19:34l'affaire, mais les choses
00:19:36papières qui ont été
00:19:38allongées à 50 ans de cela,
00:19:40à travers le monde, pas seulement en Paris,
00:19:42mais à travers le monde,
00:19:44nous gardons l'espoir qu'il y ait
00:19:46la possibilité qu'il y ait une bouge dans la bonne
00:19:48direction avec, bien sûr,
00:19:50la volonté de tout un chacun.
00:19:52Mais quand on peut dire l'espace contrôlé,
00:19:54on peut dire qu'il n'y a pas
00:19:56aucun respect de la vie privée
00:19:58en prison, dans le sens qu'il y a
00:20:00la caméra, supposer la caméra,
00:20:02et supposer
00:20:04l'administration
00:20:06de la caméra,
00:20:08parce que souvent on trouve que les gens
00:20:10ne se disent pas avec le droit.
00:20:12Est-ce qu'il y a un moyen ou pas,
00:20:14qui est capable de prévenir cela,
00:20:16ou la méthode
00:20:18qui est arrivée pour les gens?
00:20:20Déjà, nous devons être capables
00:20:22d'identifier les causes
00:20:24qui amènent à des gens à subir
00:20:26ce genre de décès
00:20:28en milieu carcéral. Donc, pour être capables
00:20:30d'identifier ces causes, nous devons
00:20:32d'abord avoir un recensement,
00:20:34c'est-à-dire qu'il y a des chercheurs
00:20:36et la prison permet à ces chercheurs
00:20:38d'entrer dans la prison
00:20:40et que les camarades saoudiens
00:20:42disent qu'il y a un certain
00:20:44« suicide watch » qu'on peut trouver
00:20:46dans ces gens-là, il y a une certaine tendance
00:20:48qui est capable de les mettre
00:20:50loin de la liste et faire un suivi
00:20:52psychologique avec la personne.
00:20:54Ceci dit, il y a d'autres facteurs
00:20:56comme l'insalubrité, par exemple,
00:20:58qui dit que ces gens-là se trouvent
00:21:00dans une condition normale
00:21:02et en manque de cette condition normale-là,
00:21:04tout cela peut pousser la personne
00:21:06au suicide, mis à part la torture
00:21:08et l'agression qui peuvent exister
00:21:10dans le milieu carcéral.
00:21:12À plusieurs reprises, on peut causer torture.
00:21:14Qui opère déjà pour torture?
00:21:16Et,
00:21:18il n'est pas étonnant,
00:21:20il n'est pas un secret pour personne
00:21:22qu'il y a des gens qui meurent
00:21:24dans des tensions policières
00:21:26d'une façon qui n'est pas naturelle.
00:21:28On prend le cas
00:21:30d'Iqbal Toufani, par exemple,
00:21:32qui, moi-même, je représente la famille.
00:21:34On prend le cas
00:21:36de Jagornath, nous ne parlons pas
00:21:38dans l'affaire elle-même,
00:21:40M. Jagornath,
00:21:42qui est supposément victime
00:21:44d'une agression, ceci dit,
00:21:46pour le prouver, et les protagonistes
00:21:48toujours ont ce qu'on appelle
00:21:50la présomption d'innocence, très, très importante.
00:21:52Mais ce qu'il me veut redire,
00:21:54c'est que tous
00:21:56morts dans des tensions policières
00:21:58ou corps cancéreux,
00:22:00les suspectent, et du fait qu'ils
00:22:02les suspectent, ils ont une enquête
00:22:04indépendante. Et quand on dit une enquête indépendante,
00:22:06le coroner, c'est-à-dire le médecin légiste,
00:22:08lit ici ce département
00:22:10bien qu'il soit indépendant
00:22:12pour être capable de se rappeler
00:22:14d'une façon indépendante.
00:22:16Je pense qu'il n'est pas suffisant qu'il soit attaché
00:22:18avec la police. Donc, toutes les institutions,
00:22:20tous les protagonistes,
00:22:22ils ont fait un travail de façon indépendante.
00:22:24Donc,
00:22:26il n'y a pas de cause torture.
00:22:28Est-ce qu'il finit par avoir une allégation
00:22:30ou en prison qu'il contient une torture?
00:22:32Ce n'est pas un secret pour personne.
00:22:34Ce n'est pas un secret pour personne.
00:22:36Et moi-même, souvent, très, très souvent,
00:22:38nos clients
00:22:40viennent et disent
00:22:42qu'ils sont victimes
00:22:44de torture en détention.
00:22:46Il faut que nous démarrons
00:22:48d'une détention cancéreuse, d'une détention
00:22:50policière.
00:22:52Sinon, il n'existe pas de détention.
00:22:54Je disais qu'il n'y avait pas de cause
00:22:56pour la prison.
00:22:58Je ne suis pas là pour pointer du doigt
00:23:00à l'administration pénitentiaire.
00:23:02Moi, je peux seulement dire
00:23:04qu'il y a une enquête indépendante
00:23:06du moment qu'il y a une allégation.
00:23:08Et c'est comme ça qu'il y a une autorité
00:23:10supposée
00:23:12faire dans la vie normale,
00:23:14dans un gouvernement normal.
00:23:16Donc, du moment qu'il y a une allégation,
00:23:18il y a une enquête. Mais souvent, on trouve
00:23:20qu'il y a une enquête mise dans les tiroirs,
00:23:22une peine à suivre.
00:23:24Ou pas le premier avocat qui peut dire ça.
00:23:26Donc, quel est le problème
00:23:28avec cette enquête qu'il y a ici?
00:23:30Donc, il y a un mot
00:23:32qui peut dire suicide
00:23:34ou un mot suspect en prison.
00:23:36Ou parce qu'il n'y a pas quatre chemins.
00:23:38Souvent, ils reprochent
00:23:40qu'il y a un cover-up
00:23:42dans la façon de faire des enquêtes.
00:23:44Et c'est bien pour ça qu'ils nous disent
00:23:46qu'il y a une enquête indépendante.
00:23:48Parce que du moment qu'il y a une institution
00:23:50gouvernementale qui enquête
00:23:52une institution gouvernementale,
00:23:54ce n'est pas toujours qu'il y a un cover-up.
00:23:56Mais il y a la possibilité,
00:23:58il y a la perception.
00:24:00Donc, sa perception-là, d'abord,
00:24:02il élimine sa perception de cover-up.
00:24:04Et qu'il enquête
00:24:06de façon indépendante.
00:24:08Et pour ça, comment je dirais, je le répète,
00:24:10tous les protagonistes sont capables
00:24:12de faire ce cas
00:24:14de façon indépendante. Le Human Rights Commission
00:24:16fait cette enquête indépendante.
00:24:18Le IPCC, quand il s'agit
00:24:20de détention policière,
00:24:22fait cette enquête indépendante.
00:24:24Le coroner, le médecin-légiste,
00:24:26agit de façon indépendante.
00:24:28Et pourquoi ne pas mettre
00:24:30sur pied une commission
00:24:32qui lit les enquêtes seulement
00:24:34de bannes d'allégations qu'il y a dans la prison?
00:24:36Justement, c'est ça.
00:24:38Dans la police, il y a
00:24:40l'Independent Police Complaints Commission.
00:24:42Dans le cas
00:24:44d'un mort suspect
00:24:46ou d'un suicide en prison,
00:24:48si la famille n'a pas de doutes, il existe
00:24:50pour l'instant le Human Rights Commission.
00:24:52Effectivement. Contrairement
00:24:54à d'autres pays industrialisés, comme en France
00:24:56ou bien au Canada,
00:24:58il y a l'équivalent de ce qu'on appelle
00:25:00un Ombudsperson for prison.
00:25:02Donc, une famille qui s'entend
00:25:04léser, une famille indétenue qui s'entend léser,
00:25:06est capable d'appeler
00:25:08cet Ombudsperson-là et lui demander
00:25:10d'enquêter de façon indépendante.
00:25:12Et il y a tous ces ressources
00:25:14pour amener sur l'enquête rapidement
00:25:16et arriver à un
00:25:18rapport
00:25:20ou bien dire le DPP, voilà, instituer
00:25:22l'enquête.
00:25:24Mais moi, je pensais qu'il y a
00:25:26plus d'importance pour nous pouvoir
00:25:28agir de façon indépendante,
00:25:30nous devons avoir ce qu'on appelle
00:25:32comme on l'a dit dans l'anglais,
00:25:34un Coroner's Court,
00:25:36quelque chose qui nous paye.
00:25:38Donc, un Coroner's Court, c'est l'équivalent
00:25:40de l'enquête judiciaire.
00:25:42Sauf que la famille est
00:25:44représentée par un avocat
00:25:46et l'agent
00:25:48pose les questions.
00:25:50Donc, c'est un Coroner, il n'est pas un homme légal,
00:25:52il siège et il préside
00:25:54ce Coroner's Court-là
00:25:56dans tout cas de suicide ou de mort
00:25:58suspecte.
00:26:00Mais c'est lui-même qui fait...
00:26:02Dans le jargon, le Coroner, c'est le médecin légiste.
00:26:04Là, le médecin légiste en chef...
00:26:06Oui, il y en a ceux qui l'appellent
00:26:08le Coroner's Court, qui fait l'appel du Coroner's Court
00:26:10parce qu'il est pour baser le rapport
00:26:12aussi du Corona,
00:26:14du médecin légiste.
00:26:16Voilà. Allez, nous manquons une pause pour le temps pour rien.
00:26:18Là, nous pouvons évoquer là les pendaisons.
00:26:20Il y en a aussi la drogue qui nous peut évoquer.
00:26:22Surtout avec Sam Luthan,
00:26:24nous pouvons évoquer
00:26:26notamment les chapitres de
00:26:28la commission d'enquête sur la drogue
00:26:30et nous pouvons évoquer l'aspect humain
00:26:32avec Saoud Mouti.
00:26:34Nous manquons la pause et nous retrouvons ça dans quelques secondes.
00:26:40...
00:26:42...
00:26:44...
00:26:46...
00:26:48...
00:26:50...
00:26:52...
00:26:54...
00:26:56...
00:26:58...
00:27:00...
00:27:02...
00:27:04...
00:27:06...
00:27:08...
00:27:10...
00:27:12...
00:27:14...
00:27:16...
00:27:18...
00:27:20...
00:27:22...
00:27:24...
00:27:26...
00:27:28...
00:27:30...
00:27:32...
00:27:34...
00:27:36...
00:27:38...
00:27:40...
00:27:42...
00:27:44...
00:27:46...
00:27:48...
00:28:06...
00:28:08...
00:28:10...
00:28:12...
00:28:14...
00:28:16...
00:28:18...
00:28:20...
00:28:22...
00:28:24...
00:28:26...
00:28:28...
00:28:30...
00:28:32...
00:28:34...
00:28:36...
00:28:38...
00:28:40...
00:28:42...
00:28:44...
00:28:46...
00:28:48...
00:28:50...
00:28:52...
00:28:54...
00:28:56...
00:28:58...
00:29:00...
00:29:02...
00:29:04...
00:29:32est crédible.
00:30:02C'est vrai.
00:30:32C'est vrai.
00:31:02Quand on peut avoir tout ça dans un cas de hanging sur tout et de suicide, est-ce qu'il peut y avoir un problème, autant du cas ?
00:31:12Non, définitivement.
00:31:14On ne peut pas bien retourner autour du pot.
00:31:16C'est ce qu'on disait tout à l'heure.
00:31:18On disait qu'il y a une sorte de shock émotionnel, physique.
00:31:22Quand on a l'impression qu'on peut vivre dans un certain confort, un certain luxe, etc.
00:31:27On dit que c'est traumatisant.
00:31:30Dans ce cas-là, par désespoir, on dit qu'on ne peut pas commettre un suicide.
00:31:34On sait que...
00:31:35Quand je vois quelqu'un qui vient dans ma tête, je crois que c'est dans un jeu répété.
00:31:38Un garçon qui est un peu rebelle, rebelle.
00:31:41Il ne sait pas ce qu'il va faire.
00:31:43Il est en prison.
00:31:46Son père l'a menacé.
00:31:49Il l'a menacé.
00:31:50Il a quitté la prison avec un bandeau fiché.
00:31:53Quand il est dans la prison et qu'il a senti que ses émotions n'étaient pas là,
00:31:59il perd la vision, etc.
00:32:00Quand il entend dire qu'il a quitté, il n'a rien dit.
00:32:03Il n'a pas menti.
00:32:05Il est à sa côté.
00:32:07On le connaît.
00:32:08Il a des parents.
00:32:10Quand il est dans la prison, il n'a pas de soulagement.
00:32:12Quand il est sorti de la prison, il n'a pas de traitement.
00:32:15Quand il est sorti de la prison, il n'a pas de réveil.
00:32:19Il y a un gros travail qu'on doit faire, peut-être, au niveau de la famille même.
00:32:24Lui-là, ce qu'il a fait, ce qu'il a fait, il paraît un peu invraisemblable.
00:32:35Quand on est dans une prison, ça n'a pas l'air.
00:32:37Quand on ne pense pas à des gens, on pense à des gens de l'autre terre.
00:32:41Mais il a gagné.
00:32:43J'ai vérifié qu'il y avait un mannequin avec la corde dans le matelas.
00:32:48Après, j'ai pris le drap, etc.
00:32:50Je l'ai attaché.
00:32:52Je l'ai attaché dans le lavabo en bas.
00:32:54Ou bien dans l'imposteur qui était.
00:32:57J'ai sauté.
00:32:59J'ai mis la tête devant.
00:33:00J'ai dit, finis.
00:33:01Finis.
00:33:02Il ne faut que finir.
00:33:03Donc, en temps de désespoir, je l'ai dit.
00:33:05Je l'ai fait.
00:33:07Donc, c'est ça.
00:33:09C'est ça.
00:33:11C'est ça.
00:33:13C'est ça.
00:33:15C'est ça.
00:33:17C'est ça.
00:33:19C'est ça.
00:33:21C'est ça.
00:33:23C'est ça.
00:33:25C'est ça.
00:33:27C'est ça.
00:33:29C'est ça.
00:33:31C'est ça.
00:33:33C'est ça.
00:33:35C'est ça.
00:33:37C'est ça.
00:33:39C'est ça.
00:33:41C'est ça.
00:33:43C'est ça.
00:33:45C'est ça.
00:33:47C'est ça.
00:33:49C'est ça.
00:33:51C'est ça.
00:33:53C'est ça.
00:33:55C'est ça.
00:33:57C'est ça.
00:33:59C'est ça.
00:34:01C'est ça.
00:34:03C'est ça.
00:34:05C'est ça.
00:34:07C'est ça.
00:34:09C'est ça.
00:34:11C'est ça.
00:34:13C'est ça.
00:34:15C'est ça.
00:34:17C'est ça.
00:34:19C'est ça.
00:34:21C'est ça.
00:34:23C'est ça.
00:34:25C'est ça.
00:34:27C'est ça.
00:34:29C'est ça.
00:34:31C'est ça.
00:34:33C'est ça.
00:34:35C'est ça.
00:34:37C'est ça.
00:34:39C'est ça.
00:34:41C'est ça.
00:34:43C'est ça.
00:34:45C'est ça.
00:34:47C'est ça.
00:34:49C'est ça.
00:34:51C'est ça.
00:34:53C'est ça.
00:34:55C'est ça.
00:34:57C'est ça.
00:34:59C'est ça.
00:35:01C'est ça.
00:35:03C'est ça.
00:35:05C'est ça.
00:35:07C'est ça.
00:35:09C'est ça.
00:35:11C'est ça.
00:35:13C'est ça.
00:35:15C'est ça.
00:35:17C'est ça.
00:35:19C'est ça.
00:35:21C'est ça.
00:35:23C'est ça.
00:35:25C'est ça.
00:35:27C'est ça.
00:35:29C'est ça.
00:35:31C'est ça.
00:35:33C'est ça.
00:35:35C'est ça.
00:35:37C'est ça.
00:35:39C'est ça.
00:35:41C'est ça.
00:35:43C'est ça.
00:35:45C'est ça.
00:35:47C'est ça.
00:35:49C'est ça.
00:35:51C'est ça.
00:35:53C'est ça.
00:35:55C'est ça.
00:35:57C'est ça.
00:35:59C'est ça.
00:36:01C'est ça.
00:36:03C'est ça.
00:36:05C'est ça.
00:36:07C'est ça.
00:36:09C'est ça.
00:36:11C'est ça.
00:36:13C'est ça.
00:36:15C'est ça.
00:36:17C'est ça.
00:36:19C'est ça.
00:36:21C'est ça.
00:36:23C'est ça.
00:36:25C'est ça.
00:36:27C'est ça.
00:36:29C'est ça.
00:36:31C'est ça.
00:36:33C'est ça.
00:36:35C'est ça.
00:36:37C'est ça.
00:36:39C'est ça.
00:36:41C'est ça.
00:36:43C'est ça.
00:36:45C'est ça.
00:36:47C'est ça.
00:36:49C'est ça.
00:36:51C'est ça.
00:36:53C'est ça.
00:36:55C'est ça.
00:36:57C'est ça.
00:36:59C'est ça.
00:37:01C'est ça.
00:37:03C'est ça.
00:37:05C'est ça.
00:37:07C'est ça.
00:37:09C'est ça.
00:37:11C'est ça.
00:37:13C'est ça.
00:37:15C'est ça.
00:37:17C'est ça.
00:37:19C'est ça.
00:37:21C'est ça.
00:37:23C'est ça.
00:37:25C'est ça.
00:37:27C'est ça.
00:37:29C'est ça.
00:37:31C'est ça.
00:37:33C'est ça.
00:37:35C'est ça.
00:37:37C'est ça.
00:37:39C'est ça.
00:37:41C'est ça.
00:37:43C'est ça.
00:37:45C'est ça.
00:37:47C'est ça.
00:37:49C'est ça.
00:37:51C'est ça.
00:37:53C'est ça.
00:37:55C'est ça.
00:37:57C'est ça.
00:37:59C'est ça.
00:38:01C'est ça.
00:38:03C'est ça.
00:38:05C'est ça.
00:38:07C'est ça.
00:38:09C'est ça.
00:38:11C'est ça.
00:38:13C'est ça.
00:38:15C'est ça.
00:38:17C'est ça.
00:38:19C'est ça.
00:38:21C'est ça.
00:38:23C'est ça.
00:38:25C'est ça.
00:38:27C'est ça.
00:38:29C'est ça.
00:38:31C'est ça.
00:38:33C'est ça.
00:38:35C'est ça.
00:38:37C'est ça.
00:38:39C'est ça.
00:38:41C'est ça.
00:38:43C'est ça.
00:38:45C'est ça.
00:38:47C'est ça.
00:38:49C'est ça.
00:38:51C'est ça.
00:38:53C'est ça.
00:38:55C'est ça.
00:38:57C'est ça.
00:38:59C'est ça.
00:39:01C'est ça.
00:39:03C'est ça.
00:39:05C'est ça.
00:39:07C'est ça.
00:39:09C'est ça.
00:39:11C'est ça.
00:39:13C'est ça.
00:39:15C'est ça.
00:39:17C'est ça.
00:39:19C'est ça.
00:39:21C'est ça.
00:39:23C'est ça.
00:39:25C'est ça.
00:39:27C'est ça.
00:39:29C'est ça.
00:39:31C'est ça.
00:39:33C'est ça.
00:39:35C'est ça.
00:39:37C'est ça.
00:39:39C'est ça.
00:39:41C'est ça.
00:39:43C'est ça.
00:39:45C'est ça.
00:39:47C'est ça.
00:39:49C'est ça.
00:39:51C'est ça.
00:39:53C'est ça.
00:39:55C'est ça.
00:39:57C'est ça.
00:39:59C'est ça.
00:40:01C'est ça.
00:40:03C'est ça.
00:40:05C'est ça.
00:40:07C'est ça.
00:40:09C'est ça.
00:40:11C'est ça.
00:40:13C'est ça.
00:40:15C'est ça.
00:40:17C'est ça.
00:40:19C'est ça.
00:40:21C'est ça.
00:40:23C'est ça.
00:40:25C'est ça.
00:40:27C'est ça.
00:40:29C'est ça.
00:40:31C'est ça.
00:40:33C'est ça.
00:40:35C'est ça.
00:40:37C'est ça.
00:40:39C'est ça.
00:40:41C'est ça.
00:40:43C'est ça.
00:40:45C'est ça.
00:40:47C'est ça.
00:40:49C'est ça.
00:40:51C'est ça.
00:40:53C'est ça.
00:40:55C'est ça.
00:40:57C'est ça.
00:40:59C'est ça.
00:41:01C'est ça.
00:41:03C'est ça.
00:41:05C'est ça.
00:41:07C'est ça.
00:41:09C'est ça.
00:41:11C'est ça.
00:41:13C'est ça.
00:41:15C'est ça.
00:41:17C'est ça.
00:41:19C'est ça.
00:41:21C'est ça.
00:41:23C'est ça.
00:41:25C'est ça.
00:41:27C'est ça.
00:41:29C'est ça.
00:41:31C'est ça.
00:41:33C'est ça.
00:41:35C'est ça.
00:41:37C'est ça.
00:41:39C'est ça.
00:41:41C'est ça.
00:41:43C'est ça.
00:41:45C'est ça.
00:41:47C'est ça.
00:41:49C'est ça.
00:41:51C'est ça.
00:41:53C'est ça.
00:41:55C'est ça.
00:41:57C'est ça.
00:41:59C'est ça.
00:42:01C'est ça.
00:42:03C'est ça.
00:42:05C'est ça.
00:42:07C'est ça.
00:42:09C'est ça.
00:42:11C'est ça.
00:42:13C'est ça.
00:42:15C'est ça.
00:42:17C'est ça.
00:42:19C'est ça.
00:42:21C'est ça.
00:42:23C'est ça.
00:42:25C'est ça.
00:42:27C'est ça.
00:42:29C'est ça.
00:42:31C'est ça.
00:42:33C'est ça.
00:42:35C'est ça.
00:42:37C'est ça.
00:42:39C'est ça.
00:42:41C'est ça.
00:42:43C'est ça.
00:42:45C'est ça.
00:42:47C'est ça.
00:42:49C'est ça.
00:42:51C'est ça.
00:42:53C'est ça.
00:42:55C'est ça.
00:42:57C'est ça.
00:42:59C'est ça.
00:43:01C'est ça.
00:43:03C'est ça.
00:43:05C'est ça.
00:43:07C'est ça.
00:43:09C'est ça.
00:43:11C'est ça.
00:43:13C'est ça.
00:43:15C'est ça.
00:43:17C'est ça.
00:43:19C'est ça.
00:43:21C'est ça.
00:43:23C'est ça.
00:43:25C'est ça.
00:43:27C'est ça.
00:43:29C'est ça.
00:43:31C'est ça.
00:43:33C'est ça.
00:43:35C'est ça.
00:43:37C'est ça.
00:43:39C'est ça.
00:43:41C'est ça.
00:43:43C'est ça.
00:43:45C'est ça.
00:43:47C'est ça.
00:43:49C'est ça.
00:43:51C'est ça.
00:43:53C'est ça.
00:43:55C'est ça.
00:43:57C'est ça.
00:43:59C'est ça.
00:44:01C'est ça.
00:44:03C'est ça.
00:44:05C'est ça.
00:44:07C'est ça.
00:44:09C'est ça.
00:44:11C'est ça.
00:44:13C'est ça.
00:44:15C'est ça.
00:44:17C'est ça.
00:44:19C'est ça.
00:44:21C'est ça.
00:44:23C'est ça.
00:44:25C'est ça.
00:44:27C'est ça.
00:44:29C'est ça.
00:44:31C'est ça.
00:44:33C'est ça.
00:44:35C'est ça.
00:44:37C'est ça.
00:44:39C'est ça.
00:44:41C'est ça.
00:44:43C'est ça.
00:44:45C'est ça.
00:44:47C'est ça.
00:44:49C'est ça.
00:44:51C'est ça.
00:44:53C'est ça.
00:44:55C'est ça.
00:44:57C'est ça.
00:44:59C'est ça.
00:45:01C'est ça.
00:45:03C'est ça.
00:45:05C'est ça.
00:45:07C'est ça.
00:45:09C'est ça.
00:45:11C'est ça.
00:45:13C'est ça.
00:45:15C'est ça.
00:45:17C'est ça.
00:45:19C'est ça.
00:45:21C'est ça.
00:45:23C'est ça.
00:45:25C'est ça.
00:45:27C'est ça.
00:45:29C'est ça.
00:45:31C'est ça.
00:45:33C'est ça.
00:45:35C'est ça.
00:45:37C'est ça.
00:45:39C'est ça.
00:45:41C'est ça.
00:45:43C'est ça.
00:45:45C'est ça.
00:45:47C'est ça.
00:45:49C'est ça.
00:45:51C'est ça.
00:45:53C'est ça.
00:45:55C'est ça.
00:45:57C'est ça.
00:45:59C'est ça.
00:46:01C'est ça.
00:46:03C'est ça.
00:46:05C'est ça.
00:46:07C'est ça.
00:46:09C'est ça.
00:46:11C'est ça.
00:46:13C'est ça.
00:46:15C'est ça.
00:46:17C'est ça.
00:46:19C'est ça.
00:46:21C'est ça.
00:46:23C'est ça.
00:46:25C'est ça.
00:46:27C'est ça.
00:46:29C'est ça.
00:46:31C'est ça.
00:46:33C'est ça.
00:46:35C'est ça.
00:46:37C'est ça.
00:46:39C'est ça.
00:46:41C'est ça.
00:46:43C'est ça.
00:46:45C'est ça.
00:46:47C'est ça.
00:46:49C'est ça.
00:46:51C'est ça.
00:46:53C'est ça.
00:46:55C'est ça.
00:46:57C'est ça.
00:46:59C'est ça.
00:47:01C'est ça.
00:47:03C'est ça.
00:47:05C'est ça.
00:47:07C'est ça.
00:47:09C'est ça.
00:47:11C'est ça.
00:47:13C'est ça.
00:47:15C'est ça.
00:47:17C'est ça.
00:47:19C'est ça.
00:47:21C'est ça.
00:47:23C'est ça.
00:47:25C'est ça.
00:47:27C'est ça.
00:47:29C'est ça.
00:47:31C'est ça.
00:47:33C'est ça.
00:47:35C'est ça.
00:47:37C'est ça.
00:47:39C'est ça.
00:47:41C'est ça.
00:47:43C'est ça.
00:47:45C'est ça.
00:47:47C'est ça.
00:47:49C'est ça.
00:47:51C'est ça.
00:47:53C'est ça.
00:47:55C'est ça.
00:47:57C'est ça.
00:47:59C'est ça.
00:48:01C'est ça.
00:48:03C'est ça.
00:48:05C'est ça.
00:48:07C'est ça.
00:48:09C'est ça.
00:48:11C'est ça.
00:48:13C'est ça.
00:48:15C'est ça.
00:48:17C'est ça.
00:48:19C'est ça.
00:48:21C'est ça.
00:48:23C'est ça.
00:48:25C'est ça.
00:48:27C'est ça.
00:48:29C'est ça.
00:48:31C'est ça.
00:48:33C'est ça.
00:48:35C'est ça.
00:48:37C'est ça.
00:48:39C'est ça.
00:48:41C'est ça.
00:48:43C'est ça.
00:48:45C'est ça.
00:48:47C'est ça.
00:48:49C'est ça.
00:48:51C'est ça.
00:48:53C'est ça.
00:48:55C'est ça.
00:48:57C'est ça.
00:48:59C'est ça.
00:49:01C'est ça.
00:49:03C'est ça.
00:49:05C'est ça.
00:49:07C'est ça.
00:49:09C'est ça.
00:49:11C'est ça.
00:49:13C'est ça.
00:49:15C'est ça.
00:49:17C'est ça.
00:49:19C'est ça.
00:49:21C'est ça.
00:49:23C'est ça.
00:49:25C'est ça.
00:49:27C'est ça.
00:49:29C'est ça.
00:49:31C'est ça.
00:49:33C'est ça.
00:49:35C'est ça.
00:49:37C'est ça.
00:49:39C'est ça.
00:49:41C'est ça.
00:49:43C'est ça.
00:49:45C'est ça.
00:49:47C'est ça.
00:49:49C'est ça.
00:49:51C'est ça.
00:49:53C'est ça.
00:49:55C'est ça.
00:49:57C'est ça.
00:49:59C'est ça.
00:50:01C'est ça.
00:50:03C'est ça.
00:50:05C'est ça.
00:50:07C'est ça.
00:50:09C'est ça.
00:50:11C'est ça.
00:50:13C'est ça.
00:50:15C'est ça.
00:50:17C'est ça.
00:50:19C'est ça.
00:50:21C'est ça.
00:50:23C'est ça.
00:50:25C'est ça.
00:50:27C'est ça.
00:50:29C'est ça.
00:50:31C'est ça.
00:50:33C'est ça.
00:50:35C'est ça.
00:50:37C'est ça.
00:50:39C'est ça.
00:50:41C'est ça.
00:50:43C'est ça.
00:50:45C'est ça.
00:50:47C'est ça.
00:50:49C'est ça.
00:50:51C'est ça.
00:50:53C'est ça.
00:50:55C'est ça.
00:50:57C'est ça.
00:50:59C'est ça.
00:51:01C'est ça.
00:51:03C'est ça.
00:51:05C'est ça.
00:51:07C'est ça.
00:51:09C'est ça.
00:51:11C'est ça.
00:51:13C'est ça.
00:51:15C'est ça.
00:51:17C'est ça.
00:51:19C'est ça.
00:51:21C'est ça.
00:51:23C'est ça.
00:51:25C'est ça.
00:51:27C'est ça.
00:51:29C'est ça.
00:51:31C'est ça.
00:51:33C'est ça.
00:51:35C'est ça.
00:51:37C'est ça.
00:51:39C'est ça.
00:51:41C'est ça.
00:51:43C'est ça.
00:51:45C'est ça.
00:51:47C'est ça.
00:51:49C'est ça.
00:51:51C'est ça.
00:51:53C'est ça.
00:51:55C'est ça.
00:51:57C'est ça.
00:51:59C'est ça.
00:52:01C'est ça.
00:52:03C'est ça.
00:52:05C'est ça.
00:52:07C'est ça.
00:52:09C'est ça.
00:52:11C'est ça.
00:52:13C'est ça.
00:52:15C'est ça.
00:52:17C'est ça.
00:52:19C'est ça.
00:52:21C'est ça.
00:52:23C'est ça.
00:52:25C'est ça.
00:52:27C'est ça.
00:52:29C'est ça.
00:52:31C'est ça.
00:52:33C'est ça.
00:52:35C'est ça.
00:52:37C'est ça.
00:52:39C'est ça.
00:52:41C'est ça.
00:52:43C'est ça.
00:52:45C'est ça.
00:52:47C'est ça.
00:52:49C'est ça.
00:52:51C'est ça.
00:52:53C'est ça.
00:52:55C'est ça.
00:52:57C'est ça.
00:52:59C'est ça.
00:53:01C'est ça.
00:53:03C'est ça.
00:53:05C'est ça.
00:53:07C'est ça.
00:53:09C'est ça.
00:53:11C'est ça.
00:53:13C'est ça.
00:53:15C'est ça.
00:53:17C'est ça.
00:53:19C'est ça.
00:53:21C'est ça.
00:53:23C'est ça.
00:53:25C'est ça.
00:53:27C'est ça.
00:53:29C'est ça.
00:53:31C'est ça.
00:53:33C'est ça.
00:53:35C'est ça.
00:53:37C'est ça.
00:53:39Nous te recommandons qu'il y ait un special drug code, pour trop tarder, trop tarder, trop tarder,
00:53:46pour ne pas faire courir ceux-là. Remind, etc.
00:53:50Après, nous te disons, avec la nouvelle drogue qui peut sortir, tous les jours, une nouvelle drogue,
00:53:55nous te disons, pour ne pas tarder, là-bas, parce que la cour dure, on ne peut pas attendre la réussite de la FSL,
00:54:00mais nous te recommandons aussi une unité spécialisée, séparée des URI, mais seulement,
00:54:07une unité à port, code spécialiste pour analyser une bonne extension de drogue, pour ne pas tarder,
00:54:13surtout si le besoin se fait sentir davantage avec toute la nouvelle drogue qui vient à l'arrêt,
00:54:18et ça, spéciale unité FSL. Après, nous te recommandons une unité d'application des peines,
00:54:26pour suivre tout ce qui nous peut causer, depuis le début de l'émission.
00:54:31C'est d'autres choses que je peux imaginer.
00:54:33Mais on s'y concerne, la prison comme une plaque tournante du trafic de drogue.
00:54:40Oui, parce qu'on le connaît, on le connaît, la mafia, on y a l'idée.
00:54:46Il y en a filtrés partout, il y en a ceux qui l'affirment partout, il y en a ceux qui l'affirment,
00:54:52par exemple, pendant la commission d'enquête, un seigneur officiel vient sur le terrain pour enquêter,
00:54:58il dit à moi, on va vous faire une affaire, et la mafia, ils développent WWW, bien avant Zuckerberg,
00:55:09Mark Zuckerberg, avant qu'il n'y ait pas de WWW, il y avait les femmes et le vin.
00:55:14Et puis dans la prison, je finis sous les doigts d'un officier de prison,
00:55:20alors, loin de l'ivraie de la classe, je suis dans la prison, je me dis, il faut qu'il y ait une femme de haut, etc.
00:55:28Alors, ils montrent la relation, c'est ça, oui, pas dans ce cas, mais ils connaissent l'unanimité, évidemment.
00:55:40Alors, à la suite, un délétage, là où il y a la case, là où il y a la case, là où il y a l'eau, nous, on a qu'à financer.
00:55:46C'est pour ça que je vous dis que la mafia, les terripouilles, nous qui ne sommes pas assez soudés,
00:55:49nous, vis-à-vis de la mafia, on n'est pas assez soudés, ça peut être une piqûre de choses à faire,
00:55:53tant que ça n'arrive pas là-haut, ils passent la tête. Ce voisin peut se faire, ils passent la tête.
00:55:57Il y en a ça, il y en a aussi, comment je vous dirais, nous faisons 300 recommandations,
00:56:07300 recommandations. Jusqu'à là, nous, on dirait 75, nous, on dirait 80, nous, on dirait 80,
00:56:13les dernières déclarations privilégiées, là-haut, là, nous, on dirait 90%, mais 10%, c'est-à-dire 30 recommandations.
00:56:20– Allez, bon, posez-vous la question, est-ce qu'il y a...
00:56:21– Non, laisse-moi finir, je vais te dire, parce que la mafia, il n'y a pas besoin de 30, le problème, elle ne s'élasse pas.
00:56:28Dans la mafia internationale, je m'en suis bien documenté, là-haut, là, j'ai un emploi, il y a un certain moment,
00:56:33il y en a 20 ans, 25 ans, de ceux-là, j'ai un emploi et 10 avocats de renommée mondiale,
00:56:39alors, nous, on a 5 mètres au 3 ans, alors, étudiez, tenez-vous bien, toutes les législations du monde
00:56:47pour identifier le problème. Alors, quand je ne gagne le problème, là, je t'éclate là-dedans,
00:56:51moi, tu prends l'exemple, Beaumont-Gaz, par exemple, je ne sais pas, tu peux fouiller, tu gagnes le problème.
00:56:55– Allez, nous, on reste à la prison. Sam Lotan, est-ce que vous vous finissiez d'apprendre
00:56:58avec la bande d'énonciation qui finit gagnée et qui, au temps de Gordioum, finit quelque part critiquée
00:57:04de Gordioum, Gordier de prison, Gordioum, c'est un thème ancien qui nous servit, pas correct,
00:57:09Gordier de prison qui finit, qui finit, au temps critiqué par la commission.
00:57:15Est-ce que vous vous finissiez d'apprendre, personnellement ?
00:57:17– Non, comment je vais dire, oh, les gars, je ne suis pas pour pointer les doigts,
00:57:21non, mon cher camarade-élection, tout d'accord, là, nous, dans presque toutes les professions,
00:57:27nous mettons de l'ongle, là, l'ismo pénal, il y a en tête, là, il n'y a pas de brebis galeuse,
00:57:30parce qu'il n'est pas trop grand, je peux dire, nous nous y allons clairement dans nos rapports,
00:57:36ce qu'il y a pour nous, là, représente 5 à 6 fois le salaire que je peux gagner en effet du mois.
00:57:42Il n'y a personne qui l'intègre, il n'y a personne qui pense, il y a une maman qui peut plaire,
00:57:45une épouse qui peut plaire, des enfants, un papa, tout ça,
00:57:48mais il y a des tentations, il y a de la corruption en place.
00:57:52– Allez, nous manquons une pause pour la pub, et nous retrouvons, nous allons l'inviter,
00:57:55nous poursuivons la discussion juste après.
00:57:59– Sous-titrage Société Radio-Canada
00:58:05– Tencoula, où la voix, où s'y met la lumière.
00:58:10– Téléchargez notre application Top FM Radio sur App Store, Play Store
00:58:16et sur aussi Huawei App Gallery.
00:58:18– Top FM Live TV, une grande première.
00:58:21Vivez en temps réel, la première radio-TV de Maurice.
00:58:27Découvrez notre studio, nos animateurs, vos hits musiques préférés en clip
00:58:34et l'info complète, factuelle et crédible.
00:58:48– Sous-titrage Société Radio-Canada
00:59:18– Sous-titrage Société Radio-Canada
00:59:48– Sous-titrage Société Radio-Canada
00:59:52– Sous-titrage Société Radio-Canada
00:59:56– Sous-titrage Société Radio-Canada
01:00:00– Sous-titrage Société Radio-Canada
01:00:04– Sous-titrage Société Radio-Canada
01:00:08– De retour dans Tempo Lasso, nous nous rappelons qu'il nous peut causer la prison
01:00:12suite à un cas de suicide.
01:00:16En général, nous avons des problèmes qui affectent la prison,
01:00:20nos systèmes pénitentiaires à Maurice.
01:00:22Avec nous en studio, nous avons l'avocat Erickson Mounia Pilié, le psychothérapeute
01:00:26Saoud Mouti et nous avons l'ancien ministre Sam Luthan.
01:00:30Je vous rappelle, nous pouvons écouter Rama Valadé, l'ancien tournée générale.
01:00:34Après, nous allons téléphoner au 213-777-213-7777 pour réagir
01:00:38par rapport à tout ce qu'il fait nous dire dans l'émission.
01:00:42Si la régie est capable, diffuse.
01:00:46– Bon après-midi Maître Mavalaïden, bon après-midi à tous les invités sur le plateau.
01:00:50Alors, Maître Mavalaïden, un cas pendaison finit par ramener une prison
01:00:54au-devant de l'actualité. Quels problèmes prison dans Maurice ?
01:00:58– Les problèmes de prison sont multiples, très multiples.
01:01:02Premièrement, nos prisons, c'est une prison qui a un seul but.
01:01:06Ce n'est pas une réforme sur un complot, je vais dire.
01:01:10Nos prisons, c'est une prison qui offre une tournée vers tout le monde.
01:01:14Une tournée vers vous, dans votre mode de vie,
01:01:18dans votre façon, votre visage, ce qu'il y a pour vous aider,
01:01:22comment vous aider. Imaginez-vous dans une prison de Beaubassin
01:01:26et il n'y a qu'une seule toilette.
01:01:30Dans le grand matin, imaginez-vous que vous pouvez vous aider.
01:01:34Une seule toilette pour plus de 125 personnes.
01:01:38Tous les gens qui sont en position de pouvoir pour décider,
01:01:42se poussent. Même, il y a une écriture,
01:01:46c'est pour moi une écriture qui commence du tout,
01:01:50c'est-à-dire la Commission des droits humains. Ils n'ont pas fait un suivi.
01:01:54C'est une classe qui existe. Il y a des gens qui travaillent,
01:01:58mais généralement, ils ne sont pas morts.
01:02:02Ils n'ont aucun résultat dans ce dossier.
01:02:06Deuxièmement, vous savez que la seule prison au monde,
01:02:10plus de 70 % des gens qui sont en prison,
01:02:14c'est leur humain.
01:02:1870 % du monde, c'est leur humain.
01:02:22Troisième chose, il y a un autre problème qui est grave,
01:02:26c'est que les gens qui travaillent dans la prison,
01:02:30les prisonniers, ils n'ont pas de training approprié,
01:02:34ils n'ont pas de promotion du tout. Et chaque fois,
01:02:38le gouvernement qui s'échoie, qui s'échoie,
01:02:42qui s'échoie les autres, il y a des renseignements,
01:02:46ils amènent des gens externes à la prison qui ne comprennent pas le principe de prison
01:02:50pour les mettre à la tête dans la prison.
01:02:54Beaucoup de gens gagnent un mot dans la prison.
01:02:58Beaucoup de gens n'ont pas accès à la santé, comme je disais.
01:03:02Donc pour moi, la prison mérite une grande, grande réforme,
01:03:06complètement réforme.
01:03:10Et la prison, elle a besoin de sang, de désintoxication,
01:03:14et c'est important ça aussi, si les gens qui travaillent
01:03:18n'ont pas d'aide, ils ont tendance à se suicider.
01:03:22Il y a une autre chose qui est une longue sentence,
01:03:26c'est comique, comique, comique, si les gens ont 55 ans, ils ont 40 ans.
01:03:30Indirectement, une sentence pour mourir dans la prison.
01:03:34C'est ce qui m'appelle important pour commettre un fracas.
01:03:38Deuxième commission, commis, prérogative, en merci,
01:03:42pas mencée, donc les gens sont correctement pas gagnés.
01:03:46Mais il paraît que beaucoup de décideurs politiques,
01:03:50beaucoup de décideurs politiques
01:03:54n'ont pas réfléchi sur ça.
01:03:58Il n'y a pas de solution, il n'y a pas de proposition pour améliorer la situation.
01:04:02La première proposition qu'il m'a offerte, c'est d'introduire le bracelet électronique.
01:04:06Quand on introduit un bracelet électronique, on peut réduire la population cancérale.
01:04:10Et ça coûte un bel logement au peuple.
01:04:14Deuxièmement, ce qui est important, c'est qu'il y a des gens qui ont des cochons,
01:04:18et si on n'a pas de cochon, ça coûte très, très, très vite.
01:04:22Et si on n'a pas de cochon, pour sauver, on risque de tirer des gens,
01:04:26on risque de tirer des gens autour de nous.
01:04:30Et là, si on blâme Ben Malistra, parce que Ben Malistra n'est pas un homme sans affaires qui peut nous sauver.
01:04:34Mais combien de gens peuvent nous sauver? Bien des milliers, bien des milliers.
01:04:38Donc, les milliers ne peuvent pas, les dix milliers ne peuvent pas nous sauver.
01:04:42Et je vais prendre ça comme une idée qui peut nous sauver.
01:04:46Ce qui est important, c'est qu'il y a une promotion pour faire plus de gens aérés.
01:04:50Quatrièmement, c'est la parole des fonctionnaires.
01:04:54Qui est démocratique, qui est accountable, et qui est dans les mains de la société civile.
01:04:58Ce n'est pas un autre appel, ça.
01:05:02Il y a des gens avec un mindset, comment dire, judiciaire.
01:05:06Il y a des gens avec un mindset de clémence.
01:05:10Mais tout ça là, nous pouvons bien nous dire, dans mon cas même,
01:05:14je pensais que les droits humains arrêtaient, comment dire, dans la propre prison.
01:05:18Mais ce n'est pas le cas. Il y a plusieurs, plusieurs cas.
01:05:22L'eau boit, l'eau est dans le cachet noir.
01:05:26On peut fonctionner une prison du 19e, 20e siècle,
01:05:30quand il y a des milliers de gens en prison.
01:05:34Quand on peut avoir un jeune qui a cinq ou dix poulias avec lui,
01:05:38il faut qu'il reste en prison. Il faut qu'il aille à l'université.
01:05:42Malgré tout ça, si le pool de jockeys,
01:05:46le pool de courtiers, le pool d'intermédiaires augmenté,
01:05:50il n'y a plus l'âge, il n'y a personne qui peut aider.
01:05:54Le problème, c'est que chaque fois que j'arrive là-bas,
01:05:56quand je trouve des enfants qui ne connaissent pas,
01:05:58il y a des enfants qui se font faire pour les réprimandes.
01:06:00Nos sociétés, au lieu de faire du monde vivre l'eau en suivi,
01:06:04elles mettent des enfants aussi en prison parce qu'ils ne sont pas enfants.
01:06:08On fait pour les gens qu'ils se suicident, qu'ils ne soient pas battus par des prisonniers,
01:06:12ou qu'ils ne soient pas battus par l'équipe de prison qui n'est pas formée pour réprimander le monde.
01:06:18Tout ça, c'est une enquête.
01:06:20Et justement, qu'est-ce qui arrive dans les cas où les gens décèdent en prison, se suicident en prison?
01:06:25C'est grâce à les Avengers.
01:06:27C'est grâce à moi, à Sanjeev, à nous.
01:06:33On est dans la même pièce.
01:06:35Ce qui nous permet, c'est qu'il y a des gens qui nous suivent.
01:06:39Il y a des gens dans la pièce devant la cour.
01:06:41Il y a des gens qui nous suivent.
01:06:44Et donc, il y a beaucoup de choses qui se passent dans la même pièce.
01:06:48Malheureusement, c'est parce que soit un avocat ne fait pas le nécessaire,
01:06:54soit le bureau de l'EPP n'a pas de rapport, parce que le bureau de l'EPP dépend de la police,
01:06:58soit la police prend une traite, c'est ce qu'on appelle,
01:07:01c'est ce qu'on appelle une règle extérieure pour compenser la vie avec l'évité,
01:07:04ça veut dire avec une légèreté.
01:07:06L'évité, sur nos traductions, légèreté, un peu faible.
01:07:09Mais, dans ce sens-là, parce que nous ne nous cassons pas la tête,
01:07:12pas nos familles, et la majorité des gens qui sont en prison,
01:07:16ce sont des gens au bas des sièges, ce sont des gens pauvres,
01:07:18qui ne peuvent pas gagner un avocat combattant ou un avocat performant,
01:07:22qui payent leur contact.
01:07:23Et dans ma rue, c'est une question de contact.
01:07:25Maître Amaval Aïden, merci beaucoup.
01:07:26C'est moi qui remercie, j'espérais que l'émission tantôt, au moins,
01:07:29servait pour ouvrir les yeux du monde. Merci.
01:07:31Très gentil.
01:07:32Bon après-midi, Maître Amaval Aïden.
01:07:33Bon après-midi à tous les invités sur le plateau.
01:07:36Alors, Maître Amaval Aïden.
01:07:37Vous connaissez Dorothée Bonnefemme.
01:07:39Une réaction, vous pensez qu'il a beaucoup d'accord avec Amaval Aïden ?
01:07:43Vraiment, il nous dit pareil.
01:07:46C'est qu'il nous peut dire, nous tous, le plateau.
01:07:49Et il y a, mon pick-up, il y a ce phénomène d'insalubrité dans nos structures.
01:07:55Sentence, une sentence sévère.
01:07:58Et je reviens à l'insalubrité.
01:08:00Et souvent, des fois, il nous donne des prisonniers,
01:08:04qui disent qu'ils ont pris une arpenaise.
01:08:07Et tout cela peut affecter l'hygiène,
01:08:09peut affecter le côté mental, la santé mentale d'un détenu.
01:08:14Et la santé mentale est primordiale.
01:08:16Parce que c'est ça aussi qui peut, possiblement,
01:08:19pousser un détenu à commettre l'irréparable, malheureusement.
01:08:23Et, ceci dit, un petit peu plus bonheur,
01:08:28aussi, sur le fait qu'il y a des Gauchos,
01:08:32qui, malheureusement, sont corrompus,
01:08:35dans toutes les professions, malheureusement.
01:08:38Mais, ceci dit, il ne faudrait pas que ça impacte
01:08:41les conditions de détention des détenus.
01:08:45Ce qui fait que s'il y a de la corruption quelque part,
01:08:48s'il y a des problèmes de gauche ou de droite,
01:08:51tout cela, parvient à expliquer le fait
01:08:54que l'humain peut vivre dans des conditions
01:08:57où il est capable d'évoluer,
01:08:59où il est capable d'être un meilleur humain
01:09:01quand il retourne dans la société de demain.
01:09:03Oui, oui, j'ai une question.
01:09:05Samad Goulamali aussi a répondu à cela la semaine dernière.
01:09:07Ramaballah Adensi a répondu à cela.
01:09:09Il a dit que souvent, il y a des cas
01:09:12où les détenus sont en prison.
01:09:14Et puis, c'est grave.
01:09:17On dirait qu'il dépend aussi de l'avocat,
01:09:19du fait qu'il y a des moyens pour un avocat
01:09:21et qu'il n'est pas capable de faire quelque chose,
01:09:24de faire quelque chose,
01:09:26et qu'il y a des familles qui ont des doutes.
01:09:28Est-ce que c'est vrai?
01:09:30Il y en a beaucoup là-dedans.
01:09:32Peut-être qu'il y a des cas
01:09:34où il n'y a pas de suicides
01:09:36et que la famille, malheureusement,
01:09:38pour l'absence de moyens,
01:09:40n'est pas capable de faire tant de travail.
01:09:42C'est comme ça,
01:09:44sauf qu'il n'est pas typé comme ça.
01:09:46Donc, si vous avez un avocat
01:09:48qui est capable de faire bouger les choses
01:09:50et qui crée des pépites,
01:09:52pose des questions dans la cour,
01:09:54quand il a l'occasion, pose des questions,
01:09:56il y a beaucoup de monde qui paye les moyens
01:09:58parce qu'il n'a pas encore été
01:10:00dans un cas d'enquête judiciaire
01:10:02et aucun avocat n'a commis d'office
01:10:04pour la famille.
01:10:06Donc, ce qu'il fait, c'est qu'il s'avocale
01:10:08et prévoque la famille.
01:10:10Soit il paye l'honoraire,
01:10:12soit il fait l'achat pro bono.
01:10:14Et ça, c'est une autre carence
01:10:16qui demande à être revue aussi.
01:10:18Quand le gouvernement
01:10:20provide un avocat pour la famille
01:10:22dans les cas
01:10:24de l'enquête judiciaire.
01:10:26L'autre affaire, brièvement,
01:10:28c'est que vous savez qu'un avocat représente
01:10:30la famille dans l'enquête judiciaire,
01:10:32il a besoin de demander à la cour
01:10:34de payer un méchant
01:10:36avant qu'ils lui posent des questions.
01:10:38Donc, c'est le bureau
01:10:40du DPP qui mène l'enquête.
01:10:42Mais le fait que l'avocat
01:10:44de la famille, il est plus proche
01:10:46avec la famille
01:10:48et souvent, nous,
01:10:50nous faisons nos propres enquêtes, malheureusement
01:10:52et ils demandent une question,
01:10:54ils demandent des méchants avant qu'ils lui posent des questions.
01:10:56Et là, je pense que
01:10:58cette infrastructure-là demande
01:11:00un petit peu plus de bonheur
01:11:02à l'institution d'un
01:11:04avocat de la famille
01:11:06pour qu'il y ait l'occasion de poser des questions.
01:11:08Qui mène la réforme ?
01:11:10Je pense qu'il y a aussi
01:11:12tout ce qu'il fait dire là.
01:11:14Donc, qui est capable de le faire ?
01:11:16Il y a des choses qu'il doit mettre,
01:11:18il y a des gens qui sont entièrement d'accord.
01:11:20Par exemple, ce bracelet électronique-là.
01:11:22Par exemple, nous avons mis
01:11:24de la quantité de personnes
01:11:26dans les remands, dans les caisses de la prison.
01:11:28Par exemple, c'est ici qu'il est capable de faire quelque chose.
01:11:30First time offender, oui, il y a une tendance
01:11:32qui s'est augmentée de la prison.
01:11:34Il y a même la prison, il ne finissait pas
01:11:36aux autres, mais il y a la cour spéciale,
01:11:38c'est même first time offender. Mais le problème,
01:11:40il y a beaucoup de first time offender qui ont des gros
01:11:42problèmes, et qui ne peuvent pas faire quelque chose de facile
01:11:44et qui ont fait de longues condamnations.
01:11:46C'est ainsi qu'on sait qu'il n'est pas capable
01:11:48de faire un travail avec eux.
01:11:50Mais malheureusement, quand on peut faire un système
01:11:52qui passe de ce côté, on peut dire qu'on rentre dans la prison,
01:11:54mais même si on rentre dans la prison,
01:11:56on peut dire qu'on rentre dans la prison récidive.
01:11:58Et malheureusement, ce n'est pas facile.
01:12:00Est-ce que c'est simple, ça ?
01:12:02On peut tous, nous n'avons pas l'équipe,
01:12:04mais nous, si faute de moyens,
01:12:06nous pouvons tous approuver 15 à 25 %.
01:12:08Malheureusement.
01:12:10C'est un problème qui peut sortir de la prison,
01:12:12qui ne nous fait qu'assuivre.
01:12:14Et vraiment, comment ils se trouvent
01:12:16chez eux, c'est jusqu'à moralité.
01:12:18Problème.
01:12:20Et déjà, il y en a qui...
01:12:22Même un gardien,
01:12:24où il y a jusqu'à moralité,
01:12:26et jusqu'à caractère, comme tu l'as dit,
01:12:28il n'est pas facile pour qu'ils aient un travail.
01:12:30Si tu regardes les autres, la famille,
01:12:32ils ont un travail, que les gens ont un travail.
01:12:34Valentien, il a déjà fait prison,
01:12:36ou bien qu'il a choisi une pièce de compagnie-là,
01:12:38il a tout cela, tout ce travail-là.
01:12:40Moi, je pense qu'il y a une autre chose,
01:12:42c'est, comment tu dis, quand les gens sortent de la prison,
01:12:44pour rentrer dans la société, une réadaptation de la société.
01:12:46Là, ici, c'est notre problème.
01:12:48Moi, je pense qu'il y a une couple à cause d'un dipin,
01:12:50qui faisait que Madame avait
01:12:52Michel à Corité, vous le savez,
01:12:54c'est un grand laguerre,
01:12:56qui fait que Mme Corité a 5,
01:12:58Michel a dû condamner 5 bonnes années,
01:13:00Michel, là, elle est sortie de la prison,
01:13:02il dit, Mme, tu dois arrêter d'acheter un dipin,
01:13:04à cause de Mme, là, tous les jours,
01:13:06à cause d'un dipin, il y a un prépare-dipin qui décolle,
01:13:08la, la, Mme,
01:13:10Michel a sorti, il y a une heure et demie, qu'il voulait acheter un dipin,
01:13:12là, Michel a amené une maison, un dipin-maison,
01:13:14mais dans la maison, après, il n'y avait plus rien,
01:13:16mais dans la prison, il n'y avait plus de maison,
01:13:185 ans, il n'y avait plus de maison, à cause d'un dipin,
01:13:20c'était un grand laguerre, et moi, je pense que c'était
01:13:22un travail extrêmement difficile.
01:13:24Mais il y a des choses aussi
01:13:26qui nous inquiétaient aussi, ce n'est pas juste
01:13:28qu'ils me disent, on pèse du monde, on rentre dans la prison.
01:13:30Deuxièmement, c'est, on pèse du monde,
01:13:32ils rentrent dans la prison aussi, ça, c'est un lutteur
01:13:34et qui la société, comme si ça
01:13:36est stigmatisation, ça tique
01:13:38les prisonniers, là, il n'y a pas pour sortir ça.
01:13:40Par exemple, il y a du monde qui prend la drogue,
01:13:42nous, nous sommes toxicomanes, nous sommes drogués,
01:13:44ce n'est pas pour sortir, mais vous avez
01:13:46montré ça à des gens, comment vivre avec lui,
01:13:48et vous avez montré la société ici,
01:13:50comment vous accepter à des gens, comment nous dire
01:13:52dans le deuxième sens ou le troisième sens,
01:13:54mais vous avez montré, mais c'est extrêmement,
01:13:56extrêmement difficile, je peux vous dire ça.
01:13:58Nous avons un moment, il y a une tentative
01:14:00à la prison, on dirait, pour
01:14:02faire davantage de réhabilitation,
01:14:04et justement,
01:14:06donc, réhabilitation,
01:14:08mais après,
01:14:10on a l'impression qu'il y a une autre tendance,
01:14:12une tendance péniche, qu'il reprend le dessus,
01:14:14peut-être, quand il y a sa tentative
01:14:16de prôner une politique
01:14:18davantage de réhabilitation,
01:14:20finir d'avoir un cas, etc., donc,
01:14:22chose in shiftée, est-ce qu'il est
01:14:24simple pour faire ? Non,
01:14:26ce n'est pas simple,
01:14:28je peux dire, vous avez donné
01:14:30à ce monde-là ce sens,
01:14:32quand on réapplique un certain métier-là,
01:14:34je veux dire, on est réaliste,
01:14:36quand on réapplique ça là,
01:14:38on peut dire, qu'est-ce que ça fait,
01:14:40personne ne va pouvoir échouer.
01:14:42Et là, l'idéal, ça, la guerre,
01:14:44la cause préjugée,
01:14:46c'est qu'on l'arrête, la cause critique,
01:14:48c'est qu'on l'arrête,
01:14:50c'est qu'on l'arrête, la colère,
01:14:52donc, il y a ça aussi,
01:14:54il faut prendre ça en considération,
01:14:56et il y a une autre chose que j'ai
01:14:58initiée,
01:15:00pour, justement, éviter
01:15:02qu'ils arrêtent la prison,
01:15:04je ne sais pas,
01:15:06c'est le community service,
01:15:08il y a un voyageur de prison,
01:15:10au contraire,
01:15:12on peut dire là,
01:15:14on travaille, on cause empathie,
01:15:16compassion, aujourd'hui, on peut causer
01:15:18AI, le robot peut faire
01:15:20le travail, le robot peut causer,
01:15:22quand on fait empathie, compassion,
01:15:24on peut causer emotional intelligence,
01:15:26bien référent sur l'émotion,
01:15:28donc, ça, c'est du monde là,
01:15:30bien qu'il est capable,
01:15:32on peut l'accepter,
01:15:34moi, par exemple, quand j'ai vu,
01:15:36j'ai dit ça, tu es passé derrière toi là,
01:15:38on fait l'analogie, on peut conduire
01:15:40un grand écran devant nous,
01:15:42un grand pare-brise,
01:15:44on a un rétroviseur là, un par ici,
01:15:46un par ici, on a dit, bon,
01:15:48tu connais,
01:15:50c'est l'autopassé, mais seulement par biais
01:15:52de l'avenir devant toi, ça,
01:15:54gros pare-brise là, devant toi,
01:15:56bien faire, famille là aussi comprend,
01:15:58dans la communauté, quand nous descendons,
01:16:00il y a des personnes qui comprennent,
01:16:02nous, personne pas âge,
01:16:04nous, comme ça, petit péché, grand péché,
01:16:06petit faute, grande faute, mais seulement,
01:16:08comment on peut dire, il y a des gens qui ont 25 ans,
01:16:10il y en a 40 ans, comme ça,
01:16:12comme ça,
01:16:14c'est-à-dire que, mais ça,
01:16:16il y a des personnes aussi,
01:16:18c'est-à-dire que,
01:16:20c'est-à-dire que,
01:16:22c'est-à-dire que,
01:16:24c'est-à-dire que,
01:16:26c'est-à-dire que,
01:16:28c'est-à-dire que,
01:16:30c'est-à-dire que,
01:16:32c'est-à-dire que,
01:16:34c'est-à-dire que,
01:16:36c'est-à-dire que,
01:16:38c'est-à-dire que,
01:16:40c'est-à-dire que,
01:16:42c'est-à-dire que,
01:16:44c'est-à-dire que,
01:16:46c'est-à-dire que,
01:16:48c'est-à-dire que,
01:16:50c'est-à-dire que,
01:16:52c'est-à-dire que,
01:16:54c'est-à-dire que,
01:16:56c'est-à-dire que,
01:16:58c'est-à-dire que,
01:17:00c'est-à-dire que,
01:17:02c'est-à-dire que,
01:17:04c'est-à-dire que,
01:17:06c'est-à-dire que,
01:17:08c'est-à-dire que,
01:17:10c'est-à-dire que,
01:17:12c'est-à-dire que,
01:17:14c'est-à-dire que,
01:17:16c'est-à-dire que,
01:17:18c'est-à-dire que,
01:17:20c'est-à-dire que,
01:17:22c'est-à-dire que,
01:17:24c'est-à-dire que,
01:17:26c'est-à-dire que,
01:17:28c'est-à-dire que,
01:17:30c'est-à-dire que,
01:17:32c'est-à-dire que,
01:17:34c'est-à-dire que,
01:17:36c'est-à-dire que,
01:17:38c'est-à-dire que,
01:17:40c'est-à-dire que,
01:17:42c'est-à-dire que,
01:17:44c'est-à-dire que,
01:17:46c'est-à-dire que,
01:17:48c'est-à-dire que,
01:17:50c'est-à-dire que,
01:17:52c'est-à-dire que,
01:17:54c'est-à-dire que,
01:17:56c'est-à-dire que,
01:17:58c'est-à-dire que,
01:18:00c'est-à-dire que,
01:18:02c'est-à-dire que,
01:18:04c'est-à-dire que,
01:18:06c'est-à-dire que,
01:18:08c'est-à-dire que,
01:18:10c'est-à-dire que,
01:18:12c'est-à-dire que,
01:18:14c'est-à-dire que,
01:18:16c'est-à-dire que,
01:18:18c'est-à-dire que,
01:18:20c'est-à-dire que,
01:18:22c'est-à-dire que,
01:18:24c'est-à-dire que,
01:18:26c'est-à-dire que,
01:18:28c'est-à-dire que,
01:18:30c'est-à-dire que,
01:18:32c'est-à-dire que,
01:18:34c'est-à-dire que,
01:18:36c'est-à-dire que,
01:18:38c'est-à-dire que,
01:18:40c'est-à-dire que,
01:18:42c'est-à-dire que,
01:18:44c'est-à-dire que,
01:18:46c'est-à-dire que,
01:18:48c'est-à-dire que,
01:18:50c'est-à-dire que,
01:18:52c'est-à-dire que,
01:18:54c'est-à-dire que,
01:18:56c'est-à-dire que,
01:18:58c'est-à-dire que,
01:19:00c'est-à-dire que,
01:19:02c'est-à-dire que,
01:19:04c'est-à-dire que,
01:19:06c'est-à-dire que,
01:19:08c'est-à-dire que,
01:19:10c'est-à-dire que,
01:19:12c'est-à-dire que,
01:19:14c'est-à-dire que,
01:19:16c'est-à-dire que,
01:19:18c'est-à-dire que,
01:19:20c'est-à-dire que,
01:19:22c'est-à-dire que,
01:19:24c'est-à-dire que,
01:19:26c'est-à-dire que,
01:19:28c'est-à-dire que,
01:19:30c'est-à-dire que,
01:19:32c'est-à-dire que,
01:19:34c'est-à-dire que,
01:19:36c'est-à-dire que,
01:19:38c'est-à-dire que,
01:19:40c'est-à-dire que,
01:19:42c'est-à-dire que,
01:19:44c'est-à-dire que,
01:19:46c'est-à-dire que,
01:19:48c'est-à-dire que,
01:19:50c'est-à-dire que,
01:19:52c'est-à-dire que,
01:19:54c'est-à-dire que,
01:19:56c'est-à-dire que,
01:19:58c'est-à-dire que,
01:20:00c'est-à-dire que,
01:20:02c'est-à-dire que,
01:20:04c'est-à-dire que,
01:20:06c'est-à-dire que,
01:20:08c'est-à-dire que,
01:20:10c'est-à-dire que,
01:20:12c'est-à-dire que,
01:20:14c'est-à-dire que,
01:20:16c'est-à-dire que,
01:20:18c'est-à-dire que,
01:20:20c'est-à-dire que,
01:20:22c'est-à-dire que,
01:20:24c'est-à-dire que,
01:20:26c'est-à-dire que,
01:20:28c'est-à-dire que,
01:20:30c'est-à-dire que,
01:20:32c'est-à-dire que,
01:20:34c'est-à-dire que,
01:20:36c'est-à-dire que,
01:20:38c'est-à-dire que,
01:20:40c'est-à-dire que,
01:20:42c'est-à-dire que,
01:20:44c'est-à-dire que,
01:20:46c'est-à-dire que,
01:20:48c'est-à-dire que,
01:20:50c'est-à-dire que,
01:20:52c'est-à-dire que,
01:20:54c'est-à-dire que,
01:20:56c'est-à-dire que,
01:20:58c'est-à-dire que,
01:21:00c'est-à-dire que,
01:21:02c'est-à-dire que,
01:21:04c'est-à-dire que,
01:21:06c'est-à-dire que,
01:21:08c'est-à-dire que,
01:21:10c'est-à-dire que,
01:21:12c'est-à-dire que,
01:21:14c'est-à-dire que,
01:21:16c'est-à-dire que,
01:21:18c'est-à-dire que,
01:21:20c'est-à-dire que,
01:21:22c'est-à-dire que,
01:21:24c'est-à-dire que,
01:21:26c'est-à-dire que,
01:21:28c'est-à-dire que,
01:21:30c'est-à-dire que,
01:21:32c'est-à-dire que,
01:21:34c'est-à-dire que,
01:21:36c'est-à-dire que,
01:21:38c'est-à-dire que,
01:21:40c'est-à-dire que,
01:21:42c'est-à-dire que,
01:21:44c'est-à-dire que,
01:21:46c'est-à-dire que,
01:21:48c'est-à-dire que,
01:21:50c'est-à-dire que,
01:21:52c'est-à-dire que,
01:21:54c'est-à-dire que,
01:21:56c'est-à-dire que,
01:21:58c'est-à-dire que,
01:22:00c'est-à-dire que,
01:22:02c'est-à-dire que,
01:22:04c'est-à-dire que,
01:22:06c'est-à-dire que,
01:22:08c'est-à-dire que,
01:22:10c'est-à-dire que,
01:22:12c'est-à-dire que,
01:22:14c'est-à-dire que,
01:22:16c'est-à-dire que,
01:22:18c'est-à-dire que,
01:22:20c'est-à-dire que,
01:22:22c'est-à-dire que,
01:22:24c'est-à-dire que,
01:22:26c'est-à-dire que,
01:22:28c'est-à-dire que,
01:22:30c'est-à-dire que,
01:22:32c'est-à-dire que,
01:22:34c'est-à-dire que,
01:22:36c'est-à-dire que,
01:22:38c'est-à-dire que,
01:22:40c'est-à-dire que,
01:22:42c'est-à-dire que,
01:22:44c'est-à-dire que,
01:22:46c'est-à-dire que,
01:22:48c'est-à-dire que,

Recommandations