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"Elle estime que même s'il y aura des moments extrêmement difficiles, elle n'a pas à se cacher et qu'elle n'a pas à avoir honte de ce qu'elle a vécu", explique Stéphane Babonneau, avocat de Gisèle P. à l'ouverture du procès des viols de Mazan, à Avignon. "Il faut que cela se sache et que la honte change de camp", ajoute-t-il.

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Transcription
00:00À travers cette ouverture de la salle d'audience au public,
00:04elle souhaite sensibiliser aussi largement que possible
00:08à ce qui lui est arrivé,
00:10afin que des faits comme ceux-là ne se reproduisent plus jamais.
00:14Et elle estime également, même si oui, il y aura des moments extrêmement difficiles,
00:19qu'elle n'a pas à se cacher, qu'elle n'a pas à avoir honte de ce qu'elle a vécu,
00:23comme parfois beaucoup de victimes d'agressions sexuelles, de viols et de faits graves
00:29le ressentent.
00:30Et c'est aussi une manière pour elle de dire qu'on peut surmonter cette épreuve,
00:34même si c'est juste le début aujourd'hui,
00:36et qu'il faut que cela se sache, et que la honte change de camp.

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