Vives tensions entre Raquel Garrido et Franz-Olivier Giesbert sur BFMTV
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00:00Non, non. À partir du moment où il y a des subventions, où on redonne de l'argent, etc., c'est un système grotesque.
00:06On sait très bien que ça ne peut pas marcher. Après, l'idée d'augmenter le SMIC à un moment donné, oui, mais ça se fait pas comme ça sur un coup de dé.
00:15— Mais votre problème, France, c'est que vous aimez la France, mais vous n'aimez pas les Français.
00:19— Ah, mais j'adore la France. Arrêtez. Non, mais c'est... — Oui. C'est ce que je viens de dire. Vous aimez la France, mais pas les Français.
00:24— Eh bien les Français, ce sont des hommes et des femmes qui, pour 33 millions... 33 millions qui sont venus voter. Ça vaut rien ? Ça ne vaut rien ?
00:33Est-ce que ça vaut quelque chose, le vote ? — Mais évidemment, j'aime les Français.
00:36— Non mais est-ce que ça vaut quelque chose, le vote des Français ? — Mais oui, bien sûr.
00:39— Bon. Alors qu'est-ce que vous en faites ? Pardonnez-moi. Pardonnez-moi. Vous pouvez...
00:43— Vous n'avez pas gagné les élections. Revenez pas là-dessus. — Non, mais je n'ai pas dit ça. D'abord, je n'ai pas dit...
00:48— À force de répéter des mensonges, vous voulez faire croire que ce sont des vérités.
00:52— Vous, surtout, vous voulez faire croire que j'ai prononcé la phrase « on a gagné » alors que je ne l'ai pas prononcée.
00:57Donc bon, vous répondez à quelque chose que... — Tout le monde l'a dit. Tout le monde l'a dit dans votre camp ou dans votre ex-camp.
01:02— Ce n'est pas le fond de ma thèse.