• il y a 3 mois
La famille "gendarmerie" est dévastée après la mort dans l’exercice de ses fonctions de l’adjudant Eric Comyn, affecté depuis 2007 au peloton motorisé de Mandelieu. Il a été percuté et tué, lundi soir, par un individu qui a refusé d’obtempérer à un contrôle routier à Mougins.

Âgé de 54 ans, l’adjudant Comyn, gendarme du peloton motorisé de Mandelieu depuis 2007, est décédé sur place. Il laisse une femme, deux enfants de 12 et 16 ans... et des collègues inconsolables.

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Transcription
00:00qui était hérite commun, le gendarme tué à Mougins après un refus d'autant pérer.
00:03L'adjudant de gendarmerie était un homme profondément engagé.
00:06Âgé de 54 ans, il avait consacré plus de 30 ans de sa vie au service de la gendarmerie française.
00:10Marié et père de deux enfants de 12 et 16 ans,
00:13l'adjudant était connu pour son intégrité, sa rigueur et son dévouement.
00:16Depuis 2007, il faisait partie du peloton motorisé de Mandelieu-Lanapoule.
00:20Ses collègues parlent de lui comme un homme juste, un camarade précieux et un père aimant.
00:24En 2016, son travail avait été reconnu par une prime pour ses efforts dans la lutte contre l'immigration clandestine.
00:29Suite à sa disparition, les hommages se sont multipliés.
00:31Le maire de Mandelieu-Lanapoule, Sébastien Leroy, a décidé de mettre les drapeaux de la ville en berne,
00:36déclarant « notre ville a perdu l'un des siens ».
00:38Plusieurs hommages publics ont été rendus ce mercredi 28 août pour honorer la mémoire de l'adjudant commun.

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