• il y a 4 mois

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00:00Un démembrement, je suis l'auxiliaire de l'administration à Nouno,
00:05dont le ministre connaît plus nous,
00:08ne peut pas quand même faire le bonheur de Nouno,
00:12sans mon consentement.
00:14C'est des choses qui ne peuvent pas passer.
00:16C'est pour ça que j'ai interpellé.
00:18Vous dites à tout le monde qu'il aime Nouno,
00:20il aime Nouno et moi c'est l'appartement qu'il me plaît.
00:22Il aime tellement Nouno, il veut tellement qu'il ne me perde Nouno,
00:24il veut me mettre à l'aise.
00:26Mais moi je ne le demande pas à tout.
00:28A Nouno, il est toujours chargé.
00:30Avec toutes les différences.
00:32Il n'a pas ça d'Etat.
00:34Nous au moins,
00:36toujours je dis, on a la communauté,
00:38on a la communauté internationale sur le terrain.
00:41La communauté internationale c'est qui ?
00:43C'est l'Etat auxiliaire de l'administration.
00:45Elles sont sur le terrain.
00:47Et puis on m'a dit que,
00:49je suis enclavé,
00:51le Président de la République,
00:53le Président de l'Assemblée nationale,
00:55il est sur ma terre,
00:58donc on m'a dit que j'étais enclavé.
01:01Tous les ministres,
01:03ils sont à Nouno.
01:05Ils sont sur ma terre,
01:07il n'y a pas quelqu'un qui les voit sur ma terre.
01:09Ils sont à Nouno.
01:11Même quand il est pour nous,
01:13il est à Nouno.
01:15Libéra, Bebeliza,
01:17Gofcadra, c'est à Nouno.
01:23Après tout ce que Nouno a fait pour lui,
01:25c'est là qu'il voit que Nouno
01:27a trop de précaires.
01:29Donc il faut qu'on suive la politique.
01:31Moi je l'ai dit.
01:33D'abord,
01:35jamais n'allez pas voir un film.
01:37Le ministre gouverneur était clair.
01:39Il dit,
01:41le dégâpissement
01:43n'est pas du fait
01:45de décider
01:47d'un bien.
01:49Que le dimanche,
01:51lors du débat
01:53si NCI,
01:55est-ce que le décide
01:57d'Akame est énorme.
01:59Voilà ce qu'il m'a dit.
02:01Il dit, j'ai vu.
02:03La maison était en temps de balle.
02:05En face, des choses qu'on appelle
02:07le sapin pompier,
02:09c'est lui qui a été guépi.
02:11Pourquoi ? C'est le sapin pompier
02:13qui l'a saisi.
02:15Parce qu'ils ont constaté que c'était maintenant
02:17un nid de choses
02:19qu'on appelle de drogue,
02:21c'est devenu maintenant
02:23un coin de grand banditisme.
02:25Donc lui, il allait être guépi.
02:27Mais en même temps, avant d'être guépi,
02:29il a informé la chefferie.
02:31Mais, il a informé la chefferie
02:33qui dit, en même temps qu'elle a fini d'être guépi,
02:35le site appartient
02:37au village d'Akame.
02:39Pas le coin
02:41qu'on appelle le district.
02:43Lui, il a été guépi parce que le coin
02:45est devenu un coin
02:47à grand banditisme.
02:49Donc voilà comment lui, il a été guépi.
02:51Mais dit comme ça que non, il a été guépi
02:53pour qu'il récupère le site ?
02:55Non.
02:57Ça,
02:59c'est ce qu'il lui a expliqué.
03:01Bref, à l'appui,
03:03il a signé la date de convoi
03:05pour protocoles non respectés.
03:07Il ne respecte pas les protocoles.
03:09Moi, il y a un protocole qui me dit
03:11à la date de convoi de 1970,
03:13il répète encore, depuis 1970,
03:15il y a le ministre
03:17de la construction,
03:19Thierry Lébé,
03:21qui représente l'état de convoi.
03:23Et puis, notre ancien chef du village.
03:25Voilà, il a signé
03:27un protocole clair
03:29qui dit à nous, tout ce que vous nous donniez,
03:31tout ce que vous nous donniez,
03:33c'est-à-dire, toutes fautées,
03:35nous, on va vous restituer sept fois.
03:37Jusqu'à là, il y a tant de jours,
03:39ça n'a pas été respecté.
03:41Il a dit ça parce que vous avez vos confrères.
03:43Il y a des gens qui ont fait plein, plein, plein
03:45de sorties qui disent comme ça que
03:47depuis au fouet poignet,
03:49tous les villages d'habitants
03:51ont été mis en malaise.
03:53Chaque gouvernement vient.
03:55Quand un village s'est plein,
03:57on l'indemnise. Mais moi, je ne l'ai pas encore eu.
03:59C'est pour ça que j'ai dit qu'il avait signé
04:01l'état de convoi en justice.
04:03Peut-être que les autres ont eu cette indemnisation.
04:05Les autres ont été dommagés.
04:07Mais moi, je n'ai pas été dommagé.
04:09Donc voilà pourquoi il a signé l'état de convoi
04:11en justice.
04:13Ça, il n'y a pas de nono.
04:15Voilà. On a pris son plateau.
04:17Jusqu'à Palmyra, quand vous voyez
04:19une chose, 7ème tranche,
04:218ème tranche, c'est un nono.
04:23Anglais, 7ème tranche,
04:258ème tranche, c'est NPS.
04:27Nous, on fait les limites.
04:29Vous prenez le côté
04:31chute d'Anglais jusqu'en Ducoupité.
04:33Même tout Ducoupité, c'est un nono.
04:35C'est pas la chose.
04:37Tout le monde le sait.
04:39Donc je me dis, comme on n'a pas respecté,
04:41on n'a pas respecté tous ces engagements-là.
04:43Donc franchement, peut-être qu'à la justice,
04:45tout peut être clarifié.
04:47On ne sait jamais. Peut-être qu'ils ont les éléments.
04:49Au moins, il n'y en a pas. Donc c'est là-bas qu'on parle.
04:51Ça, ils vont faire sortir. C'est argument contre argument.
04:53Je disais
04:55à quelqu'un,
04:57je dis aujourd'hui,
04:59nos
05:01lutteurs,
05:03ils m'ont dit,
05:05les autorités ont du mal à nous maîtriser
05:07parce qu'on n'est plus les chefs.
05:09Ils ont du mal à nous maîtriser.
05:11C'est l'argument contre l'argument.
05:13Il y a un ministre,
05:15même l'université,
05:17je me suis dit ça.
05:19Même dans tout l'Angleterre, je me suis dit ça.
05:21Il n'y a pas vrai. Il n'y a pas vrai.
05:23C'est l'argument contre l'argument.
05:25C'est le débat intellectuel. Il n'y a pas vrai.
05:27Il n'y a pas. C'est fini, ça.
05:29C'est un peu le dossier de
05:31l'ADU.
05:33Je reviens en deux secondes là-dessus.
05:35Le ministre de l'Économie et
05:37son équipe,
05:39ils essayent d'aller au bureau, de prendre des décisions.
05:41Et puis, ils veulent
05:43nous, des choses que l'on appelle ça,
05:45nous, messieurs, les fêtes accomplies.
05:47Il dit bon, ok.
05:49Moi, j'ai dit, on était vieux.
05:51Il a dit, il devait réformer
05:53les attestations. Il devait réformer d'abord le ministère de la Construction.
05:57Il y a les assurances qui sont signées
05:59au cabinet direct du ministre.
06:01Il n'y a jamais eu de complice. Il n'y a jamais eu de choses
06:03que l'on appelle ça, des attestations villageoises.
06:05Alors lui, il me dit que nos attestations villageoises
06:07sont la source de complice.
06:09Pourquoi ?
06:11C'est à nous. Pourquoi ? Forcément, il faut que nous
06:13entendons cette responsabilité.
06:15Le ministre de la Construction, on l'a connu,
06:17lui-même, il ne peut même pas annuler sa propre signature qui est à la CD.
06:19Mais pourtant, aujourd'hui, quand vous parlez au Conseil d'État,
06:21il y a des moindres annulations à la CD.
06:23Mais tu ne peux pas.
06:25Vous parlez même des choses du 5e cabinet,
06:27au tribunal, mon chef, tout ça là.
06:29Quand vous arrivez là-bas,
06:31c'est un problème terrible, terrible, terrible.
06:33Quand vous arrivez là-bas, c'est un problème terrible, terrible, terrible.
06:35Quand vous arrivez là-bas, c'est un problème terrible, terrible, terrible.
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