• l’année dernière
Vanguelis Panayotis (MKG Consulting), spécialiste du tourisme, était en direct dans Première Édition ce jeudi.

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Transcription
00:00Oui, ce qu'on voit, c'est qu'on a des indicateurs avancés, notamment sur le mois d'août, qui sont plutôt bons aujourd'hui.
00:07On fera quelque chose de comparable à l'année précédente, qui était une très bonne année.
00:11Je pense qu'il y a du contraste dans les professionnels.
00:13Vous avez deux vitesses, si on parle de Paris notamment.
00:16Vous avez effectivement les hôteliers pour qui c'était mou pour l'instant,
00:19mais qui ensuite, avec la cérémonie d'ouverture et les deux semaines de JO, vont être quasiment complets,
00:25à part quelques rares exceptions.
00:27A l'inverse, vous avez des professionnels de type restaurateur pour qui on attend le bilan,
00:32mais on a un petit peu peur que finalement, les rotomboubés soient assez loin de ce qui était espéré.
00:36Mais est-ce que ce n'est pas finalement l'année prochaine que la France va faire le plein,
00:39avec la publicité incroyable que vont donner les JO à notre pays et à Paris notamment ?
00:43Tout à fait, vous avez raison.
00:45On a observé ce phénomène sur Londres, qui avait pris les JO en 2012.
00:49Au début, on a des clientèles nouvelles qui viennent pour l'effervescence des JO olympiques,
00:54et puis celles qui sont plus traditionnelles, qui ont moins envie peut-être de vivre cet événement-là.
00:59On a, l'année suivante, le retour de ces deux clientèles-là,
01:02plus l'effet d'avoir eu Paris en Mondiovision.
01:05Je crois que, parce que c'est toujours bien de se comparer,
01:08je pense qu'on va avoir des images exceptionnelles,
01:11avec des épreuves sur le pont Alexandre III, sous la tour Eiffel, au Trocadéro.
01:16À mon avis, en termes de visuel d'image, on va probablement avoir les jeux les plus impactants.
01:21On imagine qu'au niveau du tourisme, ça aura un effet sur deux ou trois ans par la suite.

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