[#Journal ] Le 19H30 du 19 juillet 2024

  • il y a 3 mois
[#Journal ] Le 19H30 du 19 juillet 2024


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00:00Nous sommes le vendredi 19 juillet 2024. Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,
00:19bonsoir à tous et bienvenue dans le 19h30 de Gabon Media Time. Dans l'actualité,
00:24le président de la transition poursuit sa tournée républicaine dans le Haut-Tougoué avec la clé
00:30des promesses d'un développement local à l'instar de l'étape de Bakumba dans le département de
00:36l'Écoco. Alors que le pays est en quête de financement pour relancer la croissance et lutter
00:41contre le chômage, l'État continue de dépenser des milliards en primes et autres avantages aux
00:47agents publics et ce alors même que la dette publique se trouve dans des proportions inquiétantes.
00:52Nous débutons ce journal. Le département de l'Écoco, longtemps oublié par les pouvoirs
00:58publics, a reçu la visite du chef de l'État lequel s'est engagé à lutter contre l'immigration
01:04clandestine qui touche particulièrement cette localité mais aussi à améliorer les conditions
01:09d'apprentissage des élèves. Suivons cet élément. Lors de sa tournée républicaine, le président de
01:15la transition s'est rendu dans le département de l'Écoco, constatant d'innombrables dysfonctionnements
01:21qui empêchent cette localité de répondre à l'exigence de développement. Le général de
01:25brigade Brice Clotaire Oligingema a décidé de réduire l'immigration clandestine et augmenter
01:31la capacité d'accueil du lycée Zachary Maïka. L'étape du Haut-Auguay semble occuper une place
01:37singulière dans l'agenda du président de la transition. Parcourant tous les départements
01:42que compte cette province, le général de brigade Brice Clotaire Oligingema a tenu à
01:47dresser le diagnostic au cas par cas. Si Franceville a bénéficié d'un financement de 7 milliards de
01:53francs CFA pour les projets prioritaires, Bakumba n'est pas en reste avec un plan d'action clair.
01:58C'est l'espoir de nouveau caressé par les populations qui y vivent après la sortie du
02:04chef de l'État sur leur terre. Devant une foule en furie, le général de brigade Brice Clotaire
02:10Oligingema a tout d'abord rendu un hommage à tous les grands noms de cette localité décédée ou
02:16vivant. Sur ces entrefaites, le président de la transition a souligné que l'ambition du CTRI est
02:22d'offrir de nouvelles perspectives de développement au département de l'Écoco. Par ailleurs, faisant
02:28l'état des lieux de cette localité érigée en passerelle pour les migrants, le patron du comité
02:33pour la transition et la restauration des institutions a insisté sur la nécessité de
02:38renforcer nos positions afin de réduire l'immigration clandestine, pour y parvenir la sécurité à la
02:45frontière de l'Écoco sera bientôt optimisé. Autre sujet urgent, l'éducation. Le général de
02:52brigade Brice Clotaire Oligingema a d'ailleurs annoncé l'augmentation de la capacité d'accueil
02:57du lycée Zachary Maïka, ainsi que la construction d'une salle multimédia.
03:01La grève qui secoue depuis quelques jours, le ministère des Transports, de la Marine
03:09Marchande et de la Mer n'est pas prête de connaître son épilogue, malgré la rencontre
03:14ce 18 juillet entre le ministre de tutelle, le capitaine de vaisseau Loïc Ndingamuduma et
03:20l'intersyndicale Les Partenaires Sociaux ont décidé de poursuivre leur mouvement. Les discussions
03:26ayant buté sur la question des primes. Iris Obanga nous fait le point. La grève qui paralyse le
03:31ministère des Transports, de la Marine Marchande et de la Mer depuis mardi a donné lieu ce 18 juillet
03:37à un face-à-face entre le ministre de tutelle, le capitaine de vaisseau Loïc Ndingamuduma et
03:44l'intersyndicale conduite par Eugenie Maramba. Objectif de ce rendez-vous, élaguer les grèves
03:50pouvant être rapidement évacuées, puis définir un cadre de discussion afin de traiter en profondeur
03:56tous les points inscrits au cahier de charge. Plus de 7 heures durant, le syndicat du transport
04:00terrestre, de la Marine Marchande, de la Météo, de Sougetra, de l'ESSECNA et autres entités
04:05impliquées dans le mouvement social qui paralyse cette administration ont échangé à bâton rompu
04:11avec le ministre de tutelle. Un face-à-face qui a permis un certain nombre de clarifications
04:16face à certaines incompréhensions. Nous avons dit oui, nous voulons l'harmonisation, mais que
04:23cette harmonisation soit soutenable. Aujourd'hui, nous sommes au 18 juillet, il y a eu un appel de fond.
04:32Jusqu'aujourd'hui, cet appel de fond n'est pas répondu. Quand on fait l'appel de fond, vous comprenez
04:38tout ça ? Quand on fait l'appel de fond, les prix de rendement, est-ce que c'est bon ? Vous m'avez
04:47déjà vu un jour faire l'appel de fond. Est-ce que j'ai été même aux commissions avec vous ? Est-ce
04:56que ça se fait avec les gens, les représentants de la DGTT et du permis de conduire ? Quand vous
05:01faites la commission, vous voyez combien on va prélever, combien vous allez prélever. Tout le monde non ?
05:06La commission que vous faites souvent, ce n'est pas tout le monde. Pas là où tu vois,
05:11les médias sont là, pas là où tu vois. Est-ce que je suis souvent là ? Vous avez entendu ?
05:19Interpellé par un représentant de la Direction Générale de la Météo au sujet d'une subvention
05:24allouée, Loïc Ndiga Mondouma s'est voulu clair. En janvier 2024, les 100 millions ont été payés.
05:32Écoutez-moi, les 100 millions ont été payés. Mais ce que vous ne saviez pas, monsieur, c'est
05:39pourquoi l'ignorance est dangereuse. Cet argent-là était prévu pour la formation des Gabonais,
05:47pour les jeunes qui doivent repartir dans les écoles aéronautiques. Mais nos prédécesseurs
05:51ont détourné la norme. Ils mangeaient cet argent. C'est ça le problème. Mais quand l'argent est
05:58venu, quand on m'a dit qu'on va vous envoyer ceux qui vont au cabinet, j'ai demandé à quoi sert
06:04l'argent. On m'a dit que c'est pour la formation. Alors les 100 millions, on a demandé à la SECNA
06:12de ne pas nous envoyer sur le Gabon, mais d'envoyer ça à l'EAMAC, l'École Africaine Mauritienne
06:19d'Aéronautique Civile. Et je pense que c'est à ce titre-là que cette année, vous avez des petits
06:27clopates en formation. Si le ministre s'est dit sensible à la demande des agents de la météo de
06:31se former, il les a toutefois invités à se rapprocher de la SECNA afin de définir ensemble
06:37les mécanismes d'une meilleure affectation de cet argent. Sept heures durant, le manque du
06:41gouvernement et les syndicats ont passé en revue les questions de tous les services sous sa tutelle
06:45et qui sont impliqués dans le mouvement de grève. Ainsi, de la marine marchande au transport terrestre
06:50en passant par la SECNA ou encore la SOGATRA, c'est sans langue de bois que Loïc Ndiga Mdouma
06:56a apporté des réponses aux problèmes posés au sujet de SOGATRA si le manque du gouvernement a
07:01reconnu une dette de 214 millions de francs CFA consécutifs au septième mois, qui ne concernerait
07:06qu'une partie des effectifs de l'entreprise et pour laquelle il a instruit son cabinet d'intégrer
07:11dans la mesure du possible les paiements au salaire du mois en cours. Il a toutefois indiqué
07:17qu'au regard de la complexité du cas SOGATRA, qui a fait l'objet par le régime déchu d'une
07:22dissolution en 2021, un investissement important est nécessaire pour le renouvellement de la flotte,
07:28lequel investissement nécessite que les primes Covid prennent fin, étant donné qu'elles ne
07:32sont d'ailleurs régies par aucun texte existant. Au bout de plusieurs heures de discussion,
07:37les parties n'ont pas pu tomber d'accord sur un chronogramme de travail visant à mettre à
07:41plat toutes les questions de fond, notamment celles liées à l'harmonisation des textes,
07:46à l'unicité du compte de versement des recettes liées aux activités des différentes directions,
07:50entre autres. En effet, l'intersyndical souhaitait obtenir certaines garanties au
07:55sujet du versement de certaines primes, en attente faute de quoi la grève se poursuivrait,
08:00une doléance à laquelle Loïc Ndinga Moudouman ne pouvait accéder puisque, selon lui,
08:04le nécessaire a déjà été fait depuis le 6 juin par ses services auprès du Trésor public.
08:09Nous vous le disons en titre, alors que le pays vit au rythme des arbitrages entre dépenses
08:18de fonctionnement et paiement de la dette qui dépasse désormais le cap des 70% du PIB.
08:24Le train de vie de l'État continue d'être dispendieux, c'est notamment le cas avec le
08:28versement des primes aux agents de l'État qui coûte chaque année aux contribuables pas moins
08:33de 20 milliards de francs CFA des dépenses qui compromettent toute marge de manœuvre en ce qui
08:38concerne l'investissement, suivant cette analyse. C'est en fait à prendre en compte le gouvernement
08:44de transition qui devrait être en place jusqu'en août 2025 doit faire face à d'importants défis
08:49économiques et infrastructurels, en plus d'attentes sociales très élevées du fait du changement de
08:55régime. Mais l'espace budgétaire est à la fois très limité et de plus en plus restreint à mesure
09:01que les revenus pétroliers diminuent. Le FMI a d'ailleurs, dans sa note d'analyse publiée en
09:06mai dernier, invité les autorités à faire preuve d'un certain pragmatisme dans la dépense en vue
09:12de l'optimiser. Mais les vieilles habitudes ont la vie dure. Des questions comme celles des primes
09:17aux agents publics, par exemple, aubergent toujours autant la capacité d'investissement du pays,
09:22pourtant crucial pour le sortir de son marasme économique. Risques liés à la croissance
09:28économique, aux écarts de prévision sur les principales ressources naturelles, y compris le
09:32pétrole. Risques liés à la fluctuation des indicateurs du secteur pétrolier et du taux
09:38de change. Risques liés à l'évolution des taux d'intérêt ou encore au refinancement de la dette.
09:44La situation économique du pays n'est guère élusante, malgré les assurances des autorités
09:50de la transition qui doivent composer avec les attentes refoulées des populations qui
09:54s'expriment désormais et la nécessité d'investir dans les secteurs et infrastructures prioritaires.
10:00Outre ces aspects, les autorités de la transition doivent également composer avec les intersyndicats
10:07de l'administration publique qui tiennent mordicus à leurs primes. En effet, à l'image du ministère
10:12des Transports qui peine à obtenir l'assentiment des agents organisés autour du SINA, des GTT,
10:19du SINAM ou du SINATOTEC, c'est tout le gouvernement qui se heurte à cette question des primes.
10:26Il faut dire que celles-ci représentent une grosse vingtaine de milliards de francs SIFA par an et
10:31qui ont un impact significatif sur la capacité d'investissement dans le pays,
10:36tant elles exercent des pressions diverses sur les finances publiques. Augmentant la masse salariale,
10:42ces primes, souvent obtenues indûment par des agents au regard de l'inefficacité pointée du
10:48doigt par différents organismes, compriment le budget disponible pour les investissements
10:53publics nécessaires au développement économique. Alors que l'éthique dont l'administration publique
10:59devrait guider l'action des agents, ces derniers semblent bien plus attirés par ces primes que sur
11:04les principes et les valeurs censées guider le comportement des fonctionnaires et des agents
11:09gouvernementaux. Une situation entraînant une distorsion en incitant les individus à chercher
11:15des emplois dans le secteur public plutôt que de créer ou de soutenir des entreprises privées qui
11:20sont cruciales pour une économie diversifiée et dynamique. Toute chose qui entretient la
11:25dépendance aux diverses rentes pétrolières, minières et agricoles, avec des effets notables
11:31et perceptibles sur la compétitivité puisque ces primes rendent les coups de main d'œuvre dans le
11:36secteur public non compétitif par rapport au secteur privé, ce qui a tendance à décourager
11:42les investisseurs privés et entretenir une corruption en éthique à l'heure de la restauration
11:47des institutions, de la nécessité de les faire muter vers la culture du sacrifice et du travail
11:52bien fait. Bon nombre d'agents restent sclérosés dans les habitudes qu'avait entretenue le régime
11:58déchu et que semble vouloir perpétuer le régime actuel, alors même que l'heure est à des réformes
12:05ambitieuses. Dans la suite de ce journal, dans son baromètre économique dédié à la communauté
12:12économique et monétaire de l'Afrique centrale paru en mai dernier, la Banque mondiale alerte sur les
12:18risques de dépenses sociales mal ciblées qui pourraient potentiellement accroître le déficit
12:23public sur la période 2024-2026. Esther Kengue nous en dit plus. En présentant les évolutions de
12:30la note de crédit du Gabon le 14 juin dernier, l'agence de notation américaine Moody's mettait
12:36en exergue la volonté des autorités de la transition à oeuvrer en faveur des populations
12:41d'une part et le fait que le gouvernement de transition cherchait à répondre aux demandes
12:46refoulées en matière sociale et d'investissement et aux attentes populaires. Ce deuxième aspect a
12:52été repris par la Banque mondiale qui estime dans son baromètre économique de la CEMAC que les
12:58attentes du public à l'égard de la transition renforcent les pressions sur les dépenses
13:03sociales. Effectuées à bon escient, les dépenses sociales peuvent avoir plusieurs impacts sur une
13:08économie. Les différents programmes de sécurité sociale, les subventions pour l'éducation ou la
13:13santé peuvent permettre d'augmenter le pouvoir d'achat des ménages et par ricochet stimuler la
13:19consommation intérieure et donc soutenir la croissance économique. Dans le cas du Gabon,
13:25par contre, elles se révèlent la plupart du temps mal ciblées. Toujours orientées en direction des
13:30plus nantis à l'image des subventions ou carburants, elles ont pour effet de renforcer
13:35les pressions sur les dépenses budgétaires. Partant de ce constat dans son baromètre économique dédié
13:41à la communauté économique et monétaire de l'Afrique centrale, publié en mai dernier,
13:45la Banque mondiale a implicitement tiré la sonnette d'alarme concernant de potentielles
13:50pressions sur les dépenses publiques. Pour l'institution, qui vient par ailleurs de réaffirmer
13:55son soutien à l'endroit des autorités de la transition, l'augmentation des mesures d'aide
14:00sociale devrait exacerber les pressions sur les dépenses publiques et ce qui se traduirait par des
14:07déficits budgétaires sur la période 2024-2026. On puisse l'être aligné sur l'analyse de Moody's
14:13qui, dans sa révision de la note de crédit du pays le 14 juin dernier, soulignait le fait que
14:18le gouvernement de transition cherchait à répondre aux demandes refoulées en matière sociale et
14:23d'investissement et aux attentes populaires, avec des dépenses extra-budgétaires incontrôlées,
14:28à l'image des 7 milliards de francs CFA par province décaissés jusque-là. Ce passage au
14:34crible de la BM est d'autant plus intéressant que cette volonté des autorités de répondre
14:39aux attentes du public sans tenir compte de la baisse de production et des cours de pétrole
14:44qui devraient affecter les recettes budgétaires. Si l'on y ajoute la hausse de la masse salariale
14:49sous fond de populisme qui était loin d'être nécessaire, pour ne dire inutile, au regard de
14:55la faible qualité des services fournis par notre administration, le développement de grands projets
15:00d'infrastructures dont le montant prévu est de l'ordre de 3 696 milliards de francs CFA sur la
15:07période 2024-2026. Cette stratégie des autorités qui consiste à distribuer de manière incontrôlée
15:14les déniers publics pourrait s'avérer désastreuse. D'autant plus que le niveau d'endettement demeure
15:20inquiétant. Le Gabon occupe la 10e place mondiale en matière de développement des infrastructures
15:29et des progrès technologiques sur 170 pays recensés. C'est ce que révèle le rapport
15:34intitulé « Measuring Digital Development, ITC Development Index », en regard. C'est ce que
15:40révèle le rapport intitulé « Measuring Digital Development, ITC Development Index », cette étude
15:47qui évalue les progrès réalisés en matière de technologie de l'information et de la communication
15:52dans 170 pays à travers le monde. Indique qu'en 2023, le Gabon se classe à la 10e position sur
16:00le continent avec un score de 74,7, juste derrière l'Égypte qui compte 76,8 points.
16:08Le pays confirme son avancée considérable dans ce domaine particulièrement stratégique.
16:14L'indice de développement des technologies de l'information et de la communication est un
16:19indice composiste qui mesure le niveau de développement des infrastructures et des
16:25usages liés aux technologies de l'information et de la communication dans différents pays.
16:30Cet indice prend en compte des facteurs tels que l'accès à l'Internet, l'utilisation des
16:36technologies mobiles, la disponibilité des services TIC ainsi que les compétences numériques de la
16:42population. A cet effet, les pays et les territoires étudiés sont notés sur une échelle allant de
16:49zéro à 100 points pour chaque indicateur. En effet, les scores des indicateurs sont combinés
16:55avec le même degré d'importance pour dégager un score global relatif à chaque nation qui lui
17:01aussi va de zéro à 100 points. Ces données permettent de comparer la progression et l'adoption
17:07des technologies numériques à travers le monde et sont utiles pour évaluer les écarts numériques
17:12entre les pays développés et en voie de développement. Ainsi, le rapport de cette année
17:17révèle que le Gabon figure dans le top 10 africain. Notre pays se situe à la 10e place dans le
17:24classement avec 74,7 points, un rebond par rapport à 2021. Le rapport souligne également que les
17:31scores des 47 pays africains étudiés ont progressé par rapport à 2023. Dans le top africain, la Libye
17:38est en tête des scores sur le continent africain avec un score de 88,1 points, passant au 5e rang,
17:46au premier rang grâce notamment à une forte hausse de la pénétration de la téléphonie mobile et
17:52d'internet. Le Maroc occupe la deuxième marche du podium avec un score de 86,8 points devant les
17:59Seychelles. Maurice, l'Afrique du Sud, l'Algérie, le Botswana, la Tunisie, l'Egypte et le Gabon
18:06ferment le top 10 africain avec un score de 74,7 points. Le chiffre du jour est 56,9 milliards de
18:18francs CFA. C'est le chiffre d'affaires généré par des entreprises exerçant dans diverses prestations,
18:24notamment les maisons funéraires, les services médicaux, l'auto-école, les jeux et loisirs, les
18:30photographies et autres, les services en particulier en 2023. La source n'est autre que le tableau de
18:36bord du ministère de l'économie et des participations et le verbatim. Mes frères et sœurs
18:41artistes, prenez-vous au sérieux et respectez votre art. Ne jouez pas avec, vous êtes capables de
18:47grandes choses et vous êtes des leaders d'opinion. Respectez-vous et surtout votre art. L'auteur de
18:52ce verbatim est Vicky Eyre, une artiste et la source n'est aucun. Poste fait sur Facebook ce 19
18:58juillet 2024. C'est ainsi que se referme cette principale édition d'informations. Merci pour
19:02votre attention et votre fidélité qui nous honore. N'oubliez pas les gestes simples, likez,
19:07commentez, partagez. Bonne soirée à vous et bon début de week-end.
19:17Retrouvez GMT TV sur vos différents réseaux sociaux.

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