Louis Boyard (LFI): "Il y a toujours des discussions" en réponse à Marine Tondelier sur la présidence de l'Assemblée
Emmanuel Macron a accepté la démission du gouvernement de Gabriel Attal. Alors que la question du futur locataire de Matignon est en suspens, tous les partis du NFP se sont "mis d'accord" sur le principe d'une candidature unique pour la présidence de l'Assemblée nationale.
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00:00Déjà, premièrement, elle a dit qu'il n'y avait plus de table des négociations, c'est faux.
00:03Il y a eu une table des négociations au sujet du perchoir.
00:05Vous discutez toujours ?
00:06Heureusement qu'on discute toujours parce qu'Emmanuel Macron a posé une date, le 18,
00:12dans laquelle il va y avoir l'élection de la présidence de l'Assemblée nationale.
00:14Il explique que c'est les rapports de force dans cette élection
00:17qui fixeront le Premier ministre qu'il va nommer.
00:19Je vous reconnais qu'il y a un problème.
00:20Premièrement, l'avis d'Emmanuel Macron dans cette situation,
00:23alors qu'il a été mis en minorité à deux reprises,
00:26il nous intéresse assez peu.
00:27Surtout, ce ne sont pas les rapports de force de la présidence de l'Assemblée nationale
00:31qui doivent définir quelle est la politique qu'on va prendre pour pouvoir gouverner le pays.
00:34Déjà, je dis à Marine Tendelier, il y a des discussions qui ont actuellement lieu,
00:38et elle le sait, et elle se pose sur la question du perchoir de l'Assemblée nationale.
00:42Justement, c'est ensemble et où ? Parce que c'est demain le vote à l'Assemblée.
00:45Quels sont les noms ? Qu'est-ce que vous proposez ?
00:47Vous avez déjà un accord de toutes les forces politiques
00:49pour dire qu'il faut une candidature unique,
00:51et vous avez les discussions qui vont continuer aujourd'hui.
00:53Et vous avez un nom ?
00:55Vous avez les discussions qui continuent.
00:57Et à 9h30, à 9h30...