• il y a 5 mois
 «Beaucoup de gens ont un cas de conscience au deuxième tour», selon André Vallini. L'ancien ministre milite pour un scrutin proportionnel pour éviter que les électeurs soient privés d'une certaine liberté démocratique face au jeu des désistements durant les élections législatives.

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Transcription
00:00parce qu'un électeur macroniste par exemple, qui est contraint au deuxième tour de voter soit RN, soit LFI,
00:06il trouve qu'on lui a enlevé une partie de sa liberté démocratique,
00:10alors que la proportionnelle permet au contraire de pouvoir voter pour le parti de son choix à un tour,
00:16et ensuite les partis comme en Allemagne ou en Italie se mettent d'accord au grand jour sur une coalition de gouvernement,
00:21mais après avoir chacun pris des voix à la proportionnelle, clairement.
00:26Là, l'électeur de gauche par exemple, qui doit choisir aujourd'hui entre un macroniste et un RN, il est très embêté aussi.
00:34Il y a beaucoup de gens qui ont des cas de conscience au deuxième tour, parce qu'on leur a enlevé le parti de leur choix.

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