Retrouvez le replay de la première partie de l'Équipe de Greg du 20/06/2024.
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00:00C'est l'équipe de Greg, attention débrief d'un match extraordinaire, un rebondissement,
00:27qui est encore en vie, Alissia Noby est avec nous, salut Benoît, très bien, en grande
00:32forme.
00:33Attention, je rappelle parce qu'on va avoir Antoine Griezmann qui va arriver aussi, on
00:35a beaucoup de choses, on va parler de l'équipe de France dans quelques instants et on parlera
00:39d'un Ludovic Aubragnac qui a joué avec le nez cassé, un témoignage exclusif dans
00:44l'équipe de Greg dans quelques instants, Ludo a joué avec le nez cassé.
00:47Avec tout, clavicule cassé, nez cassé, genou cassé, on peut jouer, et pied en bois.
00:52Donc Kylian ne va pas nous faire croire qu'il ne peut pas jouer.
00:56D'accord, bon, les nouvelles rassurantes de Ludo Aubragnac qui nous donne des rendez-vous.
01:02Il y a un biopic inspiré de sa vie qui s'appelle Rambo, il se recoue comme ça dans une droite
01:07nœud, c'est impressionnant.
01:08Charlotte, vous n'avez jamais le nez cassé ? Non, mais je pense que c'était une héraflure.
01:11Le nez cassé, la respiration était morte.
01:17Olivier Rouillet, dubitatif, vous, on n'a jamais osé toucher votre nez Olivier ? Jamais,
01:23heureusement.
01:24Il est comme ça naturellement.
01:25Naturellement.
01:26Et Adrien Kouroub qui nous a offert un JT de toute beauté.
01:31Moi, j'ai commenté du ski, le cou de cassé, c'était pas mal.
01:33Ah oui, c'est vrai, vous avez réussi cet exploit, et fraîchement cassé en plus.
01:37Il s'avait quelques heures.
01:38On l'a dit, la conférence de presse de 10 000 déchants d'Antoine Griezmann à venir
01:42dans quelques instants, mais on va d'abord revenir évidemment sur le débrief de ce
01:45match avec la Serbie qui s'en sort, mais alors qui s'en sort très très bien Adrien.
01:50Effectivement, les Serbes qui ont égalisé à la dernière minute de ce match contre
01:55la Slovénie, vous le voyez, les Serbes qui ont eu plus d'occasion parce qu'ils étaient
01:59menés forcément en seconde période, on a quand même eu l'impression que la Slovénie
02:02était au-dessus sur cette rencontre, mais donc ils les égalisent à la 95ème minute
02:07par Ljukajovic alors que le gardien serbe était monté carrément dans la surface de
02:10réparation.
02:11Mais je note que ce sont les Slovènes qui ont couru plus que les Serbes quand même.
02:15Quoi, Ludo ?
02:17Oui, deux kilomètres, c'est pas...
02:20C'est pas énorme, mais bon, ça veut dire qu'il y a eu beaucoup d'années.
02:22Des regrets pour la Slovénie ou pas, Charlotte ?
02:25Oui, ils doivent...
02:26Je tiens juste à dire quelque chose, j'ai quasiment eu un bon prono, donc les gens qui
02:30nous suivent savent que je suis archi nul dans les pronostics, donc là j'ai dit qu'il
02:33y avait un nul, donc mon système de moi est...
02:37Ah d'accord, et vous faites bien de te souligner.
02:39J'avais dit deux-deux.
02:40Moi j'avais dit deux-zéros pour la Slovénie.
02:44Mais je trouve ça marrant parce que vous, ce que vous retenez, c'est les 121 kilomètres
02:49courus par les...
02:50113 à 113.
02:51Non, non, non, non, mais...
02:52113.
02:53Les petits comptables.
02:54Ce qui est vraiment...
02:55Vous voyez, pour moi, vraiment, moi je suis de l'ancienne génération, etc., quand j'entends
02:58ça je deviens fou.
02:59Non, non, mais je vous explique, moi le football c'est pas les kilomètres qu'on fait, c'est
03:07les gestes techniques, c'est les enchaînements, c'est ce qu'on voit.
03:10Le ballon court plus vite que le joueur.
03:13Non, non, non, mais me dire que le Slovéne a couru deux...
03:15Tu vois, l'équipe Slovéne a couru deux kilomètres de plus que les Serbes, pfff...
03:20So what ?
03:21Il faudrait quand même, je sais pas...
03:23Est-ce qu'on peut remontrer la state à Olivier ?
03:25Parce que j'ai l'impression que vous l'avez montrée, mais c'est pas très grave.
03:29Mais le foot, c'est pas que courir.
03:32Le foot, c'est l'inspiration, c'est la création, c'est le geste technique.
03:37Vous voyez, on peut être en admiration devant leur prise de volée.
03:39Alors je vais pas dire son nom parce que je vais encore me tromper.
03:41Petrovic.
03:42Et qu'elle est détournée par le défenseur, ça finit sur la barre transversale.
03:45On est en admiration devant l'occasion Slovéne qui va...
03:49Arrêtez toujours de dire ils ont couru, ils ont fait 100...
03:52On s'en fout des kilomètres qu'ils font.
03:54Montrez-nous...
03:55Montrons aux gens et que ces joueurs nous montrent de la qualité technique.
03:59Parce que moi, je peux vous assurer que ce qui me gêne dans cet Euro,
04:02depuis le début, c'est ça.
04:03Je trouve que ça manque de qualité technique.
04:05Alors oui, oui, ça cavale.
04:07Alors ça, on a des athlètes.
04:10La Serbie, c'est l'ancienne Yougoslavie.
04:12D'habitude, ce sont les joueurs ultra-techniques.
04:14Ils n'ont pas été bons.
04:15Ils n'ont pas été bons.
04:17Mais ça change, ça évolue.
04:19Puisqu'on voit que...
04:21Regardez la qualité athlétique des joueurs.
04:24Bien sûr que ça n'a rien à voir avec Ludo.
04:26Ça n'a rien à voir avec moi.
04:27Maintenant, c'est des galeries qui montent, qui montent, qui montent.
04:29Pour avoir des bonnes stats sur les kilomètres courus, vous savez.
04:31Voilà, voilà.
04:32Voilà, Benoît.
04:33Et Ludo qui a pris une balle gratuite.
04:35Mais non, tu l'as embarqué dans ton truc.
04:38Je veux dire que Ludo, il est à 5 centimètres de plus que moi.
04:41Nous, on était des petits à l'époque.
04:43Et je trouve qu'on...
04:44Combien de kilos en plus ?
04:45Ça, je ne sais pas.
04:46À l'époque, comme moi, on était de belles.
04:48Non mais bon, c'est en aparté.
04:49Moi, ça me gêne un peu.
04:50Oui, c'est...
04:51Parlons des reprises de volée.
04:53Mais il y en a un, justement, qui aurait pu en faire des reprises de volée.
04:56Qui aurait pu être technique.
04:57C'est Douzan Tadic.
04:58Regardez ses statistiques, justement.
04:59Au leader de cette attaque serbe.
05:01Zéro tir.
05:0253 ballons touchés seulement.
05:033 duels gagnés sur 9 disputés.
05:0512 ballons perdus.
05:06Décevant.
05:07Pourquoi ?
05:08Parce que lors du premier match contre l'Angleterre, il avait débuté le match sur le banc.
05:11Et regardez ce qu'il avait dit, justement, juste après la rencontre en zone mixte aux journalistes.
05:15Il a mis peut-être un peu le feu au vestiaire.
05:17On va lire la déclare de Douzan Tadic.
05:19Je pense que je suis le leader et le capitaine de cette équipe.
05:21Je suis le meilleur joueur de cette équipe.
05:22J'aurais dû jouer les 90 minutes.
05:24Ça aurait été différent si j'avais été sur le terrain dès le départ.
05:27Mais bon, 3 petits points.
05:28Eh bien, on a vu aujourd'hui.
05:29Alors, c'est vrai.
05:30Mais votre stat n'est pas complète.
05:32Parce qu'on n'a pas le nombre de kilomètres courus par Tadic sur le match.
05:37Je suis cadré un peu.
05:38J'aime bien aller chercher Olivier.
05:40Charlotte, la Serbie s'en sort bien.
05:43La Serbie est encore en vie.
05:44C'est ce qu'on retient de cette rencontre, au final.
05:46Il fallait au moins avoir un point sur ce match-là.
05:49Sinon, c'était quasiment mort pour la suite.
05:53Donc non, c'est bien pour l'enjeu, pour les spectateurs.
05:56Ne voir qu'encore dans les dernières minutes, il y a un but.
05:59Mais la Slovénie, je pense, va avoir des regrets sur ce match.
06:03On va parler d'Angleterre-Danemark dans quelques instants.
06:05Parce que c'est dans ce groupe.
06:06Regardez ce groupe.
06:07Du coup, ça devient passionnant d'un seul coup.
06:09Et notamment le match qui va suivre entre l'Angleterre et le Danemark.
06:11Parce que c'est ultra serré.
06:12Tout le monde peut encore se qualifier.
06:13On a deux équipes qui sont à un point.
06:15La Slovénie a deux points.
06:17C'est vraiment très ouvert.
06:19Sachant qu'il y a en plus même la place de troisième qui peut vous qualifier.
06:22Marquer un point, c'est important.
06:24Tout est important.
06:25Et on le voit déjà sur le deuxième match de 7 euros.
06:28C'est pour ça que je ne suis pas tout à fait d'accord avec l'analyse d'Olivier
06:31sur le constat sur 7 euros depuis le départ.
06:33Je trouve qu'il est très émotionnel, 7 euros.
06:35On peut parler.
06:36Oui.
06:37Moi, je prends du plaisir aussi dans la qualité technique.
06:39Parce que c'était mon fond de commerce.
06:41Donc, je prends du plaisir à ça.
06:43Mais je prends aussi du plaisir dans l'intensité des matchs.
06:45Et sur ce début d'euro, je vois énormément d'intensité.
06:48Et là, sur le deuxième match, on voit déjà des émotions.
06:51Sur la déception, elle était palpable de se dire qu'on est quasi éliminé.
06:56Et puis, un gardien qui monte.
06:58Un but comme ça à dernière seconde.
07:00Le peuple serbe qui explose.
07:02Je trouve qu'on vit un début d'euro, moi, plutôt palpitant.
07:06Et c'est vrai qu'on est dur.
07:08C'est vrai qu'on veut toujours plus.
07:10C'est vrai qu'on veut toujours mieux.
07:12Mais je trouve qu'il faut se satisfaire de ce qu'on a aussi parfois.
07:14Et je trouve que ce début d'euro, il est plutôt pas mal.
07:16On va le voir tout à l'heure avec Angleterre-Venemark.
07:18On vous donnera les compos.
07:20Les événements s'enchaînent.
07:22La fracture du nez de Ludo Aubragna qu'on en parlera tout à l'heure.
07:24Cette nuit, attention.
07:26Je rappelle que c'est le début de la Copa America cette nuit aux Etats-Unis.
07:29Avec l'Argentine de Messi quand même.
07:31Ça va être l'événement, 2h du mat.
07:33On y fera, évidemment.
07:35Et je rappelle, c'est à vivre sur l'équipe live foot.
07:37Donc, pour l'ouverture de la Copa America que vous pouvez suivre en intégralité sur l'équipe live foot.
07:42Autre événement à venir.
07:44Là, c'est un peu plus proche.
07:45C'est avant 2h du matin puisque c'est dans 10 minutes maintenant.
07:47C'est Antoine Griezmann qui prend la parole.
07:49La conférence de presse d'avant-match pour Antoine Griezmann et pour Didier Deschamps.
07:51A tout de suite.
08:02Ça chauffe, ça brûle.
08:04Ils approchent.
08:06Antoine Griezmann et Didier Deschamps sont en conférence de presse dans quelques instants.
08:09Les dernières infos de l'équipe de France.
08:11Ludo Bragnac nous parlera de sa vie de footballeur.
08:13On peut jouer avec un écassé.
08:15C'est le grand témoignage qu'on vous offre ce soir dans l'équipe de Greg en exclusivité.
08:19Ludo, on attend ça avec impatience.
08:21Comme vous, mais ça peut se faire.
08:23Moi, je ne pourrais pas par exemple.
08:24Sûrement pas.
08:25Mais un homme courageux comme vous, tatoué.
08:27Vous êtes 3 jours à l'hosto.
08:29Absolument.
08:31Allez, c'est Dominique avec nous.
08:33Sans aucun problème.
08:35Dev Apadou, bien sûr.
08:37Charlotte.
08:39Les gratinures de Ludo, vous vous en rappelez ?
08:41J'ai hâte d'entendre ça.
08:43C'est épique.
08:45Olivier Rouillet, qui refuse qu'on parle de ses kilomètres parcourus.
08:47Et on ne sait pas pourquoi.
08:49Comme par hasard, lui, il ne veut pas qu'on en parle.
08:51Il ne courrait pas beaucoup.
08:53Tu n'es peut-être pas une golocantée non plus.
08:55Moi, je ne courrais pas beaucoup.
08:57Et Adrien Couromble avec nous.
08:59Avant de donner la compo,
09:01tout de suite le zapping concocté par Mathieu Monnet.
09:23On est arrivé hier.
09:25On a traversé l'Allemagne en un seul jour.
09:27En stop.
09:29On a été escorté par les poulets allemands.
09:33La police allemande nous a accueillis.
09:37Et tout s'est bien passé avec les poulets allemands ?
09:41Parfaitement.
09:45Ils ont même tweeté officiellement
09:47sur leur compte officiel
09:49qu'ils avaient transporté le coq gaulois.
09:51Je vous montre.
09:53Là, on voit une photo
09:55avec les policiers allemands
09:57qui escortent le coq.
09:59La masse coq, comme il s'appelle.
10:23C'est bien parti pour la qualif.
10:25Pour Léon Marchand.
10:27Ça ne sera pas une surprise.
10:29C'est bien parti pour Antoine Viquera.
10:31À moins qu'Antoine Marque
10:33n'arrive à prendre la 2ème place.
10:35C'est Viquera.
10:37Effectivement.
10:39On se disait
10:41après le Giro
10:43qu'il a brillamment remporté
10:45avec 6 victoires d'étape à la clé
10:47que Pogacar allait probablement
10:49être imbattable
10:51sur les routes du prochain tour.
10:53Même si depuis Pantanier
10:55on n'a jamais vu quelqu'un
10:57réaliser le doublé.
10:59Peu l'ont tenté d'ailleurs.
11:01Ça fait un adversaire et un adversaire de taille.
11:03Logiquement, étant donné que c'est le double vainqueur sortant,
11:05Vingegaard est le favori.
11:21Oh, il l'a fait encore!
11:27Ça mérite une ovation.
11:51Ah!
11:53Ça, on ne peut pas mettre ça.
11:55L'autre fois, il a fallu une vieille.
11:57C'est bon, c'est bon.
11:59C'est un papier.
12:09Et tout à l'heure,
12:11il ne jouera pas au padel, non,
12:13il jouera bien au football avec la sélection argentine.
12:15C'est l'ouverture de la Copa América.
12:17C'est sur l'équipe Live Foot
12:19la pluralité de la Copa América
12:21avec ce match d'ouverture entre l'Argentine et le Canada.
12:23C'est cette nuit à 2h du matin.
12:25On va vraiment se régaler autour de ce football
12:27qui va nous enflammer avec le Brésil
12:29avec aussi la course au ballon d'or.
12:31Il y a l'Euro, la Copa América.
12:33Il y a déjà la concurrence sur les deux continents.
12:35Attention, l'Euro justement
12:37parce qu'on a vécu ce match Slovénie-Serbie
12:39un partout, on rappelle.
12:41La suite de ce groupe, c'est Danemark-Angleterre.
12:43On a les compos, Adrien.
12:45Avec l'équipe anglaise qui peut se qualifier
12:47on va d'abord commencer par l'adversaire de l'Angleterre
12:49c'est le Danemark positionné en 3-5-2
12:51avec un seul changement
12:53par rapport au premier match pour les Danois
12:55c'est Alexander Bach qui sort remplacé par Mellet
12:57sur le côté droit.
12:59Et puis du côté de l'Angleterre, on va regarder cette composition d'équipe anglaise
13:01alors qu'Eriksen, évidemment, est titulaire
13:03côté Danois, côté Anglais.
13:05C'est exactement la même composition d'équipe
13:07que face à la Serbie.
13:09L'Angleterre qui avait gagné un but à zéro contre la Serbie.
13:11Benningham est notamment titulaire aux côtés d'Ariken, Phil Foden
13:13ou bien Saka pour attaquer
13:15du côté de l'Angleterre.
13:17Et tous les yeux seront rivés sur lui, justement
13:19Jude Benningham, la superstar
13:21de cette équipe anglaise.
13:23Il est en train de prendre le pouvoir.
13:25Jude Benningham, c'était Ariken qui a incarné
13:27les Three Lions depuis 2018.
13:29On est en train d'assister à un passage de relais
13:31Jude Benningham, 20 ans seulement
13:33et déjà tellement charismatique.
13:35Il était le meilleur joueur et de très très loin
13:37face à la Serbie.
13:39Le sélectionneur Gareth Southgate a même déclaré après le match
13:41il est important que d'autres personnes
13:43se mettent en valeur comme Jude a su le faire.
13:45Le message est envoyé de la part du sélectionneur
13:47mais il est en train de prendre
13:49toute la lumière.
13:51Il pourrait d'ailleurs, ce Hey Jude qu'on vient d'entendre
13:53devenir le tube de l'été en Angleterre.
13:55Les supporters anglais ont d'ailleurs
13:57déjà repris le titre dans les tribunes
13:59après le but du Madrilen face à la Serbie.
14:01Et même son équipementier
14:03a utilisé une version réarrangée
14:05du morceau dans une pub à sa gloire.
14:07Bref, c'est le nouveau tube de l'été.
14:09Jude Benningham, il est en train de changer
14:11de dimension en Angleterre.
14:13Tube qui est en train de découvrir Ludovic Obranyac
14:15donc Hey Jude
14:17de 1968.
14:19Je t'ai pané.
14:21Il était pané.
14:23On va à l'Epsic tout de suite retrouver Jérémy Gennagro
14:25avec Charlie Courant parce que ça y est,
14:27ça approche, la conférence de presse de
14:29Dieyé Deschamps avec un joueur
14:31et pas n'importe quel joueur, Jérémy.
14:35Oui, ce sera Antoine Griezmann
14:37qui va accompagner le sélectionneur national
14:39dans la conférence de presse dans quelques minutes.
14:41Ce n'est pas qu'il y a d'Mbappé.
14:43Il y avait une interrogation. On se demandait si ça aurait pu être
14:45source d'interprétation, de le voir.
14:47Ensuite, est-ce que ça voulait dire qu'il allait
14:49participer au match de demain.
14:51On n'aura pas la réponse là-dessus mais on va quand même poser des questions
14:53pour en savoir plus sur l'état
14:55du nez d'Mbappé. Pas seulement parce qu'on est aussi
14:57intéressé par le football. Il n'y a pas que
14:59la situation d'Mbappé qui compte
15:01mais pour ce qui est quand même
15:03de la star de l'équipe de France
15:05on va quand même vous donner des nouvelles.
15:07Est-ce qu'il devrait arriver au plus tard demain
15:09qu'il devrait être à disposition
15:11de Mbappé s'il est amené
15:13à participer à ce match.
15:15Pour le moment, il est toujours incertain.
15:17On ne peut pas être catégorique sur le fait qu'il ne
15:19ne jouera pas parce qu'il écoute ses sensations
15:21et ça se joue au jour le jour, notamment
15:23dans l'entraînement qui aura lieu à 18h30
15:2515 minutes ouverts aux médias que vous vivrez
15:27en direct dans les émissions.
15:29Ensuite, une mise en place qui sera à huis clos
15:31et dont on va essayer
15:33d'apprendre des choses
15:35parce qu'il y a des interstitutes aussi du côté
15:37de la défense centrale. On veut savoir qui sera titulaire
15:39et si Mbappé va participer à cet entraînement
15:41et comment.
15:43On aura un quart d'heure d'entraînement
15:45qu'on vous donnera sur la chaîne l'équipe.
15:47Ludo, vous avez une fois saigné du nez
15:49ça vous est arrivé ?
15:51Non, les tiges et tout.
15:53J'y ai rejoué quatre jours après.
15:55J'y ai repris un coup dessus en plus.
15:57Vous pleurez un peu des yeux, vous serrez les dents
15:59et ça passe.
16:01On peut jouer avec un mec sans masque.
16:03C'est lui qui prendra la décision
16:05parce qu'il a quand même
16:07une perception.
16:09Il est toujours à l'affût des longs ballons.
16:11Pour les perspectives un peu plus loin
16:13c'est vrai que le masque
16:15peut gêner un peu mais il faut qu'il
16:17lève l'appréhension. Il ne pourrait pas être plus cassé le nez.
16:19Oui, ça pique, ça fait mal.
16:21Il va avoir quelques douleurs.
16:23Aujourd'hui, on fait des choses très bien.
16:25Vous avez vu comment il a déjà désenflé.
16:27Il y a de la mésothérapie qu'on peut faire
16:29avec des lentilles inflammatoires.
16:31Franchement, il peut jouer.
16:33Quand on tombe de cheval,
16:35il faut remonter immédiatement.
16:37Il faut faire ça.
16:41Alors, il a son masque, on me dit.
16:43Il devrait tester son masque
16:45ce soir à l'entraînement.
16:47Votre discours, c'est aussi
16:49qu'il a besoin de jouer, Kylian Mbappé.
16:51Il a besoin de rythme, c'est ça ?
16:53Vous avez vu cette année avec le Paris Saint-Germain.
16:55Lorsqu'il a un temps de jeu un peu saccadé,
16:57je suis désolé, mais
16:59certes, en statistique, il a été impressionnant.
17:01Je trouve que dans le jeu, il a été moins bon,
17:03beaucoup moins bon que les années précédentes.
17:05C'est quelqu'un qui a besoin d'enchaîner.
17:07Donc, il faut qu'il joue.
17:09Est-ce que tout le monde a été ému par l'anecdote
17:11de Ludo Vraniac ?
17:13J'ai retenu l'arme.
17:15Je vous rappelle l'information.
17:17Kylian Mbappé a bien son masque.
17:19Il va le tester à l'entraînement.
17:21Il va s'entraîner avec le masque.
17:23On aura l'occasion d'en reparler peut-être avec Antoine Griezmann
17:25et Didier Deschamps dans quelques instants
17:27mais l'info, c'est bien que Kylian Mbappé a son masque
17:29et qu'il va le tester à l'entraînement.
17:31Une information. La chaîne d'équipe, c'est tout chaud.
17:33C'est cadeau. A tout de suite.
17:41C'est l'équipe de Griezmann, vous l'avez dit.
17:43Conférence de presse avant match. Deuxième match de l'Euro pour les Bleus
17:45face aux Pays-Bas. Allez Psyk en direct.
17:47Antoine Griezmann vient d'arriver en conférence de presse.
17:49On lui donne la main tout de suite.
17:53Kylian va très bien.
17:55Un peu dégonflé.
17:57On verra jusqu'au
17:59dernier moment.
18:01Suivant ses sensations.
18:03Moi, ça va très bien.
18:05Un match
18:07très dur physiquement mais au moins comme ça,
18:09on est rentré dans la compétition et on est prêt
18:11à aller de l'avant. Tout va bien.
18:21Bonjour Antoine. Emmanuel Baranguet pour
18:23l'agence France Presse. Qu'est-ce que
18:25tu as à penser de ton premier match personnellement
18:27contre l'Autriche ? L'impression que
18:29tu as touché un peu moins de ballons que d'habitude.
18:31Oui, c'est vrai.
18:33J'essaye de trouver
18:35les espaces. Après,
18:37c'est vrai que j'étais moins dans le coeur
18:39du jeu. Mais j'avais cette sensation
18:41de... qu'on
18:43n'avait pas besoin de moi aussi bas. Donc
18:45j'essayais d'être dans une zone
18:47où je pouvais faire le lien avec
18:49mes attaquants. Mais
18:51ce n'est pas un match
18:53où je me suis
18:55dit que j'étais très bon.
18:57On a un match demain.
18:59Je ne vais pas me rattraper parce que
19:01ça voudrait dire que j'ai fait un mauvais match de ma part.
19:03Mais j'espère toucher un peu
19:05plus de ballons.
19:11Bonjour Antoine.
19:13Damien Degor, l'équipe.
19:15Tu as dit lors de ta précédente conférence de presse
19:17sur les matchs de préparation que tu t'adaptais
19:19beaucoup. Dans l'hypothèse où Kylian Mbappé
19:21ne jouerait pas demain, est-ce qu'il faudrait que tu
19:23t'adaptes encore à un nouveau poste ?
19:25Est-ce que tu en as déjà parlé un peu avec le sélectionneur ?
19:27Je pense que ça serait toute l'équipe
19:29qui devrait s'adapter.
19:33Mais comme je dis, je ne sais pas du tout
19:35s'il va jouer ou non.
19:37Mais qui est
19:39l'un des meilleurs joueurs du monde
19:41ou non dans ton équipe sur le terrain,
19:43ça change énormément.
19:45On verra ce
19:47qu'il en est.
19:49Mais dans le foot, il faut toujours s'adapter
19:51à chaque match.
19:53C'est ça que j'aime.
19:55Peu importe
19:57demain
19:59quel choix tactique,
20:01il faudra s'adapter pour tout le monde.
20:03C'est ce qu'il doit faire notre force aussi.
20:05Qu'à chaque
20:07adversaire, on puisse
20:09trouver les points faibles et
20:11être costauds comme contre l'Autriche.
20:13Vous savez que ça allait être un match physique
20:15à la pointe du présent.
20:19Bonjour, Grégory Schneider, Libération.
20:21Vous avez fait un très gros match
20:23contre l'Autriche.
20:25Vous avez été très dominateur.
20:27Et pourtant, c'est 1-0 sur un 16C.
20:29Donc vous n'êtes pas
20:31payé à la mesure
20:33de ce que vous avez donné. Est-ce que ça vous inquiète pas
20:35ce manque de réalisme, d'efficacité ?
20:37Non, c'est vrai.
20:39Ça a été un match
20:41pour la défense.
20:43Ils ont fait un match
20:45extraordinaire, que ce soit
20:47dans les duels ou en sortie de balle,
20:49parce qu'on savait qu'ils allaient
20:51venir pressés rapidement.
20:53Ils ont été très forts.
20:55Je pense aussi que les joueurs offensifs ont
20:57beaucoup aidé.
20:59C'est vrai qu'on a raté 2-3 occasions
21:01où on aurait pu
21:03finir le match, tuer le match.
21:05On ne l'a pas fait. On le sait très bien
21:07qu'il faut tuer les matchs.
21:09Sinon, tu peux te faire égaliser
21:11au bout du moment, jusqu'à la dernière seconde.
21:13Je regardais encore
21:15le match de la Slovénie qui a pris
21:17un but à 20 secondes de la fin.
21:19Il y a eu beaucoup de buts comme ça.
21:23On va essayer d'améliorer là-dessus.
21:29Je n'ai pas peur
21:31pour nos offensifs,
21:33parce qu'il y a vraiment de talent.
21:35Ils ont marqué des buts et ils vont en remarquer.
21:37Merci.
21:39Bonjour Antoine.
21:41Jean-François Pérez pour le JDD.
21:43On est impatients de t'entendre là-dessus.
21:45Vive la République, l'un de tes cris préférés.
21:47Comment va la République pour toi ?
21:49Comment vois-tu la situation actuelle ?
21:51Est-ce que l'initiative collective
21:53dont les joueurs nous parlent depuis quelques jours
21:55est en cours ? Qu'est-ce que vous comptez faire ?
21:57Est-ce que c'est sur le point de se concrétiser ?
21:59On verra si ça va se faire ou non.
22:01Le seul truc que je peux dire,
22:03comme je l'ai dit dans la première conférence,
22:05c'est d'aller voter.
22:09Tout ce qui est politique,
22:13c'est très sérieux, très compliqué,
22:15assez privé, je pense.
22:19Je suis là en tant que joueur de foot.
22:21Je sais que j'ai beaucoup d'autorité,
22:23mais je n'ai pas à l'utiliser.
22:25Je ne vois pas ça comme ça.
22:27Juste aller voter,
22:29prendre le temps d'aller voter.
22:31C'est assez rapide, mais tellement important.
22:35Un second.
22:39Bonjour Antoine.
22:41Ici Baptiste Desprez, le suivant.
22:43Tu l'as doublé.
22:47Bonsoir.
22:55Qu'est-ce que vous pensez de Ronald Koeman ?
22:59Vous savez que Ronald Koeman
23:01a travaillé à Barca.
23:03Que pensez-vous de Ronald Koeman
23:05et de la sélection d'Hollande ?
23:07Merci.
23:09Ronald Koeman, c'est un entraîneur
23:11que j'ai bien aimé.
23:13Assez droit avec ses joueurs.
23:15Il m'a toujours dit
23:17ce qu'il pensait réellement.
23:19Ce qui n'est pas le cas
23:21de tous les entraîneurs.
23:23Ensuite, il a eu l'époque à Barcelone
23:25où c'était très difficile
23:27de s'imposer,
23:29que ce soit comme entraîneur ou joueur.
23:31Et puis la sélection
23:33hollandaise,
23:35j'adore leur style de jeu.
23:37Ils ont beaucoup
23:39de blessés. Ils ont perdu un joueur
23:41clé qui est Frankie de Jong,
23:43qui pour moi est l'un des murs
23:45dans cette sélection. Mais ils ont
23:47remplacé par deux joueurs
23:49qui ont le même style de jeu que veut Ronald.
23:51C'est une équipe
23:53qui maîtrise très bien son sujet.
23:55A nous de faire en sorte
23:57de trouver les failles.
24:01Oui Antoine.
24:03Est-ce que tu as trouvé les bleus
24:05chiants à avoir joué au dernier match ?
24:07Ça vaut de me dire.
24:09Non mais là pour le coup, toi ?
24:11Et finalement, en dehors de l'efficacité,
24:13les axes d'amélioration que tu vois pour le match de demain ?
24:15Non mais après, le mot
24:17chiant, je l'ai repris
24:19chez vous.
24:21Parce que vous le dites souvent.
24:23Mais non,
24:25c'est un peu ce que je disais.
24:27Il y aura des matchs où on aura besoin de ça.
24:29Il faut être costaud défensivement.
24:31A rien laisser à l'adversaire.
24:35Le match parfait est venu.
24:37C'était contre l'Autriche.
24:39Pour le montrer.
24:41Très heureux du répondant
24:43de l'équipe.
24:45Ensuite, j'ai oublié ta deuxième question.
24:47Désolé.
24:51Je pense à bien lire le jeu.
24:55Mettre une pause quand il le faut.
24:57Accélérer quand il le faut.
24:59Mais ça va se passer quand j'aurai le ballon.
25:01Quand je le toucherai.
25:07Le plus important, c'est la finition.
25:09Et d'essayer de finir les matchs.
25:15J'en profite pour poser deux questions.
25:17Comment te sens-tu sur le plan athlétique ?
25:19Est-ce que tu te sens à ton prime ?
25:21Est-ce qu'il t'en manque encore un peu ?
25:23Et comme tu n'arrêtes pas de parler du ballon,
25:25est-ce que tu te sens un peu frustré ?
25:27Non, pas frustré.
25:29C'est vrai que j'ai touché moins le ballon que d'habitude.
25:33Mais j'ai failli le marquer.
25:35On ne sait jamais. Il faut être prêt.
25:39Ensuite, très bien physiquement.
25:41C'est vrai que les deux matchs amicaux,
25:45physiquement, j'étais un peu fatigué.
25:47Parce qu'on a fait une grosse pépa
25:49sur tous les trois premiers jours.
25:51J'ai mis du temps à revenir.
25:53On récupère moins vite.
25:55Mais maintenant, ça va beaucoup mieux.
25:57Je suis à 100 %.
25:59Je me sens bien.
26:01Je pense que, physiquement parlant,
26:03ça s'est vu sur le terrain.
26:23Que dire du coach ?
26:25Sa réussite,
26:27c'est le groupe
26:29qu'il arrive à construire,
26:31que ce soit du staff médical
26:33jusqu'aux joueurs.
26:37Il a toujours la petite touche tactique.
26:39Pendant le match,
26:41il va faire la différence.
26:43Il se trompe très rarement.
26:45C'est vrai qu'il y a des moments
26:47où il y a des moments
26:49où il y a des moments
26:51où il y a des moments
26:53où il y a des moments
26:55où il n'y a pas de différence.
26:57Il se trompe très rarement.
26:59Après, c'est un entraîneur
27:01qui, comme joueur,
27:03qui gagne,
27:05qui a ça en lui,
27:07qui sait très bien gérer
27:09les moments de pression.
27:11Nous, en tant que joueur,
27:13on le voit
27:15et on le ressent dans le vestiaire.
27:21dans l'approche du tournoi et au sein du groupe ?
27:24Non, toujours en forme, toujours heureux, que ce soit sur le terrain ou en dehors.
27:29Il demande beaucoup de travail à la cuisine,
27:34parce que c'est un garçon qui en demande beaucoup au repas,
27:38à ce que je fasse à côté de lui.
27:40Mais sinon, tout va bien, du grand Olivier.
27:46Bonjour Antoine, Clément Gallard pour Swofoot.
27:48Deux choses, est-ce qu'un groupe se construit plus facilement
27:52quand il sort d'un match compliqué et physique comme celui de lundi ?
27:56Et sur le plan personnel, tu as marqué trois buts sur les 30 derniers matchs avec les Bleus,
28:00sur une saison prolifique avec l'Atlético.
28:03Comment tu le vises ? Est-ce que ça te manque ?
28:06Et comment on s'adapte, on se met dans l'ombre dans l'équipe de France,
28:09alors qu'à l'Atlético tu restes un buteur ? Merci.
28:13Pour me donner la première question,
28:16c'est vrai que ça aide énormément à créer encore plus de liens
28:21dans les matchs compliqués comme ça, ou les grosses victoires,
28:25où on souffre, où on défend tous ensemble.
28:29On voit même les remplaçants qui sont rentrés.
28:33On fait du bien de suite, ils ont répondu présent.
28:40C'est ça qui va faire la différence jusqu'à la fin.
28:44Il y aura 11 qui vont débuter, mais ceux qui sont sur le banc,
28:48ça va être grâce à eux qu'on peut gagner ou non.
28:52Et ensuite, mon rôle est complètement différent ici ou à l'Atlético.
28:59A l'Atlético, je suis plus vers la finition,
29:03qu'ici je suis plus à la construction.
29:07Je le redis, je m'adapte.
29:10Le dernier match, c'est vrai que je n'étais pas très loin de marquer,
29:14mais ça ne s'est joué à rien.
29:17Ça me manque bien évidemment, mais vous me connaissez maintenant,
29:20ça fait 10 ans.
29:22Ce n'est pas un truc que je recherche absolument de marquer.
29:25Je veux gagner, je veux faire gagner l'équipe.
29:27Comme je dis, si c'est avec un but, tant mieux.
29:30Sinon, je veux gagner.
29:36Bonjour Antoine, Alexandre-Martin Sopès pour l'AFP,
29:39juste devant vous, tout au fond au niveau de la caméra.
29:41Une question sur votre coéquipier N'Golo Kanté.
29:43Certains étaient sceptiques sur son retour en équipe de France.
29:46Vos coéquipiers en conférence de presse n'ont jamais douté.
29:49Ils disaient à chaque fois qu'ils avaient l'impression d'être un joueur,
29:52deux joueurs, voire trois joueurs de plus sur le terrain.
29:54C'est Marcus Surham qui disait trois.
29:56Est-ce que vous, il vous a impressionné contre l'Autriche ?
29:58Merci.
29:59Non, le seul moment où il m'a impressionné,
30:01c'est quand il a commencé à dribbler là-bas côté droit.
30:04Il y a un truc qui ne va pas.
30:06Je le connais, j'ai joué avec lui.
30:10C'est du grand N'G, il est comme ça.
30:14On sait qu'il fait énormément de bien à une équipe, à une défense.
30:22C'est un bonheur de l'avoir avec nous.
30:25On espère qu'il va continuer comme ça le plus longtemps possible.
30:31Bonjour Antoine, Nuno Travassos, Abola Portugal.
30:35Beaucoup de gens voient ce tournoi cet été
30:38comme le moment où Cristiano Ronaldo quittera son héritage,
30:43sa scène au football européen, pour Kylian Mbappé.
30:47Je me demande si vous voyez des choses comme ça,
30:50peut-être, et si vous espérez avoir une revanche contre le Portugal.
30:55Est-ce que je peux avoir la traduction, s'il vous plaît ?
30:58Tu n'as pas la traduction, excuse-moi.
31:01Mais il apparaît une revanche avec le Portugal, c'est ça ?
31:05L'héritage, Cristiano Ronaldo, le passage de témoin avec Kylian Mbappé.
31:09Ok, merci pour la traduction.
31:11Non, je pense que le passage de témoin, pas besoin.
31:15Je pense que Kylian fait sa carrière, fait son chemin.
31:18Je pense qu'il n'a pas besoin d'avoir la traduction.
31:22Je pense que Kylian fait sa carrière, fait son chemin.
31:25Ce qu'il est en train de faire, Kylian, c'est exceptionnel.
31:30Ce qu'il a fait Cristiano, ce qu'il est en train de faire, c'est du jamais vu.
31:35Mais je pense qu'il faut séparer, arrêter d'essayer de comparer l'un ou l'autre.
31:43Même avec Léo, je pense, ou n'importe quel joueur,
31:46chacun a son style de jeu, chacun va mettre ses buts, va faire son histoire.
31:51Profitez des deux et essayez de faire en sorte que Kylian soulève cet euro et prenne un trophée en plus.
32:02Est-ce qu'il y a quelqu'un au rémot qui veut poser une question ?
32:11Non ? Pas de questions ? Merci.
32:14Pas de wifi.
32:17Parce qu'il faut contrôler tout ce que tu dis.
32:22Pour Antoine Griezmann, ça vient de se terminer.
32:25On était déjà en train de débriefer la prestation d'Antoine Griezmann.
32:29Qui nous a parlé du nez de Kylian Mbappé qui a dégonflé,
32:33mais il n'a pas du tout d'info de savoir s'il jouera, s'il ne jouera pas.
32:37Pour l'instant, on vous rappelle l'information qu'on vous donne sur la chaîne équipe.
32:40Il a bien reçu son masque, il devrait s'entraîner,
32:43en tout cas faire le début de l'entraînement avec l'équipe de France avant les Pays-Bas,
32:46et certainement tester son masque.
32:48On verra ça tout à l'heure sur les images.
32:50Charlotte, on a vu Antoine Griezmann aussi assez décontracté,
32:54nous parler des Pays-Bas, nous parler de son statut dans l'équipe de France.
32:59On sent une forme de sérénité qui se dégage général sur la conf qu'on vient de voir de Griezmann avant le match.
33:05Oui, je trouve qu'Antoine est très lucide sur l'état de forme de l'équipe de France,
33:10sur sa prestation face à l'Autriche.
33:13J'adore ce joueur pour sa simplicité, son humilité.
33:17C'est un leader, les questions ne sont pas simples des journalistes,
33:20ils ne tombent pas dans le panneau.
33:22Il y a son varié.
33:24Effectivement, on sait qu'Antoine Griezmann a un rôle super important dans l'équipe de France.
33:29L'Autriche, ça a été compliqué de trouver sa place, mais les Pays-Bas…
33:32Ah, Didier Deschamps arrive.
33:34Tiens, je vous rappelle, il y a un autre retour aussi, c'est celui d'Olivier Ménard ce soir dans l'équipe du soir.
33:38Tout de suite, Didier Deschamps.
33:42Welcome again, we are going to start with the press conference of the head coach, Mr Didier Deschamps.
33:48Thank you.
33:50T'as passé ta question.
33:52Je peux y aller ?
33:54Didier, comment ça va, personnellement ?
33:57Bien, merci, c'est gentil de vous soucier de moi.
34:00Et comment va surtout le nez de votre capitaine et est-ce que c'est raisonnable de le faire jouer demain ?
34:08Écoutez, tout va dans le bon sens.
34:11Après ce choc important qu'il a eu, avec les conséquences bien évidemment.
34:17Hier, comme vous avez pu le voir, il a pu sortir et faire un peu d'activité.
34:22Ça sera le cas aussi ce soir.
34:26Donc, ça évolue dans le bon sens pour faire en sorte qu'il puisse être disponible demain.
34:33Ça vous voit ?
34:37Chacun aura sa propre raison.
34:41Après, on va faire en sorte qu'il puisse être disponible.
34:47Je le répète.
34:51Bonsoir coach.
34:52Vous étiez très méfiant envers l'Autriche.
34:55Vous aviez raison.
34:56Merci.
34:57J'ai toujours raison.
35:00L'article 2, quand j'ai tort, se référait à l'article 1.
35:03Ça me va bien.
35:05Je suis méfiant aussi là.
35:07Oui, j'ai l'impression.
35:08Ça ne va pas être les mêmes Pays-Bas que la dernière fois.
35:11Oui, c'est bien.
35:12Je vois que vous regardez les matchs aussi.
35:14Il y avait pas mal d'assents.
35:15Non, non.
35:16Les Pays-Bas font de...
35:20Par rapport aux deux rencontres qu'on avait eues, ça n'a rien à voir.
35:25De par ce qu'ils ont changé aussi.
35:28Et les joueurs absents à ce moment-là, qui aujourd'hui sont là et sur le terrain.
35:35Bien évidemment, l'objectif des deux équipes, je ne vous apprendrai rien,
35:40c'est d'aller chercher la qualification.
35:42Mais c'est un adversaire différent par rapport à celui qu'on a rencontré au premier match l'Autriche.
35:50Fred.
35:54Oui, bonjour.
35:55Grégory Schneider, Libération.
35:56Vous avez fait un très gros match contre l'Autriche.
35:59Il y a eu une grosse dépense d'énergie.
36:01Et pour autant, vous avez mis beaucoup d'occasions.
36:04Mais pour autant, c'est 1-0 sur un CSC.
36:06L'efficacité étant difficile à corriger comme ça.
36:09Elle n'est pas évidente à travailler sur trois jours.
36:12Est-ce que ça ne vous inquiète pas un peu ?
36:14Je ne suis jamais inquiet.
36:15Si on n'avait pas d'occasion, et on aurait pu en avoir en plus,
36:19des situations, comme je vous l'ai dit, après le match contre l'Autriche,
36:22avec des meilleurs choix, auraient pu nous amener à avoir des occasions.
36:26Après, l'efficacité, plus on l'a, mieux c'est.
36:28Mais si on n'avait pas d'occasion, ça serait plus embêtant.
36:32Mais c'est un autre match et on partira avec le même objectif,
36:36de mettre en difficulté cette équipe des Pays-Bas,
36:40en sachant qu'elle a la capacité, elle aussi, à créer pas mal de dangers.
36:47Un avantage sur le plan physique que vous savez de toute façon,
36:52mais on a fait en sorte, et je salue le boulot du staff médical et de Cyril Moine,
36:58pour faire en sorte d'optimiser la récupération,
37:02sans pouvoir faire de miracle,
37:05mais faire en sorte d'avoir la même fraîcheur sur ce deuxième match.
37:10On aura besoin de ça, de par la qualité de cette équipe des Pays-Bas.
37:18Bonjour Didier.
37:21Un premier match de la compétition vampirisé par l'actualité politique,
37:25un deuxième avec un point d'interrogation sur le capitaine
37:29et quasiment la star de la compétition.
37:31Est-ce que vous avez souvenir d'un début de compétition aussi complexe à gérer pour vous ?
37:36Je n'ai pas de mémoire et ça m'arrange.
37:38J'ai une mémoire sélective.
37:40Chaque situation, je fais en sorte de les gérer avec le plus de tranquillité.
37:47Ça n'a rien de comparable sur le contexte du premier match,
37:54parce que j'ai été impliqué comme tous les joueurs en venant devant vous.
37:58Je me rappelle encore de cette première conférence de presse
38:01où sur huit questions que j'ai eues, il y en avait sept et demi qui n'étaient pas sur le football,
38:05mais bon, il n'y a pas de souci.
38:07Là, évidemment, je suppose que ça alimente les débats,
38:12mais par rapport à Kylian, il n'y a pas de perturbations dans le groupe.
38:19Les choses se font du mieux possible avec le staff médical
38:26et Kylian est dans le groupe.
38:29Ce n'est plus tout ce qui peut être extérieur à la limite.
38:32Après, en interne, il y a la tranquillité et la sérénité.
38:42Bonjour, Hugo Delon du journal l'Equipe.
38:45À l'instant, Antoine Griezmann a évoqué son nombre de ballons touchés
38:48lors du match contre l'Autriche et regretté le fait qu'il en ait touché assez peu.
38:51Quel regard vous portez sur sa prestation contre l'Autriche
38:54et quel bilan vous faites depuis qu'il est arrivé en préparation avec vous ?
39:01Je ne sais pas si c'est vraiment intéressant de faire un bilan.
39:04Il y a eu un premier match où il y a eu des performances individuelles et collectives.
39:09Il le sait, j'en ai discuté avec lui.
39:13Ce n'est pas son meilleur match qu'il ait fait avec nous.
39:17Plus il rentre dans l'élaboration du jeu et dans le fait qu'il touche des ballons,
39:25mieux c'est pour nous.
39:27Après, plus il aura de justesse.
39:29Aussi, ça sera bénéfique à l'équipe.
39:33Dans un match qui était particulier face à l'Autriche, ça sera différent.
39:39Mais l'influence d'Antoine dans notre jeu est une part importante.
39:47Je connais aussi le fait que c'est un joueur qui a l'habitude d'enchaîner,
39:54même si dans le positionnement, et ça a été le cas aussi sur la fin de saison avec son club,
40:01il a été utilisé à différents postes, divers et variés.
40:07Ça ne se fait pas en claquant des doigts aussi.
40:10J'ai totale confiance en lui.
40:12Évidemment, pour nous, c'est important qu'il ait la plus grande influence dans notre jeu.
40:29Il y a une incertitude qui plane autour de Kylian.
40:31Qu'est-ce que ça impliquerait son absence en termes d'animation ?
40:34Est-ce que vous seriez prêt à passer dans un autre système ?
40:36Et en termes de management, comment on prépare éventuellement le remplaçant
40:40quand il y a une incertitude, s'il sait pas s'il va débuter ou pas ?
40:43Est-ce qu'il y a besoin aussi de beaucoup parler à ce moment-là aux joueurs ?
40:46Écoutez, vous mettez une équation qui est peut-être pas la même pour moi.
40:50Je fais en sorte d'avoir des discussions avec les joueurs,
40:55ceux qui commencent, ceux qui commencent pas.
40:58Tout le monde est prêt.
41:02Ça concerne un groupe, la gestion du groupe.
41:06Et à tout moment, comme ça a été le cas sur le premier match,
41:09entre ceux qui ont débuté et ceux qui sont amenés à rentrer aussi,
41:14de faire en sorte de répondre.
41:17Je vais pas faire un cas particulier.
41:21La gestion du groupe reste la même pour mon staff et pour moi.
41:28Bonjour Didier, Stéphane Lippert, France Télévisions.
41:32Depuis que vous êtes sélectionneur, les Pays-Bas, c'est le pays que vous avez rencontré le plus souvent.
41:37Huit fois, sept victoires.
41:39C'est bien, que ça continue.
41:41Comment vous faites ? Parce qu'à ce niveau, ça peut pas être du hasard, ce niveau de réussite.
41:47C'est la chance.
41:48La recette.
41:49La recette, c'est chaque match.
41:51Est-ce qu'il y a un secret à chaque match, contre une des meilleures équipes d'Europe à chaque fois ?
41:54Non. Après, c'est un rapport de force.
41:57Il sera différent que celui qu'on a eu les deux derniers matchs, où on s'est rencontrés.
42:05C'est dans l'analyse.
42:06Après, le premier objectif, c'est de leur créer des problèmes et limiter leur animation offensive aussi.
42:20Chaque match, c'est pas réellement la même situation.
42:26Pas forcément le même système aussi.
42:29Ils ont un système hybride avec et sans ballon.
42:32On passe du temps avec mon staff technique et évidemment avec les analystes vidéo pour décortiquer.
42:41Plus les observateurs que l'on a et qui les suivent depuis le mois de mars.
42:47Les deux matchs qu'ils ont eu pré-championnat d'Europe et le premier match qu'ils ont fait de la compétition aussi.
42:56C'est volutif.
43:00Faire en sorte d'aller chercher ce qu'on a obtenu très souvent.
43:10Bonjour Didier, Sébastien Tarago à la chaîne L'Equipe.
43:13Est-ce que tu pourrais nous expliquer, vraiment sur le plan technique,
43:15qu'est-ce qui t'a amené à choisir de mettre ou pas Meccano axe droit et Saliba axe gauche ?
43:20Et est-ce que tu trouves qu'au niveau du positionnement, ça s'est parfaitement bien placé ou il y a des axes d'amélioration ?
43:25Il y a toujours des axes d'amélioration.
43:27Après, c'est faire en sorte de mettre les joueurs dans les meilleures dispositions.
43:35Si j'ai fait ce choix-là, c'est parce que je pense qu'entre les deux,
43:39William est plus à l'aise que Dayot à gauche.
43:47Même s'ils ont les deux la possibilité de jouer à gauche et à droite.
43:54Ils sont plus habitués, pour William, à jouer à droite.
43:58Mais il n'a pas embêté parce qu'il a joué plusieurs saisons avant en étant à gauche.
44:02C'est mieux d'évaluer celui qui est le plus à l'aise.
44:05S'il y en a un qui est moins à l'aise, d'aller dans ce sens-là.
44:08C'est plus la relance ou c'est le défenseur ?
44:10Ça peut être les deux.
44:12Après, c'est droitier-gaucher.
44:16J'ai connu des droitiers qui étaient vraiment plus à l'aise uniquement à gauche.
44:22Pour les gauchers en général, même si ça arrive d'avoir des gauchers à droite.
44:27Après, c'est dans la position pour défendre.
44:30Et sorties de balles, oui.
44:32C'est important d'avoir le plus d'aisance possible pour sortir des zones de pression.
44:41Bonjour, Nicolas Legardien de Sud-Ouest.
44:43Comment vont Olivier Giroud et Dayot Upamecano ?
44:46L'un ne s'est pas entraîné mercredi, l'autre hier.
44:50Vous disiez après l'Autriche que les sorties de balles, vous pouviez mieux faire.
44:55Qu'est-ce qu'il faut mieux faire ?
44:57On peut toujours mieux faire.
44:59Vous l'avez dit.
45:01Je l'ai dit ?
45:03Je ne suis pas sûr d'avoir dit ça. Je ne me rappelle pas de tout.
45:05Mais bon, on peut toujours mieux faire.
45:07Après, il y a la qualité que peuvent avoir certaines équipes à venir pressier très très haut.
45:11C'était une des forces de cette équipe autrichienne.
45:16Les Pays-Bas peuvent le faire.
45:21En ce qui concerne Dayot et Olivier, ils seront en séance.
45:28Même si vous savez qu'elle sera plus courte que d'habitude.
45:32Puisque ça durera 45 minutes.
45:35Mais ils seront là.
45:37Bonjour, Didier Julienfranc pour Radio France.
45:40Dans le prolongement de cette question, comment va Konaté ?
45:43Est-ce qu'il peut postuler demain face au... ?
45:46Il est là. Il s'entraîne.
45:48Il n'a pas de soucis particuliers.
45:51Il a envie, comme les 24 autres, de pouvoir commencer le match.
45:58Mais ça ne sera pas le cas pour tout le monde.
46:03Bonjour, Didier. Charlotte Harper de l'Athletic.
46:07Antoine vient de dire que votre réussite, c'est le groupe que vous arrivez à construire.
46:14Est-ce que vous pouvez parler un peu de votre adjoint Guy Stéphan ?
46:18Comment il est ? Comment vous travaillez ensemble ? Merci.
46:24Le mérite, il en revient toujours aux joueurs.
46:29Évidemment, quand on a des listes à faire pour une grande compétition,
46:35on passe beaucoup de temps.
46:37J'échange beaucoup, évidemment, avec Guy Stéphan.
46:41Avec Franck Raviot et Cyril Moine, je sais que je peux m'appuyer sur eux.
46:47Avec Guy, on se connaît parfaitement.
46:50On n'a très souvent pas besoin de se parler pour penser la même chose.
46:56Ils sont là pour nourrir ma réflexion.
47:01Après, notre objectif, évidemment, le choix d'un groupe,
47:06la construction d'un groupe pour une compétition,
47:08ce sont des choix importants.
47:11Après, dans le suivi aussi, parce que quand vous avez 25 joueurs,
47:17il y en a qui jouent peu, il y en a qui ne vont pas jouer.
47:21C'est de faire en sorte, c'est un de nos objectifs importants,
47:26de perdre de personnes.
47:28On passe, bien sûr, moi, mais Guy aussi.
47:35Pas mal de temps avait échangé avec les uns et les autres
47:39pour maintenir tout le monde et que tout le monde soit prêt,
47:42même si au premier match, c'est normal qu'il peut avoir des déçus,
47:47comme il peut en avoir au deuxième.
47:49Mais la force du groupe, pour moi, elle est au-dessus de la force individuelle.
47:54Ils s'inscrivent tous dans un collectif.
47:58On fait en sorte d'être très attentifs au groupe.
48:08Ça se complique.
48:15Il n'y a rien.
48:29Je veux dire, la qualité du match, le temps de jeu,
48:32est-ce plus délicat comparé à 2016, quand vous avez perdu ?
48:38Merci.
48:42Non, je n'ai rien.
48:43Il n'y a personne qui traduit, mais ce n'est pas grave.
48:45De comparer ?
48:46Oui.
48:52Je n'aime pas comparer 2016 ou 2021.
48:55Ça ne sert à rien de comparer.
48:56La constante qui revient à chaque fois, c'est des matchs d'une très haute intensité
49:03et la capacité qu'ont l'ensemble des équipes à répéter les efforts à haute intensité.
49:11C'est certainement lié au climat en Allemagne, où il n'y a pas de grosse chaleur,
49:19mais parce que les joueurs sont de mieux en mieux préparés et ont cette capacité-là.
49:24Donc, ça amène à avoir beaucoup de rythme.
49:28Évidemment, sur le premier match, il y a toute la fraîcheur possible.
49:34Après, elle peut diminuer un petit peu, puisque le fait d'avoir des matchs tous les quatre jours,
49:40ce n'est pas pareil que de l'avoir tous les cinq jours.
49:44Mais j'ai déjà vu les premiers deuxièmes matchs.
49:50Évidemment, il y a de la qualité, du talent.
49:52Il peut y avoir des erreurs.
49:54Il y a des joueurs qui ont cette capacité aussi de percussion, d'éliminer.
50:02Mise à part, je crois, Moussala aujourd'hui.
50:06Autrement, il n'y a que sur les 34 premiers buts, c'est 34 joueurs différents.
50:12Je pense que ça n'a pas dû arriver souvent.
50:15Ce qui veut dire que le danger vient un peu de partout.
50:18Ce n'est pas forcément que des attaquants.
50:20Aujourd'hui, il y a des joueurs de couloir ou des milieux qui se projettent beaucoup.
50:25Toutes les équipes sont très bien organisées.
50:30Avec la capacité, évidemment, c'est toujours moins difficile, je ne vais pas dire plus facile, de bien défendre.
50:39Mais après, ça se projette très vite aussi.
50:43On prend rapidement les deux dernières questions.
50:45Fabrice Hawkins pour RMC Sport et Dominique Sévrac pour Le Parisien.
50:49Bonjour Didier.
50:50Deux questions.
50:51Non, une.
50:52Sur Kylian Mbappé.
50:53Très rapidement.
50:54Est-ce qu'il va pouvoir utiliser son masque ?
50:56Est-ce qu'il l'a reçu pour commencer à s'inscrire tout à l'heure à l'entraînement ?
51:00La deuxième, sur Aurélien Chouameni.
51:02Comment va-t-il ?
51:04Quel rôle est-il amené à avoir dans ce tournoi, notamment avec les bonnes performances d'Adrien Rabiot et de N'Golo Kanté ?
51:12Eh bien, je devais venir avec ces questions.
51:15Oui, de toute façon, Kylian, oui, il portera un masque.
51:18Ça, c'est sûr.
51:19Après, pas besoin de savoir qui, comment, pourquoi.
51:22De toute façon, vous avez suffisamment d'infiltration pour arriver à savoir d'où ça vient, d'une manière ou d'une autre.
51:29Aurélien, évidemment, de part ce qu'il a réalisé, le fait d'avoir fait les deux fois 30 minutes en opposition aussi,
51:39la cicatrisation est bonne, donc c'était prévu plus ou moins comme ça qu'il puisse être disponible.
51:50Après, statut, oui, forcément.
51:53Je vous l'ai dit déjà, lorsqu'on était en préparation au milieu de terrain, ils pouvaient être tous titulaires.
51:59Mais ils ne pourront pas tous jouer.
52:03Il y aura des relais à prendre aussi.
52:06Mais Aurélien, de part ce qu'il a fait, est en meilleure condition que lors du premier match où je ne l'ai pas utilisé,
52:16pour la simple et bonne raison, même s'il était disponible, parce qu'il y avait d'autres joueurs qui étaient plus près que lui.
52:23Là, il y a un deuxième match, il y en aura un troisième.
52:26Je vais penser déjà à celui de demain, mais vous verrez bien le rôle qu'il aura.
52:36Vous dites depuis le début que ce sera différent de l'Autriche.
52:40A quel match vous vous attendez ? Vous vous attendez à beaucoup subir, à ne pas voir le ballon ?
52:43A quel type de confrontation vous vous attendez ?
52:45Ce n'est pas gentil, ça.
52:47On fait en sorte de l'avoir plus que l'adversaire.
52:49Après, c'est un rapport de force, mais l'objectif, c'est de l'avoir et de les mettre en difficulté.
52:55Elle a cette capacité, dans les sorties de balles, de les faire d'une certaine façon,
53:02avec un positionnement bien précis de certains de leurs joueurs.
53:08Mais aussi, avant tout, c'est de faire en sorte de nous l'avoir et de pouvoir les obliger à défendre.
53:19Je fais en sorte d'anticiper, de penser.
53:25Après, s'il y a une erreur technique, ça peut être amené plus ou moins à défendre.
53:31Mais je ne veux surtout pas qu'on fasse ce match pour, comme premier objectif, défendre.
53:37Même si, au niveau, il faut être capable de le faire quand c'est nécessaire.
53:46Mais c'est d'abord aller de l'avant et faire en sorte de leur créer des problèmes.
53:51Merci, merci Didier. L'entraînement, 18h30, ouvert un quart d'heure. Merci.
53:55Merci.
53:58Voilà, Didier Deschamps qui était en conférence de presse.
54:01C'était Antoine Griezmann juste avant.
54:03Beaucoup, beaucoup de choses à retenir.
54:05Kyan Mbappé est à la disposition de l'équipe.
54:07Il portera un masque. A priori, il sera sur la feuille.
54:10On va le débriefer dans quelques instants.
54:12Puis il y a ce match au sommet entre l'Angleterre et Danemark
54:15avec Julien Allian et Yoann Rioux dans quelques instants.
54:17Début de la grande soirée. Débrief de la Comte des Bleus et match au sommet.
54:20A tout de suite.
54:27Sous-titrage ST' 501