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00:00Le marché c'est un peu difficile par rapport aux déménagements pour venir, en tout cas
00:23pour quitter là-bas pour venir c'est vraiment trop dépensé, ça fait que vraiment c'est
00:27un peu difficile. Par rapport aux prix, quand tu regardes le prix de cette année, l'année
00:32passée, c'est pas la même chose. Cette année il y a trop de difficultés, pour vivre même
00:36ces problèmes. Donc voir les camions qui sont en train de rentrer, là c'est pour gagner
00:39ces problèmes. Il faut dépenser vraiment, donc ça fait que c'est un peu compliqué.
00:42Mais il y a moins à faire avec. Quand tu viens, le prix que tu as, tu peux gagner ton mouton.
00:46Tu as 125 000, tu peux gagner ton mouton. Tu as 150 000, tu as 200 000, chaque mouton
00:50a son prix. Donc ce n'est pas facile, cette année ce n'est pas facile.
00:54Ça ne marche pas, cette année ça ne va pas. Nous on a chargé l'autre côté là.
00:58Nous on a perdu notre barrage, tout, tout, tout. Donc les gens ont peur de venir vendre
01:02des moutons, que les pays là, bon, les pays là on ne sait pas pourquoi. On prie Dieu
01:06qu'année là ça ne marche pas. En tout cas ça ne marche pas. Donc ce mouton là aussi
01:10c'est cher. Donc le mouton a 250 000, 260 000. Donc les moutons, 200 000 c'est petit,
01:17150 000 aussi c'est petit. Donc il faut que les deux gouvernements en aient qu'en temps
01:21réglé cette problème. Les deux pays vasaires, il n'y a pas de problème ici. Donc on prie
01:25Dieu, que Dieu nous accorde deux pays là. Nous faisons les ventes de moutons, on était
01:30à Poboy. La fête restait au moins deux semaines. Ils sont venus casser Poboy. Ce qui a fait
01:35que nous sommes déplacés pour venir à Djamé. Ça fait que la clientèle qui venait auparavant
01:41à Poboy, cette année à Djamé, vraiment c'est un peu moins. Mais les bétails qui
01:46viennent aussi font que le prix a augmenté puisqu'on a fait beaucoup de choses. Sinon
01:51le prix est abordable de 80 000, 85 000, 100 000 à 300 000, à 400 000. Même 500 000,
01:58600 000 il y en a. Mais nous demandons aux clients de venir, puisque les bétails commencent
02:03à venir, parce que l'État a facilité un peu la route pour que les bétails puissent
02:06rentrer. Donc nous demandons aux clients de venir. Il y a tous sortes de prix. Il y a
02:10les bons moutons qui sont gros. Vraiment il aura de quoi satisfaire toute la population
02:14de la Côte d'Ivoire. Inch'Allah, la fête de Tabaski 2024 serait une fête vraiment
02:18merveilleuse et radieuse. Dieu est Dieu, avec Dieu, ça va aller.
02:21Moi-même d'abord, ici on est le deuxième bâtiment. Mais vu la saison, donc les bâtiments
02:28ont arrêté de faire le bâtiment. On ne peut pas continuer d'attendre les publics,
02:31c'est bizarre. Donc le raison pour laquelle ils ont décidé de venir me défendre ici.
02:34En tout cas, beaucoup de personnes sont venues. Et dans ça aussi, on gagne un peu en main.
02:38Les prix sont moins chers cette année par rapport à l'année passée. Plus moins chers
02:42Je pense qu'on peut gagner des moutons à 65 000, 70 000. Tous les moutons étaient,
02:46du plus petit même, c'était à 100 000 l'année passée. Et du plus grand, c'était
02:52à 250 000, 230 000. Donc cette année vraiment, on avait un grand score. Malgré tout, on
02:57est quitté à l'étranger. Bon, l'année passée, vraiment, les moutons
03:01sont venus beaucoup. Eux aussi, c'était moins cher. Mais cette année, avec les trucs,
03:06ils ont cassé le coin. Genre, si on dit qu'on va calculer tout sur la fête, on doit
03:12enlever tout dans l'argent des moutons. Donc, il faut qu'on mette un peu plus à voix
03:17aussi. Là, quand ici, si on vient, on nous chasse aussi. On sait comment on a un peu
03:23pour aller ailleurs. Le prix moins cher, bon, 100, 150. Moi, pour 100 même, l'année
03:29passée, tu pouvais avoir ça entre 110. Mais maintenant, c'est 100. Il y a pour 150 000
03:35aussi. Pour 150 000, l'année passée, on faisait ça à 100.
03:38Non, c'est un client. Ils viennent. Voilà pourquoi ça nous encourage même. Les moutons,
03:43on sait que non, ça ne gagne pas. Mais on donne à ça. Parce qu'ils se déplacent.
03:47Les mâqueries, pour moi, c'est à les clients qui quittent là-bas pour venir ici, pour
03:50venir faire le marché. Donc, c'est quoi, nous aussi, ça nous encourage. On les donne.
03:55Après, non, même si c'est 5 000, on gagne dessus. On donne. 7 500, on donne.
04:00Je suis venu depuis que j'étais à Brocco, au service. On adore. Quand ils ont cassé
04:05le point, ils ne venaient jamais ici. Ça a eu 4 ans. Maintenant, on s'est développé
04:09ici un peu. Cette année, moi, je vois que les prix sont encore bons. Le moment d'abord.
04:13Les gens viennent payer. Le prix est bon. Quand c'est cher, on ne peut pas trop s'enfuir.
04:19Les clients vont partir. Le prix est encore bon d'abord. Les têtes sont en train de venir
04:24un peu aussi. Dès que ça commence à manquer, peut-être le prix va changer, mais on ne
04:27va pas savoir. Sinon, plus ou moins, on vend. Un jour, on peut vendre au moins 10 à 15.
04:34Je m'en rappelle peut-être.