• il y a 6 mois
Transcription
00:00 Bonjour, excellence.
00:02 Vous devriez parler en russe, mais malheureusement j'ai oublié mes leçons de russe à l'école de médecine.
00:16 C'était un plaisir de rencontrer la Russie en général.
00:21 C'était un grand honneur pour la Guinée et pour moi-même de vous rencontrer en tant qu'ami.
00:31 Il faut que vous remettiez l'apprentissage de la langue russe pour parler en russe.
00:50 J'ai oublié le russe depuis que je suis allée à l'école de médecine.
01:05 Je suis au nom du chef de l'État, qui va recevoir le prize bienvenue en République de Guinée, en Afrique.
01:34 Je vous souhaite une bonne rencontre.
01:39 Je vous souhaite la bienvenue en République de Guinée, en Afrique.
01:44 Je vous souhaite la bienvenue en République de Guinée, en Afrique.
02:09 Nos relations sont devenues récentes.
02:17 Elles sont encore très anciennes.
02:20 Je pense qu'il faut renforcer ces relations.
02:23 Le principe de la démocratie, c'est ce qui a poussé le général de la Grande Armée de la République de l'Ontario à prendre sa histoire.
02:37 Et après ça, on est toujours en train d'avoir des surprises dénigrées.
02:42 Cette fois-ci, nous voulons faire une constitution qui sorte des entrailles de notre population.
02:53 En parlant de la constitution, on peut noter que la constitution russe a été inspirée par l'histoire de la Russie.
03:00 C'est la même chose pour les États-Unis et la France.
03:02 Pour nous, on a toujours eu une certaine légitimité intellectuelle.
03:05 C'est pourquoi nous avons très souvent copié et apporté à notre base la constitution d'autres pays,
03:11 en particulier la France ou le Code de Napoléon.
03:13 Mais cette constitution n'est pas réelle aujourd'hui.
03:16 Elle n'est pas adaptée à notre histoire.
03:18 Nous avons donc décidé que pour ne pas avoir de surprises dénigrées,
03:22 nous allons faire notre constitution qui sera responsable de ces réelles choses.
03:38 Nous travaillons actuellement pour que les riches de notre pays soient mis en main par le peuple d'Algérie.
03:47 Il y a eu des bancars, il y a eu des fuites, il y a eu beaucoup de problèmes immédiats qui sont là depuis 50 ans.
03:55 La boxe, ça sort, mais vous avez vu, mesdames et messieurs, vous avez vu les routes.
04:00 Pas de routes, pas d'eau, pas d'électricité.
04:04 Or, la Russie paye ce qu'elle prend.
04:09 Où est partie cette argent ? Où est partie l'argent pendant ces 50 ans ?
04:13 Donc le général Gugliel pose cette question.
04:19 Où est l'argent que vous avez payé pendant 50 ans ?
04:23 Pour la recherche, il est ramené dans les poches des États-Unis.
04:27 Et en plus j'ai que cela mis en place.
04:31 En revenant à notre histoire, à ce qui s'est passé pendant ces 50 ans,
04:35 nous voyons que nous avons différentes entreprises,
04:37 comme l'entreprise d'Epoxid, qui travaille.
04:40 Mais malgré l'argent qu'elles nous donnent, malgré toutes les investissements des investisseurs,
04:44 nous n'avons toujours pas de routes normales, pas d'eau, pas d'électricité.
04:48 Nous savons que la Russie, comme investisseur, paye de façon équitablement pour les ressources qu'elle utilise.
04:55 Mais nous nous demandons toujours où se trouve notre argent.
04:58 Cette question est posée par notre président de la période de transition,
05:02 monsieur Dumbouyat.
05:03 La mission globale est de faire en sorte que ces argents
05:06 soient mis dans les poches des États-Unis.
05:09 Je pense que nous pouvons se baser sur l'expérience que la Fédération russe a,
05:21 en utilisant les ressources naturelles et les investissements
05:25 qui sont obtenus par ces investissements.
05:29 Je vous donne la parole et je vous propose de faire des consultations amicables.
05:43 Il n'y a pas de questions qui seront tabouées.
05:46 Nous sommes ici en courbe de nos amis.
05:48 Nous allons répondre tranquillement et poser des questions intéressantes.
05:51 Si nous ne pouvons pas résoudre certaines questions,
05:53 vous aurez une rencontre avec le président de la Fédération.
05:55 Je pense que nous devons nous baser sur cette amitié.
05:58 Chers amis, vous avez très bien parlé de nos racines,
06:18 les racines de notre amitié, les racines et l'histoire de notre soutien
06:22 de votre pays à la scène internationale.
06:24 Regardez-le.
06:26 Il y a notre journaliste.
06:35 Il est derrière vous.
06:37 Vous pouvez le déplacer un tout petit peu pour qu'il puisse prendre les photos.
06:41 C'est le journaliste.
06:43 Vous masquez l'autre.
06:45 Le journaliste est assez fiable.
06:52 C'est vrai que nous avons reconnu la Guinée tout de suite après son indépendance,
07:05 après que son peuple s'est délibéré de la colonisation.
07:08 D'ailleurs, votre pays était le fer de lance de ce processus de la décolonisation.
07:20 Il était l'un des premiers pays à s'en débarrasser de la colonisation.
07:23 Nous apprécions hautement que la délégation de la Guinée ait participé aux deux éditions des Sommets Russie-Afrique.
07:40 Et la dernière édition, qui s'est tenue à Saint-Pétersbourg,
07:43 il y a eu une délégation de la Guinée que vous avez présidée vous-même, personnellement.
07:48 Aujourd'hui, j'espère que je pourrai remercier le président Vladimir Poutine,
07:52 et le président Dunguia, pour le félicitation de la Guinée.
07:55 Je vous souhaite une bonne fin de semaine.
07:57 Je vous souhaite une bonne fin de semaine.
07:59 Je vous souhaite une bonne fin de semaine.
08:01 Je vous souhaite une bonne fin de semaine.
08:03 Je vous souhaite une bonne fin de semaine.
08:05 Je vous souhaite une bonne fin de semaine.
08:07 Je souhaite remercier le président Dunguia,
08:10 et tous les remerciements de notre président Vladimir Poutine,
08:13 et surtout pour le message que le président Dunguia lui a envoyé
08:16 pour le féliciter de sa réélection en tant que président.
08:36 Bien sûr, nous avons déjà discuté un peu plus tard
08:40 de notre collaboration à l'échelle mondiale,
08:43 et notamment à l'ONU,
08:45 mais vous avez absolument raison de le dire,
08:47 les bases pour les développeurs de l'époque moderne
08:50 sont les liens économiques et investissants.
09:04 Les entreprises qui travaillent à la Guinée
09:07 utilisent les bons conditions
09:09 que l'Etat vous a proposées.
09:11 Nous espérons que ces actions
09:13 vont continuer à s'appliquer à l'échelle mondiale.
09:31 Nous avons quand même de bons indices
09:34 en ce qui concerne le volume d'échanges,
09:36 même si l'année dernière il y a eu une légère baisse
09:39 de ce volume d'échanges,
09:41 mais pourtant nous avons de bons résultats
09:43 en matière de la croissance économique.
09:46 Et nos entreprises toujours payent attention
09:49 à l'aspect social de leur travail,
09:52 et ne se déroulent pas sur le fait
09:54 que les entreprises ne sont pas des entreprises.
09:58 Et nos entreprises toujours payent attention
10:01 à l'aspect social du travail,
10:03 c'est quelque chose dont elles se portent responsables.
10:26 La plus grande investition russe en Guinée
10:29 est celle de la compagnie Roussal.
10:32 Au lieu de l'obtention d'étoxides,
10:43 au lieu de l'offre d'emploi,
10:46 des milliers de citoyens en Guinée
10:49 réalisent un important programme social.
10:53 Et à part ces activités en exploitation d'étoxides,
10:56 à part la création des milliers d'emplois pour les Guinéens,
10:59 je pense que Roussal travaille aussi
11:01 en programme social très important.
11:05 En 2014, Roussal a fait un important effort
11:08 pour améliorer la capacité des Guinéens
11:11 à se battre contre la COVID-19.
11:14 Et les dernières années,
11:17 quand la pandémie a été éclatée,
11:20 des pas similaires ont été pris
11:23 pour créer des opportunités pour vous.
11:26 Je suis professeur de la philosophie
11:29 et de l'étudiantisme de la Guinée.
11:32 Je suis professeur de la philosophie et de l'étudiantisme
11:35 et de l'étudiantisme de la Guinée.
11:38 Il y a d'autres compagnies qui travaillent,
11:59 mais je ne vais pas en parler.
12:02 Je veux juste rappeler que nous espérons
12:05 qu'il est possible de rénover rapidement
12:08 la coopération entre les commissions de gouvernement
12:11 et les partenaires économiques
12:14 qui ont été en contact depuis 2019.
12:27 Nous avons récemment apporté notre présidence,
12:30 donc il n'y a pas de précaires.
12:33 Nous avons d'abord d'accord sur la date.
12:36 Nous avons des choses à discuter avec vous,
12:50 mais nous devons aussi considérer
12:53 la coordination de nos actions sur le plan international,
12:56 surtout en lien avec l'ONU,
12:59 en lien avec l'Afrique et la Russie.
13:02 Je pense que nous pourrons vous informer
13:05 des résultats de nos discussions.
13:08 Le président va recevoir son avis aujourd'hui.
13:11 C'est bon, t'as bien compris.

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