[#Journal ] Le 19H30 du 27 mai 2024

  • il y a 4 mois
[#Journal ] Le 19H30 du 27 mai 2024

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00:00Nous sommes le lundi 27 mai 2024, mesdames, mesdemoiselles et messieurs, bonsoir, c'est
00:20l'heure de votre 19h30 sur Gabon Media Time.
00:23Dans l'actualité ce soir, le chef de l'État, le général de brigade Brice Clotaire Oliginguema
00:28est attendu à Paris ce mardi 28 mai 2024, un déplacement qui revête un enjeu crucial
00:35et sera l'occasion pour les deux pays de faire un tour d'horizon des différents dossiers
00:39et particulièrement le processus de transition en Gabon.
00:42La cour criminelle spécialisée a rendu son verdict le samedi 25 mai, cependant, malgré
00:48les explications de l'ancien directeur de cabinet du président Deschus qui démontre
00:52qu'il obéissait aux instructions d'Ali Bongo Ndimba, forcée de constater que Brice
00:58Lakrushalianga est coupé d'une peine très lourde.
01:00Nous débutons ce journal ce mardi 28 mai, le président de la transition, le général
01:05de brigade Brice Clotaire Oliginguema entamera une visite officielle en France, le renforcement
01:11des relations entre le Gabon et l'Hexagone sur le plan politique, le processus de transition
01:17mais aussi la coopération sur le plan économique sont des points qui seront évoqués durant
01:22ce séjour compte rendu.
01:24Ce déplacement du chef de l'État qui intervient neuf mois après le coup de libération du
01:2830 août 2023 du comité pour la transition et la restauration des institutions revêt
01:34un enjeu particulier puisqu'il sera l'occasion de mettre sur la table de nombreux dossiers.
01:40En effet, l'entretien entre le général de brigade Brice Clotaire Oliginguema et Emmanuel
01:45Macron permettra de revisiter la coopération bilatérale entre les deux pays.
01:50Il faut dire que le président de la transition du Gabon sera le premier président d'une
01:54transition dans un ancien prix carré de la France à être reçu par l'Elysée démontrant
02:00le positionnement stratégique du Gabon sur le plan international.
02:04Cette visite de cinq jours sera semble-t-il l'occasion de revoir en profondeur ce positionnement
02:10qui doit s'accorder avec les bouleversements de plus en plus fréquents dans le monde.
02:15Lors de son séjour en France, le général de brigade Brice Clotaire Oliginguema devrait
02:20vraisemblablement évoquer avec son homologue le chronogramme de la transition qui a été
02:24marqué par l'organisation du dialogue national inclusif et qui a accouché d'un rapport
02:30de mille propositions pour remettre le Gabon à flot.
02:33D'ailleurs, ces propositions n'ont pas manqué d'aborder les relations entre le
02:37Gabon et la France qui devraient faire l'objet d'éclaircissements dans divers domaines.
02:43A noter qu'outre l'aspect diplomatique, le président de la transition devrait prendre
02:47part le 29 mai prochain au forum d'affaires « Invest in Gabon » organisé par le Mouvement
02:53des entreprises de France Internationale, un événement majeur qui permettra aux chefs
02:57de l'État d'aller à la rencontre des milliers d'affaires français dans le but
03:01de présenter sa vision sur le plan économique.
03:03Ce forum s'articulera autour de plusieurs tables rondes sur les secteurs clés de l'économie
03:09gabonaise à l'instar des énergies, de l'agriculture, de l'agro-industrie et
03:13de l'agro-forestie, des mines et hydrocarbures, des infrastructures, de l'industrie et des
03:19services.
03:20Une aubaine pour les autorités gabonaises qui devrait permettre de présenter aux hommes
03:24d'affaires français non seulement les chiffres clés de l'économie nationale dont le taux
03:29de croissance devrait s'accélérer en 2024-2025 pour atteindre 3%, mais aussi les
03:35potentialités qu'offre le pays.
03:37Le samedi 25 mai dernier, le jugement rendu par la cour criminelle spécialisée a rendu
03:46son verdict à l'encontre de l'ancien directeur de cabinet du président de la République
03:52Brice Lakrush-Alianga.
03:53L'auditoire a été surpris de la lourde condamnation qui lui a été infligée en
03:58dépit d'un plaidoyer qui démontrait qu'il obéissait à l'Ibongo-Ndimba et à l'Isobanga.
04:03Si ce procès a été l'occasion de lever une partie du voile sur les différents éléments
04:08d'accusation portés à l'encontre de Brice Lakrush-Alianga, il a laissé quelque peu
04:14un goût d'inachevé au regard des autres acteurs cités tout au long de l'audience.
04:18Il faut dire que l'ancien directeur de cabinet du président de la République Ali Bongo-Ndimba
04:24était appelé à la barre pour s'expliquer sur les bonus qu'il a reçus sur instruction
04:29de son patron de l'époque et ce, d'habiter du compte de la Société internationale de
04:33services et de gestion, entreprise de droits privés.
04:37S'il est clair que les fonds dont il est question ont été générés par le redressement
04:41fiscal de la société Compagnie minière de l'Ouey, estimée à 155 milliards de
04:46francs CFA à l'État, puis de l'utilisation des dividendes versés par la dite société
04:52à la Société équatoriale des mines.
04:54L'auditoire a été quelque peu surpris que l'ancien ministre chargé du suivi de
04:58la stratégie des investissements humains ait été le seul, avec l'ancien ministre
05:02des mines Tony Ondomba, à répondre sur ce dossier, alors que le principal concerné
05:07Ali Bongo-Ndimba, encore moins certains de ses proches, ne soit appelé à la barre.
05:13D'ailleurs, si la course est arc-boutée sur l'immunité dont bénéficie le président
05:17déchu pour expliquer son incapacité à le faire comparaître, le ministère public,
05:22dans son réquisitoire à 100 fioritures, relevait que cette immunité devrait bénéficier
05:27également à Brice Lacroix-Alianga, car il agissait sur instruction du mandant, c'est-à-dire
05:34Ali Bongo-Ndimba, himself.
05:37Qu'est-ce qui explique donc cette condamnation et surtout, quid des autres personnalités,
05:42ayant bénéficié des mêmes largesses dont les noms ont été cités, ne sont toujours
05:46pas inquiétés par la justice ?
05:48Autre fait pour le moins curieux, l'absence de preuves tangibles sur la nature publique
05:53des fonds, pour étayer les accusations de détournement de déni public contre l'ancien
05:57secrétaire de cabinet du président de la République, Brice Lacroix-Alianga, une situation
06:02qui, pour de nombreux observateurs, laisse penser que la justice, à travers son jugement,
06:07souhaitait faire de ce dernier le bouc émissaire de la gestion chaotique du deuxième septennat
06:12du régime Ali Bongo-Ndimba, alors que ce dernier n'était qu'un simple exécutant.
06:18En économie, afin de diversifier l'économie du pays, le gouvernement table sur la reprise
06:26du secteur pétrolier pour se faire la promotion d'une industrie pétrolière autochtone,
06:32et fortement envisageait ce qui nécessite la mise en place d'importantes réformes
06:36cellulaires, notamment de l'acquisition des actifs d'Asala Energy, qui devraient
06:41se concrétiser grâce à l'arrivée probable du géant pétrolier britannique British Petroleum.
06:46A quelques jours de la fin du délai de préemption accordé à Gabon Oil Company pour le rachat
06:53des actifs d'Asala Energy au fonds américain Carlyle Group, on en sait un peu plus sur les
06:59possibles repreneurs aux côtés de l'État gabonais. Selon toute vraisemblance, ce devraient être le
07:03duo Trafigura-British Petroleum, pour deux raisons. La première d'ordre financière,
07:09puisqu'à eux deux, les deux géants pèsent plus de 500 milliards de dollars d'actifs,
07:13et la seconde d'ordre opérationnel. Trafigura, qui lorgne également le secteur gazier gabonais,
07:19dispose d'une solide expérience sur le continent, avec notamment une maîtrise de la logistique
07:25pétrolière. Quant à BP, il ne reste ni plus ni moins que le huitième opérateur pétrolier au
07:31monde. En effet, comptant parmi les plus anciennes compagnies pétrolières au monde, British Petroleum
07:36s'est forgé une solide réputation grâce à des acquisitions comme celles qu'elle pourrait
07:41officialiser au Gabon dans les prochains jours. Son arrivée probable dans le paysage pétrolier
07:46local à l'heure où les autorités veulent renforcer leur présence et leur impact pour
07:51en tirer de meilleurs profits peut être considéré comme un gage de stabilité. L'État gabonais qui
07:56envisage de faire la promotion d'une industrie pétrolière autochtone dans sa volonté de reprise
08:01en main du secteur, pourrait ainsi s'appuyer sur la longue expérience de l'opérateur britannique,
08:07non seulement en matière de production, mais aussi pour ce qui est du raffinage.
08:11British Petroleum pourrait potentiellement avoir un impact significatif sur le secteur
08:17pétrolier gabonais en raison de son expertise, de ses ressources et de sa portée mondiale.
08:22Son entrée sur le marché pourrait entraîner des investissements substantiels avec le développement
08:28d'infrastructures telles que des plateformes de forage, des pipelines visant à contribuer,
08:33à moderniser et à développer les capacités de production pétrolière de notre pays,
08:38avec une technologie et une expertise avancées dans l'exploration, l'extraction et le raffinage
08:44du pétrole. Elle pourrait également introduire des techniques innovantes et des meilleures
08:48pratiques pour améliorer l'efficacité et maximiser la production dans les champs pétroliers.
08:54De plus, soucieux de restructurer la seule et unique raffinerie du pays, en l'occurrence la
08:59société gabonaise de raffinage, l'État gabonais qui devrait sans nul doute dérouler le tapis rouge
09:05à cet investisseur, a la forte empreinte énergétique qui prévoit d'engager jusqu'à 2 milliards de
09:10dollars US dans les énergies vertes d'ici peu, pourrait également y voir une opportunité de
09:15taille dans l'optique d'une privatisation de l'outil productif de la raffinerie.
09:19Un autre aspect majeur de cette possible venue du britannique dans notre bassin sédimentaire,
09:24en plus du fait qu'il devrait largement contribuer à libéraliser un secteur jusque là dominé par
09:29des opérateurs venus de France, une pluralité d'opérateurs venus d'horizons différents avec
09:34des méthodes différentes pour un rendement qui le sera tout autant.
09:38Entre création d'emplois et développement des compétences, la présence de BP pourrait
09:42créer des opportunités d'emploi pour les citoyens gabonais dans divers secteurs,
09:46notamment l'ingénierie, les opérations et l'administration.
09:51Une bonne chose quand on sait qu'elle devrait tout mettre en oeuvre pour la concrétisation
09:55d'un projet de maîtrise du comptage en temps réel du pétrole brut destiné à l'exportation.
10:01A noter que sa présence sur le marché local et régional pourrait modifier le paysage
10:06concurrentiel, influencer les prix, les niveaux de production et la dynamique du marché,
10:11bénéficiant potentiellement à la fois au gouvernement et aux autres acteurs du secteur.
10:17Dans un rapport publié le 24 février 1989, la Banque mondiale partenaire du Gabon présentait
10:27déjà les défis en matière d'entretien routier. 35 ans plus tard, toujours en piteux état,
10:33toute chose qui souligne le centiternel défi de l'entretien routier et commentaire.
10:37A son arrivée au pouvoir le 30 août dernier, le Comité pour la transition et la restauration
10:42des institutions du Gabon s'engage dans une phase cruciale de transformation nationale
10:48avec la mise en oeuvre de missions stratégiques. Au titre de ces missions, l'aménagement et la
10:54réhabilitation de nombreuses infrastructures routières. C'est ainsi que plusieurs voiries
10:58secondaires jusque-là négligées ont subi une véritable cure de jouvence avec une innovation
11:04majeure, le béton. Une excellente initiative de la part des nouvelles autorités. Cependant,
11:10une question reste en suspens. Quels moyens seront mis en oeuvre pour le suivi et l'entretien de ces
11:16nouvelles voies ? C'est là où le bas blesse. Dans une étude placée sous le thème « Quelle
11:21stratégie d'entretien routier au Gabon » publiée au milieu des années 2000, le ministère des
11:27travaux publics de l'équipement et de la construction présentait déjà les failles
11:31en matière d'entretien routier. Non pas par manque de moyens, puisqu'un vaste programme de 50
11:37milliards de francs CFA co-financés par les partenaires techniques et financiers et l'État
11:43gabonais sur la période 91-94 était élaboré et mis en oeuvre, mais plutôt par absence de contrôle.
11:51C'est bien là toute la problématique liée à l'entretien routier et qui occasionne cette
11:56centiternelle dégradation de notre réseau routier, le Gabon pointant à la 30e place
12:02continentale en matière de qualité de route. En effet, de programmes triennaux et programmes triennaux,
12:09de fonds d'entretien routier en fonds d'entretien routier, en passant par l'Agence nationale des
12:14grands travaux d'infrastructure et plus précisément le Fonds autonome national d'entretien routier,
12:20rien n'y fait. Même en intégrant le principe de privatisation partielle de l'entretien routier,
12:26pas grand chose n'a évolué. Au contraire, les dérapages budgétaires et autres détournements
12:31de fonds se sont multipliés, du fait notamment de l'absence de rigueur et de nombreuses failles
12:37dans le processus de passation de marché public. Mais alors, comment remédier à cette situation
12:42qui aubergue clairement notre processus de développement et affaiblit notre volonté de
12:48diversification économique ? Si dans notre énième plan de développement, l'exécutif gabonais a
12:55prévu d'injecter par moins de 1300 milliards de francs CFA pour la construction, la réhabilitation
13:01et la modernisation du réseau routier national, les failles en matière de gouvernance de projets
13:07et l'inefficacité des cellules de suivi pourraient en être le premier et principal frein. On constate
13:14là encore que ce n'est pas l'argent le problème de fonds. Avec un réseau routier comptant 9170
13:20kilomètres de routes classées et non classées, dont moins de 1000 kilomètres seulement sont bitumées,
13:25le défi de la construction est immense et celui de l'entretien l'est tout autant. Heureusement,
13:31certains pays comme le Japon, qui dispose du meilleur réseau routier au monde, sont passés
13:37maîtres dans l'art de l'entretien routier avec des méthodes traditionnelles comme le DONU,
13:41actuellement expérimenté au Burkina Faso, un autre pays en transition. Le Japon, qui est
13:47également un partenaire stratégique du pays, pourrait donc être d'une grande aide dans ce
13:53domaine, notamment grâce à l'agence internationale de la coopération japonaise qui multiplie les
13:58initiatives visant à améliorer les conditions de vie des populations gabonaises, qu'elles soient
14:03urbaines ou rurales. À charge donc aux autorités de repenser leur modèle de développement en la
14:09matière, avoir à peine 10% de routes bitumées pour un pays comme le nôtre reste tout de même
14:16gênant à plusieurs égards. La mairie du deuxième arrondissement de Libreville a élu pour siège
14:24provisoire un building situé derrière l'immeuble du ministère des eaux et forêts. En effet, les
14:30bureaux étant désormais au septième et huitième étage, les personnes à mobilité réduite se
14:35retrouvent donc dans l'incapacité d'accéder aux services de la mairie, un fait qui les laisse en
14:40marge Iris Obanga. La délocalisation des locaux de la mairie du deuxième arrondissement de
14:44Libreville laisse tout de même l'opinion perplexe et pour cause les bureaux dans lesquels les agents
14:49municipaux sont installés provisoirement se situent au septième et huitième étage d'un
14:54immeuble, ce qui représenterait un parcours du combattant pour les personnes ayant des difficultés
14:58à se déplacer. En l'absence d'électricité pour emprunter l'ascenseur, ces derniers ne pourront
15:03pas monter jusqu'au huitième étage, ce qui est totalement discriminatoire et ne respecte pas le
15:08principe de l'égalité de droits et des chances permettant aux personnes handicapées de participer
15:12pleinement en tant que citoyens. Lorsqu'on décide de délocaliser les locaux d'une administration,
15:17il faudrait que le nouveau siège réponde à toutes les normes afin de permettre aux personnes à
15:22mobilité réduite de pouvoir circuler comme n'importe quel autre usager dans un établissement
15:26recevant du public et cela nécessite notamment la mise en place de systèmes spécifiques pour ces
15:32derniers tels que des rampes d'accès pour faciliter le franchissement d'un seuil en cas
15:36de handicap moteur, des boucles magnétiques pour guichet dans le cas du handicap auditif,
15:40des balises sonores pour le handicap visuel sont en quelque sorte des équipements indispensables
15:45dans les lieux publics pour les personnes à mobilité réduite. Malheureusement, ces éléments
15:49semblent totalement inexistants dans les nouveaux locaux de cette municipalité, un fait qui démontre
15:54que l'inclusion des personnes en situation de handicap est loin d'être prise en compte dans
15:58nos sociétés qui est pourtant en train de vivre la transition. D'ailleurs, d'où est venue l'idée
16:03d'installer des locaux d'une mairie au septième et huitième étage d'un immeuble sachant que la
16:07mairie est un lieu où il y a toujours de l'activité. Notons que le terme de personnes à
16:11mobilité réduite ne regroupe pas uniquement les grandes formes de handicaps facilement identifiables
16:16que sont le handicap moteur visuel, auditif et cognitif. Il fait également allusion à d'autres
16:21situations qui sont un âge avancé, la grossesse, une blessure ou le transport d'un enfant à l'aide
16:28d'une poussette. En sport, malgré l'annonce faite par le chef de l'État, Brice Clotaire,
16:36Oleg Nguema, de relancer la reprise du National Foot 1 et 2, les mécanismes financiers mis en
16:43place semblent ne pas suivre et pour cause, adosser un financement par les sociétés
16:48pétrolières et minières via les fonds RSE particulièrement décaissés ne permettrait pas
16:53l'organisation des cessus des compétitions de l'INAFEM et l'INAFEP. Karl Mackenba invité à apporter
17:01des éclaircissements sur les blocages rencontrés dans la reprise du National Foot 1 et 2. Malgré
17:06les annonces du président de la transition, Brice Mbika Ndiangbo n'est pas allé par quatre chemins
17:11et a décrié le mécanisme financier mis en place. Pour le patron de la Ligue Nationale de Football
17:16Professionnel, le bricolage ayant conduit à une dépendance à l'aide privée est éprouvé et ce
17:22en raison des retards de virements. 4,5 milliards mais comment ? C'est toute l'interrogation soulevée
17:29par le président de l'ANINAF lors de son passage à l'émission Le Club de Dimanche du 26 mai 2024,
17:35pris à partie par les journalistes sur une présumée avance de 1,2 milliard nécessaire à l'entame des
17:41activités du National Foot 1 et 2, Brice Mbika Ndiangbo a nié en bloc. Nous n'en sommes pas
17:47informés, a-t-il souligné. Non sans manquer de rappeler les grandes lignes d'appui de l'État via
17:53les responsabilités sociales des entreprises pétrolières et minières. A ce propos, le président
17:58de l'ANINAF a mis tout au clair. Ce qu'il faut retenir c'est que la compétition est financée
18:03par le RSE des entreprises pétrolières et minières, a-t-il déclaré. Occasion de préciser qu'un budget
18:09a été arrêté puis arbitré par le ministère des Sports. Aussi, ajoute-t-il, la sollicitation qui a
18:16été faite est de 4,5 milliards de fonds CFA répartis entre trois entités, nos championnats
18:21scolaires et universitaires à 1 milliard, l'ANINAF 2,2 milliards et l'ANINAFM à 1,3 milliard de
18:29fonds CFA. A ce jour, seul le budget du CSU aurait été versé, les 3,5 milliards toujours attendus.
18:36Le chiffre de ce lundi 27 mai 2024 est 1,215,839. C'est le nombre d'hommes au Gabon,
18:46soit 50,2% de la population. La source n'est autre que Countrymeters.
18:51Pour un final à cette édition d'information, bon début de semaine à tous et à demain.
19:06Sur vos différents réseaux sociaux.

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