• il y a 7 mois
L'invité du jour de Télématin est l'humoriste Willy Rovelli.

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Transcription
00:00 Notre invité est humoriste, animateur télé, animateur radio et cet homme-là, il a une particularité, il ne vieillit pas.
00:07 - Non. - Bonjour Willy.
00:09 - On ne vieillit pas, mais toi non plus. - Oh c'est gentil.
00:11 - On se tue, toi on se voit. - Oui, moi je dis tu, mais après tu fais, toi on est en télé, toi t'es obligé de me dire vous.
00:16 - Voilà. - Mais moi je peux dire tu parce que je suis l'invité.
00:18 - Non mais c'est vrai, vous restez incroyablement genouille. - Voilà.
00:22 - Non mais sans blaguer, du sport quand même, faites attention.
00:24 - Un petit peu oui, bah là avec l'âge on est un peu obligé quoi, mais j'ai pas grandi non plus.
00:28 - Vous avez basculé de dizaines ou pas là, au niveau de l'âge ?
00:31 - Bah oui, mais enfin comme je monte sur mon âge, je vais dire non, mais sinon un peu oui quand même.
00:35 - On est d'accord, il y a un 5 devant. - Non, alors arrêtez tout de suite.
00:39 - On sait accueillir nos invités les dimanches, mais t'es censé pas tout faire.
00:41 - Mais ouais, non, t'es censé mettre les gens à l'aise.
00:43 - Ah bah vous allez, ah bah alors en matière d'alaise, vous allez voir, vous allez être gâtés, Charles Willy, on va parler de votre actualité bien évidemment.
00:47 Sur France 3, nouvelle émission, la saison de Fort Boyard 2024 qui va commencer, mais j'ai une question d'emblée.
00:53 Vous étiez où le 29 mars 1998 ?
00:58 - Le 29 mars 1998, je ne sais pas, où est-ce que j'étais ? J'étais chez, j'étais ici.
01:04 - C'était sur cette chaîne. - Ah j'étais sur France 2.
01:07 - Sous vos applaudissements. - Ah bah ouais.
01:09 - Non, alors j'ai souhaité commencer par ce document parce que je trouve que c'est très émouvant et vous aviez déjà beaucoup de talent à l'époque.
01:14 Donc l'émission "Sous vos applaudissements", c'est une émission de Jacques Martin, sauf qu'à cette époque Jacques Martin est souffrant,
01:19 donc il est remplacé par Jean-Claude Brialy, c'est un concours pour être animateur. En gros c'est le "The Voice" pour les animateurs de l'époque.
01:25 Et alors je trouve que face à Jean-Claude Brialy, qui quand même, j'ai eu la chance de le connaître, c'est quelqu'un qui avait beaucoup de répartie,
01:31 je trouve que vous avez un aplomb face à lui. Regardez, donc nous sommes en 1998, Willy souhaite être animateur. Regardez.
01:39 - Alors le gentil groupe passe un sifflet pour un acteur assez terrible.
01:43 - Bonjour. - Bonjour, ça va William ?
01:46 - Ça va et vous ? - Très bien, vous n'avez pas trop peur ?
01:48 - Non, moins que vous. - Vous avez grandi... Comment il me dit lui ?
01:51 - Non, non, enfin non, j'ai pas peur. - William, vous n'avez pas grandi depuis la semaine dernière.
01:55 - Non, toujours pas. - Vous avez mis une chemise bien voyante pour que votre maman vous reconnaisse.
01:58 - Exactement. - Très bien, les chaussures sont assorties à la chemise.
02:01 - Elles sont assorties, voilà. - Vous avez un certain goût.
02:03 - Voilà, vous, vous venez pour le concours des jeunes animateurs ? - Non, je viens pour celui-là.
02:06 - Voilà, t'es là-bas, hein. - C'est pour les vieux animateurs.
02:09 - Ah oui, ben non, parce qu'il l'a remplacé au pied levé Jacques Martin. - Mais oui, évidemment.
02:14 - Mais qu'elle aplombe, parce que j'imagine qu'intérieurement ça bouillonne, il y a la trouille.
02:17 - Ah ben oui, oui, non, j'avais la trouille, j'étais passée, donc, 15 jours avant, avec Jacques Martin.
02:21 Et puis là, après, c'était, vous voyez, demi-finale, machin, machin.
02:24 - Et vous aviez gagné. - Et voilà, oui, oui.
02:26 Mais il y a des gens célèbres qui sont sortis quand même de cette affaire, mis au lieu.
02:29 - Bien sûr. - Il y a quelques personnes comme ça.
02:31 Mais c'était... Non, non, mais c'était impressionnant.
02:33 - C'est un bon souvenir. - J'avais même 18 ans. - Théâtre de l'Empire.
02:35 - Théâtre de l'Empire, le théâtre était plein de monde. Et puis voilà, c'était...
02:38 - Et déjà, déjà du talent, une vraie vie de talent.
02:40 - Et déjà le talent, et puis une belle chemise, enfin voilà, une espèce de... Une jolie voix, déjà.
02:44 - Ben c'est la même, ça, ça change pas, c'est pas grave.
02:46 Et quand je dis avec Yves-Édicard, c'est vrai que là, à 98, donc ça fait près de 30 ans,
02:49 26 ans, on n'est pas changé, quoi.
02:52 Allez, Willy, votre actu, donc c'est... Alors, Willy vient déjeuner chez vous, c'est quoi le concept ?
02:56 - Alors, ça, c'est un truc génial. Je suis très heureux de faire ça sur France 3.
02:59 - Le samedi. - Le samedi, à 12h55, voilà.
03:03 Donc en fait, je fais une émission sur France Bleu, qui s'appelle "On n'est pas à l'abri de faire une bonne émission",
03:07 qui est tous les jours entre 13h et 14h, et de temps en temps, on délocalise l'émission chez nos auditeurs.
03:12 On prend les micros, tac, on va chez eux.
03:14 Et puis avec France 3, on s'est dit "Tiens, ça pourrait être pas mal de faire, voilà, de filmer ces moments-là".
03:19 - Une déclinaison télé. - Une déclinaison télé.
03:21 Et c'est génial, voilà. Moi, j'adore aller voir les gens chez eux, de voir ce qu'ils font, où ils habitent, etc.
03:26 - C'est drôle, avec évidemment votre aisance, votre répartie. - Oui, voilà.
03:29 La prochaine, donc, c'est le samedi 8 juin, 12h55. Ça donne ça, regardez.
03:35 Je vais y apprendre tous des métiers de l'hôtellerie en participant au ménage.
03:40 - Oh, quel carnage ! - Réaliser des massages étranges dans une cave.
03:44 Je connaissais quelqu'un qui avait la même texture.
03:47 Et chose incroyable, découvrir les artistes d'un cabaret se déroulant dans une grange savoyarde.
03:54 - Rien m'habille, hein. - Ah bah...
03:56 Ouh, ça promet !
03:58 C'est drôle, parce que c'est prétexte à rencontrer des vrais gens, des activités, mettre les résumés en valeur.
04:06 Voir des histoires de famille. Ça, j'aime bien, des parcours.
04:10 On croise plein de jeunes comme ça, parce que là, je vais être un peu mon vieux con,
04:14 mais c'est vrai que souvent, on dit "Oui, les jeunes, ils ont plus envie de bosser, blablabla".
04:18 C'est pas vrai ! J'en ai croisé plein, des jeunes de 16, 17 ans qui veulent reprendre des affaires.
04:23 - Et puis, vous donnez de votre personne. - Ah oui, je me donne.
04:26 Regardez dans cet extrait notamment, c'est quoi ce grand écart ? Il y a un artiste...
04:30 Moi, j'adore cette séquence, parce qu'évidemment, vous vous reculez devant aucun sacrifice.
04:34 Aucun sacrifice, mais sauf que je suis pas souple. J'ai un petit problème de souplesse.
04:39 - Ah, c'est vrai ? - Voilà, et je suis raide. Non mais c'est une catastrophe.
04:42 En tout cas, vous testez tout. S'il faut manger, vous mangez.
04:44 - Non, non, je mange. - Si il faut mettre la table, mettez la table.
04:46 - Je fais la table. - Si il faut faire un grand écart...
04:48 Je fais tout ce que je peux faire, parce que j'ai un cachet qui est énorme.
04:51 Et quand je peux le justifier, je le justifie.
04:54 - C'est la conscience professionnelle. - La conscience professionnelle.
04:56 Donc, Willy vient déjeuner chez vous. La prochaine, c'est 12h55, le samedi 8 juin.
05:01 Tiens, on vient de recevoir un petit message de la part d'un téléspectateur réveillé tôt le dimanche matin.
05:08 - Ça serait bien. - C'est une personne dont on ne connaît pas l'âge.
05:11 - D'accord. - Et c'est Collector. Un message pour vous. Regardez.
05:15 Enfin, mon petit Willy, vous faites le beau sur le plateau de Télématin,
05:19 alors que moi, j'ai besoin de vous sur le fort pour préparer la saison 2024 qui va bientôt commencer.
05:24 Allez, allez, allez. Revenez, fils. Revenez.
05:27 - Je vais vous dire un truc, Damien. Là, c'est un peu midi net, ce que je vais dire,
05:31 mais à chaque fois que je vois le père Fouras sur le fort, ça fait 12 ans que j'y vais,
05:35 j'ai toujours un truc. De voir le père Fouras, j'ai l'impression de voir le père Noël.
05:39 - Évidemment, ça fait ça. - A chaque fois, on est d'accord.
05:42 - Merci au père Fouras. Merci, Anthony. Merci, Yann Le Gac. - Merci.
05:47 - Vous nous confirmez que vous serez dans la saison 2024. - Oui, ça y est, elle arrive bientôt.
05:50 Là, on vient de terminer les tournages. C'est tout, frère. On est rentrés vendredi soir.
05:53 - Le shérif Willy sera là ou pas ? - Alors, non. Cette année...
05:56 Parce qu'en fait, tous les deux ans, à peu près, il arrive une petite histoire à ce pauvre Willy Rovelli
06:02 qui est parfois maltraité. Donc là, il était en prison. Après, il a été le shérif des prisons.
06:07 Puis là, cette année, le père Fouras lui a dit « Allez, je veux bien... »
06:10 Là, je vais te balancer un scoop, madame. Je ne l'ai dit à personne.
06:13 - C'est vraiment pour vous. - Merci. On n'en parlera pas.
06:16 Le père Fouras a dit à Willy Rovelli « Voilà, allez, cette année, je veux bien que tu reviennes au fourneau.
06:22 Mais finis les conneries. » - On mange bien ?
06:25 - Tu me fais ça proprement, s'il te plaît. Je veux que tu t'habilles bien, que tu reçois correctement les gens.
06:32 - Je sors en tournoupe, donc vous recevez correctement, mais à manger, c'est immonde. - Voilà.
06:36 - D'accord. Donc on se réjouit. - Tu as bien résumé.
06:38 - Évidemment, Fort Boyard présenté par quelqu'un qu'on adore, Olivier Vigne. - Ah, bah oui, Olivier Vigne, c'est un amour.
06:42 - Et puis entre autres, tous les personnages, il y aura donc Willy. On va marquer une petite pause, Willy.
06:46 - C'est bien, marquons. - On va marquer. On revient avec Philippe Collignon, « Les fleurs ». Vous aimez « Les fleurs ».
06:51 - Ah oui, j'aime bien, sauf qu'elles meurent toutes chez moi.
06:53 - Alors, il a des solutions pour éviter qu'elles meurent. Et on part en pause avec un générique d'un des films de De Funès.
06:58 - Parce que j'adore Louis de Funès. - Parce que je sais que nous partageons encore cette passion pour Louis de Funès.
07:02 A tout de suite. Bon réveil. On revient.
07:04 *Musique*

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