After studying law in Mali, Aly MAÏGA returned to Burkina Faso, specifically to Ouessa, where he worked as a forwarding agent. But his desire to go into poultry farming caught up with him.
He started breeding with five hens and a rooster. Little by little, he carved out a place for himself in this sector. Today, Aly MAÏGA is the founder of "Établissements Maïga Aly et Fils" and employs around thirty people. He has around 4,800 head of chickens, 80 head of beef and around sixty goats and sheep.
Aly MAÏGA is an accomplished entrepreneur who is the pride of his family and friends, especially his son. His ambition over the next few years is to expand his business and make it a national and international success.
#AgribusinessTV #BurkinaFaso #Entrepreneurship #Breeding #Farming
He started breeding with five hens and a rooster. Little by little, he carved out a place for himself in this sector. Today, Aly MAÏGA is the founder of "Établissements Maïga Aly et Fils" and employs around thirty people. He has around 4,800 head of chickens, 80 head of beef and around sixty goats and sheep.
Aly MAÏGA is an accomplished entrepreneur who is the pride of his family and friends, especially his son. His ambition over the next few years is to expand his business and make it a national and international success.
#AgribusinessTV #BurkinaFaso #Entrepreneurship #Breeding #Farming
Catégorie
🎥
Court métrageTranscription
00:00 Mon rêve c'était de finir un jour en entreprenant.
00:03 Que ce soit derrière un bureau ou pas autorisé à tout le monde.
00:06 À un certain moment, il faut savoir faire le choix.
00:09 J'ai fait mes études au Mali.
00:16 Quand je suis rentré au Burkina,
00:18 ma première passion c'était de faire le transit.
00:21 Et j'ai commencé à faire le transit survenu à Oissa en 2013.
00:27 En plus du transit, j'ai vu pourquoi pas faire de l'entrepreneuriat.
00:31 Avec les petits moyens que j'ai gagné au niveau du transit,
00:35 j'ai investi dans ce domaine là.
00:38 Prenais au moins 10 000, 20 000,
00:41 je payais le poulet et je desserais.
00:44 Les cinq poules et puis le coq,
00:48 à moins de 7 à 8 mois, c'est comme j'ai dit,
00:51 je me suis retrouvé avec une centaine de poussins.
00:54 Ma première vente m'a permis de payer un couple de chèvres.
00:59 Au fur et à mesure du couple de moutons,
01:02 je payais un couple de bœufs.
01:04 Je me retrouve avec 4 800 têtes de poulet,
01:08 une 80 têtes de bœufs
01:11 et une soixantaine de têtes de caprin,
01:15 moutons comme chèvres.
01:18 J'ai des animaux de prestige,
01:20 par exemple dans la même génération,
01:22 avec un couple de bramalis
01:24 qui pèse à peu près 40 à 50 kilos
01:28 où on vend le couple à 250 000.
01:32 D'autres qui veulent du prestige,
01:35 c'est juste comme on aime la beauté des yeux.
01:41 J'aime le souviens saoulien.
01:44 Déjà l'élevage est dans notre sang.
01:46 Un an, j'ai trouvé mon père qui élevait,
01:49 et j'ai emprunté ce pas.
01:51 En étant élève, quand j'ai entendu
01:54 les femmes qui étaient en train de se lever,
01:58 je me suis dit que c'était un peu bizarre.
02:01 Je me suis dit que c'était un peu bizarre.
02:04 Je me suis dit que c'était un peu bizarre.
02:07 Quand j'ai entendu, je fais un tour à la ferme.
02:11 J'aide les employés.
02:13 En les aidant, j'apprends aussi
02:16 de nouvelles choses qui peuvent m'aider dans la vie.
02:19 Mes vacances, je reste à la ferme travailler.
02:22 Ce que j'ai appris,
02:24 c'est vraiment que je suis lui.
02:26 C'est son courage.
02:28 Il n'abandonne pas.
02:30 Quelles qu'en soient les difficultés qu'il rencontre,
02:33 il continue d'avancer.
02:35 C'est ça qui nous motive
02:37 en nous prenant comme exemple,
02:39 comme modèle.
02:41 Les esprits, aujourd'hui, je peux vous dire que non.
02:45 J'ai investi à peu près 30-40 millions.
02:49 Je peux dire que non, ça m'a reçu.
02:54 Je peux faire une recette annuelle
02:57 de 20 à 25 millions par an.
03:03 Avec les 1000 pondeuses que j'ai,
03:06 on se retrouve avec 20 à 30 plaquettes d'oeufs.
03:10 D'où la plaquette d'oeufs,
03:12 on le vend à 2 500 aujourd'hui.
03:15 On peut se retrouver à 300 à 400 000 francs par semaine.
03:19 Aujourd'hui, je suis fier.
03:29 De 2018 à 2024, aujourd'hui,
03:33 on se retrouve avec 30 employés.
03:37 Je peux dire que ça m'a déjà eu une satisfaction.
03:41 L'ambition, toute chose,
03:43 c'est d'agrandir l'entreprise.
03:46 Aujourd'hui, on peut dire que non.
03:48 On vend nos produits au-delà de la commune,
03:51 même le marché national,
03:53 pourquoi pas international.
03:55 (musique)
03:59 (musique)
04:02 (musique)
04:05 [Musique]