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Dans son émission média, Thomas Isle et sa bande reçoivent chaque jour un invité. Aujourd'hui, Antoine de Caunes, pour sa quotidienne en clair sur Canal+ "Cannes 2024" pour le Festival de Cannes.
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00:00 Et puis alors Cannes c'est vrai que ça se passe aussi beaucoup à rentaine dans les soirées, c'est aussi pour ça que tout le monde y va j'imagine.
00:05 Est-ce que c'est toujours aussi... - Non, c'est pas pour ça, il faut que ce soit clair quand même. Cannes c'est un marché.
00:10 C'est à dire c'est un endroit où on achète, où on vend des films, où on monte, on fait des montages financiers.
00:14 Donc c'est pas seulement un festival de pur cinéma comme la Mostra de Venise, c'est un marché.
00:18 Donc c'est pour ça qu'il y a autant de monde, c'est pour ça qu'il y a autant d'affaires qui se font là-bas.
00:22 Et que ça se mélange, que c'est aussi poreux entre la partie artistique des films et la partie financière.
00:27 - Et est-ce qu'il y a vraiment tant de fêtes que ça ?
00:30 - Oui, oui. - Et est-ce qu'il y en a autant qu'il y a 20 ou 30 ans ? Parce que vous vous avez connu aussi.
00:33 - Je sais pas, je peux pas faire de comparatif parce que moi je fuis les fêtes. - Ah oui d'accord.
00:37 - Je fuis littéralement les fêtes. Le soir moi je suis au lit à 10h30.
00:39 - Ah, donc vous vous êtes à la projo à 8h30. - Je suis à la projo de 8h30 ou alors si j'ai une projo,
00:44 il peut m'arriver d'aller à la projo de minuit. Il y a aussi des projos en compétition à minuit.
00:48 Mais non, non, je suis pas du tout un fêtard. - Parce que vraiment la légende.
00:52 - Bien sûr, mais c'est vrai qu'on y pense avec vos grandes années, Nulle part ailleurs, Le Grand Journal à Cannes.
00:57 - José Garcia. - Vous avez fait sur le plateau nous.
01:00 - Oui, c'est ça. - Est-ce que vous êtes nostalgique d'ailleurs de ces grands dispositifs à Cannes ou pas du tout ?
01:06 - Non, je crois que c'est autre temps, autre mœurs, une autre époque. On a complètement changé.
01:11 Vous savez, nous à l'époque où on faisait le Nulle part ailleurs sur la plage du Martinez,
01:15 ça marchait du feu de Dieu. Gilles Jacob n'était pas très content parce que souvent on avait plus de monde
01:21 devant le plateau qu'au pied des marches. Donc il faisait un peu la gueule.
01:25 Mais c'était une autre ambiance, c'était un... je sais pas comment vous dire, on peut pas refaire à l'infini les mêmes choses.
01:30 Donc maintenant, on s'intéresse de beaucoup plus près au cinéma, on fait moins de spectacles.
01:37 Mais après si d'autres ont envie de le faire, qu'ils y aillent.