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NewsTranscription
00:00 [Musique]
00:16 Libérez Jules Vianassange !
00:28 [Musique]
00:50 Vigimedia s'intéresse au quatrième pouvoir, le pouvoir des médias.
00:58 Ce quatrième pouvoir est vraiment important, même s'il n'est pas reconnu tel quel.
01:00 On parle évidemment de l'exécutif, du législatif, du judiciaire,
01:04 mais le pouvoir médiatique a vraiment une importance gigantesque en France et dans le monde.
01:11 Le pouvoir médiatique, c'est le pouvoir d'informer les gens, c'est l'interface qu'on va avoir avec le public.
01:17 Et ça va être le moyen de diffuser des informations, diffuser des idéologies à la population de façon massive.
01:24 Aujourd'hui en France, on a des médias publics et privés.
01:30 Et donc Vigimedia, nous nous intéressons à venir les voir et faire respecter ce qu'on appelle la Charte de Munich.
01:39 Alors la Charte de Munich, tout le monde ne sait pas ce que c'est, et d'ailleurs certains journalistes eux-mêmes ne le savent pas.
01:45 La Charte de Munich, c'est un texte qui va donner les droits et les devoirs des journalistes.
01:52 C'est une charte déontologique qui va notamment interdire aux journalistes de mentir,
01:57 qui va interdire aux journalistes de faire de la propagande,
02:00 qui va interdire aux journalistes de se transformer en publicitaire,
02:05 qui va également leur interdire d'aller rechercher des sources de façon illicite,
02:10 qui va les interdire de faire de la diffamation, et ainsi de suite.
02:13 Mais c'est aussi un texte qui est là pour aider les journalistes à se protéger au sein des organisations,
02:22 donc en l'occurrence des médias dans lesquels ils vont travailler.
02:25 Madame Adèle Vendrit, qui est directrice de France Inter, a dit que tout le monde était le bienvenu sur France Inter,
02:32 excepté certaines personnes.
02:34 Donc tout le monde, c'est tout le monde.
02:36 On ne peut pas dire "le" en même temps comme le fait notre cher...
02:43 J'ai bien du mal d'ailleurs à prononcer son nom...
02:45 Notre cher président de la République Macron, ça c'est sa technique, le "en même temps".
02:50 Je dis une chose et après je dis son contraire.
02:52 Eh bien, à Radio France, on fait pareil.
02:55 On dit que tout le monde est le bienvenu, sauf certaines personnes.
02:59 Donc, c'est pas tout le monde.
03:01 Nous vous invitons à faire également, pourquoi pas, pression auprès de cette radio,
03:08 pour leur dire qu'il n'est pas normal qu'il y ait un blacklisting.
03:13 Tu veux rajouter ?
03:15 Les médias sont vraiment importants parce que vous allez vous dire "est-ce que vous avez confiance aux médias ?"
03:21 Et c'est vrai que quand on pose la question au public, et il y a des sondages qui sont faits là-dessus,
03:25 on se rend compte qu'année après année, les Français croient de moins en moins aux médias.
03:30 Donc en fait, les Français de plus en plus ont l'impression qu'on leur ment, qu'on les désinforme.
03:38 Et donc de plus en plus de personnes vont se désintéresser des médias.
03:41 Néanmoins, les médias continuent à avoir une influence très importante.
03:46 C'est-à-dire que même si vous ne regardez plus la télévision,
03:49 si vous en avez marre de ces journalistes de plateau qui vous dictent ce que vous devez penser,
03:57 malgré ça, même si vous ne les écoutez plus, ils vont vous retomber dans les oreilles d'une façon ou d'une autre.
04:03 Alors ça veut être à la machine à café, au boulot.
04:06 C'est-à-dire que c'est eux qui vont dicter finalement les grands sujets.
04:09 Et d'ailleurs, c'est très intéressant parce qu'il y a toujours des sujets qui seront traités par l'ensemble des médias.
04:16 Il se passe énormément de choses dans le monde.
04:18 Il se passe des choses positives, il se passe des choses négatives.
04:21 Et on se rend compte que tous ces grands médias s'accordent toujours.
04:24 Ils accordent leur violon pour parler toujours des mêmes sujets.
04:27 En même temps, pour finalement faire passer des idées.
04:32 Et ce qui est très dangereux, c'est que progressivement, pierre après pierre,
04:36 ils vont construire une certaine idéologie qu'ils vont vendre aux Français.
04:42 Alors évidemment, il y a des médias assez différents les uns des autres.
04:45 On a beaucoup de médias privés, on a des médias publics.
04:49 Néanmoins, on se rend compte que même si chacun a sa ligne éditoriale,
04:53 et ce qui est tout à fait normal, et d'ailleurs on encourage les Français à s'intéresser,
04:57 à écouter toujours plusieurs types de médias différents,
05:00 pour se faire une image de la réalité, c'est-à-dire avoir différents points de vue
05:03 et comprendre ce qui se passe véritablement dans le paysage français.
05:07 Mais malgré ça, on se rend compte que tous ces grands médias bien placés,
05:11 que ce soit encore une fois les médias publics ou privés,
05:13 ces médias qui ont de l'argent, qui ont de l'influence,
05:15 il y a certains sujets qui ne vont jamais évoquer, certains sujets qui ne vont jamais défendre.
05:20 Ces derniers temps-là, je ne sais pas si vous avez vu,
05:23 mais on vous a vendu vraiment l'idée qu'il y avait la pauvre Ukraine
05:27 qui était attaquée par la grande méchante Russie.
05:29 Alors on ne dit pas que c'est le contraire, on ne dit pas qu'il y a la belle Russie et la méchante Ukraine.
05:34 Mais en fait, le problème, ce qui nous ennuie, c'est qu'il n'y a pas de débat finalement sur l'antenne,
05:39 l'antenne publique, et on aimerait en fait avoir différentes visions.
05:43 Et en fait, on se rend compte, et ça, ça s'est passé il y a un moment déjà,
05:47 on a censuré finalement toute voix dissidente sur ce sujet.
05:50 Il y a un sujet également sur lequel les Français sont de moins en moins dupes,
05:55 mais qui est encore très très peu développé dans les médias,
06:00 c'est le sujet de l'Union Européenne.
06:02 De plus en plus, les Français voient qu'il y a un véritable problème
06:05 avec cette instance qui est de moins en moins démocratique,
06:08 en tout cas, les Français se rendent compte finalement
06:11 que c'est un système qui n'est pas démocratique, qui est directement régi par la Commission Européenne.
06:17 Et en fait, c'est un sujet sur lequel on n'a pas le droit de parler.
06:21 Donc voilà, nous on aimerait bien avoir des véritables débats,
06:25 on ne veut pas que certains ne s'y expriment pas,
06:28 on veut simplement qu'il y ait un véritable équilibre,
06:30 et que les Français puissent se faire un avis par eux-mêmes,
06:33 en écoutant les arguments pour, contre, et surtout qu'il y ait des débats.
06:38 Et ça c'est vraiment très important parce qu'on nous parle,
06:41 on nous ressasse sans arrêt que nous sommes en démocratie.
06:44 Nous, nous considérons que nous ne sommes pas en démocratie.
06:46 Pourquoi ? La démocratie c'est le peuple qui dirige.
06:50 Mais la démocratie c'est aussi le peuple qui dirige en toute conscience.
06:54 Pour diriger en toute conscience, le peuple doit être capable d'avoir une information qui est juste,
06:59 doit être capable finalement d'entendre les opinions pour, contre,
07:03 doit être capable même d'en débattre, de prendre le temps de faire ceci,
07:06 et surtout dans une véritable démocratie, c'est le peuple qui gouverne.
07:10 Ce n'est pas le peuple qui va donner tout l'ensemble de son pouvoir à différentes personnalités qui vont élire.
07:16 Et donc là c'est là vraiment qu'on fait la différence,
07:19 et qu'on appuie bien là-dessus, la différence entre voter et élire.
07:23 Quand on élit, on vote. Mais quand on vote, on n'élit pas forcément.
07:28 Et l'élire en fait c'est donner finalement sa responsabilité à quelqu'un, à une personne, ou à un groupe.
07:37 Voter c'est donner son avis réel sur une chose.
07:40 Je ne sais pas, peut-être qu'il y a des personnes qui sont trop jeunes pour avoir véritablement connu
07:46 les derniers référendums qu'on a eu en France,
07:49 et ça c'est de la démocratie un référendum.
07:51 Un référendum c'est le peuple qui va s'exprimer sur un sujet donné,
07:55 et qui va donc de façon générale, par la majorité, inscrire son opinion dans le pays.
08:03 Et on se rend compte que malheureusement le référendum aujourd'hui n'est pas directement...
08:09 Donc déjà ça fait très longtemps qu'on n'en a pas eu.
08:11 Le dernier qu'on a eu c'était en 2005,
08:14 et donc c'était par rapport justement au traité de Rome par rapport à l'Union Européenne.
08:19 Les Français ont voté contre, deux ans plus tard Sarkozy a fait passer par une autre voie,
08:23 et donc a bafoué le choix des Français.
08:25 C'est pour ça qu'on parlait aussi de l'Union Européenne tout à l'heure.
08:28 C'est quelque chose qui nous titille un petit peu.
08:31 On avait eu avant le référendum qui nous faisait passer du septennat au quinquennat,
08:38 et surtout en fait on se rend compte que pendant ces référendums il y avait une couverture médiatique,
08:42 et la couverture médiatique n'était pas du tout égale.
08:46 Et malgré ça, en 2005, malgré le fait que la majorité des médias,
08:50 la majorité des politiques reconnues et médiatisées,
08:54 étaient donc pour ce texte, les Français ont voté contre.
08:59 Donc ça voulait dire qu'à cette époque-là, les Français continuaient à avoir du débat entre eux.
09:03 Il y avait ce qu'on appelle l'état d'esprit de bistrot dans lequel on pouvait échanger.
09:07 Il y avait l'état d'esprit dans les familles de débat.
09:10 Il y avait une façon de penser.
09:13 Et malgré donc finalement cette propagande, les Français ont voté contre.
09:18 Aujourd'hui on se rend compte que non seulement on ne nous donne plus la possibilité de faire de référendum,
09:24 et donc c'est pour ça que nous nous souhaiterions avoir ce qu'on appelle le référendum d'initiative citoyenne,
09:30 c'est-à-dire que ce ne soit pas la question qui soit donnée directement par le haut,
09:34 donc en l'occurrence par le Président de la République et le Premier Ministre, ou par le Parlement,
09:39 mais que ce soit le peuple qui décide en fait des questions de société et qui a envie de faire avancer.
09:44 Et pour avoir ensuite un référendum qui fonctionne correctement,
09:49 on a besoin d'avoir une période de débat dans laquelle les médias sont là justement pour faire la promotion du pour,
09:57 faire la promotion du contre, et ensuite que chacun se fasse son avis par lui-même.
10:01 Et ce qui sera encore mieux c'est même d'avoir des espaces de débat citoyen dans lesquels chacun puisse,
10:06 par exemple le dimanche, ou même voir sur les heures de travail, on pourrait être émunéré pour ça,
10:11 prendre le temps de discuter de ces sujets et se poser vraiment des questions de société.
10:16 Et donc on en revient aux médias parce que voilà, Vigimedia s'intéresse quand même à ce pouvoir-là,
10:20 ce quatrième pouvoir des médias, et donc on souhaiterait que ce pouvoir soit également directement contrôlé.
10:26 Donc comme tous les pouvoirs, tous les pouvoirs devraient être contrôlés,
10:29 parce que toute puissance, tout pouvoir s'arrête là où il trouve des limites.
10:34 Et donc malheureusement aujourd'hui on se rend compte que de par la constitution qu'on a,
10:38 les différents pouvoirs ne trouvent plus de limites.
10:41 Ou alors les limites qu'ils trouvent, ce sont les limites de leurs propres amis,
10:44 et donc il y a des véritables conflits d'intérêts.
10:46 Donc on souhaiterait que les médias, parmi les autres pouvoirs, soient directement contrôlés par des instances citoyennes.
10:53 Donc on pourrait avoir par exemple des citoyens qui se sont tirés au sort,
10:56 et qui régulièrement tournent et vérifient en fait si les médias arrivent à parler de tous les sujets,
11:03 arrivent à avoir des débats qui sont équilibrés, ne pas trop porter une voix par rapport à une autre.
11:09 Donc on est en train de réfléchir évidemment à un monde meilleur.
11:13 On se rend compte que la France est en train de sombrer sur tous les plans aujourd'hui,
11:17 évidemment sur l'économique, sur le social, sur le côté un petit peu totalitariste que prend le pays,
11:30 avec par exemple la reconnaissance faciale qui est en train de se mettre en place,
11:33 avec ces Jeux Olympiques qui arrivent, avec la surveillance aussi sur Internet massive,
11:38 avec la volonté de contrôler l'ensemble de l'information et la façon dont les gens vont discuter entre eux.
11:45 Donc on est vraiment dans un monde qui est en train de dégénérer,
11:48 et malgré ça finalement, ça fait que le public petit à petit ouvre les yeux,
11:54 se rend compte de ce qui est en train de se passer,
11:56 et est en train de réfléchir, mais on pourrait construire un monde qui est bien meilleur,
12:00 on pourrait construire un monde merveilleux,
12:02 et pour l'instant on a un pouvoir qui nous l'empêche,
12:05 mais on est en train de réfléchir à la suite,
12:08 on pourra vraiment développer le pays avec une dynamique qui est incroyable,
12:12 dès lors qu'on arrivera à se débarrasser de ces gens-là.
12:15 Donc pour l'instant on est en préparation,
12:17 ça commence évidemment dans l'opinion publique,
12:20 ça commence dans la réflexion au cœur de chacun,
12:22 donc on invite chacun par lui-même à essayer de comprendre ses enjeux,
12:27 de les travailler, et surtout d'échanger, de discuter avec ses proches,
12:31 et de débattre les sujets sur lesquels on n'est pas forcément tous d'accord,
12:35 mais sur lesquels justement on a besoin de débattre pour faire avancer les choses,
12:40 et se comprendre surtout.
12:41 Ce journaliste, fondateur de Wikileaks,
12:44 qui est emprisonné depuis de nombreuses années maintenant
12:47 dans la prison de haute sécurité à Belmarsh en Angleterre,
12:50 a tenu ses propos.
12:52 Une des choses que j'ai découvertes,
12:54 c'est que presque toutes les guerres qui ont eu lieu au cours des cinquante dernières années
12:59 ont été le résultat de mensonges médiatiques.
13:02 Les médias auraient pu mettre fin à ces guerres
13:05 s'ils avaient cherché à savoir,
13:07 s'ils n'avaient pas accepté la propagande du gouvernement.
13:10 Mais qu'est-ce que cela signifie ?
13:13 Cela signifie qu'en principe les gens n'aiment pas la guerre.
13:17 Pour leur faire accepter la guerre, il faut les tromper, les manipuler.
13:22 Autrement, les populations ne s'engagent pas consciemment et volontairement
13:26 dans des conflits armés.
13:28 Donc si nous avions un bon environnement médiatique,
13:31 nous aurions aussi un environnement pacifique.
13:35 Notre ennemi numéro un, c'est l'ignorance.
13:39 Je crois que cela devrait être l'ennemi numéro un de tout le monde,
13:42 le fait de ne pas comprendre exactement ce qui se passe dans le monde.
13:45 Ce n'est que lorsqu'on commence à comprendre
13:48 qu'on peut prendre de bonnes décisions sur comment mener sa vie.
13:51 Maintenant la question c'est,
13:53 qui a intérêt à promouvoir l'ignorance ?
13:57 Les organisations qui ont des choses à cacher.
14:00 Et ce sont ces organisations qui déforment la vraie information,
14:04 en la faisant passer pour de la fausse information.
14:08 Les médias font partie de ces organisations qui faussent la réalité.
14:13 Je pense vraiment que les médias en général sont tellement mauvais
14:17 que nous devrions nous demander si nous ne vivrions pas mieux sans eux.
14:21 Vous vous dérangez au moment où vous faites vos emplettes,
14:26 vos petites courses, en toute innocence
14:29 et en n'ayant certainement pas envie d'entendre des gueux
14:32 vous expliquer que tout va mal dans ce pays
14:34 et qu'il serait temps de faire la révolution.
14:36 C'est un peu fatigant, personne n'a vraiment envie de la faire
14:39 et pourtant il y a urgence à la faire.
14:41 Il se trouve que nous avons quelqu'un qui a bénéficié d'une propagande déhontée
14:45 par les grands médias privés et publics pour nous faire élire.
14:49 La majorité des Français n'ont pas voté pour lui
14:52 et pour une bonne raison, c'est que personne ne voulait d'Emmanuel Macron.
14:55 Plus encore pour le second tour.
14:58 Et il se trouve qu'il a été élu.
15:01 Et vous n'avez pas vu ces vrais opposants dans les médias,
15:04 vous ne les avez pas entendus.
15:06 Les gens qui parlaient de sortir de l'Union Européenne,
15:08 vous ne les connaissez pas.
15:10 Les gens qui parlent de sortir de l'OTAN,
15:12 vous ne les connaissez pas.
15:14 Les intellectuels et politiques qui disent qu'il faut cesser
15:17 les sanctions et livraison d'armes et de munitions
15:20 dirigées contre la Russie, vous ne les connaissez pas.
15:23 Toutes les personnes en fait qui ont des opinions contradictoires
15:27 à ce qui est véhiculé par la DOCSA,
15:29 nuit et jour, 24h/24,
15:31 par nos grands médias publics et privés,
15:34 tous ces gens qui véhiculent des opinions contradictoires,
15:37 vous ne les connaissez pas.
15:39 Et de fait, vous n'êtes pas des citoyens qui pouvez voter en conscience
15:42 puisque vous ne connaissez pas l'alternative.
15:45 Et d'ailleurs, l'alternative ne peut même pas accéder aux élections,
15:49 puisque pour accéder aux élections,
15:51 encore faut-il avoir un petit peu de promotion médiatique
15:54 pour expliquer qui l'on est, ce que l'on fait, ce que l'on pense,
15:57 de telle façon à susciter une envie de voter pour soi,
16:03 pour des gens qui vous découvrent.
16:05 Nous avons donc des médias de propagande qui nous ont vendu la Macronie,
16:09 qui nous ont vendu le totalitarisme au nom du Covid.
16:12 C'est-à-dire qu'on a fait beaucoup de scientisme,
16:14 on a eu des gens qui ont Bac + 8, Bac + 10,
16:18 et qui sont des crétins circulaires,
16:20 et qui, au nom de leur haute autorité, leur diplôme, etc.,
16:23 ont dit "il va falloir baïonner les Français en bonne santé,
16:26 il va falloir leur interdire de circuler librement,
16:29 il va falloir les interdire de travailler, de faire ce qu'ils veulent,
16:33 et avec les impôts des Français, on va indemniser ceux qui n'ont plus le droit de travailler".
16:37 Ça, c'est ce qui a été fait.
16:39 Nous sommes actuellement à 3 000 milliards de dettes de la France,
16:42 ça a augmenté de 1 000 milliards sous Macron,
16:44 notamment à l'ère du Covid, parce qu'il fallait indemniser les gens qu'on a forcés au chômage,
16:49 alors qu'ils pouvaient travailler.
16:51 Alors, je vais vous rassurer, la démographie française n'a pas été impactée
16:55 par le vilain petit Covid.
16:57 Tout va très bien, la croissance démographique s'est perpétuée
17:01 durant les années 2022-2023.
17:04 Les effets du terrible virus du Covid ont été tout à fait marginaux.
17:10 Et oui, comme tous les virus, comme toutes les bactéries pathogènes,
17:14 si vous êtes très malade, très vieux, vous risquez d'en subir les conséquences
17:20 si vous êtes affecté par ce genre de pathogènes.
17:24 Mais si vous êtes en bonne santé, que vous êtes jeune,
17:26 et bien en général, les virus et les bactéries, quand bien même elles sont pathogènes,
17:31 vous les sentez même pas passer.
17:33 Ah oui, elles vont passer par notre corps, nous avons 3 kg de bactéries dans le corps.
17:37 Et pourtant, on n'est pas malade.
17:39 Ce qu'on appelle les bactéries commensales.
17:42 Et donc, on a plein de bactéries et de virus qui sont aussi tout à fait pathogènes dans notre organisme.
17:48 Et en fait, ça devient pathogène si l'organisme est épuisé.
17:52 C'est pour ça qu'on parlait de cas asymptomatiques.
17:55 C'était la majorité.
17:57 Et c'était même très bien, parce que ça voulait dire que le virus passant d'organisme en organisme
18:02 était en train de muter, et sa virulence était en train de s'atténuer,
18:07 au fur et à mesure qu'elle passait dans nos organismes.
18:09 Mais il fallait vendre des petits vaccins.
18:11 Vous vous rappelez ? Nos fameux vaccins du Covid.
18:15 Alors, il n'y a pas eu de conflit d'intérêt entre cette pute de Van der Leyen,
18:19 vous la connaissez pas bien, elle est à la Commission Européenne,
18:22 et les laboratoires Pfizer, parce que comme vous le savez très bien,
18:26 les actionnaires des grands laboratoires pharmaceutiques sont des gens bien intentionnés,
18:30 bienveillants, qui sont tout à fait désintéressés, ils ne pensent qu'à notre santé.
18:35 Pas du tout au pognon !
18:37 Si vous croyez que les actionnaires des grands laboratoires pharmaceutiques sont intéressés au pognon,
18:43 vous êtes vraiment des gens vénaux avec des pensées complotistes.
18:48 Vraiment.
18:49 Donc non, ce n'était pas du tout des histoires de conflits d'intérêt et de corruption
18:53 qui ont suscité toute cette politique d'ingénierie sociale
18:58 qui visait à abolir nos libertés fondamentales.
19:01 Je vais quand même vous donner des lois que nos journalistes n'ont pas citées,
19:04 ni même nos politiciens.
19:06 L'article 16 du Code civil dispose que les Français décident librement
19:12 de tous leurs choix de santé.
19:15 Tous !
19:16 Il n'y a personne qui peut nous imposer un quelconque choix de santé.
19:21 Si nous ne voulons pas une piqure,
19:23 si nous ne voulons pas des médicaments qui préviennent une maladie ou qui la guérissent,
19:30 eh bien tant pis pour nous !
19:31 C'est notre problème, c'est notre choix, c'est une garantie, c'est une liberté civile
19:36 qui est d'ordre public et qui est sanctuarisée dans l'article 16 du Code civil.
19:42 Un article 16 qui a été totalement violé impunément, sans problème, sans que quelqu'un s'y oppose,
19:48 sans que le Conseil d'Etat, le Conseil constitutionnel ou le Parlement fassent opposition.
19:53 Nous avons créé un État totalitaire,
19:55 et je vais vous rappeler la définition d'un État totalitaire, du totalitarisme.
19:59 Le totalitarisme, c'est une forme de despotisme
20:03 qui va, comment dire, modifier les comportements des gens.
20:07 Or, quand on vous a dit "ayez peur",
20:10 "mettez votre muselière sur la gueule dans le train, au travail, partout, dans les lieux publics, dehors,
20:17 mettez un baillon sur la gueule",
20:20 et vous vous disiez "mais moi je ne veux pas avoir une amende,
20:22 c'est pas que je suis d'accord ou pas, que j'y crois,
20:25 mais je ne veux pas d'amende, donc je vais mettre mon petit baillon,
20:28 je suis un citoyen très sage, je ne veux pas de problème".
20:31 Vous avez donc modifié votre comportement,
20:34 vous avez eu un comportement qui n'était pas naturel, qui n'était pas le vôtre,
20:38 parce que le politique l'a exigé de vous en faisant du chantage.
20:43 Ça, ça s'appelle du totalitarisme.
20:46 C'est la définition exacte.
20:48 La France est devenue un État totalitaire.
20:52 Aujourd'hui, quel est le grand sujet ?
20:55 C'est la guerre.
20:57 On pensait que c'était fini, d'ailleurs on nous l'avait bien vendu,
20:59 on nous avait dit que l'Union Européenne, c'est un projet bisounours de paix entre les peuples.
21:03 Mais bien sûr, dans le projet bisounours, il y a des peuples qui ne sont pas invités.
21:07 La Russie.
21:09 Pourtant, quand Vladimir Poutine est arrivé au pouvoir en Russie,
21:12 l'une des premières choses qu'il a faites, c'est aller voir les Européens et dire
21:16 "moi ça m'intéresse, notre Union Européenne, je veux bien rentrer dedans".
21:19 Est-ce que la Russie pourrait rejoindre l'Union Européenne, voire même rejoindre l'OTAN ?
21:23 Il avait été un peu audacieux à l'époque.
21:25 Et ça, c'est très peu de temps après l'éclatement de l'URSS et sa prise de pouvoir.
21:30 Eh bien, on lui a dit non.
21:32 On lui a dit non.
21:34 Il y a un mec dont les journalistes ne vous parleront jamais,
21:37 qui s'appelle Zbigniew Brzezinski.
21:39 Ce type est mort.
21:41 C'était un grand géopolitologue américain, un conseiller du département d'État américain.
21:47 Et c'est lui qui a un petit peu inventé la politique de "containment".
21:51 Dandigment, si vous préférez.
21:53 Le principe, c'est que les États-Unis sont donc un empire.
21:58 Et ils ont des larbins, des vassaux.
22:00 C'est leur vin, c'est le Japon.
22:02 Ils lui ont foutu le bombe nucléaire sur la gueule, ça aide un petit peu à les asthmater.
22:06 Et c'est aussi certains pays du Moyen-Orient, pour des histoires de pétrole.
22:11 Et évidemment, les États européens.
22:14 Donc aujourd'hui, la France, c'est un état larbin des États-Unis.
22:19 Tout ce que les États-Unis réclament, Macron, le doigt sur la couture, il dit oui.
22:24 Il va même au-devant de ce que demandent les États-Unis.
22:27 Alors, qu'est-ce qui s'est passé en Ukraine ?
22:29 Parce que vous n'aurez pas la vraie histoire.
22:31 L'Ukraine, ça a moins de 100 ans d'histoire.
22:34 Ça a moins de 100 ans.
22:36 L'État ukrainien n'existe que depuis 1922.
22:41 Et encore, ce n'était même pas un État indépendant et souverain, puisqu'il était dans l'URSS.
22:45 C'est à l'occasion de la création de l'URSS que l'État ukrainien était formellement constitué.
22:50 Et il est devenu indépendant un peu comme l'Algérie.
22:53 C'est-à-dire que quand l'URSS a éclaté,
22:55 ça a été comme la création de l'Algérie.
22:58 La France s'est retirée.
23:00 Nous avons un État indépendant, nouveau, qui est créé.
23:03 Et donc, il faut savoir que, quand on remonte un peu plus loin dans l'histoire,
23:08 l'Ukraine n'existait pas il y a 800 ans, 1000 ans.
23:11 Par contre, la Russie, oui.
23:12 Et la France avait déjà de très longues relations,
23:16 des relations très suivies et très étroites avec la Russie.
23:19 Pour ceux qui ont fait un peu d'histoire, ils se souviendront de la fameuse Anne de Caire,
23:22 qui a été mariée à un de nos rois de France.
23:24 Mais ça, ça fait plus de 800 ans déjà.
23:26 Ça date de loin.
23:27 Et puis, pour ceux qui vraiment aiment l'histoire,
23:29 ils sauront que la ville russe d'Odessa,
23:32 actuellement en Ukraine,
23:34 construite sous l'empire de Catherine II,
23:36 c'est un Français, le duc de Richelieu,
23:39 qui a contribué à bâtir cette ville.
23:41 C'est d'ailleurs aussi un autre Français qui a contribué à bâtir la ville de Saint-Pétersbourg.
23:44 C'est vous dire si les relations entre la Russie et la France sont quand même anciennes.
23:48 Et pour ceux qui ont un petit peu de mémoire,
23:51 ils savent que si aujourd'hui on ne parle pas allemand, c'est grâce à la Russie.
23:54 Puisque nos ennemis séculaires ont toujours été les Allemands.
23:59 Les poussées de fièvre germaniques, ça a toujours eu lieu à travers l'histoire.
24:02 Et à chaque fois, les Français ont dû les contenir, voire riposter.
24:08 Et on a toujours besoin d'alliés dans ce genre de guerre, malheureusement.
24:12 Et ce qui est bien, c'est des alliances de revers.
24:15 C'est-à-dire, vous regardez la géographie,
24:17 nous sommes à l'ouest de l'Allemagne, la Russie est à l'est.
24:20 C'est très pratique quand il y a deux guerres mondiales,
24:23 où l'Allemagne est l'ennemi, en clair,
24:26 puisque nous sommes chacun du bon côté de ses frontières,
24:29 pour pouvoir la contenir et la calmer.
24:32 Donc c'est très bien d'être amis avec la Russie,
24:34 parce que ça nous permet de calmer un ennemi séculaire,
24:39 prévenir ses volontés guerrières,
24:42 par tout simplement une politique de containement, comme le font les Américains.
24:46 Et il se trouve aussi que les Russes sont un gigantesque fournisseur de matières premières,
24:51 notamment de gaz.
24:53 Et la France a investi un milliard d'euros dans le gazoduc Nord Stream.
24:58 Vous savez, c'est le gazoduc que les Américains voulaient absolument débolir.
25:03 Nous, ce n'est pas de nos intérêts,
25:05 puisque si on a investi un milliard dans Nord Stream,
25:07 c'était bien pour approvisionner à pas cher, avec des contrats de long terme,
25:11 nos industries et le chauffage des Français, en gaz russe.
25:15 C'est-à-dire de proximité, qui est facile à transporter, pas cher, et pour longtemps.
25:22 Donc notre intérêt n'était pas que ce gazoduc explose.
25:26 Et il a été détruit par les Etats-Unis d'Amérique.
25:29 C'est un secret de poli-chinelle, tout le monde sait que les Etats-Unis sont responsables de la destruction de ce gazoduc.
25:34 Ce qui relève d'un acte de guerre contre la France.
25:37 Puisque des infrastructures françaises ont été démolies,
25:40 enfin financées par les Français et qui servent les intérêts français,
25:43 ont été démolies par les Américains.
25:45 Les Américains ont aussi envoyé en 2014 une pétasse qui s'appelle "Victoriano Land".
25:50 Vous n'en entendrez pas parler dans les médias,
25:52 parce que dès qu'il s'agit de parler des "Vatanguerres", des "Néoconservateurs",
25:56 des "Enfoirés", en clair, on n'en parle pas.
26:01 Et cette pétasse de "Victoriano Land", secrétaire d'Etat aux Affaires Européennes,
26:05 dans l'appareil d'Etat américain,
26:08 elle est venue en 2014, au moment où il y avait cette "Révolution fantoche" appelée "Romaïdon",
26:15 où elle avait déjà expliqué à cette époque-là, que ça faisait plusieurs années,
26:19 bien avant 2014,
26:21 que les Etats-Unis balançaient des milliards et des milliards
26:26 vers des factions très énervées en Ukraine,
26:29 qui voulaient renverser Yanukovych et ses prédécesseurs.
26:34 Et bingo, ils ont réussi en 2014 !
26:37 Parce qu'il faut savoir qui ont financé les Américains.
26:39 Victoria Nuland s'est fait prendre en photo avec un mec qui s'appelle Oleg Tchernybok.
26:44 Ah oui, lui aussi, je suis sûr que vous n'en avez jamais entendu parler dans nos médias, de ce cher Oleg.
26:49 Oleg Tchernybok, c'est un néo-nazi ukrainien.
26:52 Vous savez, c'est une néo-nazie qui n'existe pas,
26:54 dont il ne faut pas parler, qui n'existe vraiment pas.
26:58 C'est une mystification russe.
27:00 Mais non, en fait, c'est un vrai néo-nazi, un dur, très dur,
27:04 qui est à l'origine du parti Svoboda,
27:09 c'est-à-dire "liberté en Russie", c'est assez rigolo.
27:12 Donc ça a parti anti-russes, néo-nazis, anti-sémites,
27:15 et il a fait plein de petits,
27:17 notamment des milices comme Pravi Sektor.
27:20 Je ne sais pas si vous connaissez Pravi Sektor,
27:22 vous connaissez sans doute Azov, parce que vous en avez entendu parler dans les médias un petit peu.
27:26 Mais Pravi Sektor, c'est une autre milice néo-nazie,
27:29 qui a été financée par un oligarque ukrainien,
27:31 enfin, il est chypriote, ukrainien-israélien,
27:34 il a fait les trois, le mec.
27:36 Donc lui, il a financé, en tant qu'israélien, donc juif,
27:40 un bataillon néo-nazi qui s'appelle Pravi Sektor,
27:43 et qui a fait des exactions dans le Donbass, pendant 8 années.
27:46 Pendant 8 années, des gens se faisaient tuer,
27:50 en Ukraine, des ukrainiens se faisaient tuer
27:53 par des milices politiques,
27:56 et par des militaires ukrainiens.
27:58 C'est ce qui a déclenché la révolution, l'insurrection.
28:01 Pourquoi ? Parce que la moitié d'Ukraine, du fait de son histoire récente,
28:04 du fait de sa longue histoire russe sur une part du territoire,
28:09 elle est pour moitié russe.
28:11 Et que toute la moitié russe, politiquement,
28:14 ça ne pouvait pas passer de voir des exactions contre eux,
28:19 de voir leur langue attaquée et interdite par le nouveau régime ukrainien,
28:24 de voir des néo-nazis se balader impunément,
28:28 être soutenus par les ex-occidentaux, c'était trop.
28:30 Ils se sont révoltés.
28:32 Et pour vous donner une analogie,
28:34 pour bien comprendre ce qu'est le conflit ukrainien,
28:36 imaginons que demain, nos gentils amis allemands,
28:40 vous savez, on est vraiment très amis,
28:43 financent des nazions de flamands, en Belgique,
28:49 afin de renverser le gouvernement belge,
28:52 et placer à la place des nationalistes flamands.
28:55 Et ces nationalistes flamands prennent le pouvoir avec l'aide d'une puissance étrangère
28:59 qui est très hostile à la France, et qui fait sa voix.
29:02 Ces nationalistes flamands sont très hostiles à la France et aux francophones,
29:06 et ils commencent à voter des lois pour interdire la langue française
29:09 dans toute la Wallonie et dans tout l'espace francophone de Belgique,
29:13 et ils commencent à tuer des belges, à les cramer,
29:16 à faire des exactions, des politiques de répression permanente,
29:19 et nous, qu'est-ce qu'on ferait ?
29:22 Si on est cohérents, en tant que français,
29:25 ça va nous faire un petit peu chier que des nationalistes flamands
29:29 viennent attaquer, agresser, liquider des gens du Hainaut et de Wallonie,
29:37 parce que pour nous, nous les considérons comme des frères.
29:39 Nous partageons la même langue, une histoire commune, des valeurs, des cultures, enfin voilà.
29:43 Si des wallons se font zigouiller par des flamands,
29:47 on va intervenir.
29:49 Et voilà ce qu'a fait la Russie.
29:51 La Russie est tout simplement intervenue pour protéger ses frères du Donbass.
29:57 Vous avez certainement peu entendu parler dans les médias
30:01 de l'incendie, dont on fait les 10 années, de la maison des syndicats Odessa.
30:07 Là, c'était des petits nazis ukrainiens qui n'ont jamais été poursuivis,
30:10 qui n'ont jamais été attrapés,
30:12 qui ont fait cramer un énorme bâtiment dans la ville d'Odessa,
30:17 où des gens s'étaient réfugiés, des russophones,
30:21 parce qu'ils s'étaient fait poursuivre par ces nazions dans la rue,
30:23 après un match de foot.
30:25 Et des dizaines de personnes ont été brûlées vives dans ce bâtiment.
30:29 Ça, c'est les valeurs de l'Ukraine.
30:32 La belle nouvelle Ukraine.
30:34 Et c'est très intéressant aussi, parce que par laétique,
30:37 donc son gouvernement est nationaliste, patriote, etc.
30:41 Je rappelle que les branleurs nationalistes ukrainiens
30:47 sont ces mêmes gens qui disent qu'il faut déposséder notre peuple
30:52 de sa souveraineté et de son indépendance
30:54 en intégrant l'Union Européenne, cette nouvelle URSS.
30:58 Parce que j'espère que chacun a bien conscience que l'Union Européenne
31:01 est une autre URSS.
31:03 Nous n'avons plus le droit de souveraineté,
31:05 qu'elle soit monétaire, qu'elle soit sur nos politiques budgétaires,
31:08 nos lois, nos affaires étrangères, nos politiques militaires.
31:11 Les Français, et comme tous les autres Européens,
31:14 n'ont plus rien à dire par rapport à leurs propres intérêts,
31:17 puisque c'est Bruxelles qui détermine ce que l'on doit faire.
31:20 C'est une nouvelle URSS.
31:22 Et donc les Ukrainiens qui disent "Nous on est patriotes,
31:25 on a les valeurs de l'Occident, etc.
31:28 On est des petits larbins des Etats-Unis en réalité."
31:30 Qu'est-ce qu'ils veulent faire ?
31:32 Alors que leur pays était devenu complètement indépendant
31:35 à la sortie de l'URSS, totalement indépendant.
31:38 Ils n'avaient plus de compte à rendre à personne.
31:40 Leur peuple était totalement souverain.
31:42 Et maintenant ils ont dit "On va rejoindre une nouvelle URSS,
31:45 on va déposséder notre peuple de sa souveraineté monétaire,
31:49 économique, budgétaire, commerciale,
31:51 de ses intérêts propres en termes de diplomatie, d'affaires militaires.
31:55 On va faire ce qui a été fait pour les Français et d'autres peuples
32:00 qui se sont fait enfermer et truander dans cette Union Européenne
32:04 au nom de belles valeurs patriotiques occidentales.
32:07 Et ils sont prêts à faire une guerre pour ça.
32:09 Au nom d'une idéologie atlantiste de larbins,
32:13 ils sont prêts à saigner leur peuple.
32:15 500 000 morts en Ukraine.
32:17 500 000 morts.
32:18 Alors nous on s'en fout, on est loin.
32:20 Et quand on entend les bobos, les gentilles personnes
32:25 qui nous disent "On a des belles valeurs",
32:27 vous entendrez toujours ce mot "les valeurs",
32:29 "on a des valeurs".
32:30 Il faut envoyer des armes, toujours des armes,
32:33 toujours des munitions, toujours des munitions.
32:35 Allez les Ukrainiens, saignez !
32:39 Saignez pour l'Europe les Ukrainiens.
32:41 C'est pas nous qui allons crever sous les obus et les drones.
32:46 C'est notre bonne chère accanon ukrainienne
32:48 à qui on envoie des armes.
32:50 Allez, ferme ta gueule !
32:51 On t'a mis un fusil dans les mains,
32:53 on t'a mis des munitions.
32:54 Ne conteste pas, ne part pas en arrière du front,
32:57 ne fuis pas, va sous les obus,
32:59 va tuer des Russes, c'est notre idéologie occidentale.
33:02 Notre aussi belle valeur européenne.
33:04 Écoute, si jamais tu survis,
33:07 si tu ne crèves pas sur le front,
33:09 non seulement ton pays aura quand même perdu la guerre,
33:13 on parle quand même de la Russie en face,
33:15 faudrait peut-être un petit peu remettre les pendules à l'heure,
33:17 non seulement l'Ukraine, ton pays,
33:20 aura perdu une partie de son territoire,
33:22 qu'elle le veuille ou non,
33:23 mais elle entrera dans cette nouvelle URSS
33:26 qui vous a été vendue, l'Union Européenne,
33:28 où vous n'aurez plus de souveraineté,
33:30 plus d'indépendance,
33:32 plus de droit à votre détermination.
33:35 C'est des étrangers de Bruxelles,
33:38 des bourgeois, des multinationales,
33:40 qui vous diront ce qu'il faut faire.
33:42 C'est donc le sable qui vous donnera des ordres.
33:44 Voilà c'est quoi la tragédie ukrainienne.
33:48 Aussi, chers Français,
33:53 quand on nous vend la guerre,
33:54 et quand on nous dit
33:56 qu'un espèce de traître,
33:58 un traître au sens du droit pénal,
34:01 nous dit "je vais envoyer des militaires français à Odessa",
34:06 qu'est-ce que ça signifie en clair ?
34:09 Nous sommes déjà dans une guerre larvée
34:11 contre la première puissance nucléaire au monde.
34:14 La Russie, c'est la première puissance nucléaire au monde.
34:19 Elle dispose d'ailleurs de technologies dont nous ne disposons pas.
34:23 Elle a des missiles hyper-véloces
34:25 qui vont à plusieurs fois la vitesse du son.
34:28 On appelle ça des missiles hyper-soniques.
34:31 Donc ça veut dire que si on veut jouer
34:34 à un concours de bite avec la Russie
34:36 pour savoir lequel d'entre nous va faire atteindre en premier
34:39 sa petite ogive nucléaire sur Moscou ou sur Paris,
34:43 à votre avis, qui va gagner ?
34:45 Est-ce que vous avez un bunker anti-atomique ?
34:49 Bien sûr !
34:51 Macron a peut-être un bunker anti-atomique à l'Élysée,
34:54 mais les gueux que nous sommes n'en avons pas.
34:56 Et on n'a pas l'intention de crever pour les beaux yeux de la Macronie.
35:00 Il se trouve donc que, actuellement,
35:03 du point de vue du droit international,
35:06 il paraît qu'on n'est pas du tout co-belligérant.
35:10 Nous ne sommes pas co-belligérants, nous sommes neutres.
35:13 Nous soutenons à mort le régime d'Azélimsky,
35:16 mais nous sommes neutres.
35:18 Bon, on va vérifier ça.
35:20 La France a ratifié un certain nombre de traités,
35:22 notamment les conventions de l'Aïd de 1907,
35:25 qui disposent dans leur article 4
35:28 que les États neutres ne peuvent pas former des troupes de combattants
35:33 sur leur propre sol d'un État belligérant.
35:36 Donc ça veut dire que lorsqu'on va former des pilotes d'avions ukrainiens,
35:39 que l'on va former des artilleurs ukrainiens,
35:41 que l'on va former des troupes ukrainiennes en France,
35:44 on viole les traités que nous avons ratifiés sur la question de la neutralité,
35:48 et nous sommes donc de fait co-belligérants contre la Russie.
35:52 Nous sommes en état de guerre, sans le dire, contre la Russie.
35:56 Je ne sais pas si vous voulez vraiment, vraiment,
36:00 que l'on arrive à cette guerre.
36:02 Parce qu'une fois que l'on enverra des troupes en Ukraine,
36:06 la Russie sera tout à fait légitime à dire
36:09 "non seulement je vais envoyer quelques missiles à la gueule des soldats français
36:12 qui sont à Odessa pour régler la question,
36:15 mais puisque la France a décidé de me déclarer la guerre directement,
36:19 d'être co-belligérant directement,
36:21 pourquoi ne pas envoyer quelques missiles directement sur la France ?
36:25 La Russerie serait dans son bon droit.
36:28 Nous avons un fou qui nous pousse à la guerre.
36:31 On se pose souvent la question quand on regarde les guerres passées,
36:34 la première, la deuxième guerre mondiale, en se disant
36:36 "mais comment nos aïeux n'ont-ils pas réussi à empêcher les fous
36:41 qui étaient au pouvoir à l'époque, qui faisaient déjà de la propagande de guerre,
36:45 comment ils n'ont pas pu empêcher ça ?"
36:48 Eh bien regardez en nous maintenant.
36:50 Est-ce que vous avez le sentiment que la majorité des français font quelque chose ?
36:55 Est-ce que vous avez vous-même interpellé votre député pour dire ça ?
36:59 Qu'est-ce qui se passe ? Vous êtes fous !
37:01 Est-ce que vous avez écrit au président de la République ?
37:03 ...de vraiment extrêmement important,
37:07 et on se rend compte que les médias nous mènent à la guerre.
37:09 C'est vraiment un sujet super important.
37:11 On va repartir juste après que Carina nous fasse un petit discours qu'elle a préparé.
37:16 C'est vraiment un tout petit discours.
37:20 Je tenais quand même à rappeler, parce que figurez-vous
37:23 Vigimedia existe depuis trop longtemps, pour ne pas rappeler
37:27 que c'est un collectif qui dénonce les mensonges qui sont dits à travers les médias,
37:33 les médias mainstream, les médias de grand chemin.
37:36 Vous pouvez joindre Vigimedia.
37:39 Voici l'adresse ici, www.vigimedia.info.
37:43 Dites-nous l'impact que cela a eu sur votre quotidien,
37:48 hier, aujourd'hui et plus tard,
37:50 compte tenu de ce que vient de décrire Sylvain,
37:53 dans le climat dans lequel nous sommes,
37:56 qui est complètement anxiogène.
37:59 Moi je voudrais vous rappeler quelque chose
38:02 de la part de ce président qui nous gouverne actuellement.
38:06 Il se trouve que quand il était beaucoup plus jeune,
38:10 il a écrit un poème.
38:12 Alors voilà ce que ça dit.
38:15 En 1993, le jeune Emmanuel Macron
38:19 a tiré l'attention d'une, d'un, d'une, d'un,
38:23 professeur d'une, je ne sais plus,
38:25 professeur de lettres, par un texte d'une beauté fulgurante et prophétique.
38:31 Voilà ce qu'il dit.
38:34 "Sur mon grand chemin, sur mon grand front jupitérien,
38:38 siège d'une pensée trop complexe pour mes valeurs,
38:42 pour mes valets journalistes,
38:45 pardon, je reprends,
38:47 sur mon grand front jupitérien,
38:50 siège d'une pensée trop complexe pour mes valets journalistes,
38:54 sans parler des ouvrières illettrées,
38:58 j'écris ton nom,
39:01 sous les grilles dorées des cliniques privées,
39:03 temples de la médecine rentable,
39:06 sur l'argent magique que je ne donnerai pas à l'hôpital public,
39:10 sur mes courtoises mains qui applaudissent les soignants avant de les cogner,
39:15 j'écris ton nom,
39:18 sur l'argent blanchi par les banques françaises dans les paradis fiscaux,
39:22 sur les risibles feuilles d'impôt de mes amis les riches,
39:26 sur le pognon de dingue dont je dépouille les pauvres,
39:31 j'écris ton nom,
39:34 sur les rouages de l'éducation nationale,
39:36 cette machine à trier ceux qui réussissent de ceux qui ne sont rien,
39:43 sur les culottes soyeuses des écoliers d'élite
39:46 que jamais ne souillèrent les sordides bancs de l'école publique,
39:51 sur le sénateur que j'offre aux premiers de cordée
39:54 pour faciliter leur ascension,
39:56 j'écris ton nom,
39:59 sur la barbe virile et rassurante de maître Dupond-Méretti,
40:03 sur la braguette magique de mon copain Gégé,
40:06 l'homme à qui l'on peut parler d'homme à homme,
40:09 sur les matraques calmant les hystériques dans le métro parisien
40:13 où on les a traînés,
40:16 j'écris ton nom,
40:19 sur le papier glaçant de Valeurs Actuelles,
40:22 le magazine des Français de Bansouch,
40:25 sur les armes non létales mais malveilleusement mutilantes
40:29 des forces de l'ordre nouveau,
40:32 sur les murs des commissariats qui imprègnent un sang impur
40:35 originaire d'Afrique,
40:37 j'écris ton nom,
40:39 sur les plages de Mayotte
40:41 où j'aime à taquiner les Comoriens noyés,
40:44 sur les repas qui ne seront pas distribués aux migrants de Calais
40:48 ou aux enfants,
40:50 sur les murs inhumains des centres de rétention,
40:53 j'écris ton nom,
40:55 et par le pouvoir d'un mot,
40:57 je commencerai un nouveau mandat,
40:59 je suis née pour te nommer,
41:01 pour te jeter au visage des boucs émissaires,
41:04 je suis née pour te faire triompher,
41:07 c'est paratisme !
41:10 Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org
41:13 "La Marseillaise"
41:16 "La Marseillaise"
41:19 "La Marseillaise"
41:23 "La Marseillaise"
41:27 "La Marseillaise"
41:30 Merci d'avoir regardé cette vidéo !