« La France rêve aussi des JO d’hiver en 2030 » dans le Grand J.T. des Territoires

  • il y a 4 mois
« La France rêve aussi des JO d’hiver en 2030 » dans le Grand J.T. des Territoires

La France candidate aux Jeux Olympiques d’hiver en 2030. Récemment, Courchevel a fait l'objet d'une visite du Comité International. Après plusieurs jours en Savoie, un premier bilan a été dressé par l'instance olympique. Le Président du Conseil régional Auvergne Rhônes-Alpes était sur place. Un reportage exclusif réalisé par la chaîne 8 Mont Blanc, à retrouver dans le journal du Grand J.T. des Territoires cette semaine, l’émission de Cyril Viguier diffusée sur TV5 Monde et LCP.


Fusions de communes : la France se transforme-t-elle ?

À l’actualité du Grand J.T. des Territoires : nos territoires sont-ils en train de se transformer ? Au 1er janvier 2025, la ville de Pierrefitte pourrait devenir… Saint-Denis. Cette fusion s’ajouterait aux 35 000 communes déjà regroupées en France. Évidemment la nouvelle a fait réagir les habitants parfois en colère de ne pas avoir été consultés par ce changement. Un reportage signé Mélanie Faure pour la chaîne locale 20 Minutes TV.

Trappes : Omar Sy inaugure son cinéma

Et puis Cyril Viguier est revenu sur l'inauguration d’un cinéma à Trappes dans les Yvelines. Autrefois baptisé Jean-Renoir, il porte désormais le nom de l’acteur Omar Sy qui a passé toute sa jeunesse dans la commune. C’est un symbole fort pour la ville et ses habitants. Omar Sy était évidemment sur place pour l’inauguration. Un reportage réalisé par la chaîne TV78.

Une course 100% féminine contre le cancer !

Elles étaient des milliers à courir pour la bonne cause. Près d'un mois après le Marathon de Paris, ces femmes ont réalisé une course pour la lutte contre le cancer à Metz. Un événement 100% féminin qui ne s'essouffle pas ! Un reportage réalisé par Lucie Philippot pour Moselle TV.

Corse : des falaises vers l'effondrement ?

En Corse, l'érosion côtière fragilise les falaises. Dans la ville de Bonifacio en Corse du Sud, les bords risquent de s'effondrer. Des habitants ont même été expulsés de leurs logements jugés trop dangereux.
Face à cette menace, la ville a lancé de grands travaux d'aménagement. Les habitants et les visiteurs pourraient alors profiter de ce joyau naturel sans aucun risque. Pour l’occasion, le maire de la ville Jean-Charles Orsucci était au micro de la chaîne Telepaese.

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00:00 [Générique]
00:15 Bonjour à tous et bienvenue dans cette nouvelle édition du Grand JT des Territoires.
00:18 Voici tout de suite les titres du journal.
00:21 La France est-elle en train de se redessiner ?
00:23 Les fusions de communes s'accélèrent fortement dans nos territoires.
00:27 L'an prochain, Pierrefitte pourrait disparaître, absorbée par la ville de Saint-Denis.
00:31 Cette fusion s'ajouterait aux 35 000 communes déjà regroupées en France.
00:35 Nous y reviendrons avec notre partenaire 20 Minutes TV sur place.
00:38 Dans ce journal également, notre pays rêve aussi des Jeux Olympiques d'hiver en 2030.
00:43 La candidature française prend de l'ampleur.
00:46 Après la Clusaz, Courchevel vient d'accueillir les émissaires du Comité international olympique.
00:52 Nous irons sur place dans un reportage exclusif de nos partenaires huitements blancs.
00:56 Une course solidaire toute en rose.
00:59 Un mois après le marathon de Paris, elles étaient des milliers à courir pour lutter contre le cancer.
01:04 Un événement 100% féminin, un mouvement inspirant, vous le verrez,
01:07 nous y reviendrons avec notre partenaire Moselle TV sur place.
01:11 Et puis l'érosion côtière menace nos falaises.
01:14 Ce danger concerne l'ensemble de nos territoires.
01:17 À Bonifacio, en Corse, des résidents sont même contraints de quitter leur logement.
01:21 La ville a lancé de grands travaux d'urgence.
01:23 Nous irons sur place dans un reportage inédit.
01:27 Nos territoires sont-ils en train de se transformer ?
01:30 Au 1er janvier 2025, la ville de Pierrefitte pourrait devenir la ville de Saint-Denis.
01:34 Cette fusion s'ajouterait aux 35 000 communes déjà regroupées en France.
01:38 Évidemment, la nouvelle a fait réagir les habitants, parfois en colère,
01:41 de ne pas avoir été consultés par ce changement.
01:44 Un reportage signé Mélanie Fort pour notre partenaire 20 minutes TV sur place.
01:49 Au 1er janvier 2025, la commune de Pierrefitte pourrait devenir Saint-Denis.
01:54 Les maires Michel Fourcade et Mathieu Annotin ont décrété la fusion de leurs deux villes.
01:59 Pierrefitte-sur-Seine deviendra commune déléguée.
02:01 Une nouvelle qui fait réagir les habitants de cette petite ville de 30 000 habitants.
02:06 Je pense que c'est une bonne initiative.
02:08 Ça va permettre de créer une plus grande ville avec davantage de moyens, d'aide de l'État.
02:15 Je ne sais pas si ce sera positif, négatif, aucune idée.
02:18 Je ne suis pas sûr que ce soit très positif. C'est un peu dommage de perdre notre identité.
02:21 Pourquoi ce rapprochement ?
02:23 Les maires invoquent les bienfaits d'une dotation globale de financement de l'État plus élevé
02:27 et d'un service public plus performant.
02:30 Mais les habitants sont nombreux à voir la fusion d'un mauvais œil.
02:33 Ils dénoncent l'absence de la consultation citoyenne.
02:36 Des locaux ont donc monté l'association Stop Fusion Pierrefitte-Saint-Denis
02:40 et organisent une votation citoyenne.
02:42 Toute notre action, c'est de donner la parole à la population des deux villes.
02:47 Et nous avons mis en place un système extrêmement rigoureux de votation populaire.
02:54 L'association redoute l'absorption de leur ville par le mastodonte de la Sainte-Saint-Denis,
02:58 qui compte, lui, plus de 110 000 habitants.
03:00 Il n'y a rien qui nous permet de dire que grâce à cette nouvelle commune,
03:05 on aura plus de moyens pour les habitantes et les habitants.
03:08 Et la dernière chose qui est importante, c'est qu'on nous dit aussi, en tout cas les deux maires nous disent,
03:13 que grâce à cette commune, il y aura plus de services publics.
03:16 Ça aussi, ce n'est pas vrai, c'est un mensonge.
03:18 Le maire de Pierrefitte a fermé des services publics à Pierrefitte.
03:22 Contacté par 20 minutes TV, le maire de Pierrefitte, Michel Fourcade, soutient la fusion.
03:27 Michel Fourcade affirme être prêt à échanger avec les habitants
03:30 lors d'une grande réunion publique à la Maison du Peuple de Saint-Denis.
03:35 Les Jeux Olympiques approchent et demandent de grands moyens pour stimuler l'embauche.
03:40 Le gouvernement veut permettre aux agents publics de cumuler leur emploi
03:43 avec des activités de sécurité privée.
03:46 Des étudiants pourraient aussi être mobilisés.
03:48 Un reportage signé Thibault Rivière pour notre partenaire Tl7 dans la Loire.
03:52 Regardez.
03:53 Eux aussi seront des acteurs ligériens des Jeux Olympiques.
03:58 Un engagement important pour cette étudiante qui se forme sur son temps libre.
04:02 Je voulais pouvoir aider pendant les JO.
04:06 Et en fait, je suis à l'université, ils ont fait passer un mail comme quoi ils cherchent beaucoup d'agents de sécurité.
04:11 Bonjour, on va procéder à une palpation de sécurité.
04:13 Est-ce que j'ai votre consentement ?
04:15 Oui, bien sûr.
04:15 Je vous demanderai d'ouvrir votre veste, d'écarter les bras s'il vous plaît.
04:18 J'avais déjà été immergé dans le milieu sportif.
04:22 Donc déjà, j'ai un bel contact avec le public.
04:25 Parce que les JO se déroulent en France en 2024.
04:30 C'est un honneur, c'est vrai que ce n'est pas tous les jours.
04:33 C'était leur première palpation et certaines situations peuvent être tendues.
04:37 Je vous demande juste du respect.
04:38 D'accord ?
04:39 Je vous demande de rester au calme.
04:41 On a vu les soucis, maintenant on peut y rentrer.
04:42 Ah mais c'est moi, on m'a répondu très bien.
04:44 Mais pas de stress à ressentir pour ces stagiaires.
04:47 Il faut essayer de rester le plus calme possible, maîtriser la situation dans toutes circonstances.
04:53 Même s'il y a encore quelques oublis.
04:56 Ah ouais, écoute, là tu meurs.
04:58 Je te prends le dîner.
05:01 L'assaut des briefs et les qualités à avoir sont rapidité et efficacité.
05:06 Et concernant les JO, quelques spécificités à appréhender.
05:09 Alors ça reste un événement international avec peut-être une barrière de la langue
05:13 et une compréhension.
05:14 Donc voilà, c'est d'être courtois, poli, patient et faire preuve de discernement
05:19 et de réactivité pour pouvoir gérer une problématique.
05:22 Le risque-attentat est également une notion enseignée.
05:25 Cette entreprise de formation répond justement à une demande accrue depuis août 2023.
05:30 Et dans ce sens, le cursus de Solène et Ludovic a été créé par la profession.
05:35 On a formé des agents de sécurité sur une période relativement courte.
05:40 Donc on est sur une formation allégée sur trois semaines.
05:42 Ça a été créé spécifiquement et spécialement, si je m'autorise à le dire, pour les JO.
05:48 La France candidate aux JO d'hiver en 2030.
05:53 Courchevel a fait l'objet d'une visite du comité international.
05:57 Et après plusieurs jours en Savoie, un premier bilan a été dressé par l'instance olympique.
06:02 C'est un reportage de Chloé Le Meur et d'Ozan Béram pour notre partenaire Huit Monts-Blancs sur place.
06:08 La piste de Courchevel n'a pas été le lieu de rendez-vous des skieurs,
06:12 mais d'une délégation des membres du comité international olympique.
06:15 Leur mission, passer au peigne fin le site proposé par les Alpes françaises
06:20 dans le cadre de sa candidature pour l'organisation des JO d'hiver 2030.
06:25 Si les émissaires n'en sont qu'au stade de l'inspection,
06:28 le bilan de cette visite semble plutôt prometteur.
06:30 C'est un lieu qui offre une multitude d'opportunités pour le ski.
06:36 On peut y faire de la descente, du superjet, du géant et du slalom.
06:40 Et juste à côté, le tremplin de saut permet aussi la pratique du combiné nordique.
06:44 Le tout avec beaucoup de place pour les spectateurs.
06:47 En dehors des atouts présentés par Courchevel et des pistes visitées ce lundi en Haute-Savoie,
06:51 à la Clusaz et au Grand Bornand, c'est aussi la compétence des experts sur le terrain
06:56 et la présence de grands athlètes qui jouent un rôle dans cette opération séduction.
07:00 C'est fondamental de voir les athlètes, de voir leur enthousiasme,
07:03 parce qu'ils sont là non pas en tant que spectateurs,
07:06 ils sont là pour dire comment d'abord ils sont venus à leur sport,
07:09 pour raconter leurs histoires personnelles,
07:11 comment pour certains ils ont l'intention de vivre ces JO de 2030,
07:14 combien ces JO sont fabuleux pour les sports d'hiver français
07:19 et comment ça va continuer l'aventure de Paris 2024.
07:22 Ces deux jours ont aussi permis d'aborder les réaménagements à prévoir sur les pistes.
07:26 Ils devraient être mineurs à Courchevel, avec une prolongation des tremplins,
07:30 l'évolution de la tribune ou encore l'optimisation de la piste de l'éclipse.
07:35 L'objectif est aussi de réfléchir à attirer le plus de public possible.
07:39 Il faut qu'on ait du public, il faut qu'il y ait de la place pour qu'il y ait les enfants.
07:43 Il faut qu'autour de nos sites, on organise des lieux où des gamins de 9 ans, 11 ans
07:48 puissent découvrir les sports avec des spots de test.
07:51 Si tous les voyants semblent au vert, pour l'instant rien n'est encore définitif.
07:55 Après une visite des autres sites dans les Alpes du Sud,
07:57 les membres du CIO ont désormais un mois pour produire un rapport complet
08:01 qui permettra de statuer définitivement sur la candidature française.
08:06 Ils avaient disparu depuis les années 80, les pompistes font désormais leur grand retour.
08:11 Depuis un an, l'énergéticien français Total Energy en a déjà engagé une centaine dans l'hexagone.
08:18 Pour la multinationale, c'est un moyen de renforcer la proximité avec ses clients.
08:22 Un reportage signé Juliette Huard pour notre partenaire TV7, la chaîne du groupe Sud-Ouest à Bordeaux.
08:29 On le reconnaît à son gilet orange.
08:32 Jean-Luc est le premier pompiste à avoir repris du service en Géronde.
08:36 Sa mission, remplir les réservoirs d'essence des automobilistes qui le souhaitent, mais pas que.
08:42 "Ça diffère tous les jours, c'est jamais le même boulot qu'il y a à faire.
08:45 Il y a l'entretien, il y a un peu tout.
08:47 Comme fait, il n'y a pas que servir les gens.
08:49 Donc c'est sympa, ça change, ça fait du bien."
08:51 Pour Mathieu, client régulier, le retour de ce service,
08:54 qui avait disparu de la quasi-totalité des stations de services françaises depuis plus de 40 ans,
09:00 est une bonne idée.
09:01 Il est non seulement gratuit et pratique, mais il permet aussi de créer du lien.
09:06 "Ça rajoute un aspect social aussi à la station.
09:13 C'est vraiment une contrainte qu'on a nous d'y passer.
09:15 Donc ça recrée un petit lien.
09:16 C'est super sympa de pouvoir discuter avec quelqu'un pendant qu'on fait le plein."
09:23 Un avis que cet automobiliste ne partage pas à l'air du tout numérique.
09:26 "Tout est automatisé, la carte et compagnie.
09:29 En soi, c'est aussi simple et plus rapide."
09:32 À ce jour, le retour des pompistes dans les stations services Total Energy
09:36 est surtout visible en ville et en périphérie, où la fréquentation est plus forte.
09:41 Un moyen pour l'enseigne de renforcer la proximité avec ses clients.
09:45 "L'objectif, c'est effectivement en France,
09:48 puisque c'est un projet national de passer de 132 aujourd'hui à 300 à la fin de l'année 2024.
09:53 Sur la Gironde, aujourd'hui, on a 7 stations qui sont concernées.
09:57 L'objectif, c'est d'en avoir… Il y a 7 projets en cours.
09:59 Donc on pourrait arriver jusqu'à 14 stations à la fin de l'année 2024 sur le département 33."
10:05 Les gérants des stations services concernées sont toutefois libres de renouer ou non
10:09 avec ce métier disparu.
10:15 "Elles étaient des milliers à courir pour la bonne cause.
10:18 Près d'un mois après le marathon de Paris,
10:20 ces femmes ont réalisé une course pour la lutte contre le cancer à Metz.
10:24 Un événement 100% féminin qui ne s'essouffle pas.
10:27 Seules ou en groupe, les participantes ont tout donné.
10:30 Un reportage signé Lucie Philippot pour notre partenaire Moselle TV sur place."
10:33 Un peu d'échauffement en musique pour Christine et Emeline
10:40 avant d'entamer leur marche à travers Metz,
10:43 dans cette marée rose, l'une est salariée dans une entreprise d'assurance,
10:47 l'autre représentante des sociétaires,
10:49 elles se mobilisent ensemble pour la même cause.
10:52 "Dans mon équipe, on a des femmes de 20 ans, des femmes de 60 ans.
10:56 Je veux dire, on est toutes concernées par ce sujet et je trouve ça vraiment extraordinaire.
11:00 En plus, ce rose, c'est magnifique."
11:02 La Messine, c'est un circuit de 7 kilomètres, réalisable en courant ou en marchant.
11:07 Elle permet de découvrir ou redécouvrir la ville de façon amusante et plus colorée.
11:12 "Il y a quand même pas mal d'énergie aujourd'hui qui est rassemblée,
11:16 donc ça fait plaisir, ça fait chaud au cœur.
11:18 Et c'est un moment aussi un peu à vivre ensemble avec les gens qui sont autour de nous."
11:24 Course terminée pour Christine et Emeline.
11:26 "Très bien, ça fait du bien, on a hâte de retrouver tout le groupe,
11:29 parce qu'on s'est un peu dispersés, mais voilà, une bonne chose de faite."
11:34 Un peu d'étirement pour éviter les courbatures le lendemain.
11:38 Réservé aux femmes, la Messine a comptabilisé 9600 participantes pour la bonne cause.
11:44 "Il y a tous les bénéfices qui sont reversés à la Ligue contre le cancer du sein,
11:48 le comité 57 de la Ligue."
11:50 Une bonne cause qui vous donne déjà rendez-vous l'année prochaine, dernier week-end d'avril.
11:54 C'était un autre événement consacré à la santé des femmes.
12:00 Comment sensibiliser au dépistage du cancer du sein et du col de l'utérus ?
12:05 Ces maladies touchent des milliers de femmes chaque année.
12:07 À Limoges, ce centre social a organisé une journée dédiée pour l'occasion des sages-femmes.
12:12 Ils étaient sur place pour assurer des consultations gratuites.
12:15 Un reportage signé Tom Capron pour CETA Limoges.
12:17 C'est au centre social de Beaubreuil, au nord de Limoges,
12:21 que s'est déroulée la journée santé de la femme.
12:23 Une journée pour parler des cancers féminins, de la prévention de ces derniers et aussi du bien-être.
12:28 "Après le contact avec la représentante de la Ligue contre le cancer à Quitaine,
12:33 et avec l'accord de M. le maire,
12:35 nous avons décidé d'être partenaires sur cette action,
12:38 au vu d'informer et de préparer le dépistage
12:41 ce qui concerne le cancer du sein et du col de l'utérus
12:45 pour les habitants des femmes du quartier de Beaubreuil.
12:48 Les sages-femmes interviennent aujourd'hui pour ce dépistage
12:51 et de la prise de rendez-vous afin de réaliser des mammographies.
12:55 On reçoit les femmes de Beaubreuil qui ont pris rendez-vous,
12:58 on les accompagne dans les bureaux où se déroulent les dépistages, les différents dépistages.
13:03 Après, on les oriente au sein des stands de la CPM
13:07 afin de vérifier les légibilités avec la carte vitale,
13:12 savoir s'il y a un suivi derrière, reprendre des rendez-vous si nécessaire."
13:16 De nombreux partenaires de santé étaient sur place,
13:18 ainsi que trois sages-femmes présentes sur toute la journée
13:20 pour assurer une cinquantaine de consultations gratuites.
13:23 "Moi je suis là surtout pour inciter les dames à venir faire leur mammographie
13:28 et leur montrer, leur dire surtout que ça ne fait pas mal.
13:32 On arrive à toucher toutes les dames de tous les quartiers, de partout en fait.
13:35 Il faut qu'elles viennent, il faut qu'elles viennent faire leur mammographie,
13:37 c'est très très important."
13:39 "Toutes les femmes sont invitées justement à venir se faire dépister
13:43 et surtout avoir des informations qu'elles n'auraient pas.
13:46 Il faut les rassurer et surtout les encourager à prendre ces rendez-vous
13:51 qui peuvent sauver une vie."
13:53 Et puis retour sur l'inauguration de ce cinéma à Trappes dans les Yvelines.
13:58 Baptisé Jean Renoir avant les travaux,
14:00 il porte désormais le nom de l'acteur Omar Sy
14:03 qui a passé toute sa jeunesse dans la commune.
14:05 Un symbole fort pour la ville et ses habitants.
14:08 Omar Sy était évidemment sur place pour l'inauguration.
14:10 Un reportage de notre partenaire TV 78.
14:13 Regardez.
14:14 "Omar Sy, Omar Sy, Omar Sy, Omar Sy, Omar Sy, Omar Sy !"
14:18 Omar Sy est ému devant cette foule qui l'appelle.
14:21 Le cinéma municipal fraîchement rénové porte maintenant son nom.
14:25 Une salle qu'il a beaucoup fréquentée.
14:26 "Je me souviens, le premier que je suis allé voir sans l'école, sans les parents,
14:30 c'était 'Moonwalker'.
14:31 On était chaud en sortant.
14:33 On essayait de faire le 'Moonwalk' justement.
14:35 C'était celui où il a fait son truc comme ça.
14:40 Le clip qui était un peu la bande-annonce du film à l'époque.
14:42 On était fous par ce truc où il se penchait en avant.
14:45 Quand on est venu voir ce film ici, on est sortis là,
14:46 on était chaud pendant des semaines."
14:48 Né à Trappes, Omar Sy a reçu un César pour son rôle dans "Intouchables".
14:53 Joue dans la série Netflix "Lupin"
14:55 et décidera des films nominés pour le festival de Cannes.
14:58 C'est devenu une figure importante du cinéma
15:01 qui inspire les jeunes et les rêveurs.
15:03 "Ça fait plaisir.
15:03 Ça fait plaisir de voir un grand acteur comme ça,
15:06 généreux, qu'on a l'habitude de voir à la télé,
15:08 de le voir en vrai se déplacer.
15:10 C'est un symbole."
15:11 "Ça redonne une certaine image à Trappes qui a été salie par les médias, etc.
15:16 Je pense que c'est important de redorer cette image-là
15:17 et de montrer qu'il y a vraiment de la réussite dans cette ville."
15:20 Un an de rénovation, plus d'un million d'euros de budget,
15:23 un nouveau nom logique pour la commune.
15:25 "La façon dont on nomme nos rues, nos bâtiments,
15:27 c'est aussi un message qu'on envoie à notre population et au reste du monde.
15:30 Choisir de dire qu'un enfant de l'immigration,
15:33 un enfant d'ouvrier de classe très modeste,
15:35 qui a réussi à construire une carrière extraordinaire,
15:39 peut incarner quelque chose."
15:40 Pour l'élu, le nouveau nom de ce lieu reflète les valeurs françaises
15:44 de générosité, de fraternité et d'égalité,
15:46 une projection de Germinal et Préjus.
15:49 Elle a marqué l'acteur lors d'une sortie scolaire.
15:52 Voilà, rendons-nous en Corse dans ce journal
15:54 où l'érosion côtière fragilise les falaises.
15:57 Dans la ville de Bonifacio, en Corse du Sud,
16:00 les bords risquent de s'effondrer.
16:02 Les habitants ont même été expulsés de leur logement,
16:04 jugés trop dangereux.
16:06 Alors face à cette menace, la ville a lancé de grands travaux d'aménagement.
16:10 Les habitants et les visiteurs pourraient alors profiter
16:12 de ce joyau naturel sans aucun risque.
16:15 Pour l'occasion, le maire de la ville, Jean-Charles Orsucci,
16:18 était au micro de notre partenaire télépaysé,
16:21 la chaîne TNT en Corse.
16:23 Suite à l'étude qui a été menée par les experts
16:26 qui travaillaient au profit de l'État sur la solidité
16:29 des falaises de Bonifacio, il a été décidé que cette zone
16:32 était une zone à risque et qu'il ne fallait plus que des personnes
16:36 restent de façon permanente sur cette zone à risque.
16:39 Donc, on a été obligés de reculer cette place.
16:42 On peut quand même se féliciter que l'État nous ait soutenus
16:45 dans une nouvelle adaptation de cette place
16:48 pour en garder quand même son attractivité.
16:51 L'érosion touche aussi nos Outre-mer.
16:53 En Martinique, de nombreuses maisons sont menacées
16:56 par l'érosion et la submersion côtière.
16:58 Alors, ce collège a décidé de réagir et les étudiants sont mobilisés.
17:03 Ensemble, ils travaillent à la restauration de la flore
17:06 pour lutter contre l'érosion de la plage.
17:08 Un reportage signé Ryan Hanehas pour notre partenaire
17:12 Via ATV Martinique.
17:16 Les jeunes apprentis jardiniers sont en mission ce matin.
17:19 C'est sur une des plages de leur commune qu'ils viennent planter des arbres.
17:22 On creuse des trous dans le sable et on plante des arbres.
17:26 Et on met des algues autour pour que l'humidité reste.
17:29 Pour pas que notre environnement soit nul.
17:32 Préserver notre environnement, c'est le but de cette matinée
17:35 en dehors des bancs de l'école.
17:37 Les enfants sont impliqués et excités autour des plans de plusieurs variétés.
17:41 La plupart sont grandement impliqués.
17:44 Après, chacun ses caractéristiques.
17:46 On retrouve des comportements pas toujours concentrés
17:49 que l'on peut avoir en cours.
17:51 Sur le terrain, c'est un peu les mêmes.
17:53 Mais globalement, le fait de sortir et d'aller se déplacer en bord de mer,
17:56 ça motive la totalité du groupe.
17:58 C'est un milieu sec, pauvre et très salin.
18:02 Ce sont des espèces de bord de mer comme le résinier bord de mer,
18:07 le catalpa, le poirier.
18:10 On met également des plantes à papillons.
18:13 Les plantes sont des essences indigènes replantées
18:15 afin qu'elles reprennent leur place sur la plage.
18:18 Plusieurs zones ont déjà été revégétalisées.
18:21 Aujourd'hui, la commune veut interpeller la population.
18:24 Il faut absolument que les Luciens et les Martiniquais comprennent
18:28 que ces enclos ne sont pas là pour les priver de leur plage,
18:31 mais au contraire, permettre qu'ils puissent à nouveau
18:34 remettre leurs serviettes sous un catalpa.
18:37 On remet en place cette dynamique de revégétalisation.
18:40 Il faut garder et respecter ces enclos.
18:42 Ce projet a pour finalité de réintroduire plus de 1000 plantes forestières
18:46 de bord de mer et ainsi participer à l'amélioration
18:49 de l'état global de nos plages.
18:52 Une grande randonnée vers Paris se poursuit à travers la France.
18:57 Depuis le mois de janvier, des marcheurs sont partis
19:00 des quatre coins du pays pour rejoindre la capitale.
19:03 Au total, c'est plus de 10 000 km à pied parcourus en 560 étapes.
19:09 L'itinéraire traversait notamment le sud de l'Aube
19:12 où était présent notre partenaire Canal 32.
19:15 Regardez ce reportage.
19:17 Ils étaient 68 au départ et se sont retrouvés à 170 à l'arrivée.
19:22 Au bois ou encore bourguignon, ils ont marché aux côtés de Michel,
19:26 un des ambassadeurs de la grande randonnée vers Paris,
19:29 parti de Mâcon le 2 avril.
19:32 Je suis à 425 km aujourd'hui.
19:34 L'ambassadeur, c'est le rôle de promouvoir les bienfaits
19:38 de la randonnée, d'abord au niveau santé.
19:41 L'autre bienfait de la randonnée, c'est la convivialité,
19:45 c'est les rencontres et puis aussi la solidarité.
19:48 J'ai eu un problème de chaussures et puis un randonneur
19:51 qui s'est spontanément proposé de me donner des chaussures
19:55 que j'ai toujours au pied depuis Châtillon.
19:57 Donc ça fait déjà 4 jours que je marche avec.
20:00 Le parcours était adapté à tous en termes de difficultés,
20:03 mais aussi de distances.
20:05 Objectif, faire participer les débutants comme les plus expérimentés
20:09 à la grande randonnée.
20:11 Le tracé nous plaisait bien en partant d'Éryssay.
20:13 Les 25 km étaient une bonne motivation et un bel objectif.
20:17 Et une première pour nous parce qu'on n'avait encore jamais fait
20:20 25 km à pied.
20:21 Et de découvrir des paysages qu'on n'a pas l'habitude de voir
20:23 alors que finalement c'est juste à côté de chez nous.
20:25 Après être passés par Clairvaux, Quinfins, Mussy-sur-Seine
20:28 et l'Éryssay, les randonneurs ont pu découvrir
20:31 le village d'Étourvis en suivant le GR,
20:34 le chemin de grande randonnée en itinérance.
20:36 Pour cette étape, les marcheurs ont parcouru 25 km,
20:39 dont 400 m de dénivelé positif.
20:42 C'est une étape assez facile avec quelques pentes bien raides.
20:46 On a fait un arrêt à peu près à la ferme Caron
20:49 qui était à une douzaine de km du départ.
20:51 Tout s'est bien passé.
20:52 On a failli perdre du monde à la fin parce que les côtes
20:54 étaient tellement raides que les gens perdaient un peu
20:57 le fil de l'histoire.
20:59 Tout le monde est bien rentré, tout le monde est présent.
21:01 Il n'y a pas de problème.
21:02 C'était l'occasion pour le village de se montrer
21:04 sous son meilleur jour et faire découvrir le centre-bourg
21:07 aux randonneurs.
21:08 On prend ça un petit peu comme une reconnaissance
21:11 pour notre faculté d'accueil.
21:14 On est par rapport à l'île de France, la région lyonnaise,
21:17 on est un peu un point central.
21:20 Les enfants, à cette occasion, ont fait beaucoup de dessins
21:23 qui sont exposés un peu partout.
21:26 Et puis oui, la population a répondu à la peine
21:29 des membres de la section randonnée pour venir apporter son aide.
21:33 Le village d'Ettourville était la dernière étape aux Boises.
21:36 L'arrivée à Paris est prévue vendredi 10 mai.
21:39 Et puis c'est une autre course en direction de Paris.
21:45 Depuis les Vosges, 17 jeunes se sont lancés le défi
21:48 de rejoindre la capitale à vélo cette fois.
21:51 Ils profitent des derniers jours de vacances scolaires
21:53 dans la région pour s'entraîner.
21:55 A l'issue de la course, ils assisteront à plusieurs épreuves
21:58 des Jeux paralympiques.
22:00 Un reportage de notre partenaire Vosges TV sur place.
22:03 À l'horizon, 474 km à vélo pour rejoindre Paris.
22:07 C'est un défi et une extraordinaire aventure
22:10 auxquelles vont participer 17 jeunes du lycée Beaumont à Saint-Dié.
22:13 Et pour y arriver, ils profitent des vacances pour s'entraîner.
22:16 La distance Saint-Dié-Paris, donc 470 km à vélo,
22:19 en 8 étapes, donc ça peut paraître pour certaines personnes
22:22 des étapes relativement courtes, mais pour des élèves
22:25 qui n'ont pas forcément l'habitude du vélo, ça sera suffisant.
22:28 Et puis le défi mental, se persuader qu'on peut réaliser
22:31 des fois des choses qu'on ne pensait pas possibles au départ.
22:34 - Il y aura peut-être un peu de fatigue, il faut aussi appréhender
22:37 les blessures peut-être, mais vu qu'on est ensemble,
22:40 on est content et c'est chouette, on rigole.
22:42 - Je ne faisais pas de vélo, mais je m'y suis mis
22:45 pour le défi en partie. Ça m'a plu, j'ai pris goût.
22:48 Et en plus de ça, c'est une aventure humaine,
22:51 même si je suis la seule fille, on a un bon groupe quand même.
22:54 - Quand le projet a débuté il y a un an et demi,
22:57 certains ne pratiquaient pas le vélo de route.
23:00 Cette épreuve, c'est aussi apprendre à respecter l'autre et s'entraider.
23:03 - L'idée me paraissait intéressante de montrer à des jeunes
23:06 quelque chose d'aventureux, d'authentique.
23:09 - Oui, un peu old school, on peut dire ça comme ça.
23:12 - C'est un défi tout d'abord humain et sportif,
23:15 donc transgénérationnel avec des élèves.
23:18 - Je pense qu'ils vont pouvoir un peu enchaîner
23:21 les différentes étapes l'une derrière l'autre,
23:24 donc ça ce n'est pas toujours évident.
23:27 Mais je pense qu'au niveau de la cohésion, ça devra aller,
23:30 ils vont pouvoir être solidaires entre eux et se booster un peu
23:33 pour que chacun arrive à Paris en bon état.
23:36 - Pour le trajet jusqu'à la capitale, Christophe Marshall,
23:39 le golbéen, champion d'Europe de paracyclisme,
23:42 sera de l'aventure. 45 000 euros ont été budgétisés
23:45 pour le projet. Les jeunes assisteront aux épreuves
23:48 de paranatation et para-athlétisme des Jeux de Paris 2024.
23:51 - Au premier pas de danse, le public retient son souffle.
23:54 Ce jeune prodige brestois rafle tous les prix
23:57 des concours de danse classiques.
24:00 En novembre dernier, il a remporté le premier prix
24:03 de la compétition internationale de ballet.
24:06 A 13 ans, il embrasse son destin avec une très grande détermination.
24:09 Regardez ce reportage de nos partenaires TBO et TBSUD,
24:12 ce sont les chaînes du groupe Le Télégramme en Bretagne.
24:15 - Jeune prodige de la danse, le brestois Camille Carillou
24:18 va intégrer à tout juste 12 ans la prestigieuse
24:21 Académie Princesse Grasse à Monaco.
24:24 - Ce qui me plaît dans la danse, c'est plutôt que je peux
24:27 libérer mes émotions à travers ma danse. Tout s'oublie.
24:30 Je n'ai plus de manque de confiance en soi.
24:33 Ce n'est pas grave si les gens me vivent. Je m'en fous.
24:36 C'est mon plaisir à moi.
24:39 - Le mental est plus fort que le corps.
24:42 Le corps ne veut pas. Oblige-toi. Il se croit en vacances.
24:45 Et 1, 2, 3, 4.
24:48 - A l'école des Pontes de l'Avenir de Brest, sa professeure
24:51 avait détecté ses compétences depuis son plus jeune âge.
24:54 - Un jour, je lui ai posé la question "Qu'est-ce que tu veux
24:57 devenir quand tu seras grand ?" Il m'a dit "Pâtissier ou danseur".
25:00 Il m'a dit en deuxième.
25:03 Alors là, j'ai dit "Ah non, non, pâtissier, tu oublies.
25:06 C'est vraiment pour toi".
25:09 - S'il se dit un peu triste de quitter sa professeure,
25:14 Camille Cariot n'est pas effrayée par l'exigeant parcours professionnel
25:17 qui s'offre à lui.
25:20 - On ne repose pas le pied !
25:23 - Voilà, merci à vous d'avoir suivi ce Grand JT des Territoires.
25:26 On se retrouve très vite pour une nouvelle édition. Au revoir à tous.
25:29 (Générique)
25:32 ---
25:35 [Musique]

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