Jaleh Bradea reçoit Timothée Delacôte, délégué général de la Fondation Agir Contre l’Exclusion (FACE) ainsi qu'Andrea Van Schurbeek, bénéficiaire accompagnée par FACE Yvelines. L’objectif de FACE est de lutter contre toutes les formes d’exclusions dans la société française mais aussi les discriminations et la pauvreté. A travers un large réseau d’acteurs privés, publics et associatifs, 291 420 personnes ont été accompagnés par la Fondation avec différentes actions dans l’éducation, l’inclusion par l’emploi, l’accès aux droits et la transition écologique solidaire. Ensemble, transformons cette société pour plus d’égalité !
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00:00Bonjour et bienvenue dans Envie d'agir, je suis ravie d'accueillir aujourd'hui la fondation
00:11Agir contre l'exclusion, en fait on dit fondation FASS avec Timothée Delacote,
00:17le directeur général de FASS, bonjour Timothée, ainsi qu'Andréa Van Scrubeck qui est une personne
00:24accompagnée par la fondation. Merci à tous les deux d'être avec nous. Donc Timothée,
00:28aujourd'hui ça fait 30 ans que vous faites FASS avec 665 000 bénéficiaires, expliquez-nous
00:34comment la fondation déploie ses actions et dans quel domaine en particulier ? Alors FASS c'est
00:41une fondation qui agit dans les territoires avec les entreprises, qui mobilise les entreprises
00:45pour accompagner des personnes qui sont en situation de difficulté particulière, donc c'est
00:50des personnes qui sont soit primo-arrivante, soit qui ne parlent pas français, soit qui sont en
00:55situation de handicap et qui à un moment ou un autre de leur parcours ont rencontré des
00:59difficultés pour s'insérer dans la société. Et nous notre rôle c'est de mobiliser les entreprises
01:04avec leur argent mais aussi le temps de leurs salariés pour nous aider à accompagner ces
01:08personnes. Donc l'accompagnement se fait avec les entreprises, est-ce que ça veut dire que si à
01:12titre individuel quelqu'un a envie de venir vous accompagner aussi, est-ce que c'est possible ou il
01:17faut toujours que ce soit via une entreprise ? Alors la plupart des bénévoles c'est via les
01:22entreprises, ça c'est le coeur de nos missions, mais on a aussi beaucoup de bénévoles qui nous
01:25rejoignent parce qu'à un moment ils ont considéré que notre cause leur parlait soit parce qu'ils ont
01:30vécu ces choses-là, on a aussi beaucoup de gens qui décident de s'engager après avoir été
01:34accompagnés, soit parce qu'ils ont envie tout simplement de s'engager au quotidien près de
01:38chez eux en proximité. Parce que justement cette notion de proximité est je crois très importante
01:44pour vous, est-ce que dès le départ de la création de la fondation il y avait cette volonté d'être
01:50proche, d'être partout proche des gens ? En fait ça s'est construit assez rapidement quand en fait c'est
01:57Martine Aubry qui a été à l'origine de la création de la fondation en se disant il peut pas y avoir
02:01d'un côté des personnes en situation de difficulté, d'un autre côté des entreprises qui veulent
02:06s'engager, ont besoin aussi de recruter des personnes différentes etc sans qu'à un moment on fasse la
02:11passerelle entre les deux. Donc c'était ça l'intuition de départ et assez rapidement on s'est rendu
02:16compte que sans aller concrètement sur le terrain ça pourrait pas prendre et donc très rapidement
02:21ça s'est développé dans les territoires et aujourd'hui on est présent dans deux départements sur trois à
02:25peu près et on cherche à aller encore plus loin. – D'accord, une grande force partout en France.
02:30Donc Andrea merci infiniment encore d'être avec nous, vous vous êtes accompagnée par face dans
02:35quelle région ? – Dans les Yvelines. – Dans les Yvelines, très bien et qu'est-ce que vous estimez, ça fait
02:41combien de temps d'ailleurs que vous êtes accompagnée ? – Alors moi j'ai été accompagnée par un petit
02:46tonton, c'était pour un mois et puis enfin je dis pour un mois mais ça continue encore parce qu'à
02:51chaque fois que j'ai besoin de quoi que ce soit, ils sont là pour moi. – Ils sont là pour vous et qu'est-ce
02:57qui s'est passé, qu'est-ce qui a fait que vous aviez besoin de quoi, de quelle façon est-ce qu'ils vous ont aidé ?
03:03– Alors j'ai cherché une formation ou un travail, donc je me suis retrouvée avec Karim qui nous a expliqué
03:13cette formation-là qui s'appelle Auxiliaire des vies. Donc c'était très intéressant parce que ça ne dure
03:19qu'un mois, c'était une initiation en fait parce que la formation d'Auxiliaire des vies ça dure
03:23quatre mois et lui il nous proposait de commencer à voir si ça nous plaisait ou pas pendant un mois,
03:29avec une semaine dans une entreprise. Donc voilà et là j'ai appris énormément de choses surtout à
03:36me rendre compte que je pouvais le faire. – Et aujourd'hui vous exercez ce métier d'Auxiliaire des vies ?
03:41– Oui, tout à fait. – Et dans votre département ? – Oui, tout près de chez moi. – Donc ça veut dire mission accomplie en fait ?
03:48– Exactement. – Et pour quel type de besoins est-ce qu'éventuellement aujourd'hui vous pourriez
03:53encore avoir envie de les appeler pour qu'ils vous accompagnent parce que Timothée je comprends
03:57un mois mais en fait vous les accompagnez sur la durée, on est d'accord ? J'ai aussi entendu des
04:03personnes qui ont été accompagnées depuis cinq ans donc vous avez encore du temps avec eux.
04:08Dans quelles circonstances vous pensez qu'à nouveau vous pourriez les appeler ?
04:14– Par exemple moi j'ai commencé cette formation parce que je ne savais pas exactement ce que je
04:18voulais faire déjà. C'était un début et par rapport à mes projets etc. Donc là aujourd'hui je
04:26voulais être entrepreneuse et pour ça je ne connais pas trop les moyens comment on peut faire donc à ce
04:32moment-là j'appelle la personne qui s'appelle Karim et lui il m'explique, il me donne des numéros de
04:37téléphone et il m'envoie dans des endroits où je peux avoir les contacts pour pouvoir continuer
04:42dans mon chemin. – Et donc Karim c'est quelqu'un qui travaille dans FASS Yvelines si je comprends bien,
04:47c'est quoi son intitulé de poste, c'est quoi son job ? – En fait dans les clubs FASS on a des
04:52salariés qui sont des accompagnateurs sociaux, des médiateurs sociaux dont le travail est
04:56justement d'accompagner les personnes et de faire le lien avec les entreprises. Par exemple Andréa a
05:00fait une immersion en entreprise pour aussi mettre le pied à l'étrier plus facilement là où en fait
05:05c'est compliqué de passer les ports de l'entreprise quand on est très éloigné de l'emploi par exemple
05:09ou qu'on n'a pas le bon diplôme, les bonnes qualifications. Nous on joue ce rôle d'intermédiaire
05:13donc les gens comme Karim chez nous dans les clubs FASS jouent ce rôle d'intermédiaire en étant très
05:17proches des gens, des situations qui leur ont été exposées, c'est le cas d'Andréa quand elle est
05:22arrivée et qui les accompagne sur tout leur parcours et qui les aide à grandir, enfin à évoluer dans leur parcours.
05:28– Oui c'est génial, moi j'ai un peu le sentiment que tout est possible en fait, c'est-à-dire dès lors que
05:32vous vous direz tiens moi mon envie dans la vie c'est ça, il y aura Karim, en l'occurrence lui
05:39mais plein d'autres partout en France pour vous aider, vous accompagner et peut-être qu'un jour
05:44c'est vous aussi qui viendrez aider quelqu'un parce que visiblement il y a ce cercle vertueux,
05:49on en reparlera. Avant cela je voudrais qu'on entende une personne, moi FASS je vous connais
05:54depuis très longtemps, vous faites des choses super mais alors je vous aime encore plus depuis
05:58que votre Président est Jean Castex, notre ancien Premier Ministre, je vous propose qu'on l'écoute un petit moment.
06:06– Chers amis c'est avec enthousiasme et détermination que j'ai pris le 27 juillet dernier
06:13la présidence de la Fondation Agir contre l'exclusion, FASS avec un objectif, incarner
06:19une nouvelle dynamique pour cette institution au bénéfice des personnes en situation d'exclusion,
06:26de discrimination et de pauvreté.
06:29– Merci Jean Castex, il a tout bien résumé.
06:32– Oui c'est notre meilleur ambassadeur.
06:34– J'adore, j'adore, effectivement meilleur ambassadeur, on rêverait d'avoir un ambassadeur comme lui.
06:39– Qu'est-ce qui a fait que Jean Castex s'est engagé à vos côtés, pourquoi cet engagement plutôt qu'un autre ?
06:45– Alors déjà je pense, je vais m'exprimer à sa place, mais je pense que c'est d'abord des convictions personnelles,
06:50on l'oublie souvent mais en tant que Premier Ministre il a été très actif sur ces sujets-là,
06:54on se souvient de lui sur le Covid mais il a aussi porté le plan pauvreté et un certain nombre
06:58de dispositifs sociaux aussi et puis des convictions qui sont ancrées depuis longtemps chez lui
07:03et puis voilà il est concerné aussi par un certain nombre des sujets qu'on aborde chez FASS,
07:09dans sa vie et je pense que ça le rend très sensible à nos sujets.
07:12– Et dans cette proximité, il joue un rôle très important je suppose,
07:17parce que c'est un peu le Premier Ministre de la proximité d'ailleurs, c'est comme ça qu'on le vivait,
07:21donc aujourd'hui je pense qu'à vos côtés c'est une force énorme,
07:24comment il lit avec les gens au quotidien, dans ses déplacements, racontez-nous un peu.
07:29– Alors on a la chance de l'avoir beaucoup avec nous, c'est une fonction qui est bénévole,
07:32vous savez qu'il est en parallèle PDG de la RATP, donc il est en parallèle président de FASS
07:37et comme il aime beaucoup aller sur le terrain,
07:40en effet on a pas mal de déplacements aux côtés de nos clubs locaux, les clubs FASS locaux,
07:44qu'il est content de pouvoir venir soutenir, accompagner et puis aussi se rendre compte concrètement
07:49des accompagnements, de ce qu'on transforme chez les gens, c'est ça vraiment qu'il veut écouter,
07:53qu'il veut essayer de comprendre pour qu'on améliore encore la qualité des accompagnements
07:57et qu'on soit aussi innovant dans ce qu'on fait, c'est important pour lui qu'on apporte quelque chose en plus.
08:01– C'est quoi l'innovation quand vous parlez de votre aide ?
08:04Qu'est-ce qui s'appelle innovant par exemple ?
08:07– En fait c'est un bien grand mot mais en réalité quand on part de la réalité vécue par les gens,
08:12on est forcément dans l'innovation, quand on fait du sur-mesure,
08:14quand on fait de la dentelle, quand on est dans la proximité,
08:17on s'adapte à une situation et à la situation d'Andréa,
08:19c'est pas la situation d'autres personnes qu'on accompagne
08:22et rien qu'en essayant de trouver les solutions à la situation d'Andréa,
08:26en l'occurrence là ce sera demain, l'entrepreneuriat etc.,
08:29on est déjà dans l'innovation parce qu'on s'adapte à ses besoins.
08:32– Est-ce qu'Andréa, vous pensez que dans quelques temps,
08:35quand vous serez plus assise dans votre vie, sur votre chemin de vie,
08:40vous aurez envie vous aussi de devenir bénévole, aide, mentor auprès de la Fondation ?
08:46– Écoutez, j'ai adoré les personnes, les intervenantes,
08:49parce qu'on les appelle les intervenantes qui nous ont formées,
08:52qui nous ont accompagnées pendant un mois, je trouvais ça formidable.
08:55Et puis si, j'aimerais bien faire la même chose qu'eux.
08:58– C'est pas un cas isolé, on est d'accord, beaucoup de gens reviennent.
09:01– On a beaucoup de personnes qu'on a accompagnées à un moment,
09:03qui se sont insérées, qui ont continué leur parcours de vie,
09:07et qui ensuite deviennent en effet mentors.
09:10Et on a même un exemple que je trouve très très beau,
09:12d'une personne qui maintenant dirige un de nos clubs face,
09:14elle est passée de personne accompagnée,
09:16salariée ensuite dans une de nos entreprises partenaires,
09:19et ensuite elle a décidé de s'engager professionnellement à nos côtés,
09:23pour diriger un club face, et là forcément…
09:25– Quelle histoire de réussite ça, on adore !
09:28Je voudrais partager avec vous à présent le message engagé
09:30d'un de nos dessinateurs très connus, qui s'appelle Plantu,
09:34que vous connaissez sûrement,
09:35qui lui aussi agit pour l'inclusion avec le prisme de la culture.
09:39On regarde et on en parle après.
09:41– Alors c'est une photo qui raconte plusieurs rencontres
09:45que nous avons organisées avec le Fonds de dotation et la dotation Plantu,
09:49avec des élèves et des jeunes d'un quartier compliqué de Vauxcelles,
09:55qui s'appelle Molenbeek, et avec lesquels on est souvent en lien.
09:58On leur a fourni des appareils photo, vous voyez c'est un club photo,
10:02et alors je leur pose la question,
10:03mais il y a des profs de dessin ici ?
10:04Alors des fois pas, donc je milite là-dessus,
10:07pour qu'il y ait la possibilité de faire du théâtre, de la danse,
10:10de la culture, de la photo, du dessin, de la peinture, des voyages,
10:16aller au musée, des fois il leur manque 300 euros pour aller au musée,
10:19et donc nous on peut faciliter les choses.
10:21Cette fondation, et ce Fonds de dotation,
10:23parce qu'il y a à la fois en Belgique et en France,
10:26ça permet, avec des tout petits moyens,
10:28nous c'est une petite équipe et des petits moyens,
10:32néanmoins ça m'évite de repartir d'un endroit
10:35où je discute avec des petits jeunes,
10:37je dis mais là il y a un problème, là je vois bien qu'il y a...
10:40Et pour pas grand chose,
10:41on peut régler des petites choses qui eux leur paraissent insurmontables.
10:45Et en fait nous, en l'espace de 24 heures, on peut tout régler.
10:48Moi j'ai en gros raté mes études,
10:50et j'étais pas dans le moule habituel.
10:53Je suis peut-être un peu comme toi,
10:55et quels sont tes moyens à toi ?
10:56Alors écoute le prof d'histoire, écoute le prof de français,
10:59parce que ça c'est les bases.
11:00À ce moment-là, beaucoup de choses sont possibles.
11:03Et puis c'est quand même une époque,
11:04je vous le dis là, quand je vais dans les écoles,
11:07je dis enseignons la musique dans toutes les écoles,
11:10ça calmera tout le monde.
11:11D'abord, c'est vrai que ça calmera tout le monde.
11:13Je dis d'un moment au professeur, il n'y a pas de prof de musique.
11:15Je dis mais là attends, ça sert à quoi ?
11:17Mais ça sert à quoi ?
11:18On sert à quoi ?
11:20Il faut de la musique,
11:21parce qu'il y a tous ces petits paumés,
11:23comme moi, qui sont perdus.
11:25Et heureusement qu'il faut,
11:27du rap, de la musique, de la danse, du théâtre.
11:30Tu veux écrire une pièce de théâtre ?
11:31Lâche-toi, fais-toi plaisir,
11:33et ça va marcher.
11:34Et puis il faut aussi quand même leur dire,
11:37c'est beaucoup d'effort,
11:38et arrête de croire ce qu'on te dit des fois,
11:41ouais c'est fastoche, c'est easy, tu vois.
11:44Non, il faut qu'ils ne s'empêchent de rien dans leurs rêves,
11:48et à la fois il faut leur dire,
11:50ça ne va pas être simple, il n'y a personne qui t'attend,
11:51on t'attend, non.
11:53Je veux qu'ils sachent que si ça vient de là,
11:56s'il y a une conviction, avec beaucoup de simplicité,
12:01d'une belle naïveté qui fait plaisir,
12:03qui est gourmande et qui dit,
12:05moi j'ai envie de partager quelque chose
12:06avec les copines, les copains,
12:08tout est possible.
12:09– Qu'est-ce que ça vous inspire ?
12:10Beaucoup de choses, je suppose.
12:12– Oui, j'adore le message.
12:14Ça résonne beaucoup avec les ambitions de face,
12:18c'est tout simplement de dire qu'aucune personne n'est fichue d'avance,
12:22et tous les parcours, toutes les personnes ont des capacités en elles.
12:26Ce qu'on essaie de faire, c'est justement d'aller les chercher,
12:28de les révéler, c'est surtout ça qu'on fait.
12:30Parce que tout le monde a quelque chose à faire,
12:34tout le monde a quelque chose à…
12:37– À accomplir.
12:38Et je suis ravie que ce soit aujourd'hui aussi qu'on parle de ça,
12:40parce qu'en fait on a en coulisse un groupe de jeunes
12:43mentorés d'une autre association
12:46qui sont accompagnés des jeunes méritants.
12:48Il faut croire en ses rêves, c'est ce que nous dit Plantu,
12:51et il faut s'accrocher, travailler.
12:53Andrea, c'est comme ça que vous le ressentez, vous aussi ?
12:55– Oui, tout à fait, oui.
12:57– Et là, vous vous êtes contente, ça y est, vous êtes lancée.
13:00– Ah oui, j'ai commencé mon chemin et je pense que je veux le finir.
13:04– Et c'est quoi vos envies d'agir l'un et l'autre ?
13:06Je vais continuer avec vous, Andrea.
13:07Votre envie d'agir dans les prochaines années ?
13:09– Moi, j'ai commencé avec Auxiliaires de vie,
13:13en aide à la personne plutôt, parce que je ne suis pas auxiliaire de vie,
13:16je suis plutôt aide à la personne.
13:18Et dans ces cas-là, je vais tout simplement…
13:20Dans mon travail, je prends des notes pour faire les choses mieux,
13:23pour enlever les choses que je n'aime pas ou que j'estime qui ne sont pas adaptées,
13:27pour les améliorer et puis tout ça.
13:30Je n'arrête pas de noter les petits détails,
13:33les choses que je pense que ma personnalité va faire évoluer.
13:39– Bien sûr. Et vous, alors ?
13:41– Moi, je dirais que c'est arriver à plus faire le lien
13:43entre l'accompagnement social et puis les enjeux de développement durable,
13:47de transition écologique.
13:48C'est ce qu'on essaye de faire aussi avec FASS,
13:51pour s'assurer que la transition écologique soit aussi une chance pour tout le monde.
13:55Pas uniquement pour les plus qualifiés, mais qu'on puisse en faire une opportunité.
13:59– Très bien.
14:00De prendre quelque chose qui est vécu un peu comme une contrainte,
14:02néanmoins qui est incontournable, comme une opportunité.
14:05Moi, mon envie d'agir pour vous, Timothée,
14:07c'est évidemment que vous fassiez une bise de notre part à Jean Castex.
14:10– Je peux lui transmettre.
14:10– Vous imaginez bien.
14:12Je vous dis à très vite, merci beaucoup.
14:14N'oubliez pas nos podcasts « Envie d'agir, l'histoire continue »
14:18sur Apple, Deezer, Spotify et bien sûr MyKanal.
14:22Et on se dit à très vite sur C8 pour plus d'Envie d'agir.
14:25Merci.