Sarah Ouakil, vice-présidente de l'Union des étudiants juifs de France (UEJF) : «Nous sommes pour une mobilisation militante du moment qu'elle est sereine et non-violente».
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00:00 Tout à fait. D'abord, leur AG, elle représente la plupart du temps 30 personnes.
00:04 Lorsque Samuel Lejoy eut le président de l'UEJF ou d'autres,
00:08 on se sont rendu dans les AG,
00:10 on a quand même très vite vu, notamment à Nanterre ou dans d'autres universités,
00:14 on a très vite vu qu'en réalité, ils étaient une trentaine au grand maximum.
00:18 Mais en réalité, qui fassent des AG, qui se mobilisent ?
00:24 Ce n'est pas la question.
00:25 Nous, on est tout à fait pour une mobilisation militante sereine et non violente.
00:29 Mais tant qu'elle est non violente.
00:30 Tant qu'elle est non violente.
00:31 Quelles sont les informations qui vous remontent des autres universités ?
00:36 Ça dépend lesquelles.
00:38 Quand même, en grande majorité, on n'est pas dans une situation
00:42 comme au lendemain du 7 octobre.
00:44 Les choses commencent à se calmer dans la plupart des universités,
00:48 sauf bien sûr celles qui, depuis le début et depuis toujours,
00:52 en réalité, ça ne date pas du 7 octobre,
00:54 sont celles où on a toujours eu des difficultés à parler d'Israël.
00:57 Et là, aujourd'hui, c'est évidemment démultiplié.
01:00 Je pense par exemple à Paris 8, Saint-Denis, à Nanterre, à Sciences Po, à La Sorbonne,
01:06 qui est aujourd'hui aussi encore sous les coups des blocages.
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