• l’année dernière
Un club légendaire des montagnes,les Ours de Villard qui retrouvent la liesse d'un titre arraché sur la glace et célébré sur la place… Thierry Thomas qui va vous reconnecter à vous-même en prenant le contrôle de votre stress, et tout ça avec une méthode révolutionnaire en 7 jours... Et les organisateurs de l’Alpes Isère Tour qui vous préparent un grand moment de vélo dans le département du Nord au Sud avec un point d'orgue dans nos montagnes...

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00:00 Avec Giltrinia Résidence, vous êtes confortablement installé pour regarder si on parlait.
00:29 Bienvenue à tous, ravie de vous avoir à nos côtés pour sentir battre le cœur du territoire
00:34 avec ceux qui le font bouger, respirer et vibrer.
00:38 Comme ce club légendaire des montagnes qui retrouve la liesse d'un titre arraché sur la glace
00:43 et célébré sur la place, la grand place, sur le vercore, les ours de Villars dans un petit instant.
00:50 Comme celui qui va vous reconnecter à vous-même en prenant le contrôle de votre stress
00:55 et tout ça avec une méthode révolutionnaire en 7 jours et peut-être le temps de cette émission.
01:00 Et comme ces énergies qui vous préparent un grand moment de vélo dans le département du Nord au Sud
01:05 avec un point d'orgue dans nos montagnes.
01:09 C'est l'Alpizertour qui revient pour la 33e fois et pour la 3e fois dans sa version montagnarde du 22-26 mai.
01:18 Ici sur notre antenne, ce sera en direct.
01:22 Michel Baud, bienvenue.
01:23 Bonjour.
01:24 C'est vous qui êtes au guidon de cette 33e édition de ce beau tour.
01:28 C'est un véritable petit tour de France en Isère comme on aime le dire.
01:32 Et ça sera donc en direct sur Télé Grenoble.
01:35 L'automne masculin, épreuve féminine et junior aussi.
01:38 C'est la grande fête du vélo sur notre territoire.
01:41 On fait le tour avec vous dans un petit instant.
01:42 Avec plaisir.
01:43 Le mal du siècle à qui on attribue tous les mots, parfois à tort mais souvent à raison.
01:48 Le stress ne sera plus votre ennemi grâce à vous Thierry Thomas.
01:51 Bienvenue.
01:52 Bonjour, bienvenue.
01:53 Alors vous dirigez le Centre de gestion du stress de l'Isère et vous nous proposez une méthode flash révolutionnaire.
01:59 Dans un livre qui vient de sortir que vous avez ici, mon programme anti-stress en 7 jours.
02:06 Mais d'abord on relâche le stress avec les héros de la glace qui ont bien stressé aussi.
02:11 Champion de France 2D2, mesdames et messieurs, les ours de Villars, bienvenue.
02:15 Frédéric Bertrand, président du club.
02:18 Je vais y arriver.
02:19 Thomas, est-ce qu'on a un Thierry Thomas ?
02:21 Thomas Ruel, capitaine de cette équipe.
02:24 Et vous les ours de Villars, bravo à vous.
02:26 Merci.
02:27 Vous êtes redescendus encore un petit peu, vous y êtes encore.
02:30 On s'avoue ?
02:31 On est encore en panne d'encre.
02:34 Félicitations à vous.
02:37 J'imagine qu'on n'a pas le droit de la garder.
02:39 Donc je vais vraiment en profiter.
02:40 Cette magnifique coupe qui célèbre le titre de champion de France 2D2, qui donc est la 3e division en France.
02:49 Ce n'est pas très logique, mais on va s'en sortir.
02:52 On les regarde tout de suite, ces images.
02:54 Regardez.
02:55 Alors là, quand on voit, vous le saviez là, ça c'est la toute fin de la finale.
02:59 On attendait, on attendait que le coup de sifflet finale soit lancé.
03:03 Et là, c'est vraiment la liesse.
03:07 J'imagine, Thomas, qu'un moment comme ça, on espère le vivre quand même tout au long de la saison.
03:13 Mais là, on exulte.
03:14 Oui, on espère vraiment le vivre.
03:16 On l'a vécu.
03:17 Donc c'est incroyable.
03:19 C'est un rêve d'enfant de gagner un titre en plus avec tous les copains derrière.
03:23 Donc c'était incroyable.
03:25 Oui, cette finale, c'était contre le HCMP, le hockey club.
03:30 C'est le hockey Courchevel, Méribel Pralognan, qui vous a fait une belle opposition quand même sur cette finale.
03:37 Ce n'était pas facile.
03:38 C'est une belle équipe.
03:39 En plus, on les a joué deux fois en saison régulière, contre qui on avait perdu deux fois.
03:43 Et du coup, on ne savait pas trop à quoi s'attendre.
03:46 Mais je pense que le groupe a bien réagi.
03:49 Et on allait chercher trois victoires en quatre matchs.
03:52 Donc, c'est qu'on a été au niveau.
03:54 Oui, et puis que vous n'aviez pas, la patinoire, elle était quand même vraiment en pleine.
03:58 Donc, il faut toujours être là pour ce moment-là.
04:01 Les foils, la trouille, les pétoches, comme on dit, vous ne les avez pas eus, vous avez gérés.
04:06 Si, on les a eus un peu au début.
04:08 Quand on voit le monde qui est allé dans la patinoire, c'était quand même assez impressionnant.
04:11 Mais après, à partir du moment où le coup de sifflet attaque, c'est que là, il n'y a plus de stress à avoir.
04:18 Et il faut aller jouer maintenant pour gagner.
04:21 Il y avait des anciens coéquipiers à vous dans l'équipe en face.
04:25 On se connaît en fait.
04:26 C'est des équipes qu'on a l'habitude.
04:28 C'est des équipes qu'on a l'habitude de jouer.
04:30 Puis, on a joué avec pas mal de joueurs.
04:32 On a joué contre Théo Balthazar, un copain à nous, avec qui on a joué il y a plusieurs années à Villars.
04:39 Et du coup, c'est toujours sympa de jouer contre eux.
04:42 Oui, avec une grande fête.
04:45 Alors vraiment, Frédéric Bertrand, ce sont des moments qu'on aime vivre sur le plateau du Vercors.
04:52 On est ici sur la place Lourdes.
04:55 Il est juste derrière vous, comme un symbole.
04:58 C'est un club qui a été créé dans les années 30.
05:01 En 1931, un club historique.
05:03 Vous êtes 5 fois champion de France élite en 1962-1967.
05:07 En 1968 et 1978, vous avez gagné deux Coupes de France en 1977 et en 2003.
05:16 Le dernier titre date de 2001-2002.
05:19 Alors celui-là, il fait du bien.
05:21 Il fait du bien parce qu'en 21 ans, il s'est passé pas mal de choses à Villars de Langues.
05:26 Le dernier titre nous permettait de monter en élite nationale, ce qui est devenu après la Ligue Magnus.
05:30 On est resté jusqu'en 2014 quand même.
05:33 Pour un petit village comme Villars, c'est pas mal.
05:36 On pourrait penser qu'en fait, depuis 2014, on mange un peu notre pain noir en D2.
05:43 Mais finalement, on a pu reconstruire le club complètement différemment avec plein de jeunes.
05:48 C'est ma très grande fierté d'avoir une équipe cette année qui est composée d'un petit Ruel, d'un petit Depetro, d'un petit Cantegalo.
05:55 Il y a aussi un petit Bertrand qui joue.
05:57 C'est des familles de hockey.
05:59 C'est super.
06:01 Ils sont tous de la même génération.
06:03 On a reconstruit ça en chanson.
06:06 Avec Thomas qui est meilleur hockeyeur que chanteur.
06:09 On a pu voir sur la pince l'autre jour.
06:11 Et pour arriver à avoir une équipe qui, malgré sa grande jeunesse, 22 ans d'un mode d'âge moyen,
06:19 arrivait à gagner le titre de champion, une grande maturité de jeu quand même, malgré tout, malgré l'orage.
06:25 En plus, vous avez pris le titre à Grenoble-Vaugenie l'année dernière, qui était constituée essentiellement de U20.
06:30 Les équipes de D2, de 3e division, sont toutes généralement très jeunes ?
06:35 Du tout.
06:36 Non, ce sont les deux équipes plus éroises qui sont comme ça.
06:39 Dans les autres équipes de D2, ce ne sont que des adultes.
06:43 Des fois, il y a peut-être des jeunes qui jouent.
06:45 Mais c'est une spécificité.
06:46 Vaugenie, parce que c'est le centre de formation de Grenoble qui est délocalisé pour les U20.
06:51 Et nous, parce qu'on a un centre de formation qui nous permet d'avoir des joueurs.
06:55 Et d'ailleurs, si on regarde bien, dans Mazek HCMP, il y avait des joueurs de Villars.
07:00 Effectivement, il y en avait 3.
07:01 Mais dans toutes les équipes de D2, il y a des joueurs de Villars.
07:04 Dans les équipes de D1, il y a des joueurs de Villars.
07:06 Dans l'équipe de Magnus, il y a des joueurs de Villars.
07:08 Et même à Grenoble, il y a pas mal de Villars.
07:10 Oui, il y a Luciano qui venait de Villars.
07:11 Il y a Luciano, il y a M. Munoz aussi.
07:13 Dans les Champions de France à Rouen cette année, on a la star locale à Rouen,
07:20 qui est le frère de Matteo, qui est ici.
07:23 Enzo Quarteghialo, qui est la star rouennaise.
07:27 Et puis, on a encore deux autres très jeunes formés à Villars qui jouent à Rouen.
07:31 Donc en fait, on joue avec nos jeunes.
07:33 Donc beaucoup de formation, c'est sûr.
07:35 Et puis surtout, beaucoup de proximité.
07:36 On vous voit très proche.
07:37 Tout le monde vous connaît à Villars.
07:39 C'est un club qui est très, très proche de son public.
07:43 Ça n'a pas toujours été le cas.
07:47 Ça fait deux ans qu'on arrive à re-replire la patinoire de Villars.
07:51 C'est étonnant parce que la finale, c'est bien.
07:55 Mais il y a des gens qu'on ne connaissait pas, qu'on n'a jamais vus.
07:57 Mais on était content de les voir quand même.
07:59 Et puis c'est marrant parce que sur les phases finales,
08:03 on a vachement plus d'amis que depuis huit ans,
08:06 où on était au fin fond de l'AD2.
08:08 Vous vous êtes senti seul alors ?
08:10 À un certain moment, oui.
08:11 Quand il a fallu reconstruire.
08:12 Oui, mais quand on voit ce qu'est la fidélité,
08:16 moi je suis sur la glace avec les joueurs à la fin.
08:18 Je suis aussi heureux que eux.
08:20 Oui, parce qu'en 2013, le club avait décidé finalement
08:23 de ne pas jouer dans l'élite.
08:24 Donc vous avez ici, en l'occurrence, c'était la troisième division.
08:27 Vous avez connu la deuxième, puis la troisième.
08:29 C'était une volonté puisque l'actionnaire, le mécène Daniel Huillier,
08:34 avait décidé de ne plus, de se retirer du club.
08:37 Donc il faut repartir avec ça, reconstruire,
08:39 reconstruire tout un projet avec ses partenaires ?
08:41 Il faut repartir d'un endroit qu'on ne connaît même pas,
08:44 parce qu'en fait Villars n'avait jamais joué dans une division telle que celle-là.
08:47 On a toujours fait de l'AD1 ou de l'élite nationale, de la Magnus,
08:52 et là on est reparti sur quelque chose qu'on ne connaissait pas.
08:55 Et puis à l'époque, le règlement permettait d'avoir quand même 11 étrangers en D2.
09:01 Et on s'est vite aperçu que nous, avec nos petits Français,
09:04 11 étrangers, c'était compliqué.
09:05 Mais depuis, la fédération a renvenu un petit peu,
09:08 et on n'a plus qu'à 5 étrangers maintenant.
09:11 Et du coup, nos petits Français font la très grosse différence par rapport aux autres équipes.
09:15 – Qui c'est derrière vous, justement ?
09:17 – Alors là, juste là, on a Monsieur Jean Despetro,
09:20 fils de Jean-Jacques, qui est à peu près de mon âge, avec qui j'ai joué.
09:26 Mathéo Cantagallo, son frère joue à Rouen,
09:30 et son père était un très grand gardien de Villars,
09:33 et aussi dans l'équipe de France, dans les années 80.
09:36 – Et lui est désormais un grand joueur de Villars aussi.
09:39 Forcément, vous parlez de haut niveau, qui dit accession sportive,
09:43 dit accession peut-être administrative.
09:45 Est-ce que vous allez avoir les moyens de présenter un projet
09:48 qui soit viable pour jouer en 2e division, donc en D1 en France ?
09:53 – De toute façon, c'est le but.
09:57 – Quand on vous voit, vos vidéos, elles ont quand même l'air très très pros.
10:01 On va pouvoir en voir une, on a vraiment l'impression que vous jouez en élite,
10:04 quand on voit ce degré de remplissage, là, c'est un club qui affiche son ambition.
10:10 – Oui, c'est très bien fait, et ce n'est pas que de l'illusion.
10:13 Il y a derrière tout ça, il y a quand même une véritable volonté.
10:16 Moi, je suis quand même un ancien compétiteur,
10:18 donc c'est vrai que c'est mon envie de monter en D1,
10:22 parce que j'estime que c'est la place de Villars en tant que club formateur.
10:26 Et entre parenthèses, dans l'année, on a eu le label
10:28 "Centre d'excellence sportive", où on est dans les 11 meilleurs clubs formateurs
10:33 pour les catégories U18 et U20 en France.
10:35 Donc ça veut dire que notre place est quand même dans une division qui est au-dessus.
10:42 Donc on a structuré le club, on est des pros dans beaucoup de choses.
10:48 Maintenant, la ferveur fait qu'il y a beaucoup de gens qui se proposent,
10:53 à aider, à investir.
10:58 – On va voir si ça va fonctionner.
11:00 Mais en tout cas, vous ne vous brûlerez pas les ailes si ce n'est pas suffisamment solide.
11:03 – Non, bien évidemment qu'on ne va pas…
11:05 On connaît le montant minimum pour y aller et en baver un petit peu.
11:09 On connaît le montant pour être bien,
11:11 mais on ne veut pas être champion de France non plus, ça ne sert à rien,
11:14 parce qu'on ne veut pas se séparer de ce qu'on a fait.
11:16 C'est-à-dire garder notre structure de jeunes villardiens
11:19 et on veut les amener le plus loin possible.
11:21 Dans la construction de la nouvelle équipe de l'année prochaine,
11:24 le mot d'ordre que j'ai donné au Major Général et à l'entraîneur,
11:28 c'est de dire que de Éric Aurard à Jean-Dépétreau,
11:33 il y en a 8 formés au club.
11:35 Ça, c'est la colonne vertébrale du club, on n'y touche pas.
11:38 – Oui, on a des images d'ailleurs des enfants.
11:41 Vous êtes aussi à un club qui est très formateur, on l'a dit aussi,
11:47 qui organise aussi des tournois internationaux pour les petits
11:51 et ils se débrouillent, ils mettent des bonnes…
11:55 Parfois, quand on est des petits grenoblois,
11:57 ce n'est pas facile toujours de jouer contre Villard,
11:59 même si Grenoble a aussi ses qualités.
12:01 C'est toujours très important vraiment ce niveau de formation pour eux.
12:04 – C'est l'ADN du club.
12:07 Là, c'est-à-dire qu'on a 330 licenciés pour 4 500 habitants.
12:12 Je ne pense pas qu'il y ait beaucoup de sport dans une ville telle que ce nombre-là,
12:18 d'avoir autant de… – Bon pourcentage.
12:21 – Oui, c'est monstrueux.
12:23 Là, l'année prochaine, on est obligés d'inscrire deux équipes dans chaque catégorie,
12:26 hormis les seniors parce que c'est compliqué, mais c'est énorme.
12:30 On n'a jamais connu ça à Villard-Deland.
12:32 Et puis en plus, nos petits, jusqu'à U15, on est quand même les meilleurs.
12:39 On bat quasiment tout le monde.
12:41 Après, quand ça devient championnat national avec un regroupement de structures,
12:46 ça devient un peu plus compliqué parce qu'on est petits quand même.
12:49 Mais on peut être fiers quand même de battre en U20 par exemple, cette année.
12:54 On bat deux fois le HC 74, ce qui est une réunion de Morzine, Meugève, Saint-Gervais et Chamonix.
13:02 – C'est ça, oui, des clubs…
13:03 Je crois que les U11 vous ont battus il n'y a pas très longtemps.
13:05 – Ça arrive.
13:06 [Rires]
13:08 – On va se retrouver, puisqu'on n'arrête pas de parler de Grenoble.
13:11 On se rappelle parce que vraiment, les Grenoble-Villard à Clémenceau,
13:14 c'était vraiment exceptionnel quand on les a vécus.
13:17 Là, on est à Pôle Sud.
13:18 Figurez-vous que les Ours de Villard font partie de l'histoire de Télégrenoble,
13:22 qui a retransmis les matchs des Brûleurs de Loue en direct pendant des années,
13:25 encore même parfois aujourd'hui.
13:27 Mais le premier, c'était le 29 novembre 2005.
13:30 Et c'était à l'occasion de notre émission quotidienne, le G2 direct.
13:35 – C'était en… je ne sais pas si c'était en Magnus, en tout cas…
13:38 Oui, ça devait être déjà à la Magnus, à l'époque, justement.
13:41 Et par la suite, on ne s'est plus jamais arrêtés,
13:43 puisque le public, les partenaires, avaient vraiment été conquis
13:46 par cette retransmission de fortune, finalement,
13:48 où c'était juste le lieu de notre émission quotidienne.
13:51 Voilà, on était assis juste à côté.
13:53 Et alors, ça, on ne le reverra pas, pas nécessairement en tout cas,
13:56 pas avec cette qualité d'image.
13:58 On l'espère, au revoir des Grenoble-Villard à Pôle Sud.
14:00 – On peut en revoir, oui, puisqu'en Coupe de France, c'est faisable.
14:04 – Oui, exactement, bien sûr.
14:06 – D'ailleurs, en 2014, la première année où on est en 2002,
14:08 on gagne notre premier tour, et le deuxième match,
14:10 on le joue à Villard, contre Grenoble.
14:12 Bon, on a perdu un peu large, mais… [Rires]
14:16 Mais ça, c'est le dernier. En 2014, c'est le dernier.
14:19 – Oui, parce que l'essentiel, c'est de gagner, quand on est en Coupe de France.
14:22 Parce que c'est vrai que c'est des matchs…
14:24 – C'est pas faux, mais après, il faut savoir où est le niveau et où on en est.
14:27 Mais après, en D1, ça peut être un match un peu plus intéressant quand même,
14:30 parce que le niveau n'est pas le même que de la D2 par rapport à de la Magnus.
14:33 La Magnus, c'est très fort, on est bien d'accord.
14:35 Mais c'est pas exclu qu'on aura plus de revoir quand même des…
14:38 Pas en Magnus, moi, je voudrais jamais remonter en Magnus.
14:41 Mais la D1, ça nous va très bien.
14:43 Et sur Petit Ily et Grenoble, lors du match de Coupe de France, on le fera.
14:46 – Eh ben voilà. Bon, ce qui est sûr, c'est qu'en tout cas, on ne reverra pas…
14:49 Je ne résiste pas à cette envie de regarder deux Villardiens légendaires
14:53 qui avaient été interviewés comme quoi, vous voyez,
14:56 on a tous des débuts, et pas facile, pas du tout.
14:59 – Ce soir, ils sont tous les deux l'un contre l'autre.
15:02 – Ouais.
15:03 – Ouais, c'est ça. C'est l'un contre l'autre, c'est ça.
15:06 – Vous êtes ennemis ce soir ?
15:08 – Ouais, ouais, on est vraiment ennemis.
15:10 Vous avez de la chance de tomber sur deux grands bavards.
15:13 [Rires]
15:15 – Quel est le plus bavard des deux ? Allez, Pascal.
15:18 – Je pense… Nico.
15:20 – Bon, là, vous êtes déjà dans le match, de toute façon.
15:22 – Il a dit plus de mots que pendant la saison.
15:24 – Pascal et Nicolas Favarin, les deux plus grands bavards de l'histoire du hockey.
15:29 On vient d'entendre Patrick Rolland, qui était en plateau,
15:31 donc le gardien et entraîneur, ensuite débrûleur de loup,
15:34 dire qu'il avait dit plus de mots là que toute la saison.
15:37 Donc ça, on le prend très très bien.
15:39 Allez, encore un petit souvenir, Frédéric, puisque là,
15:41 on parle de la glace, qui est un sport de glisse.
15:44 On vous retrouve ici, vous étiez tôt au fond.
15:47 Vous avez fait les Jeux Olympiques d'Alberville.
15:50 Frédéric Bertrand, vous avez fait coucou à François Mitterrand,
15:53 qui était ici dans les tribunes, puisque vous étiez un lugeur.
15:57 Vous avez fait les Jeux d'Alberville en luge.
15:59 – C'est ça, exactement, à la Plagne.
16:01 – C'est fou, ça, cette histoire. On ne vous voit pas très bien, là.
16:03 Vous disiez que vous étiez tout au fond, ça c'est le devant.
16:05 On voit l'hockeyeur, là, qui…
16:06 – C'était un peu comme à l'école, c'était un peu un cancre.
16:09 Donc, le Comité Olympique nous avait mis à l'arrière, les lugeurs,
16:12 parce que, parfois, ça fait un peu des bêtises.
16:14 – Bah oui, il y avait du monde. Alors, pourquoi la luge ?
16:16 Eh bien, on peut la voir tout de suite. La luge, c'est ce sport de malade.
16:19 Alors, on dirait vraiment des images des premiers Jeux,
16:22 1924 à Chamonix, mais non !
16:24 Elles ne sont pas de très bonne qualité, les images d'Alberville.
16:26 – C'est bien la Plagne, pourtant.
16:27 – Eh oui, c'était à la Plagne, donc…
16:29 Exactement, donc on n'a pas votre descente à vous,
16:31 mais je vous ai dit, un peu une tête brûlée.
16:33 – Heureusement, parce que ce n'étaient pas des belles descentes.
16:35 Je n'ai pas été très bon.
16:37 – Vous avez fait combien ?
16:38 – J'ai appliqué ce que disait le Baron, c'est-à-dire,
16:40 l'important, c'est de participer.
16:42 Je remercie les deux Yougoslavs qui avaient passé les lignes de guerre
16:46 pour finir avant dernier et dernier, comme ça, ça m'a permis de terminer.
16:48 – Ah, vous n'étiez pas dernier, d'accord.
16:50 – Mais non, c'est quelque chose d'extraordinaire.
16:52 La luge, il n'y a pas de hasard dans la vie, en fait.
16:55 À Villars-de-Lancs, il y avait les Olympiques de luge en 68.
16:58 – Ben, vous les voilà.
16:59 – Voilà, on va dire.
17:00 – Et attention, ça ne rigolait pas.
17:01 Aujourd'hui, on a plus ces chutes, heureusement.
17:03 Mais ça avait été quand même assez terrible, vous allez voir,
17:05 il y en avait quelques-unes.
17:06 Et cette piste de Villars qui existe toujours,
17:08 ce n'est plus une piste de luge, mais on voit,
17:10 les structures en béton, elles existent encore, elles sont à vous.
17:13 – Oui, ça, j'ai racheté avec ma famille, pas que moi, bien sûr.
17:17 On a racheté en 88 à la commune de Villars-de-Lancs.
17:19 Et je pense que c'est le seul site olympique qui est devenu privé.
17:24 Et donc, on utilise pour…
17:26 Enfin, c'est un certain chemin,
17:27 parce qu'on a des activités ludiques et sportives dessus.
17:30 Mais ça permet de visiter.
17:32 Alors, comme on aime bien un peu troubler les gens,
17:35 on y est accroché dans un virage à Bob's Lake,
17:37 sur une piste de luge, c'est pas mal.
17:39 Et d'ailleurs, on voit ce qui est devenu ma maison, maintenant.
17:42 – C'est ça, oui, oui.
17:44 Donc, oui, on voit bien cette…
17:47 On la voit bien, ici, cette piste.
17:49 – Mais j'étais quand même hockeyeur avant.
17:51 J'ai arrêté le hockey,
17:53 parce qu'à un moment donné, il fallait se concentrer plus sur la luge.
17:56 Mais oui, effectivement, moi, j'ai connu la patinoire découverte à Villars-de-Lancs.
17:59 J'ai commencé en 75, sur du découvert, voilà.
18:02 – D'accord. – Voilà.
18:03 – Et on ne reverra pas de la luge sur cette piste à Villars, alors ?
18:05 – Non, non.
18:06 Déjà parce que ce n'est plus les mêmes normes, ces troubles.
18:08 Même si je l'ai tout le temps, perso, je ne descendrais même pas.
18:12 Trop dangereuse.
18:13 – En tout cas, c'est le patrimoine, elle est là pour les histoires,
18:16 pourvu que peut-être on s'en souvienne, et qu'on puisse toujours aller la regarder.
18:19 Allez, merci en tout cas pour cette belle aventure que vous nous avez racontée.
18:24 On vous retrouve dans la patinoire André Ravix, la saison prochaine, en D1.
18:27 On touche encore du bois, mais on viendra vous supporter.
18:30 Thierry, Thomas, c'est à vous. Vous êtes comment ? Vous êtes stressé, là ?
18:32 – Non, ça va. – Non ?
18:34 – Ça va, je respire.
18:35 – Voilà, ça justement, vous allez nous donner tous vos petits secrets tout de suite,
18:38 pour cette zénitude.
18:41 [Musique]
18:49 Car, on le disait, c'est le mal du siècle qui touche à peu près tout le monde, sauf vous.
18:53 – Non, non, ça ne touche pas tout le monde, pas au même niveau.
18:56 On exagère beaucoup sur le stress, parce que c'est très médiatique de dire qu'on est stressé.
19:02 Or, déjà, il faut savoir que le stress, c'est naturel, et que si on n'en a pas, on est mort.
19:07 Parce que le stress, c'est notre système d'adaptation.
19:10 C'est comme dire qu'on y a du bon et du mauvais stress.
19:12 Il y a du stress, c'est une réaction physiologique de notre corps qui est là pour nous défendre.
19:16 Quand on est face, par exemple, pour se booster quand on est dans le sport,
19:21 s'il n'y avait pas de stress, vous n'auriez pas cette capacité à passer votre zone de confort.
19:26 Et les sportifs connaissent bien cette chose-là.
19:29 Le tout, dans le stress, ce n'est pas lui, c'est la régulation.
19:33 C'est être capable de rester dans sa donnée physiologique.
19:37 Dès qu'on va sortir, c'est-à-dire qu'il va être trop prégnant, trop chronique, trop récurrent,
19:42 – Trop mauvais aussi, c'est-à-dire qu'on ne l'écoute pas, on ne l'interprète pas.
19:46 – Il n'est pas mauvais. Je prends toujours l'exemple du vin.
19:49 Vous prenez un verre de vin, ça va.
19:51 Vous prenez quatre verres de vin, bonjour les dégâts, mais c'était trois.
19:54 C'est toujours du vin.
19:55 Il n'y a pas du bon vin parce que vous n'en buvez qu'un verre,
20:00 et du mauvais parce que vous en buvez trois.
20:02 Le stress, c'est pareil, il est toujours stress.
20:05 C'est une réaction physiologique.
20:07 C'est comme la digestion, c'est comme les battements cardiaques.
20:09 Il va s'activer dès qu'il va sentir qu'on n'est plus vraiment tranquillou.
20:15 Alors c'est pour ça que le stress, la nourriture nous stresse, l'environnement nous stresse.
20:21 Il y a plein de choses qui nous stressent.
20:23 On pense au stress en parlant professionnel, en parlant vie sociale.
20:27 – Contraintes à venir.
20:29 – Contraintes, bruit. Le bruit est un stress extraordinaire.
20:33 La déshydratation, on l'oublie souvent.
20:35 Le fait de ne pas boire assez d'eau.
20:37 – C'est physiologique.
20:38 – Et là, le corps, à un moment donné, il est en stress.
20:40 Parce qu'il se dit "Ouh là là, je n'ai plus d'eau, comment on va faire pour survivre ?"
20:43 Et là, il vous déclenche du stress.
20:45 – Et il respire mal, ça on va en parler avec vous dans un petit instant.
20:48 Donc on a vu ici ce livre, vous donnez les clés en 7 jours pour gérer le stress.
20:53 Alors on n'a pas 7 jours avec vous ici malheureusement, mais quelques minutes.
20:56 Ce n'est pas votre premier ouvrage.
20:58 D'ailleurs avant de découvrir cette méthode, on va faire votre connaissance.
21:01 Vous vous exprimez d'une manière très didactique.
21:04 Vous êtes auteur, conférencier, vous dirigez le Centre de gestion du stress de l'ISER.
21:09 Qu'est-ce que c'est, en quelques mots ?
21:11 – Le Centre de gestion du stress de l'ISER fait partie d'un réseau
21:14 de centres de gestion du stress, il y en a une vingtaine en France.
21:17 Je suis aussi co-dirigeant du réseau national.
21:21 Ce sont des structures qui interviennent à 99% en entreprise.
21:27 Notre spécificité, c'est nous on va vers l'entreprise pour travailler
21:33 sur la prévention santé, la régulation du stress, quelque chose qui est très important,
21:37 notamment dans la performance.
21:39 Si on est trop stressé, on n'est pas performant.
21:42 – Donc des conseils, des techniques ?
21:44 – Des ateliers pratiques, des stratégies à mettre en place avec les ressources humaines.
21:50 C'est travailler main dans la main avec toutes les entreprises.
21:54 – D'accord. Mais alors vous travaillez auparavant dans le journalisme et la communication.
21:58 C'est-à-dire que c'est un monde tellement stressant
22:01 que vous avez voulu vous spécialiser dans ce phénomène pour l'adopter ?
22:04 – J'ai un parcours de professionnel assez atypique puisque j'ai effectivement commencé…
22:08 Si on va dans mes tous débuts, j'étais dans la banque.
22:12 J'ai stressé puisque j'ai vécu un hold-up, un des derniers hold-up.
22:16 – Un vrai hold-up ? – Un vrai hold-up.
22:18 – Parce que eux, ils font des hold-up parfois, ça arrive.
22:20 – Ah oui, il y avait eu un. Un hold-up à Echirol, le gars avait tiré.
22:24 Après c'était drôle parce qu'il y avait les billets qui flottaient,
22:28 parce qu'on avait percé un radiateur.
22:30 Donc comme on avait encore des billets à l'époque, tous les billets flottaient dans la…
22:34 – Le film ? – Le film, voilà.
22:36 Donc stress quand même. Mais je ne l'ai pas fait longtemps.
22:39 – Ce n'est pas que dans les films ?
22:40 – Non, après je suis rentré, j'ai été journaliste pendant quelques années.
22:43 Après j'ai eu une agence de communication aussi pendant quelques années.
22:46 Et là il y a eu la rencontre avec le thermalisme.
22:51 J'ai été pendant plus de 20 ans directeur…
22:55 – Des thèmes d'Alvar.
22:57 – Des thèmes d'Alvar. Alors pas directeur tout le temps,
22:59 j'ai d'abord été directeur de la com puis directeur du développement,
23:01 mais j'ai fini directeur des thèmes d'Alvar et après je suis parti à la léchère.
23:05 – Et c'est là-bas que vous avez découvert ces méthodes de respiration ?
23:08 – Je ne comprends pas. – En fait de cohérence cardiaque.
23:12 – Oui. – Qu'est-ce que c'est que la cohérence cardiaque ?
23:14 – La cohérence cardiaque elle m'est tombée dessus en 2004
23:17 quand David Servan-Schreiber, je pense que les gens le connaissent,
23:21 nous a amené ça des États-Unis.
23:24 En France c'était absolument pas connu à cette époque-là.
23:26 Il avait sorti son premier livre qui s'appelait
23:28 "Guérir de l'anxiété du stress sans médicaments"
23:32 pour simplifier les choses.
23:34 Et il avait parlé de la cohérence cardiaque.
23:36 Et pour moi j'avais commencé à regarder ça
23:38 parce que je cherchais des techniques pour des personnes qui étaient douloureuses.
23:42 Parce que dans le thermalisme on prend beaucoup de gens qui ont des douleurs.
23:46 Et je cherchais une technique facile, gratuite, accessible 24 heures sur 24
23:52 et qui ne nécessite pas d'avoir un coach derrière,
23:56 d'avoir toutes les semaines des rendez-vous, etc.
23:59 Pour tout le monde quoi.
24:01 Et c'est là que je suis rentré dans la cohérence cardiaque.
24:03 Alors j'ai fait toutes les formations qui existent en cohérence cardiaque.
24:07 Et j'ai fait mon miel avec tout ce que j'ai pu apprendre droite à gauche.
24:12 Et effectivement j'ai créé Respirelax, l'application en 2012.
24:15 Mais quel rapport avec le cœur ?
24:17 On respire en fonction de son activité cardiaque en fait ?
24:19 Non. Si vous voulez, la cohérence cardiaque est une respiration particulière
24:24 avec un rythme imposé.
24:26 On dit plutôt que c'est une pratique respiratoire guidée sur rythme imposé.
24:30 C'est plus long. Cohérence cardiaque ça va plus vite.
24:32 Sauf que ça fait peur.
24:34 Parce que vous avez vu, vous en avez parlé, le cœur.
24:36 On n'est pas tous cardiaques, donc c'est pas fait pour ça.
24:40 La cohérence cardiaque ça veut dire que vous allez, avec ce type de respiration,
24:44 faire que votre fréquence cardiaque, votre rythme cardiaque,
24:48 va se synchroniser avec votre respiration.
24:52 Vous avez des courbes, quand j'inspire ça monte, quand j'expire ça descend.
24:55 Et petit à petit, votre respiration va se mettre au même rythme.
25:00 D'accord. Alors on a quelques secondes, regardez, on va le faire ensemble.
25:03 D'accord ? Avec vous. Voilà, on va peut-être vous voir.
25:05 Attention, on y va.
25:08 Ouh là, mais c'est long en fait. Je ne m'empêche pas de parler.
25:11 En fait, voilà, c'est ça. On respire tous, attention.
25:14 Profond, profond.
25:16 On inspire. Alors il faut inspirer jusqu'en haut.
25:20 Il faut savoir que là, on est sur un rythme de 5 secondes à l'inspire
25:23 et 5 secondes à l'expire.
25:25 Ce rythme-là nous permet de recentrer le système nerveux autonome
25:28 qui gère le stress, entre autres.
25:30 Et normalement, on est entre 12, 15, 18 respirations naturellement par minute.
25:37 Donc voyez, vous passez de 12 à 18 respirations,
25:39 beaucoup plus quand on fait du sport, bien entendu, à 5.
25:44 Donc il faut s'adapter.
25:45 Donc c'est pour ça que pour faire de la cohérence cardiaque,
25:47 il faut à peu près une dizaine de jours pour bien réussir à trouver le rythme.
25:52 Et là, une dizaine de secondes, ça a marché, vous ?
25:54 Non, mais il faut plus que ça.
25:55 Ah, pas ça, d'accord.
25:56 Et beaucoup de sportifs l'utilisent.
25:59 Les plus connus, ça a été Tiger Wood, après Federer, Florent Manoudou.
26:04 C'est des gens qui gèrent leur stress.
26:08 Souvent, quand on fait quelque chose dans le sport qui vous stresse d'avance,
26:15 Florent Manoudou, c'était mettre le pied sur le plot de départ.
26:18 Parce qu'il sait que lui, s'il rate son départ, sa course est perdue.
26:22 Donc il a géré en amont avec son coach mental,
26:26 se mettre en cohérence cardiaque pour dire à son corps et à son cerveau
26:30 que mettre le pied sur le plot, ce n'est pas du stress.
26:33 C'est cool.
26:34 Et les golfeurs jouent comme ça.
26:36 Et voilà.
26:37 C'est se mettre en situation avec une association presque de sophrologie
26:41 et de cohérence cardiaque.
26:43 Et ça marche très bien.
26:44 Donc la mise en jeu, c'est cool.
26:46 Vous avez compris ?
26:47 Le départ du prologue, c'est cool.
26:50 Pas de souci.
26:51 C'est juste une interprétation.
26:53 Par contre, on a souvent, on respire mal.
26:55 On respire par le haut, en bombant le torse.
26:57 Non, c'est aussi le ventre.
26:58 C'est plutôt une respiration abdominale.
27:00 Mais il faut y aller progressivement.
27:02 Il faut inspirer par le nez, expirer par le nez ou par la bouche.
27:05 Ça, des fois, on n'y arrive pas au début.
27:07 Donc au début, je dis, vous, vous, concentrez sur le timing.
27:12 Le plus difficile, c'est le timing.
27:14 Il faut y aller progressivement.
27:15 Alors pour moi aussi, c'est le timing de cette émission.
27:17 Parce que je parle beaucoup.
27:18 Non, mais moi aussi, vous le savez bien.
27:20 Sauf que ici, vous avez un programme en 7 jours.
27:22 Vous n'allez pas nous dire sur ces 7 jours,
27:24 parce que sinon, on ne va pas acheter le livre.
27:26 Mais rien, vous dites que c'est révolutionnaire.
27:29 Mieux dormir, mieux respirer.
27:31 Mais en fait, ici, c'est une méthode qui va nous aider.
27:34 Alors déjà, le titre, mon programme anti-stress en 7 jours,
27:37 je ne vais pas vous déstresser en 7 jours.
27:39 Je vais vous donner, dans le livre, on donne des techniques
27:42 qui vont faire qu'il vous faudra 7 jours
27:45 pour les assimiler et les connaître.
27:48 Et après, le plus difficile, les mettre en pratique.
27:52 Parce que dans cette technique, dans ce programme,
27:55 il y a l'alimentation.
27:56 Qui penserait que l'alimentation est importante
27:58 pour gérer son stress ?
28:00 L'inflammation qui est récurrente chez nous,
28:02 c'est un stress pour l'organisme, même si on ne s'en aperçoit pas.
28:05 Après, bien dormir, c'est évident, surtout pour les sportifs.
28:09 Le sommeil est quelque chose de très important.
28:11 Mais on sait qu'aujourd'hui, il y a de grosses problématiques.
28:13 Et le sommeil de la nuit, il est fortement dépendant
28:17 de ce qui se passe la journée.
28:19 Tout le monde vous donne de la mélatonine à prendre le soir.
28:22 C'est bien, sauf qu'il faut savoir que la mélatonine,
28:24 on la secrète, on la crée le matin.
28:27 On la crée au soleil, on la crée à la lumière du jour.
28:29 Donc toutes les personnes qui vivent, par exemple,
28:31 dans des centres commerciaux, qui travaillent sous la lumière,
28:34 ils n'ont pas assez de mélatonine.
28:36 Donc, ils peuvent avoir des troubles du sommeil.
28:38 Alors, bouger, on sait, il faut bouger.
28:41 Donc, vous voyez, on apprend les règles de base
28:43 de ce que j'appelle l'art de vivre en pleine santé.
28:45 - Oui, parce qu'on parle souvent de faire du yoga.
28:47 Oui, pourquoi pas ?
28:49 - Ah, mais pourquoi pas ? - Il y en a qui font ça au travail.
28:51 - Il faut faire ce que vous aimez.
28:53 C'est pas parce que je vous dis qu'aller nager, c'est génial,
28:56 que si vous avez peur de l'eau, vous allez vous mettre à nager.
28:59 Faites ce que vous aimez.
29:01 Il y a assez de techniques qui vont répondre aux besoins de ce programme.
29:05 Vous choisirez celle qui vous convient.
29:07 Sinon, vous vous planterez. Sinon, vous tiendrez pas.
29:09 - Et alors, il y a des choses qui sont très à la mode.
29:11 Par exemple, ce truc...
29:13 Vous savez, le...
29:15 Ça, ça, l'ASMR, ça s'appelle.
29:17 Vous en avez entendu parler, quand même.
29:19 Là, je sais pas si on entend le son.
29:21 J'ai pris la première que je trouvais sur les grandes plateformes de partage.
29:24 Voilà.
29:25 Si on parle tout doucement comme ça et on fait des petits bruits,
29:28 c'est un peu ridicule à regarder à l'image, mais visiblement, ça...
29:31 Ah ! Ça...
29:33 Non, je sais pas, vous connaissiez ça ?
29:35 - Un peu, oui. - Ouais ?
29:37 Non, je sais pas si ça, c'est des choses qui peuvent délasser
29:39 avant de s'endormir.
29:41 - Je sais pas l'action que ça va avoir sur le système nerveux.
29:44 Donc, si, pour certaines personnes, ça va fonctionner.
29:47 Pour d'autres, moins. - Ça va, au contraire,
29:49 les énerver, je crois, devant les ongles qui...
29:51 - Ça peut les stresser.
29:53 Donc, voilà, il y a pas de règle de base.
29:56 C'est vrai que la cohérence cardiaque a été ma base
29:59 parce que c'est une des rares techniques
30:01 qui est validée scientifiquement
30:03 avec plus de 33 000 études sur PubMed
30:05 qui montrent que c'est efficace et que c'est scientifique, quoi.
30:08 Ça marche pour tout le monde.
30:10 Quand on est de l'enfance à l'EHPAD,
30:13 on peut faire de la cohérence cardiaque.
30:15 - Bon, donc, c'est pas une fatalité.
30:17 On va essayer de s'y mettre. Moi, j'ai plus de...
30:19 Moi, j'ai l'appli, hein. Donc, on l'a téléchargée.
30:21 On va essayer de respirer
30:23 et de, surtout, arriver à y penser.
30:26 Voilà, y penser.
30:28 La posture, la posture.
30:30 Vous avez dit, quand on est comme ça,
30:32 quand on est voûté, hop, quand on est comme ça,
30:34 ça veut dire tout va bien.
30:36 - Quand on est comme ça, on envoie au cerveau
30:38 le fait que ça va pas.
30:40 - Bah, qu'on est fatigué, qu'on en a plein le dos.
30:42 Voilà, donc...
30:44 - J'en ai plein le dos, voilà, on envoie au cerveau...
30:46 - Après, la bonne posture, c'est pas forcément
30:48 être alarmé, hein.
30:50 C'est souvent ouvrir la cage thoracique.
30:52 - D'accord. Michel, on s'ouvre.
30:54 Ça va être à vous. Tout va bien.
30:56 Et cette édition va super bien se passer.
30:58 Merci beaucoup, Thierry Thomas. - Merci à vous.
31:00 - C'est aux éditions Le Duc, un nom qu'on connaît bien ici,
31:02 sur Télé Grenoble,
31:04 avec mon programme anti-stress
31:06 en 7 jours.
31:08 Merci beaucoup. Allez, on parle de vélo tout de suite.
31:10 Très bon, contre le stress aussi.
31:12 (musique)
31:14 (musique)
31:16 (musique)
31:18 (musique)
31:20 J'allais dire contre le stress, mais on a dit qu'il faut
31:22 apprivoiser son stress.
31:24 Voilà. L'événement vélo de l'été,
31:26 c'est l'événement tout court, d'ailleurs,
31:28 dans le département, parcouru
31:30 du nord au sud par
31:32 l'équipe Isertour,
31:34 33e édition. Tout se présente bien,
31:36 Michel ? - Oui, on va dire ça, à quelques jours
31:38 du départ, puisque
31:40 la première étape aura lieu le 22 mai,
31:42 donc c'est demain. Et
31:44 effectivement, on rentre dans la dernière ligne droite,
31:46 comme on peut dire, et forcément, avec son lot
31:48 de surprises
31:50 agréables, au moins.
31:52 Et ça fait partie du stress à gérer,
31:54 justement, pour
31:56 des organisateurs. - Et ça sera en direct
31:58 sur Télé Grenoble du 22 au 26
32:00 mai prochain. Vous verrez l'arrivée
32:02 et les quelques heures, à peu près
32:04 une heure et demie, deux heures qui précèdent, c'est ça ?
32:06 - Absolument. - Et alors, expliquez-nous
32:08 ce que c'est que l'Alpe Isertour.
32:10 On a l'habitude de voir et de découvrir
32:12 la France sur
32:14 notre antenne du service public, en regardant
32:16 le Tour de France. Ici, ça a l'air d'un
32:18 tour très pro, ce que vous faites ici. Est-ce que c'est
32:20 un tour pro, l'Alpe Isertour ? - Alors,
32:22 l'organisation est bénévole,
32:24 puisque tous les gens qui font partie
32:26 de cette organisation-là sont tous des gens
32:28 passionnés, comme je l'ai pu l'être
32:30 il y a 33 ans, quand on a décidé de créer
32:32 cette épreuve-là.
32:34 Ce qui n'empêche pas, parce qu'on est bénévoles,
32:36 de vouloir travailler comme des professionnels.
32:38 C'est ce qu'on s'est forcé de mettre en place.
32:40 On a un très beau comité
32:42 d'organisation, avec des gens très impliqués.
32:44 Ce qui fait qu'avec une seule
32:46 salariée sur l'ensemble
32:48 de l'équipe, on arrive quand même à
32:50 avoir 25 personnes au comité directeur.
32:52 Et on a 350 bénévoles qui viennent
32:54 nous aider pour l'ensemble de nos événements.
32:56 - C'est une belle sinécure.
32:58 On a entre 120 et 140 coureurs,
33:00 suivant les épreuves, puisque vous avez parlé de l'Alpizertour.
33:02 Mais vous savez que ce n'est pas la seule.
33:04 - Il y a aussi la classique des Alpes Junior et l'Alpe Grésivaudan.
33:06 Donc classique pour les femmes.
33:08 - Absolument. - Et ça sera aussi
33:10 sur notre antenne, bien sûr.
33:12 On voit ici le parcours de cet Alpizertour.
33:14 Ce sont 5 étapes.
33:16 Quand on voit ça, on se dit "mais c'est un grand tour".
33:18 On a du mal à zoomer un petit peu dessus,
33:20 tant on voit qu'il parcourt vraiment
33:22 tout le département. - Oui, le département Isert,
33:24 c'est ce qu'on a voulu mettre en place
33:26 avec le président Barbier du département de l'Isert.
33:28 C'est de faire en sorte que l'épreuve
33:30 devienne... Elle était beaucoup plus
33:32 centrée sur le nord Isert et sur
33:34 d'autres départements
33:36 autour de l'Isert. - Elle l'est encore.
33:38 D'ailleurs le Pologne, historiquement, il est toujours à Charvieux.
33:40 - On a historiquement
33:42 des relations avec les élus,
33:44 avec les gens de ces régions-là,
33:46 qui font qu'il n'y a pas de raison de s'en écarter.
33:48 On est toujours bien accueillis là-bas.
33:50 Donc on va continuer et persévérer
33:52 dans ce nord Isert, que vous
33:54 dénigrez parfois à TV Grenoble.
33:56 - Certainement pas, nous. - Mais que je peux vous assurer
33:58 est une belle partie du département.
34:00 Et aujourd'hui,
34:02 la volonté c'est d'aller vers
34:04 d'autres territoires du département
34:06 qui sont super intéressants
34:08 parce que pour le vélo, forcément,
34:10 quand on se rapproche de Grenoble, on se rapproche des montagnes.
34:12 Alors si on n'est pas encore allé faire un petit tour
34:14 dans le Vercors, ou pas souvent, en tout cas,
34:16 on n'oubliera pas d'aller
34:18 faire des petits clins d'œil à Villers-de-Lancs
34:20 s'ils ont envie de nous avoir à leur côté.
34:22 - Bien sûr. En plus,
34:24 parce qu'on ne dénigre jamais le nord Isert,
34:26 parce qu'on aime aussi le zoo de Fittilio,
34:28 on aime le théâtre antique de Vienne,
34:30 on aime le CSBJ,
34:32 donc bien sûr, mais on aime aussi
34:34 nos montagnes. Et ça, effectivement,
34:36 c'est aussi l'occasion de découvrir le nord Isert
34:38 mais aussi de pouvoir savourer
34:40 nos montagnes. La première fois, c'était
34:42 en chartreuse, avec l'arrivée
34:44 à Crôles, une arrivée finale.
34:46 C'est comme l'arrivée du Tour est toujours sur les champs,
34:48 l'arrivée de l'Alpizertour est toujours en montagne.
34:50 - On essaie donc de faire
34:52 à tour de rôle une présence
34:54 dans chacun des territoires qu'il y a autour
34:56 de la ville de Grenoble, qui est la ville centre du département.
34:58 Et effectivement,
35:00 on a commencé par la chartreuse et puis
35:02 on est allé en Beldone, on est revenu
35:04 en chartreuse et maintenant, on va en noisant.
35:06 L'année prochaine, pour rien dévoiler,
35:08 on sera en Matésine. Donc, vous voyez qu'on se rapproche
35:10 petit à petit du Vercors, mais qu'ils n'ont pas fait
35:12 signe. Donc, on ne va pas tarder
35:14 à les solliciter pour
35:16 les prochaines échéances, pour qu'on puisse y arriver.
35:18 - On le verra, déjà.
35:20 On le verra, mais on n'y passera pas.
35:22 Cette année, l'Alpe d'Huez ?
35:24 - Alors, cette année, l'Alpe d'Huez,
35:26 absolument. Eh bien, écoutez,
35:28 on a ce partenariat-là, donc,
35:30 avec la Comcom de Loisan, avec la ville de
35:32 Bourg-d'Oisan. On voulait
35:34 mettre en place quelque chose de différent
35:36 qui aille dans le sens de ce qu'on voulait mettre
35:38 en place depuis de nombreuses années.
35:40 Donc, on a tracé une étape
35:42 avec un départ en chartreuse
35:44 et une arrivée finale qui se fera
35:46 en Loisan. Mais on a voulu faire quelque chose de différent
35:48 de ce qui se faisait au niveau des courses
35:50 cyclistes qu'on connaît bien. On connaît bien
35:52 le Criterium Néodophilé, on connaît bien
35:54 le Tour de France. Il y aura prochainement, d'ailleurs,
35:56 le Tour de France féminin qui va arriver à l'Alpe d'Huez.
35:58 Donc, on voulait faire quelque chose qui se rapproche
36:00 de tout ça, mais qui soit différent.
36:02 Donc, on va effectivement arriver
36:04 vers l'Alpe d'Huez, mais au lieu de la monter,
36:06 on va la descendre. Et on fera l'arrivée à
36:08 Bourg-d'Oisan. - Ils l'ont déjà fait, le Tour de France,
36:10 ils l'ont monté, redescendu par Sarrey.
36:12 - Oui, mais pas de cette voie-là.
36:14 - Mais ça sera costaud, quand même.
36:16 - Ça va être très costaud. Il y a 171
36:18 kilomètres pour la dernière étape, avec
36:20 4 300 mètres de dénivelé positif,
36:22 11 900 sur l'ensemble de la course.
36:24 Donc, je peux vous assurer que cette dernière étape,
36:26 elle va piquer les jambes, quand même.
36:28 Et on a réservé un très beau final
36:30 avec la montée sur Villa Recula,
36:32 le passage au Pas de la Confession.
36:34 - Ils y ont cru, hein, Villa Recula.
36:36 - Villa Recula,
36:38 le Pas de la Confession, qui est un endroit
36:40 absolument extraordinaire.
36:42 Un passage à Uez, et puis cette
36:44 descente des lacets pour arriver
36:46 finale directe à Bourg-d'Oisan,
36:48 en apothéose. Ça va être
36:50 quelque chose de très sympa, et le vainqueur sera
36:52 à n'en pas douter, encore un très
36:54 beau champion. - Oui, pour des champions
36:56 qui ne seront pas... Certains
36:58 peuvent également se retrouver dans les Grands Tours,
37:00 en fait. Qui sont ces participants ?
37:02 - Alors, les participants de l'Alpes-Yres-Tours,
37:04 c'est l'apanage de notre épreuve à nous.
37:06 C'est qu'on peut se faire mélanger des professionnels
37:08 avec des amateurs. Donc, c'est
37:10 quelque chose qui nous donne
37:12 la chance d'avoir des pelotons qui sont toujours
37:14 bien construits, qui nous permettent de choisir,
37:16 parce qu'on a toujours 70, 75 candidatures,
37:18 alors qu'on ne prend que 20 ou 22
37:20 équipes. Ça sera 22 pour cette
37:22 année. Donc, ça nous permet aussi
37:24 d'avoir toutes les réserves des équipes
37:26 du World Tour. Certaines équipes
37:28 qui vont être aussi autour de France.
37:30 Donc, ça veut dire que cet ensemble de cohorts
37:32 professionnels et amateurs, ça donne
37:34 toujours des joutes intéressantes
37:36 parce que, justement, les pros veulent montrer
37:38 que s'ils sont pros, c'est qu'ils ont un niveau au-dessus.
37:40 Et les amateurs veulent montrer qu'ils pourraient très bien
37:42 être professionnels aussi. - Et c'est la Coupe de France
37:44 du vélo, alors, hein ? Vous avez compris ?
37:46 - C'est un peu ça, mais en tout cas, ça nous donne toujours
37:48 des courses haletantes. - Des fins de carrière ?
37:50 Des débuts ? C'est ça ? - On a
37:52 beaucoup de jeunes, parce que maintenant, le cyclisme
37:54 se construit de cette manière-là, où
37:56 les équipes réservent des équipes World Tour.
37:58 Ce sont tous des jeunes qui sortent de Junior,
38:00 parfois, et qui tout de suite se retrouvent au plus
38:02 haut niveau. Donc on a
38:04 chaque année, en tout cas, des découvertes.
38:06 - On n'aura pas Paul Magnier, cette année ?
38:08 - Ah, je ne sais pas. C'est pas sûr.
38:10 - Ah, impossible ! Ça serait magnifique, ce jeune
38:12 coureur originaire de Vars,
38:14 qui a remporté
38:16 sa première course pro.
38:18 La première course, le pro,
38:20 ça y est, il l'a gagnée. - Oui, absolument.
38:22 - Il a eu deux victoires, d'ailleurs, chez les pros, aussi, cette année.
38:24 Incroyable ! - Mais on a
38:26 cette chance-là, c'est qu'on s'aperçoit
38:28 qu'effectivement, à travers toutes nos épreuves,
38:30 on fait émerger des jeunes talents.
38:32 Et donc, on veut persévérer dans cette
38:34 fonction-là. Il y a des
38:36 très belles courses qui viennent dans notre département,
38:38 avec le Tour de France, le Dauphiné.
38:40 Mais c'est important qu'on puisse faire découvrir
38:42 ces jeunes talents, parce que c'est ceux qu'on va
38:44 découvrir au plus haut niveau plus tard. - Ça, c'est votre
38:46 ADN. Et vous le réaffirmez encore plus
38:48 avec la Classique des Alpes Junior.
38:50 La Classique des Alpes, c'est une grande classique
38:52 du cyclisme en France.
38:54 Ici, c'est pareil pour les Juniors. Et c'est ici,
38:56 sur notre territoire, en direct, sur Télégramme.
38:58 Donc, on veut que les jeunes talents puissent...
39:00 - Oui. La Classique des Alpes, c'est une épreuve
39:02 qui appartient à la Société du Tour de France.
39:04 Ils nous ont demandé d'organiser pour eux,
39:06 puisqu'il n'y avait pas vraiment un modèle économique
39:08 facile à mettre en place pour
39:10 organiser une course de Juniors en faisant
39:12 venir des salariés de Paris. Donc, c'est
39:14 quelque chose qu'on a bien accepté de remettre en place
39:16 et de prendre
39:18 à notre charge, parce que c'est effectivement
39:20 quelque chose qui permet aussi de faire découvrir
39:22 les jeunes talents de demain.
39:24 Les meilleurs Juniors qu'on a pu
39:26 découvrir ces dernières années, on les retrouve
39:28 tous aujourd'hui dans les équipes
39:30 de World Tour. Donc, ça veut bien dire qu'on est dans
39:32 notre rôle de faire sortir ces jeunes-là.
39:34 Donc, on va persévérer là-dessus.
39:36 Pour certains, ils viennent à la Classique des Alpes
39:38 pour découvrir la montagne pour la première fois.
39:40 Donc, les faire aller
39:42 dans l'Isère et dans l'avant-pays
39:44 savoyard, ça a du sens aussi.
39:46 - C'est le... - Premier juin. - Premier juin.
39:48 La Classique des Alpes. Donc, on rappelle, l'Alpes-Isère-Tour,
39:50 c'est du 22 au 26. Le 1er
39:52 juin, la Classique des Alpes et
39:54 l'Alpe Grésivaudan Classique.
39:56 Les femmes qui investissent
39:58 cette Alpe-Isère-Tour. Et ça fait partie
40:00 de cette
40:02 grande organisation, l'Alpe
40:04 Grésivaudan Classique pour les femmes.
40:06 - Oui. On souhaitait
40:08 offrir à ces jeunes filles qui
40:10 se développent au niveau du cyclisme
40:12 depuis quelques années maintenant.
40:14 Le Tour de France a été relancé
40:16 depuis deux ans maintenant.
40:18 Ça sera la troisième édition cette année.
40:20 Elle va arriver d'ailleurs sur l'Alpe d'Huez.
40:22 Donc,
40:24 on s'aperçoit que des épreuves
40:26 de montagne, il n'y en a pas pour les jeunes filles.
40:28 Donc, c'était important qu'on puisse en créer une.
40:30 On a la chance que la Comcom du Grésivaudan
40:32 nous ait fait confiance pour cela.
40:34 Donc, on leur a organisé depuis deux ans
40:36 une belle course qui est en train de monter en puissance.
40:38 Et cette année, on aura 20 équipes au départ,
40:40 dont deux du World Tour.
40:42 Donc, deux qui seront au Tour de France aussi.
40:44 Et certaines autres françaises
40:46 qui seront aussi au départ du Tour de France
40:48 et qui vont profiter de venir à l'Alpe Grésivaudan
40:50 classique, évidemment,
40:52 pour découvrir l'école de Beldone.
40:54 Mais qui iront dès le lendemain
40:56 reconnaître l'étape de l'Alpe d'Huez.
40:58 Donc,
41:00 elles seront déjà dans la préparation
41:02 pour ce fameux Tour de France.
41:04 - Oui, c'est une étape aussi pour elle. Il y aura Elita Musique,
41:06 l'Iséroise, championne de France.
41:08 - On l'espère, puisque c'est la vainqueur des deux
41:10 dernières éditions, des deux premières et des deux dernières éditions.
41:12 Et on sait qu'elle sera présente
41:14 avec son équipe de la Française des Jeux.
41:16 Donc, je ne crois pas
41:18 qu'elle vienne juste pour se promener.
41:20 Elle connaît les routes de l'Isère, puisqu'elle s'y entraîne,
41:22 puisqu'elle habite du côté de Grenoble.
41:24 Mais en tout cas, elle sera là
41:26 pour défendre son titre. - Et bien nous, on sera
41:28 là aussi devant notre poste sur
41:30 Télé-Grenoble pour suivre l'arrivée
41:32 tous les jours du 22 au 26 mai.
41:34 Le 1er juin,
41:36 la classique des Alpes
41:38 junior et l'Alpe Grésivaudan
41:40 classique, ce sera le... - 2 juin.
41:42 - 1 et 2.
41:44 - En rendez-vous sur
41:46 Télé-Grenoble avec les images en direct.
41:48 - Exactement. Merci beaucoup,
41:50 Michel Bouppe, une belle organisation.
41:52 On vous souhaite d'être bien zen
41:54 d'ici à cet événement, parce que nous,
41:56 en tout cas, on va être très excités devant la télé pour
41:58 regarder tout ça. Merci encore, merci beaucoup
42:00 Thierry Thaudemas pour tous vos
42:02 beaux conseils. Je vous la rends,
42:04 les ours de Villars, faites-en bon usage, parce que vraiment,
42:06 elle va vraiment faire beaucoup de bien
42:08 aussi au plateau du Virecord.
42:10 Cette coupe du titre de
42:12 D2. Merci à vous tous et merci de votre
42:14 fidélité. À très vite.
42:16 Vous avez profité de "Si on parlait"
42:28 avec Gilles Trignan Résidence.
42:30 [Musique]
42:33 Sous-titrage Société Radio-Canada

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