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Court métrageTranscription
00:00 *Musique*
00:16 Bonjour à tous, c'est par ici les sorties, votre magazine d'actualité qui vous dit tout sur les films à l'affiche.
00:21 Drames, comédies, dramatiques, comédies, histoire vraie et action sont au programme cette semaine,
00:27 avec tout d'abord la deuxième réalisation de Viggo Mortensen, Jusqu'au bout du monde.
00:32 Nous retrouverons le tableau volé de Pascal Bonnitzer,
00:34 nous ferons un séjour dans un palace avec Petite main de Nesim Chikawi,
00:39 nous découvrirons le premier film réalisé par Artus, un petit truc en plus,
00:42 nous nous rendrons dans la forêt brésilienne pour la fleur de Bouriti,
00:46 Antoine Rimbaud nous présentera son deuxième film, Une affaire de principe,
00:49 et nous accueillerons Emily Blunt et Ryan Gosling pour The Fall Guy de David Leitch.
00:54 *Musique*
00:56 Avant d'explorer plus en détail les sorties de la semaine,
00:59 nous vous proposons de découvrir le classement des films en salles
01:02 établi par les étoiles des spectateurs sur le site Allocine.
01:06 En troisième position, Challenger obtient 3,6/5.
01:12 Juste au-dessus, avec 3,9/5, on retrouve N'avoue jamais.
01:18 Et cette semaine se place en première position, Frères, qui obtient 4,2/5.
01:24 Allez, retour aux sorties de la semaine.
01:26 *Musique*
01:29 Jusqu'au bout du monde, deuxième réalisation de Viggo Mortensen
01:32 nous emmène au Far West au 19ème siècle.
01:34 Une jeune femme indépendante croise la route d'un immigré d'origine danoise
01:38 et accepte de le suivre pour vivre avec lui.
01:40 Mais lorsque la guerre de sécession éclate, l'homme décide de s'engager
01:44 et la jeune femme se retrouve seule.
01:46 *En anglais*
01:49 *En anglais*
01:53 *En anglais*
01:56 L'idée était de placer au cœur de cette histoire du 19ème siècle
02:00 une femme ordinaire, qui est une femme libane, qui a ses propres idées
02:05 et qui ne se laissera pas convaincre de faire quelque chose
02:09 pour plaire aux hommes ou aux femmes.
02:12 *En anglais*
02:19 Les femmes n'ont pas besoin d'une raison pour être le centre de l'histoire.
02:23 Ici, on suit une femme simplement parce que c'est une femme.
02:27 Et pour moi, c'est l'élément le plus important du film.
02:30 *En anglais*
02:37 Les femmes souvent tiennent les sociétés.
02:40 Et comme aujourd'hui, avec les guerres, je peux vous assurer
02:44 que ce sont elles qui maintiennent l'union.
02:46 Ce sont elles, c'est un fait connu.
02:49 *Bruits de pas*
02:51 *En anglais*
02:53 *En anglais*
02:55 *Coup de feu*
02:57 *Bruits de pas*
02:59 À travers l'interprétation de Vicky Kripps, le personnage s'est vraiment épanoui.
03:04 C'est quelqu'un qui incarne le courage,
03:08 la décence dans sa vie quotidienne et ordinaire.
03:13 *En anglais*
03:15 *En anglais*
03:17 *En anglais*
03:19 J'ai toujours essayé de raconter des histoires qui me permettraient d'apprendre quelque chose,
03:23 et non des histoires qui me transformeraient en une sorte de super-héros.
03:29 *Bruits de pas*
03:31 *En anglais*
03:33 *Musique*
03:35 Le tableau volé de Pascal Bonitzer s'inspire d'une histoire vraie.
03:39 La découverte en 2000 d'un tableau et des gunshields
03:43 dans le pavillon d'un ouvrier chimiste dans la banlieue de Mulhouse.
03:47 Le tableau s'est révélé être une oeuvre spoilée par les nazis.
03:51 *Musique*
03:53 *En anglais*
03:55 *En anglais*
03:57 *En anglais*
03:59 *En anglais*
04:01 Comme disait l'autre, Hitchcock, il vaut mieux partir des clichés qui arrivaient.
04:05 On peut partir des clichés, mais on essaye justement de les contourner.
04:11 Pour qu'un personnage soit intéressant, il faut qu'il ait des failles, forcément.
04:16 On le croyait détruit, il a disparu en 1939.
04:19 Voilà à quoi ils ont passé leur belle jeunesse aux anciens propriétaires.
04:23 Ils bossaient avec la police allemande.
04:25 Tous mes personnages ont des fêlures, ils ont des arrière-plans.
04:32 L'histoire consiste aussi à les découvrir petit à petit.
04:36 Moi, je ne veux pas de ce tableau. Je ne veux pas avoir de sang sur les mains.
04:40 Ce tableau, il l'a acquis en toute bonne foi. Il a droit à quelque chose.
04:43 - On va essayer ? - Je suis sûre que vous pouvez faire mieux que ça.
04:45 C'est typiquement un film où il y aurait eu plein de pièges.
04:50 Moi, je serais tombé très facilement dans plein de pièges, si j'avais fait ce scénario-là.
04:54 De surdramatiser un endroit, de surémotionaliser un autre.
05:03 En fait, il y a ce tableau, il y a cette espèce d'enquête qui se fait.
05:11 C'est comme si le tableau faisait en sorte qu'il y ait à nouveau des justes autour de lui.
05:17 Nous allons démarrer pour ce tableau à 8 millions d'euros.
05:32 Avec Petite Main, Nesim Chikawi nous fait découvrir les coulisses d'un palace à travers une brigade de femmes de chambre.
05:38 Une jeune recrue tente de faire sa place au sein d'une équipe composée de fortes personnalités.
05:43 Bienvenue au royaume des larmes.
05:46 Je vous présente Eva. Vous lui montrez les règles et le fonctionnement de la maison.
05:49 Je sais faire mon métier. Je faisais 25 grammes à l'Ibis.
05:54 Tu viens m'aider, Kim Kardashian ? Tu grouilles.
05:56 - Je n'ai pas que ça à faire. - Tu te recoins.
05:58 Ça, c'est l'attitude Ibis. Ça, c'est l'attitude palace et classe.
06:02 C'est vrai que c'est un film sur les femmes de chambre, mais c'est pour ça que je l'ai appelé Petite Main.
06:06 C'est pour tous les travailleurs et toutes les travailleuses.
06:12 C'est exactement ça. C'est ce truc de vouloir montrer et de mettre en lumière ceux grâce à qui tiennent le pays.
06:21 Comme on a pu voir pendant le Covid ou récemment avec les grèves des Éboueurs.
06:25 On a marre d'être invisibles. On a marre qu'on nous exploite.
06:29 On se rend compte de qui est indispensable ou pas dans cette société.
06:32 C'est aussi ça. C'est montrer avec respect et luminosité.
06:39 Venez soutenir les femmes de chambre qui protestent contre les cadences infernales.
06:44 Franchement, je ne comprends pas ce que tu as contre elle.
06:46 Tu sais ce qu'elle revendique ? C'est pour avoir de meilleurs salaires, de meilleures conditions de travail.
06:50 Je préfère avoir un dos en vrai que cadeau au chômage. Tu vois ce que je veux dire ou pas ?
06:54 C'est dur à un moment donné de dire au système qui te broie "stop".
06:58 Déjà de s'en rendre compte. Par exemple, le personnage de Simone, comme tu disais, se rend pas compte.
07:06 C'est le crocodile dans la marocainerie qui se rend pas compte.
07:08 "Oh c'est beau, c'est ça qu'en peau de moi-même."
07:11 Elle se rend pas compte qu'elle se fait broyer.
07:13 Parce que le système fait en sorte qu'on ne se pose pas de questions.
07:16 Tant que tu bosses, tu rentres chez toi, tu as autre chose à faire que...
07:19 T'as plus l'énergie de penser. Donc elle se rend compte de ça.
07:23 On demande juste à être écoutée et considérée.
07:25 Nous on aime notre travail. On aime l'hôtel. C'est pour ça qu'on crie.
07:30 Le fait de faire grève, déjà d'accepter de le faire, en sachant que tu peux perdre beaucoup, c'est énorme.
07:37 On lâche rien.
07:39 J'ai jamais vu des bâtantes comme vous.
07:42 C'est quel style ça ?
07:43 Brigitte Macron !
07:49 Pour échapper à la police, un fils et son père en cavale sont contraints de trouver refuge
07:53 dans une colonie de vacances pour jeunes adultes en situation de handicap.
07:56 Se faisant passer pour un pensionnaire et son éducateur spécialisé.
08:00 C'est le point de départ d'un petit truc en plus, première réalisation d'Artus.
08:04 Je vous présente Sylvain les copains !
08:06 Bonjour !
08:07 On peut y aller là ?
08:08 Qu'est-ce qu'on dit au chauffeur ?
08:10 Fils de pute !
08:12 On fait quoi du coup ?
08:16 On fait comme eux là.
08:18 Alors ?
08:19 C'est trop, c'est trop, j'ai trouvé, j'ai trouvé, j'ai trouvé.
08:22 C'est pas un film sur le handicap, c'est un film avec des acteurs en situation de handicap,
08:26 avec des gens qui ont un petit truc en plus, mais c'est un film de joie, c'est un film de...
08:30 C'est vraiment ce que je voulais véhiculer.
08:32 Je suis tout à fait d'accord avec Artus, c'est vrai que c'est un film de joie, c'est un film qui est bien.
08:37 Le film est parfait.
08:39 Qu'est-ce que tu veux dire depuis ? Le film est parfait carrément ?
08:43 J'ai bien aimé le film.
08:45 Non, t'as dit il est parfait, tu peux pas dire j'ai bien aimé, j'ai adoré.
08:48 Très, très proche.
08:51 Salut sœurs, jour et nuit.
08:53 On va passer un été super ensemble, je suis hyper contente.
08:56 Il y avait cet esprit vraiment de colonie de vacances, on était perchés dans notre montagne,
09:00 on ne captait pas, on était comme ça, un peu isolés dans le verre-corps.
09:04 Oh putain Marie !
09:06 C'est parti droit dans sa gueule.
09:07 C'est pas grave, ça lui arrive tout le temps.
09:08 C'était cash et en même temps pareil, dans le "si je t'aime je vais te le dire, je vais te le montrer"
09:12 sans faux-semblants, sans barrières.
09:15 C'est vrai que nous on compose souvent, on s'invite et on compose, on est là, on se fatigue, on se fait le soir.
09:20 Il y avait un truc hyper brut de sentiments d'humain à humain.
09:24 Pourquoi ils nous regardent les gens ?
09:25 Oh les vannes mères !
09:27 On vous emmerde !
09:28 A l'arrivée, quand on voit le film, tu te dis que ce film est gracieux, il est swing,
09:35 il pète pas plus haut que son cul et en même temps il est pas en dessous,
09:40 c'est un film et on le voit avec le public, les gens, comment ils sont en empathie immédiate
09:46 avec cette bande, tu passes un moment, tu sais, mais c'est pas cohérent, on peut pas l'expliquer en fait.
09:52 C'est un truc à vivre et ça se passe dans la salle et ça c'est top.
09:55 La fleur de Bouriti, co-réalisée par Joao Salaviza et René Nader Messora,
10:08 met en avant la relation entre le peuple krao et la terre.
10:11 A travers les yeux de sa fille, Pat Prow va parcourir trois époques de l'histoire de son peuple indigène
10:16 au cœur de la forêt brésilienne.
10:18 La maillote du territoire indigène n'a pas encore été démarquée,
10:24 parce que le Brésil est une force !
10:27 Ces autochtones vivent dans un espace de 300 km² au cœur du Brésil et ils protègent cet endroit.
10:35 C'est la seule partie de la région du Cerrado qui n'a pas encore été dévastée par la déforestation.
10:41 Ce sont les gardiens de cet environnement.
10:44 Le tournage du film était totalement intégré à la vie de cette communauté.
11:01 Et en fait, pour eux, nous n'étions qu'un détail dans leur quotidien.
11:05 Car dans un village où vivent 500 ou 600 personnes,
11:09 il se passe beaucoup de choses qu'ils considèrent comme plus importantes qu'un tournage de film.
11:14 Donc nous étions discrets, et nous ne nous comportions pas comme une équipe qui irait perturber leur routine.
11:22 Il n'y avait que moi et René, parfois un ou deux amis avec un micro, une caméra,
11:28 avec aussi certains membres de la communauté, nous aidaient aussi derrière la caméra.
11:32 On a écrit le film avec eux en même temps que le tournage.
11:47 Et après, au montage, on pouvait organiser ce qu'on avait et trouver une structure.
11:55 Au Brésil, on a un mouvement qui s'appelle "Apouia"
11:59 C'est important de faire ce qu'on fait, c'est important de faire ce qu'on fait,
12:04 c'est important de faire ce qu'on fait pour la communauté.
12:06 Avoir la chance de vivre au sein de cette communauté, de passer autant de temps avec eux,
12:10 et bien sûr d'en faire un film, et ainsi de prendre part à leur lutte avec nos images,
12:15 c'est évidemment un geste politique.
12:18 C'est un geste politique, c'est un geste politique.
12:22 C'est ça.
12:23 C'est un thriller dans les coulisses des institutions européennes.
12:50 Et ça, en tant que spectateur, je n'ai pas vu du tout, du tout.
12:53 L'Europe, c'est tout à la fois le président de la commission de l'époque José Manuel Barroso,
13:09 les lobbies du tabac qu'ont-ils fait cacher dans les coulisses,
13:13 et aussi en face, un petit député européen tout seul, que personne ne veut suivre,
13:18 va se lancer dans une enquête avec son équipe,
13:21 qui va ensuite voir autour de lui s'agréger quelques autres députés d'autres groupes,
13:25 et ensemble ils vont y arriver.
13:27 Aucun groupe politique n'a la majorité à lui tout seul,
13:41 donc on ne fait rien sans les autres.
13:43 Donc les alliances se fabriquent dossier après dossier.
13:45 Et c'est thème par thème, ce n'est pas bloc contre bloc.
13:48 Donc on construit la démocratie au fur et à mesure.
13:51 Et cette histoire, elle raconte ça.
13:53 La commission doit rendre les comptes au Parlement.
13:55 Et Barroso, je suis désolé, il doit respecter la règle comme tout le monde.
13:58 Qui êtes-vous, monsieur ?
14:00 José Bové.
14:02 Ah oui, c'est vous.
14:04 C'est terrifiant votre populisme.
14:06 Je peux dire qu'à partir de maintenant, on va les faire chier.
14:10 Alors vraiment chier.
14:12 Il est de l'Ut'Antifraude, qui est l'équivalent,
14:14 il se surnomme même le FBI européen.
14:16 Donc le directeur de l'ULAF, qu'on regarde avec un peu de suspicion dans le film,
14:20 il a été condamné en septembre à un an de prison exsurcie.
14:24 Et là, il vient de passer en appel.
14:26 Et pour la première fois, tout doucement,
14:29 il dit que ce serait José Manuel Barroso
14:32 qui lui aurait demandé de prendre en charge personnellement cette affaire.
14:36 Barroso est plus que riche maintenant.
14:39 Vous n'avez pas besoin de chercher dans le lobby quand il est à l'intérieur.
14:42 Tu réalises l'image que tu donnes des parlementaires ?
14:45 Oui.
14:46 Il dit "j'ai été convoqué, je suis allé tremblant dans le bureau de Barroso
14:50 et il m'a dit "vas-y, continue, il faut faire l'enquête comme ça pour dégager Dali".
14:55 Et voilà. Et le film s'arrête.
14:57 Quel timing !
14:58 Et le film s'arrête.
14:59 Il risque d'y avoir des cartons à la fin qu'on va devoir rajouter.
15:08 Adapté de la série TV, L'homme qui tombe à pics, The Fall Guy
15:11 met en scène un cascadeur, Arjan Gosling,
15:14 qui va devoir retrouver une star portée disparue, déjouer un complot
15:17 et tenter de reconquérir la femme de sa vie
15:20 tout en bravant la mort sur les plateaux de cinéma.
15:22 Je ne suis pas le héros de cette histoire.
15:24 Je suis juste un mec de bataille.
15:27 Je veux me montrer cool devant le directeur de ce film.
15:31 C'est elle,
15:32 qui j'ai eu un grand amour.
15:34 On doit le garder super professionnel.
15:37 Cool.
15:38 - Tu veux sortir ? - Non.
15:39 Parce que moi non plus.
15:40 C'est pas ce que je suis en train de faire.
15:41 - Sortir ? - Oui.
15:42 - Qu'est-ce que tu fais ? - Je parle.
15:44 Ce film est un grand merci à la communauté des cascadeurs.
15:47 Ce sont eux les véritables héros.
15:50 Dans un film, ce sont les cascadeurs qui effectuent les actes héroïques.
15:54 Hors caméra, nous les considérons comme nos héros.
15:57 Ils prennent les coups à notre place.
15:59 David Leitch, notre réalisateur, qui est un ancien cascadeur,
16:15 a dit à Ryan,
16:16 "La vérité, c'est qu'on met tout en oeuvre pour que tout soit OK."
16:19 Mais ça fait mal.
16:20 Et Ryan a dit, "Il faut absolument intégrer ça au film."
16:23 Je suis juste un gars de la tête !
16:25 C'est fou, mec.
16:29 - C'est fou. - Ouais.
16:31 Je n'oublie jamais de me battre.
16:34 Je ne veux pas dire ça.
16:35 C'est la vérité.
16:36 Il s'agit de la vulnérabilité qui se cache derrière ce pouce levé.
16:39 Et c'est ce qui est intéressant de découvrir sur ce métier.
16:42 On se dit qu'ils peuvent encaisser un coup, mais ça fait mal.
16:45 Il faut faire des problèmes.
16:47 Je ne peux pas me débrouiller. J'adore l'action.
16:49 J'ai grandi en aimant regarder les films d'action de cette époque,
16:52 mais j'adorais également les films de Buster Keaton,
16:55 Charlie Chaplin, Abbott et Castello.
16:58 Tout ce qui touche à la comédie physique me plaît.
17:01 L'action, les cascades.
17:03 Pour moi, l'action est ce qu'il y a de plus iconique dans l'histoire du cinéma.
17:08 Le Starman est fou !
17:12 Les cascadeurs ne retirent aucun crédit.
17:15 Ils se cachent le visage, disparaissent dans l'ombre.
17:17 Ce film était pour moi une opportunité de mettre la lumière sur eux
17:20 et de montrer à quel point ces gens sont formidables
17:23 et contribuent au succès d'un film.
17:25 Et tout de suite, le reste de l'actualité en bref et en images.
17:37 Passport, s'il vous plaît.
17:39 Suivez-moi.
17:43 J'ai été née en Espagne.
17:46 Oui.
17:47 Que faites-vous avec mon téléphone ?
17:50 Vous le cachez ?
17:51 Tu m'as dit que tu serais avec moi.
18:03 Quoi ?
18:04 Arrêtez !
18:11 Tout seul, on ne peut pas tenir.
18:18 Tout seul, il faut être un surhomme pour faire ça.
18:29 En 2015, Alep était déjà presque complètement détruite.
18:33 Je ne pouvais pas rester en Syrie. Je voulais aller loin.
18:36 C'est le mot réfugié qui définit ma vie aujourd'hui. Vraiment.
18:40 Mais vous l'avez connue comment ?
18:51 J'ai pu la récupérer contre quelques milliers d'euros.
18:55 C'est une règle inoubliable de ne pas utiliser les cartes d'un autre.
18:58 Qui s'en fout ?
18:59 Qui va en premier ?
19:01 Suivez ma règle pour ne pas être en danger.
19:07 Bonjour ?
19:09 Vous n'êtes jamais en mesure de vous battre contre la mort.
19:13 Non.
19:14 Voilà par ici les sorties séphiques de la série.
19:20 Rendez-vous la semaine prochaine et en attendant, n'oubliez pas d'aller au cinéma.
19:24 Rendez-vous la semaine prochaine et en attendant n'oubliez pas d'aller au cinéma !
19:27 !