• il y a 7 mois
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Transcription
00:00 - On passe au dernier épisode du feuilleton Atos à présent et désormais l'État qui vole au secours du fleuron de la tech française en grande difficulté.
00:08 Bercy propose d'acheter les activités les plus sensibles du groupe.
00:11 L'idée, Tiffen Dubuard, c'est d'éviter que ces activités stratégiques ne passent d'entre les mains d'acteurs étrangers bien sûr.
00:18 - Oui, une décision immédiatement saluée par la direction du groupe et qui rassure les marchés financiers.
00:24 - Plus 18% pour l'action d'Atos aujourd'hui. Concrètement, l'État s'est positionné sur les activités sensibles du géant informatique,
00:31 dont des produits de cybersécurité. Une réaction indispensable selon Laurent Amart, spécialiste cyber.
00:37 - Les coûts de la cybercriminalité ont déjà dépassé les 100 milliards d'euros pour cette année.
00:41 Donc l'État monte en puissance en investissant dans des sociétés comme Atos pour défendre les éléments structurels de notre cybersécurité.
00:48 - Problème pour Atos, le reste de son activité, qui représente tout de même 90% de son chiffre d'affaires, est beaucoup plus classique.
00:55 Sur cette partie, l'État reste pour l'instant en retrait, mais selon Karine Drann, coordinatrice CFECGC,
01:01 retirer les activités stratégiques risque d'affaiblir encore plus le reste de l'entreprise.
01:06 - On déstabilise le groupe en sortant une partie de l'activité pour répondre à des problématiques de souveraineté.
01:12 On a l'impression que c'est le début du dépeçage du reste.
01:14 Si on commence à couper un petit bout, pourquoi ne pas couper les petits bouts suivants ?
01:18 - Un avenir de plus en plus incertain pour le groupe.
01:20 Atos vient de revoir à la hausse ses besoins de financement pour les deux prochaines années.
01:25 - Merci Tiffen Dubuart du service économique d'Europe.

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