• il y a 8 mois
Transcription
00:00 [Musique]
00:02 Je filme, ne vous inquiétez pas.
00:04 [Musique]
00:06 Je me suis dit que ma tête allait tomber.
00:08 [Musique]
00:12 Je me souviens que quand nous avons commencé la séquence,
00:14 il n'y avait pas de caméra,
00:16 [Bruit de feu]
00:18 mais il y avait de la joie.
00:20 [Musique]
00:22 Il s'est trouvé dans une difficulté.
00:24 C'est là que s'est commencé ce que le langage
00:26 de la guerre a été mis en scène, injustement et imprécisément.
00:30 [Musique]
00:33 La caméra était un armement puissant d'une seule fusil.
00:37 Nous avons été abandonnés, oubliés de tous,
00:39 et tout simplement,
00:41 [Bruit de feu]
00:42 on ne pouvait jamais être tués,
00:44 sur n'importe quelle rue, n'importe où.
00:46 [Musique]
00:49 Et maintenant, quand je regarde ces images,
00:51 ce peur est en train de se produire.
00:53 [Musique]
00:56 Au milieu de la guerre, il n'y a rien à perdre.
00:59 Pourquoi ne pas réfléchir à des points de vue philosophiques
01:02 sur le monde ?
01:03 [Musique]
01:05 Les émotions sont folles, vraiment.
01:06 Il était bizarre, à ce moment-là,
01:08 combien ces bâtiments étaient populaires.
01:10 Ils ont brisé quelque chose,
01:12 ils ont brisé la guerre.
01:14 [Musique]
01:16 Ils donnent une énergie de retour,
01:18 de la force.
01:20 Il y a une vie dans cette image.
01:24 [Musique]
01:25 Elle a été très importante pour nous,
01:27 à ce moment-là,
01:29 et aujourd'hui.
01:30 [Musique]
01:32 [Musique]