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Michel Jonasz évoque la langue qu'il a inventé avec son acolyte !

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00:00 - Dis-moi Michel Jonasz, tu fais le Paris des Sports du 30 janvier au 17 février, c'est cela ? - Oui. - Mais ce bouton ? - Oui. - Il vient de la grosse. - Bah oui. - Tu es de la grosse. - Bah oui. - Bah oui. - Mais... (incompréhensible)
00:22 - Ah la drogue des années 80. - Ah oui, où est-elle ? (Rires)
00:28 - C'était une autre époque. - Vous auriez pu faire une chanson.
00:34 - Vous auriez pu faire une chanson dans cette langue. - En fait la grousille, on parlait "agrvou", là on a dit un petit peu n'importe quoi mais elle existe vraiment.
00:43 "Ariévouk" par exemple c'est Eric, "Ariévouk" c'est Jad. - Ah c'est joli. - Je pense qu'ils nous mettent complètement en bateau. - Non, non.
00:49 - On peut vous dire "Arafaïvou lataraïvou" si on refait la télé. Donc on s'était inventé une langue avec Alain Goldstein avec qui j'avais fait le premier groupe, enfin pas le premier mais le King's set qui a été très important,
01:01 pour pouvoir parler entre nous deux quand on ne voulait pas qu'on nous comprenne. - Non mais une vraie langue quoi, c'est-à-dire que là vous vous souvenez encore des mots ?
01:08 - Oui mais vous avez vu comment ça se passe notre langue, c'est-à-dire que c'est le français qu'on transforme, on refait la télé "Arafaïvou lataraïvou" mais si on le parle vite...
01:15 - C'est pas simple quand même ! - Si on le parle vite, on ne le comprend pas. - Vous parlez encore la grossie de tonton ! - Avec Alain Goldstein oui.
01:21 - C'est magnifique. Ça vous a servi ou pas ? - Mais oui parce que des fois on était dans un endroit, on avait rendez-vous avec le groupe, le King's set,
01:29 vous voyez un rendez-vous dans une édition ou dans une maison et on voulait se dire quelque chose devant la personne, on parle comme ça.