Papyrus ou fragments transcrivant la musique antique, voilà le patrimoine rarissime et précieux que traquent les scientifiques de l'Institut de recherche et d'histoire des textes ( IRHT). La transcription en musique réelle n'a été possible que grâce au danois Marcus Meiborn, qui traduisit en 1650 un traité rédigé en 360 expliquant le système de notation de musique de l'antiquité.
Grâce à ce traité et au travail fou de l'IRHT, il est nous est possible de savoir qu'elles étaient les musiques que les Grecs écoutaient à Delphes, ou encore les mélodies jouées aux empereurs romains...
Cette composition est "skoion" soit "Lamentation" écrite entre le IIème siècle Av EC, ou in Ec ( mes sources varient...), cette musique est à priori une lamentation ( sans blague) sur le néant qu'est la vie.
Très mélodieuse, elle s'écoute facilement.
A noter que le CRNS vient de traduire deux œuvres de Timothée de Milet ( IVème siècle av EC),et on attends impatiemment des interprétations de ces mélopées qu'écoutait Alexandre le grand..
Grâce à ce traité et au travail fou de l'IRHT, il est nous est possible de savoir qu'elles étaient les musiques que les Grecs écoutaient à Delphes, ou encore les mélodies jouées aux empereurs romains...
Cette composition est "skoion" soit "Lamentation" écrite entre le IIème siècle Av EC, ou in Ec ( mes sources varient...), cette musique est à priori une lamentation ( sans blague) sur le néant qu'est la vie.
Très mélodieuse, elle s'écoute facilement.
A noter que le CRNS vient de traduire deux œuvres de Timothée de Milet ( IVème siècle av EC),et on attends impatiemment des interprétations de ces mélopées qu'écoutait Alexandre le grand..
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