Pour la journaliste politique Tatiana Renard-Barzach, «même 40 ans après, on peut avoir des informations». «L’ADN peut vraiment révéler parfois des choses et on espère que pour les proches, il y aura une réponse à apporter», affirme-t-elle.
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00:00 - Je vais rebondir sur ce que disait Louis,
00:02 c'est vrai qu'une trace infime d'ADN en effet dans l'affaire Maëlys,
00:05 pourtant Nord-Allemandais avait vraiment lessivé le coffre de sa voiture,
00:08 et c'est vraiment une toute petite trace de sang qui a permis de le confondre.
00:10 L'affaire Grégory, il y a quelques jours,
00:12 les parents ont obtenu 40 ans après la mort du petit Grégory,
00:15 de nouvelles séries d'analyses ADN,
00:17 sur l'anorak notamment, et sur les cordelettes qui avaient entravé le corps de Grégory.
00:21 Et donc même 40 ans après, on peut peut-être avoir des informations,
00:24 donc c'est vrai qu'on espère qu'on ne va pas attendre aussi longtemps,
00:28 parce que l'ADN peut vraiment révéler parfois des choses,
00:30 et on espère que pour les parents, pour les proches,
00:32 il y aura une réponse apportée aux circonstances de la mort de ce petit garçon.
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