Retrouvez le replay du match amical Espagne - Brésil du 26/03/2024
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00:00:00 (Applaudissements)
00:00:09 Bonsoir, bonsoir à toutes et à tous.
00:00:11 Ravi de vous retrouver sur les antennes du groupe L'Equipe
00:00:14 pour ce match de gala, un match amical
00:00:17 entre l'Espagne et le Brésil.
00:00:19 Deux grands noms du football mondial,
00:00:21 unis pour une cause, la lutte contre le racisme.
00:00:24 Mais aujourd'hui, ce soir, on va avoir deux sélections
00:00:28 qui sont en préparation du championnat d'Europe pour la Roja
00:00:31 et de la Copa América pour la CELESAO.
00:00:34 Bonsoir Didier Rousteing.
00:00:36 Bonsoir Hamza.
00:00:37 Didier, un Espagne-Brésil, sur le papier,
00:00:40 c'est toujours un match particulier.
00:00:42 C'est un match particulier, même si dans l'histoire des Coupes du Monde,
00:00:45 puisqu'ils ne peuvent pas se rencontrer à l'Euro ou la Copa América,
00:00:49 il n'y a pas, dans mon souvenir, des Espagnes-Brésil,
00:00:53 tu vois, historiques.
00:00:55 L'Espagne était dans le groupe final de la Coupe du Monde 1950,
00:00:59 où le Brésil, le dernier match, est contre l'Uruguay,
00:01:02 en compagnie de l'Uruguay, donc, et également de la Suède.
00:01:06 Il n'y avait pas de final, il y avait un groupe de quatre.
00:01:09 Mais bon, c'est vieux, et puis ça n'a pas été déterminant.
00:01:12 On se souvient du Brésil-Uruguay qui a été déterminant,
00:01:15 qui était le dernier match, et avec le match nul,
00:01:17 la victoire en Coupe du Monde de l'Uruguay.
00:01:19 Mais c'est particulier, parce que l'Espagne a dominé le football
00:01:23 il y a peu, parce que le Brésil, évidemment,
00:01:26 avec ses cinq étoiles et toute son histoire,
00:01:30 bien évidemment que ça va être un adversaire capital pour l'Espagne,
00:01:36 qui se cherche un petit peu, après une Coupe du Monde ratée,
00:01:40 les éliminatoires de l'euro sont rarement significatifs,
00:01:43 et un Brésil qui est mal classé, quand même,
00:01:45 dans les éliminatoires sud-américains.
00:01:48 Alors, le Brésil, récemment, ils ont frappé fort,
00:01:50 parce qu'ils ont gagné contre l'Angleterre à Wembley 1 à 0,
00:01:53 il y a quelques jours, alors que dans le même temps,
00:01:56 l'Espagne perdait contre la Colombie 1 à 0.
00:02:01 Mais l'Espagne, il y a beaucoup de changements,
00:02:03 et la vraie équipe d'Espagne, la plus performante,
00:02:06 a priori, c'est celle qu'on va voir ce soir.
00:02:08 Alors que pour le Brésil, on verra, ça ne change pas.
00:02:11 - Oui, effectivement, on va profiter de l'entrée des 22 acteurs,
00:02:13 mais vous faites très bien de le signaler, Didier Roustan,
00:02:16 le 11 de départ est un 11 extrêmement compétitif
00:02:19 pour Luis De La Fuente, avec 10 changements.
00:02:22 Mais profitons d'abord de cette rencontre,
00:02:25 les derniers instants dans le tunnel du stade Santiago Bernabeu,
00:02:29 et l'entrée des 22 acteurs, parce que oui, Espagne-Brésil,
00:02:32 en plus de l'affiche exceptionnelle,
00:02:34 elle est proposée dans l'un des stades mythiques du football mondial,
00:02:38 à l'estadio Santiago Bernabeu.
00:02:40 Espagne-Brésil, l'entrée des 22 acteurs.
00:02:43 - Là où il y a eu, sur ce même stade, mon cher Hamza,
00:02:46 organisé par le syndicat mondial des joueurs,
00:02:49 et je sais de quoi je parle, puisque j'en étais le secrétaire général,
00:02:52 on avait organisé dans le cadre de l'année contre le racisme,
00:02:55 en 97, tu vois, au niveau européen,
00:02:58 une grande soirée contre le racisme,
00:03:01 avec 40 joueurs prestigieux,
00:03:04 ça s'appelait Match Against Racism,
00:03:08 et je peux te dire que là, bon, on dit,
00:03:12 c'est parce que Vinicius, évidemment, Junior, a des problèmes de racisme,
00:03:17 parce qu'il sera capitaine, du coup, ce soir,
00:03:19 puisque c'est un joueur du Real Madrid,
00:03:21 enfin, on ne sent pas quelque chose de particulier contre le racisme,
00:03:25 pour l'instant, enfin, bon.
00:03:27 Mais le 12 octobre 97, mon ami, c'était quelque chose,
00:03:31 80 000 spectateurs dans l'ancien Bernabeu,
00:03:34 qui est situé au même endroit, retransmis dans 180 pays,
00:03:37 l'IFP, l'Association Internationale des Footballeurs Professionnels,
00:03:41 présidé par le Grand Maradona.
00:03:43 L'hymne brésilien à l'Union Nationale, Brasilero.
00:03:47 À suivre, nous allons écouter l'hymne national du Brésil.
00:03:53 (acclamations)
00:03:55 (musique)
00:03:59 (musique)
00:04:03 (musique)
00:04:06 (acclamations)
00:04:27 (musique)
00:04:30 (musique)
00:04:43 (acclamations)
00:04:46 (musique)
00:05:12 (acclamations)
00:05:15 (musique)
00:05:33 (acclamations)
00:05:41 (musique)
00:05:44 À la place désormais, à l'hymne national du Royaume d'Espagne,
00:05:50 la Marcha Real, la Marche royale.
00:05:53 À suivre, nous allons écouter l'hymne national d'Espagne.
00:05:57 (musique)
00:06:04 (musique)
00:06:07 (musique)
00:06:25 (musique)
00:06:28 (musique)
00:06:40 (acclamations)
00:06:53 Ça faisait longtemps que l'hymne de l'Espagne n'avait pas retenti
00:06:57 au stade Santiago Bernabeu pour une rencontre de la sélection.
00:07:00 Il faut remonter à 2019 avec la réception de la Suède.
00:07:03 Une victoire 3-0, cette formation espagnole
00:07:06 que l'on va découvrir dans quelques instants avec le 11 de départ.
00:07:09 Vous l'avez justement signalé il y a quelques minutes, Didier Rousteing.
00:07:12 10 changements par rapport au 11 qui avait débuté ce match amical perdu
00:07:16 face à la Colombie en 0. Le seul joueur qui démarre, c'est Emric Laporte.
00:07:21 (acclamations)
00:07:24 Deux gauchers en défense centrale,
00:07:40 deux milieux de terrain devant la défense, on va dire,
00:07:44 Rodri Herouiz, mais un des deux qui se projettera
00:07:47 pour aider aussi Dany Olmo et en attaque.
00:07:51 La mine, il y a mal.
00:07:54 Il est clair que Luis de la Fuente, le sélectionneur,
00:07:58 va bénéficier dans un proche avenir
00:08:01 de beaucoup de joueurs du Barça, parce que je pense aux défenseurs
00:08:05 qui ont joué quelques minutes d'ailleurs contre la Colombie,
00:08:08 qui est très fort, et les autres que l'on connaît.
00:08:13 Et il y en a encore en réserve qu'on va découvrir.
00:08:16 C'est avec une équipe, un mix de Barça-Madrid,
00:08:20 mais un jeu du Barça et des joueurs incontournables du Barça,
00:08:23 Romy Bessy bien sûr, que l'Espagne avait dominé l'Europe
00:08:28 dans un premier temps, puis le monde.
00:08:31 On va voir si ça en sera de même dans les années à venir.
00:08:36 Donc exceptionnellement, puisque c'est un match
00:08:39 contre le racisme, Vinicius Junior est capitaine de la Célescent.
00:08:45 Effectivement, et Rodri, capitaine de l'Espagne,
00:08:47 et pas Alvaro Morata, c'est Morata qui lui a cédé le brassard.
00:08:51 Il a eu des problèmes personnels avec le décès de sa grand-mère
00:08:54 il y a quelques jours, quelques heures, des suites d'une maladie.
00:08:57 Et donc Rodri, qui était absent les trois derniers jours,
00:09:00 est revenu à l'entraînement hier, et capitaine aujourd'hui
00:09:03 pour ce match arbitré par João Piniero, arbitre portugais,
00:09:06 qui ne devait pas officier aujourd'hui puisqu'il remplace
00:09:09 João Piniero, c'est Antonio Nobrez, pardon,
00:09:11 qui remplace João Piniero, l'once du Brésil.
00:09:13 C'est simple, si vous avez suivi le match face à l'Angleterre,
00:09:15 c'est le même once de départ.
00:09:16 Et c'était un beau match.
00:09:17 Et ils l'ont emporté 1-0 avec Hendrik, qui est entré en cours de jeu,
00:09:20 le jeune Hendrik, qui devrait aussi nous faire le plaisir
00:09:26 d'arriver en deuxième mi-temps, futur joueur du Real Madrid,
00:09:29 Lucas Paqueta, Bruno Guimaraes évidemment, que l'on connaît bien.
00:09:33 Et puis en attaque, deux joueurs du Real, Vinicius évidemment,
00:09:37 mais aussi Rodrigo, en qualité d'avancante, et Rafinha,
00:09:42 qui était passé par Rennes, donc Leeds, aujourd'hui Barcelone.
00:09:47 Mais une équipe assez inexpérimentée pour l'après Neymar,
00:09:52 entre guillemets, la moyenne de sélection,
00:09:55 hormis Danilo qui en a 55, la moyenne de sélection
00:09:57 pour le match contre l'Angleterre était de 17 sélections,
00:10:00 pour un joueur.
00:10:01 Aujourd'hui, comme c'est la même, c'est 18.
00:10:03 La moyenne sera 18.
00:10:05 C'est faible pour une nation comme le Brésil, tu vois,
00:10:07 en général, il y a beaucoup de joueurs.
00:10:10 Le gardien, c'était sa première sélection quand même à Wembley.
00:10:13 C'est bien plus qu'une rencontre de gala,
00:10:16 c'est un match dépassant le cadre du football,
00:10:18 un match contre le racisme espagnol-brésil
00:10:20 au stade Santiago Bernabéu.
00:10:22 Une fête du football au cadre lourd, symbolisée par un homme,
00:10:25 Vinicius Junior, régulièrement pris pour cible
00:10:27 depuis son arrivée au Real Madrid, il y a cinq ans et demi,
00:10:30 dans les différents stades espagnols.
00:10:32 Le Brésilien porte d'ailleurs ce soir le brassard de capitaine
00:10:35 de la Célescent pour la première fois.
00:10:37 - Le jeune Yamal...
00:10:40 Ouh là là, la cheville qui tourne !
00:10:43 La semelle de Jean Gomès qui n'a même pas le moindre carton.
00:10:49 Ça a l'air d'aller parce qu'elle ne devait pas...
00:10:51 Les croupons ne devaient pas être complètement ancrés
00:10:54 sur la pelouse, mais ça fait peur ce ralenti.
00:10:58 - Il s'en sort bien après 30 secondes déjà.
00:11:02 Jean Gomès et surtout l'ami Yamal qui est déjà debout
00:11:05 et prêt à se charger de ce coufran.
00:11:08 - Pendant qu'il est chaud, ça va aller peut-être, mais...
00:11:11 Voilà, les deux centraux sont montés, évidemment.
00:11:16 - Le coufran à l'ami Yamal. - La porte de Norman.
00:11:18 - Le frappe s'est renvoyée avec Fabien Ruiz,
00:11:20 nouveau ballon dans la surface de réparation.
00:11:22 - Ça a été pas en jeu. - Nico Williams avec derrière, peut-être.
00:11:24 - Il a fait le main à peut-être signaler.
00:11:26 Mais alors, c'était bien joué de la part de Ruiz,
00:11:28 parce qu'au moment où les Brésiliens remontaient,
00:11:30 j'ai l'impression que le synchronisme, lui, est-ce qu'il l'est ?
00:11:33 Bon, on le voit pas au départ.
00:11:35 Les autres, assurément, mais lui, de toute manière,
00:11:37 il a raté sa reprise, donc pas de regret.
00:11:40 - Et la relance avec l'intervention d'Emerick Laporte,
00:11:43 l'offenseur d'Al Nasser, en Arabie Saoudite,
00:11:45 Rodri Kukurela.
00:11:47 Il n'était pas dans la liste initiale, Kukurela,
00:11:53 qui remplace José Gaia à blessé.
00:11:55 De nombreux absents de part et d'autre.
00:11:57 Mais malgré tout, sur le terrain, on a deux équipes,
00:12:00 sur le papier, tout du moins, extrêmement compétitives
00:12:02 avec cette charnière, notamment le Normand Laporte.
00:12:05 Kukurela.
00:12:07 On le rappelle, deux sélections qui restent
00:12:10 sur deux résultats différents.
00:12:12 Deux matchs disputés du côté de Londres.
00:12:14 L'Espagne s'est inclinée 1-0 face à la Colombie,
00:12:17 avec une équipe largement remaniée.
00:12:19 Le Brésil s'est imposé à Wembley face à l'Angleterre.
00:12:22 Attention avec Nico Williams.
00:12:23 Nouvelle possibilité espagnole.
00:12:25 On joue depuis moins de trois minutes.
00:12:27 Le ballon dans la surface de réparation, capté par Bento.
00:12:29 Première situation pour la Roja.
00:12:30 C'est dommage que Williams ne tente pas.
00:12:33 Attention au pressing espagnol.
00:12:35 Ils essaient de repartir proprement, les Brésiliens.
00:12:37 Mais forcément, ils sont contrés.
00:12:39 Que Williams n'ait pas tenté.
00:12:41 Je ne suis pas sûr qu'il y avait une couverture
00:12:43 sur son adversaire direct.
00:12:45 Et il me semblait qu'il pouvait tenter le 1 contre 1
00:12:49 et aller vers la ligne de but et après s'entrer
00:12:51 dans de meilleures conditions.
00:12:53 Mais la préférée a été sa course.
00:12:55 C'est assez courant chez les footballeurs d'aujourd'hui.
00:12:58 Pas tous, heureusement.
00:13:00 Alors, les enjeux.
00:13:05 Et voilà un homme que l'on découvre, mine de rien, en Europe.
00:13:10 Dorival Junior, le sélectionneur du Brésil.
00:13:12 Je croyais que c'était Ancelotti, le sélectionneur du Brésil.
00:13:15 Peut-être bientôt, mais effectivement, Ancelotti
00:13:19 qui avait été annoncé pour la Copa América
00:13:22 ou juste après la Copa América, finalement prolongé
00:13:24 avec le Real Madrid.
00:13:25 Il est annoncé d'ailleurs présent aujourd'hui au Bernabeu.
00:13:27 Carlos Ancelotti.
00:13:28 Et les dirigeants brésiliens, le snowgame,
00:13:30 si tu veux mon avis, la porte en retrait, c'est plus sûr.
00:13:33 Et là, il n'allonge pas.
00:13:35 Et c'est une erreur.
00:13:37 Ça passe bien, mais...
00:13:39 L'intervention sur le premier numéro.
00:13:41 C'était tentant quand même pour le gardien
00:13:45 de frapper directement.
00:13:47 On a, ici, Simone, on sentait le Brésilien qui arrivait.
00:13:51 C'était juste, juste.
00:13:52 Toujours cette volonté de partir, tu vois,
00:13:55 au pied, depuis que Guardiola a instauré ça.
00:13:58 Ça existait avant, mais lui, il l'a institutionnalisé,
00:14:00 on va dire.
00:14:01 Mais parfois, c'est peut-être bien d'allonger aussi.
00:14:04 Avec le normand.
00:14:07 Mais oui.
00:14:08 Ça va bien, non ?
00:14:11 Encore Williams.
00:14:14 Et Fabian Ruiz.
00:14:16 Limite hors-jeu.
00:14:17 Ils sont trois dans la surface de réparation.
00:14:19 Daniel Mo était recherché.
00:14:20 Cucouré, là, de nouveau, l'ancien joueur de Brighton.
00:14:22 Le centre en retrait pour Alvaro Morata.
00:14:25 Derrière !
00:14:26 Tentative pour l'Amin Yamal.
00:14:27 La frappe passe au-dessus de la barre transversale de Mento.
00:14:30 Oui, parce que là, Van Deyl, il a un petit peu coulissé.
00:14:35 Alors, il est piégé, puisque les deux joueurs devant lui
00:14:39 ratent le ballon.
00:14:41 Et Yamal, évidemment, qui est sur son bon pied,
00:14:44 le gauche, peut et doit mieux faire.
00:14:46 Bonne alerte.
00:14:48 Et deux rivales juniors.
00:14:50 Qui n'a pas été un grand joueur.
00:14:52 Il a été joueur professionnel.
00:14:54 Il a joué dans certaines équipes, quand même.
00:14:56 Mais il n'a pas marqué l'histoire du Brésil comme joueur.
00:14:59 Ni comme entraîneur, d'ailleurs.
00:15:01 Même s'il a fait beaucoup de clubs.
00:15:03 Et des clubs parfois prestigieux, comme São Paulo, Flamengo.
00:15:06 Mais les entraîneurs au Brésil voyagent beaucoup.
00:15:09 Donc c'est difficile de bien connaître ce football
00:15:12 pour savoir qui est vraiment archi-compétent.
00:15:15 Les écrits ne suffisent pas toujours.
00:15:18 En regardant le CV de Dorival Junior,
00:15:20 on a l'impression qu'il a fait tous les grands clubs du pays.
00:15:23 Oui, mais combien de temps, dans quelles conditions,
00:15:26 est-ce qu'il a gagné avec ces clubs ?
00:15:28 Il avait gagné la Libertadores avec Flamengo il y a deux ans.
00:15:31 Il a des références, c'est vrai.
00:15:33 Mais ça a été une surprise, quand même, de le trouver là.
00:15:36 Tout comme le sélectionneur d'Espagne, aussi.
00:15:39 Gisela Fuente.
00:15:40 Qui, lui, s'occupait des espoirs et des Olympiques.
00:15:43 Ça, c'est déjà vu en France.
00:15:47 Avec Clément Domenech, par exemple.
00:15:49 Mais avec Michel Hidalgo, j'aime autant le dire,
00:15:51 ça avait été une sacrée réussite.
00:15:53 Vous parliez tout à l'heure de la jeunesse,
00:15:56 du vivier de cette équipe d'Espagne.
00:15:58 Oui.
00:15:59 Gisela Fuente a entraîné certains d'entre eux.
00:16:02 Oui, c'est une force aussi, normalement, bien sûr.
00:16:05 Je les connais bien.
00:16:07 Comme Guardiola avait entraîné, Alamasia,
00:16:10 les jeunes du Barça avant de les mettre en équipe première.
00:16:13 Pour beaucoup d'entre eux.
00:16:15 Vous l'êtes tenté par Lucas Paqueta,
00:16:17 qui retrouve la sélection.
00:16:18 Il avait été écarté par Fernando Diniz,
00:16:20 on se souvient de ce transfert avorté du côté de Manchester City,
00:16:23 suite à une enquête qui avait été ouverte sur des paris.
00:16:25 C'était par rapport à ça aussi, pas sur son niveau.
00:16:28 Et il a été très bon à Wembley, d'ailleurs.
00:16:30 Tout comme Guimaraes.
00:16:33 Un junior qui réinstaure tout de suite l'ancien lyonnais dans l'entrejeu.
00:16:36 Avec Nico Williams.
00:16:38 Bon début de match des Espagnols, quand même.
00:16:40 Ils monopolisent un peu le ballon.
00:16:44 Et là, le centre contré, ce sera un nouveau corner.
00:16:47 Ou le premier pour Larranja.
00:16:49 Contré par Rafinha.
00:16:51 Pour l'instant, on attaque souvent côté gauche.
00:16:54 Et ça se termine évidemment à droite.
00:16:56 Sauf ici, puisque c'est un corner.
00:16:58 On sent les Brésiliens.
00:17:01 C'est pas comme contre l'Angleterre.
00:17:03 Où ils étaient moins timides dans le début de match.
00:17:06 Allez, 7 minutes de jeu.
00:17:09 Le corner de Nico Williams.
00:17:10 Il s'est frappé premier poteau.
00:17:13 Ça ne donnera rien.
00:17:14 Dani Carvajal, Fabian Ruiz.
00:17:16 Allez, mettre ce ballon peut-être dans la surface de réparation.
00:17:20 Lamine Yamal.
00:17:21 Ce sera finalement Rodri.
00:17:23 Le maestro de Manchester City, Fabian Ruiz.
00:17:25 Attention, il est capable avec son pied gauche.
00:17:27 De venir trouver une zone dangereuse.
00:17:29 Nico Williams.
00:17:31 La prise à deux.
00:17:33 Et pourtant, Nico Williams, le débordement.
00:17:35 Personne au second poteau.
00:17:36 Danilo ne touchera pas ce ballon.
00:17:37 La remise immédiate de Carvajal.
00:17:39 La relance, mais pour Vinicius, ça sera un petit peu juste.
00:17:42 Ils étaient quatre quand même Espagnols dans la surface de réparation.
00:17:45 Il n'y en a pas un qui est resté au deuxième, voire troisième poteau.
00:17:48 Si ce poteau là existait.
00:17:51 Ils ont plutôt jaillis vers le premier, où ils sont restés dans l'axe.
00:17:54 Et Ruiz, je pense, n'a pas trop regardé avant de s'entrer.
00:17:57 Rodri, trop sûr de lui.
00:18:00 Attention avec Vinicius.
00:18:03 Fabricio Bruno.
00:18:08 Danilo.
00:18:09 Rafinha.
00:18:10 Paqueta.
00:18:11 Il va y avoir ce genre de qualité technique au kilomètre carré.
00:18:16 Normalement, oui.
00:18:17 Dorival Junior.
00:18:22 Il n'a pas l'air ravi, tel un aigle en haut sur sa falaise, de ce qu'il voit vers le bas.
00:18:28 Sur le CV, remporté un premier match avec la sélection brésilienne à Wembley.
00:18:32 Ça, c'est bien.
00:18:34 Si le deuxième match, c'est le dernier, c'est le dernier.
00:18:36 Si le deuxième, tu le perds en Espagne, ça s'équilibre, on va dire.
00:18:39 C'est beau de le gagner aussi.
00:18:41 Avec Vinicius, l'intervention à la faute de Dani Carvajal.
00:18:44 On a l'impression qu'il glissait un peu avant.
00:18:47 Les deux se connaissent bien.
00:18:48 Je ne pense pas que Carnaval, Carvajal, va être trop dur sur son adversaire,
00:18:56 comme il le fait normalement à tous les matchs.
00:18:59 Parce que là, si tu blesses Vinicius, tu vas être trop dur.
00:19:03 Parce que là, si tu blesses Vinicius, tu vas être trop dur.
00:19:06 Avant les matchs contre Manchester City, si tu veux,
00:19:09 ça ne va pas être très bien vu par Ancelotti et les supporters madrilènes.
00:19:13 D'ailleurs, Vinicius qui a été acclamé par le public à l'annonce de son nom,
00:19:19 tout comme Rodrigo, deux joueurs du Real Madrid, ainsi qu'Hendrik,
00:19:22 le jeune joueur de Palmeiras qui rejoindra le Real Madrid à compter du 21 juillet prochain.
00:19:26 21 juillet, car il aura 18 ans et donc, autorisation d'effectuer un transfert international.
00:19:31 Avec Emerick Laporte.
00:19:36 Il court là.
00:19:40 Elle était presque parfaite cette transversale quand même.
00:19:51 Il y a 70 bons mètres de Laporte.
00:19:54 Royamal qui reste bien sur son côté.
00:19:59 Tout comme Williams à l'opposé.
00:20:01 Mais c'est Williams qui est un peu plus souvent sollicité.
00:20:03 Balle au pied, le voici.
00:20:05 Avec Ucurella.
00:20:08 Rodrigue.
00:20:13 Voilà Williams.
00:20:15 Nico Williams qui est un danger pour cette équipe brésilienne.
00:20:18 Le joueur de l'Athletic Club, le centre renvoyé au premier poteau, Ucurella.
00:20:22 Pourtant, il a en face de lui Danilo quand même, qui est un expert.
00:20:27 Bonne expérience.
00:20:29 Royalmal.
00:20:32 Allez, Royalmal va provoquer.
00:20:34 Il en est capable.
00:20:35 Il en est capable.
00:20:36 Le déborder de Rondrefous.
00:20:37 Ah oui, ah oui, ah oui.
00:20:38 Et le défonceur.
00:20:39 Ah ah, est-ce qu'il y a eu contact ?
00:20:41 Tout à l'heure, il a tout sifflé.
00:20:43 Ah ah.
00:20:44 L'intervention de Jean Gomez, non ?
00:20:48 De Jean Gomez, effectivement, sur Royalmal.
00:20:50 Il a sifflé, il a penalti.
00:20:51 Il a penalti, il a penalti.
00:20:52 Il a penalti, oui, oui.
00:20:53 S'il y a contact, c'est sûr.
00:20:54 Et c'est beau parce que il est arrêté quasiment.
00:20:59 Et là, il reprend un peu de vitesse.
00:21:02 C'est délicat quand même, parce que ces attaquants qui vont buter,
00:21:07 qui sautent et qui vont chercher genou contre genou,
00:21:11 pour moi, avec l'avare, je ne peux pas.
00:21:14 Tu vois, il effleure, il s'arrête de toute manière.
00:21:17 Il le sait, mais après, il y a contact.
00:21:19 C'est très difficile.
00:21:21 Je n'aurais pas...
00:21:23 Qu'est-ce que tu en penses ?
00:21:24 Moi, je ne vois pas.
00:21:25 Je trouve que c'est sévère.
00:21:26 C'est très sévère.
00:21:27 Je trouve qu'il n'y a pas.
00:21:28 Au-delà de la sévérité, je vous rejoins, effectivement.
00:21:31 Il y a un peu de vice, beaucoup de vice.
00:21:33 Beaucoup de vice pour un jeune joueur de 16 ans, 17 ans.
00:21:35 Oui, mais tu penses, dès l'âge de 12, 13, 14 ans,
00:21:38 ils sont habitués à ces situations-là.
00:21:40 Danilo, qui est normalement le capitaine du Brésil et l'ancien,
00:21:46 dit deux, trois mots en arbitre, qui est portugais,
00:21:49 donc ils parlent la même langue.
00:21:50 Et c'est Rodry qui va s'y coller.
00:21:52 Rodry, on le disait, qui revient tout juste en sélection
00:21:56 après ce deuil familial.
00:21:59 Et deuxième sélection seulement, donc,
00:22:01 pour le gardien de l'Atlético-Parlanense.
00:22:03 Oui.
00:22:04 Bento.
00:22:06 Bento dans le léchaud, comme le gardien portugais,
00:22:10 tu sais, du légendaire France-Portugal de 84.
00:22:14 Et c'est frappé au milieu pour Rodry,
00:22:17 le capitaine d'un soir qui se remet d'un deuil familial,
00:22:21 qui a fait son retour à l'entraînement pas plus tard qu'hier.
00:22:24 Et c'est lui qui lance la rang-roi sur ce match amical de prestige.
00:22:27 L'Espagnol met 1-0 face au Brésil,
00:22:29 grâce à ce pénalty transformé par Rodry,
00:22:31 son deuxième but en sélection.
00:22:32 Oui, on sent une certaine émotion après le but qui n'est pas dû,
00:22:35 qui a la satisfaction d'avoir réussi ce pénalty.
00:22:39 Il y a beaucoup d'émotion pour tout ce que tu viens d'expliquer, Hamza.
00:22:43 Et il a choisi, quand tu es qui choisis le centre,
00:22:47 il faut que le ballon soit quand même assez haut,
00:22:49 parce qu'il y a toujours le pied des gardiens qui rôde.
00:22:53 Ils le font exprès et comme ils ont une certaine amplitude,
00:22:56 ils sont assez grands, voyez ce pied,
00:22:58 le ballon passe quand même 20 cm au-dessus.
00:23:01 Ça a suffi, il fait mine de l'enrouler.
00:23:04 Et la logique voulait que le gardien parte à droite.
00:23:08 Il y avait donc cette feinte et donc cette émotion particulière pour lui.
00:23:15 On comprend que pour un match amical, c'est plus qu'un but.
00:23:19 Il y a quelque chose de symbolique derrière, pour des raisons personnelles.
00:23:23 On disait à Alvaro Morata, le capitaine de la Roja,
00:23:26 qu'il lui a cédé le brassard de capitaine.
00:23:28 Et peut-être lui a aussi cédé le pénalty.
00:23:32 La grosse faute et il doit y avoir carton jaune.
00:23:34 Et oui, mais il doit y avoir carton jaune,
00:23:36 parce qu'il arrête l'action, Rodry, c'est un match amical.
00:23:38 Alors on met d'autres règles quand c'est amical.
00:23:40 Et souvent, c'est un peu comme ça par rapport à ce genre de gestes.
00:23:43 C'est un peu stupide.
00:23:45 Alors le Brésil, c'est vrai que ce pénalty,
00:23:47 pour moi c'est un peu un pénalty fantôme.
00:23:50 Mais l'Espagne, depuis le début du match,
00:23:55 ils sont quand même aux abords de la surface de réparation brésilienne.
00:23:58 Et ça, c'est pas normal quand même pour la Célescent.
00:24:03 Qui est en pleine confiance en plus, avec sa victoire,
00:24:06 mais aussi sa qualité de jeu dans le match contre l'Angleterre.
00:24:09 Où il manquait quand même Harikén et Saka aussi à droite.
00:24:12 Ça joue, mais quand même.
00:24:14 Il y a beaucoup d'absents côté brésilien, on ne les a pas cités,
00:24:17 mais des joueurs que l'on pourrait imaginer dans l'équipe type.
00:24:19 Alors déjà, il y a les deux gardiens.
00:24:21 Il y en a un qui joue à Manchester City, l'autre à Liverpool,
00:24:23 Ederton et Ederson.
00:24:24 Attention, ça passe Rafinha.
00:24:26 Avec le retour, oui.
00:24:27 Non, pas de problème.
00:24:28 Et puis en défense, Marquinhos est blessé.
00:24:31 Il était convoqué puis finalement blessé.
00:24:33 Eder Militao, on a tendance à l'oublier,
00:24:35 le défenseur de Real qui s'est blessé gravement en début de saison.
00:24:37 Mais comme c'était grave, on sait.
00:24:39 C'est ça.
00:24:40 Et lui aussi fait partie de cette défense.
00:24:42 Gabriel, le jeune défenseur d'Arsenal, est aussi absent.
00:24:45 Casimiro, le joueur de Manchester, était convoqué, lui aussi blessé.
00:24:48 Et puis dans le secteur offensif, Neymar et Martinelli.
00:24:51 Ça fait beaucoup pour cette équipe brésilienne.
00:24:55 Ce qui nous permet de découvrir pas mal de joueurs,
00:24:58 comme on disait sur cette trêve internationale.
00:25:00 Avec Kukurela.
00:25:07 Déjà la Ola, dans le Stade Santiago Bernabeu.
00:25:11 Dani Olmo, Morata, qui réalise une bonne première partie de saison.
00:25:17 Le joueur de l'Atlético de Madrid.
00:25:19 Olmo qu'on n'a pas beaucoup vu, c'était plutôt Ruiz et Rodry.
00:25:22 Et puis après, le jeu était sur le côté, en particulier celui de Williams.
00:25:26 Ça fait que Olmo, qui est un peu derrière Morata,
00:25:30 n'est pas trop sollicité pour l'instant.
00:25:32 Mais ça va venir, j'imagine.
00:25:34 - Amin Yamal, il est capable de rendre fou.
00:25:37 Il a déjà obtenu un penalty.
00:25:39 Regardez, en bas de votre écran, Dorival Junior,
00:25:44 qui demande à son bloc de sortir.
00:25:46 - Oui, il ne doit pas...
00:25:48 - Rodry, entre les lignes, Dani Olmo.
00:25:53 L'intervention de Lucas Berraldo, le défenseur du Paris Saint-Germain.
00:25:55 Et la relance peut-être pour Vinicius.
00:25:58 - Oui, mais c'est pas trop travaillé.
00:26:00 On passe au truc des milieux de terrain, parce que l'Espagne est dominante.
00:26:03 - Et attention, Amin Yamal dans la surface de réparation.
00:26:05 Que va-t-il tenter d'inventer ?
00:26:07 La frappe premier poteau, ce n'est pas cadré pour le jeune joueur du Barça.
00:26:10 - Et même pas contré.
00:26:12 Bon, sa cheville, en tout cas, tient le coup.
00:26:15 - Oui, oui, oui.
00:26:17 - On était un peu inquiets.
00:26:18 - Pas par rapport au penalty, mais par rapport à la première intervention
00:26:20 au bout de 30 secondes de Jean Gomez.
00:26:23 - Une très belle interview de Deva Padou dans le dernier France Football,
00:26:42 justement sur Rodry, qui n'était pas un joueur méconnu.
00:26:45 Enfin, c'est quand même lui qui marque en finale de la Ligue des champions.
00:26:48 Mais petit à petit, il est en train vraiment de se faire un nom
00:26:51 au niveau de l'échec mondial.
00:26:54 - On passe avec Rodrigo.
00:26:56 Oh, il est passé !
00:26:57 Rodrigo droite sur la face de réparation.
00:26:58 Et Vinicius !
00:26:59 - À l'intérieur du prix.
00:27:00 - Et l'intervention d'Unai Simon.
00:27:02 Festival !
00:27:03 Tigné, Rodrigo, Vinicius à la finition.
00:27:05 Deux joueurs du Real Madrid.
00:27:06 - C'est un beau joueur, Rodrigo.
00:27:08 Il est coutumier du fait de réussir dans un trou de souris.
00:27:14 C'est Rudi Rodrigo, il a un petit pont au passage.
00:27:16 Et puis derrière, cette talonnade, mais de la semelle.
00:27:19 Tu vois, pas du talon, enfin pour le coup, cette semellade, on va dire.
00:27:24 Et attention à l'Espagne qui a un peu de champ là.
00:27:26 - Oui, c'est déjà reparti.
00:27:27 Daniel Mo, Lamine Yamal.
00:27:28 - Oui, le match est lancé maintenant.
00:27:30 - Le Brésil est déjà coupé en deux.
00:27:31 Il va falloir faire les efforts défensifs.
00:27:33 Et notamment Lucas Paqueta.
00:27:34 Il est tardé à revenir.
00:27:35 Ainsi que Jean Gomez, Rodrigo, Lamine Yamal.
00:27:40 - Ça passe maintenant à droite.
00:27:41 Ah non, non, il a jailli au premier poteau.
00:27:43 Juste au moment où il a frappé Yamal.
00:27:48 Le ballon est dans les pieds.
00:27:50 On voit en gros plan dans les pieds de Vinicius Junior.
00:27:53 Entre les jambes.
00:27:56 Et Rodrigo ne peut pas le récupérer, ce ballon.
00:27:59 Et tu vois, là, intérieur du pied.
00:28:03 Pas coup de pied.
00:28:04 Et vraiment sur le gardien.
00:28:06 - Est-ce qu'il a le temps de faire autre chose, Vinicius ?
00:28:08 - C'est vrai que ça va vite.
00:28:09 Mais qu'il n'a pas de vitesse, ce n'est pas l'idéal.
00:28:14 Après, certains sont plus grands, parfois.
00:28:18 Et peut-être lui, trois minutes plus tard, il peut faire autre chose.
00:28:21 Mais là, il fallait faire plus.
00:28:24 - Allez, 19 minutes de jeu.
00:28:25 - Ce n'était pas facile, c'est vrai.
00:28:26 - Venez de nous rejoindre sur les antennes du groupe L'Equipe.
00:28:29 L'Espagne accueille le Brésil.
00:28:31 L'Espagne mène en zéro grâce à un penalty transformé par Rodrigo.
00:28:34 - Le match est lancé.
00:28:36 Ça y est, Morata irait pour William.
00:28:39 Ça passe.
00:28:40 Allez.
00:28:41 - La Cucurella qui vient demander, proposer une solution.
00:28:43 Nico Williams tout seul dans la surface de réparation.
00:28:45 Il est passé.
00:28:46 Le joueur de l'Athlétique tout seul.
00:28:47 Jusqu'au bout, à la conclusion.
00:28:49 Ce n'est pas qu'Adriel sans excuses, mais c'était plutôt bien fait.
00:28:52 - Oui, un petit pointu.
00:28:53 Alors, Cucurella part dans son dos, mais il n'en profite pas
00:28:56 puisqu'il choisit aussi.
00:28:58 Il aurait pu, tu vois, revenir au centre.
00:29:01 Je crois que c'est un pointu en bout de course.
00:29:03 Et après, choisir la solution Cucurella.
00:29:07 Les deux, ils sont dans la même zone.
00:29:08 Là, c'est lui, il faut qu'il aille jusqu'au bout.
00:29:10 Il a le nez dans le guidon.
00:29:11 Jamais, il ne peut voir ses partenaires autour de lui.
00:29:14 Et là, c'est quasiment un pointu.
00:29:17 Alors qu'il est à 2,50 mètres des buts.
00:29:19 Il s'en veut.
00:29:20 Et il s'en excuse aussi.
00:29:21 Parce que quelque part, peut-être une passe.
00:29:26 Mais alors, un peu plus tôt, quand tu es lancé comme ça,
00:29:29 il faut être très fort.
00:29:34 Pour avoir aussi une vue périphérique de la situation.
00:29:38 Il fait partie de ces joueurs, Nico Williams,
00:29:41 qui doivent porter cette sélection.
00:29:42 Des jeunes talents qui porteront cette sélection.
00:29:45 C'est un bon dribbler.
00:29:48 Un joueur intéressant.
00:29:50 Son frère est plus finisseur.
00:29:52 Et son frère est ancien, l'international espagnol.
00:29:54 Puisque désormais, il évolue avec le Ghana.
00:29:57 Après avoir compris que la Roja,
00:29:59 ça serait peut-être compliqué pour lui.
00:30:01 Et pourtant, c'est encore bon ratat
00:30:03 qui a 150 ans, qui est à la pointe de l'épée.
00:30:06 C'est un bon joueur, qui aura fait sa carrière.
00:30:08 Formidable.
00:30:09 Mais bon, disons que ça ne laisse pas entendre
00:30:11 qu'il y ait une relève au niveau des avancentes phénoménales.
00:30:13 C'est vrai qu'il y a aussi le remplaçant actuel,
00:30:15 c'est Gérard Moreno, l'attaquant actuel de Villareal,
00:30:18 qui n'avait plus mis les pieds en sélection
00:30:20 depuis plus de deux ans et demi.
00:30:23 C'est vrai peut-être qu'il y a ce manque
00:30:25 au niveau de l'attaquant de pointe.
00:30:27 Comme beaucoup de sélections d'ailleurs.
00:30:32 Rodrigo, à la base, ce n'est pas un avancante.
00:30:34 En France, tu parles encore de Giroud,
00:30:37 qui a 37 ans, etc.
00:30:39 C'est un poste...
00:30:41 Il n'y a pas toujours un vivier phénoménal dans les pays.
00:30:45 Regarde en Allemagne, ça fait un bout de temps
00:30:49 qu'ils n'ont pas eu des derp-bombeurs,
00:30:52 des attaquants fantastiques.
00:30:54 Allez !
00:30:55 Carvajal qui va lancer, Laminia Mal,
00:30:57 profiter de la glissade de Wendel.
00:30:59 Laminia Mal en retrait,
00:31:00 Nico Williams, c'est attention,
00:31:02 c'est un coup de feu !
00:31:04 Oh !
00:31:05 Je le ferai bien, le Ruiz n'est pas cadré.
00:31:07 Ce compte finalement mal négocié
00:31:09 parce qu'il y avait beaucoup d'espace pour Laminia Mal.
00:31:11 C'est vrai que Laminia Mal a été très altruiste.
00:31:13 Je pensais qu'il allait vraiment aller jusqu'au bout.
00:31:17 Parce que pour le coup,
00:31:19 il n'y aura pas de couverture
00:31:20 par rapport à son adversaire direct,
00:31:22 puisque le joueur derrière est obligé
00:31:24 d'aller au premier poteau pour détourner au cas où.
00:31:27 Cela dit, ça reste une occasion
00:31:29 parce que Ruiz est à l'entrée de la surface,
00:31:31 il l'attend, il est un peu raide comme un hibou,
00:31:34 le corps en arrière, bref.
00:31:36 Cela ne pouvait pas amener grand-chose.
00:31:38 22 premières minutes,
00:31:42 avec quelques situations tout de même.
00:31:44 Et là, pour sa deuxième sélection,
00:31:46 Wendel,
00:31:48 avec ce Grêmio et l'Evercusenne,
00:31:50 qui est à Porto maintenant,
00:31:52 avec Yamal, ce n'est pas simple.
00:31:54 Attention, Nico Williams encore,
00:31:56 qui va récupérer ce ballon,
00:31:57 peut-être choisir l'option individuelle.
00:31:59 Oh, à l'entrée de la surface de réparation, bien sûr.
00:32:01 Oui, elle est à l'entrée,
00:32:02 celle-là, il ne va pas s'y faire,
00:32:03 deuxième pénalty, mais il y a faute.
00:32:05 Pour Ruiz, c'est un petit peu à l'intérieur.
00:32:08 La ligne fait office de surface de réparation,
00:32:11 si c'est sur la ligne.
00:32:13 Je ne pense pas que ce soit aussi loin de la ligne.
00:32:15 Moi, je le mettrais à 5 cm de la ligne.
00:32:18 On va mieux apprécier Aesthia au ralenti,
00:32:20 mais c'est Benicius qui se perd
00:32:23 et qui donne un ballon finalement,
00:32:25 involontairement évidemment à Williams.
00:32:28 Je pense qu'on est à l'extérieur.
00:32:31 Oui, à l'extérieur, mais un peu plus proche.
00:32:34 À l'intérieur du demi-cercle, ça c'est sûr.
00:32:37 Ce n'est pas évident à frapper,
00:32:39 si on veut faire passer le ballon au-dessus du mur.
00:32:41 Quand on est trop près comme ça,
00:32:43 c'est sûr que pour que le ballon retombe,
00:32:45 d'ailleurs certains joueurs reculent le ballon
00:32:47 de 1,50 m en général.
00:32:49 C'est ce que va dire Vinicius, je pense.
00:32:51 Regardez ce que vient de montrer Vinicius.
00:32:54 Il y a la marque, effectivement,
00:32:55 quasiment sur la ligne.
00:32:57 Et plus près, curieusement, ce n'est pas une affaire.
00:33:00 Contrairement aux apparences.
00:33:02 Avec les ballons aussi de l'époque peut-être.
00:33:05 C'était plus compliqué le ballon de l'époque.
00:33:07 En feuille morte, il retombe plus facilement, non ?
00:33:11 Pas tant que ça.
00:33:12 Parce qu'aujourd'hui, ils sont flottants.
00:33:15 Platini, c'était des monstres.
00:33:17 Mihajlovic, un peu plus tard,
00:33:20 Paul Moust, un grand technicien.
00:33:22 Il ne faut pas prendre beaucoup d'élan normalement.
00:33:24 Il a tenté de faire passer le ballon au-dessus du mur.
00:33:26 C'est Rodrigo qui sera sanctionné pour avoir poussé,
00:33:29 gilé le mur.
00:33:31 C'est une des nouvelles règles depuis quelques années maintenant.
00:33:34 La difficulté, c'est qu'il faut quand même faire le geste.
00:33:36 Et Olmo, tu vois, qui frappe avec le frein à main.
00:33:39 Volontairement, il ne veut pas accentuer le geste.
00:33:43 C'est un peu mou du genou.
00:33:45 Attention.
00:33:46 Ça repart cette fois côté Brésil.
00:33:48 Mais non, le Brésil, hormis Rodrigo tout à l'heure,
00:33:51 il n'y a pas grand-chose.
00:33:52 Et Vinicius ne passe pas une bonne soirée.
00:33:55 Et il va chercher quelque chose d'extrêmement compliqué.
00:33:58 Il va l'obtenir la touche.
00:33:59 Oui, mais je pense qu'il n'a pas espéré grand-chose de mieux.
00:34:01 Il espérait plus qu'une touche au départ de son accélération quand même.
00:34:07 La remise en jeu pour Wendel avec Rodrigo.
00:34:10 Voilà, pas grand-chose.
00:34:12 Et il saura sanctionner l'Aminiama.
00:34:14 Oui, là, pareil, est-ce qu'il y a contact ou pas ?
00:34:18 Rodrigo, il y a des chances pour qu'il puisse rester debout.
00:34:21 Mais il est tellement fort que non, il n'y a rien.
00:34:23 Alors là, pour le coup, c'est encore plus flagrant que tout à l'heure.
00:34:27 Il n'y a rien.
00:34:28 Et s'il y a but là-dessus, quelque part, ça serait un peu immoral.
00:34:31 Mais le football est immoral parfois aussi.
00:34:34 Alors, Rafinha et son pied gauche ou le pied droit de Rodrigo.
00:34:39 Ça, pour le gardien, évidemment, ça peut le troubler.
00:34:44 Parce qu'un gaucher qui frappe ou un droitier, ce n'est pas la même chose.
00:34:49 Ça ne sera pas les deux en même temps.
00:34:51 C'est interdit.
00:34:52 Il pourrait se faire mal.
00:34:54 Le pied gauche de Rafinha.
00:34:56 Oh, ça va traverser la surface.
00:34:57 Morata dévie légèrement.
00:34:58 Mais pour Morata, ce n'est pas facile parce qu'il court vers le but.
00:35:02 Donc, il ne vaut mieux pas la toucher, entre guillemets, pour éviter un CSC, si tu vois ce que je veux dire.
00:35:08 Regarde, il y va.
00:35:11 Ah ben oui, alors, ce n'est pas Morata, c'est Laporte pour le coup.
00:35:14 Mais Laporte, je pense...
00:35:15 C'est Morata qui dévie, puis Laporte qui dérive.
00:35:17 Laporte qui dérive et qui se mange un peu.
00:35:20 C'est ça, ce que vous dites.
00:35:21 En fait, Laporte entame son geste et avec un ballon dévié, peut-être que le ballon peut toucher le genou, par exemple.
00:35:27 Exactement.
00:35:28 Il ne vaut mieux pas qu'il la touche.
00:35:29 Donc, il a eu un bon réflexe.
00:35:30 Allez, c'est parti.
00:35:33 Oui, à droite.
00:35:34 Allez, peut-être un temps fort brésilien.
00:35:35 Non, le ballon capte.
00:35:36 Ils n'arrivent pas à imposer leur jeu au milieu de terrain.
00:35:39 Je veux dire, avec des joueurs comme Guimares et Paqueta.
00:35:41 C'est chaque fois, au niveau de leurs attaques, de leurs rares attaques, des ballons quand même en profondeur.
00:35:46 Jamais ce jeu de toque, ce jeu brésilien, il n'y a plus de football brésilien maintenant.
00:35:53 C'est perdu, tout ça.
00:35:54 Il faut aller dans la rue au Brésil.
00:35:58 Même pas dans la rue.
00:36:00 Ils jouent avec, oui, certaines rues vraiment très, très populaires.
00:36:04 Mais même les entraîneurs, maintenant, t'imposent, même au niveau des gosses, à jouer à une touche de balle, à pas de dribbler.
00:36:11 Il y a beaucoup de polémiques par rapport à ça au Brésil.
00:36:13 C'est pas mal, Olmo.
00:36:14 C'est pas mal.
00:36:15 Non, non, non.
00:36:16 Mais c'était beau.
00:36:17 C'est un drame.
00:36:21 La défaite du Brésil en 82, suivie de celle en 86, a été une catastrophe pour le football.
00:36:30 Pour le football mondial, pas...
00:36:33 Oui, pour le football mondial.
00:36:34 Et pour le Brésil en particulier.
00:36:35 Et pour le football d'une manière générale.
00:36:38 Parce qu'ils se sont dit, on n'est pas assez costaud, on n'est pas assez réaliste, on n'est pas...
00:36:42 Et ils ont perdu leur valeur.
00:36:44 Et au lieu de prendre ce qu'il y avait de bon chez l'européen, ils ont tout pris.
00:36:48 Et d'autant plus que, dans le football actuel, on le voit avec Hendrick qui arrive à 18 ans.
00:36:54 Autrefois, les grands joueurs brésiliens jouaient, restaient au Brésil ou partaient tard.
00:36:59 Aujourd'hui, ils jouent en Europe de plus en plus tôt.
00:37:02 Et donc, on les fait jouer à l'européenne.
00:37:05 Et pour avoir une chance d'aller en Europe, il faut qu'ils jouent au Brésil aussi à l'européenne.
00:37:10 C'est un cercle vicieux.
00:37:12 Oh, l'Aminiamal ! Oh, l'Aminiamal !
00:37:14 Qu'est-ce qu'il est en train de nous faire face à Jean-Gobain, face à Trochet, face à Messi, face à Berraldo...
00:37:18 Quelqu'un est en vol.
00:37:20 Mais on ne peut pas lui en vouloir.
00:37:22 Le retour inextrémiste de Lucas Berraldo après s'être fait éliminer par l'Aminiamal.
00:37:27 C'est magnifique. Il est tout seul et il le sait.
00:37:29 Magnifique roulette ici.
00:37:32 Mais quand il passe le deuxième joueur, il regarde et il n'y a personne.
00:37:35 Tu vois, c'est Olmo qui arrive, mais tard.
00:37:39 Mais là, on voit qu'au départ, effectivement, il y a Morata, donc lui, il ne sera pas.
00:37:42 Mais Ruiz, Olmo et Williams surtout.
00:37:45 Williams doit mettre un sprint en diagonale et être dans cette surface de réparation.
00:37:50 Ce qui fait qu'après, il y a mal.
00:37:51 Et d'ailleurs, c'est ce qui...
00:37:53 Alors bon, là, il se met peut-être un corner qui demande, en l'occurrence, de s'en plaindre auprès de ses partenaires.
00:37:58 Mais ça pouvait être ça aussi.
00:38:00 Parce que là, Williams, Olmo et même Ruiz, qui se projettent un peu plus que Rodry,
00:38:07 ils doivent être dans la surface de réparation et ils la donnent tranquille.
00:38:11 Au Brésil, il y a le feu, hein Hamza ? Je suis un peu inquiet.
00:38:16 Effectivement, cette équipe brésilienne, pour revenir sur ce que vous disiez, le style,
00:38:20 on pensait peut-être qu'avec Fernando Diniz, puisqu'on l'a vu avec Fluminense, il a emmené Fluminense au sac continental en Libertadoresse.
00:38:26 Oui, mais lui, il avait un jeu qui se...
00:38:28 Souviens-toi qu'il était un peu enfant de la balle de Telecentana.
00:38:31 Telecentana, sélectionneur en plastique de 82-86 et champion du monde avec le Sao Paulo, de Rai, Pallinha, Carrefour.
00:38:39 Leonardo n'était pas à ce match-là à Tokyo, mais était aussi l'arrière-gauche de Telecentana avec le Sao Paulo Football Club à un moment.
00:38:47 C'était toute autre chose.
00:38:50 On va suivre d'abord cette attaque avec Rodrigo, parce qu'il y a une possibilité de réaction peut-être pour le Brésil.
00:38:55 Le jeu à trois, c'est bien fait.
00:38:56 Rodrigo dans la surface de réparation.
00:38:58 Il a fermé la porte.
00:38:59 Carvajal a fermé la porte avec son épaule.
00:39:02 Il s'est bloqué et ça reste correct.
00:39:04 Rien à dire.
00:39:05 Il a été obligé de coulisser.
00:39:07 Là, il hésite parce qu'il y a Vinicius.
00:39:09 Là, il sait qu'il est battu et c'est maintenant qu'il fait l'effort.
00:39:12 Et il met le petit coup d'épaule au bon moment.
00:39:14 Et c'est vraiment un épaule contre épaule.
00:39:15 Ça repart déjà de l'autre côté avec Cucurella, Nico Williams.
00:39:18 Et encore, pas grand monde dans la surface de réparation.
00:39:20 Personne, même dans la surface de réparation.
00:39:22 Mais là encore, le ballon est loin, donc on peut préparer l'action.
00:39:25 Mais tout à l'heure, c'était flagrant que Yamal allait aller jusqu'à la ligne de but.
00:39:29 Il y a demi-heure de jeu.
00:39:30 Lamine Yamal repris par Hendel.
00:39:32 Et attention avec Vinicius, c'est une transition.
00:39:34 Il aime ce type de situation.
00:39:35 Mais regarde, tous les Brésiliens sont derrière, hormis un joueur.
00:39:37 Il est condamné à l'exploit individuel.
00:39:39 Ça doit être un final.
00:39:40 Vinicius fait l'excellent recours de la part de Robin Le Normand.
00:39:43 C'est Rodrigo peut-être.
00:39:45 Il n'y avait qu'un.
00:39:46 Tu vois, tous les autres Brésiliens sont 15 mètres derrière.
00:39:49 Parce qu'ils se propulsent aussi vers l'avant.
00:39:51 Et ils n'arrivent pas à poser le jeu et à avancer par petites touches.
00:39:55 On est loin des Falcao, Zico, Socrates, Cerenzo, Junior.
00:40:01 Ils te mangent le ballon, tu vois.
00:40:02 Ils te mangent le cerveau.
00:40:03 Et ils progressent.
00:40:04 C'est fantastique.
00:40:05 C'était fantastique.
00:40:06 Vous parliez tout à l'heure très rapidement de Tele Santana et de São Paulo.
00:40:10 Je vous invite.
00:40:11 Marcelo Bielsa, on lui avait posé la question lorsqu'il était entraîneur de Leeds United.
00:40:15 Il avait des étoiles dans les yeux.
00:40:16 Parce qu'on le rappelle, son New Wales a perdu en finale de Libertadores.
00:40:19 Au tir au but.
00:40:21 Et il avait des étoiles dans les yeux en citant tous les joueurs qu'il y avait dans cette équipe de São Paulo.
00:40:25 Et au tir au but, il perd.
00:40:26 C'est beau.
00:40:27 En aller-retour au Mont Blanc.
00:40:29 Et après, des gens vont te dire "Il a rien gagné Bielsa, nia nia nia nia nia".
00:40:32 Allez, vous jetez à la mer.
00:40:34 Il a mis de l'amal.
00:40:36 Carvajal.
00:40:38 En tout cas, sur cette première demi-heure, la maîtrise est clairement espagnole.
00:40:42 Le joga bonito est rouge.
00:40:44 Il est en rouge.
00:40:45 Avec le normand.
00:40:46 Le joga catastrofico est oriverde, curieusement.
00:40:52 La porte.
00:40:55 Première intention, non.
00:40:58 Nico Willens préfère quand même contrôler ce ballon alors que Fabien Nrouis avait proposé une solution.
00:41:02 Cucurella à Rodry.
00:41:03 Oui, il se projette un peu Fabien Nrouis.
00:41:05 C'est sûr que pour lui, c'est une bonne chose que Luis Enrique soit arrivé au PSG.
00:41:09 Rodry.
00:41:13 Ils se comprennent au niveau football.
00:41:18 Avec un autre entraîneur, c'est souvent en plaçant, à mon avis, peut-être.
00:41:23 Fabien Nrouis et Paquetta.
00:41:28 Après, Paquetta est coquin aussi, mais Nrouis ne doit pas avoir cette réaction.
00:41:35 Il y a un arbitre pour ça.
00:41:37 C'est sous ses yeux.
00:41:38 Et même s'il ne le voit pas, ça fait un peu niveau division d'honneur.
00:41:42 Tu vois, là, tu as quand même Brésil, Espagne, Ruisse.
00:41:46 Il a combien de sélections, Ruisse ?
00:41:48 Enfin, je veux dire, il a une très grosse expérience.
00:41:51 Il ne tombe pas du ciel.
00:41:53 Tu vois, ce n'est pas son premier match international.
00:41:57 Mais là, pareil.
00:41:59 Bon, c'est bien qu'il fasse la morale tranquille, l'arbitre.
00:42:03 Mais le jaune, il est pour Fabien Nrouis.
00:42:06 Alors ?
00:42:07 Alors, évidemment.
00:42:08 Et en plus, ce n'est pas l'attentat du siècle, je veux dire.
00:42:12 Mais je te dis, il y a un règlement pour les matchs internationaux,
00:42:16 pour les matchs amicaux.
00:42:17 C'est ridicule.
00:42:19 Il faut qu'il tienne son match.
00:42:20 Antônio Nobre, on rappelle, c'est un arbitre qui a été appelé à la dernière minute.
00:42:24 Le portugais en remplacement de...
00:42:26 Après, le match, il est correct.
00:42:27 Ça va.
00:42:28 Même ma grand-mère, elle arbitre ce match.
00:42:30 Il n'y a pas de souci.
00:42:32 Mais ce genre de choses, ils ne doivent pas laisser passer.
00:42:37 Comme si c'était une petite réaction épidermique.
00:42:39 Mais elle n'a pas dû l'être.
00:42:40 Et la relance avec Robin Le Normand.
00:42:42 Parvahal.
00:42:44 Rodry.
00:42:45 La plaque tournante depuis la retraite internationale de Bousquet.
00:42:48 C'est lui qui a pris ce rôle.
00:42:50 Oui, absolument.
00:42:51 Et d'ailleurs, dans cette...
00:42:52 Attention, William, s'il est passé peut-être.
00:42:54 Quelle ouverture.
00:42:55 Bien joué.
00:42:56 Il y avait de l'idée.
00:42:57 Et peut-être même parce que le gardien était resté assez près de ses buts.
00:43:02 Il y avait peut-être plus d'espace encore pour la mettre plus profonde.
00:43:05 Avec la récupération de la paire de balles de Danilo.
00:43:07 Fabien Norwitz.
00:43:08 Big Po Williams.
00:43:09 Daniel Mo.
00:43:10 Peut-être recherché.
00:43:11 Et l'intervention de...
00:43:12 Le retour surtout de Bruno Guimares.
00:43:14 Petit extérieur de Williams.
00:43:15 Mais un peu timide.
00:43:16 Fabrizio Bruno.
00:43:19 Joueur inconnu en Europe.
00:43:21 Mais qui a quelques références au Brésil.
00:43:24 Puisqu'il est défenseur central de Flamengo.
00:43:26 Bien sûr.
00:43:27 Attention.
00:43:28 Ça peut être dangereux là.
00:43:29 Parce que là, Le Normand, il met la jambe très haute.
00:43:33 Premier carton de la soirée.
00:43:34 Oui.
00:43:35 Oui, parce qu'il est en retard.
00:43:36 Il ne maîtrise pas.
00:43:37 Ce n'est pas une semelle.
00:43:38 Ce n'est pas violent.
00:43:39 Mais c'est quand même très haut.
00:43:42 Et quand il arrive en retard...
00:43:44 Ah oui.
00:43:48 Et puis il y a quand même contact.
00:43:49 Et puis à l'arrivée, ça devient une semelle.
00:43:50 Oui.
00:43:51 Oui, oui, oui, oui.
00:43:52 Oui.
00:43:53 C'est plus que ça.
00:43:54 Moi, je ne pensais pas qu'il le touchait de la sorte.
00:43:56 Vinicius.
00:43:59 Pourquoi pas une douleur ?
00:44:01 Ah, Paqueta, maladresse technique.
00:44:03 On ne cite pas trop Guimaraes.
00:44:06 Par rapport aux vagues de la Loja, il est dans un rôle où il ne peut pas trop se distinguer.
00:44:13 Où il subit.
00:44:14 Il doit un peu colmater.
00:44:15 Il y a tellement de brèches.
00:44:16 Il ne doit pas beaucoup se faire plaisir.
00:44:19 À l'Espagne, on a vu Luis de la Fuente qui a été un peu déçu.
00:44:24 Luis de la Fuente qui prépare son championnat d'Europe avec une poule bien corsée dans un euro à 24.
00:44:31 Avec la Croatie, l'Italie et l'Albanie.
00:44:33 Oui, il y a deux gros.
00:44:35 Vinicius, il est lancé avec un pied.
00:44:37 Et là, ici, il laisse traîner et il est jaune.
00:44:39 Oui.
00:44:40 Bien sûr.
00:44:41 Et là, Vinicius, pareil.
00:44:43 C'est un joueur...
00:44:45 Il n'a pas le jaune, là ?
00:44:46 Je pense qu'il n'a pas sifflé faute.
00:44:47 Il n'a pas sifflé faute.
00:44:48 Alors, pareil.
00:44:49 Est-ce qu'il le touche ?
00:44:50 Parce qu'il sait qu'il a perdu.
00:44:51 Il sait qu'il a perdu.
00:44:52 Est-ce qu'il le touche ?
00:44:53 Parce qu'il sait qu'il a perdu le ballon, là.
00:44:55 C'est la fin de son élan.
00:44:56 Et oui, et la fin de son...
00:44:57 Et il ne s'arrête pas.
00:44:58 Et il est très critiqué par rapport à ça, Vinicius.
00:45:02 C'est un joueur un peu...
00:45:04 Tu vois quand même...
00:45:06 Qui bien souvent est à la limite et au-delà de la limite au niveau de l'état d'esprit, quand même.
00:45:13 Attention, l'éclat.
00:45:14 Oh, il y a une erreur de Bruno Guimares sur cette relance de Bento.
00:45:19 Oh, là, là, là.
00:45:20 Il va passer loin du 2-0.
00:45:22 Mon Dieu.
00:45:23 Et le voilà, Bento, le gardien de l'Atlético Paranaense.
00:45:27 24 ans.
00:45:28 Dans le lait chaud, il y était.
00:45:29 En plus, le lait brûlant.
00:45:31 Mais attention, parce que le Brésil se retrouve...
00:45:33 Oui, mais Rafinha, il ne fait pas grand-chose.
00:45:35 Rafinha, Rafinha, Rafinha...
00:45:37 Et après...
00:45:38 Oui, Vinicius, derrière le Normand.
00:45:40 Un peu en catastrophe.
00:45:41 Il dégage ce ballon.
00:45:42 Et attention à cette transition.
00:45:43 Ça peut aller très vite.
00:45:44 Ils sont en supériorité numérique.
00:45:46 Le TGV est parti.
00:45:47 Il y aura 4 Espagnols.
00:45:48 La mini a mal, la mini a mal, la mini a mal, il est à mal.
00:45:51 On n'a même pas eu le temps de voir le ralenti de la grosse situation espagnole tout à l'heure.
00:45:57 Ce n'est pas fini.
00:45:58 Allez.
00:45:59 Daniel Mo.
00:46:00 Oh, le petit pont de Daniel Mo.
00:46:02 Oh, oui.
00:46:03 Oh, Daniel Mo.
00:46:05 Quel but exceptionnel de la part du joueur de Rasenball Sport Leipzig.
00:46:11 Daniel Mo, il s'est cru au quartier avec ce petit pont exceptionnel.
00:46:15 Oh, c'est un but qui va faire entrer clairement dans la légende de cette nouvelle génération espagnole.
00:46:23 Le 8e en sélection.
00:46:24 2-0 pour l'Espagne face au Brésil grâce au coup de génie, à la maestria de Daniel Mo.
00:46:31 Un magnifique extérieur du pied, effectivement.
00:46:35 Un geste dans les 5, dans la rue.
00:46:39 C'est un peu le football de rue.
00:46:41 Voilà.
00:46:42 Il n'est pas hors-jeu, j'espère pour lui.
00:46:44 Il a le temps de se retourner.
00:46:46 Et derrière, il enchaîne.
00:46:48 Il a un petit contre favorable devant, je crois que c'est Guimaraes à qui rien ne sourit.
00:46:54 Aujourd'hui, Guimaraes doit prendre ce ballon.
00:46:57 Et là, c'est terrible.
00:46:59 Alors, évidemment, pour le pauvre Beraldo Pecher du PSG, qui lui aussi honore sa 2e sélection.
00:47:07 Ça fait mal.
00:47:08 Mais derrière, Guimaraes doit être présent.
00:47:11 Il est beaucoup trop sûr de lui.
00:47:12 Et après, pour Olmo, c'est facile.
00:47:15 L'action où il y avait 4 Espagnols parce que les autres n'ont pas suivi.
00:47:19 Et il y avait 5 Brésiliens.
00:47:21 Mais il me semble que c'est encore un ballon perdu bêtement aux alentours de la surface de réparation.
00:47:25 Est-ce que c'est Rodrigo Rafinha qui est parti dans des dribbles totalement impossibles ?
00:47:31 Et le Brésil est bien bousculé.
00:47:34 Et le score par rapport à ce qu'on voit est assez logique.
00:47:38 Yamal est intéressant quand même parce qu'il dribble beaucoup, il tente des choses.
00:47:43 Mais après, il a un jeu simple et très collectif.
00:47:46 C'est lui qui fait la passe à Olmo là, alors qu'il peut aussi tenter quelque chose.
00:47:51 Je pense que peut-être Aminixius Junior en face, je ne sais pas s'il la donne de manière aussi simple que ça.
00:47:59 Il y a des joueurs qui sont un peu plus...
00:48:01 Lui, il réussit à trouver le bon rythme entre les deux.
00:48:06 Entre provoquer et donner.
00:48:09 C'est discutable, ça va, il va se relever.
00:48:12 Et la relance.
00:48:14 Quel but ! Quelle inspiration !
00:48:17 Il faut avoir un grain dans le cerveau pour tenter ça sur Lucas Berraldo.
00:48:24 Oui, mais il faut aussi que les joueurs d'en face le permettent.
00:48:30 C'est magnifique s'il fait aimer.
00:48:32 Quand il reçoit la balle, qu'il ait le temps de se retourner et d'être face au jeu.
00:48:37 Parce qu'il est dos au jeu quand il la reçoit.
00:48:39 Et qu'il se retourne et que Berraldo est encore à 1 mètre.
00:48:42 Et qu'il fasse un coup un peu de l'élastique.
00:48:45 Parce qu'avec le pied tac tac et après entre les jambes.
00:48:47 Je ne parle même pas de l'intervention ratée de Guimaraes.
00:48:50 Ça montre que Berraldo, Luis Enrique, quand il voit ça, il doit avoir quand même des petites sueurs froides.
00:48:56 Et se dire évidemment c'est un bon joueur et un joueur en devenir.
00:48:59 Mais aïe aïe aïe, ça ne doit pas exister à ce niveau là quand même.
00:49:04 Mais c'est beau et fantastique.
00:49:07 On le rappelle Berraldo qui fait partie de ces nombreux joueurs sur cette trêve internationale.
00:49:11 A découvrir la sélection comme Bento le gardien.
00:49:13 La charnière centrale, Lucas Berraldo et Fabrizio Bruno aussi découvrent le niveau international.
00:49:18 Wendel, le latéral gauche de Porto, fête sa deuxième sélection et a fêté sa première à Wembley.
00:49:24 Jean Gomez, attention avec cette erreur.
00:49:26 Et attention le long piqué, c'est magnifique.
00:49:28 C'est incroyable.
00:49:29 C'est magnifique, quelle erreur.
00:49:30 Quelle erreur d'Unai Simon et c'est Rodrigo, l'enfant du Real Madrid, l'enfant de Bernabéu qui relance le Brésil.
00:49:38 Alors 2 ans ce n'est peut-être pas mérité au vu de la physiognomie de cette première période.
00:49:42 Mais il faut parfois aussi profiter des erreurs adverses.
00:49:45 Oui alors il y avait une erreur dans le même genre tout à l'heure avant le deuxième but.
00:49:49 Mais elle était brésilienne entre Guimaraes, le gardien etc.
00:49:53 Qui n'avait pas été exploité par l'Espagne.
00:49:55 Et là c'est incroyable, il a tout le temps le fameux jeu au pied.
00:50:00 Tu vois je te la donne, je te la redonne et je te la redonne encore.
00:50:03 Et résultat des courses, il ne nous fait pas une Donnarumma, ce ne serait pas gentil pour le gardien italien.
00:50:08 Mais à force maintenant tu vois il top la balle en fait, elle ne part pas.
00:50:12 Et Rodrigo il a anticipé cette balle qui était pour Fabian Ruiz.
00:50:16 Et ce jeu, il enclenche souvent des fautes de la sorte et des buts un peu gros.
00:50:23 Oh la reprise de volet !
00:50:25 L'aimé Silier Rodrigo, quel arrêt exceptionnel de Pinto.
00:50:28 Alors avec beaucoup de réussite, parce qu'il est sur la trajectoire du ballon.
00:50:32 Au départ il y a peut-être un hors-jeu, l'arbitre a sifflé.
00:50:34 Peut-être sur la frappe de Rodrigo, il est hors-jeu.
00:50:36 Ah après d'accord oui.
00:50:37 Notre ami José Mourata.
00:50:38 Là ça va, boum sur la frappe et après elle va revenir sur un joueur qui se trouve en position de hors-jeu.
00:50:43 Mais s'il y a but là, mais elle est sur lui quoi.
00:50:45 Elle est sur lui.
00:50:47 Elle n'est pas parfaite puisqu'elle est sur lui.
00:50:49 Le geste, oui, il n'y a rien à dire.
00:50:53 C'est un match, j'espère que devant vos écrans vous prenez du plaisir.
00:50:59 Parce qu'il y a pas mal de belles choses.
00:51:02 Et là, Rodrigo se mêle sur Rafinha.
00:51:08 Sur les côtés, Rafinha et Vinicius.
00:51:14 Alors ils n'ont pas été aussi sollicités dans les meilleures conditions comme l'ont été Williams et Mourata.
00:51:18 Williams et Yamal, vis-à-vis l'Espagnol bien sûr.
00:51:22 Mais quand même, il y a eu un pénalty fantôme et là c'est deux trains fantômes sur les côtés.
00:51:29 On va voir en deuxième mi-temps ce que ça donne.
00:51:32 Mais pour l'instant, il n'y a que Rodrigo qui seul a réussi à se démarquer de certaines choses.
00:51:38 Et on le retrouve Rodrigo.
00:51:39 Presque oui.
00:51:40 Oh là là, Daniel Mo avec en plus de la réussite.
00:51:44 Il a même la réussite pour prendre le meilleur sur Fabrizio Bruno.
00:51:49 Mais le retour de Lucas Beraldo.
00:51:51 Et ça change désormais entre Laporte et Guimaraes.
00:52:01 Et l'écart compte pour les deux.
00:52:02 Laporte et Guimaraes.
00:52:03 La charnière centrale espagnole sous la menace d'une explosion.
00:52:08 Parce que le Normand a déjà été averti.
00:52:15 Exact.
00:52:16 Je pense qu'en deuxième mi-temps, il va nous mettre quand même le petit génie de Barcelone.
00:52:22 Ou Barci.
00:52:23 Oui.
00:52:24 Enfin, à terme, il va prendre la place de Laporte qui évolue, on le rappelle, en Arabie Saoudite.
00:52:30 Donc ce n'est pas toujours l'idéal aussi puisque ce n'est quand même pas le football de très très haut niveau.
00:52:37 Et tout le monde en Espagne en tout cas dit que prochainement, ça va être le petit phénomène.
00:52:42 Daniel Mo avec Nico Williams.
00:52:46 L'Amin Yamal sollicitait le ballon dès le départ de l'action puisqu'il était tout seul.
00:52:50 Olmo est un peu un 10 à l'ancienne.
00:52:53 C'est un 9,5 mais aussi 10.
00:52:56 Enfin, il y a les 10 qui sont plus bas.
00:52:58 Oui, c'est Audrey, les premières rampes de lancement.
00:53:00 Mais Olmo participe quand même beaucoup au jeu.
00:53:03 Il essaie de se placer entre les lignes.
00:53:05 On ne voit pas beaucoup Morata du coup.
00:53:07 Nico Williams repris par Danilo.
00:53:12 Laporte, le pauvre, il n'a rien demandé.
00:53:25 Attention Audrey.
00:53:29 Ça se voit bien avec la faute de Jean Gomez.
00:53:35 C'est le terrain de Wolverhampton.
00:53:38 Allez, Bento dont le nom avait été associé à l'Olympique Lyonnais il y a un peu plus d'un an.
00:53:52 Il s'est tourné vers un autre gardien brésilien, Lucas Péry.
00:53:55 Amin Yamal, attention.
00:53:58 Que va-t-il nous inventer ?
00:54:00 L'extérieur, pas mal.
00:54:01 Il y avait deux Espagnols derrière quand même.
00:54:04 Vendel, ballon sorti.
00:54:07 Ce sera la première pour la Roja.
00:54:10 Après Vendel, il me paraît un petit peu tendre sur ce match.
00:54:22 En tout cas, il n'ose pas le prendre de très près.
00:54:26 Yamal qui a l'art aussi sans doute de se positionner, de se démarquer.
00:54:31 C'est une force aussi.
00:54:33 Comme tous les attaquants de Barcelone, toujours créatifs, il doit avoir un QI football largement au-dessus de la moyenne.
00:54:39 Le corner de Yamal.
00:54:41 Derrière la tentative.
00:54:43 C'était plus une aile de crapaud que de pigeon.
00:54:45 Mais dans ces conditions, ce n'était pas facile aussi puisqu'il est arrivé le normand.
00:54:50 Gérard.
00:54:52 La frappe de Carvajal qui passe à côté.
00:54:54 On revoit le but.
00:54:56 Dans l'idée, cette deuxième passe pour Fabian Ruiz, elle n'est pas mauvaise, mais c'est vraiment la qualité technique.
00:55:01 C'est la passe qui est ratée.
00:55:03 Il faut être sûr de son coup, bien sûr.
00:55:05 Dans l'esprit, c'est ce qu'il faut faire par rapport à ce jeu.
00:55:08 Mais la moindre petite erreur, comme on dit dans le milieu, se pécache.
00:55:13 Je rassure tout le monde.
00:55:16 Je sais que c'est Robin le normand.
00:55:18 Si j'ai dit Gérard, c'était voulu.
00:55:20 On en restera là.
00:55:21 C'est la mi-temps à Bernabeu.
00:55:23 Deux buts, un pour l'Espagne face au Brésil.
00:55:25 On se régale.
00:55:26 On a assisté à 45 premières minutes de qualité avec des occasions de part et d'autre.
00:55:30 Rodrigo Buter à la 12e.
00:55:32 Daniel Mo, un coup de génie.
00:55:34 36e minute avec un très bon la minimal.
00:55:36 Puis Rodrigo à la 40e.
00:55:38 Le joueur du Real Madrid sur une erreur.
00:55:40 Vunay Simon permet au Brésil quand même d'être à portée de tir.
00:55:43 Deux buts, un pour l'Espagne face au Brésil.
00:55:45 Score logique au vu de la physionomie de la période.
00:55:50 Oui, on ne veut plus logique.
00:55:52 Deux buts d'écart.
00:55:53 Mais mon petit doigt me dit que ce n'est pas possible que le Brésil ne réagisse pas.
00:55:59 Pour ce faire, après, il va falloir que dans l'envie, d'un point de vue tactique aussi,
00:56:06 jouer plus en bloc.
00:56:08 Je les trouve assez loin les uns des autres.
00:56:11 Ils sont incapables de garder le ballon au milieu de terrain et de préparer les actions.
00:56:16 D'ailleurs, leur but, s'il y aurait pu avoir un but de Vinicius Junior sur un expo individuel de Rodrigo,
00:56:22 il y a eu un but sur une erreur monumentale de Vunay Simon.
00:56:25 Mais sur des actions franchement travaillées, le Brésil n'y arrive pas.
00:56:30 Alors que pour l'Espagne, c'est beaucoup plus cohérent.
00:56:32 Les statistiques sont claires.
00:56:33 Deux tiers pour le Brésil, neuf pour l'Espagne.
00:56:35 Domination espagnole sur cette première période.
00:56:37 Deux buts, un pour la Roja.
00:56:38 On se retrouve dans un peu moins d'un quart d'heure pour la suite de cette rencontre amicale entre l'Espagne et le Brésil.
00:56:44 Allons-y.
00:56:46 C'est parti.
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01:10:01 Et nous sommes de retour à l'estadio Santiago Bernabeu, toujours de
01:10:07 Buzin, pour l'Espagne face au Brésil avec un changement qui se prépare du
01:10:11 côté de la Célestin Ro, l'apparition d'un joueur que l'on va avoir le plaisir de
01:10:16 connaître lors des prochaines années sur le continent européen, qui évolue
01:10:20 encore au Brésil, qui est considéré un peu comme la Minyamal, mais côté
01:10:24 brésilien comme le futur crack du football national et peut-être même
01:10:28 mondial. Le voilà, c'est Hendrik, le jeune attaquant de 17 ans, buteur, le jeune
01:10:33 buteur de l'histoire du football à Wembley. Rendez-vous compte, 17 ans à peine
01:10:37 pour Hendrik qui va faire son apparition. Alors l'identité du sortant, on a vu
01:10:42 Rodrigo, on a vu Vinicius, pour ne rien vous cacher, Didier Roussan avait
01:10:47 pronostiqué sur une sortie de Rafinha et ça semble être le cas. J'aurais dû
01:10:50 miser même plus, pour tout te dire. Oui, Rafinha a été inexistant, Rodrigo se
01:10:56 poste sur le côté droit, c'est plutôt le sien, il y est à l'aise. Hendrik, la
01:11:03 petite merveille qui va rejoindre le Real Madrid, donc cette attaque
01:11:07 brésilienne, ça sera avec, en rajoutant Mbappé, oh, il y a d'autres changements.
01:11:12 Yann Couto, Guimares s'est remplacé. Yann Couto fait son apparition, alors
01:11:19 Yann Couto c'est le latéral droit de l'équipe révélation du championnat
01:11:24 espagnol, en l'occurrence Giron, et Andreas Pereira également fait son
01:11:28 apparition, ça c'est André, le joueur de Fluminense, donc on part sur quatre
01:11:32 changements quand même du côté du Brésil. Oui, mais par rapport à la première
01:11:35 mi-temps qu'on a vu, c'est pas la surprise du siècle, Hamza. Il fallait faire
01:11:40 quelque chose, quelque chose doit être dans l'état d'esprit, dans la tactique,
01:11:45 mais aussi au niveau des joueurs, et comme tu peux changer beaucoup de joueurs
01:11:51 désormais, il faut le faire. Et voilà donc l'apparition du joyau du football
01:11:57 brésilien, du phénomène mondial, Hendrik, l'attaquant de Palmeiras qui
01:12:02 remplace Rafinha, coup d'envoi dans quelques secondes, et c'est reparti
01:12:05 justement pour cette seconde période, 2 buts 1 pour l'Espagne face au Brésil,
01:12:09 à l'Estadio Santiago Bernabéu, avec quatre changements pour Dorival Junior,
01:12:14 le sélectionneur brésilien qui nous offre au moins 45 minutes d'Hendrik,
01:12:19 le jeune attaquant de Palmeiras, âgé de 17 ans. Prise de risque de bento payante.
01:12:26 Alors il y a le couteau, poste pour poste, évidemment à la place de Danilo,
01:12:33 attention avec ce nouveau ballon perdu. Il y a le couteau justement qui vient d'entrer
01:12:36 en jeu, il m'éclaporte. Oui, le retour, et attention au contre avec Hendrik,
01:12:42 Vinicius, les deux futurs coéquipiers de Valery, Vinicius, la surface de réparation,
01:12:48 tout seul peut-être, Vinicius pied droit, non, pied droit, avec Hendrik le premier
01:12:52 ballon, et derrière, plaqué, taaal, le pied gauche, ça passe à côté,
01:12:55 du poteau, le poteau, le ballon, le ballon, il a eu le même ballon à Wembley,
01:12:58 ça avait tapé le poteau, et là cette fois sur ce contre, Yamal s'est fait piéger,
01:13:06 et Vinicius a beaucoup, beaucoup de champs, l'intervention de Le Marchand
01:13:10 est très très bonne, parce qu'il attend, et il attend, et après Paquetta,
01:13:16 et la reprise ratée, mais Vinicius a trop tardé, et après il est venu presque
01:13:23 s'empaler sur le défenseur de Real Sociedad, Vinicius qui n'a pas eu les bonnes
01:13:29 sensations déjà en première période, et bien là, rate une super possibilité,
01:13:36 parce qu'il doit éliminer, il a éliminé beaucoup plus tôt, et en se jetant pas,
01:13:41 et en faisant juste écran, Le Marchand à un moment, il aurait fallu qu'il intervienne,
01:13:45 mais ce moment là, c'est Vinicius qui est allé buter sur lui, donc ça s'est resserré,
01:13:49 attention, et Hendrik qui avait raté le ballon.
01:13:52 - Donc on a vu la sortie de Bruno Guimares, converti en première période,
01:13:57 poste pour poste à la place d'André, joueur de Fluminense,
01:14:02 et qui s'inspirera à la place de Jean Gomes.
01:14:04 Passé, Morata à l'extérieur, c'est pour Nico Williams, et attention à Rodrigo,
01:14:11 ça passe juste à côté du poteau droit de Bento, mais si ça passe à côté,
01:14:15 c'est parce que c'est dévié, et ce sera un corner pour Larroja.
01:14:19 - Rodrigo qui a l'art de sentir ce genre d'action, pour s'intercaler,
01:14:25 il est beaucoup plus buteur, on va dire, il n'y a pas un petit orgeau au départ,
01:14:30 de Morata, à voir, et beaucoup plus finisseur que ne l'était Busquets,
01:14:36 voilà, il est sur ses deuxièmes ballons très souvent,
01:14:40 non, donc ballon détourné, corner pour Williams.
01:14:43 - Oh la combinaison !
01:14:46 - Et comme elle vient... - Oh la combinaison Carvajal !
01:14:49 Et l'arrêt en deux temps de Bento, ce sont des situations
01:14:52 que l'on voit assez rarement dans le football,
01:14:54 et pourtant ça peut déséquilibrer toute une défense.
01:14:58 - Et puis il le fait exprès, Williams, il n'y a pas de problème,
01:15:01 il est tout seul, Carvajal, il a le temps de bien préparer son geste,
01:15:05 qui est pas si mal, mais comme elle rebondit,
01:15:07 enfin il aurait pu lui faire une genre d'ao, des fois ça peut le piéger les gardiens,
01:15:10 mais c'était sur le gardien, ah ouais, ce changement-là pour Vinicius,
01:15:14 de l'épaule, de l'épaule, il se l'est amené devant Carvajal,
01:15:19 les deux madrilènes, se connaissent bien évidemment.
01:15:22 - Vinicius à Carvajal, le retour de la Minyama,
01:15:24 et c'est encore le dernier, retenu par le capitaine d'un soir de la CDSAO,
01:15:28 le renversement a été signé Andreas Pereira.
01:15:30 - Oui, très très beau changement d'aile,
01:15:33 et là il va être peut-être mieux sollicité Vinicius,
01:15:36 et attention l'Espagne ne lui a pas laissé autant de champ libre
01:15:42 sur 45 premières minutes qu'à deux reprises depuis que la deuxième mi-temps a commencé.
01:15:48 - Attention à la porte, il y a déjà un carton,
01:15:50 Stéphane Chamaille, paquetin dans la surface, qui tombe en duel avec Dani Carvajal.
01:15:55 Et le normand est Fabricio Bruno.
01:16:00 - Monsieur Antonio Nobre est à l'affût dans les surfaces de réparation,
01:16:07 Vinicius il va toujours de son petit couplet,
01:16:10 il faut qu'il parle, il parle, il parle, c'est un joueur,
01:16:14 toujours dans ces moments-là, il faut lui faire confiance pour rajouter.
01:16:18 - Un petit peu d'huile, tu vois, sur le feu.
01:16:22 - Carvajal et Paquetin qui ne sont pas des poètes non plus,
01:16:28 c'est confus, c'est pas facile pour l'arbitre.
01:16:31 - C'est effronter dans la surface de réparation avec l'arrière,
01:16:34 oh Hendrik, oh Hendrik, sa première balle en fondue !
01:16:38 Il a marqué il y a trois jours à Webley,
01:16:41 et il ajoute le Stade Santiago Bernabeu sur son CV,
01:16:45 c'est lui le prochain phénomène du football mondial,
01:16:50 qui va rejoindre le Real Madrid le 21 juillet prochain,
01:16:53 mais en attendant, le 21 c'est le nombre sur son maillot,
01:16:57 le maillot de la Célestin O, et c'est Hendrik qui permet au Brésil
01:17:00 de revenir de partout entre l'Espagne et le Brésil.
01:17:03 Le troisième but en sélection du jeune Hendrik.
01:17:05 - Ah oui, son pied gauche n'a pas tremblé,
01:17:08 comme il n'avait pas tremblé à Webley,
01:17:11 et là vous voyez il y a un peu de séance de catch,
01:17:15 c'est Confu, Laporte qui renvoie dans l'axe,
01:17:18 et il est bien sur ses appuis, il est malin parce qu'il recule quand même,
01:17:23 donc c'est pas si facile en reculant de la pré,
01:17:26 prendre aussi bien du gauche, mais en plus elle est légèrement déviée
01:17:30 par le marchand de sable, et du coup c'est un joueur
01:17:35 qui a vraiment un centre de gravité très très bas,
01:17:40 des cuisses impressionnantes pour son âge,
01:17:43 et donc Webley a tremblé, Bernabeu a tremblé,
01:17:47 il tremblera à main trop prise la saison prochaine,
01:17:49 même si il faudra que ce soit un joueur qu'on protège
01:17:51 et qui aura une grosse concurrence, Rodrigo, Winicius,
01:17:54 et un certain Kylian Mbappé, mais en tout cas les supporters du Real
01:18:01 qui sont très présents ce soir, parce que c'est à Bernabeu,
01:18:04 eux doivent être déçus que la Roja prenne ce but,
01:18:07 mais quelque part aussi ravis que ce soit ce phénomène
01:18:14 qui arrive sous leur couleur d'ici quelques semaines, quelques mois.
01:18:22 Il avait été acclamé lors de l'annonce de son nom avant le match
01:18:25 par le Stade Français de Bernabeu, le football peut aller tellement vite,
01:18:29 il y avait une telle maîtrise espagnole sur les 40 premières minutes 2-0,
01:18:33 et l'erreur d'Unai Simone a relancé le Brésil.
01:18:35 Depuis la reprise de la deuxième mi-temps, tu vois les deux possibilités de Winicius,
01:18:41 et là ce but, il y a une forme de logique.
01:18:45 Rodrigo, il est passé face à Emeric Laporte, balle de 3 buts à 2,
01:18:49 pour Rodrigo le poteau, et attention avec Paquita peut-être,
01:18:52 non le retour de Carvajal ce n'est pas terminé,
01:18:54 il y a le feu dans la défense espagnole, Yann Couteau.
01:18:58 Rodrigo, poteau bien protégé par Bento, ce premier poteau,
01:19:04 il va nous faire une Costa d'Inoff, mais il est passé très très facilement,
01:19:09 et après dans l'axe il me semble qu'il y avait des joueurs,
01:19:12 j'espère que le ralenti sera avec un plan assez large,
01:19:16 peut-être qu'il avait des possibilités, mais lui dans son idée,
01:19:19 il a voulu jouer la force au premier poteau, ce qui marche rarement.
01:19:25 Aïe, aïe, aïe, c'est Hendrick, non ?
01:19:27 C'est Hendrick, c'est Hendrick qui va tout de suite arrêter le jeu,
01:19:30 il tient la cuisse, what ?
01:19:32 Aïe, aïe, aïe, aïe, espérons que ce ne soit pas un coup,
01:19:36 pas une déchirure, il a l'air de se plaindre,
01:19:39 quand on a des cuisses aussi musclées comme ça,
01:19:41 ça fait toujours un peu peur parce que tu te dis que c'est du cristal,
01:19:45 tout de suite il se la tient, on ne voit pas s'il y a eu choc ou pas,
01:19:53 il y a eu un côté émotionnel très fort avec son but,
01:19:57 où il est allé après embrasser quelqu'un qui pourrait être son papa,
01:20:00 peut-être, ou de la famille manifestement,
01:20:02 parce qu'il y avait beaucoup d'infections,
01:20:06 il y a peut-être beaucoup trop de choses en même temps,
01:20:09 je ne suis même pas sûr qu'il y ait eu un choc,
01:20:11 il y a peut-être eu un choc, mais il a l'air de souffrir.
01:20:15 Le temps chelou pour un jeune joueur de 17 ans qui a découvert le football européen,
01:20:19 avec ses deux matchs en Angleterre et désormais en Espagne,
01:20:22 c'est de vouloir en faire trop, de vouloir se montrer d'agréablement.
01:20:25 Là on revoit l'action de Rodrigo, il passe la porte, elle est ouverte,
01:20:31 tranquille, derrière il protège bien, il y a quand même Paqueta,
01:20:35 il y en a deux qui jaillissent au premier poteau,
01:20:38 c'est Unai Simon, il a bien protégé son premier poteau,
01:20:45 mais il y a Paqueta qui est en retrait,
01:20:49 il y a quand même là entre Pereira et Hendrik qui jaillissent au premier poteau,
01:20:56 lançant cette fausse piste, il avait entraîné trois joueurs avec lui déjà sur cette action.
01:21:02 Là il doit la jouer mieux quand même.
01:21:04 - On va surveiller évidemment l'état physique de ce jeune joueur de 17 ans,
01:21:11 vous avez justement parlé de sa musculature assez impressionnante,
01:21:15 on parle d'un adolescent de 17 ans.
01:21:17 - 17 ans, normalement, surtout chez les hommes, la croissance n'est pas terminée,
01:21:22 on peut espérer qu'il n'ait pas des charges de travail,
01:21:27 s'il y a beaucoup de musculation ou est-ce que c'est naturel.
01:21:31 Ronaldo, on le compare un petit peu à Ronaldo par rapport à la précocité,
01:21:37 c'est un jeu un petit peu différent, le même poste, avant le centre,
01:21:40 on sait ce qu'il en a été, malheureusement les problèmes physiques
01:21:44 n'ont plus à voir Ronaldo le Brésilien.
01:21:48 - Et sur le banc, le duel de coach entre lui et la frontière.
01:21:56 - Parce qu'il a la taille de Romario mais il n'est pas fin comme Romario.
01:21:59 - Oui, 1m73, Hendrick.
01:22:01 - Lui a la puissance d'un Ronaldo, mais en plus petit, Ronaldo était quand même assez grand.
01:22:09 - Il n'a pas joué de ballon à la Vigny.
01:22:12 - Ah ben, début de reprise animé quand même, très animé.
01:22:18 Et une Espagne qui avait dominé la première période,
01:22:22 il aurait pu sortir avec deux buts d'écart et un score un peu inattendu,
01:22:27 si on l'avait dit à la 38ème minute, on aurait eu d'une balle à le croire.
01:22:32 - C'est la magie du football, avec Daniel Mo, de la magie, il en distribue.
01:22:36 - Il y a mal, il n'y a pas de coup.
01:22:38 - Lui aussi avec la mignonne balle, on a pris finalement la prise à deux,
01:22:40 c'est Fabricio Bruno qui intervient, le défenseur central de Flamengo.
01:22:44 - Olmo fait un sacré match aussi, et toujours dans les intervalles.
01:22:50 Très bien placé.
01:22:53 - J'ai l'impression d'avoir entendu une clameur pour Lamin Yamal,
01:22:56 on l'appelle le joueur du Barça, il y a cette rivalité réelle Barça.
01:22:59 - Ah oui, comme Bappé, je crois qu'au début, en tout cas au stade Vélodrome,
01:23:04 il a été un petit peu hué, oui, il y a cette rivalité.
01:23:07 - Lamin Yamal, le corner frappe au second poteau, la tête de Rodri.
01:23:09 - Non, c'est pour le gardien, tranquille.
01:23:11 - Capté par Bento.
01:23:12 Vous le voyez sur son maillot, Rodri, nom officiel Rodrigo,
01:23:21 qui est surnommé Rodri, il y a deux Rodrigo sur la pelouse.
01:23:25 Paqueta, allez, Cucurrella.
01:23:29 - Oui, bel fan de cordes, Cucurrella.
01:23:31 - Benormand.
01:23:33 - C'est le dernier coup de feu pour l'Espagne.
01:23:35 - Cette sélection d'Espagne, qui, on le rappelle, a perdu ce match face à la Colombie 1-0 du côté de Londres.
01:23:45 - Mais pas avec les mêmes joueurs.
01:23:47 C'était vraiment une équipe d'Espagne bis.
01:23:49 Ça joue aussi, alors que le Brésil, c'était la même équipe qu'à Wembley.
01:23:54 Maintenant, il y a eu un certain cadre de changement, et ça leur fait du bien.
01:23:59 - Et désormais, si vous êtes des habitués des matchs sur les antennes du groupe,
01:24:03 l'équipe André, le milieu de terrain, avec ce numéro 17, le milieu de terrain de Fluminense.
01:24:07 Il aura aussi un rôle à jouer dans l'entrejeu,
01:24:12 d'être rééquilibré, cette équipe brésilienne.
01:24:16 Avec Rodri.
01:24:20 Cucurrella.
01:24:28 Avec Laporte.
01:24:29 Cucurrella.
01:24:31 Oui, il y a peut-être une faute au départ sur l'ancien joueur de Brighton.
01:24:35 Mais il obtiendra bien le coup franc.
01:24:37 Cucurrella, et le carton même.
01:24:41 Lucas Paqueta.
01:24:44 Il n'échappera pas, cette fois.
01:24:47 - Oui.
01:24:48 Pas dans les meilleures conditions pour l'instant.
01:24:51 Pas toujours très inspiré.
01:24:53 Dommage que Rodrigo ne le voit pas.
01:24:55 Que son intérieur du pied, il rate le cadre.
01:24:58 Ce n'est pas son meilleur match.
01:25:01 Ça peut changer.
01:25:03 - Attention, Olmo.
01:25:04 - Olmo, oui. Olmo.
01:25:05 - Attention Olmo, la frappe captée par Bento.
01:25:07 - Elle part bien, mais bon, c'est le gardien.
01:25:12 Et toujours cette défense brésilienne qui tarde un peu à sortir sur le porteur du ballon.
01:25:19 - Bento, on est sur Bruno.
01:25:23 On est sur Bruno.
01:25:24 - Oui, ça va être compliqué, ça.
01:25:26 Oui, il faut pousser, il faut pousser.
01:25:28 William, ça, mais il est seul.
01:25:29 Luiz et Rodrigo n'avaient pas trop suivi.
01:25:33 Mais c'est récupéré.
01:25:35 - Damien Yamal, attention au pied gauche.
01:25:37 - Ah, il le frappe, il le frappe.
01:25:38 - Oh !
01:25:39 - Il y avait un effet d'optique.
01:25:40 On s'est dit peut-être une petite plus tard, mais il y avait la puissance.
01:25:42 - Il y a la spontanéité quand même.
01:25:43 - Aussi, oui, il y a du chien chez ce joueur absolument.
01:25:46 On rappelle quand même son âge, quoi, je veux dire.
01:25:48 - Il a 16 ans.
01:25:49 - Il a 16 ans.
01:25:50 - Il est né en juillet à la fin de l'Euro, parce que lui est né le 13 juillet.
01:25:54 - Il faut réaliser ça, quoi.
01:25:55 16 ans, tu te rends compte ?
01:25:56 - Que faisiez-vous derrière votre télévision ?
01:25:58 Dites-nous, que faisiez-vous à l'âge de 16 ans ?
01:26:00 Que faisiez-vous, Didier, à 16 ans ?
01:26:02 - À 16 ans, je jouais au foot.
01:26:03 Je m'entraînais avec les pros de l'Ice Can, de temps en temps.
01:26:06 Deuxième division, niveau deuxième division.
01:26:08 - C'est déjà pas mal, hein ?
01:26:09 - C'est déjà pas mal.
01:26:10 - Ah oui, avec Alvaro Morata.
01:26:11 - Je ne dis pas Yamal.
01:26:12 D'ailleurs, j'étais défenseur.
01:26:13 C'était plus facile.
01:26:16 Libéraux.
01:26:17 - Bien de reussi.
01:26:20 - C'est incroyable, il a 16 ans.
01:26:21 Il a une maturité dans le jeu.
01:26:23 Mais bon, la Masia a de beaux restes, on dirait.
01:26:27 Il y a eu un petit coup générationnel, mais là, c'est reparti.
01:26:32 - Allez, le corner pour Nico Williams.
01:26:37 - Alors, Morata, un peu absent.
01:26:46 Il va se réveiller sur cette action.
01:26:48 - Oh, la sortie de Bento.
01:26:49 Il n'a pas été protégé par ses défenseurs.
01:26:51 Fabien de Reuss.
01:26:52 Amin Yamal.
01:26:54 - Oh, l'extérieur.
01:26:58 - Encore un bon appel d'Olmo, qui est un joueur très important, je trouve, dans ce dispositif.
01:27:04 Et qui contrarie beaucoup, par son positionnement, ses courses, sa technique,
01:27:09 le milieu de terrain défensif brésilien.
01:27:15 - Olmo, il a souvent eu cette étiquette de jeune talent, jeune pépite.
01:27:19 - Oui, mais on le plaçait souvent.
01:27:21 - Parti aux Dynamos d'Agrep.
01:27:22 On rappelle même qu'il a déjà 25 ans.
01:27:24 Enfin, déjà.
01:27:25 Il a 25 ans.
01:27:26 - Quand même.
01:27:27 - Ce n'est pas Amin Yamal qui débute sa carrière.
01:27:28 - Mais on le mettait aussi sur le côté, parfois, avec l'équipe nationale.
01:27:31 Il n'était pas trop à l'aise.
01:27:33 Ce n'est pas pareil.
01:27:34 - Amin Yamal, justement.
01:27:35 Carvajal sollicite ce ballon.
01:27:37 Amin Yamal avec Rodri à l'entrée de la surface de réparation.
01:27:39 Pied droit, pied gauche.
01:27:40 Il en est capable.
01:27:41 - Amin Yamal qui s'essaye, mais qui vient buter sur Bento.
01:27:44 - Oui.
01:27:45 - Amin Yamal, pareil.
01:27:48 Il n'en fait pas trop.
01:27:49 Il alterne bien les actions individuelles et les passes.
01:27:56 - C'est vrai qu'il y a cette maturité qui se dégage de son jeu.
01:27:58 - Exactement.
01:27:59 16 ans, quand même.
01:28:00 On va le retrouver contre le PSG prochainement.
01:28:03 - Et on le retrouve, attention, Amin Yamal encore et toujours.
01:28:05 Amin Yamal, un contre-office à Berraldo, tout à l'heure.
01:28:07 C'était un petit pont qu'il avait mangé, le défenseur du PSG par Olmo.
01:28:10 - Ça va être à face à face qu'on va retrouver le 10 et 16 juillet.
01:28:14 Berraldo, Yamal, ça va être quelque chose.
01:28:18 Coupe d'Europe.
01:28:19 Et là, il y a une faute du Brésilien.
01:28:21 C'est encore passé entre les jambes.
01:28:22 - Mais c'est quoi ce joueur ?
01:28:23 D'où vient-il, Amin Yamal ?
01:28:25 La virgule n'est pas passée.
01:28:26 - C'est la virgule, c'est la virgule.
01:28:27 - Et derrière ?
01:28:28 - Derrière, quand même, voilà, il caresse, il réussit.
01:28:33 Berraldo, c'est en talonnant, en talonnant pour lui-même.
01:28:38 - Et oui, petit pont, bien sûr.
01:28:39 - Berraldo, il n'est quand même pas très mobile.
01:28:43 J'avais remarqué ça contre Montpellier depuis un autre match.
01:28:47 - Là, il a été un peu éjecté, mais il a trop tardé.
01:28:56 - Ils sont cinq dans la surface de réparation.
01:29:00 Ballon renvoyé, Koukou Rela.
01:29:02 Fabian Ruiz, deuxième chance.
01:29:04 Le joueur du PSG venir combiner, s'appuyer sur Morata.
01:29:08 Fabian Ruiz, Morata non, ce sera Yann Couteau.
01:29:11 - Toujours Koukou Rela qui fait son match.
01:29:14 Mais oui, il voulait protéger une touche.
01:29:16 Et attention au contre avec Vinicius.
01:29:18 - Oui, Vinicius peut y aller.
01:29:19 - Il est parti de risque, il est parti de risque.
01:29:21 - Il la donne mal !
01:29:22 - Ah, il a passé le saut.
01:29:24 - Oui, bien sûr.
01:29:25 - L'intervention d'Hendrik.
01:29:26 - Il s'en excuse, oui, Hendrik.
01:29:27 Mais Vinicius, oh là là, qu'est-ce qu'il a donné mal.
01:29:30 Après, c'est du 1 contre 1 et tu sens qu'avec sa puissance,
01:29:32 Hendrik va passer, je ne sais pas si c'était Laporte
01:29:36 ou le Normand, mais qu'il allait passer devant.
01:29:39 - En tout cas, en couverture d'Anne Carvajal,
01:29:42 c'est sur lui que le tacle a été réalisé par Hendrik.
01:29:45 - Alors c'était Carvajal, oui.
01:29:47 - Allez, Koukou Rela.
01:29:49 Pour Williams.
01:29:52 - Oui, non, ce n'est pas comme Yamal.
01:29:57 Ce ne sont pas les mêmes caractéristiques.
01:29:59 Ce n'est pas la même finesse.
01:30:00 Il est un peu plus en force, Williams.
01:30:02 Mais bon, c'est bien de tenter des choses aussi, bien sûr.
01:30:05 Attention, attention.
01:30:06 - Attention à la prise de risque de trop.
01:30:11 Avec Yann Couteau.
01:30:13 Berraldo.
01:30:15 André.
01:30:17 Le terrain de Fluminense, qui on le rappelle,
01:30:21 avait un intérêt prononcé de Liverpool l'été dernier.
01:30:24 - Il a préféré rester pour jouer la Copa Libertadores.
01:30:27 Et il a bien fait.
01:30:28 - Avec Rodrigo, Hendrik.
01:30:30 - On l'a vécu ensemble, mon cher Hamza.
01:30:34 - Peut-être que le train est passé, qu'il ne reviendra jamais.
01:30:36 On ne le souhaite pas, mais on ne sait jamais.
01:30:39 Avec le football, une blessure.
01:30:40 - Pourtant, c'était beau de rester avec son club pour jouer et gagner
01:30:44 dans la Copa Libertadores.
01:30:46 On dirait que l'Espagne a remis le pied sur le ballon.
01:30:51 Il va être vigilant par rapport à la contre-attaque brésilienne.
01:30:57 - Avec Rodri.
01:30:59 La porte de Norman.
01:31:05 - Ils ne vont pas aller chercher haut.
01:31:13 Ils attendent, ils tissent un peu leur toile.
01:31:15 Les Brésiliens et les Espagnols préfèrent assurer avant de jouer long.
01:31:18 Ils se la passent et se la repassent.
01:31:20 Le public n'apprécie pas trop.
01:31:22 - Il y a peut-être une volonté aussi de se rassurer.
01:31:25 - Oui, mais attention là.
01:31:26 Carvajal fait du cycle.
01:31:27 Je pense qu'il ne l'a pas touché.
01:31:29 Je pense qu'il ne l'a pas touché.
01:31:32 Carvajal, malin comme il peut être souvent, il nous fait le coup.
01:31:38 Je ne suis pas sûr.
01:31:40 Et s'il le touche, de là à ce qu'il soit.
01:31:43 Parce qu'il fait une grosse erreur par rapport...
01:31:45 Non, non, il prend la semelle.
01:31:47 Après, il la prend avec la semelle.
01:31:49 Après, il bute un petit peu en essayant de la récupérer sur la semelle en question.
01:31:52 Mais il a pris le ballon.
01:31:53 Le seul problème peut-être, c'est qu'il a pris le ballon de la semelle.
01:31:57 Normalement, tu ne dois pas siffler.
01:31:59 Carvajal siffle toujours, on va savoir pourquoi.
01:32:02 - C'est un match amical, dis-tu ?
01:32:03 - Oui, mais même s'il n'est pas amical, attention, attention.
01:32:07 - Mais ça repart.
01:32:08 Attention avec Beraldo, cette fois à la récupération.
01:32:10 Lucas Beraldo peut être tout seul.
01:32:12 La frappe de Beraldo qui passe au-dessus.
01:32:14 Le françois du Paris Saint-Germain qui s'est créé.
01:32:17 Cette situation tout seul du départ à la conclusion.
01:32:19 - Oui, c'est vrai que comme les joueurs sont partis
01:32:21 sur sa droite et sur sa gauche, ça a ouvert un petit peu la mer devant lui.
01:32:25 Et si tu veux, comme il a un peu d'élan et qu'il n'est pas bien loin,
01:32:28 simplement, voilà, Vinicius va sur la gauche.
01:32:31 Et du coup, mais il doit être relâché quand il frappe.
01:32:35 Et il est un peu hyper tendu, quoi.
01:32:37 Parce que c'est, bon, il est jeune, c'est sa deuxième sélection.
01:32:40 Il ne connaît pas trop cette situation aussi de se retrouver en si bonne posture.
01:32:45 - Avec Rodry, l'Aminia mal encore.
01:32:49 - Une petite main de Van Den. - Peut-être, peut-être.
01:32:52 - Qui sera sanctionnée, ce sera le joueur du Barça.
01:32:55 - Mais je me demande s'il n'y avait pas une petite main de Molde Yamal, non ?
01:32:58 Comme tu le disais de Van Den. - Peut-être.
01:33:00 - Peut-être. Il y a une petite mimine, malheureusement.
01:33:03 - Oh, ballon perdu.
01:33:05 - Un peu trop sûr de lui, Rodrigo.
01:33:08 - Tout ça sur ses 20 premières minutes, on voit clairement que le match s'est rééquilibré.
01:33:11 - Oui, oui. Et puis, il est ouvert, quoi. On sent que tout est possible.
01:33:16 - Rodry Sokou courait là. Mais pourquoi pas ?
01:33:19 - Nico Williams de la surface de réparation.
01:33:22 - Oui, ça se reçait. - Il est là en retrait.
01:33:23 - On s'était bien fait. La zone recherchée. - Allez, Ruiz.
01:33:25 - Avec derrière le pied droit. Ce n'est pas son meilleur pied.
01:33:27 - Fabien Ruiz, le milieu de terrain du Paris Saint-Germain, ce n'est pas cadré.
01:33:30 - Oui, mais il ne cadre pas, hein, Ruiz.
01:33:32 Même avec son bon pied en première mi-temps, c'était la même situation.
01:33:34 Il ne cadrait pas. Alors avec son mauvais pied...
01:33:37 Mais Koukou Réna, il donne des possibilités.
01:33:40 Et là, pareil, défensivement, c'est pas fini.
01:33:42 - Oh, récupération Nico Williams. Nico Williams, retrait.
01:33:45 Et le coup de sifflet, finalement, d'Antonio Nobrey.
01:33:48 - Oui. Mais Koukou Réna...
01:33:50 Alors lui, il n'a pas le couple liguain ou footballeur d'aujourd'hui
01:33:54 où sur les côtés, on est rasé.
01:33:56 Lui, c'est un peu... Même pas...
01:33:58 Ouais, un peu hippie, quoi. Je ne sais pas.
01:34:00 - C'était qui, le... C'était Passarella, le sélectionneur de l'Argentine en 1998 ?
01:34:03 - Oui. Ah oui. Ah oui. - Qui avait demandé à ses joueurs de se couper les cheveux ?
01:34:05 - Exactement. - Il y en a qui avaient... C'est Redondo qui avait refusé.
01:34:07 - C'est Redondo qui avait refusé, oui, oui.
01:34:08 Il y avait une grosse polémique par rapport à ça.
01:34:10 Avec Koukou Réna, s'il était argentin, il n'y aurait pas d'être...
01:34:13 Avec Passarella, je veux dire Koukou Réna...
01:34:16 Il me fait penser à, je ne sais pas, un chanteur mariachiste mexicain, tu vois.
01:34:21 Koukou Réna, Koukou Réna... Il chante Koukou Réna, Koukou Réna...
01:34:24 Ben alors, c'est Koukou Réna, tu vois.
01:34:27 C'est... Il est étrange. Je ne sais pas.
01:34:31 Mais il se... Il est pas mal. Il est pas mal.
01:34:33 Il avait coûté une fortune, hein, à Chelsea.
01:34:35 - Oui, oui, oui. Il fait partie de ces joueurs qui peuvent marquer des points
01:34:37 parce qu'il n'était pas convoqué initialement.
01:34:39 On le rappelle, il profite de l'absence de Gaia pour être présent
01:34:42 et titulaire sur le match phare, finalement, de Luisela Fonte.
01:34:46 - Attends, ça, c'est pas Londres, mais qu'elle passe !
01:34:48 - Il le fallait, bravo. - La couverture de Dunaïs Simone,
01:34:50 heureusement, parce que Vénitius avait pris le meilleur grâce à sa vitesse.
01:34:53 - Bonne lecture, Simone. En voiture, tout à fait.
01:35:07 - Et le supporter brésilien qui commence à donner, redonner de la voix.
01:35:10 Rénais en jeu pour Yann Couto.
01:35:14 Lui aussi, il doit profiter de cette rave internationale pour s'installer,
01:35:18 qui fait une saison exceptionnelle avec Géron.
01:35:20 Il est prêté par Manchester City depuis de longues années, maintenant.
01:35:23 Un poste presque sinistré.
01:35:26 On a vu Danilo prendre le bouillon en première période par Nico Williams.
01:35:29 Il y a Van Der Sol, le joueur de l'A.S. Monaco, qui pourrait être un candidat.
01:35:33 - Mais attention ! Attention, Yaman. - Oh, la Villamal.
01:35:36 - Encore et toujours. - Oh, la Villamal va à Morata.
01:35:40 - Ce n'est pas le même football. - Non, ce n'est pas pareil.
01:35:43 - C'est un buteur, il est capable de faire la différence dans la surface.
01:35:46 - Il est un peu sur la fin, Morata, il faut bien le reconnaître aussi.
01:35:49 Et encore, Yaman qui te met le feu.
01:35:52 Il ne faut prendre en acte qu'à 16 heures.
01:35:54 Si tu es adversaire direct de Yaman à la fin du match, tu as mal à la tête.
01:35:59 - Nico Williams qui est venu là-bas pour poser.
01:36:01 Nico Williams, la deuxième pochée. Daniel Mo.
01:36:04 Fabiano Ruiz.
01:36:06 - Allez, peut-être Bruno. Fabiano Ruiz, elle est cadrée.
01:36:09 Elle est un petit peu... - Dans la niche, ça, il aura frappé.
01:36:12 Mais il se met en position de frappe aussi. Bon, c'est quand même une force.
01:36:16 En revanche, il garde le coup pour la Coupe d'Europe, alors, pour la finition.
01:36:21 - Et là, l'ententé par Bento.
01:36:25 - Allez, il faut presser, il faut presser, il faut les gêner, là.
01:36:28 - Avec André. - Ils sont un peu dans une souricière.
01:36:30 Du coup, ils perdent le ballon.
01:36:32 Bruno, il n'a pas été mis dans les meilleures conditions par André.
01:36:36 - Yannick Laporte, 70 minutes de jeu de but partout entre l'Espagne et le Brésil.
01:36:52 On rappelle que l'Espagne prépare son championnat d'Europe.
01:36:55 Croatie, Italie, Albanie seront les adversaires de la Roja.
01:36:59 D'ailleurs, Croatie et Italie ont été les adversaires de l'Espagne
01:37:02 lors de la Ligue des Nations, remportée par la Roja.
01:37:05 2-1 face à l'Italie.
01:37:07 - Allez, Morata qui a fait l'appel et... Ouais.
01:37:10 Elle a donné un poil plus tôt parce qu'après, c'était trop tard.
01:37:14 Il y avait un bon maître hors-jeu, maintenant.
01:37:20 Et maintenant, c'est trop tard. Il n'y a pas grand-chose.
01:37:22 - Ouais, peut-être que Couto, en bas, il couvre.
01:37:24 - Couto, couvre un petit peu, ouais.
01:37:27 En tout cas, ça s'est joué à pas grand-chose.
01:37:29 - Et on va vous laisser vivre.
01:37:31 Écoutez la réaction du Bernabéu pour la sortie de Vinicius.
01:37:34 Ce match Espagne-Brésil a été fait aussi pour lui.
01:37:37 Suite aux insultes racistes dont il a été victime ces dernières années,
01:37:41 notamment à Valence en mai dernier.
01:37:43 C'est Bernabéu. Tout Bernabéu se lève pour Vinicius.
01:37:55 - C'est l'arme avec marqué en conférence de presse hier.
01:37:58 Il disait "Mon envie de jouer au football diminue tous les jours,
01:38:02 mais arrêter serait donner raison aux racistes".
01:38:06 Il veut se battre aussi pour...
01:38:09 permettre une égalité entre hommes noirs et hommes blancs.
01:38:14 Ce sont ses termes.
01:38:15 - Nouveau changement.
01:38:16 - Oh, Hendrik. La récupération pour Hendrik qui a devancé Romain Lenormand.
01:38:21 Pas de faute derrière.
01:38:24 - Numéro 18 brésilien qui est rentré.
01:38:28 - C'est...
01:38:30 - Pepe.
01:38:32 - Non ?
01:38:33 - C'est Douglas Luiz.
01:38:34 Sur la feuille de match, il y a deux numéro 18.
01:38:36 Pepe, le joueur de Porto à l'E16.
01:38:38 Et Douglas Luiz, le milieu de terrain d'Aston Villa.
01:38:41 Profile beaucoup plus défensif.
01:38:43 C'est un milieu pour venir renforcer, muscler l'entrejeu.
01:38:46 On espérera peu évoluer sur la communauté.
01:38:49 - Mais tu sais que Vinicius a 28 sélections.
01:38:52 Tu sais combien il a marqué de buts en sélection ?
01:38:54 - Pas beaucoup.
01:38:55 - Trois buts.
01:38:56 C'est quand même une énigme.
01:38:57 Et on le comprend peut-être un peu plus par rapport à sa prestation d'aujourd'hui.
01:39:01 C'est-à-dire que sous Neymar, il était un peu sous une cloche.
01:39:05 Parce que Neymar était le patron.
01:39:06 Tous les ballons passaient par Neymar.
01:39:08 Et peut-être qu'il n'était pas sollicité dans la meilleure position.
01:39:11 Et puis il est encore jeune aussi.
01:39:13 Mais par contre, il a un ratio tellement supérieur avec le Real Madrid.
01:39:16 Mais trois buts en 28 sélections.
01:39:19 Tu vois, Rodrigo a 22 sélections.
01:39:23 Donc c'est un peu moins.
01:39:25 Il a 4 buts.
01:39:26 Ce n'est pas énorme de plus.
01:39:27 Mais Raphaël a un peu moins de sélections.
01:39:29 Il a 6 buts.
01:39:30 C'est peu quand même pour Vinicius qui est un buteur.
01:39:34 - C'est vrai que cette saison, avec le Real Madrid,
01:39:37 Vinicius a 18 buts en 28 matchs.
01:39:39 - Eh oui.
01:39:40 - 12 buts.
01:39:41 15 matchs en 2024.
01:39:42 - Donc en sélection, peut-être qu'il n'est pas encore mis dans les conditions optimales.
01:39:48 Il y a quelque chose dans les chiffres.
01:39:52 - Peut-être pas aidé aussi par les sélectionneurs.
01:39:55 Parce qu'on multiplie.
01:39:56 - Aussi.
01:39:57 - On rappelle, il y a eu Tich jusqu'à la Coupe du Monde 2022.
01:39:59 Après le départ de Tich, Ramon Meneses pour la trêve de mars.
01:40:02 Fernando Diniz est arrivé lui aussi en intérim.
01:40:04 En attendant que Harland Schellioti finalement n'ait jamais arrivé.
01:40:07 - Il est là en 4e.
01:40:08 - Et donc, après les mauvais résultats de Fernando Diniz,
01:40:11 il a été écarté.
01:40:12 L'entraîneur de Fluminense remplacé par Dorival Junior.
01:40:17 - Daniel Lemont.
01:40:18 - Il court et là.
01:40:25 Il n'y a toujours aucun changement pour l'Espagne après 74 minutes.
01:40:28 - Eh oui.
01:40:29 - C'est ce qu'on disait, la volonté d'utiliser ce match à l'Est.
01:40:32 - Allez, Yamal, fais-nous un petit quelque chose.
01:40:34 Oh, encore un petit pont.
01:40:35 Mais il faut l'arrêter, il faut l'arrêter lui.
01:40:37 Ce n'est pas possible.
01:40:38 Il faut mettre du grillage en permanence.
01:40:40 Tu trembles avec un joueur comme ça.
01:40:42 - Mais pas de faute.
01:40:43 Attention avec l'ami Yamal encore.
01:40:44 C'est Rodry qui a récupéré ce ballon.
01:40:46 - Allez, ils sont 4 dans la surface.
01:40:48 Comment il vient, Rodry ?
01:40:50 - Attention, Olmo.
01:40:51 Oh, attention Olmo.
01:40:52 Bento, bento, bento, bento.
01:40:54 La talonnade tentée par Carvajal.
01:40:56 Et ce sera un corner quand même obtenu par la Roja.
01:40:59 - Dommage, Rodry, sans contrôle,
01:41:00 parce que tu as 3 joueurs au deuxième poteau.
01:41:03 Après, si tu l'arrêtes, la balle, forcément,
01:41:06 les joueurs doivent venir se replacer.
01:41:09 Et puis, pour le coup, ils sont arrêtés.
01:41:11 Regarde, tu vois, tu en as quand même 3, 6, entre tout de suite.
01:41:15 Williams qui s'était intercalé.
01:41:17 Bon, après, c'est bien fait pour Olmo.
01:41:20 Il n'y a pas de problème.
01:41:22 Il y a eu beaucoup de frappes au but quand même côté espagnol.
01:41:25 Et là, c'est avec le torse.
01:41:27 Il avait un petit peu les doigts dans le savon.
01:41:30 Et ça rebondit sur son torse.
01:41:31 - Yamal avec Carvajal.
01:41:33 - Ah oui, comme elle vient, Olmo, il centre.
01:41:38 - Quel passe encore !
01:41:39 - Oui, oui, Olmo sans contrôle, qui centre.
01:41:41 Il était hors-jeu.
01:41:43 Mais Olmo donne beaucoup, beaucoup de possibilités.
01:41:46 Et effectivement, il y a une petite partie du cours.
01:41:49 Pas beaucoup, mais un petit peu.
01:41:50 - Et 19 tirs.
01:41:52 - C'est fou, 19 tirs.
01:41:54 Il y a un certain nombre cadré quand même.
01:41:56 À part Ruiz, bon, les autres...
01:41:59 - Allez, André.
01:42:00 Oh, attention André !
01:42:01 Avec Douglas-Luiz.
01:42:04 André Asperera.
01:42:06 Aketa qui se retrouve désormais sur le côté suite à la sortie de Vinicius.
01:42:10 Rodrigo, il en est capable, Rodrigo.
01:42:13 Rodrigo, la conduite de balle très approximative.
01:42:15 - Oui.
01:42:16 Il a moins de ballon, il est moins dans les sensations,
01:42:20 dans le rythme du match.
01:42:21 Rodrigo, sa deuxième période...
01:42:23 était un petit peu confuse.
01:42:26 - Il faut courir, là.
01:42:28 - Voilà, ça, c'est de la passe entre-ailles.
01:42:38 Ruiz...
01:42:40 Un peu de fatigue, peut-être.
01:42:44 - On parlait tout à l'heure du programme de l'Espagne,
01:42:50 celui du Brésil avec la Copa América,
01:42:52 qui aura lieu aux États-Unis.
01:42:54 - Ils ne sont que 5e.
01:42:56 Ce n'est pas très glorieux, ils sont 5e.
01:42:59 Ah non, la Copa América, c'est la Copa América.
01:43:01 Oui, là, ça n'a rien à voir.
01:43:02 Non, je parlais dans les qualifications, ils sont 5e.
01:43:05 Ah oui, la Copa América, on met les coupeurs à zéro,
01:43:07 tout le monde est là, oui.
01:43:08 - Et du coup, avec le Costa Rica, le Paraguay, l'Équateur,
01:43:10 avant cela, il y aura deux matchs de préparation
01:43:12 face au Mexique et face aux États-Unis.
01:43:14 - Oui, parce qu'il n'y a pas que les équipes sud-américaines,
01:43:16 il n'y a pas que les 10 équipes.
01:43:17 - Il y a 10 équipes sud-américaines
01:43:19 et 6 pays de la zone Concaca.
01:43:21 - Exact.
01:43:22 Et ça sera aux États-Unis, donc oui.
01:43:26 - C'est ça.
01:43:27 On se demande pourquoi.
01:43:30 Allez, Douglas Ruiz.
01:43:36 Il y a la particularité, Douglas Ruiz,
01:43:38 d'avoir inscrit tous ses buts cette saison à domicile,
01:43:40 avec Castan Vila.
01:43:41 - Alors, il aurait fallu jouer à Birmingham ce soir.
01:43:44 - 10 buts, ce qui est énorme pour un milieu terrain.
01:43:48 - Ah, bien sûr, oui, oui.
01:43:49 - De son profil plutôt défensif,
01:43:50 et que l'on verra face à Lille en Coupe d'Europe
01:43:52 dans les prochains jours.
01:43:53 10 buts et tous inscrits à domicile en première ligue.
01:43:57 - Ah, il y a danger, il y a danger.
01:44:01 - Là aussi, ça peut aller vite.
01:44:02 Nico Williams, que l'on a touché.
01:44:03 - Tout de suite pour Yamal.
01:44:04 Ah, il n'a pas vu Yamal, Ruiz.
01:44:05 - En seconde période, Nico Williams encore.
01:44:07 Morata, Koukourela.
01:44:09 - Un soutien à Audrey, oui.
01:44:12 - Attention à son pied droit.
01:44:14 - Il y a Yamal.
01:44:15 Qu'est-ce que ça a coulissé ?
01:44:17 Non, il ne le fera pas.
01:44:18 - Rémi Nroïs.
01:44:21 - On va y arriver, mais dire que Ruiz aurait pu
01:44:23 la donner tout de suite à ce joueur.
01:44:25 - Que va-t-il nous inventer cette fois ?
01:44:26 Oui, le passement de jambe.
01:44:28 Il déséquilibre, il est un petit peu seul, c'est dommage.
01:44:31 Avec Paquetta.
01:44:33 Il l'inspirera.
01:44:34 Fabricio Bruno.
01:44:39 - Même Morata, dans son pressing, il est un peu fatigué.
01:44:41 Il a fait beaucoup, c'est un peu sacrifié, quoi.
01:44:43 Beaucoup de fausses pistes.
01:44:44 - Ah, Koukourela.
01:44:46 - C'est Hendry qui est sanctionné.
01:44:47 C'est Hendry qui est averti, même.
01:44:48 - Et là, il s'abuse de l'axe.
01:44:51 - Au départ de Laxos, Koukourela le retient bien, quand même.
01:44:54 - Oui, oui, oui.
01:44:56 - Alors, c'est un joueur que vous voulez voir depuis plusieurs minutes.
01:44:59 - Mais Vinicius, de quoi il se mêle ?
01:45:01 Franchement, je veux dire, même remplaçant, il faut qu'il aille, tu vois, compliquer la vie des autres bandes, du quatrième arbitre.
01:45:13 Donc là, il fait comme ça.
01:45:14 - Il est un peu fatigué.
01:45:15 - Il est un peu fatigué.
01:45:16 - Il est un peu fatigué.
01:45:17 - Il est un peu fatigué.
01:45:18 - Il est un peu fatigué.
01:45:19 - Il est un peu fatigué.
01:45:20 - Il est un peu fatigué.
01:45:21 - Il est un peu fatigué.
01:45:22 - Il est un peu fatigué.
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01:45:51 - Il est un peu fatigué.
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01:46:24 - Ça j'aime bien.
01:46:25 - Dix dernières minutes.
01:46:26 - Ça j'aime bien.
01:46:27 - Dix dernières minutes.
01:46:28 - Le défenseur le plus jeune de l'histoire de la sélection.
01:46:29 Il a pulvérisé le record de Sergio Ramos.
01:46:31 - Il a fait un match contre Naples formidable avec des remises, des transversales de 40
01:46:40 mètres au stade des Montjuïc, là, exceptionnel.
01:46:43 - Nico Williams.
01:46:45 Fabien Neuys.
01:46:47 - Voilà, tout va bien pour Koukou Réla.
01:46:51 - Ça fait penser aussi à Koukou Rédou qui était un défenseur de la Juventus mais des
01:46:55 années 70.
01:46:56 Qui est trop jeune.
01:46:57 - Qui est trop jeune.
01:46:58 - Qui est trop jeune.
01:46:59 - Oui, un tout petit peu.
01:47:00 - Oui, un tout petit peu.
01:47:01 - Oui, un tout petit peu.
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01:48:10 - Oui, un tout petit peu.
01:48:11 - Oui, un tout petit peu.
01:48:12 - Robin Lenormand remplacé par la jeune Pépite Aou.
01:48:16 Cubarci, l'international espagnol de 17 ans,
01:48:19 qui avait fêté sa première sélection à 17 ans,
01:48:21 un mois et 28 jours.
01:48:22 C'était du côté de Wembley.
01:48:24 Je ne sais pas ce que vous en pensez,
01:48:32 alors que Galeno, également, fait son apparition.
01:48:35 Du côté brésilien, changement offensif
01:48:37 à la place d'un autre joueur du Real Madrid.
01:48:39 - Oui, Rodrigo, ça fait un bout de temps
01:48:40 qu'il n'était pas trop dans le match.
01:48:43 - Première sélection pour Galeno,
01:48:45 le joueur de Porto, prolifique.
01:48:48 Au Portugal, 13 buts cette saison,
01:48:51 première convocation, première sélection.
01:48:53 Donc, je disais, je ne sais pas ce que vous en pensez, Didier,
01:48:56 mais du côté du football espagnol
01:48:57 et de la sélection à espagnol,
01:48:59 on ne tarde pas à lancer les joueurs.
01:49:01 On a eu Gavi, on a eu Pedri, on a eu Llami, Yamal.
01:49:04 Aujourd'hui, on a Pau Cubarci.
01:49:05 On rappelle que Pau Cubarci, il est titulaire
01:49:08 en équipe première de Barcelone depuis le 21 janvier seulement.
01:49:11 Deux mois de professionnalisme.
01:49:13 - C'est vrai. Et ça suffit pour comprendre
01:49:15 qu'on peut le mettre en équipe nationale.
01:49:20 C'est vrai que c'est assez rare.
01:49:22 Mais d'un autre côté, ce sont des très grands clubs.
01:49:28 Et si tu es capitaine dans un club de la sorte,
01:49:31 c'est vrai que je ne sais pas moi.
01:49:32 Pour un Didier Deschamps, par exemple,
01:49:35 il lui faut des joueurs qui ont 10, 15, 20 matchs
01:49:40 de Ligue des champions.
01:49:41 Il y a même des très bons joueurs.
01:49:42 Mais comme ils n'avaient pas disputé la Ligue des champions
01:49:44 ou des choses comme ça,
01:49:45 ils ne les sélectionnent pas.
01:49:46 Bon, c'était peut-être du football d'autrefois.
01:49:51 Et aujourd'hui, les choses vont plus vite.
01:49:53 Mais Yamal, tu sens quand même,
01:49:55 effectivement, ce gosse, Pau Cubarci,
01:50:00 il a des qualités.
01:50:01 Mais c'est gonflé.
01:50:04 C'est gonflé peut-être quelque part,
01:50:05 mais c'est une bonne remarque.
01:50:07 Et ce n'est peut-être pas le cas dans beaucoup de nations.
01:50:11 Mais en Espagne, ils le font, c'est vrai.
01:50:13 Il y a de grandes nations, encore une fois.
01:50:14 Oui, oui.
01:50:15 L'Espagne, c'est un pays qui candidate à remporter
01:50:17 toutes les compétitions qu'ils disputent.
01:50:18 Bien évidemment.
01:50:19 Je suis en train de regarder, par exemple, en équipe de France.
01:50:36 En équipe de France, tu as Zahir Emry et les Bapes.
01:50:38 Kylian Mbappé, si on prend l'exemple le plus marquant,
01:50:40 on a Kylian Mbappé, octobre 2015, premier match en pro,
01:50:42 mars 2017, première sélection.
01:50:44 Donc un an et demi quand même.
01:50:45 Tu as raison.
01:50:46 Alors qu'on comprend tout de suite que c'est un phénomène,
01:50:48 parce que la demi-saison qu'il fait avec Monaco,
01:50:51 voilà, pas la peine de sortir de Saint-Cyr pour dire,
01:50:54 ça va être quand même un joueur très particulier.
01:50:58 Et d'ailleurs, lui, il le répète toujours,
01:51:01 peut-être parce qu'il en a souffert un petit peu par rapport à ça,
01:51:04 que pour lui, il n'y a pas d'âge.
01:51:06 Il n'y a pas d'âge.
01:51:07 L'âge, ce n'est pas important.
01:51:09 En Espagne, en tout cas, on le voit.
01:51:10 En Espagne, ce n'est pas important.
01:51:11 Et chez les sélectionneurs et les plus hautes instances.
01:51:13 C'est vrai.
01:51:14 C'est vrai que c'est un joueur très particulier,
01:51:16 et c'est un joueur qui est très, très bien joué.
01:51:18 Et c'est un joueur qui est très, très bien joué.
01:51:20 Et c'est un joueur qui est très, très bien joué.
01:51:22 Et c'est un joueur qui est très, très bien joué.
01:51:24 Et c'est un joueur qui est très, très bien joué.
01:51:25 Et c'est un joueur qui est très, très bien joué.
01:51:26 Et c'est un joueur qui est très, très bien joué.
01:51:27 Et c'est un joueur qui est très, très bien joué.
01:51:28 Et c'est un joueur qui est très, très bien joué.
01:51:29 Et c'est un joueur qui est très, très bien joué.
01:51:30 Et c'est un joueur qui est très, très bien joué.
01:51:31 Et c'est un joueur qui est très, très bien joué.
01:52:00 Je comprends qu'il y a de quoi dire par rapport à une soi-disant intervention sur Yamal.
01:52:07 Mais là, Yamal, extérieur du pied, tu vois, c'est...
01:52:09 Mais pour ça, il faut qu'il y ait l'appel aussi.
01:52:11 Et l'appel est bon.
01:52:12 Et là, il le fait valser.
01:52:14 C'est plus de l'épaule contre épaule.
01:52:16 Et c'est vrai qu'on siffle ça assez rarement.
01:52:19 Et Carvajal, il est passé avec le ballon et derrière.
01:52:23 En plus, il y a le bras à la hauteur du cou, je crois.
01:52:25 Et il a pris le ballon, Carvajal.
01:52:27 Donc, il y a pénalty.
01:52:29 Ah non, Berraldo, il fait mine, mais il sait très bien, lui, qu'il a été un peu juge dans ses interventions.
01:52:33 Là, Carvajal, bien sûr qu'il y a pénalty.
01:52:35 Enfin, pour moi, ça ne se discute même pas.
01:52:37 - À la faute de Lucas Berraldo.
01:52:38 - Bien sûr.
01:52:39 Et ça, je pense que le juge de touche, qui est le mieux placé, a dû aider l'arbitre de champ sur cette histoire.
01:52:45 Berraldo, pour la forme, parce qu'ils le font tous, va discuter avec l'arbitre.
01:52:50 Alors, c'est vrai que comme il y a eu le premier pénalty qui était extrêmement litigieux pour Richard Lisson,
01:52:55 comme Vinicius Junior, je veux dire, ça va, ce n'est pas possible.
01:53:00 Il faut qu'il arrête, nous aussi, et tous les autres.
01:53:04 De toute manière, il y a beaucoup trop de joueurs sur les bancs, maintenant.
01:53:07 Autrefois, tu avais un remplaçant, un entraîneur et un gars qui faisait masseur, médecin, tout ce que tu veux, tu vois.
01:53:16 Et c'est encore Rodri qui s'y colle.
01:53:18 En pleine confiance, parce qu'il a réussi le premier.
01:53:21 C'est un match amical aussi.
01:53:24 Il faut qu'on se calme sur les bancs.
01:53:25 Tout ça, il devrait être dans les tribunes basses, comme dans certains stades en Angleterre,
01:53:29 où tu ne mets que trois personnes sur le banc.
01:53:31 87 minutes de jeu, c'est un contre-pied cette fois pour Rodri.
01:53:35 Le doublé pour le joueur de Manchester City qui redonne l'avantage à la Roja.
01:53:40 Toujours cette même célébration suite à ce deuil familial.
01:53:44 Il y a quelques jours, c'est l'homme décisif à Manchester City.
01:53:48 Il l'avait marqué en finale de Ligue des Champions, il l'avait marqué lors de la dernière journée de l'APL,
01:53:52 offrant le titre à City en 2022.
01:53:54 Et il met un doublé face au Brésil, au stade Santiago Bernabeu.
01:53:57 Trois buts à deux pour la Roja.
01:53:58 Cette fois, il ne l'a pas tenté au centre.
01:54:02 Il a mis beaucoup de force sur un côté.
01:54:04 C'est imparable, d'autant plus que le gardien a choisi le mauvais côté.
01:54:08 Mais s'il part du bon, il y a tellement de puissance.
01:54:12 C'est relativement haut quand même.
01:54:15 C'est très compliqué, pas de problème pour Rodri.
01:54:18 Yamal est dans les trois buts aussi, indirectement, puisque c'est lui qui provoque le pénalty.
01:54:22 C'est lui qui fait la passe à Olmo la première fois.
01:54:24 Et c'est lui qui fait l'extérieur pour Carvajal, qui va amener le pénalty.
01:54:29 Ce qu'a fait Yamal ce soir, c'est phénoménal.
01:54:33 C'est un délire et un bonheur pour tous les amoureux du football de voir des joueurs de la sorte.
01:54:39 Un match aussi complet, c'est bien qu'il ne l'ait pas sorti.
01:54:41 Et pourtant, attention, on va d'abord suivre cette attaque.
01:54:44 Peut-être une réaction brésilienne.
01:54:45 Et si, et si on avait un 3 partout ?
01:54:47 Ah, Hendrik !
01:54:48 Contre ces deux équipes.
01:54:49 Jimmy Hendrik.
01:54:50 André Asperera a repris la mini-Yamal.
01:54:53 La roulette, oh lala, qu'est-ce qu'il nous fait la mini-Yamal encore ?
01:54:56 Oh, il est passé !
01:54:57 Oh, il est passé le double contact !
01:54:58 Il s'est fait casser.
01:54:59 Et la faute derrière.
01:55:00 Oui, non mais c'est un monstre, c'est un monstre.
01:55:02 Oh lala, on nous dit, on nous bassine avec Mbappé et Allende.
01:55:07 Ça va être le duel des dix prochaines années.
01:55:11 Mais excusez-moi, pour ces dix prochaines années, je pense qu'il y a d'autres joueurs
01:55:15 qui vont rentrer dans la boucle et ce la mini-Yamal, il va y être.
01:55:21 Royan Sanset, il va y être.
01:55:23 J'avais un confrère qui est sur Barcelone et qui connaît parfaitement le Barça avant le match.
01:55:30 On discutait un petit peu de cette rencontre, etc.
01:55:34 Et il me disait, Yamal, tu vois Didier, c'est pas Messi, parce que Messi, c'est Messi, bon, etc.
01:55:39 Mais c'est celui qui se rapproche le plus de Messi.
01:55:42 C'est vrai que dans ses accélérations, ses dribbles, alors il est gaucher aussi,
01:55:47 comme Messi, un petit peu plus grand, peut-être moins explosif.
01:55:52 Mais il y a quelques petites choses, tu vois, dans l'inspiration, dans le génie,
01:55:57 dans les dribbles de l'extérieur, les enchaînements, la maîtrise.
01:56:02 Tu vois, il y a un petit quelque chose.
01:56:05 Et mon Dieu que ça fait du bien.
01:56:07 Ce football qui parfois tend à être robotisé, standardisé,
01:56:12 et qu'on puisse encore sortir de Yamal, je me dis que tout n'est pas perdu.
01:56:15 Et pourtant, lorsque l'on verra la feuille, la fiche statistique à la fin du match,
01:56:19 Yamal, il n'y aura pas de passe décisive.
01:56:21 Oui, mais...
01:56:22 Ça c'est le football, on sait qu'aujourd'hui, la manière de vivre le football est totalement différente.
01:56:26 Et il n'y aura pas de but aussi, on dira Audrey +2, des choses comme ça.
01:56:29 Mais arrêtez vos statistiques, mettez-moi tout ça à la poubelle.
01:56:32 Et peut-être la possibilité, peut-être la possibilité...
01:56:36 Ah, ça pourrait être juste.
01:56:38 Oui.
01:56:39 Le football, ce n'est pas des statistiques.
01:56:41 On est d'accord.
01:56:42 Le football, c'est Yamal.
01:56:43 Avec Ocurela.
01:56:45 3 buts à 2 pour l'Espagne face au Brésil.
01:56:47 Un match spectaculaire, un match prolifique.
01:56:50 La dernière fois que les deux pays s'étaient affrontés, c'était au Maracana à Rio en 2013,
01:56:54 en finale de Coupe des Confédérations.
01:56:55 Le Brésil l'avait emporté 3-0.
01:56:57 Avec notamment un double de Fred, l'ancien Lyonnais.
01:57:02 Le match est suivant dans un autre stade mythique, le Bernabeu.
01:57:05 Avalanche de but.
01:57:06 Oh, attention.
01:57:07 Oh, attention Paqueta.
01:57:08 Oh, attention Paqueta.
01:57:09 Il y a un coup de coude qu'a traîné.
01:57:10 Alors, je crois que Antonio Nobrelle ne l'a pas vu.
01:57:13 Il n'y a pas d'assistance vidéo, il s'en sort bien Paqueta.
01:57:15 Oui, Paqueta, il a un petit côté comme ça.
01:57:18 Il est agacé, il y a coup de coude.
01:57:20 Il est agacé parce qu'il a comme un morpion, tu vois, sur lui.
01:57:24 Mais ça fait partie aussi du jeu.
01:57:26 En plus, Ocurela, il est quand même moins vicieux que...
01:57:30 Ou méchant même parfois que Carvajal, tu vois.
01:57:33 Bon, on ne peut pas le laisser jouer non plus.
01:57:35 Allez, Ruiz, il nous fait sa 23e tentative.
01:57:38 Olmo, quel passe encore de Dani, Olmo !
01:57:41 Et la tentative, il vient d'entrer en jeu.
01:57:43 Royan Sainte-Sette, le joueur de l'Atlétique Louvre.
01:57:46 Oui, Olmo et Yamal, il y a de l'avenir pour la Rojda.
01:57:52 Oui, la demi-volée est un peu externe.
01:57:56 Il n'arrive pas à croiser.
01:58:00 Et écoutez !
01:58:02 Oui, c'est bien de le sortir maintenant, puisque c'est fini.
01:58:05 Et c'est un joueur de Barcelone qui est ovationné,
01:58:08 comme l'ont été des joueurs comme Ronaldinho,
01:58:11 sous le maillot du Barça, ce qui est extrêmement rare.
01:58:14 Et ils arrivent à faire la part des choses, je pense.
01:58:18 Et comme un symbole, c'est le joueur le plus jeune de l'histoire
01:58:21 à avoir joué sous le maillot de la Roja.
01:58:23 L'ami Niyamal qui est remplacé par Jesús Navas,
01:58:25 le joueur le plus âgé à jouer un match pour la Roja,
01:58:28 puisqu'il passe la barre des 38 ans.
01:58:30 L'homme aux yeux de loup, le joueur de Séville,
01:58:34 qui n'en finit pas.
01:58:36 C'est peut-être sa dernière saison,
01:58:38 ses derniers moments en équipe nationale.
01:58:40 Un beau cadeau aussi qu'il lui fait de la fuente.
01:58:43 Ah, Jesús Navas, il a fait son retour il y a quelques semaines.
01:58:46 Attention, mais ce ballon magnifique pour Paquetá,
01:58:48 le contrôle pied droit de son pied faible !
01:58:50 Et derrière la tentative extérieure, pied gauche,
01:58:52 il y a l'arrêt de Unai Simon.
01:58:54 Mais Unai Simon est déjà sur lui.
01:58:56 Même si c'est son mauvais pied,
01:58:59 il doit piquer du droit, il doit le tenter.
01:59:02 Et l'extérieur, le temps qu'il fasse ça...
01:59:05 Il peut prendre le café, des petits nougats,
01:59:09 et tout, c'est fini, Simon est sur lui.
01:59:11 Et Hendrik, il se tient toujours, cette partie haute.
01:59:14 Oui, oui, oui.
01:59:16 Allez, le corner, 93ème minute,
01:59:18 c'est frappé dans la surface de réparation.
01:59:20 C'est Fabricio Bruno qui recherche le point de pénalty.
01:59:23 Attention au contrôleur Sabal avec la possibilité pour Yann Sansette
01:59:27 d'aller ajouter ce quatrième but.
01:59:29 La faute.
01:59:30 Et le retour logiquement pour José Beraldo qui est sanctionné.
01:59:34 Ce n'est pas beau.
01:59:35 Mais Beraldo, de toute manière, il a perdu le fil
01:59:38 et il a dans la tête son erreur sur Carvajal tout à l'heure.
01:59:41 Et d'autres approximations quand même dans ce match,
01:59:45 d'une manière générale.
01:59:47 Ça n'a pas été une soirée de plaisir là.
01:59:50 Ce n'est pas beau.
01:59:52 Presque rouge, je veux dire à la limite.
01:59:55 Jaune, c'est sympa.
01:59:57 Jaune-oranger comme on dit.
01:59:59 Mais c'est jaune.
02:00:00 La porte, Baukou Barci.
02:00:02 C'est Jesus Navas qui a été recherché par Yann Sansette.
02:00:10 Ballon récupéré, le contre, attention.
02:00:11 Il ne lui a pas mis dans le bon tempo.
02:00:13 Parce que le ballon pour Hendrik.
02:00:15 Je disais, Jesus Navas qui revient en sélection.
02:00:21 Il n'avait plus mis les pieds avec la Rocha
02:00:24 pendant plus de deux ans et demi.
02:00:26 Et puis en octobre dernier, Luis de la Fonte l'a rappelé.
02:00:29 Il est souvent titulaire avec...
02:00:31 Il n'avait pas eu un espoir quand même.
02:00:33 Ou alors il s'occupait des espoirs il y a 20 ans.
02:00:37 Non, il a été sélectionneur des espoirs Luis de la Fonte
02:00:41 depuis 2013 avec le 19.
02:00:43 Attention, il va quand même presser pour la forme.
02:00:50 Il y a beaucoup d'avance quand même pour le Brésilien.
02:00:52 Avec Bento.
02:00:54 Il faut penser que ces joueurs Bento, quand même,
02:00:57 deux premières sélections, Wembley, Santiago Bernabeu.
02:00:59 Ils visitent des beaux stades, c'est bien.
02:01:02 Et peut-être que l'on retrouvera Bento dans la Copa America.
02:01:05 Merci au Brésil qui avait remporté ce match face à l'Angleterre.
02:01:16 Mais qui est resté sur quatre matchs sans succès.
02:01:18 Cette défaite au Maracana à domicile face à l'Argentine.
02:01:20 Avec Paqueta.
02:01:26 Et il va conserver ce ballon.
02:01:29 Le joueur de West Ham, Paqueta, qui élimine Fabien Ruiz.
02:01:32 Intervention de Laporte.
02:01:33 Mais pas de faute, pas de faute sur Daniel Mo.
02:01:39 Et si, et si sur cette dernière action, le Brésil revenait dans ce match ?
02:01:42 Avec Hendrik encore.
02:01:43 Le décalage pour Yann Couteau, le latéral droit de Gérone.
02:01:47 Oh la reprise de volée.
02:01:49 Et Penalty !
02:01:51 Penalty pour le Brésil.
02:01:53 La faute est laissée de Dani Carvajal.
02:01:55 C'est lui qui avait obtenu ce penalty il y a quelques minutes.
02:01:58 Et le Brésil peut revenir à côté de Carvajal sur Canedo.
02:02:01 Oh là là, quelle erreur de Carvajal.
02:02:03 Qui laisse traîner le pied comme il en a l'habitude.
02:02:06 Mais là l'arbitre est impitoyable.
02:02:10 C'est inespéré pour le Brésil.
02:02:12 Encore qu'il y a eu l'occasion de Paqueta.
02:02:14 Mais là on voit déjà qu'il devance Carvajal une première fois.
02:02:18 Et Carvajal en se relevant.
02:02:22 Ouais, il met le bras.
02:02:27 La jambe, je pense qu'il veut se relever, il met le bras.
02:02:29 Mais bon, non, il le fait exprès.
02:02:32 Alors qui pour se charger de ce penalty ?
02:02:34 Mais, mais, mais, c'est en se relevant, c'est ce bras qui gêne.
02:02:37 Qui pour tirer le penalty ?
02:02:39 Paqueta, c'est le seul joueur d'expérience, entre guillemets, qui reste et c'est lui.
02:02:42 Il a le brassard Lucas Paqueta.
02:02:44 Il reste Galleno, Hendry, Candrias Perreira, Pérez-Luis.
02:02:47 Il y aura eu quand même trois penalties dans ce match.
02:02:51 Lucas Paqueta, il n'a plus mis les pieds en sélection depuis six mois.
02:02:56 Il fait son grand retour avec Dorival Junior.
02:02:58 Et il a la possibilité d'arracher le match nul au stade Santiago Bernabeu.
02:03:03 Le 3-3 pied parfait pour Lucas Paqueta.
02:03:06 3 partout dans ce match extrêmement spectaculaire pour le Brésil.
02:03:10 Un match extrêmement spectaculaire, prolifique entre l'Espagne et le Brésil.
02:03:15 On vous promettait du football.
02:03:17 Ce sera la danse de Paqueta pour conclure cette incroyable soirée à les stadios Santiago Bernabeu.
02:03:23 Le dixième but en sélection de Paqueta.
02:03:24 3 partout entre l'Espagne et le Brésil.
02:03:27 C'est dur pour l'Espagne compte tenu des circonstances déjà.
02:03:30 Et puis d'une domination d'une manière générale sur le match.
02:03:36 Avec beaucoup plus d'occasion que les Brésiliens.
02:03:38 Même si la deuxième mi-temps était moins bien contrôlée.
02:03:42 Voilà il piétine, il ne regarde plus le ballon.
02:03:45 Il attend juste son regard vers ce que va faire le gardien.
02:03:49 Et au dernier moment il met un peu les yeux à terre.
02:03:52 Voilà il ne regarde que le gardien.
02:03:53 Et là maintenant il regarde le ballon.
02:03:55 Parce qu'il sait que le gardien est dans ses starting blocks.
02:03:57 Et il peut tranquillement choisir le bon côté.
02:04:01 Et un petit côté cruel.
02:04:03 Bon c'est un match amical, ça n'a pas de conséquences.
02:04:06 On a vu des tas de belles choses.
02:04:07 Curieusement 3 pénalty.
02:04:09 Et manifestement un match qui va se terminer sur ce score de 3 par 3.
02:04:14 Il y a eu du spectacle.
02:04:15 C'était un petit peu tendu.
02:04:16 Pas de conséquences, le Brésil sort du tournée européen sans défaite.
02:04:20 Vinicius parle.
02:04:21 Et c'est terminé.
02:04:22 Match exceptionnel, match spectaculaire.
02:04:25 3 par 2 entre l'Espagne et le Brésil.
02:04:28 C'est un match de football comme on aime.
02:04:31 Il y a eu de la tension tout de même.
02:04:33 Mais surtout on va garder le positif.
02:04:35 Il y a des joueurs qui nous ont régalé ce soir.
02:04:38 A commencer par Lamine Yamal, le jeune espagnol.
02:04:41 On a eu la possibilité de voir Hendrik, également le futur joueur du Real Madrid.
02:04:45 Buteur à 17 en 3 jours après avoir marqué à Wembley.
02:04:48 3 par 2 entre l'Espagne et le Brésil.
02:04:50 Didier, que peut-on retenir de ce match incroyable ?
02:04:56 Moi je retiens Yamal.
02:04:58 Je suis tombé amoureux d'Yamal.
02:05:00 Je l'étais déjà un petit peu.
02:05:02 Après oui, ça a été débridé par moment.
02:05:06 Un Brésil curieusement très absent dans la première période.
02:05:10 Avec une équipe très dominatrice, l'Espagne.
02:05:14 Et puis une deuxième période plus débridée.
02:05:18 Ils ont laissé beaucoup d'espace aux Brésiliens.
02:05:20 Même quand ils mènent 3-2, il reste 2-3 minutes.
02:05:23 Tu dois être beaucoup plus prudent.
02:05:25 Et on a vu l'occasion de Paquetá, celle où il met l'extérieur.
02:05:28 Mais qui est quand même une occasion réelle.
02:05:30 C'est impossible qu'il soit seul comme ça à cet instant du match.
02:05:34 Et à cet endroit du terrain.
02:05:37 Et ce petit coup de théâtre avec cette faute de Carvajal.
02:05:43 Mais on a vu des belles choses.
02:05:45 J'ai beaucoup aimé Olmo aussi, côté espagnol.
02:05:49 Pour les Brésiliens, Geraldo, il va falloir qu'il gagne en explosivité, tonicité.
02:05:56 Et leur défense fait un petit peu peur.
02:05:59 C'est vraiment un milieu de terrain.
02:06:01 Avec Guimaraes et Paquetá, qui ont pu être aussi dominés pendant 45 minutes.
02:06:06 Beaucoup de choses. Des déceptions aussi.
02:06:09 Vinicius en fait partie.
02:06:11 Rodrigo a disparu au fil du temps.
02:06:16 C'était plus qu'un match amical.
02:06:19 Même si c'était en plus de projets.
02:06:21 C'était malheureux.
02:06:23 Dans un état d'esprit...
02:06:26 Ok, on va dire.
02:06:28 Merci à toutes et à tous de nous avoir suivis.
02:06:30 C'était un match de préparation.
02:06:32 L'Espagne, on les retrouvera lors du championnat d'Europe l'été prochain.
02:06:35 Et le Brésil jouera la Copa América aux Etats-Unis.
02:06:38 Le Brésil sort d'une victoire à Wembley 1-0.
02:06:41 D'un match nul au Stade Santiago Bernabeu.
02:06:43 3 partout, alors que l'Espagne s'est inclinée il y a quelques jours face à la Colombie 1-0.
02:06:47 Et donc on cède le nul à la dernière minute, suite à ce pénalty de Paquetá.
02:06:50 Merci à toutes et à tous.
02:06:51 Merci infiniment Didier Hussain.
02:06:53 On se retrouve très vite pour de nouvelles aventures.
02:06:55 3 partout entre l'Espagne et le Brésil.
02:06:57 Bonne soirée à toutes et à tous.