Retrouvez le replay de la première période du match amical Espagne - Brésil du 26/03/2024
Category
🥇
SportTranscription
00:00 C'est bien plus qu'une rencontre de gala, c'est un match dépassant le cadre du football,
00:04 un match contre le racisme espagnol-brésil au stade Santiago Bernabeu.
00:08 Une fête du football au cadre lourd symbolisée par un homme Vinicius Junior régulièrement pris pour cible
00:13 depuis son arrivée au Real Madrid il y a 5 ans et demi dans les différents stades espagnols.
00:18 Le Brésilien porte d'ailleurs ce soir le brassard de capitaine de la Célesan pour la première fois de sa carrière.
00:23 Et là le jeune Yamal, ouh la cheville qui tourne, la semelle de Jean Gomès qui n'a même pas le moindre carton.
00:35 Ça a l'air d'aller parce que les crouons ne devaient pas être complètement ancrés sur la pelouse mais ça fait peur ce ralenti.
00:46 Il s'en sort bien après 30 secondes déjà.
00:49 Jean Gomès et surtout l'ami Yamal qui est déjà debout et prêt à se charger de ce coufran.
00:54 Pendant qu'il est chaud ça va aller peut-être mais...
00:59 Voilà les deux centraux sont montés évidemment.
01:02 Le coufran à l'ami Yamal qui le frappe s'est renvoyé avec Fabian Ruiz.
01:06 Nouveau ballon dans la surface de réparation.
01:08 Il était pas en jeu.
01:08 Nico Williams avec derrière peut-être.
01:10 Il a fait le main à peut-être signaler.
01:12 Mais alors c'était bien joué de la part de Ruiz parce qu'au moment où les Brésiliens remontaient,
01:16 j'ai l'impression que le synchronisme lui est ce qu'il l'est.
01:20 Bon on le voit pas au départ.
01:21 Les autres assurément mais lui de toute manière il a raté sa reprise donc pas de regret.
01:26 Et la relance avec l'intervention d'Emerick Laporte.
01:29 Défenseur d'Al Nasser en Arabie Saoudite.
01:32 Rodri Cucurella.
01:33 Il n'était pas dans la liste initiale.
01:38 Cucurella qui remplace José Gaya blessé.
01:41 De nombreux absents de part et d'autre.
01:44 Mais malgré tout sur le terrain on a deux équipes sur le papier tout du moins extrêmement compétitives
01:49 avec cette charnière notamment le Normand Laporte.
01:52 Cucurella.
01:53 On le rappelle deux sélections qui restent sur deux résultats différents.
01:58 Deux matchs disputés du côté de Londres.
02:01 L'Espagne s'est inclinée 1-0 face à la Colombie avec une équipe largement remaniée.
02:05 Le Brésil s'est imposé à Wembley face à l'Angleterre.
02:09 Attention avec Nico Williams.
02:10 Nouvelle possibilité espagnole.
02:12 On joue depuis moins de trois minutes le ballon dans la surface de réparation
02:14 capté par Bento pour la situation pour la Roja.
02:16 C'est dommage que Williams ne tente pas.
02:19 Attention au pressing espagnol.
02:21 Ils essayent de repartir proprement les Brésiliens mais forcément ils sont contrés.
02:26 Que Williams n'ait pas tenté.
02:27 Je ne suis pas sûr qu'il y avait une couverture sur son adversaire direct.
02:32 Et il me semblait qu'il pouvait tenter le 1 contre 1 et aller vers la ligne de but
02:36 et après s'entrer dans de meilleures conditions.
02:39 Mais la préférée a été sa course.
02:42 C'est assez courant chez les footballeurs d'aujourd'hui.
02:44 Pas tous heureusement.
02:45 Alors les enjeux.
02:50 Et voilà un homme que l'on découvre mine de rien en Europe.
02:56 Dorival Junior le sélectionneur du Brésil.
02:58 Je croyais que c'était Ancelotti le sélectionneur du Brésil.
03:01 Peut-être bientôt.
03:03 Mais effectivement Ancelotti qui avait été annoncé pour la Copa America
03:08 ou juste après la Copa America finalement pour manger avec le Real Madrid.
03:11 Il est annoncé d'ailleurs présent aujourd'hui au Bernabeu.
03:14 Carlo Ancelotti.
03:15 Les dirigeants brésiliens vont le snob bien plus.
03:16 Si tu veux mon avis la porte en retrait.
03:19 C'est plus sûr.
03:20 Et là il n'allonge pas.
03:22 C'est une erreur.
03:23 Ça passe bien mais...
03:25 C'était tentant quand même pour le gardien de frapper directement.
03:34 Unai Simon on sentait le Brésilien qui arrivait.
03:38 C'était juste juste.
03:39 Toujours cette volonté de partir au pied.
03:43 Depuis que Guardiola a instauré ça, ça existait avant.
03:45 Mais lui il l'a institutionnalisé on va dire.
03:47 Mais parfois c'est peut-être bien d'allonger aussi.
03:52 Avec le normand.
03:53 Mais oui.
03:55 Si ça va bien non ?
03:59 Leco Williams.
04:01 Et Fabien Nourris.
04:02 Limite hors jeu.
04:04 Ils sont trois dans la surface de réparation.
04:05 Daniel Mo était recherché.
04:06 Cucouré là de nouveau.
04:07 L'ancien joueur de Brighton.
04:09 Centre en retrait pour Alvaro Morata.
04:10 Derrière !
04:11 Tentative pour l'Amili Amal.
04:13 La frappe passe au-dessus de la barre transversale de Mentho.
04:17 Oui parce que là Van Deyl il a un petit peu coulissé.
04:21 Alors il est piégé puisque les deux joueurs devant lui ratent le ballon.
04:27 Et Amal évidemment qui est sur son bon pied.
04:30 Le gauche peut et doit mieux faire.
04:33 Bonne alerte et deux rivales juniors.
04:37 Qui n'a pas été un grand joueur.
04:38 Il a été joueur professionnel.
04:40 Il a joué dans certaines équipes quand même.
04:42 Mais il n'a pas marqué l'histoire du Brésil comme joueur.
04:45 Ni comme entraîneur d'ailleurs.
04:46 Même s'il a fait beaucoup beaucoup de clubs.
04:49 Et des clubs parfois prestigieux comme São Paulo, Flamengo.
04:52 Mais les entraîneurs au Brésil voyagent beaucoup.
04:55 Donc c'est difficile de bien connaître ce football.
04:58 Pour savoir qui est vraiment archi compétent.
05:02 Les écrits ne suffisent pas toujours.
05:04 En regardant le CV de Dorival Junior.
05:06 On a l'impression qu'il a fait tous les grands clubs du pays.
05:08 Oui mais combien de temps et dans quelles conditions.
05:12 Est-ce qu'il a gagné avec ces clubs ?
05:14 Il avait gagné la Libertadores avec Flamengo il y a deux ans.
05:17 Il a des références c'est vrai.
05:19 Mais ça a été une surprise quand même de le trouver là.
05:22 Tout comme le sélectionneur d'Espagne aussi.
05:26 Qui lui s'occupait des espoirs et des Olympiques.
05:31 Ça s'est déjà vu en France.
05:33 Oui.
05:33 Avec Raymond Domenech par exemple.
05:35 Mais avec Michel Hidalgo j'aime autant te dire.
05:37 Que ça avait été une sacrée réussite.
05:40 Vous parliez justement tout à l'heure de la jeunesse.
05:41 Justement du vivier de cette équipe d'Espagne.
05:44 Oui.
05:45 Luis de la Fuente a entraîné certains d'entre eux.
05:48 Oui oui c'est une force aussi.
05:49 Normalement bien sûr.
05:51 Je les connais bien.
05:53 Comme Guardiola avait entraîné Alamacia.
05:55 Les jeunes du Barça avant de les mettre en équipe première.
05:58 Enfin pour beaucoup d'entre eux.
06:01 La roulette tentée par Lucas Paqueta.
06:03 Qui retrouve la sélection.
06:04 Il avait été écarté par Fernando Diniz.
06:06 On se souvient de ce transfert avorté du côté de Manchester City.
06:09 Suite à une enquête qui avait été ouverte sur des paris.
06:11 C'était par rapport à ça aussi.
06:12 Pas sur son niveau.
06:14 Et il a été très bon à Wembley d'ailleurs.
06:17 Tout comme Guimaraes.
06:19 Le junior qui réinstaure tout de suite l'ancien Lyonnais dans l'entre-jeu.
06:23 Avec Nico Williams.
06:25 Bon début de match les Espagnols quand même.
06:28 Ils monopolisent un peu le ballon.
06:30 C'est couré là le centre contré.
06:31 Ce sera un nouveau corner.
06:33 Ou le premier pour Larranja.
06:35 Contré par Rafinha.
06:36 Pour l'instant on attaque souvent côté gauche.
06:40 Et ça se termine évidemment à droite.
06:42 Sauf ici donc.
06:42 Puisque c'est un corner.
06:43 On sent les Brésiliens.
06:47 C'est pas comme contre l'Angleterre.
06:48 Où ils étaient moins timides dans le début de match.
06:51 Allez 7 minutes de jeu.
06:55 Le corner de Nico Williams.
06:56 C'est frappé premier poteau.
06:57 Ça ne donnera rien.
06:59 Dani Carvajal.
07:00 Fabian Ruiz.
07:01 Allez mettre ce ballon peut-être dans la surface de réparation de la minimal.
07:07 Ce sera finalement Rodri.
07:08 Le maestro de Manchester City.
07:10 Fabian Ruiz.
07:11 Attention il est capable avec son pied gauche.
07:13 De venir trouver une zone dangereuse.
07:16 Nico Williams.
07:17 Elle a prise à 2.
07:19 Pourtant Nico Williams le débordement.
07:21 Personne au second poteau.
07:22 Danilo ne touchera pas ce ballon.
07:23 La remise immédiate de Carvajal.
07:25 Allez la relance.
07:27 Mais pour Vinicius ça sera un petit peu juste.
07:28 Ils étaient 4 quand même Espagnols dans la surface de réparation.
07:32 Il n'y en a pas un qui est resté au 2e voire 3e poteau.
07:35 Si ce poteau là existait.
07:38 Ils ont plutôt jaillis vers le premier.
07:39 Où ils sont restés dans l'axe.
07:40 Et Ruiz je pense n'a pas trop regardé avant de centrer.
07:43 Rodri trop sûr de lui.
07:46 Attention avec Vinicius.
07:49 Mauricio Bruno.
07:54 Danilo.
07:56 Raphinha.
07:57 Paqueta.
07:59 Il va y avoir ce genre de qualité technique au kilomètre carré.
08:05 Normalement oui.
08:06 Dorival Junior.
08:10 Il n'a pas l'air ravi tel un aigle en haut sur sa falaise.
08:15 De ce qu'il voit vers le bas.
08:17 Sur le CV remporté un premier match avec la sélection brésilienne à Wembley.
08:21 Ça c'est bien.
08:22 Si le deuxième tu le perds en Espagne.
08:26 Ça s'équilibre on va dire.
08:27 C'est beau de le gagner aussi.
08:29 Avec Vinicius.
08:30 L'intervention à la faute de Dani Carvajal.
08:32 On a l'impression qu'il glissait un peu.
08:35 Les deux se connaissent bien.
08:36 Je ne pense pas que Carnaval.
08:37 Carvajal va être trop dur sur son adversaire comme il le fait normalement à tous les matchs.
08:47 Parce que là si tu blesses Vinicius avant les matchs contre Manchester City.
08:54 Ça ne va pas être très bien vu par Ancelotti et les supporters madrilènes.
08:59 D'ailleurs Vinicius qui a été acclamé par le public à l'annonce de son nom.
09:04 Tout comme Rodrigo de joueur du Real Madrid.
09:06 Ainsi qu'Hendrik le jeune joueur de Palmeiras qui rejoindra le Real Madrid à compter du 21 juillet prochain.
09:12 21 juillet car il aura 18 ans et donc autorisation d'effectuer un transfert international.
09:18 Avec Emre Klapport.
09:22 Il court là.
09:26 Elle était presque parfaite cette transversale quand même.
09:37 Il y a 70 bons mètres de la porte.
09:41 Royamal qui reste bien sur son côté.
09:44 Tout comme Williams à l'opposé.
09:47 Mais c'est Williams qui est un peu plus souvent sollicité.
09:50 Balle au pied, le voici.
09:51 Avec Ucurella.
09:55 Rodrigo.
10:00 Encore Williams.
10:02 Nico Williams qui est un danger pour cette équipe brésilienne.
10:05 Le joueur de l'Atlétic Club s'entrera envoyé au premier poteau.
10:08 Ucurella.
10:09 Pourtant il a en face de lui Danilo quand même qui est un expert.
10:13 Bonse expérience.
10:15 Amin Yamal.
10:18 Allez, Yamal va provoquer.
10:20 Il en est capable.
10:21 Le déborder de Rondrefous.
10:23 Et en défenseur.
10:24 Ah oui, ah oui, ah oui.
10:25 Est-ce qu'il y a eu contact ?
10:27 Un coup de sifflet.
10:28 L'intervention de Jean Gomez non ?
10:34 De Jean Gomez effectivement sur Amin Yamal.
10:36 Il a tiré pédalier.
10:37 Il a tiré pédalier.
10:39 S'il y a contact c'est sûr.
10:40 Et c'est beau parce que il est arrêté quasiment.
10:45 Et là il reprend un peu de vitesse.
10:48 C'est délicat quand même.
10:51 Parce que ces attaquants qui vont buter, qui sautent.
10:54 Et qui vont chercher genou contre genou.
10:57 Pour moi, avec Lavard.
10:59 Enfin tu vois il effleure.
11:01 Il s'arrête de toute manière.
11:03 Il le sait.
11:04 Mais après il y a contact.
11:05 C'est très difficile.
11:06 Je n'aurais pas...
11:08 Qu'est-ce que tu en penses ?
11:09 Moi je ne vois pas.
11:10 Je trouve que c'est sévère.
11:11 C'est très sévère.
11:12 Vraiment je trouve qu'il n'y a pas.
11:13 Pour moi il n'y a pas.
11:14 Au-delà de la sévérité, je vous rejoins effectivement.
11:16 Il y a un peu de vice, beaucoup de vice.
11:18 Beaucoup de vice pour un jeune joueur de 16 ans, 17 ans.
11:20 Ah oui mais tu penses.
11:21 T'es l'âge de 12, 13, 14 ans.
11:23 Ils sont habitués à ces situations là.
11:25 Danilo qui est normalement le capitaine du Brésil et l'ancien.
11:30 Dites deux, trois mots en arbitre.
11:33 Qui est portugais.
11:34 Donc ils parlent la même langue.
11:36 Et c'est Rodri qui va s'y coller.
11:37 Oui, Rodri.
11:38 On le disait, il revient tout juste en sélection après ce deuil familial.
11:44 Et deuxième sélection seulement pour le gardien de l'Atlético-Paladins.
11:49 Bento.
11:52 Bento dans le lécho comme le gardien portugais du plus légendaire France-Portugal de 1984.
12:01 Et c'est frappé au milieu pour Rodri, le capitaine d'un soir qui se remet d'un deuil familial.
12:07 Qui a fait son retour à l'entraînement pas plus tard qu'hier.
12:10 Et c'est lui qui lance la rang-a sur ce match amical de prestige.
12:13 L'Espagne met 1-0 face au Brésil grâce à ce pénalty transformé par Rodri.
12:17 Son deuxième but en sélection.
12:18 Et on sent une certaine émotion après le but qui n'est pas dû.
12:21 Qui a la satisfaction d'avoir réussi ce pénalty.
12:25 Il y a beaucoup d'émotion pour ce que tu viens d'expliquer Hamza.
12:29 Et il a choisi, quand tu es, il a choisi le centre.
12:34 Il faut que le ballon soit quand même assez haut.
12:36 Parce qu'il y a toujours le pied des gardiens qui rôde.
12:39 Ils le font exprès.
12:41 Et comme ils ont une certaine amplitude, ils sont assez grands.
12:43 Vous voyez ce pied, et bien le ballon passe quand même 20 cm au-dessus.
12:47 Ça a suffi, il fait mine de l'enrouler.
12:50 Et la logique voulait que le gardien parte à droite.
12:56 Il y avait donc cette feinte et cette émotion particulière pour lui.
13:01 On comprend que pour un match amical, c'est plus qu'un but.
13:05 Il y a quelque chose de symbolique derrière pour des raisons personnelles.
13:09 On disait à Alvaro Morata, le capitaine de la Roja, qu'il lui a cédé le brassard de capitaine.
13:14 Et peut-être lui a aussi cédé le pénalty.
13:18 La grosse faute, et il doit y avoir carton jaune.
13:20 Et oui, mais il doit y avoir carton jaune.
13:22 Parce qu'il arrête l'action.
13:23 Rodri, c'est un match amical.
13:24 On met d'autres règles quand c'est amical.
13:26 Et souvent c'est un peu comme ça par rapport à ce genre de gestes.
13:28 Et c'est stupide.
13:29 Alors le Brésil, c'est vrai que ce pénalty, pour moi c'est un peu un pénalty fantôme.
13:35 Mais l'Espagne, depuis le début du match,
13:41 ils sont quand même aux abords de la surface de réparation brésilienne.
13:44 Et ça, c'est pas normal quand même pour la Célescent.
13:49 Qui est en pleine confiance en plus avec sa victoire.
13:52 Mais aussi sa qualité de jeu dans le match contre l'Angleterre.
13:55 Où il manquait quand même Ariken et Saka aussi à droite.
13:58 C'est un jeu, mais quand même.
13:59 Et il y a beaucoup d'absents côté brésilien, on ne les a pas cités.
14:02 Mais des joueurs que l'on pourrait imaginer dans l'équipe type.
14:05 Alors déjà il y a les deux gardiens.
14:06 Il y en a un qui joue à Manchester City, l'autre à Liverpool.
14:08 Ederton et Ederson.
14:10 Attention, ça passe Rafinha.
14:11 Avec le retour, oui.
14:13 Non pas de problème.
14:14 Et puis en défense, Marquinhos est blessé.
14:17 Il a été convoqué puis finalement blessé.
14:19 Et Dermi Litao, on a tendance à l'oublier.
14:21 Le défenseur de Real qui s'est blessé gravement en début de saison.
14:23 Mais comme c'est tellement grave, on sait.
14:25 C'est ça.
14:26 Et lui aussi fait partie de cette défense.
14:28 Gabriel, le jeune défenseur d'Arsenal, est aussi absent.
14:31 Casimiro, le joueur de Manchester, a été convoqué, lui aussi blessé.
14:34 Et puis dans le secteur offensif, Neymar et Martinelli.
14:37 Donc ça fait beaucoup pour cette équipe brésilienne.
14:41 Et ce qui nous permet de voir, de découvrir pas mal de joueurs,
14:44 comme on disait, sur cette trêve internationale.
14:46 C'est ça.
14:47 Avec Koukourela.
14:51 Déjà, déjà la Ola.
14:55 Dans le Stade Santiago Bernabeu.
14:58 Dani Olmo.
14:59 Morata, qui réalise une bonne première partie de saison.
15:04 Le joueur de l'Atletico de Madrid.
15:06 Olmo qu'on n'a pas beaucoup vu.
15:08 C'était plutôt Ruiz et Rodri.
15:10 Et puis après, le jeu était sur le côté, en particulier celui de Williams.
15:14 Le nouveau, qui est un peu derrière Morata, n'est pas trop sollicité pour l'instant.
15:19 Mais ça va venir, j'imagine.
15:20 Amin Yamal, il est capable de rendre fou.
15:24 Il a déjà obtenu un penalty.
15:26 Regardez, en bas de votre écran, Dorival Junior qui demande à son bloc de sortir.
15:32 Oui, il ne doit pas...
15:34 Rodri, entre les lignes.
15:38 Dani Olmo, l'intervention de Lucas Berraldo, le défenseur du Paris Saint-Germain.
15:42 La relance peut-être pour Vinicius.
15:44 Oui, mais ce n'est pas trop travaillé.
15:46 On passe au truc des milieux de terrain, parce que l'Espagne est dominante.
15:49 Et attention, Amin Yamal dans la surface de réparation.
15:51 Que va-t-il tenter d'inventer ?
15:52 La frappe premier poteau.
15:53 Ce n'est pas cadré pour le jeune joueur du Barça.
15:56 Et même pas contré.
15:57 Bon, sa cheville, en tout cas, tient le coup.
16:01 Oui, oui.
16:03 J'étais un peu inquiet.
16:04 Pas par rapport au penalty, mais par rapport à la première intervention au bout de 30 secondes de Jean Gomez.
16:09 Une très belle interview de Deva Padou dans le dernier France Football, justement, sur Rodri,
16:29 qui n'était pas un joueur méconnu.
16:31 C'est quand même lui qui marque en finale de la Ligue des champions.
16:34 Mais petit à petit, il est en train vraiment de se faire un nom au niveau de l'échec mondial.
16:39 On passe avec Rodrigo.
16:41 Oui, il est passé.
16:42 Rodrigo droite, sur la surface de réparation.
16:43 Ballon recrété.
16:44 Et Vinicius !
16:45 Intérieur du prix.
16:46 Et l'intervention d'Unai Simon.
16:48 Festival.
16:49 Tigné, Rodrigo, Vinicius à la finition.
16:51 Deux joueurs du Real Madrid.
16:52 Oui, c'est un beau joueur, Rodrigo.
16:54 Il est coutumier du fait de réussir dans un trou de souris.
17:00 C'est Rudi Rodrigo.
17:01 Il a un petit pont au passage.
17:02 Et puis derrière, cette talonnade, mais de la semelle.
17:05 Tu vois, pas du talon, enfin pour le coup, cette semellade, on va dire.
17:10 Et attention à l'Espagne qui a un peu de champ là.
17:12 Oui, c'est déjà reparti.
17:13 Daniel Mo, Lamini Amal, le match est lancé maintenant.
17:16 Le Brésil est déjà coupé en deux.
17:17 Il va falloir faire les efforts défensifs.
17:18 Et notamment Lucas Paqueta.
17:20 On attendait à revenir, ainsi que Jean Gomez, Rodrigo, Lamini Amal.
17:26 Ça passe maintenant à droite.
17:27 Ah non, non, il a jailli au premier poteau.
17:29 Juste au moment où il a frappé Amal.
17:34 Alors le ballon est dans les pieds.
17:36 On voit en gros plan dans les pieds de Vinicius Junior.
17:39 Entre les jambes.
17:41 Et Rodrigo ne peut pas le récupérer, ce ballon.
17:45 Et tu vois, là, intérieur du pied.
17:49 Pas coup de pied et vraiment sur le gardien.
17:52 Est-ce qu'il a le temps de faire autre chose, Vinicius ?
17:54 C'est vrai que ça va vite.
17:55 Mais qu'il n'a pas de vitesse.
17:58 C'est pas l'idéal.
18:00 Après, certains, tu vois, les plus grands, parfois,
18:04 et peut-être lui, trois minutes plus tard, il peut faire autre chose.
18:07 Mais là, il fallait faire plus.
18:10 Allez, 19 minutes de jeu.
18:11 C'est pas facile, c'est vrai.
18:12 Venez de nous rejoindre sur les antennes du groupe L'Equipe.
18:15 L'Espagne accueille le Brésil.
18:17 L'Espagne mène en zéro grâce à un penalty transformé par Rodrigo.
18:20 Le match est lancé.
18:22 Ça y est, Morata.
18:24 Ça passe.
18:26 Allez.
18:27 Mais Koukourela qui vient demander, proposer une solution.
18:29 Nico Williams tout seul dans la surface de réparation.
18:31 Il est passé.
18:32 Le joueur de l'Athlétique tout seul.
18:33 Jusqu'au bout, à la conclusion.
18:35 Ce n'est pas qu'Adriel sans l'excuse, mais c'était plutôt bien fait.
18:38 Oui, un petit pointu.
18:39 Alors, Koukourela part dans son dos, mais il n'en profite pas
18:42 puisqu'il choisit aussi.
18:44 Il aurait pu, tu vois, revenir au centre.
18:47 Je crois que c'est un pointu en bout de course.
18:49 Et après, choisir la solution Koukourela.
18:53 Les deux, ils sont dans la même zone.
18:54 Là, c'est que lui, il faut qu'il aille jusqu'au bout.
18:56 Il a le nez dans le guidon.
18:57 Jamais, il ne peut voir ses partenaires autour de lui.
19:00 Et là, c'est quasiment un pointu.
19:03 Alors qu'il est à 2,50 mètres des buts.
19:05 Il s'en veut.
19:06 Et il s'en excuse aussi.
19:07 Parce que quelque part, peut-être qu'il ne passe.
19:12 Mais alors, un peu plus tôt, quand il est lancé comme ça,
19:15 il faut être très fort.
19:20 Il faut avoir aussi une vue périphérique de la situation.
19:24 Il fait partie de ces joueurs, Nico Williams,
19:27 qui doivent porter cette sélection.
19:28 Des jeunes talents qui porteront cette sélection.
19:31 C'est un bon dribbler.
19:34 Un joueur intéressant.
19:36 Son frère est plus finisseur.
19:38 Et son frère est ancien, international espagnol,
19:41 puisque désormais, il évolue avec le Ghana.
19:43 Après avoir compris que la Roja,
19:46 ça serait peut-être compliqué pour lui.
19:47 Pourtant, c'est encore bon ratat qui a 150 ans,
19:50 qui est à la pointe de l'épée.
19:52 Mais qui est un bon joueur, qui aura fait sa carrière.
19:54 Formidable.
19:55 Mais bon, disons que ça ne laisse pas entendre
19:57 qu'il y ait une relève au niveau des avancées entre phénoménales.
19:59 - C'est vrai qu'il y a aussi le remplaçant actuel,
20:01 c'est Gérard Moreno, l'attaquant actuel de Villareal,
20:04 qui n'avait plus mis les pieds en sélection
20:07 depuis plus de deux ans et demi.
20:09 C'est vrai peut-être qu'il y a ce manque
20:11 au niveau de l'attaquant de pointe.
20:13 Comme beaucoup de sélections d'ailleurs.
20:17 Rodrigo à la base, ce n'est pas un avançant.
20:20 En France, tu parles encore de Giroud,
20:23 qui a 37 ans, etc.
20:25 C'est un poste...
20:27 Il n'y a pas toujours un vivier phénoménal dans les pays.
20:31 Regarde en Allemagne, ça fait un bout de temps
20:35 qu'ils n'ont pas eu des air-bombers,
20:38 enfin je veux dire des attaquants fantastiques.
20:40 Carvajal qui va lancer, Lamin Yamal profiter de la glissade Vendel.
20:44 Lamin Yamal en retrait, Nico Williams, attention au clip.
20:47 Oh ! Je le ferai bien, le rouille se n'est pas cadré.
20:50 Ce compte finalement mal négocié,
20:53 parce qu'il y avait beaucoup d'espace pour Lamin Yamal.
20:55 C'est vrai que Yamal a été très altruiste.
20:57 Moi je pensais qu'il allait vraiment aller jusqu'au bout.
21:01 Parce que pour le coup, il n'y aura pas de couverture
21:04 par rapport à son adversaire direct,
21:06 puisque le joueur derrière est obligé
21:08 d'aller au premier poteau pour détourner au cas où.
21:12 Cela dit, ça reste une occasion,
21:14 parce que Ruiz est à l'entrée de la surface,
21:16 mais il ne rentre pas dans ce ballon.
21:18 Il l'attend, il est un peu raide comme un hibou,
21:20 le corps en arrière, enfin bref.
21:22 Ça ne pouvait pas amener grand chose.
21:24 - 22 premières minutes, avec quelques situations tout de même.
21:29 - Oui, et là pour sa deuxième sélection,
21:32 Vendel avec ce Grémio et l'Evercusenne
21:36 qui est à Porto maintenant,
21:38 avec Yamal, ce n'est pas simple.
21:40 - Attention, Nico Williams encore,
21:42 qui va récupérer ce ballon,
21:43 peut-être choisir l'option individuelle.
21:45 Oh, à l'entrée de la surface de réparation bien sûr.
21:47 - Oui, elle est à l'entrée.
21:48 Celle-là, il ne va pas s'y faire, deuxième pénalty.
21:50 Mais Yafo pour Ruiz, c'est un petit peu à l'intérieur.
21:55 La ligne fait office de surface de réparation,
21:57 si c'est sur la ligne.
21:59 Je ne pense pas que ce soit aussi loin de la ligne.
22:02 Moi je le mettrais à 5 cm de la ligne.
22:04 On va mieux apprécier Aestia au ralenti.
22:06 Mais c'est Benicius qui se perd
22:09 et qui donne un ballon finalement,
22:11 involontairement évidemment à Williams.
22:14 - Un peu plus proche.
22:16 - Je pense qu'on est à l'extérieur.
22:18 - Oui, oui, à l'extérieur, mais un peu plus proche.
22:20 - Un peu plus proche, à l'intérieur du demi-cercle, ça c'est sûr.
22:24 - Ce n'est pas évident à frapper
22:25 si on veut faire passer le ballon au-dessus du mur.
22:27 - Quand on est trop près comme ça,
22:29 c'est sûr que pour que le ballon retombe,
22:32 certains joueurs reculent le ballon d'un mètre 50 en général.
22:36 - C'est ce que va dire Benicius je pense.
22:38 Regardez, ce que vient de montrer Benicius.
22:40 Il y a la marque quasiment sur la ligne.
22:43 - Et plus près, curieusement, ce n'est pas une affaire.
22:46 - C'est ça.
22:47 - Contrairement aux apparences.
22:48 - Ça s'appelle platinie.
22:49 Avec les ballons aussi de l'époque peut-être.
22:51 - C'était plus compliqué le ballon de l'époque qu'aujourd'hui.
22:54 - En feuille morte, il retombe plus facilement non ?
22:57 - Pas tant que ça.
22:58 Parce qu'aujourd'hui ils sont flottants.
23:00 - Oui, ils sont…
23:02 Les platinies, c'était des monstres.
23:04 Mihajlovic, tout ça.
23:05 Enfin, un peu plus tard, Mihajlovic.
23:07 Bon, Olmo, c'est un grand technicien.
23:09 Il ne peut pas prendre beaucoup d'élan normalement.
23:11 - Et il a tenté de faire passer le ballon au-dessus du mur.
23:13 - Ah !
23:14 - Et c'est Rodri qui sera sanctionné pour avoir poussé,
23:16 gêné le mur.
23:17 - Ah d'accord, ok.
23:18 - C'est une des nouvelles règles depuis quelques années maintenant.
23:20 - La difficulté, c'est qu'il faut quand même faire le geste.
23:23 Et Olmo, tu vois, qui frappe avec le frein à main.
23:26 Volontairement, il ne veut pas accentuer le geste.
23:29 Il s'est un peu mou du genou.
23:31 Attention.
23:32 - Et ça repart cette fois côté Brésil, mais non.
23:34 - Oui, Brésil, hormis Rodrigo tout à l'heure,
23:36 il n'y a pas grand-chose.
23:38 Et Vinicius ne passe pas une bonne soirée.
23:41 - Et Vinicius…
23:42 - Il va chercher quelque chose d'extrêmement compliqué.
23:44 - Il va l'obtenir la touche.
23:45 - Oui, mais je pense qu'il…
23:46 - Il ne va pas espérer grand-chose de mieux.
23:47 - Il espérait plus qu'une touche au départ de son accélération quand même.
23:53 - Et la remise en jeu pour Wendel avec Rodrigo.
23:56 Voilà, pas grand-chose.
23:58 Et il saura sanctionner l'Aminiama.
24:00 - Oui, là, pareil, est-ce qu'il y a contact ou pas ?
24:04 Rodrigo, il y a des chances pour qu'il puisse rester debout.
24:07 Mais il est tellement fort que non, il n'y a rien.
24:09 Alors là, pour le coup, c'est encore plus flagrant que tout à l'heure.
24:13 Il n'y a rien.
24:14 Et s'il y a bu là-dessus, quelque part, bon,
24:16 ça serait un peu immoral, mais le football est immoral parfois aussi.
24:20 Alors Rafinha et son pied gauche, ou le pied droit de Rodrigo.
24:26 Ça, pour le gardien, évidemment, ça peut le troubler
24:30 parce qu'un gaucher qui frappe ou un droitier, ce n'est pas la même chose.
24:34 Ça ne sera pas les deux en même temps.
24:37 C'est interdit.
24:38 Il pourrait se faire mal.
24:40 - Le pied gauche de Rafinha.
24:42 Oh, ça va traverser la surface Morata.
24:44 Il y est légèrement, mais personne ne se jette.
24:46 - Pour Morata, ce n'est pas facile parce qu'il court vers le but.
24:48 Donc, il ne vaut mieux pas la toucher, entre guillemets,
24:51 pour éviter un CSC, si tu vois ce que je veux dire.
24:54 - Regarde, il va...
24:57 Ah ben oui, alors, ce n'est pas Morata, c'est Laporte pour le coup.
25:00 Mais Laporte, je pense...
25:01 - C'est Morata qui dévie, puis Laporte, derrière, et pas loin.
25:04 - Oui, qui se mange un peu, mais oui.
25:06 - C'est ça, ce que vous dites.
25:07 En fait, Laporte entame son geste et avec un ballon dévié,
25:10 peut-être que le ballon peut toucher le genou, par exemple.
25:12 - Exactement.
25:13 Il ne vaut mieux pas qu'il la touche.
25:14 Donc, il a eu un bon réflexe.
25:16 Allez, c'est parti.
25:18 Oui, à droite.
25:19 - Allez, peut-être un temps fort brésilien.
25:21 Non, le ballon de captation...
25:22 - Ils n'arrivent pas à imposer leur jeu au milieu de terrain, quoi.
25:25 Je veux dire, avec des joueurs comme Guimares et Paqueta,
25:27 c'est chaque fois, au niveau de leurs attaques,
25:29 de leurs rares attaques, des ballons quand même en profondeur, quoi.
25:33 Jamais ce jeu de toque, tu vois, enfin, ce jeu brésilien,
25:38 enfin, il n'y a plus de football brésilien, maintenant, c'est perdu, tout ça.
25:41 Ah ben oui, c'est...
25:43 - Il faut aller dans la rue au Brésil.
25:45 - Même pas dans la rue, ils jouent avec...
25:47 Oui, bon, certaines rues, vraiment très, très populaires.
25:50 Mais même les entraîneurs, maintenant,
25:52 t'imposent, même au niveau des gosses,
25:55 à jouer à une touche de balle, à pas de dribbler, tout ça.
25:57 Il y a beaucoup de polémiques par rapport à ça au Brésil.
25:59 C'est pas mal, Olmo, c'est pas mal.
26:00 Il y a faute, non ? Non.
26:02 Mais c'était beau.
26:03 Non, c'est un drame.
26:07 La défaite du Brésil en 82,
26:11 suivie de celle en 86,
26:13 a été une catastrophe pour le football.
26:16 - Ah, pour le football mondial, pas...
26:19 - Oui, pour le football mondial.
26:20 Et pour le Brésil en particulier.
26:22 Et pour le football d'une manière générale.
26:24 Parce qu'ils se sont dit, on n'est pas assez costaud,
26:26 on n'est pas assez réaliste, on n'est pas...
26:28 Et ils ont perdu leur valeur.
26:30 Et au lieu de prendre ce qu'il y avait de bon chez l'européen,
26:33 ils ont tout pris.
26:34 Et d'autant plus que, dans le football actuel,
26:37 eh ben, on le voit avec Hendrick, qui arrive à 18 ans.
26:40 Autrefois, les grands joueurs brésiliens
26:43 jouaient, restaient au Brésil ou partaient tard.
26:45 Aujourd'hui, ils jouent en Europe de plus en plus tôt.
26:48 Et donc, on les fait jouer à l'européenne.
26:50 Et pour avoir une chance d'aller en Europe,
26:53 il faut qu'ils jouent au Brésil aussi à l'européenne.
26:55 C'est un cercle vicieux.
26:56 - Oh, l'Aminiamal !
26:58 Oh, l'Aminiamal !
26:59 Qu'est-ce qu'il est en train de nous faire face à Jean-Gobain,
27:01 à Patiency, face à Berraldo...
27:03 - Mais on ne peut pas lui en vouloir !
27:05 - Le retour inexémis de Lucas Berraldo
27:07 après s'être fait éliminer par l'Aminiamal.
27:10 - Mais c'est magnifique.
27:12 Il est tout seul et il le sait.
27:14 Magnifique roulette ici.
27:16 Mais quand il passe le deuxième joueur,
27:18 il regarde et il n'y a personne, tu vois.
27:20 C'est Olmo qui arrive, mais tard.
27:22 Mais là, on voit qu'au départ, effectivement,
27:24 il y a Morata, donc lui, il ne sera pas.
27:26 Mais Ruiz, Olmo et Williams, surtout.
27:28 Williams doit mettre un sprint en diagonale
27:30 et être dans cette surface de réparation.
27:32 Ce qui fait qu'après, il y a mal.
27:34 Et d'ailleurs, c'est ce qui...
27:36 Alors bon, là, il s'en prend peut-être un corner
27:38 qui demande, en l'occurrence,
27:40 de s'en plaindre auprès de ses partenaires.
27:42 Mais ça pouvait être ça aussi.
27:44 Parce que là,
27:46 Williams, Olmo et même Ruiz,
27:48 qui se projettent un peu plus que Rodry,
27:50 ils doivent être dans la surface de réparation.
27:52 Et ils la donnent tranquille.
27:54 Au Brésil, il y a le feu, hein, Hamza.
27:56 Je suis un peu inquiet, là.
27:58 - Effectivement, cette équipe brésilienne,
28:00 pour revenir sur ce que vous disiez,
28:02 le style, on pensait peut-être
28:04 qu'avec Fernando Diniz, puisqu'on l'a vu
28:06 avec Fluminense, il a emmené Fluminense
28:08 au sac continental en Libertadores.
28:10 - Oui, mais lui, il avait un jeu
28:12 qui se... Souviens-toi qu'il était
28:14 un peu enfant de la balle de Telecentana.
28:16 Telecentana, le sélectionneur en plastique
28:18 de 82-86 et champion du monde
28:20 avec le Sao Paulo, de Rai,
28:22 Pallinha, Cafu...
28:24 Leonardo était pas à ce match-là à Tokyo,
28:26 mais était aussi l'arrière-gauche
28:28 de Telecentana avec le Sao Paulo
28:30 Football Club à un moment, tu vois.
28:32 C'était toute autre chose.
28:34 - On va suivre d'abord cette attaque
28:36 avec Rodrigo, parce qu'il y a
28:38 une possibilité de réaction peut-être
28:40 pour le Brésil. Le jeu à 3, c'est bien fait !
28:42 Rodrigo dans la surface de réparation.
28:44 - Il a fermé la porte. - C'est la couverture, cette fois,
28:46 de Carvajal. - Oui, Carvajal a fermé la porte.
28:48 Avec son épaule, il s'est bloqué.
28:50 Et ça reste correct, rien à dire.
28:52 Il a été obligé de coulisser.
28:54 Là, il hésite, parce qu'il y a Vinicius.
28:56 Là, il sait qu'il est battu, et c'est maintenant
28:58 qu'il fait l'effort. Et il met le petit coup d'épaule
29:00 au bon moment. Et c'est vraiment un épaule contre épaule.
29:02 - Ça repart déjà de l'autre côté avec
29:04 Cucurella, Nico Williams. Et encore,
29:06 on ne voit pas le ballon dans la surface de réparation.
29:08 - Non, mais là encore, le ballon est loin,
29:10 donc on peut préparer l'action.
29:12 Mais tout à l'heure, c'était flagrant que Yamal allait aller
29:14 jusqu'à la ligne de but.
29:16 - Il y a demi-heure de jeu. L'Amin Yamal reprépare
29:18 Mendel. Et attention avec Vinicius, c'est une transition.
29:20 Il aime ce type de situation. - Oui, mais regarde,
29:22 tous les Brésiliens sont derrière, hormis un joueur.
29:24 - Il est condamné à l'exploit individuel.
29:26 - Ça doit être Rafinha. - Vinicius fait l'excellent
29:28 retour de la part de Robin Le Normand.
29:30 - C'est Rodrigo, peut-être.
29:32 Tous les autres Brésiliens
29:34 sont 15 mètres derrière. Parce qu'ils se propulsent
29:36 aussi vers l'avant.
29:38 Et ils n'arrivent pas à poser le jeu
29:40 et à avancer par petites touches.
29:42 On est loin des Falcao, Zico,
29:44 Socrates, Cerenzo,
29:46 Junior. Ils te mangent le ballon.
29:48 Ils te mangent le cerveau.
29:50 Et ils progressent. C'est fantastique.
29:52 C'était fantastique. - Vous parliez tout à l'heure
29:54 très rapidement de Tele Santana
29:56 et de São Paulo. Je vous invite.
29:58 Marcelo Bielsa, on lui avait posé la question lorsqu'il était
30:00 entraîneur de Leeds United. Il avait des étoiles
30:02 dans les yeux lorsqu'il... Parce qu'on le rappelle,
30:04 son New Wales a perdu en finale de Libertadores.
30:06 - Au tir au but. - Et il avait des étoiles
30:08 dans les yeux en citant tous les joueurs
30:10 qu'il y avait dans cette équipe de São Paulo.
30:12 - Et au tir au but, il perd un avec New Wales. C'est beau.
30:14 - En aller-retour au Brumbi... - Et après, des gens vont te dire
30:16 "Oui, il aurait gagné Bielsa, nia nia nia nia nia".
30:18 Allez, vous jetez à la mer.
30:20 - Le Camillien mal.
30:22 Carvajal.
30:24 En tout cas, sur cette première
30:26 demi-heure, la maîtrise, elle est clairement
30:28 espagnole. - De Joga Bonito
30:30 qui est rouge. Il est en rouge.
30:32 - Avec le normand. - Le Joga
30:34 Catastrofico
30:36 et Torriverde,
30:38 curieusement.
30:40 - La porte.
30:42 Première intention, non.
30:44 Nico Willens préfère quand même contrôler ce ballon
30:46 alors que Fabien N'Ruiz avait proposé une solution.
30:48 - Cucourais là à Rodry. - Oui, il se projette un peu,
30:50 Fabien N'Ruiz.
30:52 C'est sûr que pour lui, c'est une bonne chose
30:54 que Luis Enrique soit arrivé au PSG.
30:58 - Rodry.
31:00 - Ils ont un football,
31:02 ils se comprennent au niveau football.
31:04 Avec un autre entraîneur,
31:06 c'est plus souvent en plaçant,
31:08 à mon avis, peut-être.
31:10 - C'est sûr. - Ça va.
31:12 - Fabien N'Ruiz et Paquetta.
31:14 - Après Paquetta,
31:16 il est coquin aussi,
31:18 mais Luis ne doit pas avoir cette réaction.
31:20 Il y a un arbitre
31:22 pour ça, c'est sous ses yeux.
31:24 Et même s'il ne le voit pas,
31:26 ça fait un peu niveau division d'honneur.
31:28 Là, il y a quand même Brésil et Espagne.
31:30 Luis,
31:32 je ne sais pas combien de sélections,
31:34 il a une très grosse expérience.
31:36 - Avant le deuxième an.
31:38 - Il ne tombe pas du ciel.
31:40 Ce n'est pas son premier match international.
31:42 Mais là, pareil.
31:44 C'est bien qu'il fasse la morale,
31:46 tranquille, l'arbitre.
31:48 Mais le jaune,
31:50 il est pour Fabien N'Ruiz.
31:52 Alors évidemment.
31:54 En plus, ce n'est pas
31:56 l'attentat du siècle.
31:58 Mais je te dis,
32:00 il y a un règlement pour les matchs internationaux,
32:02 pour les matchs amicaux.
32:04 C'est ridicule.
32:06 - Il faut qu'il tienne son match.
32:08 Antonio Nobrez, on le rappelle,
32:10 c'est un arbitre qui a été appelé à la dernière minute.
32:12 Le portugais en remplacement de Jean-Claude Thimbault.
32:14 - Après, le match, il est correct.
32:16 Même ma grand-mère, elle l'arbitre ce match.
32:18 Il n'y a pas de soucis.
32:20 Mais ce genre de choses,
32:22 c'est comme si c'était une réaction épidermique.
32:24 Mais elle n'a pas lieu d'être.
32:26 - La relance avec Robin Le Normand.
32:28 Parvachal.
32:30 Rodry.
32:32 La plaque tournante depuis la retraite internationale de Bousquet.
32:34 C'est lui qui a pris ce rôle.
32:36 - Oui, absolument.
32:38 Et d'ailleurs, attention, William Sy
32:40 l'est passé peut-être.
32:42 Il y avait de l'idée.
32:44 Peut-être même parce que le gardien
32:46 était resté assez près de ses buts.
32:48 Il y avait peut-être plus d'espace encore
32:50 pour la mettre plus profonde.
32:52 - Avec la récupération de la paire de balles de Danilo.
32:54 Fabien Norwitz.
32:56 Danilo Le Maud peut-être recherché.
32:58 Et l'intervention de le retour
33:00 de Bruno Guimares.
33:02 - Petit extérieur de Williams, mais un peu timide.
33:04 - Fabrizio Bruno.
33:06 Joueur inconnu en Europe.
33:08 Mais qui a quelques références au Brésil.
33:10 Il est défenseur central de Flamengo.
33:12 - Bien sûr.
33:14 Attention, ça peut être dangereux.
33:16 Parce que là, Le Normand, il met la jambe très haute.
33:18 - Premier carton de la soirée.
33:20 - Oui, parce qu'il est en retard.
33:22 Il ne maîtrise pas.
33:24 Ce n'est pas une semelle.
33:26 Ce n'est pas violent, mais c'est quand même très haut.
33:28 Et quand il arrive en retard...
33:30 Ah oui, et puis il y a quand même contact.
33:34 - Logique.
33:36 - Et puis à l'arrivée, ça devient une semelle.
33:38 Oui, c'est plus que ça.
33:40 Je ne pensais pas qu'il le couchait de la sorte.
33:42 - Vinicius.
33:44 - Pourquoi pas une douleur.
33:46 - Ah, Paquetta, maladresse technique.
33:48 On ne cite pas trop Guimaraes.
33:50 Par rapport aux vagues de la Loja,
33:52 il est dans un rôle où il ne peut pas trop se distinguer.
33:54 Il subit.
33:56 Il doit un peu colmater.
33:58 Il y a tellement de brèches.
34:00 Il ne doit pas beaucoup se faire plaisir.
34:02 - L'Espagne, on a vu Luis de la Fuente.
34:04 C'est un joueur qui a été un peu déçu.
34:06 - Oui, c'est un joueur qui a été un peu déçu.
34:08 - Oui, c'est un joueur qui a été un peu déçu.
34:10 - Oui, c'est un joueur qui a été un peu déçu.
34:12 - L'Espagne, on a vu Luis de la Fuente
34:14 qui prépare son championnat d'Europe
34:16 avec une poule bien corsée dans un euro à 24.
34:18 Avec la Croatie, l'Italie et l'Albanie.
34:20 - Oui, il y a deux gros.
34:22 Vinicius, il est lancé avec un pied.
34:24 Et là, il laisse traîner.
34:26 Et il est jaune.
34:28 Bien sûr.
34:30 Et là, Vinicius, pareil.
34:32 C'est un joueur...
34:34 Il n'est pas jaune, là ?
34:36 - Je pense qu'il n'a pas sifflé faute.
34:38 - Il n'a pas sifflé faute.
34:40 Il a perdu le ballon là.
34:42 - C'est la fin de son élan.
34:44 - Et il ne s'arrête pas.
34:46 Il est très critiqué par rapport à ça, Vinicius.
34:48 C'est un joueur un peu...
34:50 Tu vois quand même...
34:52 Qui bien souvent est à la limite
34:54 et au-delà de la limite
34:56 au niveau de l'état d'esprit quand même.
34:58 - Attention avec la relance.
35:00 - Oh là là !
35:02 Il y a une erreur de Bruno Guimares
35:04 sur cette relance de Bento.
35:06 Il va passer loin du 2-0.
35:08 - Et le voilà Bento,
35:10 le gardien de l'Atlético Paranaense.
35:12 24 ans.
35:14 - Dans le lait chaud, il y était.
35:16 Le lait brûlant.
35:18 - Mais attention parce que le Brésil se retrouve...
35:20 - Oui mais Rafinha ne fait pas grand-chose.
35:22 Rafinha, Rafinha, Rafinha...
35:24 Et après...
35:26 - Oui, Vinicius derrière le Normand.
35:28 Un peu en catastrophe.
35:30 Il dégage ce ballon.
35:32 Et attention à cette transition.
35:34 Ça peut aller très vite.
35:36 - Il y a mal, il y a mal.
35:38 - On n'a même pas eu le temps de voir le ralenti
35:40 de la grosse situation espagnole tout à l'heure.
35:42 Ce n'est pas fini.
35:44 - Daniel Mo.
35:46 Oh le petit pont de Daniel Mo !
35:48 - Oui !
35:50 - Oh Daniel Mo !
35:52 Quel but exceptionnel
35:54 de la part du joueur de Razenball Sport Leipzig.
35:56 Daniel Mo,
35:58 il s'est cru au quartier
36:00 avec ce petit pont exceptionnel.
36:02 Oh c'est un but qui le...
36:04 va faire entrer
36:06 clairement dans la légende
36:08 de cette nouvelle génération espagnole.
36:10 Huitième en sélection.
36:12 2-0 pour l'Espagne face au Brésil
36:14 grâce au coup de génie,
36:16 à la maestria de Daniel Mo.
36:18 - Un magnifique extérieur
36:20 du pied effectivement.
36:22 Un geste
36:24 dans les fives, dans la rue.
36:26 C'est un peu le football de rue.
36:28 Il est pas hors-jeu j'espère pour lui.
36:30 Il a le temps de se retourner.
36:32 Et derrière,
36:34 il enchaîne, il a un petit contre favorable
36:36 devant, je crois que c'est
36:38 Guimaraes à qui rien ne sourit.
36:40 Aujourd'hui, Guimaraes il doit prendre
36:42 ce ballon.
36:44 Et là c'est terrible.
36:46 Alors évidemment, pour
36:48 le pauvre Beraldo Pecher du PSG
36:50 qui lui aussi, au nord,
36:52 a sa deuxième sélection.
36:54 Ça fait mal, mais derrière, Guimaraes
36:56 doit être présent. Il est beaucoup
36:58 trop sûr de lui. Et après pour Olmo,
37:00 c'est facile. L'action
37:02 où il y avait quatre Espagnols parce que les autres
37:04 n'ont pas suivi. Et il y avait
37:06 cinq Brésiliens. Mais il me semble
37:08 que c'est encore un ballon perdu bêtement
37:10 aux alentours de la surface de réparation.
37:12 Est-ce que c'est Rodrigo Rafinha qui est parti
37:14 dans des dribbles totalement
37:16 impossibles ? Et
37:18 le Brésil est bien
37:20 bousculé. Et le score par rapport à
37:22 ce qu'on voit est assez logique.
37:24 Yamal, il est intéressant
37:26 quand même parce qu'il dribble
37:28 beaucoup, il tente des choses. Mais après,
37:30 il a un jeu simple et très collectif.
37:32 C'est lui qui fait la passe à Olmo
37:34 là, alors qu'il peut aussi
37:36 tenter quelque chose.
37:38 Je pense que
37:40 peut-être Aminixius Junior
37:42 en face, je ne sais pas s'il la donne de manière
37:44 aussi simple que ça. Tu vois, tu as des joueurs
37:46 qui sont un peu plus... Lui, il réussit
37:48 à trouver le
37:50 bon rythme entre
37:52 les deux. Entre provoquer
37:54 et donner.
37:56 C'est discutable, ça va,
37:58 il va se relever.
38:00 Et la relance. Quel but !
38:02 Quelle inspiration ! Il faut être...
38:04 Oui, mais...
38:06 Il faut avoir un grain dans le cerveau, excusez-moi,
38:08 pour tenter ça sur Lucas Beraldo.
38:10 Oui, mais Beraldo,
38:12 il faut aussi que
38:14 les joueurs d'en face le permettent
38:16 entre guillemets. C'est magnifique ce qu'il fait.
38:18 Mais quand il reçoit la balle, qu'il ait le temps
38:20 de se retourner
38:22 et d'être face au jeu, parce qu'il est dos au jeu
38:24 quand il la reçoit, et qu'il se retourne
38:26 et que Beraldo est encore à 1 mètre
38:28 et qu'il fasse un coup un peu
38:30 de l'élastique, parce qu'avec le pied, tac, tac,
38:32 et après entre les jambes, je ne parle même pas
38:34 de l'intervention ratée de Guimaraes,
38:36 ça montre que Beraldo,
38:38 Louis-Heinriquet, quand il voit ça,
38:40 il doit avoir quand même des petites sueurs froides
38:42 et se dire, évidemment, c'est un bon joueur
38:44 et un joueur en devenir, mais...
38:46 Aïe, aïe, aïe !
38:48 Ça ne doit pas exister à ce niveau-là, quand même.
38:50 Mais c'est beau,
38:52 et le mot, fantastique.
38:54 On rappelle, Beraldo, qui fait partie de ces nombreux joueurs
38:56 sur cette trêve internationale, à découvrir
38:58 la sélection comme Bento, le gardien,
39:00 la charnière centrale, Lucas Beraldo
39:02 et Fabrizio Bruno, aussi découvrent
39:04 le niveau international. Wendel, le latéral gauche
39:06 de Porto, fête sa deuxième sélection
39:08 et a fêté sa première à Wembley.
39:10 Jean Gomes, attention avec cette erreur,
39:12 et attention, le l'Olympique, et c'est magnifique !
39:14 C'est incroyable !
39:16 Quelle erreur d'Onais Simon et ses
39:18 Rodrigo, l'enfant
39:20 du Real Madrid, l'enfant de Bernabéu
39:22 qui relance le Brésil.
39:24 Alors, deux ans, ce n'est peut-être pas mérité
39:26 au vu de la physionomie de cette première période,
39:28 mais il faut parfois aussi
39:30 profiter des erreurs adverses.
39:32 Il y avait une erreur dans le même genre
39:34 tout à l'heure, avant le deuxième but,
39:36 mais elle était brésilienne, entre Guimaraes,
39:38 le gardien, etc., qui n'avait pas été
39:40 exploité par l'Espagne, et là,
39:42 c'est incroyable,
39:44 il a tout le temps le fameux jeu au pied,
39:46 tu vois, je te la donne, je te la redonne,
39:48 je te la redonne encore, et résultat des courses,
39:50 il ne nous fait pas une Donnarumma,
39:52 ce ne serait pas gentil pour le gardien italien,
39:54 mais à force, maintenant, tu vois,
39:56 il top la balle, en fait, elle ne part pas,
39:58 et Rodrigo, il a anticipé
40:00 cette balle qui était pour Fabian Ruiz,
40:02 et ce jeu,
40:04 il enclenche souvent des fautes de la sorte,
40:08 et des buts un peu...
40:10 La reprise de volée !
40:12 Quel arrêt exceptionnel de Pinto,
40:14 alors avec beaucoup de réussite,
40:16 il est sur la trajectoire du ballon,
40:18 au départ, il y a peut-être un hors-jeu, l'arbitre va siffler,
40:20 peut-être sur la frappe de Rodrigo,
40:22 il est hors-jeu, notre ami...
40:24 Là, ça va, boum, sur la frappe,
40:26 et après, elle va revenir sur un joueur
40:28 qui se trouve en position de hors-jeu,
40:30 mais si il y a but là, mais elle est sur lui,
40:32 elle est sur lui,
40:34 elle n'est pas parfaite, puisqu'elle est sur lui,
40:36 le geste, oui,
40:38 il n'y a rien à dire,
40:40 c'est un match,
40:42 j'espère que, voilà,
40:44 sur les écrans, vous prenez du plaisir,
40:46 parce qu'il y a pas mal de belles choses.
40:48 Et là, Rodri,
40:52 il se mêle sur Rafinha,
40:54 sur les côtés, Rafinha et Vinicius,
41:00 alors ils n'ont pas été aussi sollicités
41:02 dans les meilleures conditions,
41:04 comme l'ont été Williams et Yamal,
41:06 vis-à-vis espagnols, bien sûr,
41:08 mais quand même,
41:10 il y a eu un pénalty fantôme,
41:12 et là, c'est deux trains fantômes, quoi,
41:14 sur les côtés,
41:16 on va voir en deuxième mi-temps ce que ça donne,
41:18 mais pour l'instant, il n'y a que Rodrigo
41:20 qui seul, un petit peu, a réussi à se démarquer
41:22 de certaines choses.
41:24 - Oh, et on le retrouve, Rodrigo. - Presque, oui.
41:26 - Oh là là, Daniel Moe, avec en plus de la réussite,
41:30 il a même la réussite,
41:32 Daniel Moe, pour prendre le meilleur
41:34 sur Fabrizio Bruno, mais le retour de Lucas Beraldo.
41:36 - Oui.
41:38 - Et ça change désormais entre Laporte
41:46 et Guimares, et l'écartement pour les deux.
41:48 Laporte et Guimares avertis,
41:50 la charnière centrale espagnole,
41:52 et du coup, sous la menace d'une exclusion.
41:54 Parce que le Normand a déjà été averti.
42:02 - Exact. Je pense qu'en deuxième mi-temps,
42:04 il va nous mettre quand même
42:06 le petit génie de Barcelone, non ?
42:08 - Ou Barcy. - Oui.
42:10 Enfin, à terme, il va prendre la place de Laporte,
42:14 qui évolue, on le rappelle, en Arabie saoudite.
42:16 Donc c'est pas toujours l'idéal aussi,
42:18 puisque c'est quand même pas le football
42:20 de très très haut niveau.
42:22 Et tout le monde en Espagne, en tout cas,
42:26 dit que prochainement, ça va être le petit phénomène.
42:28 - Daniel Moe, avec Nico Williams,
42:32 à la Minimal, sollicitait le ballon
42:34 dès le départ de l'action, puisqu'il était tout seul.
42:36 - Olmo est un peu un 10 à l'ancienne.
42:38 C'est un 9,5, mais aussi 10.
42:40 Enfin, alors, il y a les 10 qui sont plus bas,
42:42 oui, sur Audrey, les premières rampes de lancement.
42:44 Mais Olmo participe quand même
42:46 beaucoup au jeu.
42:48 Il essaie de se placer entre les lignes.
42:50 On voit pas beaucoup Morata, du coup.
42:52 - Nico Williams repris par Danilo.
42:58 - Le pauvre, il n'a rien demandé.
43:00 - Ouais.
43:02 - Mais oh, attention Audrey, ouais.
43:04 Ça se voit bien, avec la faute de Jean Gomez.
43:08 Le terrain de Wolverhampton.
43:14 - Et le ballon, c'est le dernier.
43:18 - Le dernier, c'est le dernier.
43:20 - Et le dernier, c'est le dernier.
43:22 - Et le dernier, c'est le dernier.
43:24 - Et le dernier, c'est le dernier.
43:26 - Et le dernier, c'est le dernier.
43:28 - Et le dernier, c'est le dernier.
43:30 - Et le dernier, c'est le dernier.
43:32 - Et le dernier, c'est le dernier.
43:34 - Et le dernier, c'est le dernier.
43:36 - Et le dernier, c'est le dernier.
43:38 - Et le dernier, c'est le dernier.
43:40 - Et le dernier, c'est le dernier.
43:42 - Et le dernier, c'est le dernier.
43:44 - Et le dernier, c'est le dernier.
43:46 - Et le dernier, c'est le dernier.
43:48 - Et le dernier, c'est le dernier.
43:50 - Et le dernier, c'est le dernier.
43:52 - Et le dernier, c'est le dernier.
43:54 - Et le dernier, c'est le dernier.
43:56 - Et le dernier, c'est le dernier.
43:58 - Et le dernier, c'est le dernier.
44:00 - Et le dernier, c'est le dernier.
44:02 - Et le dernier, c'est le dernier.
44:04 - Et le dernier, c'est le dernier.
44:06 - Et le dernier, c'est le dernier.
44:08 - Et le dernier, c'est le dernier.
44:10 - Et le dernier, c'est le dernier.
44:12 - Et le dernier, c'est le dernier.
44:14 - Et le dernier, c'est le dernier.
44:16 - Et le dernier, c'est le dernier.
44:18 - Et le dernier, c'est le dernier.
44:20 - Et le dernier, c'est le dernier.
44:22 - Et le dernier, c'est le dernier.
44:24 - Et le dernier, c'est le dernier.
44:26 - Et le dernier, c'est le dernier.
44:28 - Et le dernier, c'est le dernier.
44:30 - Et le dernier, c'est le dernier.
44:32 - Et le dernier, c'est le dernier.
44:34 - Et le dernier, c'est le dernier.
44:36 - Et le dernier, c'est le dernier.
44:38 - Et le dernier, c'est le dernier.
44:40 - Et le dernier, c'est le dernier.
44:42 - Et le dernier, c'est le dernier.
44:44 - Et le dernier, c'est le dernier.
44:46 - Et le dernier, c'est le dernier.
44:48 - Et le dernier, c'est le dernier.
44:50 - Et le dernier, c'est le dernier.
44:52 - Et le dernier, c'est le dernier.
44:54 - Et le dernier, c'est le dernier.
44:56 - Et le dernier, c'est le dernier.
44:58 - Et le dernier, c'est le dernier.
45:00 - Et le dernier, c'est le dernier.
45:02 - Et le dernier, c'est le dernier.
45:04 - Et le dernier, c'est le dernier.
45:06 - Et le dernier, c'est le dernier.
45:08 - Et le dernier, c'est le dernier.
45:10 - Et le dernier, c'est le dernier.
45:12 - Et le dernier, c'est le dernier.
45:14 - Et le dernier, c'est le dernier.
45:16 - Et le dernier, c'est le dernier.
45:18 - Et le dernier, c'est le dernier.
45:20 - Et le dernier, c'est le dernier.
45:22 - Et le dernier, c'est le dernier.
45:24 - Et le dernier, c'est le dernier.
45:26 - Et le dernier, c'est le dernier.
45:28 - Et le dernier, c'est le dernier.
45:30 - Et le dernier, c'est le dernier.
45:32 - Et le dernier, c'est le dernier.
45:34 - Et le dernier, c'est le dernier.
45:36 - Et le dernier, c'est le dernier.
45:38 - Et le dernier, c'est le dernier.
45:40 - Et le dernier, c'est le dernier.
45:42 - Et le dernier, c'est le dernier.
45:44 - Et le dernier, c'est le dernier.
45:46 - Et le dernier, c'est le dernier.
45:48 - Et le dernier, c'est le dernier.
45:50 - Et le dernier, c'est le dernier.
45:52 - Et le dernier, c'est le dernier.
45:54 - Et le dernier, c'est le dernier.
45:56 - Et le dernier, c'est le dernier.
45:58 - Et le dernier, c'est le dernier.
46:00 - Et le dernier, c'est le dernier.
46:02 - Et le dernier, c'est le dernier.
46:04 - Et le dernier, c'est le dernier.
46:06 - Et le dernier, c'est le dernier.
46:08 - Et le dernier, c'est le dernier.
46:10 - Et le dernier, c'est le dernier.
46:12 - Et le dernier, c'est le dernier.
46:14 - Et le dernier, c'est le dernier.
46:16 - Et le dernier, c'est le dernier.
46:18 - Et le dernier, c'est le dernier.
46:20 - Et le dernier, c'est le dernier.
46:22 - Et le dernier, c'est le dernier.
46:24 - Et le dernier, c'est le dernier.
46:26 - Et le dernier, c'est le dernier.
46:28 - Et le dernier, c'est le dernier.
46:30 - Et le dernier, c'est le dernier.
46:32 - Et le dernier, c'est le dernier.
46:34 - Et le dernier, c'est le dernier.
46:36 - Et le dernier, c'est le dernier.
46:38 - Et le dernier, c'est le dernier.
46:40 - Et le dernier, c'est le dernier.
46:42 - Et le dernier, c'est le dernier.
46:44 - C'est le dernier.
46:46 - Et le dernier, c'est le dernier.
46:48 - Et le dernier, c'est le dernier.
46:50 - Et le dernier, c'est le dernier.
46:52 - Et le dernier, c'est le dernier.