• il y a 8 mois

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Sport
Transcription
00:00:00 [Musique]
00:00:26 [Musique]
00:00:33 1995, le PSG fait vibrer la France en Ligue des champions.
00:00:38 Les buts fantastiques de Jorge Oea, le match de l'année contre Barcelone.
00:00:41 Pour le public et pour les hommes de Fernandez, une aventure inoubliable.
00:00:45 [Cris]
00:00:46 Canal+ vidéo et TF1 vidéo présentent
00:00:49 Euro-PSG, le parcours d'un grand d'Europe.
00:00:53 Europe 1 présente 100 ans de stars à l'OM.
00:00:57 Les joueurs d'hier et d'aujourd'hui qui ont fait vibrer le stade Vélodrome.
00:01:02 100 ans de stars à l'OM, une cassette vidéo de légende.
00:01:08 Hypercube vidéo présente les dieux de la boxe.
00:01:12 Toutes catégories confondues, qui est le plus grand boxeur de tous les temps ?
00:01:16 Ali, Robinson, Duran, Jolui ou Mike Tyson.
00:01:21 Hypercube vidéo, la collection que la boxe attendait.
00:01:24 Les dieux de la boxe pour connaître enfin la décision finale.
00:01:28 Jack Dempsey, George Carpenter, Joe O'Hare, Mark Jell, Ashton Square.
00:01:34 Hypercube vidéo présente les rois du ring.
00:01:37 La légende des polos comme on ne l'a jamais montré.
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00:01:51 [Musique]
00:01:59 La plupart des vidéocassettes de football vous montrent les meilleurs moments des Coupes du Monde.
00:02:05 Scène d'Alegría Sagogo, face Inublia, but d'anthologie
00:02:10 et joie du vainqueur à la remise du trophée suprême.
00:02:14 Mais la Coupe du Monde, Simon, ce n'est pas que cela.
00:02:17 En effet, combien de ratés exceptionnels, d'actions stupides, de gestes catastrophiques
00:02:23 [Cris de la foule]
00:02:27 agrémentent l'ordinaire de nos soirées mondialistiques de manière souvent fort surprenante.
00:02:31 C'est à ce festival de maladresse que vous êtes aujourd'hui conviés.
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00:04:14 [Cris de la foule]
00:04:20 Ils ne sont pas contents et ils reviennent.
00:04:23 Putain, ça va faire mal. Ils vont se comporter comme des âmes.
00:04:29 Madame, mademoiselle, monsieur, dans la série, c'est plus dur de la mettre dehors que de la mettre au fond des filets.
00:04:36 Voici par ordre d'entrée en scène le grand Rudy Voller.
00:04:40 Ah, grosse malheur.
00:04:42 Grosse malheur. Et dites-nous, cher Bruno Conti, comment le traduiriez-vous en italien ?
00:04:49 Ah, ah, porca miséria, mamma mia.
00:04:53 Non, sur la lentille, je crois que c'est clair. Il y a trois solutions. La bonne, la mauvaise et la pire.
00:04:59 Le centre en retrait, Thierry, c'est l'arme absolue. Et d'ailleurs, Diego Maradona le sait bien.
00:05:11 Ah ouais, mais Valdano, lui, l'a pas compris.
00:05:14 Absolument, c'est une parodie de football.
00:05:16 Et merde, la colombe.
00:05:19 Mes très chers frères, souvenez-vous de la parole de Dieu qui est le coach de tous les hommes.
00:05:25 Si tu n'y arrives pas tout seul, mais hésite-toi à plusieurs, quitte à louper, autant y aller franchement.
00:05:31 Bonsoir, bienvenue ce soir à Toiles Étoiles, pour un match Angleterre-Brésil-IWR.
00:05:45 Une défense de fer, une attaque de feu et une adresse de... fuck.
00:05:53 Hé, la passe, la passe, la passe. Hé, tiens, regarde, celle-là. Hé, celle-là, là, tu sais le faire ?
00:06:00 Attends, non, non, non, attends, c'est pas fini, je la récupère, je contrôle, je pose le pied dessus et je la mets en touche.
00:06:07 T'es con, fous-la carrément à côté, c'est tellement plus marrant. T'as vu ?
00:06:14 T'as maté la blonde de là-haut ? Je te la montre, pas celle-là, celle-là. Comme elle est bonne.
00:06:19 Et tout de suite, chers auditeurs, on se retrouve dans un instant après quelques maladresses.
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00:06:28 [Applaudissements]
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00:07:16 Premier exportateur mondial de vodka, la Pologne est d'abord et avant tout une grande nation du football.
00:07:27 Mais pour vous marquer, il faut choisir.
00:07:29 Ah ben moi j'ai choisi, puis de toute façon, moi je visais là-bas.
00:07:33 [Musique]
00:07:37 Ah, ah, ah, ok, d'accord, et si tu te souviens, moi y'a pas de raison qu'on s'y mette pas aussi, tiens, et ça, tu sais le faire ?
00:07:49 Ah là, d'accord, ah là t'es le plus fort.
00:07:52 [Musique]
00:07:57 Eh ben, Onyek, c'est lui le meilleur.
00:08:00 Spignoub Onyek, il a inspiré les plus grands avancentres de la planète.
00:08:05 1986, France-Canada, Jean-Pierre Papin.
00:08:09 [Rires]
00:08:13 T'as noté comment j'l'ai pas mis à côté, hein ?
00:08:18 Et pour nous abonner, la même action, vue sous un autre angle, grâce à la caméra isolée.
00:08:24 Mais qu'est-ce que c'est que ce binz ? C'est Papin, Papin, toujours Papin.
00:08:27 Vous êtes viré, mon vieux, ok ?
00:08:30 À présent, fini de rire, France, Coupe du Monde 86, sans doute la meilleure équipe de la planète,
00:08:36 giraient sous platini pour tirer ce coup franc lié à une place en finale à la clé.
00:08:41 Et bossistes comme moi, 82, et toujours contre l'Allemagne, loupent le coche.
00:08:45 Désolé les gars, mais les finales, moi c'est pas mon truc, je préfère le scrabble.
00:08:50 [Bruit de moteur]
00:08:53 Et connaissance du monde, retrouvons à présent nos amis polonais.
00:08:58 Et si je veux, je me couche par terre, et si je veux, je la mets de la tête.
00:09:04 Et voilà, t'as pas vu ? Remets-nous une auralentiche.
00:09:10 [Bruit de moteur]
00:09:14 [Bruit de moteur]
00:09:17 Tu vois, le foot c'est super, mais sans gardien, pour moi c'est trop facile.
00:09:28 Tu vois, ça m'intéresse vraiment.
00:09:30 [Bruit de moteur]
00:09:40 À présent, un petit conseil à l'usage des fainéants et des jeunes recrues.
00:09:44 Faut jamais se décourager. Si ça rentre pas à la grenade, allez-y au mortier.
00:09:49 Ou si vous préférez, si ça veut pas rentrer par la porte, ici par la fenêtre !
00:09:53 [Bruit de moteur]
00:10:07 Scénario identique, Italie-France 1978,
00:10:11 et au passage, merci Marius pour cette toile aux conséquences lamentables.
00:10:15 [Bruit de moteur]
00:10:19 Et pour finir le Brésil, on le corre toujours face à la Pologne.
00:10:34 Souvenir d'une bataille singulièrement laborieuse.
00:10:37 [Bruit de moteur]
00:10:40 [Bruit de moteur]
00:11:09 [Bruit de moteur]
00:11:12 [Bruit de moteur]
00:11:15 - Oh non, attends, ils sont bons ces Brésiliens !
00:11:21 - Je te parle pas des Brésiliennes, électriques !
00:11:24 [Bruit de moteur]
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00:13:43 [Applaudissements]
00:13:46 Ça crée des pressions sur la grande coupe du monde de 1974.
00:14:06 Les organisateurs ouest allemands, dont on saluera au passage l'esprit d'initiatives
00:14:10 et d'organisations bien connues, avaient eu, pour décider des heures de match, recours
00:14:14 au service des statistiques de la météorologie nationale locale, avec l'heureux résultat
00:14:20 que nous pouvons admirer ici.
00:14:21 Curieusement, en 1918, les argentins n'ont pas repris l'idée.
00:14:25 Tant mieux les gars, tant mieux !
00:14:27 Allez, bon vent !
00:14:29 Angleterre-Brésil, lors de la coupe du monde du Chili en 1962, des images intolérables
00:14:35 et à la limite du supportable qui n'ont pas manqué d'alerter autres reporters.
00:14:39 Oui Patrick, je m'insurge contre ces traitements ignobles qui chaque jour de la coupe du monde
00:14:46 se pratiquent sur tous les terrains de football.
00:14:49 J'en ai parlé au pape, au président de la république et même à Michel Platy.
00:14:54 Regarde comme c'est drôle, Brigitte, il y a un chien sur le terrain.
00:14:57 Je vous le demande, il est temps que nos amis à quatre pattes puissent s'amuser aussi avec
00:15:03 ce gros ballon.
00:15:04 Est-ce que ne sont-ils donc pas des êtres humains comme tout le monde ?
00:15:08 Ah ben c'est une action magnifique, il a dribblé son adversaire et il a fait semblant de frapper.
00:15:14 Non mais c'est une action pareille, c'est à se mettre à genoux devant, Godferdek.
00:15:18 Tiens celui-là, tu le mets au congélateur, on le fera cuire avec des cèpes.
00:15:24 Alors ce soir sur notre chaîne c'est le grand rendez-vous que vous attendiez tous,
00:15:37 la remise des oscars de la grande arnaque et du pipo.
00:15:41 Tous les billets se sont arrachés, les plus grandes stars du football ont répondu présent,
00:15:46 c'est formidable, je crois qu'il faut les remercier.
00:15:49 Pour le trophée du meilleur plongeur, notre grand favori sera naturellement Jürgen Klinsmann.
00:15:56 Formidable, dit, c'est Jürgen Klinsmann, bourré de talent, regardez, il est magnifique.
00:16:00 Klinsmann, souvent imité, jamais égalé, il est formidable.
00:16:04 Et c'est la fin du film, merci à tous.
00:16:08 (Musique)
00:16:33 Impossible de passer sous silence notre catégorie, les rois du silence.
00:16:38 C'est un régal, on y retrouve tous les plus grands, formés à l'école de la tragédie italienne,
00:16:43 revisités par les meilleurs réalisateurs d'Hollywood,
00:16:47 ils se roulent par terre, ils se rajoutent, ils sont superbes dans leurs petits shows.
00:16:58 Oh, qu'est-ce que c'est bien, hein, et ce grand Polonais, là, il est beau, il est blond, il est moustachu,
00:17:04 il sent le sable, hein, il s'appelle Andrusz Armak, il est superbe, hein.
00:17:08 Oh, t'as regardé, il est superbe, son grand maillot rouge, il est vraiment au bord du chaos,
00:17:12 c'est quand même un grand artiste, hein. Allez, debout, mon gamin, voilà, c'est bien.
00:17:18 (bruits de la foule)
00:17:30 Et que dire alors du merveilleux Argentin Larossa, avec deux R, regardez ses sensibilités.
00:17:40 Étonnant, non? Dix secondes à peine pour encaisser un coup. Il est superbe, tu es beau.
00:17:47 Mais à ce jeu, le plus grand, le remettra à tous, c'est tout de même le Galois, Évitt, au nom prédestiné.
00:18:01 Plus beau qu'Audrey Hepburn et digne de Rita Ewertz. Admirez la mise en scène.
00:18:06 (applaudissements)
00:18:12 Tu n'as pas volé ton Oscar, tiens mon gant.
00:18:16 Ozone, ozone, la grande kermesse du truandage a fond la caisse dans la surface de réparation. Ozone.
00:18:23 Avec les meilleurs spécialistes du genre, Joseph Barmousse.
00:18:33 Les deux duétistes ongrois, Kovacs et Esterhazy.
00:18:38 Sans oublier le Chilien, Patricio Yanez.
00:18:51 Merci les filles, merci.
00:19:00 Et pour finir, Pierre Limbarski, un orfeu.
00:19:03 Alors, pour le vainqueur du grand trophée de toute catégorie, nous avons choisi Patricio Yanez pour l'ensemble de son oeuvre.
00:19:16 Il est formidable, regardez. Il l'a bien mérité, il est formidable, bourré de talent, il est magnifique.
00:19:21 Merci à SFP, merci au terrain, merci au ballon aussi. Merci.
00:19:25 Je suis sûr qu'il va y avoir des spectateurs aussi.
00:19:28 Yanez s'est fait tomber du parc.
00:19:31 Yanez, bien fait.
00:19:33 Il regarde la finale et cette fois, il l'a eu.
00:19:36 Encore, il va au-dessus, Yanez.
00:19:43 Si on pouvait le faire en un seul tour, je pense qu'il serait le champion du monde.
00:19:50 Alors maintenant, c'est l'histoire d'un mec, il a deux pieds gauches, le mec.
00:19:54 Et en plus, il a un pote. C'est le même, mais en pire.
00:20:03 Vous voyez ? Voilà.
00:20:05 C'est comment, pire ? Ah ben, pire que pire, tu vois, pire.
00:20:14 Eh ben, c'est encore pire.
00:20:16 Pire que pire, regarde.
00:20:18 Je ne savais pas que les joueurs s'abroutaient.
00:20:20 Et ça bouffe.
00:20:22 Écoutez, vous trouvez ça drôle ?
00:20:24 Si c'est comme ça, je m'en vais moi.
00:20:26 Et maintenant, une page de pub en pleine tête.
00:20:44 En pleine tête.
00:20:46 À moi, les paparazzi, je n'ai pas pu les supporter.
00:20:56 Vous savez ce que je leur fais aux paparazzi ?
00:20:58 Je leur rentre dedans.
00:21:00 Là, c'était juste pour montrer.
00:21:04 La prochaine fois, je mettrai une coquille.
00:21:07 Et là, c'est moi au ralenti.
00:21:12 Et là, c'est moi au ralenti.
00:21:14 Les paparazzi, les paparazzi et les photographes.
00:21:16 Et là, c'est moi.
00:21:18 Et là, c'est moi.
00:21:20 Et là, c'est moi.
00:21:22 Et là, c'est moi.
00:21:24 Et là, c'est moi.
00:21:52 Sur ce dégagement, adressons un amical clin d'œil à notre ami Daniel Pazarella.
00:21:57 Champion du monde en 78.
00:21:59 Et depuis, entraîneur de l'équipe d'Argentine.
00:22:01 Comme entraîneur, Pazarella n'aime pas les joueurs à cheveux longs.
00:22:05 À l'époque où il était joueur, c'était plutôt les passes longues qui semblaient lui poser problème.
00:22:08 Merci Daniel, merci.
00:22:10 Et court en anglais, ça se dit comment ?
00:22:13 Ça se dit short.
00:22:15 Et en argentin ?
00:22:17 Bon, petit gars, je vais te dire une bonne chose.
00:22:19 Dans la vie, il y a ceux qui savent et puis il y a ceux qui ne savent pas.
00:22:22 Tu as les génies et puis tu as les toquages.
00:22:24 Tu as à côté les princes du dribble et tes nords du contre-pied.
00:22:27 Des gars qui te bousillent le moral d'une défense en deux coups de cuillère à peau.
00:22:31 Qu'est-ce que je disais ?
00:22:33 Le Johan Cruyff, c'était une épée, un cador.
00:22:37 Je suis objectif, on en causera encore dans 100 piges.
00:22:40 Ouais, mais tu as aussi les cafres du tricot.
00:22:42 Celui-là, j'ai déjà tout oublié, même son état civil.
00:22:48 Et le Jersinho, alors là, pardon.
00:22:50 L'homme de Rio avait l'esprit vengeur et le pied séculier.
00:22:53 La puissance d'un croiseur, des flingues de concours, et crois-moi qu'il savait s'en servir.
00:22:57 Mais moi, j'appelle ça un monsieur.
00:23:00 Les frangiles se découvraient rien qu'en entendant son blague.
00:23:03 C'est tout dit.
00:23:04 En revanche, la Panzer, c'était peut-être du solide, mais coté rapidement.
00:23:08 Merci, tu repasseras.
00:23:17 À cette époque, excuse-moi, le supporter brésilien, il en avait pour son pèse.
00:23:20 Clodoaldo, t'as connu ?
00:23:22 Trois dribbles enchaînés.
00:23:23 Pardon, monsieur, bonjour, madame, et la passe millimétrée pour finir.
00:23:27 Ah, mais alors là, j'excute pas.
00:23:29 Par contre, quand t'as besoin d'eux, je la ramène du vin pour les carpettes.
00:23:32 Et il vient nous jouer les seigneurs du ballon, alors là, si tu l'as pensé, il nous les brise menu.
00:23:38 Des images bouleversantes ce soir, que nous avons tout de même décidé de vous montrer.
00:23:44 Le but contre son camp, c'est le cauchemar du footballeur.
00:23:48 Alors, sans voyeurisme aucun, ni volonté de nuire, bien sûr, et encore moins de choquer,
00:23:54 arrêtons-nous un instant sur ces images de détresse et d'abandon.
00:23:58 De Madame le Prieur, d'un Goncoutinville, 1982, ces images Angleterre, Tchécoslovaquie.
00:24:06 Nos amis d'Outre-Montre n'y arrivaient pas tout seuls.
00:24:08 Heureusement, Joseph Barmos est là.
00:24:11 Non, mesdames, messieurs, s'il vous plaît, un petit peu de silence, ça peut arriver, s'il vous plaît, on se calme.
00:24:17 Magnifique action en présence de la grande équipe d'Alma-Indéles, en 1974, contre l'impérialisme australien.
00:24:34 Et là, pour la première fois, on voit le capitalisme qui cède globalement aux travailleurs.
00:24:40 de travailler dans le filet.
00:24:42 À noter surtout la grande solidarité des joueurs australiens
00:24:52 qui viennent tous réconforter leurs partenaires malheureux.
00:24:55 Oh, chéri, chéri, ça rentre ? Ça rentre pas ?
00:25:00 Ça rentre ? Ça rentre pas ? Oui ? Non ? Oui !
00:25:07 Marimarimarima ! La Hollande, c'est l'autre pays du fromage !
00:25:10 Et chacun sait que le meilleur terrain de fromage, c'est les trous !
00:25:14 Oh, merci, mon petit !
00:25:18 Rien de dramatique, toutefois, la Hollande l'emporte ce jour-là.
00:25:24 4-1 contre les Bulgares malgré ce joli but de Rudi Krohl.
00:25:29 Mais décidément, le Bata va parfois des faiblesses.
00:25:36 Il l'est même 4 ans plus tard en Argentine face à l'Italie.
00:25:39 Comme aime mal le rappeler Thierry, notre maître à tous,
00:25:42 ça arrive même au meilleur.
00:25:44 Et pour faire bonne mesure, il blesse aussi son propre gardien dans la foulée.
00:25:51 Ah bah absolument ! C'est ce qu'on appelle le football total !
00:25:54 On va manquer la classe, un début comme ça, moi, jamais tous les dimanches !
00:26:04 Je suis fatigué, moi, en ce moment, je sais pas ce que j'ai, un vrai coup de pompe.
00:26:08 Oui, c'est ça, allez, c'est ça, rentre chez toi, vieux, allez, laisse-le faire.
00:26:14 Prenez un attaquant occidental bien connu de nos services secrets.
00:26:21 Placez-le dans une position propice à l'exploit individuel.
00:26:24 La joie de l'Italien exubérant fait plaisir à voir.
00:26:33 C'est l'effet magique d'une spécialité coréenne bien de chez nous,
00:26:35 le but contre son camp de la main.
00:26:37 L'un des plus singuliers restera tout de même celui du bulgare Ivan Voutsov
00:26:44 lors de la Coupe du Monde 66 en Angleterre.
00:26:47 Une tête superbe qui trouve impeccablement son gardien Naïd Enouf
00:26:54 qui pourtant ne lui avait rien fait.
00:26:57 Oh tiens pour toi, la prochaine fois tu ferais moins.
00:27:02 Au match suivant contre les Hongrois d'Albert et Farkas,
00:27:05 nouvelle bévue d'un autre défenseur bulgare nommé Davidov.
00:27:09 Décidément, cette année-là, la Bulgarie possédait bel et bien une défense de fer.
00:27:14 Oui mais le fer, il faut le fer.
00:27:17 Je m'excuse mais c'est ce qu'on appelle nous autres l'amitié entre les peuples.
00:27:27 Parfois les choses sont un peu plus confortables.
00:27:31 Ça s'est passé dans la nuit du 6 au 7, ni vu ni connu.
00:27:35 Pas de témoin, j'étais avec ma femme.
00:27:39 Vous avez vu quelque chose monsieur ?
00:27:41 Ah non, moi j'étais là-bas.
00:27:43 Bon allez, ça va pour cette fois, je vous l'accorde.
00:27:45 Ah vous êtes cons, vous auriez dû venir.
00:27:53 On s'est marré la gise.
00:27:56 T'aurais vu la gueule de la bavure.
00:28:00 Moi je vais te dire, ça m'a passé l'envie de baver.
00:28:02 Ouais vas-y, j'ai rien fait, c'est l'autre monsieur.
00:28:15 C'est toujours sur moi que ça tombe.
00:28:17 T'en mets en finale contre les babouins.
00:28:20 Oh, souvent le défenseur met la main à la pote, mais pour quoi faire ?
00:28:26 Ça rentre tout seul, comme dans du...
00:28:29 ...
00:28:30 Hé, je te reconnais, t'es pas Jibindrix ?
00:28:37 Bon là, t'es gentil, mais là j'ai un coup froid à tirer, on va peut-être s'arrêter là.
00:28:42 À toi Marcel, à toi.
00:28:43 Hé, Marcel, où tu vas avec ton ballon là-haut ?
00:28:46 Moi c'est pas Marcel, mon petit nom c'est Karl-Heinz Rummenigge.
00:28:51 La prochaine fois tu t'en souviendras.
00:28:53 (bruits de la foule)
00:29:03 La coupe du monde 86 au Mexique, le Danemark, que des pointures,
00:29:07 Laudreux, Simonsen, Larssen, Rasmussen, Arnessen, Berthelsen, Andersen,
00:29:13 Jesper Olsen, euh, finalement, Jesper Olsen, non.
00:29:21 Oh, ben ils ont bonne mine tes cadeaux, hein ?
00:29:23 Ce jour-là, butera Gagnon en Mekatof, à commencer par celui-ci.
00:29:28 Emilio, surnommé le Vautour de Madrid, bat un peu, comme à l'entraînement.
00:29:33 Décidément, c'est bien la grande crise dans l'Empire Soviétique.
00:29:37 Un rien suffit désormais à mettre le feu aux poudres
00:29:40 et à déstabiliser le complexe militaro-industriel russe.
00:29:43 Une faute évidente, un coup franc pas sifflé,
00:29:46 c'est la panique et tout un arsenal défensif qui se retrouve débordé,
00:29:50 comme en témoignent ces images.
00:29:52 Pour Georges Bourouchaga, c'est du caviar,
00:29:54 et pour l'ordre de Lénine, le soviétique Kuznetsov devra encore patienter.
00:29:59 « Perestroïka, grosse catastrophe !
00:30:02 À mon époque, on finissait au coulage pour moins que ça ! »
00:30:06 « Tac, tac, ta gana, c'est moi, la coupe du monde 86 au Mexique.
00:30:13 Tu te souviens ? L'Espagne sous Bezalta, le plus grand gardien du monde.
00:30:18 Une terreur, un donjon, une forteresse.
00:30:21 Je dis, la forteresse de mon grand-père
00:30:26 est plus petite que le jardin de mon bon frère.
00:30:29 Enfin, quoi, merde !
00:30:36 Une bonne petite maison tant à l'ancienne
00:30:39 entre un défenseur et son gardien,
00:30:41 c'est quand même un régal pour les attaquants, non ?
00:30:47 Surtout, surtout qu'il y a des petits ardisans
00:30:50 qui se donnent du mal tous les dimanches sur les terrains de province.
00:30:54 Pourquoi qu'on s'en prie, vraie sous-prétexte que c'est la coupe du monde, merde ! »
00:30:58 Le pire, c'est que la gaffe, on la sent souvent venir de loin.
00:31:03 « Derrière toi, derrière toi ! »
00:31:06 Match de barrage en 58, galle, Hongrie.
00:31:11 Il n'en fallait pas plus pour passer au travers
00:31:13 d'un fastidieux quart de finale de coupe du monde.
00:31:16 (cris de la foule)
00:31:18 Mais ce pauvre !
00:31:27 « Mais dites-moi, Lucienne, ce seraient-ils pas nos Bulgares de 66
00:31:36 et leur fameuse défense de fer ? »
00:31:38 « Oh, mais ça va bien, oui ! Il ne faut pas exagérer avec ça ! »
00:31:43 « Et c'est le but du match ! »
00:31:45 Une seule seconde de relâchement et, brutalement,
00:31:52 voilà tout un rêve qui s'écroule.
00:31:54 Alors, dites-moi, Michel Chevalier, une injustice, comment ça marche ?
00:32:00 Eh bien, c'est très simple.
00:32:02 Prenez une prolongation de 2 fois 15 minutes
00:32:05 et une ligne tracée à la craie le long du terrain.
00:32:10 Le ballon passe de l'autre côté.
00:32:12 L'arbitre devrait siffler. Mais non, son sifflet est en panne.
00:32:15 Du coup, Kubia en profite et ressort la balle.
00:32:18 La donne à Esperango. Le ballon rentre dans le filet.
00:32:21 Cela s'appelle un but et le rugby est qualifié.
00:32:24 « Je vous en supplie, à l'aube de l'hiver,
00:32:30 ne gardez pas tout pour vous.
00:32:32 Prenez exemple sur la générosité des défenseurs écossais.
00:32:35 Je vous en conjure. Donnez, donnez, donnez. »
00:32:39 « Donnez, donnez, donnez, donnez, donnez-moi.
00:32:43 Donnez, donnez, donnez. Dieu vous le rendra. »
00:32:47 « Je vous rends tout. »
00:32:49 Alors, si vous permettez, je vous dirai deux choses.
00:32:56 La première, c'est qu'il faut, je crois,
00:32:58 entendre le message qui vient d'être lancé.
00:33:00 La deuxième, c'est que j'ai trouvé un autre exemple,
00:33:03 toujours tiré du mondial, à 82.
00:33:06 « Here you can bury Scotland. Oh, that's it. It's all over. »
00:33:10 Il tente à prouver que la générosité écossaise,
00:33:13 c'est comme celle de l'Auvergnat, qui n'est pas un vain mot.
00:33:17 « ...runs away and Scotland's heads are down.
00:33:20 It's all over now.
00:33:22 And what a catastrophe there
00:33:25 between Alan Hansen and Willy Miller. »
00:33:28 Il arrive que la générosité du défenseur soit telle
00:33:33 qu'on se demande pourquoi il ne l'a pas mise ni même au fond des filettes.
00:33:38 Souvenez-vous, c'était en 1970,
00:33:59 un match classique et un 5e demi-final de Coupe du Monde,
00:34:03 entre l'Italie et l'Allemagne.
00:34:04 Néanmoins, le catenaccio italien a lui-même ses faiblesses.
00:34:08 Et face à Gert Müller, dit le bombardier,
00:34:11 il va passer une sacrée soirée.
00:34:14 C'est une parodie de justice,
00:34:23 mais dans un match, les conneries, hein, ça va, ça vient.
00:34:27 Il faut juste pas laisser passer les bonnes.
00:34:32 En tout cas, dans les jeux réprétés pour un rindu,
00:34:34 l'allemand, il est pas le mal non plus.
00:34:37 Au chapitre « Une défense particulièrement absente »,
00:34:43 il sera tout de même difficile de faire mieux que l'URSS en 1973,
00:34:47 lors d'un match d'appui contre le Chili du général Pinochet,
00:34:50 match boycotté par les soviétiques.
00:34:52 Ah, mon petit Jean-Mimi, décidément, ce soir,
00:34:55 il n'y a qu'une seule équipe sur le terrain.
00:34:57 Tout à fait, Thierry, mais je me demande
00:35:01 si dans cette action, le joueur chilien n'est pas un tout petit peu hors-jeu.
00:35:03 Quoi qu'il en soit, l'arbitre valide ce but
00:35:06 à la plus grande joie des 40 000 spectateurs présents dans le stade.
00:35:09 Et le pire, c'est que c'est vrai.
00:35:12 Cela dit, même en chair et en os sur le terrain,
00:35:15 le football soviétique nous a parfois offert des actions déconcertantes.
00:35:19 Ah, le Russe est parfois bien décontracté.
00:35:22 Dimitri, mon chéri, remonte, faire tes devoirs.
00:35:28 Bon, c'est sûr, en minime, je crois qu'une faute de ce calibre
00:35:31 verrait son auteur tout droit au vestiaire, mais bon,
00:35:34 ici, nous sommes un couple du monde et à partir de là,
00:35:37 je crois que c'est à nous de constater que le ballon
00:35:40 va finir tout droit au fond des filets.
00:35:42 Il faut dire aussi que sur ce corner, en plein en technico-tactique
00:35:52 et malgré le grain en Yachine, je crois qu'on est coupable
00:35:55 car on n'a pas bien vu nos fondamentaux.
00:35:58 Et sur la roche mer, il faudra refaire du tableau noir
00:36:00 car là, ce n'était plus l'armée rouge, mais en quelque sorte, l'armée du salut.
00:36:03 Et pour nos merveilleux amis colombiens qui n'en demandaient pas tant,
00:36:07 c'est Noël tous les jours, comme dans mon émission.
00:36:10 Vous venez quand vous voulez, vous êtes ici chez vous.
00:36:13 Tout ceci nous conduit naturellement à notre séquence...
00:36:24 Les passoires sont sortis !
00:36:27 ... sous le nom de...
00:36:28 Regardez les gars, il est là de ma gauche !
00:36:30 ... ou si vous préférez...
00:36:32 Dis donc, on t'a mis les gants en peau de pêche !
00:36:35 ... ou encore...
00:36:37 Ah, définitivement, c'est pas sa journée !
00:36:40 Dans le football, c'est bien connu, les gardiens de but sont des hommes étranges,
00:36:44 des types spéciaux avec des marocs et des gars bizarres.
00:36:47 Bizarre, bizarre, pourquoi bizarre ?
00:36:50 (musique)
00:36:58 Concours du jeune footballeur !
00:37:00 Candidat suivant, s'il vous plaît, Simon !
00:37:02 Le candidat suivant est une candidate !
00:37:04 Ah non, c'est Jean-Marie Pfaff !
00:37:07 (musique)
00:37:11 Bonsoir.
00:37:12 Depuis l'antiquité, l'Amérique du Sud nous a fourni son lot de gardiens originaux...
00:37:18 Extantriques !
00:37:20 Mais dans ce palmarès, un homme, mesdames, messieurs,
00:37:23 oui, un homme a surpassé tous les autres.
00:37:26 Il était péruvien, il s'appelait Cuiroga.
00:37:29 (acclamations)
00:37:32 C'était un type exubérant, à faire rigoler tout un stade.
00:37:36 Et les journalistes en prime touchent peut-être sauf ses propres défenseurs.
00:37:41 Et des fois, il se changeait en catastrophe, en... en rugbyman, mesdames, messieurs !
00:37:48 Regardez, oh ! Et l'arbitre, eh ben, l'arbitre, il n'aimait pas ça !
00:37:51 Carton !
00:37:53 Attends, attends, attends, allume le micro, là, ta pète, là !
00:38:00 Ah, ben, ce que je voulais dire, c'est que, à part amuser la galerie, là,
00:38:03 donc, Cuiroga, question gardien, c'était un peintre !
00:38:06 Ah, ben, ouais ! Galerie, peintre, humour !
00:38:10 Merci, merci, je...
00:38:13 (acclamations)
00:38:16 Moi, mon cher monsieur, j'ai fait un apprentissage avec les plus grands du métier.
00:38:26 J'ai débuté chez Louis Cubino !
00:38:28 Eh, eh, oh, mais pardon, vieux, mais ton Cubao, là, hein,
00:38:33 eh ben, c'est pour le Pérou !
00:38:35 (acclamations)
00:38:38 (acclamations)
00:38:40 (acclamations)
00:38:45 Laissez-moi faire, je suis le gardien, je vais l'attraper,
00:38:53 poussez-vous, poussez-vous, laissez-moi faire,
00:38:55 je vais l'attraper, je vais l'attraper,
00:38:57 ah ! Je l'ai loupé, je l'ai raté, je l'ai raté,
00:39:00 puis c'est de votre faute, à vous, les autres qui rigolent,
00:39:02 là, oui, oui, oui, oui, je...
00:39:04 Je vais voir ce que je fais de votre ballon,
00:39:06 moi, je prends le ballon, il est...
00:39:08 (musique)
00:39:10 Quand je dansais la samba, perdu dans la jungle amazone,
00:39:20 côté gardien, le Brésil se chopait souvent la zone.
00:39:23 Valdir Perez, un vrai cauchemar,
00:39:27 de Flamengo à Botafogo, en passant par Bahia.
00:39:32 (musique)
00:39:34 L'Argentin, il a le sang chaud,
00:39:49 qui nous démentira, ce n'est pas Pompidou,
00:39:52 il vaut mieux ça pour lui qu'une jambe cassée,
00:39:56 hélas, au prochain tour, ça va lui arriver.
00:40:01 (acclamations)
00:40:03 (musique)
00:40:08 (acclamations)
00:40:10 - Entre le bas !
00:40:22 (acclamations)
00:40:25 - Ça va, ça va, ça va, ça va !
00:40:34 (musique)
00:40:36 - Oh, mais attention, les plus grandes artistes
00:40:51 ont parfois connu des moments d'absence, hein ?
00:40:54 Lev Yashin, surnommé l'araignée noire,
00:40:57 quelle jolie toile !
00:41:01 - Il échoiffe, le gardien tchèque, en 62.
00:41:04 Il avait épaté tout le micro-cosme
00:41:07 et fait un tournoi superbe de rigueur et de détermination,
00:41:10 au moins jusqu'à la finale.
00:41:13 - Oh, oh, oh !
00:41:16 (acclamations)
00:41:19 - Et l'armée de Botafogo, encore !
00:41:28 - Et le joueur, qui s'étonne dans son propre zone de pénalité.
00:41:31 - Hé ! Tu connais la merveilleuse recette de la boulette à l'enclése ?
00:41:35 C'est facile, tu prends une bonne passe en retrait mal assumée,
00:41:39 tu refuses obstinément de regarder derrière toi,
00:41:42 ensuite tu écartes les jambes pour faciliter le petit pont de ton adversaire,
00:41:45 et ensuite, y a plus rien à faire !
00:41:48 (acclamations)
00:41:51 - Chilton a 40 ans, une fois de junior en plein match de classement pour la 3e place,
00:41:56 c'est un mec qui est tout bonnement impardonnable !
00:41:58 Il faut jeter tout cela à la poubelle, n'est-ce pas ?
00:42:01 Et fustiger comme il convient la sénélité précoce
00:42:04 et ce laxisme intolérable des vieux croutons sur le retour.
00:42:08 Apprenez, mon jeune ami,
00:42:11 que les plus grands spécialistes ont parfois connu des faiblesses.
00:42:15 Souvenez-vous Gordon Banks,
00:42:18 il était le plus grand gardien du monde.
00:42:21 Ainsi, même lorsqu'on est le meilleur, on peut parfois se planter.
00:42:25 Et je sais de quoi je parle.
00:42:27 - Et si vous me le permettez,
00:42:32 M. le député-maire du 15e arrondissement de la ville de Paris,
00:42:35 ce n'est certes pas l'italien Albertozzi qui pourrait vous démentir.
00:42:39 - Va à la caisse !
00:42:53 Au passage, et au ralenti, on peut admirer,
00:42:56 l'art de bien réparer sa faute.
00:42:59 Un tec, on ne peut plus se suuuuure la ligne.
00:43:03 Pour sauver la France, il faut parfois payer de sa personne.
00:43:09 Un sauvetage fabuleux, mais plus dur sera la chute.
00:43:13 Et les malheureux Jean-Paul Bertrand de Mannes
00:43:17 devront quitter le terrain.
00:43:21 Malheureusement, la fracture sociale...
00:43:23 En pleine tête.
00:43:27 En football aussi, ça fait du bien là où ça fait mal.
00:43:30 - Finalement, la grande tradition sud-américaine du gardien fantaste
00:43:38 n'est pas prête de s'arrêter.
00:43:41 Elle aura même connu son apogée avec l'inénarrable M. Colombien,
00:43:45 René Higuita, dont les frères se dégueillèrent le Mondial en 1990,
00:43:50 qui eut été finalement plutôt tristement.
00:43:52 - Il y a un long pas, Panchev va pour le couper.
00:43:54 Le gardien est sorti.
00:43:57 Il a utilisé sa tête.
00:44:00 Et le gardien est en train de se déguerir.
00:44:03 Brillant !
00:44:06 Il a battu son homme, et c'était Panchev qui l'a battu.
00:44:11 - Et là, sa force de vouloir trop en faire, on finit inévitablement par en faire trop.
00:44:14 C'est bien joli de vouloir épater la galerie,
00:44:17 mais vient un jour l'heure du retour du bâton.
00:44:20 Et face à Roger Milha, ça ne pardonne pas.
00:44:23 - Ici, Radio Lens.
00:44:27 C'est là l'ami Roger Milha qui a été élu
00:44:30 et qui a été élu en 1992.
00:44:33 Il est devenu le premier joueur de l'équipe de l'OM.
00:44:36 Il a été élu en 1993.
00:44:39 Et là, l'ami Roger Milha l'a mis là.
00:44:41 Je le répète. Et là, l'ami Roger Milha l'a mis là.
00:44:44 Et là, l'ami Roger Milha l'a mis là.
00:44:46 Argentine, Cameroun.
00:45:09 À la une, à la deux, à la trois !
00:45:14 - Oh, c'est sûr.
00:45:15 Les grandes valeurs du sport, cher Romain-Pierre de Coubertin,
00:45:18 ont encore de beaux jours devant elles.
00:45:21 - Ma cingle est un peu à côté de ses pampes.
00:45:24 Et l'argentin canidien a fait né par ce lacet.
00:45:27 - Tiens, rapport pour de l'arsenic.
00:45:31 Attends, on ira au fer au vestiaire.
00:45:33 Eh, amène-moi tes papiers, tant qu'il y est.
00:45:36 - Mais tout de suite, bienvenue à Santiago pour un combat
00:45:39 qui s'annonce superbe et loyal.
00:45:42 On sent déjà un petit peu le chaos.
00:45:44 Et oui, un superbe crochet gauche.
00:45:46 Il est au tapis, c'est terminé.
00:45:48 Dès la première reprise, j'ai de l'éponge.
00:45:50 Coup de tête, un coup de tête !
00:45:52 Ah, ça sentait le combat difficile.
00:46:02 Et à l'arrivée, un match gagnant au moins d'une minute quinze,
00:46:05 c'est encore plus rapide que chez Mike Tyson.
00:46:07 (acclamations)
00:46:09 (acclamations)
00:46:12 (acclamations)
00:46:14 (acclamations)
00:46:16 (acclamations)
00:46:19 (acclamations)
00:46:22 (acclamations)
00:46:25 (acclamations)
00:46:28 (acclamations)
00:46:31 (acclamations)
00:46:34 (acclamations)
00:46:37 (acclamations)
00:46:40 (acclamations)
00:46:43 (acclamations)
00:46:45 (acclamations)
00:46:48 Oh, et puis d'abord, tout ça, c'est rien qu'à la faute à l'arbitre.
00:46:53 Coupe du monde 1982, France-Cohette, comme si vous y étiez.
00:46:58 J'essaye de conserver le ballon, ils vont essayer de trouver l'ouverture.
00:47:02 La voici avec la combinator de...
00:47:05 et bus de Giresse, pardon, bus de Bernard Giresse.
00:47:10 Oh, ne vous attendez pas, tout le monde est resté au ralenti.
00:47:13 Voilà, Alain Giresse, donc, qui a marqué le 4ème but français.
00:47:19 Et il y a protestation de la part des Cohettiens, là, qui...
00:47:23 Je ne vois pas qui peuvent réclamer.
00:47:26 Ils réclament peut-être hors-jeu.
00:47:28 Ah, et les Cohettiens, semble-t-il, prétextent qu'il y a eu un coup de sifflet dans les tribunes,
00:47:33 c'est ce que nous dit Patrick Patisson.
00:47:35 Non, c'est vrai.
00:47:36 Et le frère de Lémire, qui est le président de l'équipe...
00:47:40 Lémire qui, de même, est de son équipe, qui est de le terrain.
00:47:42 Qui est de le terrain, dit le "ch'ek fad al armad al yamer al sabah".
00:47:47 Frère de Lémire, président du Cohette Football Association.
00:47:51 L'ambible qui se dirige maintenant vers Gégé Zoutouch pour savoir s'il a été signalé hors-jeu.
00:47:56 Et là, je peux vous dire, parce que vous regardez, il n'a absolument pas signalé hors-jeu.
00:48:00 Et d'ailleurs, Alain Giresse n'était pas hors-jeu.
00:48:03 Il se fait le premier incident grave, sérieux, dans cette Coupe du Monde.
00:48:08 Et le "ch'ek" qui est suivi par les caméras s'en va.
00:48:10 Et il n'est pas content.
00:48:12 Incident diplomatique.
00:48:14 Toutes proportions gardées.
00:48:16 Incident diplomatique au niveau du monde du football.
00:48:19 Le "ch'ek" qui descend sur le terrain et qui va demander à ses joueurs...
00:48:24 C'est tout à fait un peu liche comme débat.
00:48:27 Et c'est absolument anormal aussi, parce que, en dehors de l'entraîneur et des gens qui font ce que l'on va me dire,
00:48:32 on ne peut personne avoir d'intérêt sur le terrain.
00:48:34 Je crois que c'est la première fois que nous le voyons.
00:48:36 Que l'on soit "ch'ek" ou pas.
00:48:38 Et notamment lors de la Coupe du Monde.
00:48:40 Voilà, il repart.
00:48:41 Et il applaudit, de façon ironique.
00:48:44 On a un bagarre.
00:48:46 Bagarre sur le terrain.
00:48:48 On a failli avoir une bagarre sur le terrain.
00:48:51 A mon avis, la fin du match va être extrêmement difficile.
00:48:53 Et la police qui revient avec sa décision, ce qui est absolument anormal.
00:48:56 C'est un scandale.
00:49:00 C'est un scandale.
00:49:01 C'est un scandale.
00:49:03 Parce que s'il suffit qu'un président de fédération descende sur la pelouse,
00:49:07 pour faire changer d'avis à l'arbitre.
00:49:10 Alors maintenant, c'est les Français qui vont se plaindre.
00:49:12 Et Hidalgo, qui est rentré sur le terrain, va provoquer un incident.
00:49:15 La caméra ne le suit pas.
00:49:17 Hidalgo est repoussé par les forces de police.
00:49:19 Voici les images.
00:49:20 Cette fin de match est scandaleuse.
00:49:22 Décision scandaleuse de l'arbitre soviétique.
00:49:26 Ce qui vient de se passer sous nos yeux est inadmissible.
00:49:30 Et la France le même que par 3 buts à 1.
00:49:32 Si jamais ça se joue au bol-labyrinthe à l'arrivée,
00:49:35 c'est à désespérer de tout et à n'avoir plus confiance en ceux qui dirigent le football.
00:49:39 Et je crois que ce match se termine mal.
00:49:41 Après cet épisode lamentable, où l'arbitre eut franchement tort de revenir sans sa décision,
00:49:47 en voici un autre où il aurait mieux fait de revenir.
00:49:50 Un coup franc manifeste pour le Salvador et contre les médecins,
00:50:19 mais Perez, l'odieux attaquant mexicain, se précipite et exploite la crédilité de l'arbitre.
00:50:27 Il tire pour lui-même tout le profit de ce coup de sifflet.
00:50:30 C'est un but scandaleux, c'est un scandale parfaitement réactionnaire.
00:50:35 Et la juste résistance du peuple salvadorien n'y pourra rien changer.
00:50:40 Ensuite, c'est n'importe quoi, c'est quand on se frictionne.
00:50:46 Délibération, protestation, indignation.
00:50:50 Alors, bande de petits salopards, où cherchent-ils des volontaires pour un carton jaune ?
00:50:55 Moi, monsieur, moi. Moi, moi.
00:50:57 Ah non, moi, monsieur. Moi, moi, moi.
00:51:00 Allez-y, faites les malins, faites les malins, j'ai les noms des meneurs. Allez-y.
00:51:07 Ah non, c'est pas vrai ça. Vous arrêtez de faire les andouilles, oui.
00:51:11 Bon, mais écoutez, puisque c'est comme ça, vous l'aurez bien cherché.
00:51:15 Allez hop, tout le monde au vestiaire, mitanche, j'en ai marre.
00:51:17 J'en ai marre, tout le monde dehors, allez dégage, moi.
00:51:19 J'attends, je te dis.
00:51:21 Dans le genre inflexible, rappelons également monsieur Thomas,
00:51:26 arbitre galois du match Brésil-Suède 78, un partout à la dernière minute.
00:51:32 Et attention, tendez bien l'oreille.
00:51:34 But ? Non.
00:51:41 Refusé à l'ultime seconde, le coup de sifflet ayant été donné jusque sur la frappe du Brésilien,
00:51:46 un poil avant le coup de tête.
00:51:48 Décision parfaitement valable au plan du règlement,
00:51:53 beaucoup plus critiquable du point de vue de l'esprit du jeu.
00:51:57 [Applaudissements]
00:52:07 Top chronomètre, je suis habillé en noir, j'ai un gros sifflet à la bouche et deux cartons dans la poche.
00:52:11 En toutes circonstances, je fais partie du jeu, même quand je sème la pagaille sur le terrain.
00:52:15 Je suis indispensable au déroulement du jeu, je suis, je suis...
00:52:18 Le ballon ? Non, perdez la main.
00:52:22 Bah, en toutes circonstances, qu'il intercepte la balle ou même carrément le joueur,
00:52:27 vous avez compris au niveau de la Coupe du Monde, je crois que l'arbitre, il fait partie du jeu, quoi.
00:52:31 Ah putain, vos dentiers ! Vous avez pas vu vos dentiers ?
00:52:41 Je l'ai pas avalé quand même.
00:52:44 Ouais, ton dentier, tu mets de la colle, il tiendra mieux.
00:52:47 [Applaudissements]
00:52:52 J'aperçois les chaussettes de l'arbitre là-haut.
00:52:56 Oh, tu sais du nez, frère ?
00:52:59 Putain, il a lancé tout neuf. J'avais gagné au jusqu'à qui ?
00:53:02 Attends, attends, t'as une carrière, t'as une carrière. Attends, attends, t'as une carrière, t'as une carrière.
00:53:03 Attends, attends, t'as une carrière, t'as une carrière.
00:53:04 Attends, attends, t'as une carrière, t'as une carrière.
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00:53:06 Attends, attends, t'as une carrière, t'as une carrière.
00:53:07 Attends, attends, t'as une carrière, t'as une carrière.
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00:54:14 Attends, attends, t'as une carrière, t'as une carrière.
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00:54:54 Attends, attends, t'as une carrière, t'as une carrière.
00:55:20 Attends, attends, t'as une carrière, t'as une carrière.
00:55:49 C'est le Cédar, plus chaud qu'un bonnet de laine. Et tellement plus élégant.
00:55:52 - Dans les années 80, on préférait la permanente. Mais notez aussi le t-shirt serré sur la peau.
00:55:57 - Et ce Charlie-Nicolas, quel bel homme, avec son survêtement en amiante. Tricot également.
00:56:02 - Car ton jambe pourrie, dit voleur. C'est vrai que sur Broshing, c'était pas ça du tout.
00:56:08 Allez, dors... Dors ! Ha ha !
00:56:11 Et pour ton Broshing, j'ai ce qu'il faut. Tiens.
00:56:14 T'as du gel.
00:56:16 Hein ?
00:56:19 L'équipement du joueur, une harmonie, toujours irréprochable.
00:56:23 Les gardiens ne sont pas en reste. Ici, Stescal, le Norvégien, qui décore ses maillots lui-même
00:56:31 avec une boîte de crayons feutres à l'aide de son petit garçon de 3 ans.
00:56:34 - Faut bien le dire, les managers, eux non plus, n'y vont pas de ma mort, tant qu'ils choisissent le costume pas de def,
00:56:44 comme l'entraîneur mexicain.
00:56:48 Ou comme celui du Zahir, le survêtement cintré apporté très près du corps, d'un verre léger tout en pastel et en nuance.
00:57:13 Notre revue des moments bizarres de l'histoire du mondial demeurerait bien incomplète
00:57:17 si nous ne nous arrêtions qu'en quelques instants sur l'équipe du Zahir de 1974.
00:57:21 Les mémoires de pelouse, jamais sans doute on avait vu cela.
00:57:25 Autant le dire, ce fut la plus mauvaise équipe qui ait jamais participé à une phase finale de Coupe du Monde.
00:57:30 - Contre l'Ecosse, premier exemple de la terrible rigueur des français latricaines.
00:57:34 - Allez, continuez les gars, continuez, on ne change rien.
00:57:46 Néanmoins, sur ce coup franc, on sent que les défenseurs ont travaillé très dur à l'entraînement.
00:57:54 Une organisation défensive rigoureuse, c'est bien connu, est la base de toute rencontre sportive digne de ce nom.
00:58:01 Sans parler d'une bonne connaissance des règlements.
00:58:04 - Bon, on a dit 9m15, c'est là 9m15, alors vous voulez tous ici, allez tout le monde dehors là.
00:58:10 - Vous êtes prêts ? Voilà très bien.
00:58:12 - Et vous ceux qui va à l'autre là-bas, remettez-toi avec les autres.
00:58:15 - C'est pas vrai, tu me cherches toi.
00:58:18 - Vous êtes prêts ? Je siffle, on y va.
00:58:20 - Mais qu'est-ce qu'il me foutu un bordel pareil.
00:58:22 - Allez, revenez à votre place vous là-bas. C'est quand j'ai sifflé parvin.
00:58:26 - Top, top, top, top.
00:58:29 Finalement, pas trop mal joué sur ce coup là.
00:58:31 Mais il faut rencontrer la Yougoslavie, une autre paire de manches.
00:58:56 3 buts à 0 après 20 minutes de jeu.
00:58:59 L'entraîneur fait alors un changement qui s'avérera essentiel.
00:59:02 Il sort son gardien, il fait confiance au remplaçant, tout bilan d'eau.
00:59:05 Il faut bien dire que le premier goal n'a pas arrêté le moindre ballon depuis le début du match.
00:59:10 Et de 4, l'arrivée de ce remplaçant a fait beaucoup de bien.
00:59:16 Il faut dire que les Yougoslavs ont une recette miracle.
00:59:21 La couverture magique, implacable.
00:59:24 - Oh j'ai mal, j'ai froid, j'ai des vertiges.
00:59:28 J'ai mal même sous le bras.
00:59:31 - Si tu relèves, je te file un coup de classe.
00:59:35 - Oh ça va mieux.
00:59:37 6-0 tout de même à la mi-temps, mais ils peuvent mieux faire.
00:59:58 Score final 9-0.
01:00:27 Après cette humiliation, on craindra un instant que l'équipe zahiroise renonce à jouer sa 3ème rencontre contre le Brésil.
01:00:33 Finalement, il n'en sera rien et au fond heureusement, car ce 3ème match procurera l'une des péripéties les plus étranges de toute l'histoire de la Coupe du Monde.
01:00:41 Coup franc concédé à une vingtaine de mètres, le mur se place, mais bien sûr, on discute.
01:00:49 Bon, cette fois, s'il vous plaît, ne bougez pas.
01:00:55 Coup de sifflet et pour Ilunga Mouepouf, la tentation est trop forte.
01:00:59 - Quoi ? Quel est le problème ? Vous m'avez dit que quand je siffle, il faut tirer. Où est le match ? J'ai tiré ?
01:01:05 Pour les récompenser, retour au pays en charter.
01:01:08 Et après, le président Zahir Roy retire à ses joueurs des voitures et les maisons qui leur allaient être offertes pour s'être qualifiés.
01:01:14 Alors, Zahir, la pire équipe du monde ?
01:01:18 En guise de consolation et pour conclure, nous avons bâti la seule équipe capable de rivaliser avec celle-ci et qui sait, de faire encore pire.
01:01:26 Une sorte de Dream Team de l'horreur. Un rassemblement de gaffeurs qui en remontreraient même aux Zahir Roy.
01:01:32 - Oh putain, c'est génial, on va bien y arriver. On se met à la gueule, ça va être super.
01:01:36 Dans les buts, un seul nom s'impose, Kiroga, le seul gardien capable de flanquer des cauchemars à Franz Beckenbauer en personne.
01:01:46 - L'autre côté du lac.
01:01:49 En défense centrale, la charnière bulgare de 66, Davidov et Vudzov, une entente remarquable.
01:01:57 - C'est un but propre !
01:01:59 - C'est génial, c'est génial.
01:02:01 - Un but propre.
01:02:03 - Personne n'est plus surpris que Kohl quand il score directement.
01:02:08 Sur l'aile, le célèbre soviétique Tchokeli.
01:02:15 Et pour faire bonne mesure, le péruvien Goritti d'une sérénité à toute épreuve.
01:02:20 - C'est vraiment génial, il est con.
01:02:25 Devant un milieu de terrain hyper technique avec l'allemand Briegel.
01:02:41 Le tchèque Chaloupka, un monstre d'opportunisme.
01:02:45 Ces deux là étant soutenus par le chilien Bonvalet à la frappe redoutable.
01:02:50 Et sur l'aile, un relanceur de la trempe de Jesper Olsen devrait s'imposer aisément.
01:03:08 Enfin, pour compléter le tableau, manquent deux attaquants.
01:03:12 Alors pourquoi pas Zarmack ?
01:03:14 Et Jean-Pierre Papin, immortalisé sur cette action.
01:03:26 Et pour entraîner cette équipe de rêve, un nom s'impose naturellement.
01:03:36 Blagoje Vidinic, coach du Zahir en 1974.
01:03:40 En résumé, une sacrée brochette pour perdre la boule.
01:03:50 Le premier acte de la série, le premier acte de la série,
01:03:54 c'est un acte de la vie de Jean-Pierre Papin.
01:03:57 Il est un acteur qui a été élu en 1975.
01:04:00 Il est un acteur qui a été élu en 1975.
01:04:03 Il est un acteur qui a été élu en 1975.
01:04:06 Il est un acteur qui a été élu en 1975.
01:04:09 Il est un acteur qui a été élu en 1975.
01:04:12 Il est un acteur qui a été élu en 1975.
01:04:15 Il est un acteur qui a été élu en 1975.
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01:07:00 Merci à tous !

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