• il y a 8 mois
PAF : Analyses, décryptages et investigations sur les émissions télé ! 




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00:00 - Ca peut être vraiment une star ripoux, hein. Parce que moi, par exemple, lui, quand il va dire Cyril Le Nen, les gens vont dire c'est une star ripoux, le pot. Mais vraiment, non, si, ça peut être pareil. Alors allez-y, j'éternue et vous réfléchissez. - Moi je sais. - Marine Laverson. - Non, dit tout ça, Léonard. - C'est bon, oui, alors, Marine Laverson. - Di Caprio. - Non, arrête. - Oui, en boîte, en boîte à Paris. - Léonardo Di Caprio. - Il est venu s'installer à la table à côté de moi.
00:29 - Non, fort. - Il m'a piqué ma table, plutôt.
00:31 On m'a liré de la table où j'étais pour le mettre à ma place. - Sympa ou pas ?
00:33 - Et qui m'a fait venir à sa table parce que c'était il y a une dizaine d'années, les PMP cartonnaient déjà.
00:38 Et il y a plein de gens qui venaient me demander des photos à ma table, comme ça.
00:41 Et du coup, il était entouré de gardes du corps et à bout d'un moment, il s'est dit mais c'est qui ce mec ?
00:45 Et tout le monde vient faire des photos avec lui. Donc il y a un garde du corps qui est venu me voir en me disant Di Caprio veut vous parler.
00:49 Je suis allé, il m'a dit "who are you ?" - T'as dit quoi ?
00:53 - "Who are you ?" - Il parle comme ça, Di Caprio ? - Avec un accent.
00:56 - Donc en boîte à Di Caprio, donc mettez la musique avant "who are you ?"
01:01 - Quoi, il t'a dit "who are you ?" - Ouais, "who are you ?"
01:03 Et donc je lui ai dit à une frêne journaliste, là, il voit qu'on a 10 000 délits TV show.
01:08 - Mais dis pas frêne journaliste, mais qu'est-ce que t'es nul. Mais t'as Di Caprio.
01:11 - Oh, mais non. - Il dit je suis une énorme...
01:13 Il dit pas je suis un journaliste, excuse-moi, mais journaliste, ça fait pas rêver. J'aime beaucoup le journaliste, ça fait pas rêver.
01:17 - Di Caprio, il s'est dit qu'est-ce que j'en fous de journaliste. - J'ai bien vu qu'il en a rien à foutre.
01:19 - Bien sûr, je suis sûr qu'il t'attèche, la vérité. - J'ai exprimé dans un show.
01:22 - Moi, je pense comme une star. Regarde, tu viens de me dire ça. "Who are you ?"
01:26 - "Who are you ?" - Non, mais c'est... - Il est con, le journaliste.
01:29 - Je suis Di Caprio. Tu es Jean-Michel Verre. "Who are you ?"
01:32 - I'm a porn actor. - C'est mieux, déjà.
01:36 - Mais t'aurais dit ça, après. Bien sûr, qu'est-ce t'as dit ?
01:39 - Il m'a dit "I'm a French journalist, I work on a daily TV show". Voilà.
01:43 - Il est véritablement successeux. - Je suis sûr qu'il t'a dit...
01:46 - Il m'a dit... - Bah voilà, bah oui. Et qu'il est con, mais sans rigoler.
01:49 - Ne place pas le mot "journaliste". Ça ne fait pas rêver. - Non, c'est associable à Paradis.
01:52 - Mais bien sûr, et puis même... - Je ne voulais pas le faire rêver, je voulais être honnête.
01:55 - Mais même journaliste, il s'est dit "ouais, si on fait des Darkas et tout". - On a vu le TVO.
01:58 - Mais qu'est-ce que t'es con, mais sans rigoler. - J'ai répondu à ses questions.
02:01 - T'aurais pu être copain avec Di Caprio. Aujourd'hui, t'es copain avec qui ?
02:04 - Avec ta mère. - Mon chien. - Impossible, sans rigoler. Oui, vous ?
02:09 - Moi, j'ai croisé à l'aéroport Elle Macpherson. - Elle Macpherson ?
02:12 - Oui. - Ça va, c'est pas ouf. - Elle est sublime.
02:15 - Mais alors, qu'est-ce que je m'en fous ? On ne la connaît pas. - Elle est sublime.
02:17 - Qui connaît Elle Macpherson ? - Oui, on le connaît.
02:19 - Il y a deux personnes. - Non, non. - Merci, sans déconner.
02:21 - C'était l'un des plus grands mannequins. - Non, mais les mecs, quand on a plus de 30 ans,
02:24 on ne connaît pas Elle Macpherson. - Oui, mais franchement, elle est sublime.
02:27 - Oui, mais t'as pas quelqu'un de connu ? - Mais croisé comme ça, par hasard, non ?
02:29 - Bah oui, bah oui. - Tu lui as dit "I'm a French journalist", t'as dit ?
02:33 - Eh, sors, sors.
02:35 - Di Caprio ! Di Caprio ! Di Caprio ! Di Caprio !
02:38 - Il n'arrive même plus à passer.
02:40 Oh là, bah ! Non, non, mais quelqu'un de connu, Benaim.
02:45 - Mais par hasard ? - Bah oui, t'as rencontré ma mère.
02:47 - Ah bah oui, c'est vrai. - Ah voilà, elle m'a dit "ma mère".
02:50 - Moi aussi, t'as rencontré ma mère, elle t'a insulté.
02:53 - Elle m'a dit "tu verras qui je suis". - Ouais, elle m'a dit, ouais.
02:56 - Parce que t'as pas voulu, t'as fait le malin avec elle.
02:58 - Non, j'ai pas fait le malin, je rappelle, c'était Roland Garroche,
03:00 j'étais au téléphone, en train de parler, et il y a une dame qui me faisait ça,
03:04 qui me dit, très gentiment, je voudrais dire, comme ça,
03:06 et il me dit "je peux te parler ou quoi, je t'aime bien, ou je sais pas quoi,
03:10 un truc comme ça". - T'aimes bien, elle t'a dit, ouais.
03:12 - Un truc comme ça, et comme j'ai pas répondu, j'ai dit "excusez-moi, madame,
03:14 je suis au téléphone", et elle m'a dit "ah, tu sais pas qui je suis, tu vas voir,
03:17 t'auras de nouvelles".
03:20 - J'ai fait une tronche, c'est vrai. - Elle me l'a dit après.
03:23 - Oui, je sais qu'elle vous l'a dit. - Elle m'a appelé derrière, elle m'a dit
03:24 "quand est-ce que tu verrons ce con de Montiel".
03:26 - C'est vrai. - T'as rencontré qui, par inadvertance, toi ?
03:29 - Alors, par inadvertance, Clint Eastwood. - Non, arrête.
03:32 - Clint Eastwood, poh ! - Oui, bah alors j'ai dit "une énorme connerie"
03:36 quand je l'ai rencontré. - T'as dit "I'm a French journalist".
03:38 - Non, pas loin, pas loin. - Tu vois, là, elle marche, la manne, tu vois.
03:41 - Non, mais là, pas loin, pas loin. - T'as vu, la manne a marché, là.
03:46 - La manne a marché, là. - Elle est gag.
03:48 - C'est fou, parce que j'ai la fête tout à l'heure, ça marche.
03:50 - Oui, ça marche, je parle mal. - Alors, si je peux donner juste un service aussi.
03:53 Évite d'arrêter de faire ça avec Valérie Benalim, OK ?
03:55 - Pourquoi ? - Valérie, t'es d'accord ?
03:57 - Oui, je suis complètement d'accord. - T'es au jeu ?
03:58 - Ben oui, j'ai des marques, j'ai des bleus, je suis...
04:00 - Non, mais oh, oh, arrête de faire ça. - C'est rire.
04:03 - Mais j'ai une amie devant toi. - Tu sors, tu sors, tu sors.
04:06 - Elle, quand elle vient le faire.
04:08 - Mais c'est une affaire.
04:10 - Allez.
04:12 - Non, mais ça m'a énervé, Valérie, ça m'a énervé.
04:18 - Merci. - Ça va, ma chérie ?
04:20 - Oui, merci. - Oh, la pauvre.
04:22 - Ça n'a rien à voir, ça n'a rien à voir.
04:24 La délicatesse, elle n'a rien à voir. - Voilà, rien à voir.
04:26 - Elle n'a rien à voir. - Que ce soit les bonnes questions.
04:28 - L'école anglaise, et puis la brutalité... - Et puis l'école...
04:30 - Pensionnat de chavagne.
04:34 - Bon, alors, t'as fait quoi, la connerie que t'as dit ?
04:37 - La connerie que j'ai dit, parce que vraiment,
04:39 grosse surprise de tomber sur lui dans un restaurant.
04:41 - T'es tombé où ? - Dans un restaurant.
04:43 - T'as tombé, lui, chez Lidl. - Dans un restaurant.
04:45 - Et alors... - Non, mais sans déconner, toi.
04:47 - Il y avait un grand type derrière moi qui me gênait,
04:49 il me disait "on va se voir à la table", et puis vraiment,
04:51 j'ai un petit caractère quand même.
04:53 J'allais gueuler, puis il me dit "oh, putain, le Kinsey Swift".
04:55 Et alors, je dis... Ah ! Alors, il se retourne,
04:57 et il sourit, en plus, et je lui dis
04:59 "I'm so upset to meet you". - Quoi ?
05:01 - En fait, ça veut dire que ça me fait chier de vous rencontrer en anglais.
05:03 - Tu voulais dire que t'es chaud de me voir.
05:05 - Je voulais dire que j'étais bouleversé de vous rencontrer.
05:07 - Ah, bien sûr. - Et en fait... - T'as vraiment des anecdotes
05:09 de merde, surtout.
05:11 - Non !
05:13 (applaudissements)
05:15 - Mais non, c'était bien. - Ah, l'anecdote, mon frère.
05:17 Ça fait 2 heures qu'on est là-dessus, c'est insupportable.
05:19 Moi, j'avais rencontré un jour Johnny Depp.
05:21 - Ah, ouais, bien. - Je vous jure que c'est vrai.
05:23 J'avais rencontré Johnny Depp, c'était à Saint-Germain.
05:25 Et après, dans le 6e, à Paris.
05:27 J'avais été prendre un verre avec des copains, j'étais pas du tout connu.
05:29 Et Johnny Depp est allé aux toilettes.
05:31 Je vous jure que c'est vrai. Je suis allé avec lui.
05:33 On s'est retrouvés comme as à faire pipi.
05:35 Je vous jure que c'est vrai. Johnny Depp était là, j'étais là.
05:37 Et là, il a regardé comme ça, il a fait "21 Jump Street".
05:39 (rires)
05:41 - Il a pas donné de tour.
05:43 (rires)
05:45 - Non, mais l'histoire est vraie. Enfin, à part la fin.
05:47 Euh... Merci.
05:49 - Moi, j'ai été aux toilettes avec Neymar.
05:51 - Non, avec Neymar ? Oh, ça va.
05:53 - Neymar, attends. - Ça va. - J'ai une suite à l'histoire.
05:55 - Ah, d'accord. - Il était très sympa.
05:57 C'était dans un restaurant italien où il y avait plein de footballeurs qui allaient.
05:59 - Je sais où c'était, ouais. - Et après, quelques semaines plus tard,
06:01 j'ai appris que mon flore du moment
06:03 m'avait trompé avec lui.
06:05 - Non ! - Je vous jure que c'est vrai.
06:07 - Ah ouais ? - Ouais. - Bah, j'espère que c'était lavé les mains.
06:09 - De quoi ? - Parce qu'il était avec toi.
06:11 - Que quoi ? - T'es lavé les mains après avoir fait pipi ?
06:13 - Bah, oui. - Sinon, je t'explique les maladies.
06:15 - Et voilà. Et il était très sympa, en fait. - Vous avez tous eu des histoires de merde, ça ?
06:17 (rires)
06:19 - Comment tu sais s'il est très sympa quand, en fait, ils piquent ensemble ?
06:21 - Non, c'est pas ça. Parce qu'en fait, j'ai vu des conversations, après,
06:23 de la meuf avec lui, et lui, il avait appris
06:25 que j'avais appris qu'elle me l'avait trompé.
06:27 Et il avait dit, "Si tu veux, j'envoie un message
06:29 à ton mec pour dire 'C'est pas vrai,
06:31 on est juste amis', etc."
06:33 Il était sympa, quand même. - Ouais.
06:35 - J'étais cocu, mais content. - J'y crois moyen, mais...
06:37 - Je vous jure que c'est vrai. - Toi, t'es des codes,
06:39 tu es une verdesse. T'es cocu, mais content.
06:41 - Il est gentil, la plus mentive. - Il est content.
06:43 C'est l'école verdesse. Il est cocu,
06:45 mais il est content. Tu vois ou pas ?
06:47 Il est très content. Il y a le mec
06:49 de sa meuf qui lui a crié, "Il est gentil,
06:51 là, écoute ! Oh, mais c'est vrai !
06:53 Il est en train de bouffer le cul de ma femme,
06:55 mais il est gentil !"
06:57 Ah, mais c'est ça !
06:59 "Ah, mais moi, je suis des amis !"
07:01 C'est quand même un bon, non ?
07:03 Alors, si c'est l'école verdesse,
07:05 eh ben, allons-y ! Allons-y !
07:07 - C'est stylé, non ? - Ouais, bon, c'est bon, oui.
07:09 - Alors, moi, j'ai une période un petit peu festive.
07:11 - Ah ouais. - J'ai partait beaucoup.
07:13 - Toi, t'étais partout. - Voilà, j'étais un peu partout.
07:15 - Tu sais, je t'en ai jamais parlé. - Dites-moi.
07:17 - Mais on m'a donné des bails sur toi. - Ah ouais ?
07:19 - J'ai jamais dit. J'ai toujours fermé ma gueule.
07:21 - Mais il y a longtemps, il y a au moins 30 ans.
07:23 - T'inquiète pas, j'ai tous les bails. - 30 ans.
07:25 - 30 ans, j'avais 20 ans. - J'ai tous les bails.
07:27 - La jeunesse de Gégé. Et donc, là, c'était Prince,
07:29 c'était Madonna... - Prince de Lus.
07:31 - Voilà, Prince. Mais vous connaissez ou pas ?
07:33 - Qui ? Prince ? - Prince. Le chanteur.
07:35 - Le petit, là ? - Voilà, le tout petit.
07:37 - Il est vivant, quand ? - Non, il est mort.
07:39 - Non, merde !
07:41 - Ah, merde ! Je savais pas, ça.
07:43 - Prince est mort ? - Prince est mort, ouais.
07:45 - Non, j'ai eu c'est vrai.
07:47 - Madonna... - Non, elle est vivante, Madonna.
07:49 - Non, elle est morte, non. - Madonna, vivante.
07:51 - Robert Boniro, tout ça. - Vivante.
07:53 - Non, vivante. - Je sais, il vient d'avoir un enfant.
07:55 - Sylvester Stallone. - Sylvester Stallone, vivant.
07:57 - Vivant. - Bien sûr. Je sais, je sais.
07:59 C'est Daniel Moreau, mort. Je sais.
08:01 Je sais, je connais. Je sais qui est vivant,
08:03 mais je sais qui est mort. Ne vous inquiétez pas.
08:05 - Le truc le plus humiliant de ma vie, un jour,
08:07 je suis dans un hôtel, et je joue au tennis.
08:09 - Ah, yes. - C'est à Evian.
08:11 - Evian, ouais. - Et donc, je suis très concentrée
08:13 et tout ça, et tout d'un coup, je me retourne,
08:15 et derrière moi, avec une poussette, il y a Zidane.
08:17 - Quoi ? Et Volvic le savait ?
08:19 - Non. - C'est très grave.
08:21 C'est très grave.
08:23 - Mais pas Zidane... - Zidane à Evian,
08:25 c'est très grave. - Zidane à Evian ?
08:27 - C'est très grave. - Mais c'est ouf.
08:29 Il a fait Volvic et il était à Evian ? - Ouais.
08:31 - C'est procès direct. - Procès, ouais.
08:33 - Quand on est dans la foire, moi, j'étais à Vichy-Saint-Heure,
08:35 j'ai vu les parts. Un truc de fou.
08:37 - Mais vous vous rendez pas compte, parce que c'est pas le Zidane
08:39 d'aujourd'hui, entraîneur de ça, c'est le Zidane, vraiment,
08:41 à son max de notoriété, c'est le club de 1928 et tout ça.
08:43 - Bien sûr. - Et donc, moi, je jouais...
08:45 - Alors, attendez. - Dites-moi.
08:47 - La suite de l'histoire. - Oh, le trisomie.
08:49 - Dans un instant. - Quoi ?
08:51 - Que s'est-il passé avec Zinedine Zidane ?
08:53 Je sais que chez vous, impossible de zapper.
08:55 Je m'en défie, les personnes, de zapper,
08:57 en sachant qu'on va savoir
08:59 la suite de cette histoire.
09:01 Vous avez dû être avec nous depuis le début de l'émission,
09:03 vous voyez qu'il y a toujours des anecdotes extrêmement intéressantes.
09:05 (Rires)
09:07 Et vous vous dites, chez vous, que va-t-il se passer ?
09:09 Que va faire Zidane ?
09:11 Il va lui mettre un coup de boule ?
09:13 (Rires)
09:15 Non, mais que va faire Zizou ?
09:17 Géraldine, on était sur une affaire incroyable.
09:19 (Rires)
09:21 Si vous nous rejoignez, sachez que je demandais aux chroniqueurs
09:23 quels stars ils avaient rencontrés comme ça,
09:25 par inadvertance ou par hasard, bien entendu.
09:27 Moi, j'ai rencontré un jeune homme ce matin
09:29 qui est un petit peu ma star,
09:31 qui enregistrait un jeu pour Energy.
09:33 J'étais candidat dans un jeu musical pour Energy.
09:35 Et depuis, on ne se quitte plus.
09:37 (Rires)
09:39 Et sachez qu'on a pour projet
09:41 de se paxer dans les semaines à venir.
09:43 (Rires)
09:45 Géraldine, donc, là...
09:47 - C'est grave.
09:49 - Est-ce que tu peux me rappeler ton histoire ?
09:51 - Je n'en ai plus aucun souvenir.
09:53 (Rires)
09:55 - Ça, c'est mon charisme.
09:57 Alors, je suis à Evian, je joue au tennis
09:59 et je prends une leçon de tennis.
10:01 - Et là, tu rencontres Yvan qui boit de la bolbit.
10:03 - Je suis sur un cours de tennis.
10:05 Je joue et derrière, il y a le passage.
10:07 - Bien sûr.
10:09 - Je joue avec un prof et le prof est tout d'un coup
10:11 très appliqué.
10:13 Je vois qu'il pousse des gémissements quand il joue.
10:15 Il joue un peu au ralenti, un peu beau gosse.
10:17 Il se regarde un peu jouer.
10:19 Il fait un, un, un, un, un, un, un, un, comme ça.
10:21 - Un, un, un, un.
10:23 - Il est sûr qu'il ne met pas les mots en l'été, là.
10:25 (Rires)
10:27 - Donc, vous vous trouvez qu'il était un peu en sur-égine
10:29 pour une leçon qui n'avait aucun intérêt avec une élève.
10:31 - Bien sûr.
10:33 - Et je me retourne pour ramasser les balles
10:35 et là, je vois Zidane qui est en train de nous regarder jouer.
10:37 - Ouais.
10:39 - Zidane a son prime, la légende, quoi.
10:41 - Bien sûr.
10:43 - Je le vois, je le salue, je dis "Ah, bonjour".
10:45 Il me fait "Bonjour".
10:47 (Rires)
10:49 - C'était Zidane ou Nicolas Sarkozy ?
10:51 (Rires)
10:53 - Alors, il a fait comme... Attends, je te le refais.
10:55 - Bonjour. - Bonjour.
10:57 - Donc, ça, c'est Nicolas Sarkozy.
10:59 - Voilà, ça, il a fait ça.
11:01 - Alors, il faut que vous sachiez, Zidane,
11:03 dans l'imitation, c'est Nicolas Sarkozy, son légende.
11:05 Donc, Nicolas Sarkozy se fait "Bonjour".
11:07 - Non, c'était pas ça.
11:09 - Donc, là, Zidane fait "Bonjour".
11:11 - Exactement. Putain, j'ai l'impression que j'y aime.
11:13 - Il est calme. Tu vois, il est calme.
11:15 - Bonjour. - J'y suis.
11:17 - Bonjour. (Rires)
11:19 - Donc, je ramasse les balles et le prof me...
11:21 Et le prof me dit "Bon, c'est bon, on s'y remet".
11:23 - Géraldine, tu peux pas le refaire, le "Bonjour" ?
11:25 - Non, ça va aller.
11:27 - On se redit "Bonjour" une dernière fois.
11:29 - Bonjour. - Non, je te fais "Zidane".
11:31 - Bonjour. - Bonjour.
11:33 - Voilà, c'est incroyable.
11:35 Et le prof me dit "Bon, c'est bon, on s'y remet".
11:37 Et alors, là, évidemment, je ne suis pas vous.
11:39 Donc, je me suis... - Non.
11:41 - Mais... Chier dessus.
11:43 - Quoi ? - Je n'ai pas mis une balle.
11:45 - Non, mais c'est pas grave. - Mais c'était horrible.
11:47 Parce que j'étais tellement impressionnée qu'il soit derrière moi,
11:49 qu'il me regarde. Je voulais faire bonne figure.
11:51 - Oh ! - Voilà. Et en fait, j'ai eu le petit bras
11:53 pendant une demi-heure. Il y a pas une balle qui est passée
11:55 de l'autre côté du filet. - Elle est restée une demi-heure.
11:57 - Une demi-heure. - Il avait un crush.
11:59 - Je pense, ouais. - C'était horrible.
12:01 Les balles, elles partaient en l'air. - Et après, tu l'as revue,
12:03 quand t'es partie ? Tu l'as revue ? - Et après, non.
12:05 - À mon avis, il a eu un petit crush sur elle.
12:07 - C'est ça qui me vient. - On va dire ça.
12:09 - Zidane, "Bois de la bonne vie" à Evian,
12:11 le drapeau de tennis qui dit "bonjour".
12:13 Ça fait beaucoup, frère.
12:15 S'il est pas sur un bail... - Il y avait ta femme
12:17 qui était extraordinaire. - Ah ouais, c'est vrai.
12:19 - Mais elle était pas là. Elle était seule. - Comme une merde.
12:21 - C'était horrible. - Comme une merde.
12:23 - Et vous, je suis sûre...
12:25 Vous, je suis sûre, mais ça, c'est une question de tempérament.
12:27 Vous, vous auriez été au contraire hyper motivé.
12:29 - Non, pas du tout. - Vous auriez pas eu le petit bras ?
12:31 - Non, mais si. - Vous auriez pas été ridicule ?
12:33 - Si, il y avait le petit bras. - Si.
12:35 - Au contraire, dans l'adversité, vous vous sublimez.
12:37 - Arrête, arrête. - Moi, je me suis complètement liquéfiée.
12:39 - Il aurait dit au coach "Va t'en, laisse-moi jouer".
12:41 - Pourquoi t'as pas arrêté ton cours pour aller boire un verre avec lui ?
12:43 - Parce qu'il avait une poussette. - T'avais pas comme ça ?
12:45 - Tu m'aurais payé l'adrenaline. - Tu rencontres pas Zidane
12:47 tous les jours. - Bah quoi ? Et alors ?
12:49 - J'aurais bien aimé. - Il est malade avec une poussette.
12:51 Il a un bébé. Tu veux avoir un bébé ?
12:53 - Il a tout bien tout bonheur, le verre et le limonade.
12:55 - Il peut te faire "Vous voulez que je lasse le bébé ?"
12:58 - C'est un peu un déchantaison. - Exactement !
13:02 - On embrasse Zidane déchant, d'ailleurs.
13:04 - Ah d'ailleurs, je l'ai vu jouer au paddle, en vidéo.
13:08 - Il joue bien, il joue bien. - Il est pas mal sur les jambes et tout.
13:10 - Il joue très bien. - Il est bien bas.
13:12 - Il est bien bas et il est bien bas dans ses résultats.
13:14 - On embrasse Zidane. - C'est trop moque.
13:18 - Je le vois cet été. - Il va te crier.
13:20 - Je le vois cet été, mon Zidane. - Il est pas loin.
13:22 - Je sais, je sais. Il part à Lyon, là, bientôt.
13:24 - Il est à côté. - Il est en rassemblement avec les...
13:26 - Non, non, très bien. Pour moi, c'est le meilleur.
13:28 - Après vous ? - Non !
13:30 - Dans les personnalités, c'est quoi le mieux pour vous ?
13:33 - Dans les personnalités, c'est celui qui joue le mieux.
13:35 - Juste en dessous de vous.
13:37 - Non mais son niveau, par rapport à vous, c'est quoi ?
13:39 - Ben, Didier et moi... - C'est pas comparable.
13:41 - C'est pas comparable. - C'est-à-dire ?
13:43 - Vous, vous êtes 5 en 6e. - Non mais Didier, il fait pas de tournoi.
13:45 - Il fait pas de tournoi. - Mais il serait combien ?
13:47 - Il joue très bien. - Il serait pas loin.
13:49 - Il serait bien. Il joue très bien. - Mais vous le mettez à quelle place ?
13:51 - Dans les mini-premiers. - Non, non, non, plus, plus.
13:53 - Plus ou quoi ? - Mieux.
13:55 - Ils ont la même méthode de se motiver, en plus.
13:57 - Non, non, non, il joue très bien. Didier, franchement, il joue très bien.
13:59 Après, on en reparlera cet été.
14:01 Le problème avec Didier Deschamps, je vous le racontais,
14:03 c'est qu'en fait, le padel, ça se joue à 4.
14:05 Donc 2 contre 2.
14:07 Et Didier, quand il organise une partie,
14:09 c'est lui.
14:11 Donc il me dit, "Viens, on va jouer."
14:13 Je dis, "D'accord."
14:15 Il me dit, "Bon, ben, vas-y, j'amène ton joueur
14:17 et j'amène mon joueur."
14:19 Généralement, le joueur qu'il prend, il est souvent meilleur que le mien.
14:21 Et quand c'est moi qui organise,
14:23 je lui mets une chèvre avec lui, moi, je prends un monstre.
14:25 - Ah, ben, non, pas la même chose.
14:27 - Donc en fait, comme on a les mêmes techniques,
14:29 tous les deux, voilà.
14:31 Donc à un moment, il faut qu'on trouve notre gars qui joue pareil.
14:33 En fait, voilà. Raymond, toi, t'as rencontré qui ?
14:35 - Moi, j'ai rencontré Johnny Hallyday.
14:37 - Non. - Ah, ouais ? - En fait, on devait
14:39 aller à l'école à Taillade, à Jean-Baptiste Clément,
14:41 et j'ai un pote Mathieu qui me dit, "Viens, il y a Johnny Hallyday
14:43 qui tourne à la gare du stade." - Mais t'as vu quel âge ?
14:45 - David Lansky. Je devais avoir 12 ans, 11 ans, 12 ans.
14:47 - Ah, ouais ? - T'as pas un truc plus récent, toi ?
14:49 - Je rencontre pas des stars... - Non, mais moi,
14:51 parce que moi aussi, j'ai vu Chirac à 2 ans.
14:53 (Rires)
14:55 - Non, mais ils ont rencontré eux à quel âge ?
14:57 98, Clint Eastwood, c'est quoi ? - Eux, ils ont 250 ans.
14:59 Donc forcément... - T'es jeune.
15:01 - Non, mais dis-nous, alors. - Non, et du coup,
15:03 je suis allé sur le tournage de David Lansky... - Ah ouais, tu en as déjà parlé.
15:05 - Et le gars, il vient voir, il dit, "Le petit, là,
15:07 il faudrait qu'il joue le rôle du mec qui arrache le blouson."
15:09 Et Johnny Hallyday, il vient, il regarde,
15:11 il me dit "Bonjour", je lui dis "Bonjour", et je devais venir
15:13 le lendemain. - Ah, que tu devrais jouer le rôle !
15:15 - Je te jure, c'est vrai. - La tristesse !
15:17 - Je devais venir le lendemain, mais le lendemain, j'avais un match de foot,
15:19 j'étais à Gennevilliers, je jouais contre la Colombienne,
15:21 et la Colombienne, c'était vraiment le match, fallait pas louper.
15:23 - C'est la première fois que c'est soi-même, ça.
15:25 - On a beaucoup de détails. - Tu vois, et dans 5 minutes,
15:27 il nous fait des matales à 4 euros.
15:29 - Non, c'est 8. - Ah non, mais je connais.
15:31 - 8,50. - 8,50, non, mais je connais. - C'est bien de rencontrer Johnny.
15:33 - C'est bien. - C'est pas mal, quand t'es petit, c'est pas mal.
15:35 - Ah, voilà quelqu'un qui a dû rencontrer des gens.
15:37 Non, mais sans déconner.
15:39 Non, mais, ne parle pas... Pas quand tu fais ton tour au père Lachaise,
15:42 on veut des vivants. Non, non, mais c'est vrai, c'est pour nous lire.
15:44 - Bah, si, si. - C'est pour nous lire, j'ai vu...
15:46 Non, mais j'ai vu Jean Lepoulin et...
15:48 Non, mais Patrick Lapoulich, on sait où.
15:50 Non, mais je te le dis, hein. - Un vivant, déjà.
15:52 - On veut un vivant. - Bah non, un vivant, j'ai pas.
15:54 - Ah, vas-y, viens-nous à mort.
15:56 - Putain, je veux dire...
15:58 - Non, et avec une star française. - Bah, c'est qui ?
16:00 - Alors, j'étais sur un banc et je lisais le Télé 7 jours.
16:03 - Putain, déjà, la tristesse.
16:05 - La tristesse.
16:07 - La tristesse.
16:09 - La tristesse.
16:11 - La tristesse, tu vois.
16:13 Déjà, allez-y, toi aussi, raconte-nous ta vie de dépressif.
16:17 N'hésite pas, il est 19h21, on est en direct, fais-toi plaisir.
16:21 Non, mais j'étais sur un banc, je lisais Télé 7 jours.
16:23 C'est bon, rideau, merci.
16:25 Au revoir, allez, merci, circulez, rien à voir.
16:27 Merci, au revoir. - L'anecdote est bien, là, déjà.
16:29 - L'anecdote est folle. C'est que, donc, je lisais le Télé 7 jours,
16:31 j'avais 18, 19 ans, c'était sur les 118.
16:33 - C'était quoi, il y a 120 ans ?
16:35 Télé 7 jours, il était quoi ? Il était sur un parchemin ?
16:37 - Et je regarde, et puis c'était Patrick Sébastien, c'est fou, là, Sébastien, c'est fou.
16:42 - Et là, il y a Sébastien qui passe.
16:43 - Et non, je vois une photo de Paul Prébois, et je le vois passer au même moment.
16:47 (Rires)
16:49 (Applaudissements)
16:58 - Il faut le trouver.
17:00 - En fait, tout est triste.
17:02 Du début à la fin, tout est triste.
17:04 Il n'y a pas un moment où tu te fais "Ah ouais, quand même".
17:07 Tout est triste. Tout est triste, du début à la fin, en fait.
17:10 Tout est triste. Tout est...
17:12 - Il y a une chance sur un million.
17:13 - Non, mais non, mais il y a surtout une chance sur un million
17:14 pour avoir une vie de merde comme ça.
17:16 Excuse-moi, mais sans déconner.
17:18 T'as pas autre chose ?
17:19 - Si, j'étais sur les genoux de Bruce Willis.
17:21 - Ah, Paul Prébois, Paul Prébois, derrière.
17:23 - Elle a passé... Attends, frère !
17:25 (Rires)
17:32 - Décidément, vous l'avez vu chez vous,
17:35 décidément, elle a fréquenté que des plebs.
17:37 Que des plebs, frère, que des plebs.
17:39 C'est toujours au jocard, frère.
17:41 Dès qu'il y a un mec sur ses côtes, ça en plaît.
17:44 Je sais pas, je me dis... Dieu bénisse.
17:46 - C'était furtif, ce mec.
17:47 - Dieu bénisse. Ah bah oui, on imagine bien.
17:49 On imagine bien que c'était furtif.
17:50 - Surtout qu'il était vierge. Il a jamais vu le loup.
17:52 - Il était plus jeune.
17:53 - Il a toujours dit "Non, jamais, lui".
17:55 - Paul Prébois ?
17:56 - Il a toujours dit "Non, moi, je sais pas, 80 ans,
17:58 j'ai jamais vu le loup".
17:59 - Non !
18:00 (Rires)
18:01 - Il a peut-être vu autre chose.
18:03 - Non, non, non.
18:04 - Il a vu la biche.
18:05 - C'est vrai, il veut dire.
18:06 - La croisée d'Agnès de Sorain-Bord avec Télésat' Joe.
18:08 (Rires)
18:09 - Sur la tête de ma mère, il sait pas, le pauvre Paul Prébois.
18:12 Même sa famille, ils nous ont regardés ce soir.
18:14 Je te jure que c'est vrai.
18:15 La famille de Paul Prébois,
18:16 ils ont pensé peut-être qu'elle lui a jeté un sort.
18:18 - C'est vrai.
18:19 - Sur ma vie, c'est vrai.
18:20 Non, mais c'est un truc de fou.
18:21 - Elle a mis Bruce Willis en 2.
18:22 - Elle a mis Bruce Willis en 2.
18:23 (Rires)
18:24 - Mais c'est que tu ressembles à Demi Moore.
18:25 - Ah oui ?
18:26 - Je te jure que t'as...
18:27 Tu ressembles à Demi Moore dans "Ghost".
18:28 - C'est vrai.
18:29 - De Wish.
18:30 - De Wish.
18:31 - Oh !
18:32 - Sors, sors, t'es con.
18:33 (Rires)
18:34 - C'est ça, mais c'est nul.
18:35 En fait, c'est pas drôle.
18:36 Ca n'est pas drôle.
18:37 - Bah, vous, vous montez, c'est pareil.
18:38 - Ca n'est pas drôle.
18:39 - Mais c'est pas...
18:40 - Alors, ça explique peut-être...
18:41 - Tu vas fort aussi.
18:42 - Parce que...
18:43 - Je te jure.
18:44 - Il m'a eu comme une envie.
18:45 - Quoi ? Entre Bruce Willis ?
18:46 - C'était dans une boîte de nuit.
18:47 - Quoi ?
18:48 - Oui, à Cannes.
18:49 - Quoi ?
18:50 T'étais en boîte de nuit avec Bruce Willis à Cannes ?
18:51 (Rires)
18:52 - C'est bon.
18:53 - Car les vieilles...
18:54 - Pendant le festival.
18:55 - Et t'as pris sur ses genoux.
18:56 - Et je connaissais des gens.
18:57 - Tiens, c'est Demi Moore, ça.
18:58 On te rappelera.
18:59 (Rires)
19:00 - Les mecs.
19:01 (Rires)
19:02 - C'est pas vrai.
19:03 - C'est pas vrai.
19:04 - C'est pas vrai.
19:05 - Les mecs, c'est les mêmes.
19:12 - Tu imagines, celle-là, elle fait de la poterie, avec pas de riche faise, elle vous fout un cul, comme ça.
19:27 - Non, mais j'avais...
19:28 - Dans le gosse, c'est son mami.
19:29 - Non, mais il y avait 30 ans de moins, donc...
19:30 - Mais tu lui ressembles grave.
19:31 - Non, mais il y avait vraiment...
19:32 - Non, mais toi, tu ressembles à...
19:33 Mais Demi Moore, c'est pas vrai.
19:34 - Non, mais Demi Moore.
19:35 - Antique 2000.
19:36 (Rires)
19:37 - Demi Moore.
19:38 - La lourdeur.
19:39 (Rires)
19:40 - Qui trouve que Daniel ressemble à Demi Moore ?
19:41 - Moi.
19:42 - Qu'est-ce qu'il y a ?
19:43 - Oui, oui.
19:44 - Qu'est-ce qu'il y a qui ressemble à Demi Moore ?
19:45 - Alors, c'est pratique, parce que Demi Moore, elle a son âge, aujourd'hui.
19:46 - Non.
19:47 - Ben, prends une photo de Demi Moore, aujourd'hui.
19:48 - Trouvez une photo d'aujourd'hui, Demi.
19:49 (Rires)
19:50 - Et vous allez voir.
19:51 - La nuit, il vient vieillir.
19:52 - Ma mère me dit, moi, j'ai rencontré 2 stars.
19:53 Montiel et Benahim.
19:54 (Cris)
19:55 - Et ben, ma mère, elle est gentille.
19:56 - Elle est tellement gentille.
19:57 - Excuse-moi de te dire, t'as une belle vie de merde, aussi.
19:58 - Si c'est les 2 stars que t'as rencontrées, maman, oh...
19:59 Non, t'as rencontré...
20:00 Ma mère, elle a rencontré des stars.
20:01 - C'est gentil de dire ça.
20:02 - Elle est malade ou quoi ?
20:03 La dernière fois, j'étais encore à la maison, elle était avec Sharon.
20:04 - Oui, mais votre mère, elle a fait un film.
20:05 - Oui, mais votre mère, elle a fait un film.
20:06 - Oui, mais votre mère, elle a fait un film.
20:07 - Oui, mais votre mère, elle a fait un film.
20:08 - Oui, mais votre mère, elle a fait un film.
20:09 - Elle est tellement gentille. - Excuse-moi de te dire, t'as une belle vie de merde aussi.
20:13 - Oh... - Si c'est les 2 stars que t'as rencontrés, maman...
20:16 Non, t'as rencontré... Ma mère, elle a rencontré des stars. - C'est un amour.
20:18 - C'est gentil de dire ça. - Elle est malade ou quoi, là ?
20:19 La dernière fois, j'étais encore à la maison, elle était avec Sharon.
20:22 - Ouais, mais écoute, l'air, elle a fait ça. - Sharon. - Sharon. - J'étais avec Sharon à la maison.
20:25 - C'est les mêmes, regarde. - Il y a 5 ans, j'étais... Je me rappelle, il y a 10 ans,
20:28 j'étais à la fin de dîner avec ma mère à la maison avec Sharon.
20:31 - Sharon qui ? - Sharon. - Sharon qui ? - Sharon. - Sharon Boudboule.
20:37 - On peut remettre, là, s'il vous plaît, que je comprends pas. - Mais non !
20:39 - Elle se ressent. - Bah, c'est aujourd'hui, elles ont le même âge. - Ça, c'est aujourd'hui.
20:42 - C'est confondant. - Pareil, hein. Tu laisses tout...
20:44 - Moi... - Tu veux que je te dise la vérité ? Tu veux que je te dise la vérité ?
20:48 Elle change de boucle d'oreille, c'est la même.
20:51 C'est ma vie, la même. La même.
20:54 - Les boucles d'oreilles, la même. - Moi, franchement...
20:57 - Non, mais c'est vrai, parce qu'elle, t'arrives, tu la vois, tu lui fais...
21:00 "Oh, des mimous !" Et elle, tu la vois, tu lui fais... "Sers-moi un demi, s'il te plaît."
21:05 Non, mais c'est... Non, mais c'est fou, c'est dégueulasse.
21:07 - Ça explique peut-être... Il y avait peut-être un petit truc à ce moment-là.
21:09 - Non, mais... Et Bruce Willis, comment ? Par quel truchement ? - C'est vrai.
21:13 - Tu t'es retrouvé sur les genoux de Bruce Willis ? - C'est énorme, c'est chaud.
21:16 - Parce que qu'est-ce qu'il a ? Il tournait le 6e sens, c'était pas bien ?
21:18 - Il voyait des morts. - Il voyait des morts ?
21:22 - Le quoi ? - Il voyait des morts.
21:26 - En fait, il tournait le 6e sens... Je sais pas si vous connaissez le 6e sens.
21:29 Le 6e sens, c'est un petit peu... Il voyait des morts.
21:32 Et lui, en fait, Bruce Willis, comme il a le dit un petit peu,
21:35 c'est le seul qui l'a vu dans la boîte.
21:37 Personne savait qu'il avait la meuf dans ses genoux. Non, mais sans déconner, c'est fou.
21:40 - Non, mais je saurais pas vous donner les détails parce que je comprends pas l'anglais.
21:43 - Bah, mais t'as dit quoi ? - Donc, en fait, il m'a dit des trucs
21:44 et puis après, il m'a montré son genou. - Quoi ? T'es sûr que c'était son genou ?
21:47 - Et je me suis assise dessus. Enfin, franchement, c'est...
21:50 - Donc, toi, y a un mec en boîte...
21:52 (Rires)
21:56 Elle est tranquille. Elle a dit "à n'importe quel mec en boîte".
21:58 (Ils parlent en même temps)
22:03 - Elle a pas le redevoir, moi. - T'imagines ? Elle est folle.
22:06 Elle s'en déconnait. - Il a pas eu l'air de trouver ça des mecs.
22:08 - Mais tu l'avais reconnu ? - Bah oui, bien sûr.
22:12 Je suis rentrée dans le caravane de vieilles petites. - Il est tout chaud comme un oeuf.
22:13 - C'est pas Sim. - Ouais, c'est ça.
22:16 - T'es sûr que ça faisait pas partie du film "Une journée en enfer" ?
22:20 (Rires)
22:23 - En tout cas, Vénéle est une fille facile. - Quoi ? Il t'a pris pour une fille de joie ?
22:26 - Non, non, non. Elle a juste été sur ses genoux.
22:29 - Je sais qu'elle est pas facile, mais... - Ah non.
22:31 - Non, mais là, il avait l'air... Enfin, puis c'est une...
22:33 Faut se remettre dans le contexte. Une boite, on a un peu bu. Enfin, voilà.
22:37 - Toi, t'as bu quoi ? - Elle est folle, hein.
22:39 - Elle a pris 2 diabos dans le monde. - C'est dans un carré de vip.
22:42 - Non, c'est lui qui avait... - Dans un carré de vip et tout.
22:44 - Arrêtez. - Parce que je connais...
22:46 - Sur les genoux de Bruce Willis. Quoi ? Il l'a trouvé que toi.
22:48 - Moi, à Cannes, je connais tout le monde. - Bruce Willis, il l'a trouvé que toi.
22:50 - À Cannes, en plein mois d'envergre. - Dis-moi, frère.
22:52 - T'es sûr que c'était à Cannes ? - C'était en travaux, la boite.
22:54 - Frère, à mon avis, sur la tête de ma mère, à mon avis, c'était...
22:57 - A mon avis, c'était au Cap d'Acre. C'était un sosie, frère.
23:00 (Rires)
23:02 - C'était pas son genou. (Rires)
23:04 (Applaudissements)
23:08 - À moins, il le garde. - Génial.
23:10 - Et après ? - Après, c'est tout.
23:12 Après, il y a un moment où je me suis levée.
23:14 - Ah ouais ? Mais comment t'as pas levée ?
23:16 - Elle a se levée. - T'es assise avec Bruce Willis.
23:18 Allez, chérie, si vous nous rejoignez, 19h20.
23:20 Un faux doux. Daniel Moron, vous l'avez jamais dit,
23:22 elle a passé une soirée sur les genoux de Bruce Willis.
23:24 Bruce Willis, ça veut dire... Il avait Daniel Moron sur les genoux.
23:26 Il disait rien, le gars.
23:28 (Rires)
23:30 Donc, il y a Bruce Willis. Imaginez, vous arrivez en boite, déjà.
23:32 T'imagines, t'arrives en boite. Tu fais "Oh, putain, il y a Bruce Willis."
23:34 Hop ! Non, mais...
23:36 - Déjà, ça n'a aucun sens. - C'est Daniel Moron.
23:38 (Rires)
23:40 Non, mais t'imagines déjà le choc, frère.
23:42 T'arrives, tu vois Bruce Willis. On te dit déjà parce que ça brise dans la boite.
23:44 "Ouais, il y a Bruce Willis, il a ramené sa poule."
23:46 (Rires)
23:48 Il est avec Demi Moore. Non, non, une autre meuf, on connaît pas.
23:50 - Il veut rester discret. - On connaît pas. Il veut rester discret.
23:52 Enfin bon, je sais pas qui c'est.
23:54 Et là, tu vois Bruce Willis avec Daniel Moron sur les genoux.
23:56 Ah, là, c'est la Condra Sraa numéro 6, là.
23:58 - Sur un genou. - Quoi ?
24:00 - J'étais que sur un genou. - Sur un genou.
24:02 - Un de ses genoux, ouais. - D'accord.
24:04 - Mais j'étais... - Donc t'as compté ses genoux, quoi.
24:06 J'avais la moitié de mon poids. La moitié de mon âge et la moitié de mon poids.
24:08 - Ah, c'était déjà... - Pas la moitié. Le 3... Le quart.
24:10 Ah, je sais pas. En tout cas, j'avais beaucoup moins de kilos et beaucoup moins de poids.
24:12 - Non, mais arrêtez, magnifique comme ça. - C'est impossible.
24:14 Non, mais je veux dire, il a pas souffert.
24:16 - Mais t'as pu discuter ou quoi ? - Il a pas souffert.
24:18 (Rires)
24:20 - Bruce, Bruce, t'as pas souffert. - Non, non.
24:22 - Non, on s'en souffit. - Oui.
24:24 - Je suis une Bruce. On l'embrasse, d'ailleurs, Bruce Willis.
24:26 Je sais qu'il me regarde très souvent. - Ah, oui.
24:28 - Et je l'adore, parce que c'est un super pote à moi.
24:30 - Bruce Willis, t'as un pote à vous ? - Bien sûr.
24:32 - Il le regarde souvent ? - De ouf. Il adore regarder l'émission.
24:34 - Hein ? - C'est ouf, parce qu'il y en a un fois,
24:36 il m'a dit "J'ai une ex à moi dans l'émission."
24:38 (Rires)
24:40 Je me suis imaginé tout le monde, sauf elle.
24:42 Bah, tu vois. Franchement, tu vois comme quoi il aime l'éclectisme.
24:44 - Oui. - C'est vrai.
24:46 - On a éteint. - Bravo, Daniel. Bon, très bien.
24:48 - On nous a bien éteints. - Tiens.
24:50 On a la chance d'avoir un playboy à la table.
24:52 (Rires)
24:54 Il a rencontré, lui, celui-là. Allez.
24:56 - Alors, à l'étranger, j'ai inauguré un hôtel
24:58 avec Shaquille O'Neal, le basketeur.
25:00 - Ah, c'est ripot. - C'est ripot, ça ?
25:02 - Ouais. - Je t'en fous pas mal, O'Neal.
25:04 - Je l'adore, mais bon, je fais un truc. - T'as par hasard.
25:06 - Excuse-moi, t'as inauguré un hôtel, c'est-à-dire que t'étais au même niveau de Stark que Shaquille O'Neal ?
25:08 - Il était un peu en dessous de moi, mais on a fait papier rouge ensemble.
25:12 - Donc le mec qui a venu, il a dit...
25:14 Donc les gars sont arrivés, il dit, "Voilà, ce soir, on a la chance d'avoir pour inaugurer l'hôtel Shaquille O'Neal."
25:18 - C'est incroyable, il a présenté tout ça.
25:20 - J'ai perdu. - Il est très sympa.
25:22 - J'ai perdu. - Tu vois, c'est... - Il a fait sur son genou.
25:24 (Rires)
25:26 (Applaudissements)
25:30 - Allez, merci. C'est tout ?
25:32 - Bah, donc, on a inauguré l'hôtel ensemble,
25:34 standard à Los Angeles. - Arrête de faire le ramadan
25:36 parce que t'es catastrophique. Non, mais sans déconner.
25:38 Depuis qu'il fait le ramadan, frère, c'est un truc de fou.
25:40 - Les Polska, on l'a oublié, c'est vrai ?
25:42 Elle, elle va nous dire un truc, on connaît.
25:44 - Il avait une 2e vague. - Moi, j'ai une histoire de ouf.
25:46 - Quoi ? - Alors moi, j'ai recalé une star internationale en boîte.
25:49 - Non, c'est pas vrai. - Bravo !
25:51 - Non, je suis sûr. - Encore plus. - Raconte-nous déjà comment il t'a...
25:53 Comment il t'a chez vous. - Bah, j'étais en boîte,
25:55 j'étais avec mes copines, et là, y a un monsieur qui se vient,
25:57 qui me dit "toi, y a une star qui te veut à sa table".
26:00 Donc moi, j'ai "OK, bah, viens avec mes copines".
26:02 Il me dit "non, elles sont brunes, on veut pas d'elles".
26:04 - Quoi, c'est pas vrai ? - Il veut que des blondes, il aime que les blondes.
26:06 - Ah ouais, mais c'était Jean-Louis David ou quoi ?
26:08 - C'est tout. - C'est le choc de sang.
26:10 C'est Franck Provo, il est à la table, il veut que des blondes.
26:13 Alors on a foutu, ouais. - Du coup, moi, j'avais peur,
26:15 mais je me suis dit "OK, pourquoi pas", et là, j'y vais,
26:17 et en fait, c'était 50 cents. - Non !
26:19 - 50 cents ? T'es sûre que c'était pas 50 balles ?
26:21 (Rires)
26:23 Quoi, j'vous jure, c'est vrai. Qu'est-ce qu'il t'a dit ?
26:25 - Non, c'était lui, et du coup, moi, j'étais pas très à l'aise,
26:27 du coup, j'ai commencé un petit peu à me mettre à l'aise.
26:29 - Ouais. - Voilà.
26:31 Et du coup, il me parlait, moi, je comprenais pas trop.
26:33 Du coup, je lui disais que les trucs que je connais,
26:35 donc je lui disais "I love Candy Shop", parce qu'il a chanté Candy Shop.
26:37 - On est pas plus cons qu'on a l'air. - Voilà.
26:39 Et après, il m'a dit "faut que tu viennes avec moi après la boîte",
26:43 et moi, je lui dis "no, I'm not easy girl".
26:45 - Non ! - Bravo !
26:47 - Et après, je lui ai dit "je t'envoie un message sur Insta",
26:49 et après, il m'a jamais répondu.
26:51 - Et là, tu lui dis "en revanche, y a Daniel Moreau dans la boîte".
26:53 (Rires)
26:55 (Applaudissements)
26:57 (Rires)
26:59 - C'est ouf. Et alors, il a jamais rien dit ?
27:01 - Non, parce qu'en fait, je lui avais dit
27:03 "je t'envoie un message sur Insta, réponds-moi",
27:05 il m'avait dit "OK, OK", mais après, il m'a jamais répondu.
27:07 - Ah, tu lui as quand même envoyé un message ? - Ouais, quand même.
27:09 - Ah, c'est le fils facile. - Ah, le pas easy !
27:11 (Rires)
27:13 - Bravo Raymond, très belle analyse de Raymond.
27:15 (Rires)
27:17 [Musique entraînante diminuant jusqu'au silence]

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