️ Replay : Paris Saint-Germain - OGC Nice : la conf de presse de Luis Enrique
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00:36 *Musique d'outro*
01:05 *Musique d'outro*
01:25 *Musique d'outro*
01:37 Bonjour à tous et bienvenue ici en direct du campus du Paris Saint-Germain.
01:44 Je suis avec David Butler et nous allons assister dans quelques instants à la conférence de presse du coach Louis-Sennoriquet
01:50 avant le quart de finale de la doyenne des compétitions, la Coupe de France, David.
01:54 *Bruits de traduction en anglais*
02:10 Exactement, demain nous allons recevoir les aiglons de l'OGC Nice pour disputer ce quart de finale.
02:16 Alors vous l'avez peut-être vu ce matin, pas d'entraînement ouvert à la presse.
02:20 Néanmoins, nous étions là pour savoir qui était présent et qui ne l'était pas.
02:24 C'est donc l'heure David de jeter un coup d'œil sur le point médical.
02:28 *Bruits de traduction en anglais*
02:49 Et oui, on l'avait déjà vu lors du dernier point médical qu'en raison de sa douleur persistante au dendachyle,
02:55 Marquinhos nous avait dit qu'il a bénéficié d'un traitement adapté et du coup il serait laissé au repos quelques jours.
03:00 Ça impliquait donc le dernier match face à Reims et ce match-ci donc également face à Nice.
03:06 Milan Skriniar, lui, ça fait plaisir, il a retrouvé les terrains d'entraînement.
03:11 Il s'entraîne de manière individuelle, on espère revoir le Slovaque très très vite dans le groupe.
03:17 Tandis que Marco Asensio et Prasenjel Kimpembe sont toujours en phase de reprise.
03:22 *Bruits de traduction en anglais*
03:41 Et oui, ça c'est le petit tour de Luis Enrique qui fait à la fois des surprises dans son 11e départ.
03:46 Il reste le coach qui fait le plus de changements d'un match à l'autre en Ligue 1 dans son 11e départ.
03:52 On l'a vu encore une fois, c'est un coach qui aime aussi profiter de ses joueurs et de leur polyvalence pour dans un même match.
03:58 C'est vrai que ça a été le cas de Lucas Hernandez, il commence au poste latéral, il rentre en défense.
04:04 *Bruits de traduction en anglais*
04:06 Et donc il aime bien changer.
04:08 Il fait froid.
04:10 Bonjour coach, ça va ?
04:12 Oui, ça va.
04:14 Ok, c'est mon tour, je vous pose des questions.
04:16 On joue dans 3 compétitions, mais la cupe française est la seule à être éliminée dans un match.
04:24 Vous avez beaucoup mentionné que vous aimez le contrôle.
04:26 Comment pouvez-vous contrôler ce match pour ne pas qu'il devienne un match de basketball ?
04:33 C'est difficile, parce que dans une compétition où tu es à l'intérieur ou à l'extérieur, en fonction du résultat,
04:41 au moment où le Paris ou le Nice sont derrière le marqueur, il n'y a rien à perdre.
04:46 Donc, tu as déjà un match à l'intérieur.
04:49 On va essayer de contrôler un rival que nous connaissons bien, qui fait une grande saison.
04:56 Peut-être que cette partie finale, il y a des doutes, mais nous savons de son potentiel.
05:02 C'est un équipe qui défend très bien, qui sait comment attaquer, difficile de lui enlever le ballon.
05:06 Difficile, difficile.
05:08 Oui, ça va être un match difficile.
05:10 David lui demandait comment on garde le contrôle de ce genre de match.
05:12 C'est plus facile quand on a un match à l'extérieur et un match à domicile,
05:15 mais sur un même match, face à une équipe de Nice qu'on connaît bien, qui a des qualités,
05:19 qui sait contrôler le ballon, qui sait attaquer, qui a fait un beau début de saison,
05:22 même s'ils ont quelques doutes en ce moment, le coach s'attend à un match difficile.
05:26 Coach, c'est un match, aussi, Coupe de France, où ça peut se jouer au tir au but, avec les gardiens.
05:33 On sait que cet exercice est très particulier.
05:36 J'avais envie de savoir, en tant que coach principal,
05:39 est-ce que vous vous impliquez aussi dans le travail mental et technique d'un gardien de but
05:44 ou est-ce que c'est réservé aux coaches et des gardiens ?
05:47 Le coach de but, dans ce cas, c'est Borja, qui travaille avec les buts,
05:52 dans les défis de penalty, évidemment,
05:55 mais chacun a son propre profil et sait ce qu'il doit travailler.
06:01 La semaine passée, nous avons parlé et travaillé sur les penaltys pour voir les joueurs,
06:07 avant la Real Sociedad, pour le moment.
06:10 Je crois que, basé sur ma expérience, les penaltys sont tout mental.
06:15 Vous pouvez être un grand spécialiste et baser votre expérience sur moi,
06:19 et arriver au moment fatidique.
06:21 C'est impossible de l'entraîner, car il n'y a pas les mêmes conditions que dans le match.
06:25 Il n'y a pas de public, il n'y a pas de pression.
06:27 En tirant un penalty, je tire 5 et je marque 5,
06:30 et dans le stade, je tire 5 et je manque 5.
06:33 C'est un thème clairement mental,
06:36 où il faut être capable de supérer la pression dans un moment délicat.
06:41 Cela a plus à voir avec votre état d'esprit,
06:45 car si ça arrive, nous devons le valoriser.
06:48 Mais je ne veux pas que les penaltys arrivent.
07:09 Vous avez déjà mentionné que Nice doit être un adversaire difficile.
07:12 Ils sont les seuls équipes à nous avoir battus en Ligue 1 à la maison cette saison.
07:15 Qu'en pensez-vous de cet équipe ?
07:19 J'aime la façon de jouer de leur entraînant, Farioli.
07:22 C'est un entraînant très jeune, mais très bien préparé.
07:26 Ils ont fait 2/3 du championnat de haut niveau.
07:31 Ils ont été notre adversaire pour jouer en Ligue 1.
07:34 Ils ont eu des mauvais résultats, mais ils savent ce qu'ils font avec le ballon.
07:38 Ils savent positionner-se de la manière adéquate.
07:41 Ils occupent bien les espaces, ne perdent pas le ballon,
07:44 pressent très bien, sont agressifs,
07:47 ne sont pas en danger de faire des coups de main.
07:50 C'est un équipe très bien travaillée et de haut niveau.
07:54 Merci coach !
07:56 Le coach jeune, en effet, Francesco Farioli,
07:59 qui sait contrôler le ballon, qui sait bien positionner ses joueurs,
08:02 qui sait attaquer, qui a beaucoup de qualité.
08:05 Il traverse, il l'avait dit, une période de doute, David,
08:08 mais ils l'ont montré, notamment en Ligue 1.
08:11 C'est la seule équipe qui a réussi à faire tomber le Paris Saint-Germain cette saison.
08:14 Donc le coach en garde le souvenir d'un adversaire difficile et coriace.
08:18 Il aime beaucoup ce que propose son adversaire,
08:20 même si, forcément, on espère que Francesco Farioli
08:23 ne va pas proposer grand-chose au Parc des Princes.
08:26 Oui, bien sûr. 22 matchs sans victoire, mais c'est l'unique équipe qui a pu nous battre
08:29 jusqu'ici, dans la Ligue, cette saison.
08:32 Ils ont battu à la maison aussi. Donc le coach va se rappeler de ce match.
08:35 Ils sont une équipe agressive, ils pressent bien, ils doivent être dans notre top game.
08:38 J'aime ce qu'il a dit sur les pénalités aussi.
08:41 Tu ne peux pas recréer en train. Tu peux faire 5/5 en train,
08:44 mais tu vas au stade, il y a une pression différente,
08:47 c'est difficile de recréer ça. C'est plus en contrôle
08:50 de ce qui se passe dans ton esprit,
08:53 l'aspect mental des pénalités.
09:16 C'est exactement ça.
09:19 En regardant ce match, Nys, même si c'est l'unique équipe qui a battu
09:22 dans la Ligue cette saison, ils se battaient pour un peu de forme
09:25 en ce moment. Un seul but dans les 6 dernières matches.
09:28 Et ce but était dans la Coupe de France contre Montpellier.
09:31 Donc dans les 5 dernières matches, ils n'ont pas eu de but.
09:34 Ils n'ont eu aucune défaite sur leurs 5 derniers matchs.
09:37 Ils restent sur une défaite face à Montpellier, l'équipe même qu'ils avaient battue.
09:40 En Coupe de France, leur parcours c'est Auxerre-Bordeaux.
09:43 Et donc Montpellier, c'est comme ça qu'ils sont arrivés en quarts de finale.
09:46 De notre côté, on s'en rappelle un coup d'éclat face à Reuvel, puis Orléans.
09:49 Et enfin, nous avons éliminé Brest, David.
09:52 Et donc, nous sommes en train de nous mettre dans cette compétition, comme je l'ai dit,
09:55 sans but, dans 22 matchs. Bien sûr, 3 buts dans les 5 dernières matches
09:58 dans toutes les compétitions, mais il y a toujours une bonne victoire
10:01 contre Sociedad, loin de la maison dans ces 5 dernières.
10:04 Donc l'équipe a toujours un peu de forme et, bien sûr,
10:07 elle a toujours la meilleure réputation dans la compétition.
10:10 Et donc, justement, ça c'est pour la Ligue 1, les matchs nuls.
10:13 Ce qui n'empêche pas le Paris Saint-Germain de continuer sa course en tête du championnat
10:16 en Ligue des champions, qualification pour les quarts de finale après la victoire
10:19 face à Real Sociedad et donc place à la Coupe de France.
10:22 Et le coach est justement en conf.
10:25 Comment vas-tu ?
10:28 Bien. Tu as refroidi ?
10:31 Ah non ? Ah, d'accord.
10:34 Bonjour, José Barroso du journal L'Equipe.
10:37 Hier, Francesco Farioli a beaucoup parlé de revanche sur ce match.
10:40 Est-ce que il s'attend à un sentiment de revanche chez vous ?
10:43 Est-ce que c'est effectivement un sentiment qui vous anime,
10:46 vous et vos joueurs, avant ce match ?
10:49 Et est-ce que ces retrouvailles sont l'occasion pour vous
10:52 de montrer tout le travail que vous avez fait depuis septembre ?
10:55 Je pense que c'est un sentiment qui nous anime.
10:58 Je pense que c'est un sentiment qui nous anime.
11:01 Comment est-ce que vous voyez cette revanche ?
11:04 Non, il n'y a pas d'esprit revanchard.
11:07 D'aucune manière.
11:10 Ça a été notre seule défaite en championnat contre Nice.
11:13 Jusqu'à il y a cinq semaines, c'était notre adversaire direct pour gagner la Ligue 1.
11:16 Donc non, on ne ressent pas ce sentiment de revanche.
11:19 Au contraire.
11:22 C'est une équipe qui travaille très bien.
11:25 C'est une équipe qui a beaucoup travaillé.
11:28 C'est une équipe qui travaille très bien.
11:31 C'est une équipe que j'aime beaucoup.
11:34 Une équipe qui est très bonne avec le ballon et exceptionnelle sans ballon.
11:37 C'est l'équipe qui a encaissé le moins de buts avec Brest.
11:40 C'est aussi l'équipe qui encaisse le moins de buts dans les expected goals.
11:43 Donc on pense que c'est un tour qui est assez difficile.
11:46 On a la chance que le match se joue à domicile.
11:49 Et on sait de quoi ils sont capables.
11:52 C'est une équipe qui travaille très bien.
11:55 Et on sait de quoi ils sont capables.
11:58 C'est un match qui est très motivant, très attractif, mais difficile.
12:04 Mais pas de question de vengeance, de question de revanche.
12:07 Ce sont des mots assez laids en espagnol.
12:10 Donc non, on ne ressent pas ce genre de sentiment.
12:13 Bien au contraire.
12:16 Bonjour Nicolas Payet, Infosport + Canal +.
12:19 Après le match dimanche, vous parliez de points améliorés pour votre équipe.
12:22 Quels sont-ils ?
12:25 Est-ce que c'est ce genre de rencontre qualificative qui peut préparer au mieux le PSG pour le quart de finale de Ligue des Champions ?
12:30 Merci.
12:33 Ce sont des compétitions différentes.
12:36 Chaque match a toujours des aspects qu'on peut améliorer évidemment.
12:41 Mais ce n'est pas juste pour nous.
12:44 C'est aussi pour toutes les autres équipes.
12:47 On a une compétition, la Coupe de France, qui est très attrayante.
12:52 C'est pareil dans tous les pays, en Angleterre, la Coupe d'Espagne, la Coupe du Roi.
12:55 Ce sont des compétitions qui sont centenaires et qui plaisent beaucoup aux spectateurs.
13:00 Donc c'est difficile parce que c'est un match de 90 minutes.
13:05 Il faut être supérieur à l'adversaire pendant 90 minutes.
13:08 Et sinon tu vas au tir au but.
13:11 Et si jamais tu es en deçà de l'adversaire, tu es éliminé.
13:14 Donc on va le prendre comme une finale parce que c'est une finale.
13:17 Et l'objectif très clair, c'est d'essayer de jouer mieux que Nice à domicile.
13:23 Bonjour coach. Arthur Perreault, RMC.
13:26 Quand vous voyez ce week-end l'affiche entre Liverpool et Manchester City en première ligue,
13:31 deux potentiels futurs adversaires de clubs français en Europe,
13:35 est-ce que vous vous dites que la Ligue 1 n'est finalement pas loin de ce niveau-là ?
13:41 Merci beaucoup.
13:43 Liverpool ne joue pas en Champions.
13:49 Non.
13:50 Non.
13:51 Tu m'as dit qu'on allait jouer.
13:57 Par chance, Liverpool n'est plus en Champions League mais en Europa League.
14:03 Tant mieux pour nous.
14:04 Et City bien sûr que oui, ce sont les champions en titre.
14:08 Le match ce week-end, je l'ai vu, c'était un match de très haut niveau avec deux entraîneurs absolument uniques,
14:18 deux équipes singulières et un très haut niveau.
14:21 Ce que je peux vous donner, c'est une réflexion sur ce que je pense qu'est la Ligue 1.
14:28 Pour moi, quand je ne la connaissais pas, je pensais que c'était une ligue assez facile et c'est tout le contraire.
14:35 Il y a un très haut niveau individuel, un très haut niveau de proposition de la part des entraîneurs.
14:42 Et là tu le dis parce que ça t'arrange, parce que ça te fait paraître bien.
14:49 Mais non, ce n'est pas du tout quelque chose que je dis parce que je suis en Ligue 1.
14:52 Je le dis parce que je trouve que c'est vraiment une ligue avec un haut niveau de compétitivité.
14:57 Il y a beaucoup de talent, il y a beaucoup de jeunes joueurs qui ensuite partent dans d'autres ligues.
15:00 Et je pense qu'il y a un très haut niveau parmi les entraîneurs aussi.
15:05 Et je peux le dire parce que maintenant j'en ai l'expérience.
15:07 Jérémy Gendron, pour la chaîne L'Equipe.
15:09 La Ligue 1, vous avez une bonne avance qui vous permet de préparer la saison prochaine.
15:14 Mais est-ce qu'un match comme demain, avec un match éliminatoire, c'est pour mettre les meilleurs joueurs à disposition dans l'équipe ? Merci.
15:21 J'essaie toujours de mettre les 11 meilleurs joueurs pour chaque match.
15:29 Mais tu l'as très bien défini, chaque compétition est différente, les circonstances sont différentes.
15:34 Ce n'est pas la même chose d'être premier en Ligue 1 avec 10 points d'avance.
15:39 On peut faire match nul en Ligue 1 parce qu'on a un peu de marge et on cherche des solutions.
15:46 Mais au fur et à mesure qu'on s'approche de la fin de saison, on veut bien sûr garder toutes ces chances de gagner les titres.
15:53 Et donc pour ça, il faut gagner en Coupe de France des matchs à élimination directe.
15:57 C'est un match qui va être très ouvert, parce que dès que l'une des équipes va passer devant au score, l'autre est éliminée potentiellement.
16:07 Et donc à ce moment-là, l'autre équipe prend des risques.
16:10 Donc Nice et le PSG sont des équipes qui en temps normal prennent beaucoup de risques en temps normal.
16:14 Alors là bien sûr, si tu es derrière au score, tu dois prendre plus de risques et ça donne un match très intéressant pour le spectateur.
16:22 Et j'espère que ce sera plus intéressant pour nos spectateurs que pour les leurs.
16:27 Bonjour, Louis-Henriqué Bruno Salomon, France Bleu Paris.
16:31 J'aimerais parler de Marquinhos. On vient d'apprendre qu'il allait être absent.
16:36 Qu'est-ce qui se passe avec sa blessure ? Est-ce qu'on peut en savoir un petit peu plus ?
16:40 Est-ce que vous faites du souci pour le capitaine ? Parce que c'est parti du mollet, c'est en train de descendre du côté du tendon d'Achille.
16:47 Que se passe-t-il exactement pour Marquinhos, s'il vous plaît ?
16:50 Je n'ai pas d'informations additionnelles. La seule information, c'est celle du service médical.
16:58 Il n'y a rien de très inquiétant ni de grave.
17:01 Je peux même vous dire qu'évidemment, il aurait pu jouer contre San Sebastian, contre la Real Sociedad avec Danilo.
17:09 Mais j'ai préféré ne pas le faire jouer parce que je préfère que quand un joueur n'est pas à 100%, ne pas le faire jouer.
17:14 C'est Danilo qui a joué. Et Marquinhos, tant qu'il ne sera pas à 100%, je ne pense qu'il n'y a pas besoin de prendre de risques.
17:22 Mais il n'y a rien d'inquiétant, encore une fois, ni rien qui soit dangereux.
17:26 Oui, c'est Enrique, bonjour. Marc Mechelda, pour Le Parisien.
17:32 On a beaucoup parlé de votre turnover concernant Kylian Mbappé.
17:35 Il y a d'autres joueurs sur lesquels vous avez fait beaucoup tourner ces dernières semaines.
17:39 Et notamment Ousmane Dembélé, qui n'a démarré que deux des cinq derniers matchs du Paris Saint-Germain.
17:45 A quelle logique se répond-il ? Est-ce qu'il a eu des pépins physiques ? Est-ce que vous avez senti le besoin de le faire souffler ?
17:52 Pourquoi on l'a moins vu, Ousmane Dembélé, ces dernières semaines ?
17:57 Je ne peux pas, je ne sais pas, en vérité.
18:05 Vous pensez que ce sont seulement deux matchs sur les cinq derniers ?
18:10 Mais il les a joués.
18:18 Nous, on étudie chaque petit détail pour tous les joueurs individuellement.
18:26 Pour nous, tous les matchs sont importants.
18:29 C'est certain que les compétitions comme celle de demain ou la Champions League sont des compétitions de haut niveau,
18:36 très attractives et qui nécessitent qu'on présente le meilleur visage de notre équipe.
18:42 Ousmane n'a pas vraiment de problème. Il a toujours été à disposition de l'entraîneur.
18:47 Je crois qu'il n'a pas joué à Monaco. Il est arrivé en fin de match.
18:51 Nous, on pense que le meilleur entraînement c'est évidemment la compétition,
18:57 mais il faut tout de même contrôler le temps de jeu.
19:00 En particulier pour les joueurs qui sont très explosifs comme Ousmane Dembélé ou comme Kylian Mbappé,
19:05 puisque ce sont des joueurs qui ont une vitesse hallucinante et qui impliquent des risques.
19:12 On essaie de chercher ce que l'on considère meilleur pour l'équipe.
19:17 Cela implique logiquement de les faire jouer plus ou moins de minutes en fonction de nos propres considérations.
19:23 Bonjour, Louis-Saint-Niqué Baptiste Duru et Hertel.
19:26 Question un peu particulière, vous qui avez fait des marathons, des courses d'endurance extrêmement difficiles,
19:31 est-ce que vous donnez des conseils aux joueurs sur le côté dépenses énergétiques,
19:35 sur la répétition des courses à haute intensité, sur l'endurance et la mentalité globalement ?
19:40 Est-ce que vous êtes satisfait de ce que vous voyez sur le terrain à ce niveau-là, physiquement parlant ?
19:44 Merci.
19:45 Sans aucun doute.
19:48 Depuis plusieurs mois ici, il y avait eu deux matchs nuls et vous demandiez si c'était un problème physique.
19:57 Je vous avais dit que non et je le répète, je crois qu'on est parmi les équipes qui courent le plus de courses à haute intensité,
20:05 si on calcule en mètres, en kilomètres.
20:08 Je pense que c'est merveilleux.
20:10 Aujourd'hui, les préparateurs physiques ont des tas d'outils, des GPS qui leur permettent de calculer,
20:16 ils calculent les courses à haute intensité.
20:18 Donc ce n'est pas tant la distance générale parce que je peux courir 15 kilomètres sans jamais toucher le ballon.
20:24 Mais ce qui est très important, c'est d'être capable de maintenir la course à haute intensité.
20:32 C'est merveilleux.
20:33 Évidemment, on a tout contrôlé par les préparateurs physiques grâce aux outils modernes.
20:39 Je n'ai jamais eu de problème en tant qu'entraîneur avec le thème physique
20:42 parce que pour moi, c'est très lié au mental, c'est lié à l'aspect presque spirituel.
20:46 Je crois qu'en créant des performances physiques chez le joueur, il est plus frais, il peut répéter des gestes.
20:55 Ce n'est pas pour moi une composante individuelle qu'il faut exploiter, mais le corps en entier.
21:00 L'aspect mental, l'aspect physique, le repos, l'alimentation, tout est important.
21:05 Quand on comprend ça d'un point de vue général et qu'on l'englobe comme un tout, je pense que c'est comme ça qu'on progresse.
21:13 Bonjour coach, Mourad Sefian pour la Source parisienne.
21:16 Ça tombe bien, on parlait d'embellé. Je voulais revenir un peu sur le match contre la Real Sociedad.
21:20 Beaucoup de gens ont observé ce que vous avez fait au milieu de terrain.
21:23 Vous l'avez replacé un peu plus bas pour gêner les Espagnols.
21:26 Parlez-nous un peu de tout ça. Il y a beaucoup de gens qui en ont parlé.
21:29 Je trouve que vous n'en avez pas assez parlé. Merci.
21:32 En réalité, c'est un concept très basique.
21:36 Ce qu'il faut tenter en tant qu'entraîneur, c'est que tes meilleurs joueurs touchent beaucoup le ballon.
21:42 Dembélé est l'un de nos meilleurs joueurs.
21:44 Il arrive à déborder les joueurs.
21:46 Pour moi, il est l'un des plus forts à ce niveau-là sur la planète du football.
21:51 La majorité des équipes ont tendance à fermer l'intérieur, le centre.
21:56 Il faut bien sûr passer par les côtés.
21:58 La Real Sociedad, en fonction du pressing, pressait avec six joueurs au centre.
22:05 Évidemment, ils libéraient les couloirs.
22:08 Notre idée, c'était de générer de la supériorité et ensuite de trouver Ousmane Dembélé.
22:13 Je crois que c'est quelque chose qu'on a bien fait, qu'on a réussi à créer pas mal d'occasion
22:16 qui a empêché le pressing de la Real Sociedad.
22:19 Ensuite, nous, on se dirigeait vers le but.
22:21 Où sont les espaces ? C'est là que tu dois trouver et placer tes meilleurs joueurs.
22:26 C'est ce qu'on a fait avec Ousmane Dembélé.
22:28 Bonjour, Luis.
22:30 On te parle souvent du cas Mbappé.
22:42 Quel est le soutien que tu reçois et quel est le message plus haut ?
22:46 On a dit que depuis que je suis arrivé au club, depuis ma première réunion avec Luis Campos
22:53 et depuis que j'ai connu le président, j'ai toujours senti une confiance totale, le soutien dont tu parles.
22:59 Venant d'eux, je crois que le projet, l'idée, il y a évidemment quelque chose d'un peu nouveau pour le club,
23:06 différent des entraîneurs antérieurs.
23:09 Il y a beaucoup de choses qui sont différentes.
23:12 Il y a beaucoup de jeunes joueurs.
23:16 L'idée, c'est surtout de voir que nos supporters nous suivent, qu'ils trouvent qu'on joue bien.
23:23 Pour moi, je passe un très bon moment en termes personnel, en tant qu'entraîneur.
23:28 C'est comme ça qu'on doit mener un projet footballistique.
23:31 Bonjour, LFP avec le Média japonais.
23:34 La première question, pouvez-vous expliquer au Média japonais ce qui change dans le club ?
23:41 Ce qui change dans la préparation de matchs entre le championnat et la Coupe de la France ?
23:47 C'est très simple.
23:53 C'est un match de coupe où, en 90 minutes, Nice ou le Paris Saint-Germain va être éliminé, l'un des deux.
24:00 L'un des deux ne continuera pas la compétition.
24:03 Ça implique évidemment un match très ouvert, parce que dès qu'il y aura un but,
24:08 il y en aura un qui sera mené au score et donc qui va prendre des risques.
24:11 Donc ça va être un match complexe.
24:13 Il va y avoir des situations sur les relances, il va y avoir un pressing haut de l'adversaire,
24:18 il va y avoir de l'engagement dans les deux équipes.
24:21 Donc pour moi, ça va être un match très ouvert, à la fois compte tenu du niveau de Nice,
24:26 de son entraîneur, du profil individuel des joueurs, du profil collectif.
24:31 Donc pour moi, c'est un match qu'on attend avec impatience et qu'on considère comme une finale.
24:36 Deuxième question.
24:38 Karni fait une très bonne saison, la première saison.
24:44 Que pensez-vous des joueurs asiatiques qu'il y en a de plus en plus en Europe ou en France ?
24:53 J'ai une opinion.
25:00 En plus, j'ai joué contre le Japon en Coupe du Monde,
25:03 donc je peux vous parler de ça en appuyant sur mon expérience.
25:06 Les joueurs asiatiques ont un haut niveau, ils sont très forts physiquement,
25:11 ils sont très dotés techniquement, ils ont beaucoup de capacités et de plus en plus de compétitivité.
25:16 Donc c'est vrai qu'il y en a de plus en Europe et je pense que ça porte beaucoup au football européen,
25:21 mais également au football asiatique.
25:23 Et ce sont des joueurs très intéressants avec beaucoup de capacités.
25:26 Et donc je trouve qu'autant dans leur sélection nationale qu'en termes personnels,
25:34 les joueurs asiatiques sont très bons. Merci.
25:37 Voilà David, c'est fini pour la conférence de presse de Luis Enrique.
25:47 On l'a compris, on est dans le quart de finale face à l'OGC Nice en Coupe de France.
25:51 Ça se passera demain au Parc des Princes et le coach prévient que ça va être un match difficile.
25:54 Oui, exactement. On va traiter ce match comme un final.
25:57 Il sait que ce nid de match sera difficile.
25:59 Ce sont des équipes agressives, ils pressent bien et bien sûr, comme on l'a mentionné,
26:03 c'est l'unique équipe qui nous a battu en Ligue 1 cette saison.
26:07 Exactement, mais nous restons sur 22 matchs sans défaite, toutes en compétition confondue,
26:11 même si la seule et unique à nous avoir fait tomber en championnat, c'est bien,
26:15 c'est l'OGC Nice. Bref, il l'a prévenu, ça va avoir des airs de finale demain au Parc des Princes.
26:20 22 matchs sans défaite, on va faire face à ce match avec un peu de forme.
26:24 Bien sûr, le meilleur score dans la compétition.
26:27 Et Bappe, il aime cette compétition, on verra ce qui peut se passer demain.
26:30 Exactement. Rendez-vous demain 19h40 pour l'avant-match.
26:33 Ensuite, PGTL vous fera vivre de l'intérieur toute cette rencontre, y compris avec le Match Center.
26:38 C'est tout pour nous.
26:39 C'est tout pour nous.
26:40 Ciao tout le monde, à demain.
26:41 Ciao tout le monde, à demain.
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