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00:00 Je crois que le mot que vous utilisez, "soulagement", c'est le mot juste, pas pour les deux victoires, mais pour le match d'aujourd'hui.
00:11 Les deux victoires, on les cherche depuis longtemps, on a réussi.
00:20 Ça donne, j'espère, plus de courage, plus d'audace pour nous.
00:28 Mais ce qui concerne le match d'aujourd'hui, je crois que c'était un match lourd, pesant dans la tête et dans les jambes.
00:39 Je ne crois pas qu'on a vu un grand spectacle, mais on a vu deux équipes qui se heurtent,
00:54 deux volontés, lesquelles sans doute sont handicapées par la situation et par le moment où le championnat arrive.
01:06 On a fait des meilleurs jeux sans doute chez nous, et on ne savait pas pourquoi on ne prend même pas un point,
01:15 ou pourquoi on prend seulement un point. Cette fois-là, peut-être que c'était l'inverse, je ne veux pas dire que ça ne m'intéresse pas.
01:25 Mais dans des situations comme ça, d'habitude, tu préfères dire que c'est le résultat qui m'intéresse.
01:34 D'ailleurs, en dehors de ça, il y a quand même une chose positive, celui qu'avec la lutte, avec des interventions importantes,
01:50 mais on n'a pas pris but. Voilà.
01:56 - A la base, vous avez intervenu, on a senti votre équipe, en deuxième temps, qui a créé aussi un petit peu de crispe et un petit peu son résol à retenue.
02:04 A la mi-temps, est-ce que vous avez intervenu par rapport à ça ? Est-ce que vous avez dit quelque chose aux joueurs ?
02:09 - J'ai essayé de corriger quelque chose dans le positionnement tactique, où je crois qu'au milieu du terrain, il fallait faire quelque chose.
02:21 J'ai essayé de le corriger, de le renforcer. Je fais appel à l'écart, il est extrêmement petit.
02:36 La prestation, c'est pareil. Et celui qui arrive d'exploiter une erreur, il va avoir une satisfaction.
02:45 Donc si nous, on exploite une erreur, on aurait pu. Alors c'est deux zéros, alors je crois que c'est plus simple.
02:52 Si c'est eux, eux aussi, ils auraient pu. Alors c'est un partout, et après, vraiment, on ne savait pas ce qui leur aurait pu arriver.
03:02 C'est un match dans lequel, moi, j'aimerais, je veux croire que les erreurs techniques, qui vont être plus faciles, doucement, on arrive à les éliminer.
03:18 Je suis très content, même si c'est pénalty, mais pour l'efficacité de Mikotaze. Je crois que pour un avance-centre de marqué, toujours c'est bien.
03:31 J'aimerais qu'il ne loupe pas d'occasion, parce qu'il n'a pas loupé d'occasion. J'aimerais qu'il arrive de louper aussi, donc d'arriver là-bas.
03:39 Peut-être que ça demande un petit peu plus de présence physique dans les duels.
03:50 Et la même chose, c'est valable pour Lampkazé aussi, qui on sait bien qu'il ne s'entraînait pas pendant toute la semaine.
03:59 Mais ça, on ne peut pas tenir comme ça jusqu'à la fin de saison. Il faut qu'on trouve des moments, quand ces joueurs-là, on sait quelle est leur valeur.
04:11 Vraiment, ils tirent encore plus fortement l'équipe vers le haut. J'ai bien aimé la prestation de Kamara.
04:19 Derrière, dans l'axe héroïque, Okinja, ça va, très bon, déterminant.
04:28 Donc on a cette satisfaction, et puis bien sûr, la satisfaction qu'on a réussi, enfin, encore une fois, d'amener la victoire à Metz.
04:41 Vous aviez dit que vous n'alliez pas prendre de but. Il y a eu des circonstances, votre homologue, Kamontas, a dit qu'il y avait un manque d'efficacité de son équipe.
04:53 Mais de manière générale, est-ce que vous avez apprécié le comportement global de votre équipe défensivement ?
04:59 Ce que je pourrais dire, c'est que je crois que le vestiaire est plus serré qu'avant. Je crois que diminuer le groupe, c'est toujours bien.
05:19 Pour dire que défensivement, c'est bon, on n'a pas pris de but, alors je suis satisfait.
05:29 Oui, je suis dans le comportement, mais dans ce comportement, quand même, j'ai vu des absences, sans nommer, mais j'ai vu deux, trois percussions de leur défense vers notre attaque,
05:45 où je me demande où est le responsable. J'ai vu des mauvais choix au milieu du terrain. Quand on perd la balle et l'adversaire fait tout de suite un travail en transition.
06:01 Il y a toujours des choses à corriger. Oui, je suis content, mais pour garder cette habitude, je crois qu'on doit être encore plus précis.
06:17 Vous parliez de groupe restreint, on l'a évoqué en avant-match, le fait de trouver un onze. Est-ce que vous estimez que vous avez trouvé une sature véritable ?
06:31 Oui, mais c'est un onze assez fragile. C'est bon ?
06:47 Vous disiez que vous étiez un peu sévère, vous regardez les détails pour essayer de le corriger à chaque fois. Est-ce que sur les dernières semaines, vous voyez du mieux dans votre équipe ?
07:03 Quand on fait les entraînements tactiques, on a moins de questions, moins de points d'interrogation auquel ils dominent le terrain d'entraînement.
07:22 Je crois qu'on avance dans ce domaine. J'ai peur de vous dire que oui, d'être positif, parce que le diable ne dort jamais.
07:36 Quand je dis quelque chose, l'endemain, tu reçois un gifle. C'est une autre vérité. On a une équipe, par exemple, dans le milieu du terrain, qui est le plus jeune de notre championnat.
07:59 Et eux doivent progressivement, permanent, progresser. Si je prends à temps un camarade, Jean-Jacques Dandlaïer, c'est encore trop crude.
08:12 Il y a des choses où aller, où progresser. Et ça, on aimerait faciliter et attirer d'autres, parce qu'on est limité numériquement au milieu du terrain.
08:26 Si on a des ailiers droite ou gauche, on a cinq ou six, au milieu du terrain, on est un petit peu pauvre. Et on va rester pauvre. On ne peut pas trouver maintenant de solutions miraculeuses.
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