Les autorités s’intéressent aux conditions d’acquisition de certains commerces passés sous pavillon afghan dans le 18e arrondissement de Paris. Charlotte d'Ornellas est revenue sur ce sujet dans #Facealinfo : «Il y a une affirmation identitaire extrêmement claire»
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00:00 Certains accusent les Français qui s'inquiètent de l'ampleur de l'immigration de repli sur soi.
00:04 Les habitants, eux, constatent un repli sur soi qui n'est pas leur en l'occurrence
00:08 et qui est celui de populations qui se succèdent
00:10 et avec qui ils n'ont aucune autre interaction que la peur.
00:14 C'est aussi simple que ça en l'occurrence.
00:16 Et par ailleurs, là, dans la description du quartier,
00:19 la première question qu'on a envie de poser à ce maire adjoint,
00:21 c'est intégration à quoi exactement ? À qui ?
00:24 Parce que quand on voit les vagues successives et la manière dont ils ont la main mise sur le quartier,
00:29 et par quels moyens veut-il intégrer des personnes qui se regroupent en communauté
00:34 et qui, en l'occurrence, au-delà de la question du blanchiment d'argent et du trafic de cigarettes,
00:38 même dans la manière de vivre, vous le disiez,
00:40 ils sont passés sous pavillons afghans, les journalistes décrivent tout simplement
00:44 des drapeaux afghans qui sont mis dans tous ces commerces-là un peu partout.
00:47 Donc il y a une affirmation, on va dire, identitaire qui est extrêmement claire
00:51 et une reconstitution de la société d'origine avec tous ces codes culturels.
00:57 Ce n'est pas un mal en soi, la société et les codes culturels afghans.
01:00 Simplement, quand ça s'installe à Marx, Dormois,
01:04 ce n'est plus la France, c'est sûr et certain, qui est plébiscité.
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