Chaud débat entre Fat Abdou et Président Lamine Gueye "djoubo nieuepeu ko beugeu wayé.."

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Chaud débat entre Fat Abdou et Président Lamine Gueye "djoubo nieuepeu ko beugeu wayé.."

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00:00 de la jeudi. C'est ça que je dis.
00:03 C'est ça que je dis. C'est ça que je dis.
00:03 C'est ça que je dis. C'est ça que je dis. Dès le départ que je suis.
00:05 Dès le départ que je suis.
00:05 Dès le départ que je suis. Parce que le pays est cristé. Le pays est
00:07 Parce que le pays est cristé. Le pays est
00:08 Parce que le pays est cristé. Le pays est clivé. Le clivage. Malheureusement.
00:14 C'est néga. Relation. Malheureusement. Mais il faut la.
00:20 Je sais que c'est bon. Argumente. J'ai eu pensé pour les jeunes de ou quatre ou cinq sont tombés. C'est ça? donc il faut que nous comprenne ça dit rien il faut que tu fais attention. C'est important. Parce que le fait de gauche.
00:50 les jeunes de Guinard là, il parle de soixante ou soixante-dix morts.
00:54 Quatre-vingt-huit. Ah quatre-vingt-huit. À mouline politiciens
00:56 beaucoup de jeunes de Guinard là, il va falloir que les jeunes de Guinard là, il va falloir que les jeunes de Guinard là, il va falloir que les jeunes de Guinard là, il va falloir que les jeunes de Guinard là, il va falloir que les jeunes de Guinard là, ils vont peut-être demain même si on manifestent,
01:03 ils vont peut-être demain même si on manifeste,
01:06 ils vont peut-être demain même si on manifeste, ils vont manifester,
01:07 manifestent, mais peut-être du coup dépenser parce que après il est de nouveau
01:13 qu'on a une idée de ce qui quoi?
01:21 comme argument de stabilité, pacifier l'espace parce que la loi d'indénonce c'était pareil.
01:33 complainter
01:36 Le président
01:56 le président de la Cité de
01:59 le Canada a porté neuf lois de
02:03 deux-mille-vingt-quatre. Deux-mille-vingt-quatre.
02:08 Le président de la Cité de la
02:12 Cité de la Cité de la Cité du
02:16 Canada. Première interrogation
02:23 de la politique. D'une violence
02:28 de la politique, des publics,
02:32 les politiques concernés des
02:37 politiques. Un candidat de un
02:41 le le le numéro deux du parti.
02:58 Le président de la Cité de la Cité de la Cité du Canada.
03:04 même chef d'incultation avant le parti parce que matinée, dilute, inculper. Ce mandat de dépôt, après-midi, le parti. Donc, on parle de pays criminels.
03:29 Oui. Appel à l'insurrection. Appel à l'insurrection. Appel à l'insurrection mais aussi entreprise terroriste. Oui.
03:37 C'est un peu le même. Pour le cas de à travers cette loi d'amnestie recouvrer les droits mais l'autre affaire agissa loi d'amnestie concernant parce que l'autre c'est une affaire privée. Les affaires politiques. Même en même temps. Mme Mbaye Nia également.
04:06 Non. Cette loi là des affaires agissa et Mbaye Nia parce que ce sont des affaires privées. Donc finalement, il faut profiter de cette loi là. C'est une grande loi. Voilà. Oui.
04:21 Alors, c'est le régime en place. Parce que c'est le régime en place. A travers une plainte à la CPI. Une liste de de quatre-vingt ou cent. Baron de ce régime.
04:36 Donc, il y avait des accusations, il y avait des recrutements de nervis. Des armes de guerre, des munitions, force de défense et de sécurité. On a notre fameux numéro neuf
04:49 de l'ordre. Parce que ce sont des choses différentes.
05:09 Donc, c'est une loi de juin passé. Donc, je pense que le régime qui gagne le plus que le parti parce que si l'on recouvre ce droit, le président l'a dit, c'est un dossier invalidé. C'est l'affaire Mbaye Nia.
05:28 Donc, c'est fini. Il faut un autre jugement mais
05:45 c'est fini. Il faut un autre procédé à l'affaire Agisar. C'est le régime en place qui profite de cette loi d'amnestie parce qu'il y a des accusations qui sont portées contre le régime et même au gradé du régime.
06:08 Donc, il faut un autre jugement mais il faut un autre procédé à l'amnestie parce que c'est le régime en place qui profite de cette loi d'amnestie parce que il y a des accusations qui sont portées contre le régime et même au gradé du régime.
06:19 Donc, c'est fini. Il faut un autre jugement mais il faut un autre procédé à l'amnestie parce que c'est le régime en place qui profite de cette loi d'amnestie parce que il y a des accusations qui sont portées contre le régime et même au gradé du régime.
06:30 Donc, il faut un autre jugement mais il faut un autre procédé à l'amnestie parce que c'est le régime en place qui profite de cette loi d'amnestie parce que il y a des accusations qui sont portées contre le régime.
06:40 Donc, il faut un autre jugement mais il faut un autre procédé à l'amnestie parce que c'est le régime en place qui profite de cette loi d'amnestie.
06:50 Donc, il faut un autre jugement mais il faut un autre procédé à l'amnestie parce que c'est le régime en place qui profite de cette loi d'amnestie.
07:00 Donc, il faut un autre jugement mais il faut un autre procédé à l'amnestie parce que c'est le régime en place qui profite de cette loi d'amnestie.
07:10 Donc, il faut un autre jugement mais il faut un autre procédé à l'amnestie parce que c'est le régime en place qui profite de cette loi d'amnestie.
07:20 Donc, le conseil constitutionnel, le procédé de dissolution et le procédé de dissolution, c'est le régime en place qui profite de cette loi d'amnestie.
07:40 Donc, le président Maki Zal, il veut la faire. Il veut la faire parce qu'il veut surveiller ses arrières.
07:50 Mais on peut modifier cette loi une fois à l'assemblée.
07:58 Oui, il peut y avoir des amendements.
08:00 On peut les modifier. C'est possible.
08:02 On peut lire et tout.
08:06 Mais une fois, une question que beaucoup de gens se posent.
08:12 Je sais que vous avez tous des questions concernant cette loi.
08:18 Si elle est en place à l'Assemblée Nationale, on peut l'annuler.
08:22 Parce qu'il y a des juristes qui pensent que c'est impossible de l'annuler une fois qu'elle est en place à l'Assemblée Nationale.
08:31 En tout cas, au Sénégal, dans l'histoire politique, on n'a jamais abordé une loi d'amnestie.
08:37 On a voté à l'Assemblée Nationale.
08:39 On a voté à toutes les difficultés.
08:41 On n'a jamais voté.
08:43 On a voté dans les premières.
08:45 On a voté dans les premières.
08:47 Comme on est dans les premières.
08:49 Comme on est dans les premières.
08:51 Comme les premières de Bachelor.
08:53 On a abordé, mais on a voté à toutes les difficultés.
08:57 Je ne pense pas que ce soit possible.
08:59 Parce que si les juges se sont mis au travail, on ne peut pas aborder une loi d'amnestie.
09:07 Parce que si un juge est dans une mission régale, il doit être assassiné.
09:11 Il faut avoir des conditions médicales.
09:13 Il faut avoir des conditions médicales pour qu'on puisse l'abroger.
09:15 Je ne pense pas que cela soit possible.
09:19 Mais il y a quelque chose.
09:21 Je suis d'accord avec la loi.
09:25 Mais c'est dans le souci d'apaisement.
09:27 Mais c'est dans le souci d'apaisement.
09:29 Mais c'est dans le souci d'apaisement.
09:31 Il y a des choses qui sont difficiles.
09:33 Il y a des choses qui sont difficiles.
09:35 Mais il n'y a rien.
09:37 Même les bruits des oiseaux.
09:39 Même les bruits des oiseaux.
09:41 Donc, si on veut parler d'apaisement, je n'y adhère pas.
09:45 Ce n'est pas dans le souci d'apaisement.
09:47 Ce n'est pas dans le souci d'apaisement.
09:49 On n'est pas dans le chaos.
09:51 Il y a d'autres urgences.
09:53 Je vais déplorer le contexte de la loi.
09:57 Parce que les Sénégalais ont plus de choses à faire.
10:01 Dans leur vie et leur vie d'amnestie.
10:03 On est retenu par la date d'une élection.
10:07 On est retenu par la date d'une élection.
10:09 On a hâte de voir la date de la présidentielle.
10:13 On a hâte de voir la date de la présidentielle.
10:17 Est-ce que la stabilité de l'élection sera maintenue ?
10:21 Est-ce que la stabilité de l'élection sera maintenue ?
10:23 Je ne suis pas d'accord avec ça.
10:25 Mais si on veut faire la loi d'amnestie, c'est pour nous divertir.
10:29 Pour moi, c'est contre-feu.
10:31 Parce que beaucoup de gens ont des priorités.
10:35 C'est pour ça que les Sénégalais ont fait la politique.
10:39 Je vais déplorer ça.
10:41 D'abord, le moment est très mal choisi pour parler de la loi d'amnestie.
10:45 L'autre chose, c'est le régime en place qui en profite le plus.
10:51 Et non le parti séparatif.
10:53 Leur leader, en tout cas, Ousmane Sonko,
10:55 s'il y a des choses qu'il faut faire, il y a d'autres choses qu'il faut faire au plan judiciaire.
11:01 C'est ce qui est important.
11:03 Je ne crois pas que le passé, si on va faire la loi à l'Assemblée Nationale,
11:07 il faut voter. C'est important.
11:09 Moi et Fatoum, je veux dire...
11:11 Fatoum, je sais ce que tu veux dire.
11:13 Je veux te dire quelque chose.
11:15 Je sais que tu as l'impression que je veux entendre tout seul.
11:17 Parce que je n'ai jamais vu, si tu ne sais pas ce que c'est que le projet de loi,
11:21 où est-ce qu'on a mis Ousmane Sonko dans le cadre.
11:25 Je ne l'ai pas vu.
11:27 Et d'ailleurs, si je dirige...
11:29 Je peux l'écrire si je veux bien entendre.
11:31 Si je dirige un passage,
11:33 pendant longtemps, le législateur a voulu privilégier la voie de l'amnestie de plein droit
11:38 qui a un caractère général et anonyme.
11:42 Avec un champ d'application large.
11:45 Effacent sans aucune distinction les infractions visées.
11:50 Le présent projet de loi permettra à des personnes privées
11:56 de leurs droits civiques et politiques
11:58 d'être rétablis de leurs droits civiques.
12:01 C'est ce que je veux entendre.
12:03 Je ne l'ai pas entendu accepter Ousmane Sonko.
12:06 Non, je ne l'ai pas vu.
12:08 Oui, c'est ce que je veux dire.
12:10 C'est ce que je veux dire.
12:12 Oui, oui.
12:14 Les gens ne peuvent pas...
12:16 Ecoute, tu peux faire ton analyse.
12:18 Ou tu peux faire ton analyse.
12:20 Oui, c'est ce que je veux dire.
12:22 Parce que le maximum, c'est ce qu'il a dit, ce qu'il a dit, ce qu'il a dit.
12:24 C'est ce qu'il a dit.
12:26 Le tribunal, il l'a pris comme ça.
12:28 Donc, c'est le conseil consécutif de Gara.
12:30 Donc, si on veut entendre le cour de l'Esprit,
12:32 ça veut dire que souvent, je vais aller dans ces sujets.
12:36 Très vite.
12:38 Je vais vous dire quelque chose.
12:40 Il faut diviser ça.
12:42 Il faut diviser ça.
12:44 Diviser également les juristes.
12:46 Même sur ce point-là.
12:48 Parce que ce n'est pas accordé pour nous trouver.
12:50 Ils sont très nombreux.
12:52 Ce que tu dis est très grave.
12:54 C'est ce qu'on doit amnésier.
12:56 Parce que tout ce qu'on a fait,
12:58 si on avait fait ce qu'on a fait,
13:00 c'est de dissoudre les parties passives.
13:02 Bien sûr.
13:04 Si on amnésie,
13:06 si on amnésie,
13:08 si les passifs retrouvent son parti
13:10 et son leader Ousmane Sonko
13:12 qui va s'aligner pour une élection.
13:14 Mais l'affaire est close.
13:16 C'est ça aussi.
13:18 Le président, lui, va partir.
13:20 Voilà.
13:22 Il va nous assurer ses arrières.
13:24 On verra bien.
13:26 Inchallah.
13:28 Amnésie ou pas.
13:30 Dans tous les cas,
13:32 Ousmane Sonko sera candidat.
13:34 Donc, on verra bien.
13:36 Leur comportement à la semaine prochaine,
13:38 que ce soit Yannick Askani
13:40 ou les gens du PDS.
13:42 Voilà.
13:44 C'est important.
13:46 Merci beaucoup, président Léminé.
13:48 Merci Ndeye Fatou Ndiaye.
13:50 Merci Fatou Abdou.
13:52 Merci Bamba. Merci également aux éditeurs de la Radio Lideur.

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