• il y a 8 mois
C'est un musicien, guitariste, chanteur : l'indissociable complice de Jean-Jacques Goldman, Michael Jones, est l'invité de RTL pour parler de "L'héritage Goldman", le spectacle de retour sur scène avec déjà 150.000 billets vendus.
Regardez L'invité de RTL Soir du 04 mars 2024 avec Julien Sellier.

Category

🗞
News
Transcription
00:00 Vous êtes sur RTL.
00:02 Julia Selier, Isabelle Choquet et Cyprien Sini. RTL bonsoir.
00:09 Allez RTL bonsoir, la deuxième heure, nos compagnons de soirée sont toujours avec nous.
00:15 Cyprien, Isabelle, Antoine avec ce visorec, notre mister musique qui va s'asseoir également, Steven Bellery. Salut Steven.
00:22 Bonjour à tous.
00:26 Vous êtes stagiaires de troisième, ça va bien se passer.
00:31 On accueille à présent notre grande invitée ce soir, alors qui est déjà debout avec sa guitare.
00:37 On va écouter un peu de la BO de nos vies dans cette émission pendant l'heure qui arrive.
00:41 C'est un musicien, c'est un guitariste, c'est un chanteur, c'est l'un des gardiens du temple de l'héritage Goldman.
00:47 Il s'installe. Bonsoir Michael Jones.
00:49 Bonsoir.
00:50 Merci d'être avec nous, vous qui êtes indissociable de votre copain Jean-Jacques Goldman.
00:54 L'héritage Goldman, le spectacle est de retour sur scène, déjà 150 000 billets vendus.
00:58 Vous allez jouer au Dôme de Paris demain soir, il y a encore une cinquantaine de dates prévues partout en France.
01:03 Et ça donne ça.
01:05 [Musique]
01:29 Michael Jones vous jouerez pour nous tout à l'heure dans ce studio, deux, trois chansons.
01:34 Il y aura un medley avec Lilian Renaud, avec Mary Cooper également.
01:36 Vous êtes Lilian, l'une des voix de ce spectacle également.
01:39 Bonsoir à vous.
01:40 Bonsoir.
01:41 Vous chantiez à Lyon hier, vous êtes au beau milieu de cette tournée qui se poursuit en juillet prochain.
01:45 Ça fera 20 ans tout juste que Jean-Jacques Goldman a donné son dernier concert.
01:50 Il est parti sur la pointe des pieds, sans le dire évidemment.
01:53 On l'a vu ensuite aux Enfoirés pendant des années, il est parti il y a une douzaine d'années maintenant.
01:58 20 ans après, ces chansons résonnent encore.
02:00 Le public les connaît toujours par cœur, Cyprien.
02:03 Oui, même moi.
02:04 Toujours aussi, notamment celles que vous avez chantées, créées ensemble.
02:07 Comment vous expliquez ça Michael Jones, que 20 ans après, on se souvienne encore de ces chansons par cœur ?
02:13 Ah ben si je pouvais l'expliquer, je ferais encore des chansons comme ça.
02:16 [Rires]
02:18 Honnêtement, je ne sais pas.
02:20 Si, on sait que l'arrivée de Jean-Jacques et beaucoup d'autres artistes correspond à la naissance des radios libres.
02:28 Parce qu'avant, il y avait ce qu'on appelait les radios périphériques.
02:33 Et elle a eu un grand rôle dans le premier single de Jean-Jacques aussi.
02:36 Voilà.
02:38 Et c'est aussi l'avènement du CD.
02:43 Donc le CD a permis aux chansons de rentrer chez les gens.
02:47 Parce qu'avant c'était du vinyle, il fallait une chaîne IFI qui coûtait cher.
02:51 Ce n'était pas abordable pour tout le monde.
02:53 Et donc les gens ont commencé à avoir des Walkman, des Bass Booster, je ne sais pas comment ça s'appelait.
03:01 Les Ghetto Blaster.
03:02 Les Ghetto Blaster, c'est ça.
03:03 Et donc la musique est rentrée chez les gens.
03:07 Et je pense que pour beaucoup de gens, ces chansons maintenant font partie de leur famille en fait.
03:14 Et c'est quoi l'ambiance ? Vous qui étiez à Lyon hier soir, tous les trois, c'est karaoké dans la salle ?
03:19 Non, du tout. Ils participent beaucoup au spectacle.
03:23 Mais c'est bon enfant. Ils dansent aussi un peu.
03:28 Et il y a qui dans la salle ?
03:30 C'est-à-dire que ce sont des fans historiques ? Ils viennent avec leurs enfants, leurs petits-enfants ? Il y a plusieurs générations ?
03:34 Alors sur scène, il y a déjà trois générations.
03:37 Et dans la salle, il y a quatre.
03:40 C'est-à-dire qu'il y a les gens qui venaient nous voir, qui ont à peu près mon âge.
03:45 Et après, il y a leurs enfants, leurs petits-enfants, les arrière-petits-enfants qui connaissent aussi les chansons.
03:52 C'est vrai que c'est assez fascinant sur les plateformes de streaming.
03:54 Il y a beaucoup de jeunes qui écoutent Jean-Jacques Goldman.
03:56 Il a mis du temps à arriver sur les plateformes, mais ça a donné aussi un nouveau souffle à son répertoire.
04:00 Comment vous définissez votre rôle, Michael Jones ?
04:02 Vous vous sentez comme un lien justement entre Jean-Jacques Goldman et ses nouvelles générations,
04:08 que ce soit sur scène ou dans le public d'ailleurs ?
04:10 Non, je ne pense pas.
04:13 En tout cas, moi, je ne le prends pas comme ça.
04:15 Moi, je monte sur scène avec mes camarades qui sont beaucoup plus jeunes que moi, qui pourraient être mes enfants, et on s'éclate.
04:22 C'est surtout le plaisir de réinterpréter ces chansons, et le plaisir qu'on prend en nous quand on voit la réaction du public.
04:30 C'est surtout ça.
04:31 Je ne pense pas que je suis un lien. Ils ont leur propre identité, leur propre façon de chanter, et on tient absolument à ce qu'ils veulent.
04:41 On va leur poser la question à Lilian Renaud et à Marie Cooper qui sont ici au studio, qui vont chanter avec vous dans quelques instants dans ce studio, cher Michael Jones.
04:48 Comment vous définissez le lien de Michael Jones dans cette troupe ?
04:52 Pour nous, il est modeste, mais pour nous, c'est quand même un lien.
04:59 On sait qu'il a joué une grande partie de sa vie avec Jean-Jacques.
05:03 C'est vrai qu'il y a Michael, il y a Jackie aussi qui jouait avec Goldman, qui est avec nous en tournée.
05:11 Moi qui regardais sur YouTube les vidéos de Michael, Frédéric et Goldman, me retrouver avec eux, c'est cool.
05:20 C'est très intéressant, c'est cool. Jean-Jacques Goldman a marqué la jeune génération.
05:23 On a vu l'album "Génération Goldman" avec Matt Pokora, Shy et Mabel Bent il y a quelques années.
05:27 Vous Marie, vous Lilian, quand vous étiez gamin, vous écoutiez du Jean-Jacques Goldman déjà ?
05:31 Oui, avec nos familles évidemment.
05:33 C'est comme ça que j'ai découvert Goldman, et ensuite j'ai découvert Rouge, Frédéric Goldman, Michael Jones, qui étaient beaucoup plus rock.
05:41 Et comme je fais de la guitare, je me suis dit "Ah, là, ça m'intéresse".
05:45 Et pour rebondir sur ce que disait Lilian, effectivement on a un Michael Jones très modeste,
05:51 mais pour nous c'est une présence qui est rassurante et bienveillante,
05:56 parce qu'on sait qu'il va nous guider vers la bonne façon de jouer la chanson.
06:00 On a une personne qui était là aux enregistrements, sur les tournées, alors que nous on n'a même pas vu Goldman sur scène.
06:06 Donc on est sûr que si ça lui convient normalement, c'est qu'on a bien fait.
06:12 C'est vrai, la tournée Rouge, la plupart n'étaient pas nés ou venaient de naître.
06:17 Et puis ça fait 20 ans qu'il n'a pas donné de concert, donc c'est vrai qu'il y a toute une génération qui n'a pas pu le voir.
06:22 Michael, il vous a donné un blanc-seing, Jean-Jacques, avant de vous lancer dans ce projet.
06:26 Il y a eu l'album avant, il y a cette tournée. Pourquoi ? Parce qu'il vous fait une confiance aveugle ?
06:30 Ou parce que ça le touche quand même aussi que ces chansons continuent à vivre malgré lui ?
06:34 En fait, il a surtout fait confiance à Eric Benzie.
06:37 Eric qui était le réalisateur de tous les albums depuis Frederic Scolman-Jones.
06:44 Y compris Frederic Scolman-Jones, bien sûr.
06:47 Et donc Eric a d'abord présenté l'album à Jean-Jacques.
06:53 D'ailleurs, il a fait ce remarque, il s'est écrit sur la pochette ce qu'il a pensé de l'album.
07:00 Il a aimé.
07:01 Oui.
07:02 Est-ce qu'il va venir voir le spectacle ?
07:04 Sûrement.
07:05 Quand ?
07:07 Nous, on ne veut pas savoir.
07:10 Il y a l'impression en vous les jeunes.
07:12 Je ne sais pas toi.
07:13 Non, mais je pense que Jean-Jacques, il viendra, il ne nous dira pas.
07:18 Il va venir à Cognito avec une fausse barbe ?
07:20 Une fausse barbe, il n'y a pas besoin.
07:23 Oui, il viendra nous voir, mais il ne dira pas avant pour ne pas mettre la pression.
07:28 C'est son caractère en fait.
07:30 Oui, c'est quelqu'un de discret.
07:32 Même quand il vient au concert.
07:34 Moi, je peux vous raconter une anecdote.
07:36 Un jour, on était voir Brian Adams et Tina Turner aux Zénith de Paris.
07:41 Jean-Jacques n'était pas déguisé.
07:44 Il était à côté de moi.
07:46 Il y a une fan qui vient me demander un autographe.
07:48 Elle n'a pas reconnu Jean-Jacques.
07:51 Pas besoin de fausse barbe.
07:53 Pas besoin de fausse barbe alors.
07:54 Il est quasi silencieux, Jean-Jacques, évidemment, depuis deux décennies.
07:57 Son dernier album est sorti en 2001.
07:59 Personnalité préférée des Français, sondage après sondage.
08:02 C'est son absence, à votre avis, qui crée tout cet intérêt autour de sa musique et de son oeuvre ?
08:07 C'est ses chansons.
08:09 Je pense que c'est des textes qu'il partage avec les gens.
08:12 Et je ne sais pas pourquoi il est absent.
08:16 Je ne pense pas.
08:17 Ça crée un mythe, quand même.
08:20 Je ne sais pas, ce n'est pas moi qui vote.
08:23 En tout cas, vous, vous gardez ce lien, cette complicité ensemble.
08:26 Est-ce que vous arrivez à vous voir régulièrement ?
08:28 Même s'il vit autrement.
08:30 Je sais que ça devait être votre témoin de mariage.
08:32 Et puis que le Covid et la fermeture des frontières, on l'a décidé autrement.
08:34 Mais vous arrivez à garder un lien très régulier, tous les deux ?
08:37 Oui, oui.
08:39 On se textote.
08:41 On se voit quand même, un petit peu.
08:45 Mais non, non.
08:49 En fait, ce ne sont pas les frontières qui ont fermé.
08:52 C'est les restaurants et tout le reste qui a fermé.
08:56 On pouvait aller en Grande-Bretagne ou venir en France,
09:01 mais on ne pouvait juste pas sortir manger.
09:04 C'est pour ça qu'on a créé l'émission "Confiture".
09:08 C'est quoi "Confiture" ?
09:10 On a invité un artiste et un chef.
09:14 Sauf quand il y a eu Didier Bourdon,
09:16 parce que j'ai invité un autre comique qui, lui, est chef.
09:21 C'est Ligue.
09:23 On a eu Marc Veyra avec Thomas Dutronc.
09:29 "Confiture", parce que "confiture" en anglais, c'est "jam".
09:33 Et "jam" en français, c'est "boeuf".
09:35 Il y avait un jeu de mots.
09:38 Très bien. Michael Jones, vous restez avec nous.
09:40 Vous allez jouer des titres de ce spectacle, "L'Héritage Goldman",
09:43 dans quelques instants dans ce studio avec Marie et Lilian.
09:46 Ici présentes, vous êtes notre grande invitée.
09:48 Alors que la tournée débute, vous ne bougez pas.
09:50 On ne bouge pas.
09:52 Quand la musique est bonne.
09:55 Quand la musique est bonne.
09:58 RTL, bonsoir.
10:00 RTL, bonsoir.
10:02 Julia Selye, Isabelle Choquet et Cyprien Signé.
10:05 Allez, RTL, bonsoir.
10:06 La deuxième heure, toujours avec la fine équipe,
10:08 notre grande invitée, Michael Jones,
10:10 après une micro-balance pendant la publicité.
10:12 De retour, le complice de Jean-Jacques Goldman.
10:14 Je te donne toutes mes différences.
10:18 La tournée "L'Héritage Goldman" débute et s'arrête au Dôme de Paris,
10:22 par exemple, demain soir.
10:24 Vous allez jouer pour nous, pour nos auditeurs,
10:26 avec Lilian Renaud et Marie Cooper,
10:28 ici présentes, dans quelques minutes.
10:30 On a eu un petit aperçu pendant cette petite réclame,
10:32 et c'est très prometteur.
10:34 Michael Jones, vous avez retravaillé avec Eric Benzie,
10:36 ses chansons. Il y a une petite touche celtique de temps en temps.
10:39 Il y a eu un débat, ou pas, dans l'équipe artistique,
10:41 de dire est-ce qu'on a le droit de toucher à ces standards,
10:43 à ces monuments de la chanson française,
10:45 ou c'est justement ça l'intérêt ?
10:47 En fait, tous les arrangements,
10:49 sauf une ou deux, c'est Eric qui a tout fait.
10:53 Et après, on a adapté les chansons pour la scène.
10:58 Parce que, par exemple, le premier album, c'est "Gospel",
11:04 il n'y avait quasiment que des chansons lentes.
11:06 Et donc, il fallait les rebooster un peu.
11:10 D'où le côté celtique.
11:12 Donc, le deuxième album était plus celtique.
11:16 Il a mis ça un peu partout.
11:18 - Et sur scène, est-ce qu'il y a un titre particulièrement
11:20 où vous sentez qu'il se passe quelque chose,
11:22 que l'émotion l'emporte ?
11:24 C'est quoi le titre préféré du public, pour l'instant ?
11:26 - Je pense qu'il n'y a aucun moment où il n'y a pas quelque chose qui se passe.
11:32 - Il n'y a que des tubes ?
11:34 - Oui, il y a des tubes.
11:36 - Pas de préféré ?
11:38 - Non, vraiment non.
11:40 Parce que chaque moment a quelque chose.
11:42 Peut-être le plus grand tube, là où il y a le plus de...
11:50 Enfin, un medley.
11:52 Donc, celle-là, c'est un medley de tubes.
11:54 Mais je crois qu'une chanson que les gens ne s'y attendaient pas,
11:58 c'est en fait "J'irai où tu iras".
12:00 Parce que ça prêtait bien à la troupe.
12:03 Parce qu'il y a des garçons et des filles.
12:06 Et ça, ça marche très bien aussi.
12:09 Les gens ne s'y attendaient pas.
12:12 - Et vous, sur scène, vous avez quelle émotion ?
12:14 Avant le début des concerts, par exemple,
12:16 le directeur artistique disait qu'il avait des papillons dans le ventre
12:18 à certains moments du spectacle.
12:20 Vous ressentez ça aussi ?
12:22 - Non, moi je sais...
12:24 J'ai commencé la scène à l'âge de 7 ans.
12:27 Et à 7 ans, on n'a pas peur.
12:29 - Vous avez gardé ça ?
12:31 - On va jouer, quoi.
12:33 Moi, c'est toujours mon bac à sable.
12:36 - Génial !
12:37 Il n'y a pas de stress, mais il y a des souvenirs aussi.
12:39 Parce que votre complicité avec Jean-Jacques Goldman,
12:41 elle date des années 70 et du groupe Taïfong.
12:43 C'est notre musique vintage du soir.
12:45 C'est comme ça que vous rencontrez Jean-Jacques Goldman.
12:59 Vous le remplacez dans ce groupe Taïfong pour une tournée.
13:02 C'est comme ça le début de votre histoire ?
13:04 - Exactement.
13:06 En fait,
13:08 ils voulaient trouver quelqu'un qui chantait comme Jean-Jacques
13:11 et qui jouait comme Jean-Jacques.
13:13 Donc ils ont trouvé un guitariste
13:15 qui jouait comme Jean-Jacques
13:17 et un chanteur qui chantait un peu comme Jean-Jacques.
13:19 Moi, je ne fais ni l'un ni l'autre,
13:21 mais j'étais le seul qui faisait les deux.
13:23 - Ils voulaient surtout arrêter de chanter en anglais
13:25 et ils ont embauché un anglais.
13:27 C'est drôle.
13:29 - Il y en a qui prend des risques.
13:33 Je ne suis pas anglais.
13:35 - C'est un britannique.
13:37 - En plus, nous sommes bretons avec Steven.
13:39 - En pleine tournée d'insignation.
13:41 - Attention, le studio d'un coup.
13:43 - En parlant de votre rencontre,
13:45 vous avez dit que ça a été un coup de foudre immédiat.
13:47 - Oui, musical, évidemment.
13:49 Oui, oui, ça a fait...
13:51 Et voilà.
13:53 On est devenus immédiatement
13:55 copains musicaux.
13:57 - Un coup de foudre avec une amitié très forte.
13:59 On a découvert cette anecdote en préparant l'émission.
14:01 Vous avez passé votre permis moto ensemble.
14:03 - Oui.
14:05 - Jean-Jacques ne voulait pas que vous fassiez de la moto avant une tournée.
14:07 Donc, il a réussi à vous convaincre avec une promesse.
14:09 - Il m'a dit à la fin de la tournée,
14:11 "Je t'achète une moto."
14:13 - Mais par contre, tu n'en fais pas pendant la tournée ou avant ?
14:15 - Voilà, je n'ai pas fait.
14:17 - Et ça va aller où ?
14:19 - J'ai eu la moto.
14:21 - C'est une belle moto, au moins.
14:23 - C'était une Triumph Bonneville des années 60.
14:25 - C'est pas mal.
14:27 - Vous l'avez toujours ?
14:29 - Non, parce que j'ai eu un accident de ski.
14:31 J'avais une moto qui fallait démarrer au kick.
14:33 Et je n'arrivais plus à la démarrer au kick.
14:35 Donc, j'ai troqué pour la même, mais moderne.
14:37 - Voilà, la moto éventuelle.
14:39 - Avec un démarreur.
14:41 - Mais l'amitié est restée.
14:43 Michael Jones, vous restez avec nous.
14:45 Vous allez donc jouer des titres de ce spectacle,
14:47 "L'héritage Goldman", dans quelques secondes,
14:49 dans ce studio avec Lilian Renaud, avec Marie Cooper.
14:51 Vous êtes notre grand invité, alors que la tournée débute.
14:53 On va vous laisser tranquillement vous installer.
14:55 Pendant ce temps-là, on va faire un petit crochet en cuisine
14:57 avec la guinguette d'Angèle Ferremag.
14:59 Elle est en train de déposer des petites assiettes
15:01 dans notre studio, sur notre table.
15:03 Salut Angèle !
15:05 - Oui, bonsoir tout le monde !
15:07 - Qu'est-ce qu'on mange avant la musique ?
15:09 - Alors ce soir, il y a des petits...
15:11 Attention, il y a tout ce que vous aimez, c'est sans gluten.
15:13 Il y a de la betterave.
15:15 Cyprien et Alex sont fous de joie.
15:17 Ils trépident, ils ont hâte de goûter ces petits pancakes.
15:19 - Très bien. Pancakes de betterave.
15:21 - À la betterave ! Why not ?
15:23 Allez, à tout de suite.
15:25 Bonsoir.
15:26 [SILENCE]

Recommandations