28/02/2024 - Le 6/9 de France Bleu Paris en vidéo

  • il y a 8 mois
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00:00:00 Ici, c'est France Bleu Paris.
00:00:05 A la radio, sur l'appli Ici, tous les réseaux et sur France 3.
00:00:10 Vous ouvrez un oeil, vous ouvrez l'autre.
00:00:12 Bienvenue, c'est France Bleu Paris qui a installé une nouvelle fois ses micros
00:00:15 ici au Salon de l'agriculture Paris-Porte de Versailles avec de nouveaux visages.
00:00:20 Alors, pas Mélodie, Pépin, Odrazo qui vous accompagnent. Bonjour.
00:00:23 Bonjour.
00:00:24 Mais 200 vaches qui sont parties cette nuit pour laisser place à 200 nouvelles vaches.
00:00:28 En particularité, un switch qui est organisé en une nuit avec de nouveaux concours qui sont organisés.
00:00:34 Les vaches qui sont arrivées ce matin et cette nuit vont concourir jusqu'à dimanche.
00:00:38 Les autres, celles qui étaient là depuis vendredi, sont reparties sur l'exploitation.
00:00:42 On va vous faire vivre ça ce matin une nouvelle fois ici sur France Bleu Paris 107.1.
00:00:47 28 février, bon réveil à vous en ce mercredi 7h.
00:00:55 Pas de switch et pas de changement. Le programme c'est toujours le même.
00:00:58 On vous accompagne sur la route du travail chaque matin avec ce dispositif
00:01:02 qui nous permet de suivre en temps réel l'évolution du trafic.
00:01:05 Sur la route ça va, dans vos transports sachez que le RER B, le trafic est fortement perturbé sur toute la ligne.
00:01:10 La faute notamment aux travaux qui ne sont pas terminés à Denfert-Rochereau.
00:01:14 On va vous parler du tram 12 express également où le trafic est interrompu entre Épinay-sur-Orge et Évry-Courcourant dans les deux sens.
00:01:20 Il y a visiblement une panne ce matin.
00:01:22 La météo Mélodie pour aujourd'hui, il faut se couvrir.
00:01:25 Oui, c'est très très froid ce matin, c'est même glacial puisqu'on a -2° à Fontainebleau au réveil, -1° à Pontoise à Melun, 0° à Versailles, 2° à Paris seulement.
00:01:36 Ça va remonter cet après-midi entre 10 et 12° et puis il y aura du soleil pour tout le monde mais pas au même moment.
00:01:42 Côté ouest soleil ce matin, côté est soleil cet après-midi et toujours ces nuages quand même bien gris au-dessus de nos têtes.
00:01:48 Un nouveau réveil du 6/9 ici au France Bleu Paris au salon de l'agriculture Pavillon et on peut vous le dire ce matin il y a de l'ambiance.
00:01:55 Oui, moi j'ai été réveillée avec les meuglements des vaches quand je suis arrivée, je ne sais pas vous mais vous les entendez peut-être.
00:02:00 D'habitude elles sont encore en train de dormir, elles sont plutôt calmes mais elles sont bien réveillées ce matin.
00:02:05 Pourquoi ? Parce que vous l'avez dit c'est la relève, de nouvelles vaches, de nouveaux animaux sont arrivées et il y a un petit peu d'excitation dans l'air.
00:02:12 Chez les animaux, ça c'est sûr il y a la relève mais chez les agriculteurs alors ?
00:02:15 C'est notre zoom du matin, aura-t-on assez d'agriculteurs pour nous nourrir demain quand on sait que la moitié va partir à la retraite d'ici 10 ans ?
00:02:23 On est allé voir cette jeune génération ici au salon de l'agriculture qui a encore fois la vocation malgré tous les vents contraires.
00:02:30 Ma mamie me bloque.
00:02:31 Qu'est-ce qu'elle vous dit ?
00:02:32 C'est un monde où on peut crever la bouche ouverte des fois donc il faut faire attention mais ça ne fait pas peur.
00:02:39 Il ne faut pas le choix, s'il n'y a pas d'agriculteurs on ne mange pas.
00:02:42 C'est ça qui vous donne envie ?
00:02:43 Oui, nourrir la France et puis me faire plaisir parce que l'agriculture ça m'était une passion tout d'abord, être auprès des bêtes et c'est sympa.
00:02:50 Au contraire, ça me met de l'envie de contredire les gens qui disent quelque chose sur l'agriculture c'est pas bien ou autre.
00:02:58 Ça me donne envie de continuer.
00:03:00 Moi j'ai envie de me lancer dans le bovin, sauf qu'aujourd'hui le bovin c'est assez compliqué quand même.
00:03:06 Moi quand je vais m'installer je vois des investissements à faire.
00:03:09 Quand je commence à me parler, on me dit arrête, c'est pas possible, comment tu vas rembourser ça ?
00:03:15 Moi c'est des bâtiments pour mettre des bêtes dedans et c'est un 100 000 facilement.
00:03:21 Ça va être sur 25-30 ans l'empreinte.
00:03:24 Voilà, parole de Basque, tous issus de familles d'agriculteurs et qui y croient encore.
00:03:28 Mais à quel prix des emprunts colossaux on l'a entendu ?
00:03:31 Alors justement, deux mesures pour les aider ces agriculteurs.
00:03:35 Ils vont pouvoir échelonner leurs prêts sur trois ans à des taux plus bas.
00:03:39 Et si c'est trop compliqué, possibilité de retarder d'un an le paiement de leurs dettes bancaires.
00:03:45 Coup de pouce des banques, mis sous pression après une réunion à Bercy avec le ministre de l'économie.
00:03:50 On parle de tout ça bien sûr ce matin avec vous, avec ces difficultés.
00:03:53 Nos jeunes ont-ils encore raison de se lancer dans l'agriculture ?
00:03:56 Est-ce encore un métier d'avenir ? Est-ce qu'il faut les encourager ou pas ?
00:03:59 Peut-être partagez-vous le quotidien des agriculteurs.
00:04:02 On pense notamment à la Seine-et-Marne. Venez réagir ce matin, 01.42.30.10.10.
00:04:07 Oui, à 8h15, on parle de Seine-et-Marne parce qu'on aura le témoignage d'un jeune agriculteur de Seine-et-Marne.
00:04:11 Il a repris l'exploitation familiale à Sourdun.
00:04:14 Il nous racontera pourquoi ces difficultés, comment il voit l'avenir.
00:04:17 La Seine-et-Marne, une grande terre agricole dans la région, est touchée par une crue en plus depuis lundi soir.
00:04:24 Des cultures sous l'eau, des rues, des routes inondées.
00:04:27 Plusieurs personnes évacuées à la Ferté-Gaucher, Crécy-la-Chapelle ou Meyeray.
00:04:32 C'est le Grand-Morin qui a débordé, toujours placé en vigilance orange ce matin.
00:04:37 Conséquence aussi des perturbations à prévoir sur les lignes de bus.
00:04:41 7h04, justement, en parlant de transport, maintenant allons voir ce qui se passe côté métro.
00:04:45 Alors, pas d'inondations, mais des malaises voyageurs trop fréquents qui retardent les lignes.
00:04:50 Ça agace la présidente de la région, surtout à l'approche des JO.
00:04:54 Valérie Pécresse veut en finir. Stop à l'arrêt des rames.
00:04:58 Désormais, les agents pourront déplacer les victimes de malaises sur le quai
00:05:03 pour pouvoir faire repartir le métro vite vite.
00:05:06 Écoutez les explications de Grégoire Delastery, vice-président d'Ile-de-France Mobilité.
00:05:10 Les malaises voyageurs, en 2023, c'était 217 heures d'arrêt cumulées sur l'année de lignes de métro.
00:05:18 C'était évidemment très impactant parce qu'aujourd'hui, le protocole en France est très strict.
00:05:22 Si on a fait un malaise voyageur, on arrête la rame, on appelle le secours, on attend qu'ils arrivent
00:05:27 et seuls les secours ont la capacité à déplacer la personne qui a fait un malaise
00:05:31 et le trafic ne reprend qu'une fois que ce déplacement a eu lieu.
00:05:34 Notre objectif, c'est de voir ce qui se passe notamment à Tokyo, notamment à Londres,
00:05:38 dans certains cas de figure, en lien avec le SAMU et avec une formation adéquate.
00:05:42 Les personnels de la RATP, en l'occurrence, pourraient être amenés à déplacer la victime sur le quai
00:05:47 pour permettre à la rame de repartir le plus vite possible.
00:05:50 C'est que, avant les JO, on puisse donner les moyens à la RATP d'améliorer, franchement, la régularité de ces lignes.
00:05:57 Protocole validé d'ailleurs par le SAMU et les pompiers, mais absolument pas par les syndicats
00:06:02 qui s'inquiètent de la responsabilité des conducteurs en cas de problème grave de santé ou d'accident
00:06:07 quand le voyageur est transporté de la rame du métro au quai.
00:06:12 Et au Sénat, aujourd'hui, malaise dans les rangs de la droite.
00:06:16 On va suivre de près ce vote des sénateurs qui doivent dire si oui ou non on inscrit l'accès à l'IVG dans la Constitution.
00:06:22 Pour l'instant, rien n'est gagné. On joue sur les mots.
00:06:25 Le mot "droit à l'accès à l'avortement" a été remplacé par "liberté garantie", mais ça ne suffit pas.
00:06:31 La droite sénatoriale veut retirer le mot "garantie".
00:06:34 Un amendement est déposé. Si ça passe, il faudra une nouvelle lecture des parlementaires.
00:06:39 Il faudra aussi un débat et un vote du Parlement sur notre soutien à l'Ukraine.
00:06:45 Emmanuel Macron l'annonce après avoir surpris tout le monde, y compris en Europe,
00:06:50 en faisant sauter le tabou de l'envoi de troupes en Ukraine, qui n'est pas exclu, dit-il.
00:06:56 Sauf que pour l'instant, il est tout seul dans le bateau.
00:06:58 L'Allemagne dit non, la Pologne dit non, l'Italie, l'Espagne, et pour les Etats-Unis aussi, c'est non, une ligne rouge.
00:07:04 Seul Kiev y trouve son compte. Et Sofia, elle est ukrainienne, elle a 22 ans, elle étudie à Paris.
00:07:10 Isabelle Pirou, elle aussi approuve.
00:07:12 Sofia est arrivée en France en janvier 2022 avec le programme Erasmus.
00:07:16 Et elle y est restée comme réfugiée quand son pays a été envahi par la Russie.
00:07:20 Toute sa famille est restée là-bas, et c'est avec satisfaction qu'elle voit l'Ukraine redevenir un sujet majeur en France.
00:07:26 C'est vraiment important de voir que la France prend le sujet d'Ukraine et la guerre dans mon pays en prioritaire.
00:07:38 Et c'est surtout la promesse d'une aide militaire de 3 milliards d'euros qui est pour elle capitale.
00:07:43 L'Ukraine demande plus d'aide, pas des soldats, on demande des armes plutôt.
00:07:50 Des armes pour se défendre, mais surtout attaquer et desserrer les taux des missiles et des bombardements.
00:07:56 Chaque fois que j'appelle mes parents, il y a beaucoup de bruit, des missiles.
00:08:02 Et une fois, c'était horrible parce qu'après la connexion était perdue.
00:08:07 J'ai pensé à ce qui a passé avec mes parents.
00:08:10 Et le plus difficile pour elle, c'est ce grand écart.
00:08:12 C'est vraiment dur d'être ici et de voir que ici la vie continue.
00:08:17 Ici les gens ne sont pas peur d'être attaqués.
00:08:21 Et juste quelques pays à côté de la France, la guerre.
00:08:27 Et pour l'instant pas de date précise pour le débat parlementaire.
00:08:31 Et puis vous voulez le menu ?
00:08:32 Le menu de quoi ?
00:08:33 Le menu du dîner d'Etat à l'Elysée hier soir avec Kylian Mbappé.
00:08:37 Il est arrivé en cravate Bordeaux, couleur du Qatar.
00:08:40 Il y avait asperges blanches, homard bleu de Bretagne, patatrattes du Touquet, beaufort.
00:08:46 Presque des produits français à l'honneur.
00:08:48 Et à l'arrivée, l'émir du Qatar qui lui a promis d'investir 10 milliards d'euros d'ici 2030.
00:08:54 Et nous on va continuer de manger des bons produits franciliens avec vous tout à l'heure Romain.
00:08:59 Nous allons manger du miel.
00:09:00 Alors du petit déjeuner dans un petit quart d'heure, dans 10 minutes sur France Bleu Paris.
00:09:03 Mais avant, la météo pour aujourd'hui.
00:09:05 C'est assez mitigé avec des nuages et du soleil.
00:09:08 Avec des éclaircies annoncées surtout peut-être pour cet après-midi.
00:09:12 Mais c'est vrai que le ciel pourrait être chargé en fin de journée.
00:09:15 On va suivre ça mais il n'y a pas de pluie au programme.
00:09:17 En revanche il y a du froid.
00:09:18 On s'est laissé surprendre ce matin.
00:09:20 -2 à 2 degrés.
00:09:22 Anticipez peut-être votre sortie.
00:09:24 Il se peut que vous grattiez là si vous n'avez pas mis le carton sur le pare-brise.
00:09:27 Parce que ça a gelé par endroits dans le secteur de Fontainebleau.
00:09:30 -2 degrés ce matin.
00:09:31 A Rambouillet-Mille, La Forêt -1.
00:09:33 A Vincennes ou Versailles 0 degrés.
00:09:36 A Montreuil, Provins 1 degré.
00:09:38 A Vitry, Créteil et Paris 2 degrés.
00:09:41 Ça ce sont les valeurs pour ce matin.
00:09:43 Et pour cet après-midi on retrouve les mêmes valeurs qu'hier.
00:09:46 Au-delà de 10 degrés.
00:09:47 Entre 10 et 12 degrés.
00:09:49 La Ferté-Gaucher 10.
00:09:50 A Saint-Denis et Versailles 11.
00:09:52 A Boulogne, Créteil et Paris 12.
00:09:54 Le maximum.
00:09:55 7h09, on donne le maximum également tous les matins.
00:09:58 Pour vous accompagner, pour être au plus près des difficultés.
00:10:01 0,1, 42, 30, 10, 10.
00:10:03 Sur la route, ça va.
00:10:05 Ça circule bien.
00:10:06 On est sur un mercredi donc il y a moins de monde qui a pris le volant.
00:10:08 Dans les transports, le RERB, les travaux ne sont pas terminés à Denfert-Rochereau.
00:10:12 Donc c'est toujours assez perturbé sur toute la ligne du RERB.
00:10:15 Et le tramway, le T12 express.
00:10:17 Interrompu entre Épinay-sur-Orge et Évry-Courcouronne dans les deux sens.
00:10:20 En raison d'une panne de réseau.
00:10:23 On continue à faire la route avec vous.
00:10:25 Notre bison très futé s'appelle Alexandra.
00:10:27 C'est elle qui recueille toutes vos infos routes ici sur France Bleu Paris.
00:10:30 Son numéro perso, je vous le donne.
00:10:32 06, ah non, non, non, je ne vous donne pas le 06.
00:10:34 Je vous donne le 01, 42, 30, 10, 10.
00:10:37 Il est 7h10, vous écoutez France Bleu Paris.
00:10:40 Je l'imagine au standard, mais ça ne va pas, non ?
00:10:48 Il est fou de donner mon 06.
00:10:49 Bienvenue ici au Salon de l'Agriculture.
00:10:51 J'espère que tout va bien.
00:10:53 Ce n'est pas 06, mais 60.
00:10:55 On inverse les chiffres.
00:10:56 60e édition de ce Salon de l'Agriculture.
00:10:58 Nous sommes ici avec toute l'équipe du 6/9
00:11:01 pour vous faire vivre cet événement.
00:11:03 Si vous n'avez pas la chance de rejoindre Paris-Porte de Versailles,
00:11:06 c'est comme si vous y étiez.
00:11:07 On va donner le meilleur une nouvelle fois ce matin.
00:11:09 En attendant l'arrivée des visiteurs.
00:11:12 Bonjour toute l'équipe.
00:11:13 Bonjour.
00:11:14 Avec quelqu'un qui prend une année de plus.
00:11:16 Il paraît.
00:11:17 Il paraît.
00:11:18 Bon anniversaire.
00:11:19 Bon anniversaire Fabien et moi.
00:11:21 Merci à tous.
00:11:22 Il y en a qui vont faire leurs anniversaires au bowling et dans les fast-food.
00:11:25 Lui c'est ?
00:11:26 Au Salon de l'Agriculture.
00:11:27 C'est très très bien.
00:11:28 Avec mes copines, les vaches juste à côté.
00:11:29 Je vais leur payer un petit coup à boire.
00:11:31 Moi aussi.
00:11:32 En parlant de boire un petit coup, dans l'actu web du jour,
00:11:35 Gabriel Attal a joué au serveur.
00:11:37 Mais non.
00:11:38 Hier dans les allées du Salon de l'Agriculture.
00:11:40 Jean Lassalle, lui, a bien levé le coude.
00:11:42 Et j'ai repéré une application, le Airbnb de la ferme.
00:11:47 On vous présente ça à 7h25.
00:11:48 Soyez au rendez-vous.
00:11:49 C'est noté dans 10 minutes.
00:11:50 On vous souhaite un bon anniversaire.
00:11:52 Profitez-en, mais pas trop.
00:11:53 Parce qu'on vous retrouve tout à l'heure à la mi-journée.
00:11:55 Avec Willy Revelli tout à l'heure à 13h.
00:11:57 Wendy Bouchard à midi.
00:11:59 Thomas Echeberry a revêtu le look du béarnais ce matin.
00:12:03 Vous l'avez promis.
00:12:04 Il a trop du basque.
00:12:05 Ce n'est pas lui-même.
00:12:06 On a un béret aussi dans le béarnais.
00:12:08 C'est vrai.
00:12:09 C'est vrai.
00:12:10 Là c'est un béret basque.
00:12:11 Je vous l'ai emmené parce que je vous l'avais promis.
00:12:12 Vous avez dit que pour cette dernière du 6/9 au salon de l'agriculture, il fallait se
00:12:17 mettre à l'honneur dans ce beau salon de l'agriculture.
00:12:20 Dans ce hall 1.
00:12:21 Moi je vous emmène pas très loin, du côté de la porte Bransion.
00:12:24 Pourquoi ? Parce que sur le périphérique, je dis bien sur le périphérique, on est en
00:12:28 train de construire un bâtiment en bois.
00:12:30 Sur le périphérique ?
00:12:31 Oui, c'est assez exceptionnel.
00:12:32 Et ce sera des logements sociaux pour les travailleurs.
00:12:35 Je vous explique tout ça dans les prochaines minutes.
00:12:36 Il faut nous expliquer parce que je pense à celles et ceux qui prennent le périphérique
00:12:39 et se disent « Quoi ? Du bois là au milieu ? »
00:12:41 Je vous explique tout dans 30 minutes.
00:12:43 7h12, une nouvelle fois, France Bleu Paris partage le quotidien de ses éleveurs avec
00:12:48 ce switch, la relève.
00:12:50 Certaines vaches qui sont parties, d'autres qui sont arrivées cette nuit et la grosse
00:12:53 fiesta pour pas mal de jeunes agriculteurs hier avant le grand départ.
00:12:57 Romain Bruneau, vous étiez à la fête, vous hier ?
00:13:00 Moi non plus.
00:13:02 C'est pas grave.
00:13:03 En tout cas la fête elle est là et on s'amuse bien.
00:13:06 Où êtes-vous là ce matin 7h12 ?
00:13:08 Alors là je suis devant le trophée international de l'enseignement agricole.
00:13:13 C'est un stand assez particulier et j'ai avec moi Karen.
00:13:16 Karen elle est enseignante en zootechnie.
00:13:18 Bonjour Karen.
00:13:19 Bonjour Romain.
00:13:20 Alors Karen, déjà c'est quoi la zootechnie ?
00:13:23 Alors la zootechnie ça concerne toutes les techniques d'élevage autour de l'alimentation,
00:13:29 la reproduction, la sélection, la santé des animaux.
00:13:32 Et vous avez plein d'élèves.
00:13:34 Alors les élèves on les reconnaît grâce à leur blouson, ils ont des petites vestes
00:13:38 en manches de couleur bleue.
00:13:39 Ce sont vos élèves ?
00:13:40 Alors pas tous, j'en ai amené que 6.
00:13:43 J'ai 6 élèves plus une suppléante, donc j'en ai 7 en tout, qui vont participer au
00:13:50 concours du trophée international de l'enseignement agricole.
00:13:53 Alors ça c'est juste excellent.
00:13:54 On va parler de ce trophée juste avant, vous nous venez de l'un.
00:13:57 Et alors le trophée, il y a plein d'épreuves dont une qui est assez rigolote.
00:14:01 Une épreuve qui consiste à faire une pièce de théâtre avec sa vache.
00:14:05 Tout à fait, ce sera la dernière épreuve du salon qui se déroulera samedi et dimanche.
00:14:10 Donc nous on passera dimanche.
00:14:12 Donc l'objectif c'est de présenter sa région, sa vache, son établissement autour d'une
00:14:18 pièce de théâtre.
00:14:19 Les jeunes se sont préparés sérieusement pour passer devant le Rignes et devant tout
00:14:25 le public parisien.
00:14:26 Et les jeunes qui sont ultra connectés vu que la vache s'appelle même Selfie.
00:14:29 Donc si vous voulez faire un selfie avec Selfie, allez-y.
00:14:32 Merci Karen.
00:14:33 Eh bien merci à vous.
00:14:34 Merci Romain Bruneau dans les allées de ce salon de l'agriculture.
00:14:37 Vous êtes un vrai francilien vous Romain Bruneau.
00:14:39 La campagne, ce n'est pas spécialement votre truc.
00:14:42 Pourquoi ?
00:14:43 Parce que ce matin dans le 6/7, pour celles et ceux qui n'étaient pas réveillés, il
00:14:46 faut qu'on revienne sur cette rencontre.
00:14:48 Une mère et sa fille pas très loin d'Oreillette, vous avez fait la connaissance d'une vache,
00:14:52 d'un taureau.
00:14:53 Enfin, je ne sais pas trop finalement.
00:14:55 Et voilà Romain, donc on est juste à côté de ce taureau.
00:14:57 Il nous fait non pas face, il nous fait dos.
00:14:59 C'est lui, c'est ce gros taureau qu'il a ?
00:15:01 Non, là c'est une vache.
00:15:03 Ah la la la la la.
00:15:04 Ah mais ils sont de dos, désolé.
00:15:05 Oui mais Romain Bruneau, regardez un petit peu en dessous, il doit bien y avoir une différence.
00:15:09 Ah je me suis penché.
00:15:11 En effet.
00:15:12 On était sur une différence.
00:15:13 Bah oui, bah oui.
00:15:14 On était sur une différence entre les deux.
00:15:16 Romain Bruneau, dites-moi, ça y est désormais on peut ?
00:15:19 Ah oui.
00:15:20 Non mais c'est vrai, il y avait un indice, enfin même deux indices.
00:15:23 Voilà comment reconnaître un bon Parisien.
00:15:25 Un bon Parisien.
00:15:26 Il ne sait pas reconnaître une vache et un taureau.
00:15:29 Allez, à tout à l'heure Romain Bruneau.
00:15:31 Vous serez notamment à côté des poussins ce matin pour nous faire vivre la découverte de ces animaux ici sur France Bleu Paris.
00:15:38 Les franciliens découvrent la plus grande ferme de France.
00:15:42 Ici matin, revient dans un instant.
00:15:47 [Musique]
00:16:14 Pour toute l'année, réveillez-vous sur France Bleu Paris.
00:16:18 Vous écoutez France Bleu Paris, nous sommes mercredi le 28 février.
00:16:21 Il est 7h15, l'écho d'ici.
00:16:23 Et à l'heure du petit déjeuner, laissons de côté là les céréales trop sucrées, les gâteaux transformés, la patatatatartinée remplie de huile de palme.
00:16:31 Restons sur un basique du bon pain et du miel.
00:16:34 Les abeilles qui chez nous en France butinent, travaillent, mais sont-elles en danger ?
00:16:38 Et chez nous en Ile-de-France, produit-t-on du bon miel ?
00:16:41 Bonjour Alexandre Catonnet.
00:16:42 Bonjour Romain.
00:16:43 Vous êtes le coordinateur apicole de l'Union Nationale de l'Apiculture Française.
00:16:47 Avant de parler de ce miel chez nous en région parisienne, ça va disparaître le miel un jour ?
00:16:53 Non.
00:16:54 Non ?
00:16:55 Non, le miel est là et est consommé depuis aussi longtemps qu'il y a des humains.
00:17:00 Les abeilles sont sur Terre depuis 100 millions d'années, elles évoluent, elles sont là depuis plus longtemps que nous.
00:17:06 On tire souvent la sonnette d'alarme justement sur les abeilles, il faut les protéger, elles disparaissent de plus en plus.
00:17:11 On le voit avec cette météo complètement folle qu'on a en ce moment, les oiseaux gazouillent.
00:17:15 Est-ce que les abeilles ne sont pas complètement déboussolées par ce qui se passe ?
00:17:19 On a des bouleversements.
00:17:21 On a des bouleversements rapides, on le voit bien au niveau des températures et du climat.
00:17:28 On a aussi des parasites, on a des prédateurs qui arrivent du fait de nos activités humaines, des transports par bateau.
00:17:35 Oui, c'est un moment très très difficile pour les abeilles, pour les apiculteurs, pour les apicultrices.
00:17:41 On évoque souvent la relève des agriculteurs avec parfois la difficulté de trouver des jeunes.
00:17:46 Le métier d'apiculteur, là il y a la relève ?
00:17:50 Il y a toujours une passion, c'est un métier de...
00:17:53 La passion elle est là, mais le métier en lui-même, gagner sa vie en fabriquant du miel.
00:17:57 C'est difficile, on a des gros problèmes d'import et d'arrivée de miel qui n'est pas du miel, qui est du sirop trafiqué qui passe pour du miel.
00:18:09 Donc oui, on a le problème des coûts qui est important.
00:18:13 Les apiculteurs et apicultrices professionnelles ont du mal à vendre leur miel.
00:18:18 Et pourtant on en voit plein sur les marchés en Ile-de-France.
00:18:21 Parfois un petit traiteau, pas grand chose, 4-5 bocaux, mais il faut les aider.
00:18:26 Oui, bien sûr, mais dans les supermarchés on trouve des choses qui ne sont pas du miel.
00:18:31 On a eu du mal à l'UNAF à avoir ne serait-ce que des étiquetages un petit peu logiques.
00:18:36 C'est le grand flou les étiquetages.
00:18:38 Alors ça a évolué, il y a deux ans on a réussi à obtenir que les pays soient mentionnés, les pays de production.
00:18:44 Avant on avait cette mention folle qui était produit en UE et hors UE.
00:18:49 Ce qui ne voulait strictement rien dire et qui était la porte ouverte à n'importe quoi.
00:18:53 Donc aujourd'hui on a ça, on a réussi à le faire étendre au niveau européen.
00:18:59 Vous voyez c'est récent, on a des avancées.
00:19:02 Mais on pourra avoir par exemple une dénomination par région, produit en Ile-de-France.
00:19:07 Les abeilles elles sont ici, on pourrait imaginer ça avec vraiment le département ?
00:19:11 Bien sûr, des gens ils travaillent et c'est un produit hyper local.
00:19:15 C'est un produit comme le vin, c'est-à-dire que ça dépend du terroir, chaque année est différente.
00:19:21 Et on est vraiment lié à l'endroit.
00:19:24 Les abeilles travaillent sur 3 km de rayon et encore c'est le maximum.
00:19:29 On est très dépendant et de la flore locale et des saisons.
00:19:34 Une année on va avoir par exemple l'acacia, le miel d'acacia.
00:19:39 C'est très éphémère, on ne tombe pas toujours bien.
00:19:43 Des années on en a, des années on n'en a pas parce qu'il pleut, au moment de la floraison, parce que la nature est fragile.
00:19:49 Et pour autant c'est super bon le miel pour la santé ?
00:19:52 Oui, bien sûr.
00:19:54 Vous êtes venu avec quoi ? Quel type de miel ce matin ?
00:19:56 Là je vous ai apporté 2 miels, un miel de miella et un miel de sarrazin.
00:20:00 Qu'est-ce que c'est le miel de miella ?
00:20:02 C'est quoi le miel de miella ?
00:20:04 Le miel de miella c'est un miel très particulier, les abeilles butines en forêt et butines sur les pucerons.
00:20:12 Il a une structure de sucre très particulière, c'est un très bon miel.
00:20:17 En apithérapie, en médecine on l'utilise, c'est un superbe cicatrisant.
00:20:22 Il n'y a quasiment pas d'équivalent en termes de cicatrisation.
00:20:27 C'est un produit vivant, c'est un produit qui soigne.
00:20:31 Regardez-moi, il y a Mélodie qui va aller chercher un petit bâtonnet, elle veut goûter.
00:20:35 Et le deuxième, votre miel, il a l'air un peu plus épais.
00:20:37 Oui, c'est un miel de sarrazin.
00:20:39 C'est un miel très caractérisé, un petit peu fumé, je vous en prie, et on y revient.
00:20:46 Faites comme chez vous Mélodie.
00:20:48 L'avantage avec Mélodie, c'est qu'elle fait passer les bâtonnets.
00:20:51 Et puis ce n'est pas pour cicatriser une clé.
00:20:53 Je goûte avant vous.
00:20:55 C'est bon ?
00:20:57 Ce sont des miels que nous avions au concours des Miels de France que nous organisons,
00:21:03 qui nous permet de valoriser des miels et le travail d'apiculteurs, d'apicultrices et des abeilles.
00:21:09 Évidemment, parce qu'elles travaillent, nous les guidons, mais elles travaillent seules.
00:21:15 Elles travaillent pour se faire des réserves pour l'hiver et nous, on prélève le surplus.
00:21:19 Sans forcément se lancer pour une profession, est-ce que moi, par exemple, je peux imaginer installer une ruche dans mon jardin ?
00:21:25 En Ile-de-France, on a besoin d'autorisation, on peut faire ça ?
00:21:28 Bien sûr, c'est de plus en plus technique.
00:21:31 C'est sûr que l'arrivée de parasites, de prédateurs, vous avez dû entendre parler du frolon qui est devenu une problématique majeure.
00:21:37 - Asiatique notamment ? - Oui.
00:21:39 C'est le frolon à pâte jaune.
00:21:42 Ça devient de plus en plus technique pour qu'elle survive.
00:21:46 On perd aujourd'hui, au niveau mondial, 30% de nos ruches chaque année.
00:21:51 Mangeons du miel. Allons voir ces producteurs, ceux qu'on croise sur les marchés.
00:21:56 C'est vraiment, en général, le stand où on dit bonjour et on passe devant.
00:22:00 Donc là, arrêtons-nous, consommons ce miel et surtout, regardons les étiquettes,
00:22:04 les centres commerciaux, on le voit, on a souvent de l'UE avec des miels où on ne sait pas vraiment,
00:22:09 quels sont les abeilles et les pays de provenance.
00:22:12 Merci beaucoup d'avoir été avec nous ce matin.
00:22:14 Merci d'être venu, Alexandre Catonnet, le coordinateur apicole de l'Union nationale de l'apiculture française.
00:22:19 C'est délicieux votre miel, vraiment.
00:22:21 Ça a un goût d'Orviensi, comme on dit.
00:22:23 7h22, la météo pour aujourd'hui, avec des valeurs négatives par endroit, entre -2 et 0°C.
00:22:29 On a à Versailles et Vincennes, 0°C, les valeurs négatives.
00:22:32 On est aux abords de la forêt de Fontainebleau de Rambouillet, avec -1, -2°C.
00:22:36 Valeurs positives à Paris ce matin, 2°C.
00:22:38 Pour cet après-midi, 10 à 12°C.
00:22:41 Avec les moutons, les vaches que vous entendez ici au Salon de l'agriculture, on fait la route ensemble ce matin.
00:22:48 Difficulté sur la route à l'ouest de la capitale, la nationale 12, en direction de la province, Fontenelle-Fleury.
00:22:53 Attention à cet accident dans les transports, le RERB, travaux pas terminés à Danfer-Rochereau.
00:22:58 C'est perturbé sur toute la ligne.
00:22:59 Allez, 7h22, bon réveil avec France Bleu Paris.
00:23:03 Pour la musique, on a trouvé le meilleur, une nouvelle fois ce matin, la musique que vous aimez.
00:23:07 Avec la sauvageonne, la lionne, Tina Turner, à 7h22, sur France Bleu Paris.
00:23:13 Bon réveil !
00:23:14 [Musique]
00:23:24 [Musique]
00:23:34 [Musique]
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00:25:54 [Musique]
00:26:04 [Musique]
00:26:12 Tina Turner, the best, le meilleur de la musique.
00:26:15 Les chansons que vous aimez sont ici sur France Bleu Paris, 7h25.
00:26:19 Le meilleur pour trouver sur tout ce qui se passe sur les réseaux sociaux, c'est vous Fabien Emo.
00:26:22 Vous êtes le meilleur pour retrouver notamment ces vidéos concernant le Salon de l'agriculture.
00:26:27 Il y en a beaucoup sur Instagram, Facebook, Twitter.
00:26:30 Oui, les internautes aiment partager l'ambiance dans les allées du Salon.
00:26:33 Beaucoup de fanfare, vous savez, déambule, porte de Versailles.
00:26:36 Et il y en a une qui s'est même perdue hier.
00:26:38 Ah bon ?
00:26:39 Oui, elle s'est retrouvée à l'Elysée. Écoutez ça.
00:26:41 [Musique]
00:26:44 Ça c'était à l'Elysée ?
00:26:45 Ce que vous entendez, oui, c'est la fanfare d'accueil de Kylian Mbappé.
00:26:48 Vous le savez, hier soir, le joueur du PSG a dîné avec Emmanuel Macron et l'émir du Qatar.
00:26:52 Et pour l'occasion, une bande d'as a été réquisitionnée.
00:26:55 Mais c'est trop propre, je trouve.
00:26:56 Perso, je préfère l'ambiance au Salon de l'agriculture.
00:26:59 [Musique]
00:27:01 Voilà une ambiance qui pue la bière comme on les aime.
00:27:03 Il aurait pu y avoir ça à l'Elysée hier.
00:27:05 Ça aurait été drôle, pour accueillir les officiels.
00:27:07 Et hier, Jean Lassalle a fait le show dans les allées du Salon de l'agriculture.
00:27:11 Des internautes l'ont filmé en train de faire un paquito avec des jeunes agriculteurs.
00:27:15 Un paquito, vous savez, c'est une tradition qu'on retrouve dans le sud-ouest de la France.
00:27:19 Pendant les férias, cette tradition consiste à faire asseoir en file indienne des gens par terre.
00:27:23 Puis à les faire lever les bras.
00:27:25 Ah oui, après on porte quelqu'un.
00:27:27 Voilà, on se jette, on se laisse porter.
00:27:29 Voilà, Jeannot l'a fait.
00:27:30 Ah oui, la vidéo est à voir sur les réseaux sociaux.
00:27:32 Sacré Jeannot, Jean Lassalle, qui n'a pas hésité d'ailleurs à balancer un petit tacle à Emmanuel Macron.
00:27:37 D'abord, je vaux beaucoup moins de bordel que l'autre, ça me dit.
00:27:41 Il est venu.
00:27:43 Et je passe plus, l'année a plus...
00:27:46 Voilà.
00:27:47 Voilà, bon, comme vous pouvez l'entendre, mon Jeannot n'arrivait plus à finir ses phrases, sans doute à cause de la bière.
00:27:51 La bière, qui a un succès fou pendant le Salon de l'agriculture.
00:27:54 Le Premier ministre, Gabriel Attal, a posté une photo sur ses réseaux sociaux.
00:27:59 Où on le voit en train de se servir une petite mousse.
00:28:01 En mode serveur.
00:28:02 Voilà, en légende, il a écrit, je cite, "De temps en temps, je cède à la pression".
00:28:06 Mais...
00:28:07 Voilà, vous le retrouverez bientôt en spectacle, au Grand Point Virgule.
00:28:10 Au Grand Point Virgule, pourquoi pas.
00:28:11 La Tueweb, c'est aussi cette nouvelle application qui a été dévoilée il y a quelques heures, ici au Salon de l'agriculture.
00:28:16 Oui, Romain, je vous présente Thierry Bayer, un agriculteur du nord de la France.
00:28:19 Et il a lancé l'application "Dans les bottes".
00:28:22 Dans les bottes, en gros, pour résumer, cette appli, c'est le Airbnb de la ferme.
00:28:25 C'est-à-dire que vous pouvez choisir une ferme dans la région de France qui vous fait plaisir.
00:28:29 Vous réservez directement en ligne.
00:28:31 Et là, vous pourrez loger chez un agriculteur pour découvrir son métier.
00:28:35 Génial !
00:28:36 Vous pourrez même participer aux activités de la ferme, par exemple.
00:28:38 C'est gérer dormir chez vous, en fait.
00:28:39 Voilà, c'est ça.
00:28:40 Vous pourrez même faire la traite des vaches.
00:28:42 Voilà, vous allez vraiment vivre avec l'agriculteur.
00:28:44 C'est vraiment une immersion.
00:28:46 Idée originale.
00:28:47 Donc, pour soutenir l'agriculture française, l'appli, c'est "Dans les bottes".
00:28:51 Vous pouvez la découvrir en exclu sur le site internet agriculteur-d'aujourd'hui.com.
00:28:55 Et bravo à Thierry Bayer, notre agriculteur du nord de la France,
00:28:58 qui a lancé cette application il y a quelques heures au Salon de l'agriculture.
00:29:01 Et bien, peut-être qu'on va envoyer Romain Bruneau, qui sait,
00:29:03 pour faire la différence entre les taureaux et les vaches.
00:29:05 Pourquoi pas ?
00:29:06 Il y a du boulot !
00:29:07 S'inviter chez un agriculteur.
00:29:08 Dans les bottes !
00:29:09 Dans les bottes.
00:29:10 Vraiment, on a envie de voir ça.
00:29:12 Et pourquoi pas d'aller travailler comme les agriculteurs, peut-être en Seine-et-Marne.
00:29:16 Certains se sont déjà inscrits.
00:29:18 L'idée, c'est qu'il y en ait de plus en plus, évidemment.
00:29:20 Voilà, c'est ça. Donc l'application vient d'être lancée.
00:29:22 Vous pouvez vous connecter sur le site agriculteur-d'aujourd'hui.
00:29:24 Et vous pouvez, voilà, il y a toutes les infos.
00:29:26 Et vous pouvez même vous inscrire si vous avez une ferme dans la région parisienne.
00:29:29 Merci beaucoup Fabien Emo.
00:29:30 Encore une fois, bon anniversaire.
00:29:31 Et tout à l'heure, la mi-journée avec Willy Rovelli.
00:29:33 13h-14h.
00:29:34 Sur France Bleu Paris, on n'est pas à l'abri de faire une bonne émission.
00:29:37 7h29.
00:29:38 Je vous connais, je sais que vous reluquez les combles
00:29:47 situés juste au-dessus de votre appartement.
00:29:49 Et c'est vrai que ça ferait une belle mezzanine.
00:29:51 Eh bien, saviez-vous que vous pouvez racheter des parties communes
00:29:54 aux autres copropriétaires de votre immeuble ?
00:29:56 Alors lesquelles ? Combien ? Comment ? On vous répond.
00:29:59 Imo Express, présentée par Charlotte Meunier.
00:30:02 C'est ce samedi à 19h sur France 3 Paris Île-de-France.
00:30:06 Et sur la plateforme France.tv.
00:30:08 Quand vous écoutez France Bleu, vous n'êtes pas n'importe où.
00:30:13 Vous êtes chez vous.
00:30:16 France Bleu, au cœur de nos régions, de nos villes, de nos villages.
00:30:20 France Bleu Paris, ici, on parle d'ici.
00:30:24 Nous sommes mercredi le 28 février.
00:30:26 Bon réveil avec France Bleu Paris.
00:30:27 7h30.
00:30:28 Deux problèmes à vous signaler sur la route ce matin.
00:30:30 Il y a une voiture en panne sur l'A6A en direction de la capitale,
00:30:33 à la hauteur de Chevilly.
00:30:35 Et un bouchon qui s'est formé entre Vissou et la porte d'Orléans.
00:30:37 Vous mettez une bonne demi-heure ce matin à cause de cette voiture en panne.
00:30:40 Et puis un accident à Fontenelle Fleury.
00:30:42 On est là sur la National 12 en direction de la province.
00:30:44 Attention sur les voies de gauche à cause de cet accident dans les transports.
00:30:48 Le RER B est perturbé.
00:30:50 On y revient dans un instant.
00:30:52 La météo au draseau.
00:30:54 On a peut-être besoin d'une belle écharpe ce matin.
00:30:56 Oui, parce qu'on s'est fait un peu avoir nous en arrivant au salon ce matin, Romain.
00:30:59 Oui, il fait froid.
00:31:00 Température négative carrément du côté de Melun, du côté de Fontainebleau,
00:31:04 du côté de Pontoise aussi.
00:31:05 Ça ira beaucoup mieux cet après-midi avec du soleil un peu voilé,
00:31:08 mais du soleil quand même.
00:31:10 On surveille aussi Romain l'alerte orange aux inondations.
00:31:13 Toujours en Seine-et-Marne, la rivière, le Grand Morin qui est toujours en crue.
00:31:16 On se réveille une nouvelle fois ce matin ici au salon de l'agriculture.
00:31:19 Pavillon 1, le pavillon des animaux.
00:31:21 Je ne sais pas vous, Aude, mais j'ai l'impression que j'ai croisé des nouvelles têtes ce matin.
00:31:25 Vous faites bien de le dire parce qu'effectivement,
00:31:27 les vaches de ce matin ne sont pas les mêmes vaches qu'hier matin.
00:31:32 Je vais être très honnête avec mes yeux de Parisienne.
00:31:34 Je n'ai pas vu une énorme différence.
00:31:36 Vous êtes très fort.
00:31:37 En fait, il y a plus de la moitié des bêtes qui sont rentrées chez elles.
00:31:39 On va retrouver une ambiance un peu plus calme qu'ici, porte de Versailles.
00:31:43 C'est un portage de Marion Ferrer.
00:31:45 Marion qui balade le micro France Bleu Paris dans le salon toute cette semaine.
00:31:48 Vincent Helger de Vachelettière est content de rentrer dans le Calvados.
00:31:52 Le salon, c'est une opportunité pour lui, mais aussi un coût financier.
00:31:55 1000 euros environ de logements et de transports.
00:31:58 Et puis après 4 jours passés au milieu de milliers de visiteurs, ces bêtes sont fatiguées.
00:32:03 C'est comme si nous, on nous papouillait la tête, les cheveux toute la journée.
00:32:07 Au bout d'un moment, quand aux promesses semées par les politiques ces derniers jours,
00:32:11 dans les allées du salon, il ne se fait aucune illusion.
00:32:14 Je pense que c'est de la poudre aux yeux.
00:32:16 Et bilan mitigé aussi pour Jérémy, venu du Juran sont dans le sud-ouest.
00:32:20 Très particulier parce que c'était un contexte qu'on n'avait pas connu jusqu'à là.
00:32:24 Ouverture le samedi très mouvementé.
00:32:27 Le président de la République qui est venu.
00:32:29 Et du coup, on n'a pas du tout rencontré nous en tant qu'éleveur explosant.
00:32:33 Alors que ce n'est jamais arrivé.
00:32:35 On a l'habitude de rencontrer toujours les présidents de la République.
00:32:37 Un point positif en revanche.
00:32:39 On entend beaucoup de messages de soutien quand on se promène dans les allées.
00:32:42 Le contact renoué avec les consommateurs, c'est ce qui a également ému Marie-Rose,
00:32:46 éleveuse retraitée en Saône-et-Loire.
00:32:48 Des gens qui viennent et qui posent des questions.
00:32:51 Je crois qu'on en avait bien besoin et qu'on a besoin de sentir que les consommateurs nous prennent en considération.
00:32:58 Tous en revanche s'accordent à dire une chose, la crise agricole ne va pas se régler ici, porte de Versailles.
00:33:03 La crise agricole toujours bien ancrée, bien présente ici, tout autour de nous au Salon de l'agriculture.
00:33:09 On vous parlait hier de la réunion à Bercy.
00:33:13 Résultat de la réunion, les agriculteurs en difficulté vont pouvoir retarder d'un an le paiement de leurs dettes bancaires.
00:33:19 Et les banques d'ailleurs leur proposeront des taux préférentiels pour acheter du matériel, des machines.
00:33:24 Et toutes ces difficultés, ça pose une question.
00:33:27 Est-ce qu'un jeune en 2024 a encore envie de se lancer dans l'agriculture ?
00:33:31 Et la question Henri Cochet, Romain, on pourrait la formuler comme ça.
00:33:35 C'est de savoir si l'agriculture finalement est un métier d'avenir, encore un métier d'avenir.
00:33:39 8h15, on fait un focus sur l'Essone, l'Essone terre agricole, vous le savez.
00:33:43 Le président du département, François Durovray, va nous rejoindre ici en plateau pavillon 1.
00:33:48 Et puis deuxième invité pour ce débat, un jeune agriculteur évidemment de Seine-et-Marne, Clément Torpier, le président des jeunes agriculteurs d'Ile-de-France.
00:33:56 La Seine-et-Marne, restons-y. Ici depuis le salon, on pense très fort ce matin aux habitants qui ont les pieds dans l'eau, des agriculteurs d'ailleurs aussi peut-être.
00:34:06 On est à La Ferté-Gaucher, Crécy-la-Chapelle, Pommeuse, Meilleret, certains habitants carrément dûs évacués.
00:34:12 C'est toujours le Grand-Morin qui est en crue, la rivière, on risque encore d'avoir des lignes de bus déviées ce matin.
00:34:17 Et puis on surveille aussi la National 4 qui était fermée hier matin.
00:34:21 On tourne aussi les yeux ce matin vers le palais du Luxembourg.
00:34:24 Avec cette question pour ou contre l'inscription de l'IVG dans la Constitution, voilà la question à laquelle les sénateurs vont répondre cet après-midi.
00:34:32 Suspense parce que pas mal de sénateurs sont réticents.
00:34:36 Cyril Ardaud, vous nous expliquez, c'est un peu technique, c'est une question de principe pour certains, c'est aussi une question de vocabulaire, le choix des mots.
00:34:43 Dans la version des députés adoptée fin 2022, il était question de droit à l'IVG.
00:34:48 Le Sénat avait lui adopté dans la foulée une version modifiée. Les sénateurs préférant parler plutôt de liberté de la femme de mettre fin à sa grossesse.
00:34:56 Problème, dans le cas d'une révision constitutionnelle, les deux chambres doivent adopter le même texte à la virgule près.
00:35:02 Pour une fois, ce n'est pas l'Assemblée nationale qui a le dernier mot.
00:35:05 Alors l'exécutif a tenté de jouer le compromis avec la formule "liberté garantie".
00:35:10 Et mi-décembre, le Conseil constitutionnel a en quelque sorte tranché le débat. "Droit" ou "liberté", la portée est la même, ont estimé en substance les sages.
00:35:19 De quoi rassurer les associations féministes qui réclament initialement le terme "droit à l'IVG" mais acceptent le terme "liberté" comme le seul chemin possible vers un vote.
00:35:28 L'ajout du mot "garantie" évitant selon elles tout retour en arrière à l'avenir.
00:35:33 Et ce n'est pas si simple parce que même le mot "garantie", "liberté garantie", il ne plaît pas à certains sénateurs.
00:35:40 On suit donc les débats et le vote au palais du Luxembourg, c'est tout à l'heure, c'est cet après-midi.
00:35:45 L'autre débat du matin, c'est cette histoire de malaise voyageurs dans le métro.
00:35:50 Alors vous qui partez au boulot, vous avez vu passer l'info sans doute, elle tourne en boucle depuis hier.
00:35:55 Le métro parisien ne s'arrêtera plus en cas de malaise voyageurs.
00:35:59 Île-de-France Mobilité met au point un protocole pour faire sortir le voyageur en question sur le quai.
00:36:04 C'est censé entrer en vigueur avant les Jeux Olympiques.
00:36:07 7h35, on reste à l'Aératp avec un tout autre sujet. L'Aératp essaye de soulager ses agents.
00:36:12 Oui, notamment les agents de maintenance.
00:36:14 C'est physique comme métier la maintenance du métro, du RER, de notre réseau parisien.
00:36:19 Et donc qu'est-ce qui se passe ? Il y a pas mal d'agents qui ont droit à un exosquelette dernière génération.
00:36:25 Vous savez, c'est une grosse armature qu'on enfile pour soulager le dos, le muscle, etc.
00:36:30 Démonstration ce matin avec notre reporter Laurent Borde, on est au centre de maintenance du tram T8 en état viltaneuse.
00:36:36 On va commencer par mettre l'appareil adapté pour les cervicales.
00:36:39 Patrick Bourreille enfile son exosquelette, sorte de harnais qui supporte le poids de ses bras.
00:36:44 Cet opérateur qualifié à l'Aératp reconnaît une amélioration de ses conditions de travail.
00:36:49 Ça me soulage beaucoup au niveau des bras et puis au niveau des cervicales.
00:36:52 Puisque contrairement à certains collègues qui vont être plus grands, moi je vais vraiment avoir la tête et les bras qui sont beaucoup plus levés et qui me sollicitent plus de travail.
00:37:00 Damien s'occupe de la maintenance des portes et avoue que son quotidien s'est amélioré.
00:37:04 On sent moins de fatigue, moins de douleur au niveau des cervicales aussi parce qu'on a quand même la pute-tête qui est derrière nous.
00:37:08 Franchement, au niveau du travail, on se sent mieux quand même.
00:37:10 60% des activités de maintenance sur un train sont bras en l'air, une position très pénible qu'il a fallu soulager, explique Nicolas Stuvers, chef du projet d'exosquelettes.
00:37:19 Les exosquelettes qu'on a déployées diminuent de 30 à 50% les contraintes au niveau des épaules.
00:37:24 Parce que sur ce poste de travail, on lève les bras à plus de 90 degrés et c'est dans ce cadre-là que le poste est sollicitant parce qu'à partir de 90 degrés, on porte les poids des bras.
00:37:33 L'Aératp a déployé 140 exosquelettes sur 12 ateliers pour 300 personnes.
00:37:37 Et pour info, l'Aératp est la première entreprise en France à équiper son personnel avec autant d'exosquelettes.
00:37:43 Petit coup d'œil vers le ciel romain, ciel mitigé mais on voit quand même un peu de jaune sur les cartes Météo France.
00:37:51 - Impetiment, Météo France s'est montrée généreuse avec le jaune.
00:37:55 Je sais pas, il y avait peut-être un renfort de peinture pour ce dernier jour du mois.
00:37:59 Ah non, 28 février, c'est pas le dernier jour du mois, on est en année bisextile, il y en aura un autre demain, 29 février et on sera là sur France Bleu Paris.
00:38:07 - Un petit matiné ensoleillé, ça va se décaler ce soleil pour laisser place à quelques nuages.
00:38:13 Et le soleil sera surtout sur l'est de la région parisienne pour cet après-midi.
00:38:17 C'est un peu mi-figue mi-raisin, on sera en alternance entre nuages et éclaircies.
00:38:21 7h37, ne vous laissez pas surprendre par le froid de ce matin.
00:38:24 Par endroits, on a gratté le pare-brise pour certains dans le secteur de plaisir, notamment entre -2 et 2 degrés.
00:38:30 Oui, des valeurs négatives qui nous rappellent que nous sommes en plein hiver.
00:38:33 À Fontainebleau -2 degrés, à Rambouillet-Emi, La Forêt -1, à Versailles-Evincennes 0 degrés, dans le secteur de Provins, la Cité Médiévale 1 degré.
00:38:41 Et à Paris ce matin, au Créteil, 2 degrés.
00:38:44 Cet après-midi, on retrouve les mêmes valeurs que ces derniers jours, entre 10 et 12 degrés sur la région parisienne.
00:38:51 7h38, à vos côtés sur la route, la route on l'a fait ensemble ici sur France Bleu Paris, avec de plus en plus de monde.
00:38:58 On est à 160 km de bouchons cumulés, les ratissements habituels pour accéder à la capitale.
00:39:04 À Fontainefleury, cet accident sur la National 12, attention sur les voies de gauche, à Cheville, il y a une voiture en panne sur l'A6A.
00:39:11 Ce qui fait qu'un bouchon s'est formé, là, un temps de parcours assez conséquent, une grosse demi-heure entre Vissou et la Porte d'Orléans.
00:39:18 Dans vos transports, travaux pas terminés à Danferrocherau, c'est perturbé sur la ligne B du RER.
00:39:24 Trafic fortement perturbé sur toute la ligne à cause de ces travaux pas terminés.
00:39:28 Et le tramway, le T12 express, interrompu entre Épinay-sur-Orge et Évry-Courcouronnes, dans les deux sens, la faute à une panne de réseau.
00:39:36 Allez, on continue à faire ça avec vous.
00:39:38 Chaque matin, nos écrans, nos caméras, ça clignote ici, mais vous, n'hésitez pas à nous signaler une difficulté sur votre trajet, la route.
00:39:46 À vos côtés, 01 42 30 10 10, c'est le numéro de France Bleu Paris.
00:39:50 7h39, bonne fête aux Romains, aujourd'hui. Quel beau prénom.
00:39:54 Le 6/9, France Bleu Paris, Romain Ambro.
00:40:00 Et je dirais la même chose pour le prénom de demain, évidemment, pour le prénom de vendredi.
00:40:04 Et bonne fête à vous, les Romains qui écoutez France Bleu Paris.
00:40:07 On va retrouver Romain Bruno, qui est dans les allées du Salon de l'Agriculture.
00:40:11 Et c'est la fête aux animaux, ici, avec ce changement, ce switch.
00:40:15 En une nuit, 200 animaux sont partis. 200 animaux sont arrivés pour notamment les concours.
00:40:21 Ça se prépare jusqu'à dimanche, ici, au Salon de l'Agriculture, 60e édition.
00:40:26 8h moins 20, à 7h6, tous les matins, c'est quoi ce chantier ?
00:40:29 C'est le rendez-vous qui vous parle cash des travaux sans langue de bois, avec vous, Thomas Etcheberry.
00:40:33 Et justement, tiens, en parlant de bois, c'est l'un des matériaux très utilisés, très recherchés en ce moment, dans le secteur de la porte-branchons.
00:40:41 C'est pas très loin, c'est dans le 15e, pas loin d'ici.
00:40:43 Si vous passez régulièrement sur le périphérique dans ce secteur, vous n'avez pas pu manquer, pour le coup, cet impressionnant chantier.
00:40:48 Un immeuble en bois, juste au-dessus du célèbre boulevard parisien.
00:40:52 Il s'appelle Hosta, c'est juste à côté du Parc Expo. C'est la porte à côté, c'est le moins qu'on puisse dire.
00:40:57 Alors, c'est quoi l'histoire de cette construction ?
00:40:58 Alors, à l'origine, il s'agit d'un projet qui a remporté le concours "Inventons la métropole du Grand Paris".
00:41:03 Ça remonte à 2017, tout de même.
00:41:05 L'objectif, en fait, c'est de faire cet immeuble de 8 étages, un foyer de jeunes travailleurs.
00:41:10 Il se démarque pour deux raisons. La première, vous l'avez dit, c'est par sa structure en bois, tout de même.
00:41:15 Un bois très noble. Et la deuxième, c'est qu'il est perché juste au-dessus du périphérique.
00:41:20 Et ça, c'est quand même pas si banal que ça.
00:41:21 Et pourquoi on a choisi le bois ?
00:41:23 Alors, c'est la société Woodham qui est chargée de promouvoir cette opération immobilière.
00:41:27 Et dans Woodham, il y a "hum", certes, mais il y a aussi "wood" qui veut dire "bois" en anglais.
00:41:32 Ils sont spécialisés dans les constructions composées de cette matière, donc si chaleureuse.
00:41:36 Et si on a choisi le bois, c'est à la fois parce que c'est bas carbone, et ça, on aime, évidemment,
00:41:41 mais aussi parce que c'est plus léger.
00:41:43 Et comme je vous le disais, le bâtiment est construit juste au-dessus de la voie rapide,
00:41:46 sur une dalle de frangissement qui existait déjà.
00:41:48 Donc forcément, il vaut mieux ne pas construire quelque chose de trop lourd dessus, au risque d'avoir de mauvaises surprises.
00:41:54 Et donc, vous disiez que ce bâtiment, il sera destiné aux jeunes travailleurs ?
00:41:57 Oui, il devrait y avoir, a priori, 114 logements.
00:42:01 C'est énorme !
00:42:02 Surtout quand on connaît la crise qui traverse notre capitale à ce sujet, c'est vrai.
00:42:06 C'est l'un des bailleurs sociaux de la ville de Paris qui devrait être en charge de ce projet.
00:42:10 Il n'y aura pas que des habitations dans cet immeuble, on y attend aussi des commerces en rez-de-chaussée.
00:42:14 Et surtout, très important, c'est d'assurer que le traitement de l'air soit optimal dans ce nouveau bâtiment.
00:42:19 Et ça, forcément, c'est très important.
00:42:21 Quand on habite juste au-dessus du périphérique, ce n'est pas du luxe.
00:42:24 On a quand même besoin de certaines garanties, d'avoir une vie saine vis-à-vis de cette pollution atmosphérique.
00:42:28 Ça fait un an que les travaux ont démarré, ils touchent bientôt à leur fin.
00:42:32 La livraison de l'immeuble est prévue pour cette année 2024.
00:42:35 D'ici là, si vous vous rendez au Salon de l'agriculture, que vous passez sous le périphérique,
00:42:39 juste en-dessus de cet immeuble du nom d'Austa, vous ne pourrez plus dire "c'est quoi ce chantier ?"
00:42:43 Porte Bransion, dans le 15ème, où vous partez peut-être travailler, vous passez tous les matins devant.
00:42:49 Grâce à France Bleu Paris, vous savez ce qu'est ce chantier.
00:42:52 7h42.
00:42:54 Le 6/9. Tous les jours, toute l'année. Réveillez-vous sur France Bleu Paris.
00:42:59 C'est aussi ce qu'on peut se dire ce matin dans les allées du Salon de l'agriculture.
00:43:02 "C'est quoi ce chantier ?" Parce que ça s'active dans les allées 60ème édition, ici à Paris-Porte de Versailles.
00:43:09 Romain Bruneau, vous les connaissez bien ces allées, depuis ce week-end, vous êtes dans les travées.
00:43:14 Et là, paraît-il qu'à 7h06, c'est le Pesperson, vous êtes à la pesée ?
00:43:17 Exactement, et d'ailleurs je suis avec Paul Villade, qui est commissaire bovin en charge de la pesée.
00:43:23 Bonjour. Pourquoi on pèse les animaux ?
00:43:26 On pèse les animaux pour plusieurs raisons.
00:43:29 Déjà pour avoir une idée de leur poids, logique.
00:43:31 Et que ce soit dans le cadre du concours, pour que les éleveurs puissent avoir une idée de combien ils pèsent.
00:43:37 Pour qu'ils se mettent en émo, mais aussi pour faire un suivi du poids entre le moment où ils sont partis de chez eux,
00:43:41 le moment où ils sont arrivés, pour voir l'impact à ce niveau-là, pour des questions de bien-être animal.
00:43:45 Et aussi pour avoir une idée des performances globales de la race, donc chez nos éleveurs sélectionneurs.
00:43:50 De voir tous les efforts qu'ils font dans leur travail pour proposer des animaux qui vont avoir des poids corrects,
00:43:56 à la fois pour leur propre bien-être, du fait qu'il y a quelques années, on avait des animaux qui étaient très lourds.
00:44:01 Il y a un travail qui a été engagé de façon à ce que les animaux aient des poids plus cohérents,
00:44:06 avec ce qu'on demande aussi en termes de consommation, etc.
00:44:08 Et alors avec moi, on peut regarder, je suis entouré de deux grandes balances.
00:44:13 Et dessus, il y a marqué "Maréchal", c'est la marque, mais pas que la marque, c'est également le nom de famille de Bérangère Maréchal qui est avec moi.
00:44:19 Bonjour Bérangère !
00:44:20 Bonjour !
00:44:21 Alors Bérangère, c'est votre famille qui a conçu ces installations uniques au monde, ici à Paris, ces grosses balances.
00:44:27 Et oui, effectivement, ces balances ont été conçues à la base vraiment pour le salon de l'agriculture.
00:44:33 Elles ont été conçues en partenariat avec le salon.
00:44:36 En fait, elles ont des particularités.
00:44:38 Déjà, c'est qu'elles sont suffisamment basses pour que la bête n'ait pas de marche à monter.
00:44:42 Donc, elle rentre très facilement dans la bascule.
00:44:45 Et puis, elles sont aussi surtout très grandes, très larges et plus hautes que la normale.
00:44:51 On s'attend ici au salon à accueillir les bêtes les plus grosses de France.
00:44:55 Donc, il faut qu'on adapte le gabarit de la cage pour cet événement particulier.
00:45:00 On va parler de poids rapidement.
00:45:01 Je me retourne vers vous Paul.
00:45:03 Là, ce matin, on regarde combien pour la vache la plus lourde ?
00:45:07 Alors, on peut se situer, je veux dire, vache plutôt taureau, du coup, entre 1,4 et 1,5 tonnes pour les plus lourds.
00:45:13 Comparativement à quelques années, on pouvait friser les 1,9 tonnes de tonnes pour les taureaux.
00:45:18 Et sur les vaches les plus lourdes, on va être sur 1,1 tonnes.
00:45:21 C'était pareil à quelques centaines de kilos d'écart il y a quelques années.
00:45:24 D'accord. Et bien, voilà donc ici au milieu de ce ring, entouré de ces balances pour la pesée du matin Romain.
00:45:29 Oui, avec une balance pour de forts poids.
00:45:31 Et dans un instant, c'est les poids plumes qu'on va découvrir puisque vous allez les prendre à la direction d'un stand
00:45:36 où des poussins vont naître en direct.
00:45:38 On va parler en grammes.
00:45:39 Ici, sur France Bleu Paris, alors, ces quelques grammes, ils ne sont toujours pas nés.
00:45:42 Peut-être une éclosion en direct ce matin qui sait sur France Bleu Paris.
00:45:47 Ici, matin, revient dans un instant.
00:45:52 Le 6/9
00:45:57 Le 6/9
00:46:01 Le 6/9
00:46:21 Ici, c'est France Bleu Paris.
00:46:23 Cadeau France Bleu, on joue ensemble dans moins de 5 minutes sur France Bleu Paris.
00:46:27 Nous sommes le 28 février, mercredi aujourd'hui, 8h moins le quart, le salon de l'agriculture.
00:46:31 C'est veau, c'est vache, c'est cochon.
00:46:33 Mais les ânes, les chevaux ont aussi leur propre pavillon.
00:46:36 Ici, c'est le pavillon 6 des démonstrations de dressage, des box pour contempler les différentes races.
00:46:42 Les passionnés sont là pour nous faire partager aussi leur amour du métier.
00:46:46 Bonjour Agnès Kerecki.
00:46:47 Bonjour Romain.
00:46:48 Tiens, quand on parle d'amour de l'animal, vous en connaissez un rayon.
00:46:51 On est en plein dedans avec vous. Vous avez lancé il y a quasiment 7 ans Epona Club Nature.
00:46:55 Des poneys, des chevaux et des expériences en pleine nature.
00:46:58 On est là à Saint-Germain-en-Laye.
00:47:00 On est là à Saint-Germain-en-Laye.
00:47:02 Le cadre Yapir.
00:47:03 Ah oui, je dois avouer.
00:47:05 Grâce à un partenariat avec le musée d'archéologie nationale et donc le domaine national de Saint-Germain-en-Laye,
00:47:11 j'ai accès à la grande terrasse du château, la vue sur tout Paris, la tour Eiffel
00:47:16 et mes poneys et chevaux broutent en bas de la grande terrasse.
00:47:20 Je sais que c'est le meilleur de France et la vue la plus sublime pour découvrir les joies de l'équitation.
00:47:27 Équitation traditionnelle chez vous, on apprend à faire du cheval et du poney ?
00:47:30 Alors, on apprend assez vite à aller se balader à cheval et à poney en pleine nature.
00:47:36 Et c'est vraiment ça que j'ai voulu valoriser pour que la pleine nature, pour recréer ce lien avec la nature.
00:47:44 Mais il y a aussi l'équitation autrement,
00:47:46 parce que paraît-il que le cheval génère des émotions qui sont nécessaires pour nous au quotidien.
00:47:51 Oui, alors c'est vrai que dès le plus jeune âge et jusqu'à la fin de sa vie,
00:48:00 jusqu'au plus jeune âge,
00:48:01 on peut, exactement, on peut créer ce lien avec l'animal, développer des sensations, des émotions,
00:48:11 utiliser ses sens, fermer les yeux, profiter, toucher l'animal.
00:48:17 Chez vous, à ce moment-là, il paraît qu'on pourrait faire de l'équithérapie.
00:48:21 Qu'est-ce que c'est l'équithérapie ?
00:48:22 Alors, dans l'équithérapie, il y a soin.
00:48:25 Donc, grâce à des thérapeutes partenaires qui connaissent bien mes poneys et chevaux,
00:48:31 on propose des séances en individuel ou en collectif pour aider des personnes qui ont des besoins spécifiques.
00:48:40 Ça peut être des personnes autistes, en situation de handicap,
00:48:45 des personnes qui ont subi des violences psychiques ou physiques.
00:48:51 Et ça, c'est vraiment juste incroyable, le pouvoir des chevaux et des poneys médiateurs.
00:48:56 Ça, c'est incroyable parce que c'est une relation avec l'homme qui se fait dès le plus jeune âge,
00:49:00 au moment de ce qu'on appelle le débourrage, c'est ça ?
00:49:02 Il faut aussi que l'animal soit prêt à recevoir ce public.
00:49:06 Et c'est vrai qu'en me baladant dans le hall, ils ont l'air tellement zen, vos poneys, le poney qu'on voit notamment.
00:49:11 C'est vrai que moi, j'ai choisi des poneys et des chevaux, entre autres des chevaux islandais,
00:49:17 qui ont plein de caractéristiques assez particulières.
00:49:21 Et c'est des chevaux, grâce à leur mode de vie auprès, en groupe,
00:49:28 donc ils vont être bien dans leur tête, bien dans leur corps.
00:49:33 Et c'est grâce à ça aussi qu'ils peuvent être un atout incroyable pour nos publics.
00:49:40 Pour certains qui ont peut-être peur de se lancer dans le cheval, l'équitation,
00:49:44 parfois on a une appréhension. Vous dites quoi ? Vous dites il faut se lancer, il faut y aller ?
00:49:48 Alors il faut évidemment y aller et être bien accompagné.
00:49:52 Ça, c'est vraiment important. Prendre le temps.
00:49:56 Et on devient un bon cavalier à partir de combien d'heures ?
00:49:59 Ça ne compte pas en heures, c'est plus prendre le temps pour créer la confiance,
00:50:04 être dans un environnement bienveillant. Et c'est ça qu'il faut rechercher.
00:50:08 Parce que les enfants, ils rêvent de faire de l'équitation.
00:50:12 Il y en a beaucoup en Ile-de-France qui disent j'adorerais faire de l'équitation.
00:50:15 Est-ce que c'est cher de faire de l'équitation ? C'est une passion comme une autre ?
00:50:19 Parce que ça veut dire cher. Il faut voir ce que ça peut apporter.
00:50:23 Pour moi, ça n'a pas de prix. On peut surmonter des peurs.
00:50:29 On peut surmonter grâce au poney ou au cheval.
00:50:35 On peut se transformer. On se surpasse.
00:50:40 Ça peut avoir des impacts dans sa vie au quotidien, dans un cadre personnel, voire professionnel.
00:50:46 Pour moi, ça n'a pas de prix.
00:50:49 - On parle de la médiation animale, mais aussi des balades à poney dès le plus jeune âge.
00:50:53 Ou alors, pour certains, cette possibilité de découvrir aussi ce cadre merveilleux
00:50:57 que ce domaine national est le château de Saint-Germain-en-Laye.
00:51:00 On est dans 78, Epona Club Nature. Quelle belle idée que vous avez eue là.
00:51:04 Merci Agnès Kerecki d'avoir été avec nous ce matin. - Merci beaucoup.
00:51:08 - Comment s'appellent les animaux présents ici ?
00:51:10 - Les chevaux islandais. Ils ont une allure particulière qui est le toit.
00:51:14 C'est extraordinaire parce qu'il n'y a pas le rebond du trou. C'est très confortable.
00:51:20 - On n'a pas les fesses tallées. C'est une bonne idée.
00:51:23 - Ça permet à des grands débutants de venir monter un cheval.
00:51:26 - Vous nous avez convaincu. Merci Agnès d'avoir été avec nous et d'être passée ce matin.
00:51:29 On vous retrouve à Saint-Germain-en-Laye, 8h moins 10.
00:51:31 Vous restez avec nous sur France Bleu Paris.
00:51:34 Dans un instant, on va retrouver Romain Bruno aux côtés des petits poussins.
00:51:38 - 0142301010, comment s'appelle le petit bout du bec du poussin qui permet de casser sa coquille ?
00:51:45 C'est la question que je vous pose ce matin. Le savez-vous ?
00:51:49 Est-ce que c'est la pointe, le diamant ou le marteau ? 0142301010.
00:51:56 On joue avec les particularités animales ce matin.
00:51:59 La pointe, le diamant ou le marteau ? 0142301010. Je vous souhaite bonne chance.
00:52:04 - 8h moins 10, la météo pour aujourd'hui avec une alternance entre nuages et éclaircies.
00:52:09 Les valeurs ce matin, couvrez-vous entre -2 et -2 degrés.
00:52:12 Il fait froid par endroit avec des valeurs négatives aux abords des forêts de Fontainebleau et de Rambouillet.
00:52:17 Cet après-midi, on retrouve la douceur 10 à 12 degrés.
00:52:21 Sur la route à Tril-Bardou, on est là avec un accident grave sur la National 3.
00:52:28 À Tril-Bardou, attention en direction de Paris, deux voitures impliquées dans un accident entre Maux et Ville-Parisie.
00:52:34 Vous mettez 50 minutes ce matin.
00:52:36 Et puis à Chevilly, toujours cette voiture en panne qui perturbe le trafic sur l'A6A entre Vissou et la Porte d'Orléans.
00:52:42 Vous mettez 30 minutes.
00:52:44 RERB toujours perturbé à cause des travaux qui ne sont pas terminés à Denfert-Rochereau.
00:52:49 Pour la musique, de la musique Denfert, celle que vous aimez, Louane.
00:52:53 C'est génial, Louane avec Jour 1 sur France Bleu Paris en ce mercredi. Bon réveil !
00:52:57 Jour 1, amour numéro 1, c'est l'amour suprême, dis-moi que tu m'aimes.
00:53:05 Je veux un jour numéro 2, une suite à l'hôtel, supplément mortel.
00:53:14 Je t'ai regardée toute la nuit, danser sur mon âme n'est plus permis.
00:53:23 Neuf jours, la vie c'est du velours et l'éternité une nécessité.
00:53:32 Jour 10, variation du délice, que voudrais-tu faire ? Une balade en mer.
00:53:41 Chaque jour dépendance à l'amour, pas de danse autour.
00:53:49 C'est le jour, celui qu'on retient, celui qui s'efface.
00:53:55 Quand tu me remplaces, quand tu me retiens, c'est celui qui revient.
00:54:02 C'est le jour, celui qu'on retient, celui qui s'efface.
00:54:08 Quand tu me remplaces, quand tu me retiens, c'est celui qui revient.
00:54:18 Cent jours si c'était un jour, sans en avoir l'air, de l'orage dans l'air.
00:54:27 Jour 1000, t'as touché dans le mil, essence des réventines, cachée dans la poitrine.
00:54:35 Chaque jour dépendance à l'amour, pas de danse autour.
00:54:44 C'est le jour, celui qu'on retient, celui qui s'efface.
00:54:50 Quand tu me remplaces, quand tu me retiens, c'est celui qui revient.
00:54:57 C'est le jour, celui qu'on retient, celui qui s'efface.
00:55:03 Quand tu me remplaces, quand tu me retiens, c'est celui qui revient.
00:55:14 Mmmh...
00:55:18 Oh oh oh oh...
00:55:27 C'est le jour, celui qu'on retient, celui qui s'efface.
00:55:33 Quand tu me remplaces, quand tu me retiens, c'est celui qui revient.
00:55:42 C'est le jour, celui qu'on retient, celui qui s'efface.
00:55:48 Quand tu me remplaces, quand tu me retiens, c'est celui qui revient.
00:55:55 C'est le jour, celui qu'on retient, celui qui s'efface.
00:56:01 Quand tu me remplaces, quand tu me retiens, c'est celui qui revient.
00:56:12 Oh oh oh oh...
00:56:18 Le jour 1 de Louane sur France Bleu Paris, mais le jour 5 ici au Salon de l'Agriculture.
00:56:28 Et oui, nous sommes déjà à la moitié de cette 60ème édition.
00:56:30 Jour 5 en ce mercredi.
00:56:32 Et jusqu'à dimanche, la possibilité de découvrir ici ce Salon de l'Agriculture, la plus grande ferme de France.
00:56:37 Direction la Seine-et-Marne à Rue Belle, où nous attend Philippe, ce matin, la Seine-et-Marne, qui se réveille avec nous.
00:56:42 Bonjour Philippe.
00:56:43 Bonjour.
00:56:44 Vous êtes beaucoup à nous écouter en Seine-et-Marne.
00:56:46 On pense fort à vous, et notamment à certains, ceux qui sont aux abords du Grand Morin, avec la crue.
00:56:51 Il y en a certains qui ont les pieds dans l'eau en Seine-et-Marne.
00:56:53 On a une pensée toute particulière.
00:56:54 Ça va vous à Rue Belle ?
00:56:55 Oui, pour l'instant, ça va.
00:56:57 On surveille quand même les cours d'eau.
00:56:59 On est vigilants.
00:57:00 Ça ne vous a pas empêché de jouer avec nous pour peut-être remporter votre séjour à Paris.
00:57:04 L'hôtel 4 étoiles, la visite de la Tour Eiffel, un dîner gastro.
00:57:08 C'est quand même absolument génial ce cadeau.
00:57:10 Je vous posais la question concernant la pointe, le bec du poussin, ici au Salon de l'Agriculture.
00:57:15 On peut le découvrir.
00:57:16 Ça permet de casser la coquille.
00:57:18 Comment s'appelle ce petit élément qui permet de casser la coquille ?
00:57:21 C'est le diamant.
00:57:23 Le diamant, bravo, bonne réponse.
00:57:25 Vous m'avez l'air d'être calé sur l'agriculture.
00:57:27 Vous êtes dans le secteur, Philippe ?
00:57:29 Ma femme élève des poussins.
00:57:32 C'est une passion.
00:57:33 Vous lui avez offert des diamants au doigt ?
00:57:36 Pas encore.
00:57:37 Il va falloir y songer.
00:57:38 Elle m'en a parlé.
00:57:39 Elle aime bien les diamants du bec, mais elle aimerait en avoir un aussi.
00:57:42 Et pourquoi pas sur la main droite ?
00:57:44 Peut-être que le séjour aidera.
00:57:46 Première fois que vous jouez avec nous, Philippe ?
00:57:48 Oui, tout à fait.
00:57:49 La première fois, mais je vous écoute souvent.
00:57:50 Vous avez bien fait de jouer avec nous.
00:57:52 On garde votre numéro et peut-être serez-vous sélectionné pour remporter ce magnifique séjour à Paris.
00:57:57 Je vous souhaite une bonne journée, Philippe.
00:57:59 Merci beaucoup et continuez comme vous êtes.
00:58:02 Merci à vous, c'est adorable.
00:58:03 Bonne journée, à bientôt.
00:58:04 C'est un 57, justement, en parlant de diamants et de poussins.
00:58:08 Romain Bruno, il paraît qu'ici, on peut découvrir la naissance des poussins dans le hall 1 du Salon de l'Agriculture.
00:58:13 Oui, on va découvrir ça ensemble.
00:58:15 Je suis avec Yves.
00:58:17 Yves, c'est un peu le papa-poule.
00:58:19 Yves, c'est le directeur des fermes de Loué.
00:58:24 Bonjour, Yves.
00:58:25 Bonjour.
00:58:26 Yves, vous avez d'ailleurs un petit poussin dans la main.
00:58:28 Il est mignon comme tout.
00:58:29 Il a quel âge, ce poussin ?
00:58:31 Il a juste une journée.
00:58:32 C'est un poussin très spécial pour nous.
00:58:34 Pourquoi ?
00:58:35 Parce qu'il est né dans le TGV, hier.
00:58:37 Parce que, oui, c'est la question qu'on pose.
00:58:39 Comment arrivent les poussins ici, à Paris ?
00:58:42 On va dans le village de Loué chercher des œufs qui sont sur le point de couver.
00:58:45 C'est dans la Sarthe Loué.
00:58:46 On prend le TGV, on prend le métro et on les apporte ici.
00:58:49 C'est le 20e jour de couvaison.
00:58:50 Et au 21e jour, tout le monde va sortir.
00:58:53 C'est exceptionnel.
00:58:54 Combien de poussins naissent pendant la durée du Salon ?
00:58:57 À peu près 400 poussins.
00:58:59 Parce qu'on en apporte tous les jours, à peu près 400 poussins.
00:59:01 Mais plutôt un peu plus de 400 poussins cette année, parce que ça éclate vraiment très bien.
00:59:05 Et alors, ces petits poussins, on les a là.
00:59:07 Là, ceux qui sont juste derrière vous, ce sont les poussins qui sont nés hier, avant-hier ?
00:59:11 Hier, ceux-là sont entre 16h et 19h.
00:59:14 Parce que ceux d'avant sont déjà partis en élevage, du nouveau, parce qu'ils ne restent pas à Paris.
00:59:17 À Paris, on enlève des enfants, mais pas des poussins.
00:59:19 On va parler dans quelques instants de la naissance.
00:59:23 Mais juste avant, on peut aborder aussi le sujet.
00:59:25 J'ai vu qu'il y avait une pétition qui traînait un petit peu sur les sites de Loué.
00:59:28 C'est quoi ? C'est à quand les géris du Salon, un poussin ?
00:59:32 Oui, en fait, on n'est pas vraiment vaches, mais on voit que des vaches en légérie.
00:59:35 Donc, on pense qu'un jour ou l'autre, il faudrait peut-être même...
00:59:38 Non, on ne demande pas, théoriquement, un poussin ou un poulet, bien qu'ils soient mignons.
00:59:41 On demande un cochon, un bouton, une chèvre, un âne, un chien, qu'est-ce qu'on veut ?
00:59:45 Pas que des vaches, quoi !
00:59:47 Peut-être, Romain, qui sait, l'année prochaine ou l'année à venir, un poussin en légérie.
00:59:52 Et dans quelques instants, on va filer direction la Couveuse.
00:59:55 Restez bien avec nous, avec Yves, pour voir des naissances en direct.
00:59:57 C'est noté, à tout de suite, mon poussin.
00:59:59 Romain Bruneau, on va vous retrouver dans une dizaine de minutes,
01:00:02 avec ces poussins qui prennent le TGV et le métro pour venir ici au Salon de l'Agriculture.
01:00:07 Tiens, en parlant du métro, il y a une petite nouveauté concernant les malaises voyageurs.
01:00:11 Ça vous concerne peut-être, on en parle dans 30 secondes, sur France Bleu Paris.
01:00:14 Je vous connais, je sais que vous reluquez les combles situées juste au-dessus de votre appartement.
01:00:25 Et c'est vrai que ça ferait une belle mezzanine.
01:00:27 Eh bien, saviez-vous que vous pouvez racheter des parties communes aux autres copropriétaires de votre immeuble ?
01:00:32 Alors lesquelles, combien, comment ? On vous répond.
01:00:35 Imo Express, présentée par Charlotte Meunier, c'est ce samedi à 19h sur France 3 Paris Île-de-France et sur la plateforme France.tv
01:00:45 France Bleu, connecté à notre région.
01:00:51 Ici, c'est France Bleu Paris.
01:00:55 Vous écoutez France Bleu Paris, 28 février, mercredi, aujourd'hui, il est 8h.
01:00:59 Attention sur la route dans le secteur de Tril-Bardou, on est là en Seine-et-Marne,
01:01:07 avec cet accident grave sur la National 3 en direction de Paris.
01:01:11 Deux voitures se sont percutées entre Maud et Ville-Parisie.
01:01:14 Vous mettez 50 minutes ce matin, 50 minutes de perdus.
01:01:18 Prudence à Pont-au-Combeau, cet accident sur la Francine à l'extérieur, ça vient d'arriver avec une voiture impliquée.
01:01:24 Et là, il y a un bouchon qui remonte jusqu'à Lognes.
01:01:26 Et puis à Chevilly, toujours cette voiture en panne sur l'A6A.
01:01:29 Ne vous laissez pas surprendre.
01:01:31 La météo, Mélodie, pour aujourd'hui, on s'est fait surprendre par le froid, mais il y aura du soleil aujourd'hui.
01:01:35 Oui, du soleil pour tout le monde, mais pas au même moment.
01:01:38 Côté ouest, ce sera ce matin. Côté est, plutôt cet après-midi.
01:01:42 Toujours des nuages gris, a priori pas de pluie.
01:01:44 Et des températures, oui, assez fraîches, voire glaciales ce matin.
01:01:48 Puisqu'on a eu -2° à Fontainebleau, -1° à Melun, 2° à Paris.
01:01:52 Et entre 10 et 12, cet après-midi.
01:01:55 Et une nouvelle fois, le 6-9 France-Bleu-Paris se réveille ici, pavillon 1, au Salon de l'Agriculture, 60ème édition.
01:02:01 Et la relève est là.
01:02:02 Oui, on vous a parlé des nouvelles têtes du jour.
01:02:04 Les vaches, les veaux, les moutons, nouvelle génération dans les allées de ce pavillon 1.
01:02:09 Assez bruyant, ce pavillon, ce matin.
01:02:12 Les autres animaux sont allés se reposer.
01:02:15 Et puis Marion Ferrer, elle est allée voir la nouvelle génération d'agriculteurs.
01:02:20 Ceux qui vont nous nourrir demain.
01:02:22 12 millions de franciliens à nourrir. 12 millions de ventres.
01:02:26 Alors, ont-ils hésité à se lancer, ces jeunes agriculteurs, dans ce métier difficile ?
01:02:31 Beaucoup d'obstacles, beaucoup de contraintes.
01:02:33 Pourtant, tous ces jeunes agriculteurs nous disent la même chose.
01:02:36 Je n'ai pas hésité. Je veux faire ça depuis tout petit.
01:02:39 Je savais qu'un jour, je voulais devenir agriculteur.
01:02:41 J'ai vraiment, vers l'âge de 9-10 ans, voulu faire ce métier.
01:02:44 Je n'ai jamais changé d'avis.
01:02:46 Mais pour s'installer, il faut s'accrocher, reconnaît Maxime, 31 ans.
01:02:49 Ce jeune agriculteur de Seine-et-Marne s'est associé avec son père il y a 2 mois.
01:02:53 Un investissement de 470 000 euros et une montagne de formulaires administratifs à remplir.
01:02:59 J'ai 8 organismes, depuis le mois de juillet, à gérer au quotidien.
01:03:01 A qui j'envoie à peu près les mêmes documents.
01:03:03 J'ai demandé une autorisation d'exploiter.
01:03:06 C'est la direction départementale des territoires.
01:03:08 Il y en a pour 74 pages, à peu près.
01:03:10 C'est vraiment cette gymnastique quotidienne pour gérer tout ça et essayer de ne pas louper les dates.
01:03:15 Même problématique pour Elodie, qui a repris les terres de ses parents il y a 4 ans, près de Meaux.
01:03:20 Il y a un an de préparation pour s'installer.
01:03:22 Derrière, on arrive à s'installer, mais il y a beaucoup de contrôles
01:03:25 où on doit renvoyer à chaque fois les mêmes documents et compagnie.
01:03:28 Installé depuis 2 ans, Anthony, lui, jongle avec un autre emploi.
01:03:31 Je travaille 2 jours par semaine sur une autre exploitation agricole pour avoir un revenu fixe.
01:03:35 Ce salaire va m'aider à pouvoir aller voir mon banquier,
01:03:38 obtenir les prix plus facilement, surtout dans le contexte actuel.
01:03:42 L'enjeu est pourtant primordial.
01:03:44 D'ici 10 ans, la moitié des agriculteurs doivent partir à la retraite.
01:03:48 Alors, la relève est-elle assurée dans la région ?
01:03:50 Comment les aider, ces jeunes agriculteurs à se lancer ?
01:03:53 Mais oui, faut-il les encourager, les aider ?
01:03:56 Et en 2024, est-ce encore un métier d'avenir ?
01:03:59 Les agriculteurs, on en parle tous ensemble ce matin.
01:04:01 0142 30 10 10, appelez-nous.
01:04:03 On ira notamment en Seine-et-Marne et en Essonne, grandes terres agricoles,
01:04:07 avec nos invités à 8h15 pour en débattre.
01:04:10 Un jeune agriculteur est le président de l'Essonne.
01:04:12 Comment relancer notamment la politique agricole dans nos territoires ?
01:04:16 Faut-il plus d'aide ? Justement, 2 mesures pour les aider.
01:04:19 Les agriculteurs vont pouvoir rééchelonner leurs prêts sur 3 ans à des taux plus bas.
01:04:25 C'est trop compliqué, possibilité de retarder d'un an le paiement de leurs dettes bancaires.
01:04:30 C'est le coup de pouce des banques, mis sous pression hier,
01:04:33 après une réunion avec le ministre de l'Economie.
01:04:35 8h04, France Bleu Paris. On quitte momentanément le salon de l'agriculture
01:04:38 pour vous emmener dans les transports avec une autre question qui fait beaucoup réagir ce matin.
01:04:42 Faut-il sortir les voyageurs qui font des malaises dans le métro sans attendre les secours ?
01:04:47 Oui, les sortir de la rame pour que le métro puisse repartir vite
01:04:51 et éviter des heures et des heures de retard pour les voyageurs.
01:04:54 Ça vous est forcément arrivé ? En 2023, on compte 217 heures de retard
01:04:58 à cause des malaises voyageurs dans le métro.
01:05:01 C'est plus possible pour Valérie Pécresse, la présidente de la région,
01:05:04 qui dit stop à cette exception française.
01:05:07 Surtout que les JO approchent. Valérie Pécresse, assez agacée.
01:05:10 Écoutez chez nos confrères de BFM Business.
01:05:12 Nous avons une doctrine absurde sur les malaises voyageurs.
01:05:15 Quand quelqu'un s'évanouit dans le métro, au lieu de le sortir de la rame pour le faire respirer,
01:05:19 on le traite comme s'il avait eu un choc d'accident de la route
01:05:22 et on le met en PLS dans la rame et on arrête la rame.
01:05:25 Et en attendant que les secours arrivent.
01:05:27 C'est le contraire de ce qui se fait à Londres, c'est le contraire de ce qui se fait ailleurs.
01:05:30 Nous, ce qu'il faut, c'est sortir la personne de la rame.
01:05:32 On vient enfin d'avoir la validation d'un protocole SAMU.
01:05:35 Donc pour les malaises voyageurs, nous n'arrêterons plus, enfin, les rames de métro.
01:05:40 Valérie Pécresse qui agace aussi fortement les syndicats avec cette mesure.
01:05:44 Jean-Christophe Delpra, délégué FORATP, refuse de l'appliquer.
01:05:48 Nous, en tout état de cause, quels que soient les accords qu'elle peut avoir avec le SAMU ou autre,
01:05:53 les salariés de la RATP, les agents de la RATP,
01:05:55 on ne peut pas les forcer à déplacer une personne qui fait un malaise,
01:05:58 à mettre la vie d'une personne qui fait un malaise en danger.
01:06:01 Parce que derrière, il peut y avoir des suites judiciaires
01:06:03 avec une famille qui peut porter plainte s'il y a un décès ou autre.
01:06:06 Voilà. Et ça ne sera pas Mme Pécresse, ça ne sera pas le SAMU,
01:06:09 et ça ne sera pas la direction de la RATP qui viendra assumer ça devant les tribunaux.
01:06:12 Ça sera le salarié de la RATP, comme à chaque fois.
01:06:14 Pour la vie humaine, elle compte plus que quelques retards, quelques minutes de retard.
01:06:18 Île-de-France-Mobilité assure qu'un dialogue social est en cours.
01:06:22 Objectif, une mise en place en juin avant les Jeux Olympiques de Paris.
01:06:27 En Seine-et-Marne, c'est la crue et les inondations qui perturbent le trafic des bus,
01:06:31 et le trafic tout court. Attention, secteur Laferte-Gaucher, Crécy-la-Chapelle,
01:06:35 Pomeray, tout autour de la rivière, le Grand-Morin qui est sorti de son lit,
01:06:39 le Pic est passé, mais toujours vigilance orange aux crues dans le secteur,
01:06:44 et des habitants qui épongent dans les maisons et des voitures à moitié sous l'eau dans les rues.
01:06:49 Dans l'actualité aussi, on va suivre de près ce vote des sénateurs aujourd'hui,
01:06:53 qui doivent dire si oui ou non on inscrit l'accès à l'IVG dans la Constitution.
01:06:58 Pour l'instant, rien n'est gagné. La droite veut encore changer les termes,
01:07:02 exite le mot « droit » à l'avortement.
01:07:05 C'est « liberté garantie d'accès à l'avortement », mais c'est le mot « garantie » qui pose problème.
01:07:10 Un amendement est déposé.
01:07:12 8h06, France Bleu Paris, sa meugle, sa belle, sa grogne, sa queen,
01:07:16 vous l'entendez peut-être ce matin derrière nous dans les allées de ce pavillon,
01:07:19 ici Paris-Parte de Versailles au Salon de l'agriculture. On va chanter aussi ?
01:07:23 Oui, avec les oiseaux, ou plutôt on va laisser les oiseaux chanter.
01:07:26 Ça gazouille.
01:07:27 Qui sont dehors, ça gazouille. On les entend déjà en plein hiver,
01:07:30 alors ça nous égaye, ça fait du bien, mais quand même, il faut le dire,
01:07:33 ce n'est pas bon signe, on est en plein hiver, c'est encore un signal du dérèglement climatique.
01:07:37 On est allé voir du côté des buttes Chaumont, on les entend bien, Thomas Vichard.
01:07:42 Pauline Lavoux, entendre autant d'oiseaux en plein mois de février, ça la préoccupe.
01:07:46 Le matin surtout, je me suis dit, c'est bizarre, ça fait un peu comme si on était déjà au printemps.
01:07:49 C'est un peu stressant, c'est sûr que j'en ai parlé autour de moi aussi,
01:07:52 on s'est tous fait la même réflexion, même au niveau des températures, c'est hyper inquiétant.
01:07:57 Parmi les oiseaux en question, il y a la grève musicienne.
01:08:00 Elle aurait dû se remettre à chanter maintenant et pas il y a trois semaines.
01:08:03 Tout ça, c'est effectivement à cause du temps très doux de ce début d'année,
01:08:07 confirme Frédéric Maler, délégué scientifique à la LPO,
01:08:11 la Ligue de Protection des Oiseaux en Ile-de-France.
01:08:13 Le redout qui a suivi cette période froide a un petit peu donné un signal de printemps aux oiseaux et à la végétation.
01:08:19 C'est sans doute ça qui a contribué à donner le signal du départ d'un certain nombre de champs.
01:08:24 Et c'est surtout problématique pour les oiseaux migrateurs qui reviennent en France à leur période habituelle,
01:08:29 alors qu'il ne reste plus grand chose à manger.
01:08:31 Pour certaines espèces, elles arrivent effectivement après le pic d'abondance de leur nourriture.
01:08:35 Elles se reproduisent moins, elles donnent moins de petits et assez rapidement, les populations déclinent.
01:08:39 Le risque, c'est aussi un nouveau coup de froid dans les prochaines semaines.
01:08:42 Plus de végétation et d'insectes pour nourrir les oisillons est donc un vrai danger pour les nouvelles portées.
01:08:48 Et vu les températures du jour, il vaut moins gazouiller les oiseaux aujourd'hui ?
01:08:53 Effectivement, -2 à 2 degrés.
01:08:56 C'est pour ça que je chasse d'éternuer.
01:08:59 Je ne sais pas si c'est les courants d'air, je me suis laissé surprendre.
01:09:01 A Fontainebleau -2 degrés, à Rambouillet-Milly-la-Forêt -1, à Versailles 0 degrés,
01:09:06 à Aubertvilliers-Royal-Malmaison 1 degré, à Vitry et Paris 2 degrés pour les valeurs cet après-midi entre 10 et 12 degrés.
01:09:14 Vous savez, j'ai la petite plume qui me frotte le nez.
01:09:18 C'est toute la difficulté. J'éternue, j'éternue pas, je ne sais pas.
01:09:21 C'était une plume de poussin, je ne sais pas.
01:09:23 On va retrouver Romain Bruneau qui est aux côtés des petits poussins qui naissent ici au Salon de l'agriculture.
01:09:28 MESAB, à 8h09, on fait la route ensemble sur France Bleu Paris avec vos appels à Tril-Bardou en Seine-et-Marne.
01:09:35 Attention, il y a un accident très grave qui est arrivé sur la National 3 avec deux voitures qui se sont impliquées.
01:09:41 Le temps de parcours devient de plus en plus long pour laisser les opérations de secours intervenir.
01:09:46 Entre Moëville-Parisie, il faut compter une heure.
01:09:48 Ce matin, on a une pensée pour vous, vraiment qui est au volant. Bon courage.
01:09:52 À Pont-au-Combeau, cet accident sur la Francilienne intérieure avec une voiture impliquée et un bouchon qui remonte jusqu'à Lognes.
01:09:59 Et puis au nord-ouest de la capitale, l'autoroute A15 en direction de Paris au niveau de Sanois.
01:10:03 Attention à cet accident entre une voiture et une moto dans les transports.
01:10:08 Le RER B, les travaux ne sont pas terminés depuis ce matin à Danfer-Rochereau,
01:10:12 ce qui perturbe le trafic du RER B sur toute la ligne.
01:10:15 Et le tramway, le T12 express, le trafic est interrompu entre Épinay-sur-Orge et Petivaux dans les deux sens jusqu'à 10h.
01:10:21 À cause d'une panne de réseau.
01:10:24 Belle journée à vous, bon mercredi.
01:10:26 Vous écoutez France Bleu Paris.
01:10:28 28 février, bonne fête aux Romains.
01:10:30 Dans la prochaine demi-heure, David Kolsky nous rejoint, paraît-il, avec un champion du monde.
01:10:40 Oui, il nous rejoint dans une demi-heure, champion du monde de quoi ?
01:10:43 Je pense qu'on va partir en fourrir ce matin sur France Bleu Paris.
01:10:46 Restez avec nous, on va s'intéresser à nos champions du PSG, également avec Romain Bruneau.
01:10:51 Et un oeil tout particulier sur la Coupe de France et ce calendrier.
01:10:54 Pourquoi le PSG ne joue pas en ce moment alors que toutes les équipes, oui, on vous explique tout dans une vingtaine de minutes.
01:11:00 Mais avant, à 8h10, vous n'êtes peut-être pas très doués dans le monde de l'agriculture.
01:11:05 Nous, les franciliens, c'est vrai qu'ici c'est la plus grande ferme de France.
01:11:08 Un visiteur sur deux vient de la région pour découvrir les vaches, les veaux, les cochons, les chevaux, les ânes, les chiens, les chats, les chameaux, les ébus.
01:11:18 Il y a tout ça ici dans les sept pavillons aux portes de Versailles, au Parc Expo.
01:11:23 Mais Romain Bruneau, il y a aussi des petits poussins et c'est peut-être d'ailleurs l'endroit le plus merveilleux ici au salon.
01:11:29 L'endroit le plus mignon, ça c'est sûr.
01:11:31 Je suis avec Yves de La Fouchardière, directeur des fermiers de Loué.
01:11:34 On a tous les deux la casquette avec la crête au-dessus.
01:11:38 Qui sait peut-être qu'en cassant la coquille, un des poussins me prendra pour son père, je ne sais pas.
01:11:43 Yves, ici c'est la naissance, il y a la couveuse juste en dessous de nous avec ces ampoules qui fournissent de la chaleur pour les petits.
01:11:50 Absolument, on a mis 6 ampoules pour remplacer la poule.
01:11:53 Vous voyez, il y a une sacrée couvée quand même et tous ces poussins ont éclos cette nuit.
01:11:57 Il y en a un qui est quasiment sorti de son oeuf.
01:12:00 Comment d'ailleurs il sort en direct, là tout de suite ?
01:12:02 Tout de suite, vous l'avez sorti en direct si vous le voyez.
01:12:04 Vous avez de la chance, c'est quand même assez exceptionnel.
01:12:06 Ça fait un moment qu'on n'a pas vu sortir un poussin.
01:12:08 Il vient de casser sa coquille. Comment il fait d'ailleurs pour casser sa coquille ?
01:12:11 Alors en fait c'est ça le petit mystère qu'on va expliquer à tout le monde ici.
01:12:15 Le poussin ne peut pas casser sa coquille avec son bec comme nous en pensent les parents.
01:12:18 Il a un outil qui sert qu'à ça qui s'appelle le diamant.
01:12:20 Et le diamant c'est quoi ? C'est une toute petite aiguille qui est sur le dessus du bec.
01:12:23 Qui lui permet de casser sa coquille puisque sa tête est tournée sous l'aile.
01:12:26 Non pas en tapant comme ça mais en tapant comme ça.
01:12:29 Là ils sont face à nous.
01:12:31 D'ailleurs comment on reconnaît le mâle de la femelle quand une fois sorti ?
01:12:35 C'est assez simple sur la race des poulets loués.
01:12:37 C'est pas vrai pour toutes les races de poulets.
01:12:39 Sur le bout des ailes vous avez deux rangées de plumes.
01:12:41 Si celle du dessous est plus longue que celle du dessus, c'est une femelle.
01:12:45 Comme si les filles avaient des cheveux longs.
01:12:47 Et si elle est plus courte, c'est un mâle.
01:12:49 Je vais avoir vu une femelle par là, il y a un mâle.
01:12:51 C'est très très spectaculaire, très facile à voir.
01:12:53 Et là ils sortent en direct, on vit ça ici sur le stand des fermiers.
01:12:58 On s'est rapproché du micro pour qu'on entende piailler un petit peu.
01:13:01 C'est très mignon.
01:13:04 Et quelle est la première chose qu'ils font une fois sorti de l'oeuf ?
01:13:07 Ils apprennent à marcher.
01:13:08 En moins d'une heure ils savent marcher.
01:13:09 En moins de deux heures ils savent courir.
01:13:11 D'ailleurs dès le départ ils voient très bien.
01:13:12 Dès le départ ils entendent très bien.
01:13:14 Au bout de deux heures ou trois heures ils savent faire leur toilette.
01:13:17 Il y a un truc qu'ils ne savent pas faire, c'est ne pas se laver les dents.
01:13:19 Mais bon, on a une petite idée pourquoi.
01:13:21 Mais tout le reste ils savent le faire.
01:13:23 Écoutez-les un petit peu.
01:13:25 Ils tiennent dans une main, on en a trois, ça pèse combien de grammes ?
01:13:32 Un poussin pèse à peu près 37 grammes.
01:13:34 On avait un oeuf de 62 grammes, il y a 7 grammes de coquilles, 37 grammes de poussins.
01:13:38 Le reste il l'a consommé pour grandir.
01:13:40 21 jours de couvaison.
01:13:42 C'est juste magique.
01:13:43 C'est ça le mot magique que je vois.
01:13:45 Les visiteurs peuvent venir directement voir ces naissances ici sur le stand.
01:13:51 Les fermiers de louer.
01:13:52 On voit les yeux des enfants à chaque fois.
01:13:54 Merci Yves de ce petit moment de bonheur et de légèreté comme une plume.
01:13:57 Merci beaucoup de venir.
01:13:59 Venez nombreux parce qu'il y a encore beaucoup d'éclosions d'ici la fin du salon.
01:14:02 On est là que pour partager avec vous ce moment heureux.
01:14:05 Et montrer que la nature est bien faite et qu'il faut la respecter.
01:14:07 Merci Yves.
01:14:08 Voilà ce petit moment de bonheur ici avec France Bleu Paris qui vous offre ces quelques instants de bonheur.
01:14:14 Avec ces petits poussins qui prennent le TGV.
01:14:16 C'est ce qu'on entendait ce matin à 8h moins 10.
01:14:18 Ils prennent le TGV puis le métro.
01:14:20 Ils sont récupérés directement à Loué et viennent éclore ici après 21 jours.
01:14:26 C'est magnifique.
01:14:27 Merci Romain Bruneau.
01:14:28 Et vous continuez à nous faire découvrir tous ces professionnels passionnés.
01:14:32 On l'entend avec ce monsieur ici.
01:14:33 Il n'y a que des passionnés de toute façon dans cette 60e édition du Salon de l'agriculture 2024.
01:14:42 Ce petit matin revient dans un instant.
01:14:44 Inédit ce soir sur France 3.
01:14:49 On y va.
01:14:50 Année 70, une traque sans relâche commence.
01:14:53 Celle des nazis qui ont échappé à la justice internationale.
01:14:56 Désormais, on s'en était fini de l'impunité de tous ces criminels nazis.
01:15:01 Nous ne céderons pas, nous ne renoncerons pas avant que l'ensemble des criminels soient jugés.
01:15:06 Les époux Clasfeld ou encore Simon Wiesenthal, des justiciers de la mémoire, au péril de leur vie.
01:15:11 J'ai retrouvé la trace d'Eichmann.
01:15:13 Archives et reconstitution retrace une épopée haletante portée par la voix d'Emmanuel Béard.
01:15:18 Pour qu'enfin les responsables de la Shoah soient traduits en justice.
01:15:23 La traque des nazis, le dernier combat, ce soir à 21h10 sur France 3 et déjà sur la plateforme France.tv.
01:15:31 [Musique]
01:15:42 9 France Bleu Paris.
01:15:44 Ici, on parle d'ici.
01:15:46 Plus que jamais ici, on parle de ce qui se passe au Salon de l'agriculture 60e édition.
01:15:51 Avec Oreillette, la vache star qui trône, vous la voyez partout, sur les devants de bus, dans les transports également, on se projette également.
01:15:57 Qui va nous nourrir demain ? C'est la question ce matin. La relève est-elle assurée ?
01:16:01 Est-ce qu'on a des aides suffisantes pour les jeunes pour se lancer dans l'agriculture, pour reprendre ou lancer peut-être leur exploitation ?
01:16:09 01 40 2 30 10 10, vous réagissez ce matin.
01:16:11 Un chiffre d'abord pour planter le décor. Il faut savoir que la moitié de nos agriculteurs partira à la retraite d'ici 10 ans.
01:16:19 Et pour assurer la relève ce matin avec nous, Clément Torpillet, bonjour.
01:16:23 Bonjour.
01:16:24 Vous êtes trentenaire, on peut dire un jeune agriculteur, quand on sait que l'âge moyen c'est 50 ans à peu près,
01:16:29 et président justement des jeunes agriculteurs d'Île-de-France, le syndicat.
01:16:33 A vos côtés, le président de l'Essone, François Durovray, bonjour.
01:16:37 Bonjour.
01:16:38 Parce que les collectivités aussi ont un rôle à jouer.
01:16:41 Merci à tous les deux d'être avec nous ce matin en direct du Salon de l'agriculture ici, Pavillon 1.
01:16:45 Je me tourne vers vous Clément Torpillet.
01:16:47 Vous avez repris l'exploitation de vos parents en 2019, une exploitation céréalière à Sourdun, en Seine-et-Marne, sans aucune hésitation.
01:16:56 Vous avez dit "je fonce".
01:16:57 Bien évidemment, sans aucune hésitation.
01:17:00 C'est un métier que j'ai voulu par passion, par conviction et par envie.
01:17:05 Donc bien évidemment, c'est un métier formidable, avec des contraintes et des difficultés.
01:17:11 J'en étais conscient au départ et j'ai bien évidemment aussi voulu m'engager syndicalement et professionnellement
01:17:19 pour pouvoir défendre ce très beau métier qui a un avenir.
01:17:23 J'en suis persuadé.
01:17:25 Message très optimiste.
01:17:26 Mais quand vous avez dit à vos parents "je vais reprendre l'exploitation", ils vous ont dit "tu as raison, vas-y, fonce" ou "non, fais autre chose".
01:17:34 C'est vrai que depuis quelques années, pour moi, ça n'a pas été le cas, si je puis dire.
01:17:40 Mes parents m'ont encouragé sans aucune hésitation et ça s'est fait très naturellement.
01:17:45 Mais pour certains, aujourd'hui, les parents sont quand même très réticents ou mettent en garde leurs enfants avant de s'installer,
01:17:53 en disant "est-ce que tu es bien sûr de vouloir t'installer ?"
01:17:57 Aujourd'hui, certains hésitent, certains vont embrasser une carrière dans un autre secteur d'activité,
01:18:04 ne reprennent pas tout de suite l'exploitation et au bout d'une dizaine d'années vont revenir sur cette exploitation familiale.
01:18:11 On a entendu ce matin les réticences des familles qui disaient "tu vas crever la bouche ouverte" par exemple.
01:18:17 Les freins, il y en a, c'est quoi ?
01:18:19 Pour vous, ça a été quoi le principal problème quand vous avez repris l'exploitation ?
01:18:23 Le principal obstacle ?
01:18:25 Les freins, bien évidemment, c'est le coût financier que représente la reprise d'une exploitation agricole.
01:18:32 Et il y a bien évidemment aussi toutes les contraintes, on en parle beaucoup aujourd'hui lors de ce salon d'agriculture,
01:18:38 notamment lors de l'ouverture.
01:18:40 Aujourd'hui, sur mon exploitation, je ne suis plus maître de mes décisions stratégiques,
01:18:46 de mes décisions agro-environnementales.
01:18:50 Aujourd'hui, c'est l'État, à travers la politique agricole commune, qui dicte toutes mes décisions.
01:18:56 Et ce n'est même plus la météo, aujourd'hui on travaille avec un calendrier,
01:19:01 avec des dates précises que l'on doit respecter.
01:19:04 Et aujourd'hui, ça freine, si je puis dire, le développement de mon activité agricole.
01:19:09 Donc manque de marge de manœuvre, la politique agricole, justement.
01:19:13 Parlons-en avec vous, François Durouvray, dans votre département en Essonne.
01:19:18 Est-ce que vous rencontrez vous aussi un problème de renouvellement des générations ?
01:19:22 Évidemment, comme partout en France.
01:19:25 Alors peut-être davantage en Ile-de-France, parce qu'évidemment,
01:19:28 les agriculteurs sont déjà moins nombreux qu'ils le sont dans d'autres régions.
01:19:32 Dans mon département, c'est aujourd'hui moins de 700 agriculteurs,
01:19:36 1200 agriculteurs et salariés au total.
01:19:40 Donc par rapport au reste de la population active, c'est évidemment un faible nombre de personnes.
01:19:47 Mais pour autant, c'est une identité extrêmement forte.
01:19:50 En Essonne, on l'oublie souvent, c'est encore 45% de terres agricoles.
01:19:55 Et donc nous avons deux défis.
01:19:57 Le premier, c'est de protéger ces terres agricoles, de limiter l'urbanisation.
01:20:02 Et ça, c'est essentiel, parce que sans terres, il ne peut pas y avoir d'agriculteurs.
01:20:06 Et c'est ensuite d'aider les agriculteurs dans leur installation,
01:20:11 et ensuite par rapport aux différents défis.
01:20:13 Alors on les aide, ce n'est pas le département à proprement parler qui peut aider,
01:20:17 parce que ce n'est pas notre métier.
01:20:19 Mais nous confions, et je crois qu'il y a un partenariat exemplaire en Ile-de-France,
01:20:22 et avec chacun des départements, nous aidons la Chambre d'agriculture,
01:20:26 nous aidons les syndicats financièrement, pour ouvrir des guichets,
01:20:30 et permettre à ceux qui se destinent à cette belle profession,
01:20:34 de lever tous les obstacles qu'il peut y avoir.
01:20:37 Vous aussi, vous déplorez un manque de marge de manœuvre en tant que collectivité,
01:20:41 pour aider les agriculteurs, ou finalement, non, c'est le rôle de l'État ?
01:20:45 Non, c'est vrai qu'on a de moins en moins de marge de manœuvre, d'abord parce que nos finances sont compliquées,
01:20:51 vous connaissez la complexité des situations, et la baisse des dotations de l'État,
01:20:55 mais au-delà de ça, c'est vrai que juridiquement, nous avons moins la capacité aujourd'hui d'accompagner les agriculteurs,
01:21:00 alors que nous aurions, je pense, à l'échelle locale,
01:21:03 et c'est l'enjeu des politiques agricoles que nous fondons,
01:21:06 dans mon département, nous allons voter une nouvelle politique agricole,
01:21:09 qui fera l'objet de discussions avec le monde agricole,
01:21:12 et les outils qu'on peut mettre en place en l'innocent,
01:21:15 ont vocation à être différents à ceux d'un territoire d'élevage, par exemple.
01:21:19 Et justement, cette nouvelle politique agricole départementale, que vous allez voter en juin,
01:21:23 elle va changer quoi ? C'est quoi l'enjeu ?
01:21:26 Alors, les enjeux, on les définit avec les agriculteurs,
01:21:29 mais il y a à l'évidence la question de la maîtrise foncière,
01:21:33 il y a la question de la transmission des exploitations agricoles,
01:21:37 et donc l'accès des jeunes à ce métier,
01:21:40 il y a la question de la transition écologique, évidemment,
01:21:43 et puis il y a un enjeu fabuleux en Ile-de-France,
01:21:46 qui est celui de permettre, on a principalement des grandes cultures, des terres céréalières,
01:21:50 mais de permettre à une partie des agriculteurs de nourrir les franciliens.
01:21:54 On a un bassin de 12 millions d'habitants, et ça c'est un très beau projet,
01:21:58 pour réconcilier l'agriculture avec les territoires,
01:22:01 et surtout les habitants avec leur agriculture. C'est dans ce sens-là que ça se joue.
01:22:04 Je vois Clément Torpillet qui approuve tout ce que vous dites,
01:22:08 qu'est-ce qui vous fait réagir dans ce que vient de dire François Dureauvray ?
01:22:12 Le manque de terres, l'urbanisation, ça c'est un problème majeur ?
01:22:15 Déjà, ce qui me fait réagir, c'est qu'il y a un chiffre qui est très important,
01:22:19 c'est que l'Ile-de-France, ce n'est pas que Paris, la Tour Eiffel et le Château de Versailles,
01:22:24 c'est aussi 50% du territoire qui est consacré à son agriculture,
01:22:28 avec un savoir-faire des exploitations céréalières, mais également très diversifiées,
01:22:34 et avec la région Ile-de-France et l'ensemble des départements,
01:22:38 on a travaillé main dans la main sur plusieurs dispositifs d'accompagnement
01:22:43 sur l'installation des jeunes agriculteurs, avec le point accueil installation,
01:22:47 où on a un soutien de l'ensemble des départements et de la région.
01:22:51 C'est une antenne qui permet d'accueillir tous les porteurs de projets
01:22:55 qui souhaitent devenir agriculteurs en Ile-de-France,
01:22:59 et une aide, la nouvelle dotation jeunes agriculteurs qui a été mise en place en Ile-de-France,
01:23:05 où nous avons la plus importante dotation financière pour les jeunes agriculteurs,
01:23:10 la plus haute dotation de France, et c'est un signal extrêmement fort
01:23:14 qui est envoyé pour ces jeunes qui souhaitent devenir agriculteurs en Ile-de-France.
01:23:19 La question du foncier, de la transmission, elle est évidemment extrêmement importante,
01:23:24 et en Ile-de-France, nous nous sommes employés à travailler sur ce sujet-là
01:23:28 avec l'ensemble de nos partenaires des départements et de la région.
01:23:31 Finalement, vous êtes en train de nous dire qu'on est très bien lotis en Ile-de-France,
01:23:35 pour aider les jeunes agriculteurs.
01:23:37 Je vous dis qu'aujourd'hui, il y a une loi d'orientation agricole
01:23:41 que nous attendons, des mesures sur la transmission,
01:23:44 et nous en Ile-de-France, nous n'avons pas attendu cette loi,
01:23:47 nous avons été moteurs collectivement.
01:23:50 Il reste bien évidemment des choses à faire, à continuer à construire,
01:23:54 mais les idées franciliennes et ce que nous portons pour l'agriculture francilienne,
01:23:59 avec cette chance d'un bassin de consommation extrêmement important
01:24:03 pour l'ensemble de nos producteurs, c'est une chance.
01:24:05 – Ce que vous constatez autour de vous, c'est quoi le climat, le discours qui revient ?
01:24:11 Est-ce qu'il y a un regain d'envie chez les jeunes agriculteurs
01:24:15 ou on est quand même sur un ras-le-bol ?
01:24:17 – Non, il n'y a pas un regain, il y a un ras-le-bol.
01:24:20 On a commencé ce salon par une mobilisation syndicale,
01:24:24 GAFNSEA, pour marquer le mécontentement,
01:24:28 le coup, nous faire entendre de la part du gouvernement.
01:24:32 On attend des annonces, et plus que des annonces, nous attendons des actes.
01:24:37 Les agriculteurs ont besoin de mesures concrètes,
01:24:41 des points précis, quand ils vont retourner après ce salon.
01:24:45 Donc la colère, elle est toujours mesurée, elle est extrêmement importante,
01:24:49 mais cette colère, elle est intelligente.
01:24:53 On a un salon, et ce salon, il est fait pour discuter,
01:24:56 écouter les propositions et porter nos revendications.
01:25:00 – François Durouvre, dans votre département de l'Essonne,
01:25:03 ils vous disent quoi les agriculteurs ?
01:25:05 C'est pareil, c'est un ras-le-bol général ?
01:25:07 Les jeunes, ils ont envie de faire ce métier ?
01:25:09 – Un ras-le-bol, évidemment une inquiétude par rapport à l'avenir,
01:25:12 mais moi ce que je retiens dans les propos de Clément,
01:25:15 et qui me semble très important, c'est que nous avons cette capacité
01:25:17 en Ile-de-France d'avoir un partenariat solide entre les agriculteurs
01:25:20 et les collectivités, c'est que je note à chaque fois chez les agriculteurs,
01:25:24 non seulement l'envie, mais la nécessité de s'engager
01:25:28 dans tous les chantiers de transformation.
01:25:30 C'est-à-dire que les agriculteurs ne sont pas conservateurs,
01:25:32 ils se rendent bien compte que le monde il est en train de changer,
01:25:34 et qu'il faut répondre à de nouvelles attentes.
01:25:36 – Et justement, l'agriculture de demain, je voulais vous interroger là-dessus,
01:25:39 est-ce que ce n'est pas ça l'avenir du métier ?
01:25:42 On parle d'une révolution technologique dans l'agriculture, c'est ça le relais ?
01:25:48 – Je pense qu'en Essonne, en Ile-de-France, on est capable de l'inventer,
01:25:50 d'abord parce qu'on a les écoles, on a l'Inrae, on a l'Agroparitech,
01:25:54 on a tous les centres de recherche qui sont en Essonne,
01:25:56 parce qu'on a des terres agricoles qui sont de très grande qualité,
01:25:59 parce qu'on a des agriculteurs qui sont parfaitement engagés
01:26:01 dans la transformation, parce qu'on a la capacité de les accompagner,
01:26:05 et parce qu'on a cette population de consommateurs.
01:26:07 Et vous interrogez tout à l'heure Clément sur un point qui me semble important,
01:26:10 c'est le regard que portent les franciliens,
01:26:12 il y a à la fois, on le voit les rurbains qui ont parfois du mal
01:26:17 de vivre à côté de terres agricoles, mais il y a un sentiment de fierté
01:26:20 aussi profond de nos concitoyens de vivre sur des territoires
01:26:23 où il y a cet équilibre entre la ville et la campagne,
01:26:26 où il y a la capacité de manger local et de manger bon,
01:26:30 et ça c'est le rôle aussi des politiques, de continuer à nourrir le fil
01:26:34 entre le monde agricole et le monde urbain.
01:26:36 C'est quoi la différence, vous Clément Torpier,
01:26:38 dans votre exploitation par rapport à vos parents ?
01:26:41 Et bien c'est que le premier outil de mon père et même de mon grand-père,
01:26:46 c'était son tracteur, son semoire, et aujourd'hui mon premier outil
01:26:51 sur mon exploitation, c'est mon téléphone portable.
01:26:54 Parce qu'aujourd'hui avec ce téléphone portable, je fais tout,
01:26:57 si je puis dire, où je décide de toutes mes opérations
01:27:00 de protection de culture, de semences, avec des outils d'aide
01:27:03 à la décision, connecté des stations météo, des sondes captives
01:27:09 qui permettent de mesurer le besoin en eau d'une plante,
01:27:13 des panneaux solaires, des sondes qui me permettent
01:27:16 de mesurer la température de mon grain.
01:27:19 Et aujourd'hui, la profession agricole, c'est l'une des professions
01:27:23 les plus connectées. Donc cette innovation, cette recherche,
01:27:27 elle est primordiale et essentielle dans le développement
01:27:31 de notre métier et de l'agriculture française.
01:27:35 Et c'est ce qu'il faut encourager. Clément Torpier, dans 10 ans,
01:27:38 vous serez encore là, vous ferez toujours ce métier ?
01:27:41 Bien sûr, je l'espère. Aujourd'hui, notre métier, il peut répondre
01:27:44 à deux enjeux qui sont essentiels. On en a beaucoup parlé
01:27:47 pendant la crise du Covid et pendant la guerre en Ukraine,
01:27:50 c'est l'enjeu de souveraineté alimentaire et l'enjeu de souveraineté énergétique.
01:27:54 Et aujourd'hui, notre profession, elle est capable de répondre
01:27:57 à ces deux enjeux, mais pour ça, nous avons besoin d'un accompagnement,
01:28:00 d'un soutien. Et il y a un chiffre fort, c'est près de 90%
01:28:04 de la population, elle nous soutient. Et ça, aujourd'hui, c'est très important.
01:28:08 On a besoin du soutien de la population, mais comparativement,
01:28:13 il y a quand même des fois une déconnexion entre le monde urbain
01:28:16 et rural qui peut, à certains moments, freiner le développement
01:28:21 de certaines exploitations agricoles.
01:28:24 Reconnecter le monde urbain et rural, on va rester là-dessus.
01:28:27 Merci beaucoup Clément Torpier, jeune agriculteur en Seine-et-Marne,
01:28:31 à Sourdun, exploitation céréalière. Merci beaucoup à vous,
01:28:34 François Durevray, président de l'Essone, collectivités qui ont des rôles
01:28:38 à jouer pour aider à la transmission. Merci d'avoir débattu ce matin
01:28:42 sur France Bleu Paris avec nous.
01:28:44 Et on a tous un rôle à jouer, notamment nous consommateurs,
01:28:47 avec ce site, cette plateforme Produits en Ile-de-France,
01:28:50 pour soutenir justement tous ces éleveurs, ces producteurs.
01:28:54 Produitseniledefrance.fr, 500 producteurs et plus de 5000 produits
01:28:59 qu'on retrouve référencés, avec prochainement la possibilité
01:29:02 de faire une commande en ligne et de pouvoir se les faire livrer à la maison.
01:29:05 Ça arrivera le 1er mai, mais voilà, ça participe aussi
01:29:08 à ce soutien des agriculteurs ici. On se devait d'en parler
01:29:11 une nouvelle fois ce matin sur France Bleu Paris,
01:29:13 votre radio en Ile-de-France.
01:29:15 8h28, dans un instant, on va s'intéresser à l'actualité du Paris-Saint-Germain
01:29:19 avec la Coupe de France et un calendrier qui est un petit peu bouleversé
01:29:23 en ce moment. À tout de suite sur France Bleu Paris.
01:29:25 Je vous connais, je sais que vous reluquez les combles situées
01:29:36 juste au-dessus de votre appartement, et c'est vrai que ça ferait
01:29:38 une belle mezzanine. Eh bien, saviez-vous que vous pouvez racheter
01:29:41 des parties communes aux autres copropriétaires de votre immeuble ?
01:29:44 Alors lesquelles ? Combien ? Comment ? On vous répond.
01:29:47 Imo Express, présentée par Charlotte Meunier,
01:29:50 c'est ce samedi à 19h sur France 3 Paris Ile-de-France
01:29:54 et sur la plateforme France.tv.
01:29:56 France Bleu Paris, nous sommes le 28 février.
01:30:14 Belle journée à vous en ce mercredi, 8h30, sur la route au sud de Paris.
01:30:17 Cet accident sur l'Assis-B en direction de la province,
01:30:20 si vous êtes dans le secteur de Chevilly, ça bloque la faute
01:30:23 à une camionnette qui est impliquée dans cet accident.
01:30:25 Dans vos transports, le tramway 4, il y a une panne de train à Arboretum.
01:30:29 Le trafic est perturbé entre Gargan et l'hôpital de Montfermeil.
01:30:32 Jusqu'à 9h, on vous tient au courant bien sûr.
01:30:35 La météo pour aujourd'hui, Aude Raseau ?
01:30:37 Il fait froid ce matin, on l'a bien remarqué.
01:30:39 D'ailleurs, on gratte le pare-brise du côté des Yvelines ou de la Seine-et-Marne.
01:30:43 Il fera bien meilleur cet après-midi.
01:30:45 Le ciel a un peu de mal à se décider, un soleil ou un nuage, mais on aura les deux.
01:30:49 Le récap du 6.9 France Bleu Paris en 3 minutes ici au Salon de l'Agriculture.
01:30:53 On a dit bonjour à de nouvelles vaches ce matin, oui ?
01:30:55 Des nouvelles vaches juste devant le studio Radio France ?
01:30:57 Oui, effectivement, elles sont très belles et très gentilles, on a fait connaissance.
01:31:00 Il y a une relève, il y a des vaches qui s'en vont et il y en a d'autres qui arrivent.
01:31:04 Sinon, on s'est encore baladé au milieu des stands, forcément,
01:31:07 pour faire un petit bilan à mi-parcours de ce Salon de l'Agriculture.
01:31:11 La bonne nouvelle, c'est que les exposants, les agriculteurs sont contents de nous voir, nous les visiteurs.
01:31:16 On entend beaucoup de messages de soutien quand on a ce problème dans les allées.
01:31:19 Je crois qu'on en avait bien besoin et qu'on a besoin de sentir que les consommateurs nous prennent en considération.
01:31:26 Des exposants ici au Salon qui nous parlent encore et toujours de leurs difficultés, vous les entendez ?
01:31:32 Pas mal de commentaires d'ailleurs ce matin sur cette mesure décidée hier à Bercy.
01:31:36 Les agriculteurs en difficulté qui vont pouvoir retarder d'un an le paiement de leurs dettes.
01:31:41 L'image ce matin, loin de la porte de Versailles, ce sont ces inondations en Seine-et-Marne.
01:31:46 Pensez d'ailleurs pour vous qui êtes à Paumeuse, à La Ferté-Gaucher, à Meyret, à Crécy-la-Chapelle,
01:31:51 certains d'entre vous ont même dû être évacués.
01:31:53 La bonne nouvelle, là encore, c'est que le pic de cru sur cette rivière, le Grand Mourin, le pic de cru est passé.
01:31:58 Météo France maintient quand même son alerte orange.
01:32:01 Alors on était ici au Salon de l'Agriculture, mais ce matin on a fait un saut également dans le métro.
01:32:05 Oui, avec cette info qui fait débat, le métro qui ne s'arrêtera plus en cas de malaise voyageur.
01:32:11 Mais s'il ne s'arrête plus, qu'est-ce qu'il fera du coup ? Qu'est-ce qu'on fait en cas de malaise voyageur ?
01:32:16 Explication ce matin sur France Bleu Paris de Grégoire Delasteris, c'est le vice-président d'Ile de France Mobilité.
01:32:21 Déplacer la victime sur le quai pour permettre à la rame de repartir le plus vite possible.
01:32:26 L'objectif c'est qu'avant les JO, on puisse donner les moyens à la RATP d'améliorer franchement la régularité de ces lignes.
01:32:33 Et on l'entendait ce matin sur France Bleu Paris, les syndicats sont totalement contre cette mesure.
01:32:39 Ils estiment que ce n'est pas à l'agent RATP de prendre la décision de sortir ou non le voyageur malade sur le quai.
01:32:46 8h33 sur France Bleu Paris. 100% PEG, c'est le moment de parler foot ce matin à cette heure-ci.
01:32:54 Bonjour Romain Védouc. Bonjour à tous, bonne fête Romain.
01:32:57 Bonne fête Romain. Ben oui.
01:32:59 Nous sommes le 28 février, je vous souhaite une bonne fête. On est à 6 petits jours là.
01:33:03 6 petits jours du match retour de Ligue des Champions sur la pelouse de la Real Sociedad.
01:33:08 Comment va notre adversaire ? Mal, assez mal.
01:33:11 Depuis le match allé au Parc des Princes, la Real Sociedad a joué 3 rencontres.
01:33:15 Il y a eu 2 défaites dont hier soir l'élimination très tard en demi-finale de la Coupe d'Espagne face à Mallorque.
01:33:20 A l'issue d'une prolongation et d'une séance de tir au but.
01:33:23 Il reste sur 1 victoire seulement en 7 rencontres et 4 défaites en 5 matchs.
01:33:27 C'est un manque de confiance qui pourra profiter au Paris Saint-Germain.
01:33:30 Ben oui, surtout qu'ils vont être fatigués là.
01:33:32 Disons que la prolongation hier face à Mallorque a une semaine tout pile exactement de notre rencontre.
01:33:36 On aurait pu difficilement demander plus côté PSG.
01:33:39 Sachant que dans le même temps, le Paris Saint-Germain ne joue pas de la semaine.
01:33:43 On peut imaginer que la fraîcheur physique sera de notre côté pour le match de mardi prochain.
01:33:46 Comment ça se fait d'ailleurs que le PSG ne joue pas son quart de finale de Coupe de France là cette semaine ?
01:33:51 Alors ça suit une certaine logique. Déjà de quoi on parle ?
01:33:53 Effectivement, les quarts de finale de la Coupe de France c'est en ce moment.
01:33:56 On a eu hier la qualification de Lyon et le PSG est encore en Lys.
01:33:59 Il affrontera l'OGC Nice le 13 mars prochain dans 15 jours, pas cette semaine.
01:34:03 Pourquoi pas cette semaine ?
01:34:04 Alors ça s'explique via plusieurs paramètres.
01:34:06 Les calendriers européens, la règle obligatoire de repos de 2 jours et les problèmes de diffuseurs.
01:34:12 La règle de repos c'est facile, il faut un minimum de 2 jours entre 2 rencontres, quelles que soient les compétitions.
01:34:17 On y va, vous avez tout compris ?
01:34:18 Allez-y.
01:34:19 Sortez les calepins, les calendriers, je vous explique tout.
01:34:20 J'ai un papier et un stylo.
01:34:21 En gros, les calendriers des Coupes d'Europe y sont figés.
01:34:24 Le PSG joue mardi face à la Real Sociedad en Ligue des Champions.
01:34:27 Donc son match avant, face à Monaco, ne pouvait se jouer que samedi ou vendredi.
01:34:32 Le dimanche était exclu parce qu'il y a 2 jours de repos qui sont obligatoires.
01:34:36 Selon la même logique, le match de Coupe de France qui devait être avant Monaco
01:34:39 ne pouvait se jouer que mardi ou mercredi, et pas jeudi.
01:34:42 Le jeudi était exclu.
01:34:44 Sauf que le mardi n'était pas envisageable non plus.
01:34:46 Et là c'est pas notre faute, c'est la faute du calendrier de Rennes, notre ancien adversaire.
01:34:50 Rennes a joué en Europe jeudi dernier.
01:34:52 Donc le match face au PSG ne pouvait se jouer que dimanche.
01:34:55 Et donc on ne pouvait pas avoir de match le mardi, il restait que ce soir, mercredi.
01:35:00 Du coup, on avait cette date de disponible.
01:35:03 Et là, c'est le diffuseur qui a mis son veto.
01:35:05 Parce que PSG Nice, c'est une belle affiche.
01:35:07 Et France Télévisions, qui a le premier choix de match sur la Coupe de France,
01:35:10 ne voulait pas que ça soit également en concurrence avec une autre rencontre,
01:35:14 l'équipe de France Féminine, qui joue ce soir la finale de la Ligue des Nations face à l'Espagne.
01:35:19 Bon, là où on s'est dit qu'on avait peut-être surréfléchi,
01:35:21 c'est qu'on a appris que le match de Nobles allait finalement se jouer à 19h et pas à 21h.
01:35:25 Donc pas de concurrence avec la Coupe de France.
01:35:27 Et en plus, le match est diffusé sur W9 et pas sur France Télévisions, comme prévu au départ.
01:35:31 Sauf qu'entre temps, il était impossible de remodifier la programmation de ce PSG Nice.
01:35:35 Et voilà comment on se retrouve avec cette rencontre déplacée au 13 mars.
01:35:38 Le PSG qui va profiter de ce repos avant son match de Ligue des Champions.
01:35:42 Mais non, le PSG n'est pas à l'origine de ce report de match.
01:35:45 Bon, vous êtes allé vite. J'ai pris des notes, c'est pas dit que j'arrive à me relire.
01:35:49 Mais j'ai tout compris grâce à la... Quelle casse-tête quand même.
01:35:52 C'est un calendrier, je pense que pour l'organisation, ils doivent s'arracher les cheveux.
01:35:56 Peut-être pour ça d'ailleurs qu'ils sont plutôt chauves dans les hautes sphères en général, dans les fédérations.
01:36:01 Ça se joue certainement.
01:36:02 Peut-être. On retrouvera le Paris Saint-Germain vendredi face à Monaco.
01:36:05 C'est un match à l'extérieur.
01:36:07 Oui, à Monaco, en Ligue 1.
01:36:08 Ligue 1, match à vivre en intégralité bien sûr sur France Bleu Paris dès 20h30.
01:36:12 Votre radio, écoutez toujours. C'est ici, on supporte le Paris Saint-Germain.
01:36:16 Et c'est le meilleur moyen de comprendre l'actualité du club.
01:36:19 Je vous souhaite une bonne journée Romain.
01:36:20 Bonne journée à vous.
01:36:21 Allez, 9h moins 25. Dans un instant, on va avoir un champion.
01:36:25 Champion du monde qui nous rejoint dans un instant.
01:36:27 C'est pas vous David Kolsky, vous êtes champion égourmant.
01:36:29 Mais il y en a un autre qui arrive.
01:36:30 Ah bah si, je suis un champion.
01:36:31 Vous êtes un champion.
01:36:32 Vous m'avez pas vu aux barrières.
01:36:33 C'est vrai.
01:36:34 Champion du lever de coude.
01:36:35 La météo pour aujourd'hui, alternance entre nuages et éclaircies.
01:36:39 Avec des nuages cet après-midi mais le soleil qui nous rejoint une bonne partie de la journée.
01:36:44 -2 à 2 degrés, c'est ce que nous avions ce matin sur les thermomètres.
01:36:48 Avec des valeurs négatives dans le secteur de Fontainebleau -2.
01:36:51 A Rambouillet, Emile à Forêt -1.
01:36:53 A Versailles et Vincennes 0 degrés.
01:36:55 Les valeurs positives c'est pour Saint-Denis et Provins avec 1 degré ce matin.
01:36:58 A Créteil, Courbevoie et Paris 2 degrés.
01:37:01 Retour de la douceur cet après-midi sous le soleil.
01:37:04 Entre 10 et 12 degrés sur la région parisienne.
01:37:07 On attend Arouaim, Almezon, Vitry et Paris 12.
01:37:10 A Versailles et Etampes 11 degrés.
01:37:13 8h36, France Bleu Paris la route.
01:37:16 Tous les quarts d'heure, des points réguliers pour être au plus près des difficultés.
01:37:19 A Cheville, cet accident sur l'A6B en direction de la province avec une camionnette qui est impliquée.
01:37:24 Il y a pas mal de bouchons, les ralentissements habituels pour accéder à la capitale.
01:37:28 Et dans vos transports, attention à cette panne de tramway à Arboretum
01:37:32 ce qui perturbe le tramway 4 ce matin.
01:37:34 Trafic perturbé entre Gargan et l'hôpital de Montfermeil jusqu'à 9h.
01:37:39 On continue à faire la route avec vous les amis.
01:37:41 Vous nous appelez en cas de difficulté.
01:37:43 Alexandra vous attend 01 42 30 10 10.
01:37:47 8h37.
01:37:48 Le 6/9, France Bleu Paris.
01:37:51 Romain Ambro.
01:37:53 Allez, une belle journée ici.
01:37:55 On se réveille tous ensemble le 6/9 en direct de ce salon de l'agriculture 60ème édition
01:38:00 avec un changement d'animaux le temps d'une nuit.
01:38:04 200 vaches sont parties, 200 vaches sont arrivées.
01:38:06 L'objectif c'est toujours le même, les concours, les plus belles bêtes.
01:38:09 Avec un mercredi où il y aura beaucoup de monde dans les allées puisque c'est mercredi, jour des enfants.
01:38:13 Et pas mal de familles vont affluer ici pour profiter de ce salon.
01:38:17 Comme vous en profitez vous, David Kolsky, depuis ce week-end.
01:38:21 Vous dormez là, je crois même.
01:38:23 Il y a de rencontres et de choses à faire.
01:38:26 David Kolsky, notre gourmand qui partage ses bons plans tous les matins sur France Bleu Paris.
01:38:30 On commence avec des tomates gratuites parce que vous nous trouvez pas mal de choses gratuites ici.
01:38:34 Ah bah oui, on est toujours là pour vous aider au niveau du pouvoir d'achat.
01:38:37 Vous connaissez le principe, quand c'est pas cher, c'est bon, j'adore.
01:38:40 J'ai été sur le stand de Savez Alors, c'est une coopérative français des petites tomates.
01:38:44 Regardez Romain, je vous en ai ramené, il y en a toutes les couleurs.
01:38:46 Il y a plusieurs parfums.
01:38:48 Ça y est, c'est parti, c'est le début de la saison.
01:38:49 Bien sûr, dégustation gratuite sur le stand.
01:38:52 Et puis il y a également une ferme à bourdon.
01:38:54 Parce qu'ils utilisent des bourdons pour la pollinisation.
01:38:56 C'est hyper important, donc il y a vraiment des bourdons sur le stand.
01:38:59 Avec tout qui est vitré, donc les enfants peuvent observer.
01:39:01 Franchement, ça fait le plaisir des familles.
01:39:04 Il y a plein de choses à faire sur ce stand qui se trouve donc pavillon 2-2.
01:39:07 Si vous venez aujourd'hui avec les enfants, les petits-enfants, c'est le bon plan.
01:39:09 Et puis les petites tomates en général, on adore surtout que celles-ci, elles ont du goût.
01:39:13 C'est important à souligner.
01:39:14 Alors justement, ce matin, pour ne pas avoir le bourdon, vous êtes venu avec des invités.
01:39:18 Deux choses qui vous ont tapé dans l'œil ici au salon.
01:39:21 Tout à fait. Alors on va commencer par Myriam Riddell-Kenzie,
01:39:24 qui est directrice marketing Monde de Yoplait.
01:39:26 Parce que j'ai vu hier de nouvelles bouteilles à yaourt.
01:39:29 Mais c'est du vrai yaourt, ce n'est pas du yaourt à boire, c'est ça ?
01:39:31 C'est ça. Merci de nous avoir invité.
01:39:33 En fait, c'est du yaourt en briques.
01:39:35 C'est l'équivalent de 6 pots de yaourt qu'on a mis dans une brique.
01:39:38 C'est finalement un nouvel usage pour le consommateur.
01:39:41 Mais toujours une super expérience de dégustation.
01:39:43 Est-ce que vous êtes consommateur de yaourt ?
01:39:45 Alors, je suis consommateur de yaourt et j'ai même consommé la brique.
01:39:50 Ah c'est vrai ? Vous avez déjà goûté ?
01:39:51 J'ai déjà goûté et j'ai d'ailleurs un petit inconvénient à vous faire partager.
01:39:55 Allez-y Romain.
01:39:56 Parce qu'en fait, le pot de yaourt, moi, vraiment il n'y en a plus.
01:39:59 C'est-à-dire que je mets la cuillère et vraiment il n'y a plus une goutte de yaourt.
01:40:01 Là vous en reprenez ?
01:40:02 Eh bien la brique, le problème c'est que j'essaye de la déchirer, etc.
01:40:05 pour ne pas en laisser dans la brique.
01:40:07 Je vous fais goûter parce que votre journée me paraît longue.
01:40:09 Alors la brique, son avantage, c'est qu'en fait, quand il n'y en a quasiment plus,
01:40:13 on a mis des points de pliage et en fait elle se plie comme un tube de dentifrice
01:40:18 et à la fin, il ne vous reste absolument pas de yaourt.
01:40:21 Ah ben c'est ça que je ne faisais pas.
01:40:23 On peut tout vider.
01:40:24 Eh ben voilà, c'est comme un tube de dentifrice.
01:40:25 Il faut savoir qu'il y a 9 parfums et derrière ça, il y a vraiment une démarche éco-responsable.
01:40:29 D'ailleurs, il y a un jeu sur votre site internet pour tenter de gagner un voyage éco-responsable jusqu'au 5 mars.
01:40:34 Un jeu qui est gratuit pour partir en vacances.
01:40:36 Et moi, je trouve que c'est une belle initiative.
01:40:38 Et certains ne le savent pas mais YouPlay, c'est une coopérative.
01:40:40 D'ailleurs, Romain, petit quiz, à quoi correspondent les 9 pétales ?
01:40:44 Les 6 pétales.
01:40:45 Les 6 pétales, c'est quoi ?
01:40:48 Je ne sais pas du tout.
01:40:50 Ça correspond aux 6 coopératives qui ont créé la marque il y a plus de 50 ans.
01:40:54 Donc voilà, c'est notre clin d'œil à la coopérative Léthière Sodiale
01:40:58 qui a créé cette belle marque et qui nous a rachetés il y a 2 ans.
01:41:00 Bravo.
01:41:01 Alors là, je n'avais jamais regardé qu'il y avait 6 pétales
01:41:04 et je n'avais pas vu les pointillés pour écraser comme le truc.
01:41:06 Vous ne regardez rien, c'est pour ça que je suis là.
01:41:08 Merci.
01:41:09 Je suis une vraie moitié pour vous.
01:41:10 Il serait temps de le comprendre.
01:41:11 Enfin, ce qui est sûr, c'est qu'ils sont au Pavillon 1.
01:41:13 Il y aura notamment une très belle dégustation ce vendredi.
01:41:16 Ils sont là tous les jours avec d'autres marques également.
01:41:17 Il y a du fromage aussi chez vous.
01:41:19 On a Entremont et on a la marque Candia
01:41:21 qui sont les marques les plus connues des consommateurs
01:41:23 et en tout cas présentes chez 3 Français sur 4 tous les jours.
01:41:27 Voilà, donc c'est tout nouveau.
01:41:28 Et puis, juste à côté de Myriam, il y a Noël Jamais qui est là.
01:41:31 Vous avez compris qu'il aime bien les cochons et ce n'est pas pour rien
01:41:34 puisque lui, il est champion du monde du cri de cochon,
01:41:36 champion de Normandie, champion de France également.
01:41:38 Vous avez tous les titres, Noël.
01:41:40 Alors, juste Noël, on explique aussi qu'il est venu avec un costume de cochon.
01:41:44 Il a le nez qui va bien, les oreilles.
01:41:46 Je suis originaire de la Normandie.
01:41:48 Il y a un petit village qui s'appelle dans la Manche, à Neuville.
01:41:50 Donc, une dizaine de fois champion de Normandie
01:41:53 où j'ai commencé mon premier concours de cri de cochon
01:41:55 à la foire de l'Andouille de Vire en 2004.
01:41:57 Donc, ça fait 20 ans.
01:41:58 Ça fait 20 ans.
01:41:59 20 ans, vous êtes un expert.
01:42:01 J'ai commencé le salon à l'école à Paris en 2006.
01:42:04 Il faut savoir qu'en fait, Noël, il dort vraiment sur le salon de l'agriculture.
01:42:07 Ah bon ?
01:42:08 Juste à côté des Rignes des Portes Sains, là-bas,
01:42:11 on a comme là, là, un peu par là,
01:42:13 c'est une porte, et puis on a des lits.
01:42:16 On dort avec des éleveurs de cochons là-bas, sur place.
01:42:19 Avec les bruits, le changement de bête, comme vous dites là.
01:42:22 Il est mieux de dormir avec des boules de caisse
01:42:24 parce que sinon, on ne dort pas et on dort mal.
01:42:27 Donc, voilà.
01:42:28 Et le dernier concours qu'il y a eu ici,
01:42:30 c'était en 2015, où je l'ai remporté
01:42:32 parce que j'ai gagné 5 fois ici au salon.
01:42:34 J'étais 3 fois deuxième ici
01:42:36 et une fois troisième, qui était au salon.
01:42:39 Au total, j'ai 11 fois champion du monde.
01:42:41 Pour celles et ceux qui nous écoutent,
01:42:43 ça ressemble à quoi, le cri de cochon ?
01:42:45 Est-ce qu'on peut en faire un en direct ?
01:42:46 Le cri de cochon, c'est comme ça.
01:42:48 [Cri de cochon]
01:42:51 Ah, c'est énorme.
01:42:52 [Cri de cochon]
01:42:54 Ah, c'est un cochon qui est un peu triste, là.
01:42:57 Là, il n'y a que le cri.
01:42:58 Encore savoir, on est à 8h30 le matin,
01:43:00 8h42 directement.
01:43:02 Mais encore, je suis corporel assez chaud.
01:43:04 Moi, j'ai un spectacle, comme je fais le championnat de France.
01:43:07 J'ai gagné 8 fois à suivre, à Tricypanis, dans les Hautes-Parnes.
01:43:10 J'ai regagné au mois d'août.
01:43:11 C'est toujours le deuxième week-end d'août.
01:43:13 Et là, je fais un spectacle.
01:43:14 Je fais le cochon qui mange dans l'eau,
01:43:16 accompagné avec ma compagne
01:43:18 qui donne un petit peu son cochon à l'air.
01:43:21 Tout un spectacle qui va dans l'eau.
01:43:23 Après, je fais la naissance, le cochon amoureux.
01:43:25 La naissance, le laitement et la mort du cochon.
01:43:28 - On peut avoir les différentes séquences ?
01:43:30 - Ou la naissance et la mort.
01:43:32 - La naissance, ça dépend.
01:43:34 Les régions aussi.
01:43:36 Si un cochon est bailleux, il fait "hum hum hum hum".
01:43:38 Ça veut dire qu'il donne du lait, la mère.
01:43:41 Un cochon gascon, il fait "hum hum hum hum".
01:43:44 - Ah d'accord, c'est pas le même bruit.
01:43:46 - C'est des éleveurs qui me l'ont dit, ça.
01:43:48 Parce que j'étais là-bas.
01:43:49 - Et vous êtes allé tendre l'oreille pour écouter ces cochons ?
01:43:51 - Bien sûr.
01:43:52 - J'ai voulu le faire après, parce que le costume, c'est le seul et unique.
01:43:56 C'est une cote blanche, c'est moi qui l'ai fabriquée moi-même.
01:43:58 - Et ça donne quoi quand justement ils sont en train de vivre les cochons ?
01:44:01 - La mort du cochon, c'est on le pousse en bas.
01:44:03 Et après, ça crie. Normal, ça.
01:44:05 Et la mort du cochon, ça.
01:44:07 - Clairement, on ne va pas pouvoir rivaliser.
01:44:15 - Je pense à celles et ceux qui sont en voiture ce matin sur Force Bleu.
01:44:18 On a une pensée pour vous dans les bouchons, ce matin.
01:44:21 - On est un champion du monde du cri de cochon, champion de Normandie, champion de France.
01:44:24 Vous dormez sur place, parce que c'est le cas de pas mal d'exposants, d'agriculteurs, d'éleveurs
01:44:28 qui n'ont pas les moyens forcément de prendre une chambre d'hôtel quand ils viennent à Paris.
01:44:31 Il y a une vraie vie nocturne ici. Comment ça s'organise ?
01:44:33 - Ah oui, après nous, chacun amène...
01:44:36 Moi j'ai mon lit, la réserve, j'en ai tout.
01:44:38 Après, il y a une cantine aussi, parce qu'on est avec...
01:44:41 - Ah, il y a la cantine. OK.
01:44:42 - Le bain à jambon, on s'appelle...
01:44:44 Donc après, on mange avec eux, on participe à...
01:44:46 Il faut une petite cagnotte et on participe dedans.
01:44:49 Et puis après, le soir, moi je ne suis pas trop tard,
01:44:53 parce que comme je suis dans le hall 7 avec ceux de...
01:44:56 Si vous voulez me retrouver aujourd'hui, vous pouvez passer.
01:44:59 Je suis au 7A.
01:45:00 - Pas mis en 7 ?
01:45:01 - L'avantage c'est qu'on vous entend de loin en plus.
01:45:02 - Ah oui, je mets le costume à midi.
01:45:04 Je suis dans le hall 7, dans l'Armagnac et dans le Pré.
01:45:08 C'est pas dur à trouver.
01:45:09 Quand vous arrivez dans le 7, vous rentrez, vous avez la Bretagne à droite.
01:45:11 Et là, vous vous retrouvez tous ceux de l'Amour et dans le Pré.
01:45:14 - Et bien voilà, vers...
01:45:16 - Juste avant de partir, vous pouvez nous faire le cochon en chaleur ?
01:45:18 Le cochon est un peu...
01:45:19 - C'est plus facile que ça ?
01:45:20 - Le cochon érotique.
01:45:22 - Et il mord à l'absent, il faut être deux.
01:45:24 - Ah bah allez-y, on va vous aider.
01:45:26 - Il grotte comme ça, puis il fait...
01:45:28 - Moi j'essaye de faire la femelle, vous avez remarqué.
01:45:31 - Ouais.
01:45:32 - Voilà, donc franchement, allez faire un tour Pavillon 7
01:45:34 pour rencontrer Noël Jamais, champion du monde du cri de cochon.
01:45:37 Ou encore Pavillon 1 pour découvrir les équipes de Myriam, Rydel, Kenzie.
01:45:41 Avec YoPlay, cette superbe innovation éco-responsable
01:45:43 avec cette brique de yaourt.
01:45:45 Et puis donc pour les tomates, c'est Pavillon 2-2.
01:45:47 Voilà, ça fait beaucoup de bons plans, on va en trouver encore d'autres
01:45:49 tout le restant de la semaine.
01:45:51 - Et on vous retrouve tout à l'heure à 10h avec encore et toujours plein de bons plans.
01:45:54 Bienvenue chez vous, votre terrain de jeu ici au Salon de l'Agriculture Paris-Portes de Versailles.
01:45:58 Un événement France Bleu Paris.
01:46:00 Ici Matin, revient dans un instant.
01:46:06 [Musique]
01:46:31 Le 6/9, ici c'est France Bleu Paris.
01:46:36 - Vous écoutez France Bleu Paris, nous sommes mercredi aujourd'hui le 28 février.
01:46:40 Il est 9h moins le quart, on est à J-149 des JO.
01:46:44 - France Bleu Paris 2024, les JO chez moi, mode d'emploi.
01:46:49 - Paris 2024, c'est une grande fête incontournable à laquelle beaucoup veulent participer.
01:46:54 Nombreux sont les entreprises qui sont partenaires de cet événement ou sponsor, Thomas Etcheberry.
01:46:59 On va découvrir ensemble ce matin ce que ça implique d'être partenaire sponsor pour l'une d'entre elles.
01:47:04 - Oui, cette entreprise c'est Danone. Le groupe est effectivement partenaire officiel des JO et Paralympique de cette édition 2024.
01:47:12 L'occasion de rappeler l'importance d'une bonne alimentation alliée à une pratique sportive régulière pour les athlètes bien sûr, mais pas que.
01:47:18 Et pour en parler avec nous, le directeur du partenariat Paris 2024, groupe Danone.
01:47:23 Bonjour Simon Van Der Steen. - Bonjour.
01:47:25 - Merci d'être avec nous aujourd'hui à l'occasion de ce Salon de l'Agriculture.
01:47:28 Vous avez un beau stand dans le hall 1, le pavillon juste à côté de nous.
01:47:32 Ce n'est pas très loin de Radio France, on est voisins.
01:47:34 On peut y apercevoir les nombreux logos, également la mascotte, la frige en tête de Paris 2024,
01:47:40 avec marqué en gros "partenaire officiel". On sent une véritable fierté chez vous.
01:47:44 Alors concrètement, pour Danone, c'est quoi être partenaire officiel des JO ?
01:47:47 Qu'est-ce que ça implique comme responsabilité et comme engagement également ?
01:47:50 - Tout d'abord, je voudrais dire que ce partenariat s'est un peu posé comme une évidence pour nous, pour Danone.
01:47:56 Parce qu'il s'inscrit d'abord totalement dans notre mission
01:47:58 qui est d'apporter la santé par l'alimentation au plus grand nombre.
01:48:01 Et puis il s'inscrit également dans la vision pionnière de Danone
01:48:04 qui défend depuis 50 ans le rôle de l'entreprise dans la société.
01:48:08 Et donc concrètement, ça passe par deux actions pour nous, deux engagements très forts.
01:48:12 Le premier, c'est de pouvoir faire vivre ces jeux à tous les Français,
01:48:16 cet événement populaire extraordinaire.
01:48:18 Et on va pouvoir le faire à travers nos marques iconiques
01:48:21 qui aujourd'hui représentent 93% de présence dans les foyers français.
01:48:26 Donc on parle d'Actimel, Activia, Danone, Danonino, Danette, iPro, Alpro.
01:48:31 Et puis c'est également notre ancrage local qui permet ça,
01:48:34 puisqu'on a 25 sites aujourd'hui écéminés dans toute la France.
01:48:37 Le deuxième acte, c'est de pouvoir aussi accompagner Paris 2024
01:48:41 dans son travail d'encouragement de tous les publics
01:48:45 à pratiquer une activité physique régulière
01:48:48 et également pouvoir arriver à des comportements alimentaires plus vertueux.
01:48:52 - En tout cas, une mission à la fois sportive mais également politique à travers cet engagement.
01:48:56 Journée un petit peu particulière pour vous ce mercredi,
01:48:58 puisque vous allez accueillir sur votre stand, cet après-midi, des athlètes paralympiques.
01:49:02 Quel est le but de cette opération ?
01:49:04 Et est-ce que les athlètes sont finalement les meilleurs ambassadeurs
01:49:07 pour porter des messages en termes d'alimentation ?
01:49:10 - Alors oui, effectivement, aujourd'hui c'est une journée un peu particulière sur notre stand,
01:49:13 parce que ça va être l'occasion de mettre en valeur notre partenariat avec Paris 2024.
01:49:17 À cette occasion, on a deux athlètes, comme vous le disiez, qui viennent nous rendre visite.
01:49:22 Tiffen Soldé et Sandrine Martinet, athlètes paralympiques,
01:49:25 et qui font partie de notre collectif d'athlètes chez Danone.
01:49:28 Et effectivement, ils sont là des vrais ambassadeurs
01:49:31 pour porter ces messages du mieux manger, du mieux bouger.
01:49:33 Et à cette occasion, ils vont interagir avec les enfants, les scolaires
01:49:38 qui vont passer sur le stand dans la journée.
01:49:40 - Et pour venir à leur rencontre, bien sûr, n'hésitez surtout pas ce mercredi, cet après-midi,
01:49:44 si vous êtes au Salon de l'agriculture, par passer au stand Danone.
01:49:47 Simon Van Der Steen, directeur du partenariat Paris 2024,
01:49:50 merci d'avoir été avec nous sur France Le Paris.
01:49:52 - Merci. - Et il y a du monde pour prendre des photos avec les friges.
01:49:55 Je peux vous dire qu'elles sont prises d'assaut, ces peluches et ces mascottes,
01:49:58 pour avoir le selfie qui va bien à 149 jours des Jeux Olympiques et de la cérémonie d'ouverture.
01:50:04 8h49.
01:50:05 La météo alternance entre nuages et éclaircies pour aujourd'hui.
01:50:12 On a une pensée pour la Seine-et-Marne, avec l'écru, le Grand Morin qui est sorti de son lit,
01:50:17 Crécy, La Chapelle, La Ferté Gauchée à Pommeuse.
01:50:19 On pense fort à vous ce matin.
01:50:21 Après le froid de cette nuit -2 à 2 degrés, c'est la douceur qui est de retour cet après-midi
01:50:26 entre 10 et 12 degrés, le minimum pour Embouillies et La Ferté Gauchée avec 10,
01:50:30 le maximum pour Melun, Provins, Meaux et Paris avec 12 degrés.
01:50:35 9h moins 10.
01:50:36 Sur la route, difficulté ce matin, à hauteur de Porte de la Plaine,
01:50:40 cet accident sur le périphérique extérieur.
01:50:42 On est là au sud-ouest de Paris, à la hauteur de la Porte de la Plaine.
01:50:45 40 minutes s'étendent par cours entre la Porte d'Auteuil et la Porte d'Orléans
01:50:49 sur le périphérique extérieur.
01:50:51 Et puis cheville, toujours cet accident sur l'Assis-B en direction de la province.
01:50:55 C'est une camionnette qui est impliquée.
01:50:57 [Musique]
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01:52:56 [Musique]
01:53:16 [Musique]
01:53:42 France Bleu Paris qui aime vous faire découvrir des nouveautés, il s'appelle Julien Granel.
01:53:47 C'est un Landais, il est originaire de Rion-des-Landes, il faisait de la musique tout petit.
01:53:51 Premier prix du conservatoire à 12 ans, il est fan de Mika, il demande à ses parents d'acheter un album de Mika.
01:53:56 Et puis alors après il se plonge dans la carrière de Queen, de Freddie Mercury, de David Bowie, de Prince,
01:54:01 des artistes qu'il influence et des rythmes entêtants.
01:54:05 Julien Granel, il a fait la première partie de Angèle et suite à cette tournée, il va remplir l'Olympia l'année prochaine en mai 2025.
01:54:15 C'est quand même incroyable et c'est notre coup de cœur.
01:54:18 Julien Granel, plus fort sur France Bleu Paris.
01:54:21 Allez mettez le son bien fort à 8h54 ici au Salon de l'Agriculture,
01:54:24 parce qu'on va retrouver Romain Bruno qui va nous en mettre plein les oreilles
01:54:28 après nous avoir fait découvrir le hall des animaux ici, le pavillon 1.
01:54:32 Romain, je crois que vous êtes à côté des cloches.
01:54:35 Écoutez.
01:54:36 Ah, home service.
01:54:38 En effet ici au stand les sculptures du lac, les sculpteurs pardon du lac, je suis avec Marc.
01:54:45 Bonjour Marc.
01:54:46 Bonjour Romain.
01:54:47 Alors vous avez des cloches plein les mains.
01:54:48 Et oui parce que ici c'est un stand un petit peu particulier, on fait sonner les cloches
01:54:53 et nombreux sont les agriculteurs et agriculteurs français liens également à venir ici sur votre stand
01:54:59 pour tout simplement équiper leurs animaux.
01:55:03 Par exemple je suis agriculteur français lien, j'ai des moutons, vous me proposez quoi ?
01:55:07 Alors pour les ovins on va avoir ce type de cloches, qui sont des cloches soudées.
01:55:13 Voilà, en fonction de la taille de l'animal on peut avoir une cloche plus petite ou plus grosse.
01:55:18 Oui parce que forcément la taille des cloches diffère.
01:55:22 On commence avec les toutes petites cloches, c'est pour équiper quel style d'animal ?
01:55:26 Les toutes toutes petites ?
01:55:27 Les petites c'est les cloches moulées en fait, on équipe des animaux domestiques,
01:55:34 j'ai envie de dire des chiens, des petits chiens.
01:55:38 Et après si on a d'autres animaux un peu plus gros, c'est crescendo à chaque fois les cloches plus grossisses ?
01:55:43 Différentes tailles, différentes tailles, la taille augmentant le son va dans les graves en augmentant.
01:55:50 Mais c'est passionnant, douce douce.
01:55:51 Quelle est votre passion pour les cloches d'ailleurs ?
01:55:53 C'est une longue histoire, on faisait de la cloche de décoration,
01:55:58 et puis en exposant sur le salon de l'agriculture, les agriculteurs nous ont un petit peu tiré l'oreille
01:56:03 en nous disant vos cloches ne font pas beaucoup de bruit.
01:56:05 C'est de la déco ?
01:56:06 Voilà, alors on s'est mis à faire de la vraie cloche pour les satisfaire.
01:56:10 Mais pas que, parce que regardez, il y a des cloches, c'est vrai, mais juste au-dessus,
01:56:14 il y a des animaux qui sont sculptés à la main parce que c'est ce qu'on faisait avant,
01:56:18 et même peut-être encore dans les fermes, l'hiver quand on s'ennuie, on sculpte.
01:56:22 C'est ça, autrefois les hivers étaient longs, ils étaient enneigés,
01:56:26 et on prenait un petit morceau de bois dans les fermes et puis on le chapeautait le bois,
01:56:31 on reproduisait les animaux, la faune qu'on avait autour de chez nous,
01:56:36 ce qui nous a amené à sculpter des bouquetins, enfin tout type d'animaux.
01:56:42 On a de la marmotte, on a du bouquetin, voilà, ils sont tous autour de nous.
01:56:46 Alors celles au-dessus de votre tête, Romain et Bruno, elles sont immenses,
01:56:49 vraiment celles qui sont sur le plafond là.
01:56:51 Ah oui, les têtes, c'est vrai qu'elles sont là.
01:56:54 Vous pouvez la même à la maison quand vous venez sonner pour que je vienne vous ouvrir la porte.
01:56:57 Ça va réveiller les poissons aussi.
01:56:59 Oui, ça va réveiller tout le monde, ces grosses cloches.
01:57:01 Et si on revient sur les animaux, là on a une rangée de vaches.
01:57:05 Alors ce sont nos vaches en bois sculpté, donc on retrouve les races,
01:57:10 les races traditionnelles ici de montagne.
01:57:12 Et pas n'importe laquelle parce que là il y a une vache...
01:57:14 Là il y a la vache égérie, on a fait la vache égérie du Salon de l'Agriculture cette année,
01:57:18 donc la vache normande, et en l'occurrence on a tenté de reproduire Auréliette.
01:57:23 Et Auréliette sculptée, s'il vous plaît, ici au stand.
01:57:26 Les sculpteurs du lac, des passionnés ici.
01:57:29 Oui Auréliette a même sa mascotte.
01:57:31 Merci Romain et Bruno de nous avoir fait découvrir quelques-uns des stands,
01:57:35 celles et ceux qui vous accueillent ici au Salon de l'Agriculture.
01:57:37 On est pile à la moitié de ce Salon de l'Agriculture, on est au cinquième jour.
01:57:41 Vous pouvez venir ici tout au long de cette journée avec les enfants,
01:57:44 vous pouvez venir ici jusqu'à ce week-end avec les transports,
01:57:48 si vous le pouvez, c'est mieux pour circuler et surtout pour trouver un stationnement.
01:57:53 L'équipe, je vous donne rendez-vous demain, demain dès 6h sur France Bleu Paris,
01:57:56 pour se réveiller et rester fidèle à France Bleu Paris.
01:57:59 La mi-journée, Willy, Wendy...

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