Quels films sortent au cinéma cette semaine ? La rédaction vous fait découvrir les films qui font l'actualité
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00:00 *Générique*
00:16 Bonjour à tous, c'est Paris S'il est sorti, votre magazine d'actualité qui vous dit tout sur les films à l'affiche.
00:21 Drames historiques, drames documentaires, comédies dramatiques et science-fiction sont au programme cette semaine.
00:27 Avec tout d'abord, Madame de Sévigny de Isabelle Brocard.
00:30 Nous découvrirons le premier long métrage de Verlebe et Thence, "Débâcle".
00:34 Lise-en droit Alonzo viendra nous parler de "Reca".
00:37 Abdéraman Sissako fera le pont entre l'Afrique et la Chine pour "Black Tea".
00:42 Nous prendrons la direction de Tel Aviv pour "Il n'y a pas d'ombre dans le désert".
00:46 Nous nous rendrons à l'hôpital pour y découvrir "Revivre" de Karim Dridi.
00:50 Philippe Pollet-Villard nous parlera de son premier film "Tombé du camion".
00:54 Et nous déroulerons le tapis rouge pour accueillir d'une deuxième partie de Denis Villeneuve.
00:59 Avant d'explorer plus en détail les sorties de la semaine, nous vous proposons de découvrir le classement des films en salles,
01:05 établi par les étoiles des spectateurs sur le site Allociné.
01:09 En troisième position, "Bye Bye Tiberiade" obtient 3,9/5.
01:14 Juste au-dessus, avec 4/5, on retrouve "Le royaume des abysses".
01:20 Et cette semaine se place en première position "Une vie" qui obtient 4,3/5.
01:26 Allez, retour aux sorties de la semaine.
01:28 Le rapport mère-fille est au cœur du deuxième film d'Isabelle Brocard, "Madame de Sévigné".
01:36 La marquise de Sévigné veut faire de sa fille une femme brillante et indépendante,
01:40 mais plus elle tente d'avoir une emprise sur la jeune femme, plus celle-ci se rebelle.
01:45 Je veux que vous ayez la place que vous méritez. Je vous veux heureuse, indépendante et maîtresse de votre destinée.
01:55 Ce film raconte comment une femme devient un écrivain sur le cadavre de sa relation avec sa fille.
02:01 Vous en êtes arrivée à envisager n'importe quel mariage pour votre fille.
02:05 Un autre criant peut séduire, mais enfin, une maison qui prend l'eau de toute part.
02:09 Elle voulait parler du rapport extrêmement compliqué et multiple des mères et des filles,
02:15 et en fait de la modernité du propos qui était encore presque actuel.
02:21 Je suis toute entière au service de mon mari, que j'aime, mais c'est quelque chose que vous ne semblez pas comprendre.
02:25 Elle devient écrivain parce que la douleur est si forte dans l'incompréhension avec sa fille, de voir sa fille s'échapper.
02:33 La douleur, on serait bien médiocres si je pouvais vous la dépeindre.
02:38 C'est un sentiment que les parents ont beaucoup et plus particulièrement les mères.
02:42 Quand leurs enfants grandissent, commencent à avoir leur vie amoureuse, à faire même des enfants,
02:46 de se sentir abandonné, comme inutile.
02:49 Pour moi, le sujet le plus intemporel du film, c'est celui-là.
02:52 Aimez-moi toujours, c'est la seule chose qui me peut donner de la consolation.
02:59 Elle doit trouver un moyen d'expurger ça.
03:02 Elle écrit ses sentiments, ses émotions, ce qu'elle voit, ce qu'elle imagine, ses cauchemars, et elle devient écrivain.
03:11 Le mariage.
03:13 Ne vous oblige en rien.
03:15 Rentrez avec moi à Paris.
03:16 Je pense qu'effectivement, à un moment, la littérature devient le lieu du désir.
03:21 C'est vraiment ça.
03:22 Grignan va faire mourir ma fille.
03:24 Françoise !
03:25 Il use d'elle, il abuse d'elle.
03:27 Sortez.
03:30 Vous ne savez plus l'aimer.
03:32 Vous en êtes juste obsédé.
03:35 Pour son premier film, en tant que réalisatrice, "Débâcle", Verley-Bethens évoque les conséquences d'un traumatisme vécu dans l'enfance,
03:45 dont les effets perdurent à l'âge adulte.
03:48 Je suis un homme, je suis un homme.
03:53 Je suis un homme, je suis un homme.
03:55 Il n'y a que des filles qui vivent ici.
03:58 Je suis une fille.
04:00 D'autres filles.
04:02 Ce qui m'a vraiment émue, c'est la solitude frappante de ce personnage,
04:07 autant que jeune fille et autant que jeune femme.
04:10 C'est la vie de la soeur !
04:13 Je veux tous mes petits-enfants.
04:15 La solitude de la petite, je me reconnais dedans, parce que je l'ai vécu aussi.
04:19 Moi aussi, je voulais plaire aux garçons et aux filles cools, plus élevées, plus âgées que moi.
04:25 Tu veux jouer à un jeu ?
04:27 Si tu veux dormir ou si elles font des choses stupides, viens me le dire.
04:31 Eva ?
04:34 Eva ! Je ne te reconnais pas du tout !
04:38 Pour moi, c'était important de comprendre ce mécanisme dans lequel on s'enferme et qu'on se silencie complètement.
04:45 Parce que c'est ça ce qu'elle fait. Et comment ça se fait qu'on n'en parle pas ?
04:49 Qu'on n'arrive pas à en parler ?
04:51 C'est parce que ça m'intéresse les personnages qui sont définis par leur trauma.
04:56 J'avais aussi un message à faire passer.
04:59 Quoi ? Il a fait quoi ?
05:01 On ne fait rien de mal, c'est juste un jeu.
05:04 On trouve les filles jolies.
05:06 Je voulais en même temps parler de la non-résilience que le personnage a.
05:11 On vit dans une société où la résilience est hyper importante, l'héroïsme, le fait que tu peux te remettre à chaque fois et te battre.
05:20 Mais parfois, ce n'est pas possible pour certains gens.
05:23 Je trouve que c'est un peu maltraité dans des films.
05:27 [Musique]
05:37 Eureka de Lysandro Alonso décrit le désœuvrement des Indiens d'Amérique du Nord
05:41 qui, contrairement aux Indiens d'Amérique du Sud, ne vivent pas dans l'immensité de la forêt, mais dans des réserves.
05:48 Grand-père, je suis prête maintenant.
05:52 Quand tu fais une décision, tu ne peux jamais y revenir.
05:55 Quand tu te réveilles, tout va être différent.
05:58 Il y a eu tout un processus d'acceptation à suivre avant de pouvoir filmer au sein de la réserve indienne.
06:03 Ce n'est pas le genre d'endroit où tu arrives avec ta caméra en disant "je veux filmer ci et ça", ça ne marche pas comme ça.
06:09 Est-ce que tu es sûr que tu es un acteur ? Ou que tu veux que ces journalistes nous donnent de la mauvaise pression ?
06:15 Je suis désolée, je ne voulais pas t'offender.
06:19 J'aime créer une atmosphère amicale et familiale au sein de l'équipe.
06:25 Et ensuite, nous partons filmer. Parfois, on ne sait même pas quel va être le propos du film.
06:31 Et ça a été le cas avec ce film, en confrontant Chiara, mais aussi tout le reste de l'équipe, qu'ils soient devant ou derrière la caméra, à d'autres modes de vie.
06:48 On fait le film, mais il y a aussi ce qu'on vit en dehors des caméras.
06:53 Le mode de vie des Amérindiens est difficile et pesant.
07:01 Si le gouvernement américain souhaitait y remédier, ça ne leur prendrait pas plus de deux ans.
07:05 Ils n'ont pas besoin de beaucoup, vous savez, juste d'aller à l'école et d'une carte d'identité.
07:09 Ces gens ont été entreposés là comme dans un ghetto, et personne n'en parle.
07:14 C'est interne.
07:16 Il faut toujours se rappeler, l'espace n'est pas le temps.
07:24 Black Tea d'Abderrahmane Sisako met en scène une femme ivoirienne qui quitte l'Afrique pour la Chine, après avoir été trompée par son fiancé.
07:32 Elle va travailler avec un exportateur de thé dont elle va s'éprendre.
07:44 C'est un parti pris, effectivement, de dire que si dans une relation il n'y a pas un respect de l'autre,
07:51 si il n'y a pas l'équité, si il n'y a pas une vision,
07:54 si on trouve une tentative de construire quelque chose ensemble, dans l'harmonie, quelque chose s'effondre.
07:59 J'essaie de montrer comment un monde est dominé aussi par les hommes.
08:10 Dans toute la société, les hommes dominent. C'est pas seulement en Afrique ou en Asie, tout ça.
08:15 Non, il y a une domination ne serait-ce que déjà par le travail.
08:18 J'essaie, effectivement, à travers ça, de porter un regard plus juste,
08:31 et qui fait que Aya se dresse un peu.
08:34 Ce geste de partir le jour de son mariage, c'est un acte très fort.
08:40 Dire non, ça veut dire dire non à la société, dire non à la famille, et ce n'est pas facile.
08:46 Mais c'est important d'être libre.
08:54 Comment faire pour avoir un meilleur avenir ?
08:58 L'homme reconnaît cette femme dont le souvenir le hante depuis qu'ils se sont aimés en Italie, 20 ans plus tôt,
09:03 mais elle soutient qu'ils ne se sont jamais rencontrés.
09:06 C'est un homme qui a été un homme, et une femme qui a été une femme.
09:09 C'est un homme qui a été un homme, et une femme qui a été une femme.
09:12 C'est un homme qui a été un homme, et une femme qui a été une femme.
09:15 C'est un homme qui a été un homme, et une femme qui a été une femme.
09:18 C'est un homme qui a été un homme, et une femme qui a été une femme.
09:21 C'est un homme qui a été un homme, et une femme qui a été une femme.
09:24 Mais elle soutient qu'ils ne se sont jamais rencontrés.
09:27 La différence du personnage masculin, qui est une mère qui en parle tout le temps,
09:51 elle, elle a un père qui en parle jamais.
09:54 C'est une autre souffrance, mais c'est une grande souffrance aussi, le silence.
09:57 Elle, elle a vraiment besoin de ce procès.
10:00 Je ne sais pas ce qui s'est passé pour lui, je ne sais pas ce qu'elle a traversé.
10:03 On a tous besoin de ce procès.
10:05 Je pense que le procès de Nuremberg est un procès dont l'humanité avait besoin, par exemple.
10:19 Dans le film, il parle de ça, de ce besoin vital de mémoire.
10:23 On vit dans une sorte d'impression que l'imaginaire ou la fiction sont plus harmonieux,
10:40 c'est un endroit où on peut s'enfuir, se libérer.
10:44 C'est là où il y a la réalité.
10:46 Il n'y a pas de loi.
10:48 Ce qui reste dans nos souvenirs, c'est toujours ce que nous avons vu dans nos yeux.
10:52 C'est là où la vraie vie est, à l'extérieur ou à l'intérieur.
10:57 Après, encore une fois, est-ce que c'est lié au fait qu'ils ont des enfants de rescapés ?
11:02 Non.
11:03 On a tous besoin de ça.
11:05 On a tous besoin d'imaginaire.
11:07 C'est une bonne réponse.
11:08 Mais c'est un peu non.
11:10 Nous ne pouvons pas ré-enregistrer nos souvenirs, selon la loi.
11:14 Cette histoire va mal finir, vous le savez.
11:16 Henri !
11:20 Henri !
11:21 Avec Revivre, Karine Dridi nous plonge en immersion dans l'hôpital de la Timone à Marseille,
11:32 où il suit deux couples de parents et leurs enfants en attente d'un don d'organe.
11:37 Petit pote.
11:40 On est à combien ce mois-ci d'anesthésie générale ?
11:42 La huitième.
11:43 La huitième, donc ça commence à faire beaucoup.
11:45 Loula est inscrite en liste de transplantation en urgence.
11:48 Elle est quasiment en première position pour recevoir un froid.
11:52 Le message que j'aimerais faire passer, c'est qu'il ne faut pas avoir peur du sujet.
11:56 Votre boulot, c'est de le faire revenir dans le monde des vivants, lui parler.
12:00 Il faut qu'il raccroche avec son papa, sa maman.
12:03 C'est un film d'amour.
12:04 C'est un champ de films, ce bébé.
12:06 C'est vraiment le film le plus difficile que j'ai eu à tourner.
12:10 La chose la plus difficile pour moi, tous les jours, c'était de comment aller vers les familles,
12:16 comment aller vers un couple et lui dire "j'aimerais vous filmer dans le pire moment",
12:22 c'est-à-dire le moment où votre enfant est entre la vie et la mort.
12:25 Ça, c'est terrible pour un cinéaste, pour un humain d'ailleurs, de demander ça, c'est compliqué.
12:30 D'ailleurs, je ne sais pas moi-même, si on m'avait posé la question, si j'aurais accepté.
12:34 Mais j'ai eu la chance de tomber sur des couples, sur des familles extraordinaires.
12:39 On est là mon bébé, t'inquiète pas, on est toujours vers toi.
12:43 Allez, c'est parti.
12:45 Encore 150.
12:46 Pour moi, si son cœur repart un tout petit peu, ce serait miraculeux.
12:54 J'étais d'astreinte, comme les médecins.
12:57 C'est-à-dire que j'avais mon portable sur ma table de nuit,
12:59 et il pouvait sonner à n'importe quelle heure du jour et de la nuit.
13:02 S'il fallait venir parce qu'il y avait, par exemple, un organe qui arrive,
13:06 il fallait que je sois là pour filmer ça.
13:08 S'il y avait une opération, s'il y avait un coup dur ou quelque chose même de positif,
13:13 il fallait que je sois là.
13:14 12 aigus !
13:18 La Rédemption est le moteur du premier film de Philippe-Paulet Villard,
13:33 "Tombé du camion", qui met en scène un marin bourru, désorienté,
13:37 depuis que son chalutier est en panne.
13:39 En participant à des combines, il rentre un jour avec un jeune afghan de 10 ans,
13:43 trouvé dans un carton volé.
13:45 Attention au poteau, là !
13:50 Non mais ça va pas, mais il est dingue ou quoi ?
13:54 Emmener un acteur que tout le monde a l'impression de connaître,
13:57 d'avoir vu dans des comédies, c'est plus du tout le même personnage.
14:00 Ça, ça me plaît beaucoup.
14:02 Les enfants, t'as pas déjeuné que depuis Noël, alors tu restes cette fois-ci.
14:05 Il est très joli, ce t-shirt.
14:07 C'est une manière de redorer l'image de la gendarmerie.
14:09 C'est sûr que de ce côté-là, il y a du boulot.
14:12 Moi, j'ai eu un père maladroit comme Stan,
14:14 mais travailleur comme Stan,
14:18 et qui disait "j'élève mes enfants, je fais tout pour eux,
14:21 qu'est-ce qu'ils pourraient me reprocher ?"
14:23 Et comment tu comptes t'y prendre pour payer les réparations, papa ?
14:25 Je vais chercher un boulot sur un chalut.
14:27 À ton âge ?
14:28 C'est sûr que marin, c'est pas une vie de fonctionnaire.
14:30 Très écrit, profond, très émouvant,
14:33 et puis un petit côté décalé, à l'anglaise,
14:36 8 mots à l'anglaise, comme ça, qui me plaisait beaucoup.
14:38 Ouvrez, c'est la police !
14:40 On va vérifier la cargaison.
14:43 Tu prends uniquement les cartons où il est écrit "Produit sur Taxi".
14:47 Ça se vend bien, ça.
14:49 Fais le tourner pour que j'ai bien tous les reflets sur les boutons.
14:52 Par contre, avec ta tête dans le cadre, c'est pas très vendeur.
14:55 Le vrai sujet de ce film, c'est la paternité.
14:57 C'est-à-dire, lui a raté son éducation avec ses deux enfants,
15:00 qui sont devenus gendarmes.
15:01 Mais on comprend pourquoi.
15:02 Ils sont devenus gendarmes pour se sécuriser eux-mêmes.
15:04 Y a un putain de migrant dans le carton, Nicole !
15:08 Stan a quelque chose à réparer, du côté de l'éducation,
15:11 et de son propre père, qui a été un héros autrefois.
15:14 Il est pris entre deux bascules, comme ça,
15:17 et il va se retrouver avec un enfant qui va lui permettre,
15:20 malgré lui, parce que cet enfant arrive comme une plaie absolue,
15:23 mais va lui permettre, malgré lui, de réparer son rôle de père.
15:27 J'aimais Stan.
15:29 Ça va ?
15:30 Il est pas prêt de me quitter, parce que, franchement,
15:33 c'est tellement proche, quoi, de cette pudeur.
15:36 Les gens qui me connaissent très, très, très, très bien
15:39 n'ont pas vu autre chose que moi.
15:41 Ouais, ouais, ça va.
15:43 Enfin, pas mal.
15:52 Le deuxième volet de Dune, en attendant le troisième,
15:55 est sombre et épique et s'inscrit au plus près
15:58 de la vision de l'auteur Frank Herbert.
16:00 Le livre, sorti en 1965, aborde des thèmes toujours d'actualité.
16:04 Il était assez prophète en son temps.
16:09 Il s'inspirait des grands courants du 20e siècle,
16:12 des trajectoires dans le futur, des projections.
16:15 Ça a l'air, malheureusement, assez juste.
16:18 Deuxième volet de Dune.
16:20 Le troisième volet de Dune, en attendant le troisième,
16:23 est sombre et épique.
16:25 Le livre, sorti en 1965, aborde des thèmes toujours d'actualité.
16:29 Il est assez prophète en son temps.
16:32 Il s'inspirait des grands courants du 20e siècle,
16:35 des trajectoires dans le futur, des projections.
16:38 Ça a l'air, malheureusement, assez juste.
16:41 Le livre, sorti en 1965, aborde des thèmes toujours d'actualité.
16:45 Il est assez prophète en son temps.
16:48 Le livre, sorti en 1965, aborde des thèmes toujours d'actualité.
16:52 Ça a l'air, malheureusement, assez juste.
16:55 Le livre, sorti en 1965, aborde des thèmes toujours d'actualité.
16:59 Ça a l'air, malheureusement, assez juste.
17:02 Le livre, sorti en 1965, aborde des thèmes toujours d'actualité.
17:06 Ça a l'air, malheureusement, assez juste.
17:09 Le livre, sorti en 1965, aborde des thèmes toujours d'actualité.
17:13 Il voulait que le livre soit un avertissement
17:16 contre les fécures charismatiques, contre l'idée de culte,
17:19 contre le fanatisme.
17:21 Il est allé écrire Le Messie de Dune,
17:29 qui est un épilogue, un livre qui voulait corriger le tir.
17:34 qui est un épilogue, un livre qui voulait corriger le tir.
17:36 J'ai pu structurer mon adaptation en essayant d'être le plus fidèle possible
17:40 à ce désir initial de Frank Herbert.
17:43 Donc, il y aura un troisième volet.
17:46 Ça ferait sens pour moi, oui.
17:48 Et tout de suite, le reste de l'actualité en bref et en images.
18:00 7 kilos, 300 milles.
18:06 Tu viens avec un enfant, comme ça, faire un deal, tu te crois où, là?
18:09 C'est des dégénérés, ces gars. Il faut faire attention.
18:12 Tu te rends compte de ce que tu me demandes?
18:15 Ça doit pas être si compliqué que ça, non?
18:18 Quoi?
18:19 Un bébé sur un bateau.
18:20 Pas sur le nez, en tout cas. C'est clair.
18:22 Je sais pas ce que tu veux.
18:24 Je suis en train de faire un autre film.
18:30 Je veux qu'on revienne à la même vie.
18:33 Tu es une femme, tu dois être capable.
18:37 C'est un film qui est un peu comme un film d'horreur.
18:39 C'est un film qui est un peu comme un film d'horreur.
18:41 C'est un film qui est un peu comme un film d'horreur.
18:43 C'est un film qui est un peu comme un film d'horreur.
18:45 C'est un film qui est un peu comme un film d'horreur.
18:47 C'est un film qui est un peu comme un film d'horreur.
18:49 C'est un film qui est un peu comme un film d'horreur.
18:51 C'est un film qui est un peu comme un film d'horreur.
18:53 C'est un film qui est un peu comme un film d'horreur.
18:55 C'est un film qui est un peu comme un film d'horreur.
18:57 C'est un film qui est un peu comme un film d'horreur.
18:59 C'est un film qui est un peu comme un film d'horreur.
19:01 C'est un film qui est un peu comme un film d'horreur.
19:03 C'est un film qui est un peu comme un film d'horreur.
19:05 C'est un film qui est un peu comme un film d'horreur.
19:07 C'est un film qui est un peu comme un film d'horreur.
19:09 C'est un film qui est un peu comme un film d'horreur.
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19:17 C'est un film qui est un peu comme un film d'horreur.
19:19 C'est un film qui est un peu comme un film d'horreur.
19:21 C'est un film qui est un peu comme un film d'horreur.
19:23 *musique*
19:51 Voilà par ici les sorties, c'est fini.
19:53 Rendez-vous la semaine prochaine et en attendant, n'oubliez pas d'aller au cinéma.
19:55 cinéma.