Gérard Lanvin x Fabien Oteniente x Alban Ivanov x Soso Maness x Josh Cooley x Omar Sy x Nathalie Emmanuel x Tahar Rahim x Emmanuel Parvu x Lucie Prost x Finnegan OldField
Tous au cinéma est le rendez-vous des amoureux et des curieux du 7e Art. Chaque semaine tout au long de l'année, le magazine traite toutes les sorties en salles sans exception, interviews exclusives à la clé.
Tous au cinéma est le rendez-vous des amoureux et des curieux du 7e Art. Chaque semaine tout au long de l'année, le magazine traite toutes les sorties en salles sans exception, interviews exclusives à la clé.
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00:00Juste avant tout au cinéma, voici le top 3 des films sortis la semaine dernière qui sont les
00:05plus appréciés par les spectateurs sur Halluciné. En troisième position, le film d'horreur Smile 2
00:11continue de faire crier et décroche 3,4 étoiles sur 5. Deuxième, un grand film sur le désir,
00:17Miséricorde d'Alain Guiraudy obtient 3,6 sur 5. Enfin, Gilles Lelouch renverse les
00:24cœurs avec l'amour ouf et prend la tête avec un score de 4,2 sur 5. Passons à présent aux
00:29nouveautés de ce mercredi. Tous au cinéma passent en revue la totalité des films qui sortent dans
00:44salle cette semaine. Une semaine hyper active où le sport, qu'il soit pro ou amateur, avec ou sans
00:50échauffement trouve toute sa place sur les écrans. Sport d'équipe, sport de combat,
00:55sport automobile ou carrément sport de combat automobile, les séances de ciné cette semaine
01:00se déclinent en séances de cardio. En coup d'envoi, 4-0 du réalisateur de la saga Camping,
01:08Fabien Onteniemte évoque le foot sur un drôle de ton. Isabelle Nanty, Didier Bourdon et Gérard
01:14Lanvin, au service d'une comédie conviviale et très troisièmement tendre, la jouent forcément
01:19collectif. Footbusiness, conflit de génération au conflit d'intérêt. Après Camping 1, Camping 2
01:26et Camping 3, sans oublier 3-0, cette semaine 4-0 recueille le match. C'est une histoire hors
01:32normes. J'ai abordé le grand thème du foot par la petite fenêtre du populaire. C'est un peu comme
01:41si Camping rencontrait le haut niveau. Ça te dirait de changer de vie José ? J'aimerais que
01:45tu te fasses passer pour le directeur de foot d'un club. Le football a changé. C'est vrai que
01:50les générations ne sont plus à l'identique et les comportements non plus. Comme c'est un milieu
01:55affairiste, il y a forcément du suspense là-dedans, dans les affaires. Dis-moi, c'est quoi cette famille
02:02de frérot ? Il y a une portée ou quoi ? Tu sais Kidane, avec nous, t'auras une famille. Ce perso,
02:07Kidane, tu vois d'où il vient ? Il vient en bateau, sa famille elle meurt et il accède à un milieu...
02:14En fait, il accède aux étoiles. C'est une espèce de conte, c'est une fable. C'est ce qui montre
02:20que dans la vie, il ne faut jamais lâcher. Tout est possible. Je crois que c'est aussi pour ça que
02:32le football est si magique et que les jeunes rêvent autant devant ce sport et que ce sport
02:37réunit autant de personnes et autant de milieux sociaux aussi. C'est quelque chose d'accessible.
02:40J'y ai pris goût, moi, au footbusiness.
02:43Sport encore avec Challenger. Alban Ivanov boxe forcément dans la catégorie de l'amour. Un
02:55boxeur amateur se découvre en soudain une force de frappe et un talent insoupçonné. Challenger
03:00nous rappelle que même au rayon sport de haut niveau, sur un malentendu, ça peut marcher.
03:04J'espère qu'il y a du monde parce que je suis chaud. Ça va ? Je tape pas trop fort ? Non,
03:08ça va. Puis vu comment tu frappes, t'as pas de risque. C'est un film sur la détermination et
03:13c'est ce que j'aime transmettre aux gens. Peu importe le rêve, à partir du moment où tu te
03:20bats pour le réaliser, il va se passer quelque chose. C'est quoi ton but ? Je ne sais pas,
03:26faire un beau combat. Il y a une vraie question aussi qui se pose à l'intérieur de ce film,
03:31c'est le buzz mieux que la carrière. C'est ça aussi, c'est très moderne.
03:36Qu'au moins un boxeur amateur se retrouve à affronter les champions d'Europe.
03:40Ça buzz de partout, laisse tomber, tout le monde veut savoir qui t'es. Je suis un camarade,
03:45champion d'Europe en titre. J'ai décidé d'affronter Lucas Sanchez. Pour moi, le film,
03:49c'est pas le combat, c'est toutes les discussions de quand plus personne croit en toi et tu te dis
03:55je vais y aller quand même, contre vents et marées. Camarade, c'est un animal. A chaque coup
04:01de poing, c'est comme si tu tombais du 20e étage. T'es déjà tombé du 20e étage ? Ah non, sinon je
04:05serais mort. Les grands boxeurs, en vrai, c'est ça, c'est pas les poings, c'est le cerveau. Moi,
04:10je trouve ça beau, c'est violent, oui. Pour moi, c'est comme un jeu d'échecs. Finalement,
04:14c'est beaucoup de stratégie. Je crois que t'as pas compris le but de l'entraînement, toi. Je suis
04:19pas là pour t'apprendre à boxer, moi. Je suis là pour t'apprendre à encaisser. C'est important
04:24qu'on ait pu faire ce film, cette comédie. Bon, vous me laissez parler. Parce que la boxe n'a
04:29jamais eu autant de hype en France que maintenant, avec nos combattants qui rayonnent à l'étranger.
04:35Faut qu'on crée un personnage, tu vois, un nouveau Lucas. Ok, ok, c'est Lucas Sanchez,
04:39mon copain. C'est quoi, ça ? J'étais en vénère, tu m'as dit. Mais ça va pas bien, ou quoi, là ?
04:43Au rayon sport automobile, dopé au sport de combat, Transformers roule des mécaniques dans
04:53une franchise aussi rutilante que bien huilée. Ambiance permis à poing fermé. Un préquel,
04:58pied au plancher, commenté en version française, par le journaliste Julien Feubreau, dédié à la
05:03Formule 1 sur Canal+. C'est le moment que vous attendiez tous, c'est absolument incroyable. On ne
05:09voulait pas, à l'apparemment, que je vois les images avant ou que je connaisse le texte avant,
05:13parce que le but d'un commentateur, c'est d'être saisi par une émotion et de délivrer,
05:19évidemment, son message de commentateur sur le vif. Qu'est-ce qu'il dit ? Plus fort.
05:25Transformation est en route. Là, évidemment, il y a un texte qui est écrit, mais on voulait
05:30vraiment garder une spontanéité, une fraîcheur au moment de la découverte.
05:34Pendant des milliers d'années, nous avons été en guerre. Mais avant d'être ennemis,
05:40nous étions comme des frères. Ce qui est génial quand on travaille sur une licence
05:49comme Transformers, c'est que tout le monde s'attend à quelque chose de précis,
05:52parce qu'ils sont familiers avec l'univers qui existe depuis 40 ans. Ils se disent « je
05:57connais les personnages » et notre travail consiste à jouer avec les attentes du public.
06:00On respecte les fondamentaux, mais au final, il s'agit d'une nouvelle expérience.
06:04Oh, fantastique !
06:06Ils vont voir qu'avec nous, il ne faut pas se fier aux apparences.
06:27C'est l'avis d'ajout du film de John Woo, orchestré par John Woo, qui fait donc de son savoir-faire un savoir-refaire.
06:32Des fusillades chorégraphiées, The Killer tire à vue et donne à Nathalie Emmanuel,
06:37très remarquée dans Fast & Furious et Game of Thrones, le rôle titre et le rôle principal,
06:42aux côtés d'Omar Sy et d'Eric Cantona.
06:50Pourquoi as-tu dit « The Girl » ?
06:53Si John Woo vous demande de jouer dans ton film, évidemment, vous dites oui.
07:04On a grandi avec ses films, et particulièrement celui-là, le premier film de John Woo que j'ai vu, c'était The Killer, l'original.
07:13Et donc, du coup, j'ai grandi avec son cinéma.
07:23L'idée de la voir en tueuse pour The Killer, c'était juste tellement un truc, en fait, que je n'avais pas pensé.
07:30Et c'était effectivement quelque chose d'hyper excitant.
07:34Le fait que dans cette version, le personnage soit une femme, change complètement la nature du film.
07:39Le landscape, le type de personne qu'elle est, le type de tueuse qu'elle est,
07:44et, vous savez, ses compétences, tout serait différent.
07:49Certains des garçons pensent que tu es une légende.
07:52La Reine des Morts.
07:54On dirait que les garçons ont beaucoup de temps sur leurs mains.
07:57Tu t'entraînes beaucoup pendant des semaines.
08:00Tu t'entraînes tout le long.
08:02Je me souviens du jour où on a terminé la dernière scène de Cascades.
08:05Et j'étais comme…
08:07Ok, je me souviens, parce que c'était très intense.
08:11Mais j'étais comme… Ok, on a réussi, les gars.
08:15Je n'ai jamais envoyé des garçons faire leur travail honnête.
08:19Le Pays des Forts
08:25Moins sportif, monsieur Aznavour, biographie du patrimonial auteur,
08:30compositeur et interprète, incarnée par Taha Raim,
08:34a néanmoins nécessité une grande préparation physique.
08:37Postichés prothèses, sont ici de sobres artifices au service d'un hommage authentique.
08:42Je vous parle d'un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître.
08:46J'ai eu le temps de réfléchir un week-end avant de dire oui, parce qu'au départ, c'était plus un rejet instinctif quand on m'a dit que Fabien, un grand corps malade, aimait dire vous m'appelez pour me le proposer.
08:58Instinctivement, j'ai dit non, en fait, je ne ressemble pas, je ne suis pas chanteur, il n'y a rien.
09:04C'est vrai que c'est un peu risqué Charles, il n'a pas tort.
09:06Justement, on en a déjà parlé, des risques, il faut en prendre dans ce métier, sinon on est mort.
09:12Il portait un feutre topé, il parlait par onomatopée, il buvait des cafés frappés.
09:18Nous, on ne voulait pas mettre le maximum, c'est-à-dire qu'on a commencé par des tout petites choses parce qu'on voulait que Tarre soit libre dans son jeu.
09:30Surtout qu'en plus, nous, il y avait une évolution parce que Charles Aznavour, il a eu une rhinoplastie et il vieillit en plus.
09:35Donc, ce n'était pas un visage qu'on devait trouver, mais plusieurs.
09:38Donc, c'est un truc qui est très compliqué.
09:40Et quand, à la fin de la première semaine, tu as Katchi Aznavour, la fille de Charles, qui vient sur le plateau et qui nous dit, c'est incroyable, c'est troublant, j'ai vraiment l'impression de voir mon père.
09:50Tu dis, OK, là, c'est bon.
09:58Aznavour a 20 ans, personne ne connaît son visage.
09:59Donc, du coup, on commence le film là et les gens se disent, ah, OK, c'est vrai, il y a un peu de Tarre, puis il doit y avoir un peu de Charles, mais on ne le connaît pas trop.
10:06Et puis, on s'habitue à ce visage là.
10:08Et puis, ce visage vieillit, vieillit et d'un seul coup, on arrive à notre référence, c'est-à-dire Charles Aznavour des années 60, 70, où là, tout le monde a l'image.
10:19Et là, alors qu'on a vieilli avec le visage de Tarre en Charles, d'un seul coup, nous apparaît une évidence.
10:25Ah bah oui, c'est Charles Aznavour et ça, ça marche bien, je crois.
10:27Je crois que j'ai trouvé la formule, la formule Aznavour.
10:36Au registre documentaire, chez les ébus francophones, évoquent les luttes de paysans malgaches contre des promoteurs sans scrupules, en mêlant poésie et sociologie.
11:06Autre documentaire, Coconut Head Generation, chronique lui le quotidien très animé du ciné-club d'une université nigériane et confirme que le cinéma est aussi un outil politique.
11:18Deux films abordent le douloureux thème des violences sexistes et sexuelles. Le documentaire La Déposition accompagne la bataille juridique et la reconstruction d'un homme victime dans sa jeunesse d'un prêtre pédophile.
11:39Comment expliquez-vous avoir mis tout ce temps pour en déposer plein ?
11:42Je pense qu'il a peur au regard des autres.
11:47Le film Roumain, trois kilomètres jusqu'à la fin du monde, aborde lui la chronique d'une agression homophobe qui bouleverse toute une communauté au point de faire peu à peu de la victime insuspecte et incoupable.
12:00Adi.
12:02Je ne me suis pas rencontré avec quelqu'un. J'ai cru qu'il m'avait tué.
12:10Je ne sais pas qui c'était.
12:31Pourquoi la société est comme ça ?
12:33Ça ne peut pas être comme ça.
12:46Je pense qu'il y a beaucoup de choses qui doivent être améliorées concernant la xénophobie, le racisme.
12:52Et mes équipes et moi, nous avons toujours voulu travailler sur ces questions de minorités.
13:02S'il s'approche de tourner à gauche et à droite, tu n'es plus avec lui sur la rue.
13:07Nous avons choisi de faire des plans-là pour contraster avec les esprits fermés des personnages.
13:13Il y a comme un contraste entre ce que cette terre nous offre, un paradis où nous pourrions tous vivre heureux dans la nature, et comment les gens transforment ce paradis en enfer.
13:24Maman, qu'elle est folle, ouvre la porte !
13:27C'est comme ça !
13:28Allez, écris là-bas que c'est comme ça.
13:30Regarde, tu ne me le donnes plus.
13:32Si tu parles, tu n'es pas un putain avec tout le monde.
13:34Et moi, et toi, et ceux qui l'ont battu, et le peuple, tout le monde.
13:58Qui est là ?
14:01Maman !
14:06Ah ouais, la grosse classe !
14:09Autre variation sur la géographie intime et sur la nature confrontée à une force hostile,
14:14Fariaud propose une intrigue écologiste où un jeune ingénieur de retour sur ses terres natales suspecte de pollution une mine locale.
14:23Qu'est-ce que tu fais là ? Dégage !
14:24Vous savez ce qu'on fait avec ces métaux rares ? Des smartphones, des ordinateurs, des voitures électriques ?
14:28Ouais, ouais, je suis ingénieur. Ça pollue quand même pas mal d'extraire tous ces métaux.
14:32Je viens d'un département vraiment très rural, et la nature, elle a toujours été fondatrice, je pense, et elle a été aussi refuge pour moi.
14:40Vous avez remarqué des choses bizarres avec les truites en ce moment ?
14:42Les truites, les truites, tu sais, des animaux très pudiques.
14:45Il y a une dimension un peu militante, mais je voulais quand même que ce soit vraiment intime.
14:49Je trouve, pour ma part, que ça ne parle vraiment pas que d'écologie.
14:53T'as quelqu'un, toi ?
14:55Moi ? Non.
14:56Enfin, oui, mais...
14:58En fait, je me dis en ce moment que c'était pas mal, tu vois, les chasseurs-cueilleurs.
15:02Genre, les mecs partaient chasser, les femmes restaient bouquiner à la maison,
15:05et quand les mecs revenaient, tu vois, c'était du temps de qualité.
15:09Voilà.
15:10Mais bon, maintenant qu'on sait que les femmes chassaient autant que les hommes.
15:12C'est parler aussi de ces sujets-là, mais au sein d'une famille, au sein d'une bande d'amis.
15:17À quel moment tu souhaites partir ou revenir dans ton lieu d'enfance ?
15:23Léo !
15:24Je suis trop contente de te revoir.
15:26T'es beau, mon fils.
15:27J'avoue que forcément, les gens que t'as connus, avec qui t'as grandi, avec qui tu t'es construit,
15:31que ce soit ta famille, tes parents et tout, ils te ramènent vers celui que tu étais.
15:35Et ça, je trouve qu'il y a une bataille là-dedans.
15:37Oui, tu fais une dépression, quoi.
15:39Non.
15:40Mais c'est normal, t'aurais pas à t'en vouloir.
15:42Ah non, mais je m'en veux pas de pas faire de dépression.
15:45Le personnage de Léo qui est un peu sinistre, c'est un mec qui se détruit, en fait.
15:48Lui, il est parti. Pourquoi il est parti ? Parce qu'il y a eu ce trauma,
15:50parce qu'il y a un déni, et qu'il pouvait pas vivre dans l'endroit où il avait vécu ce trauma.
15:54Donc, il est parti pour ça.
15:55Et en fait, il va être saisi par l'amour qu'il a pour la nature de son enfance.
15:59Elles tournent autour de moi, elles essaient de me dire quelque chose.
16:01Vous devez me dire quelque chose.
16:14Bien.
16:16Maaan.
16:17Pas de soucis.
16:20L'objet d'une cantère est de chanter, ce que je propose actuellement.
16:24Pour cela, vous devez m'élever.
16:26On acceptera pas de faire ça.
16:27On commence sans tout.
16:29avec l'idée de suivre le maître de chant d'une synagogue
16:31qui ne peut plus chanter depuis qu'il est veuf.
16:36Un homme qui, en retrouvant une de ses anciennes professeurs,
16:39va se révéler à l'humain.
16:47Avant toute chose, je voulais faire ce que mon co-scénariste appelle
16:50une comédie burlesque à la vitesse du quotidien.
16:59Je crois que mon père Sonâge est à la fois hors jeu et hors du temps.
17:03Il est étonné. Il ne sait plus où il en est.
17:07Il est comme un fantôme.
17:09Il est comme un spectateur de sa propre vie.
17:13Lui, elle le réanime.
17:16Ça, c'est insupportable.
17:20Il ne peut pas.
17:21Il ne peut pas.
17:22Il ne peut pas.
17:23Il ne peut pas être vraiment le père de Sonâge.
17:26Il ne peut pas.
17:27Il ne peut plus chanter pour des raisons psychosomatiques et ce que Carla lui en donne est précisément
17:34la musique qui l'avait perdue.
17:46Une semaine de cinéma qui met la Chine à l'honneur avec d'abord Chroniques chinoises
17:50de Mouillé.
17:51Un drame social et politique qui prend pour contexte le tournage d'un film interrompu
17:56par les mesures sanitaires provoquées par l'épidémie de Covid.
18:13Sur un air de Chine, documentaire itinérant nous renseigne, lui, sur la Chine mélomane.
18:18Théâtre, opéra, variété, orchestre, rien ne manque.
18:27Et on termine cette revue des sorties de la semaine avec le cycle de 4 premiers longs-métrages
18:32du réalisateur Sean Baker.
18:344 films réalisés entre 2000 et 2012 en avant-goût de son dernier long-métrage
18:39Anora ou Palme d'or 2024 à Cannes et qui lui sortira la semaine prochaine.
18:44C'était Tous au cinéma, l'émission qui vous a fait voir ce que vous allez voir.
18:56Vous n'avez vraiment pas d'argent ?