Jour de Match avec Thomas Ngijol à Arsenal/Liverpool

  • il y a 8 mois
Thomas Ngijol, immense fan de Liverpool nous partage son "Jour de Match" pour voir le choc Arsenal / Liverpool, accompagné par la team CANAL+ Sport (Christophe Jallet, Florent Sinama-Pongolle et François Marchal).

Dans ce "vlog" entre Paris et Londres, vous verrez :
- Thomas Ngijol de retour en salle de conférence de presse pour la première fois depuis sa signature à Toulouse en 2014
- Thiago Alcântara rendre Thomas complètement chokbar
- Un chien qui pisse sur la statue de Thierry Henry
- Nunez en total bouc émissaire de Thomas Ngijol...

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Sport
Transcription
00:00 J'en refus la diffusion de cette vidéo.
00:03 Faut qu'il parte Mbappé, c'est comme ça.
00:06 Et ouais !
00:08 Une belle opé de merde.
00:10 Non mais j'ai abandonné femme, enfant un dimanche en fait.
00:13 J'aime l'hiver poule, j'aime ce que dégage l'équipe.
00:21 J'aime le foot anglais en fait.
00:23 Franchement le foot anglais.
00:24 L'objectif de la journée, j'ai déjà été à l'Emirates,
00:27 donc la statue d'Henri je l'ai déjà vue.
00:29 Je passe devant la statue, j'ai reversé ma larme.
00:32 Je suis en train de faire ce qu'il y a à faire devant la statue de Jean-Henri.
00:35 Je pense que la nuit il déchire un pied sur les statues d'ailleurs.
00:38 Il est tôt le matin, j'ai envie de crever mais...
00:41 cette douleur vaut la peine.
00:43 Darwin c'est...
00:48 Écoute on s'est fait banaler, on va pas se mentir.
00:50 80 millions sur Darwin-Lyonnaise.
00:52 Je veux dire juste avant il y a eu Bobby Fermigno.
00:55 Tu racontes à Roberto de Fermigno et tu passes à Darwin-Lyonnaise.
00:59 C'est dur.
01:00 Darwin c'est un coq sans tête quoi, ça court.
01:04 Il met des cacahuètes, il sait même pas si ça rentre.
01:06 Quand ça rentre il lève la main genre j'avais tout prévu.
01:09 Non, t'as rien prévu du tout Darwin.
01:11 Moi j'ai peur justement de cette saison.
01:14 Parce que le film de la saison incroyable,
01:16 le Game Club gagne le championnat et qu'il parte.
01:18 J'ai l'angoisse pour de vrai que Lyonnaise baisse le film.
01:22 Non mais vraiment.
01:23 L'équivalent de la glissade de Steven Gerrard quoi tu vois.
01:26 Oh la glissade ! La glissade de Steven Gerrard !
01:31 Del Babo ! Del Babo !
01:35 Mais vraiment la notion de spectacle, la première ligue, la magnifique.
01:39 Et puis c'est con mais les noms anglo-saxons pour nous francophones il y a un truc quoi.
01:43 Quand on dit une frappe de Mac... Mac... Mac... Mac... Mac... Caliche.
01:47 Tu dis putain c'est qui ce Mac Caliche ?
01:49 Non mais c'est con.
01:50 Ça marche.
01:51 Quand on dit coup franc de Meunier ou je sais pas quoi.
01:55 Je m'y fais rien compte.
01:57 Je dis Meunier, Thomas Meunier grand respect.
01:59 Quel latéral putain encore un mec qu'on a niqué à Paris.
02:02 C'est un autre sujet.
02:05 Allez.
02:06 Je te déconseille de filmer.
02:09 Il y a beaucoup de craqueurs à Gare du Nord.
02:12 Je te dis ça.
02:13 Ça va ?
02:15 Ouais je le connais pas.
02:16 Ça va bien ?
02:17 Salut Thomas.
02:18 Ça va ?
02:19 Ça va et toi ?
02:20 Ça va.
02:22 En Anglais.
02:23 Juste en gueule.
02:26 Tu sais imagine Ken Stanley.
02:28 Ken imagine il va... On va aller à Stanley et il gagne.
02:31 Il a déjà loupé la... C'est par contre d'Allemagne.
02:34 Ils ont rien dit dans le VFTR mais il y a 2-3 mecs qui ont fait...
02:39 Les années et compagnie ont dit je vous avais dit... Bref.
02:44 C'est pas grave.
02:46 Tous les années ils gagnent.
02:48 Je pense que quand même en Angleterre vous avez cet avantage qu'il y a une ambiance.
02:52 Je suis pas choqué des ambiances qu'il y a au parc à Marseille, à Saint-Etienne.
02:55 Par rapport à ce que je vis à Everton, à L'Emirates ou à City.
02:58 Tu vois, City c'est une catastrophe.
03:00 C'est tout une expression de frisson.
03:03 Et à côté tu vois Renato Scorcese avec son petit peu meilleur.
03:07 C'était pas bon franchement.
03:08 C'était la dernière fois que j'étais du sort au Montéac.
03:11 C'était il y a 20 ans.
03:13 Au Comédie Club.
03:15 T'avais allumé en France.
03:17 J'allumais tout le monde.
03:18 T'avais allumé en plus, qu'il m'avait vu au resto accompagné.
03:22 Ça tombe.
03:23 Et bam, il m'a appuyé dessus.
03:25 J'étais un connard à l'époque.
03:27 Enfin je le suis toujours un peu.
03:28 Au revoir, à bientôt.
03:29 Et Bellingham dans tout ça.
03:35 Il peut être Ballon d'Or ce con.
03:36 Non mais s'il faisait beau en Angleterre ça serait trop.
03:39 Ils ont quand même le meilleur championnat.
03:41 T'imagines t'es transféré en Angleterre et il fait beau.
03:43 Qu'est-ce qu'il leur reste à Monaco c'est ça ?
03:46 Au moins à Monaco le mec dirait "Regarde mon 4 de vie".
03:49 Y'a personne au stade mais ta gueule, tu comprends rien.
03:52 C'est énorme.
03:56 Ah, thank you.
03:57 Y'a un wifi.
03:58 Les gens qui sont en train de me mettre la pression avec cette caméra
04:00 ils se disent "Mais qui c'est ce joueur ?"
04:02 Ils essayent tous de se dire, ils se prennent la tête.
04:05 Il faut que j'ai réussi à trouver un joueur sur lequel je peux jouer l'ambiguïté.
04:08 C'est juste ça, je l'ai pas le joueur.
04:10 Ah, pas de virage.
04:13 Ils me sortent manotter les mecs.
04:15 Ils disent "Allez dégage de là".
04:16 Je suis peut-être Yaya Sanago, ça peut passer ici.
04:18 On peut peut-être même jouer une carte Jimmy Craoré à Liverpool.
04:21 Unai.
04:29 Très bon coach mais charisme segmentant.
04:34 Comment ne pas oublier ce joueur légendaire qui a été, je ne sais pas, un blond.
04:40 Sincèrement, à cette époque, elle est vraiment nulle sur ça en même temps.
04:43 C'est assez triste mais ces photos-là, ils ont mis...
04:46 Si tu te retournes, il y a les chiottes derrière.
04:48 Donc là, c'est vraiment ceux qui font ce virage-là en général.
04:52 Ils ne regardent pas Unai ni ce blond, donc personne ne se souvient.
04:56 Là, on est sûr...
04:59 Qu'on est au début des années sombres.
05:02 En fait, pourquoi je parle d'Arsenal ? J'en ai un peu rien à foutre d'Arsenal.
05:06 Normalement, moi je suis fan de Liverpool.
05:08 Je suis fan de l'Arsenal.
05:09 Ça donne envie d'être transféré.
05:15 - Ça peut faire un souvenir à Toulouse.
05:17 - Putain, ouais.
05:19 Le jeune Thomas, 17 ans, signe Arsenal.
05:28 Dans une vie parallèle, ça a peut-être existé.
05:33 T'imagines quand t'es un coach qui vient de te prendre 3 fois des 4-0 dans la gueule
05:38 et tu dois parler à tout ça ?
05:40 Avec que des connards qui sont là alors.
05:43 "Bah écoute, j'ai fait ce que j'ai pu.
05:46 Est-ce que vous pensez que votre heure est comptée ?"
05:48 "Bah on va voir."
05:51 Ça doit être vraiment pénible.
05:53 Faisons ça à la fameuse entrée des joueurs.
05:58 Ils sont collés à ce point-là.
06:02 Tu m'étonnes qu'ils voulaient se rentrer des patates dans la gueule avant le début.
06:05 Regarde-moi ça.
06:08 Quelle vie on a quand même.
06:14 C'est Tex qui m'avait dit ça un jour dans le TGV.
06:16 "On est vernis, on se régale."
06:20 J'ai dit "Bah ouais, Tex.
06:23 Bah ouais, on se régale."
06:26 Je savais pas du tout comment...
06:28 Ouais, ouais, carrément.
06:30 "Il faut dire quoi, là ?"
06:31 "Bah ouais."
06:32 Franchement, j'ai un moment de solitude.
06:37 J'ai peur de pas faire pour un con.
06:39 Les gens, ils attendent le match sérieusement.
06:41 On va aller saluer le commentateur du jour, François Marchal et Christophe Jallet.
06:44 Bonjour à tous les deux.
06:45 Et j'aperçois un invité de marque à vos côtés.
06:48 François, bonjour.
06:49 Thomas Njijohel.
06:50 Bonjour, bonjour à tous.
06:51 Liverpool qui a l'occasion de faire un break important.
06:54 Complètement.
06:56 Je pense que si Darwin Nunez ne fait pas ce qu'il fait de mieux,
06:58 c'est-à-dire louper des pénaltys et autres actions,
07:01 on peut clairement prendre un avantage conséquent vers le titre.
07:04 François, vous pouvez lui dire que moi, ça m'arrangerait qu'il loupe les buts.
07:07 Je sais bien, Robert.
07:09 Mais écoute, pour le coup, ça m'arrangerait pas.
07:12 J'ai fait le déplacement, je suis levé depuis 6 heures.
07:14 Donc j'espère que la journée va bien finir.
07:16 Voilà.
07:17 Et vous jouez avec votre beau maillot vert ou pas, aujourd'hui ?
07:19 Écoute, je ne sais pas, mais ça serait bien qu'ils...
07:22 Ah non, ils auraient pas... Ouais, écoute...
07:24 Je sais pas quoi te dire, Robert.
07:26 En fait, elle est ridicule, ta question.
07:28 Ils vont jouer au football et puis le maillot, je m'en branle, en fait.
07:31 Il faut être rodé, là, dans votre métier.
07:35 Ah bah, le maillot vert, c'est sûr qu'avec...
07:37 Si tu sais pas quoi dire, mets pas dans la sauce.
07:39 Bon, bah, c'était sympa.
07:41 On va aller se voir la statue de Thierry Henry ?
07:43 Il faut sortir du stade, non ?
07:45 Ouais, ouais, mais on peut revenir après, facilement.
07:47 Ah, mais j'ai froid.
07:48 Alors, peut-être que la statue de Thierry Henry,
07:50 on ira la voir lors du prochain match, non ?
07:51 Vous voulez pas qu'on aille voir des posters à l'intérieur, là,
07:53 où il y a des énormes... Clairement.
07:55 Après, t'as que tu colles ma tête en interview.
07:57 Tu fais un petit montage dynamique.
08:00 Ça peut être sympa.
08:02 J'ai quand même vu des légendes, déjà.
08:12 J'ai quand même parlé avec Colo Touré.
08:14 Je dis ça, je dis rien, vainqueur de la Cannes, équipe des Invincibles.
08:18 Pour ceux qui connaissent le ballon, on n'est pas sûrs de la merde.
08:21 Ah, là, il y a Yapstam, là-bas.
08:23 Sacré bonhomme, lui, sur le terrain.
08:25 Ensuite, on avait un petit Gary Neville.
08:27 J'ai jamais su le piffrer, donc j'ai pas été venu en bonjour.
08:30 Non, il y a de la légende, hein.
08:32 Oh, il t'a regardé.
08:41 Le mec, là, gros pic.
08:43 Il a regardé vers moi.
08:44 Barwin, il joue pas.
08:49 Ça, c'est une bonne nouvelle.
08:50 Il est là, il est là.
08:51 Putain, l'enculé, ce qu'il vient de faire.
08:59 Dans le plus grand des calmes, regarde ce qu'il vient de prendre.
09:01 Regarde, regarde, regarde.
09:02 Non ! Oh non !
09:04 Oh non ! Oh non !
09:06 Ah, il abuse !
09:07 Hein, quoi ? Bah, je fais ça, je parle de ça pendant...
09:13 Un, dix, cent ans de ma vie.
09:14 On va aller dans le COP d'Anfield, ça vous va ?
09:16 Enfin, à l'émirat de Stadium, mais un peu dans le COP.
09:18 J'ai un ancien Red, Florent Sinama-Pongole,
09:20 et un supporter des Reds, Thomas Dijon,
09:22 qui est avec nous toute l'après-midi.
09:24 C'est bien chez vous, ou pas ?
09:25 Ah, c'est pas mal, hein.
09:27 Le buffet est pas mal.
09:28 Mais j'ai remarqué qu'il n'y a pas énormément de photos de toi, ancien joueur.
09:32 Je te dis ça, je te dis rien.
09:33 Aïe, aïe, aïe.
09:34 On a mis en valeur William Saliba.
09:36 On peut parler de son homologue, défenseur central français,
09:39 qui a été excellent, lui aussi, au match aller,
09:41 qui est excellent depuis le début de saison.
09:42 C'est Ibrahima Konate.
09:43 Je veux pas te mentir.
09:45 Ibrahima Konate m'a promis de me laisser son maillot.
09:48 Donc, pour des raisons totalement opportunistes,
09:51 il n'y a pas photo entre les deux.
09:53 Putain, Darwine Joniez est pas titulaire.
09:56 Ça vous fait plaisir, Thomas ?
09:57 C'est moi, Thomas.
10:01 Thomas, c'est moi.
10:02 Non, mais sincèrement, j'aime beaucoup Darwine Joniez en joker.
10:06 Et je pense que son impact en quatre coups durs
10:08 peut nous être très utile.
10:09 Voilà.
10:10 Merci, Flo.
10:11 Merci, Thomas.
10:14 Arsenal-Liverpool, c'est parti.
10:16 Un match capital, un match fondamental.
10:20 Le De Garde qui rejoue avec Kaya Verts.
10:24 C'est dû à 1 contre 1.
10:27 Kaya Verts face à Alisson, superbe Alisson.
10:30 Et sacca derrière,
10:32 qui réveille l'esprit conquérant des Gunners.
10:35 Un temps, pour l'instant, idéal pour les Gunners.
10:43 Regarde ce dernier ballon,
10:44 Luis Diaz qui l'emmène,
10:45 Saliba, oh Luis Diaz qui appuie derrière,
10:47 finalement, but !
10:48 Liverpool égalise !
10:50 Sur un coup du sort, un coup de théâtre !
10:56 Un partout, Liverpool n'est jamais mort !
10:59 À la mi-temps.
11:00 Ils barrent nous, ils barrent du monde.
11:02 Là, c'est une deuxième mi-temps qui a commencé.
11:04 C'est un deuxième match.
11:05 Parce que l'Arsenal, ils aiment bien s'emballer,
11:07 mais ils sont fébriles.
11:09 Ils sont faibles.
11:11 Le coup d'envoi a été donné de cette deuxième période.
11:14 Un partout, Declan Rice.
11:16 Martinelli, l'appel de Kaya Verts.
11:21 Qui est lancé, suivi par McAllister.
11:24 Verts dans la surface, oh le contact !
11:27 Rien à dire, Anthony Taylor.
11:30 La recherche de Martinelli, plein axe.
11:36 Van Dijk, oh là là, Alisson s'est manqué !
11:39 Et Martinelli profite de l'aubaine !
11:42 Incroyable action !
11:44 Trossard, formidable !
11:50 Leandro Trossard qui fonce vers la surface de réparation.
11:53 Trossard qui va craper !
11:56 Cette fois, c'est gagné pour Arsenal !
12:00 Il y a de la rage !
12:02 Il y a comme une fureur !
12:04 Il y a beaucoup d'ardeur !
12:06 3 buts à 1 !
12:08 Une bonne opé de merde.
12:10 A 3-0, je suis parti, c'était trop.
12:15 3-1, pardon.
12:17 Presque 0, franchement, le but, c'est horrible.
12:22 Toute cette immense de merde.
12:24 Mais en fait, je me suis déplacé.
12:26 J'ai abandonné femme, enfant, un dimanche.
12:31 Pour souffrir.
12:33 C'est un sujet comme ça, comment tu le finis ?
12:35 On va faire la fin trop vite.
12:37 Ils vont me filmer en train d'ingurgiter des bières.
12:40 On s'en fout.
12:42 Après lui, il est parti à la douche avant les autres.
12:44 Son slip, il est sec.
12:47 Et derrière, Bonatti, attention, il a déjà un carton jaune.
12:51 Ce sera le deuxième.
12:53 Et Liverpool va se retrouver à 10 pour les dernières minutes.
12:56 Il a envoyé un petit rappeur, imagine.
12:59 Un petit rappeur, il a envoyé un petit rappeur.
13:03 Un petit rappeur.
13:05 Je suis désolé, il m'a dit qu'il envoyait un petit rappeur.
13:11 Du coup, je n'ai pas compris.
13:13 Je lui ai dit petit rappeur.
13:15 Merci en tout cas.
13:17 C'est toi qui rappes et qui joue ?
13:19 Je suis un peu nul en fait.
13:21 Comment tu t'appelles ?
13:23 Enchanté, merci.
13:25 Est-ce qu'il y a d'autres qui sont malheurs, sont transpis ?
13:32 Je peux te dire que c'est le vrai maillot.
13:34 Je te voyais par contre après pour sortir, tu sais jamais.
13:36 Le supporter, il a dit.
13:38 Sorry, sorry.
13:40 Yes man, Ibrahima.
13:42 Il ne voit pas grand-chose, il doit avoir la haine.
13:44 Il y a une grande phrase d'un grand entraîneur de foot quand j'étais jeune.
13:49 Un ancien grand joueur qui s'appelait Safet Suzic.
13:53 Et qui a dit le football, un jour tu gagnes, un jour tu perds.
13:59 Et je pense que c'est la phrase qui résume assez bien cette journée.
14:02 On a perdu, mais la vie continue.
14:05 J'arrive.
14:14 Vous voulez quoi encore ?
14:18 Vous n'avez pas compris que cette journée était une journée oubliée pour moi.
14:27 Je suis levé depuis une heure qui n'a même pas lieu d'être qu'on est un humain normalement constitué.
14:34 Je perds 3-1. Regardez mon regard, il n'y a plus rien à donner les gars.
14:37 Je perds 3-1. Regardez mon regard, il n'y a plus rien à donner les gars.
14:39 Je perds 3-1. Regardez mon regard, il n'y a plus rien à donner les gars.
14:41 Je perds 3-1. Regardez mon regard, il n'y a plus rien à donner les gars.
14:43 Je perds 3-1. Regardez mon regard, il n'y a plus rien à donner les gars.
14:45 Je perds 3-1. Regardez mon regard, il n'y a plus rien à donner les gars.
14:47 Je perds 3-1. Regardez mon regard, il n'y a plus rien à donner les gars.
14:49 *Bruit de moteur*
14:51 *Bruit de porte qui s'ouvre*

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