• il y a 10 mois

Dans son zapping, Dimitri Vernet revient sur les évènements politiques de la semaine.
Retrouvez "Le zapping d'Europe 1" sur : http://www.europe1.fr/emissions/le-zapping-deurope-1

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Transcription
00:00 7h-9h, Europe 1 Matin.
00:03 Vous le trouverez sur les réseaux sociaux, mais en rebond, parce que l'original il est sur Europe 1.
00:08 Bonjour Dimitri Vernet, le Zapping politique, c'est à vous.
00:10 Votre Zapping numéro 104 arrive en gare au studio Lagardère, avec une minute de retard, comme tous les jours.
00:19 Mais oui, le Zapping, c'est un petit peu notre TGV de la matinale.
00:22 Transition, tout trouvé avec l'actu du moment et cette nouvelle grève des contrôleurs laissant un TGV sur deux à Casweekend.
00:29 Une galère pour beaucoup de Français, mais ne vous en faites pas, le PDG de SNCF Voyageurs, Christophe Fenichet, a un message pour vous.
00:35 Pardonne-moi.
00:37 D'abord, le premier mot que je voulais avoir pour tous les Français aujourd'hui, c'est d'abord les excuses.
00:42 Et il a fait le tour des plateaux pour vous le dire, comme France 2.
00:45 D'abord, je souhaite d'abord présenter toutes mes excuses, toutes les excuses de l'entreprise.
00:50 Ou encore sur la 5.
00:52 D'abord, merci à Nélisabeth Lemoyne de m'inviter, d'abord pour présenter mes excuses aux Français, parce que les trains ne vont pas circuler normalement ce week-end.
00:59 Pardonne-moi.
01:00 Bon, on a compris, Christophe, on a compris.
01:02 La réalité, c'est que les excuses, on commence à en avoir par-dessus la tête.
01:07 Éric Ciotti était sur TF1.
01:09 Il faut aujourd'hui arrêter de prendre les Français en otage.
01:14 Solution dans la voix du président du Sénat, Gérard Larcher sur BFM.
01:17 Je crois qu'il faut prendre des dispositifs qui fassent que cet usage de la grève ne soit pas une prise d'otage.
01:26 Enfin, ah oui, enfin, j'ai envie de vous le dire, enfin.
01:28 Bon, par contre, il va falloir que je me calme sur mes expressions, moi, parce qu'on va vite finir par décompter mon temps de parole.
01:34 Bah oui, attention.
01:34 Attention, Dimitri, il faut veiller au pluralisme selon le Conseil d'État.
01:38 Mais alors, comment l'Arkham va faire pour définir l'orientation politique des journalistes ?
01:42 Je vous propose d'écouter François Jost sur Sud Radio, l'auteur du rapport de Reporters sans frontières.
01:46 Je ne veux pas prendre des exemples.
01:47 Enfin, si, quand je vois la Omerta, par exemple, que le monde définit comme quelque chose d'extrême droite, bon, je prends l'avis du monde.
01:56 Ah bah oui, la bible du pluralisme, la bible du journalisme, c'est le journal Le Monde.
02:02 C'est Jost minable.
02:03 Plus drôle encore, François Hollande s'est exprimé à ce sujet hier sur Quotidien.
02:07 J'ai renoncé à aller sur CNews et je n'ai pas d'ailleurs été invité, ce qui m'a permis de ne pas renoncer.
02:12 Ah oui, donc on ne peut pas aller sur CNews, mais surtout on n'y va pas parce qu'on n'est pas invité.
02:16 Dommage, monsieur le président, Pascal Praud était en direct.
02:18 Je regarde dans mon portable des SMS où je l'ai invité, mais un nombre de fois incalculable.
02:24 Il n'est jamais venu d'ailleurs.
02:26 Ah bah regardez, Pinocchio, monsieur Hollande, votre nez s'allonge.
02:31 Reporters sans frontières, le Conseil d'État, il va falloir analyser tout ça.
02:34 Bon, allez, on termine par le feuilleton que j'adore.
02:37 Vous le savez, j'adore ça, l'affaire de la sextape.
02:40 Vous savez, cette vidéo olé olé d'un sénateur qui circule dans les couloirs de la chambre Haute.
02:44 Le président du Sénat, Gérard Larcher, a remis une pièce dans la machine.
02:47 Cette vidéo, j'en étais informé, j'ai jamais vu cette vidéo.
02:51 Bon, première information, il n'a pas vu cette vidéo.
02:54 Enfin, j'ai envie de vous dire, pas encore.
02:56 Parce que je soupçonne Gérard de tout faire pour pouvoir la visionner.
03:00 Il m'a semblé important de saisir le procureur de la République pour qu'on y voit clair.
03:04 Y voir plus clair, oui, pas encrypter en gros, Gérard.
03:08 Ferme ta gueule.
03:09 Bon, ça va, ça va Gérard.
03:10 On ne peut plus rien dire, c'est dingue.
03:12 On ne peut plus rien dire.
03:13 Bref, bon week-end.
03:14 Y a des sujets sensibles.
03:15 La suite au prochain épisode.
03:16 Merci beaucoup Dimitri Vernet, le zapping politique.

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