Le journaliste, Vincent Roy, a évoqué la consommation de crack à Paris sur le plateau de Midi News WE : «Il y a un problème de sécurité, de santé publique et d'immigration».
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00:00 - Ils ne vont peut-être pas être attentistes très longtemps, puisque comme il va y avoir les géosolingues...
00:03 - Eh oui, mais ça on va en reparler avec le trône policier.
00:06 - Je pense qu'on peut imaginer que là, finalement, les problèmes disparaissent, au moins le temps des jeux.
00:13 Non mais écoutez...
00:13 - Je ne sais pas si on peut en être certains.
00:15 - D'abord, je suis très étonné puisque moi, je tombe des nues, j'ironise évidemment,
00:20 mais le préfet Nunes nous avait expliqué qu'en un an, le krach allait disparaître de Paris.
00:27 On peut croire également au Père Noël, mais enfin, il nous avait dit ça.
00:30 Preuve qu'il n'a pas disparu.
00:32 Il y a trois problèmes.
00:34 Un problème de sécurité, un problème de santé publique, et Johan vient de le dire,
00:39 et un problème d'immigration.
00:41 Les trois problèmes combinés vont donner ce que l'on voit là.
00:44 Mais il y a aussi les méthodes.
00:45 Regardez la méthode Giuliani, tolérance zéro.
00:49 Elle a prouvé qu'on pouvait régler le problème.
00:55 Or, là, effectivement, personne, il semble bien que personne ne fasse rien.
01:00 J'imagine la personne qui a acheté il y a dix ans un appartement dans ce quartier,
01:03 comment le revendre aujourd'hui ?
01:05 Enfin, c'est une véritable catastrophe.
01:06 Alors, on laisse les gens dans la rue se détruire sans rien faire.
01:11 On les accueille, puisque la plupart du temps, effectivement, c'est lié à l'immigration.
01:16 On les accueille, on ne fait rien pour eux.
01:18 Les riverains n'en peuvent plus.
01:20 Ils ne mettent même plus les pieds à Stalingrad.
01:22 Et ça continue.
01:24 Je vous dis, je pense qu'on ne peut pas laisser, parce que quelle image,
01:28 quelle image on donne de nous ?
01:30 Je pense que quand les JO vont débuter, ça va être pour un temps.
01:33 On va nettoyer, c'est-à-dire mettre du bleu et repousser,
01:36 comme le disait Nathan et Ancela, il a raison, et repousser les populations.
01:40 Mais c'est indigne. Voilà où on est pari.
01:42 Voilà l'image que nous donnons de nous.
01:45 Voici l'impéritie d'un pouvoir incapable de se faire respecter.
01:49 C'est lamentable.
01:50 Vous savez, je...
01:51 ♪ ♪ ♪
01:54 [SILENCE]