#cyberguerre #étudiants #cybersécurité #exercice
Des étudiants participent à un exercice de cyberguerre à Nancy
Un groupe d'étudiants s'entraîne actuellement à mener une cyberguerre en collaboration avec l'Armée française. Cet exercice, connu sous le nom de Cyber Humanum Est, a lieu à la base de Nancy depuis le début de la semaine. Pendant 48 heures, ces jeunes talents s'affrontent dans un scénario réaliste et intense.
Un entraînement de grande envergure
Depuis quatre ans, Cyber Humanum Est rassemble près d'une centaine d'étudiants dans un exercice d'envergure. Son objectif est de repérer les meilleurs talents dans le domaine de la cyberguerre, un domaine qui est loin d'être simple. Tout se déroule virtuellement, organisé par l'Armée française qui recrute de nombreux jeunes.
Un scénario complexe à résoudre
Les étudiants participants à l'exercice se voient attribuer un scénario qui ressemble à celui d'un film. Dans ce scénario, on découvre qu'aux Maldives, les mines de lithium sont exploitées par l'État de Cryptanga. Cependant, le permis d'exploitation arrive à échéance et un concurrent s'est mêlé de cette affaire. En parallèle, des élections locales se déroulent, créant ainsi une tension accrue entre les deux États. Pour compliquer davantage la situation, des habitants ont engagé des hackers pour mener des cyberoffensives contre le concurrent. Les étudiants doivent donc déjouer les pièges informatiques des adversaires et protéger des lieux sensibles tels que les ambassades, les systèmes de sécurité des hôpitaux et les réseaux de circulation.
Un test pour les jeunes talents
L'exercice a également pour but de repérer les jeunes talents qui pourraient intégrer l'Armée française ou le domaine de la cybersécurité. Pendant 48 heures non-stop, les étudiants s'affrontent dans un rythme soutenu. Le commandant de la base met à leur disposition 200 équipements virtuels pour mener à bien leurs missions. Cette opportunité permet également de tester la résistance des systèmes de sécurité face aux attaques, ce qui peut s'avérer utile dans le domaine de la cybersécurité.
La cyberguerre, un enjeu majeur
Durant cet exercice intense, les étudiants ont la possibilité de hacker des appareils Bluetooth, d'utiliser le dark web et de pirater des drones ainsi que des caméras de surveillance. Le but est de détecter les talents qui pourraient intégrer le ComCyber, ainsi que les futurs génies de la cybersécurité. Bien que cet exercice puisse être perçu comme un jeu, il res
Des étudiants participent à un exercice de cyberguerre à Nancy
Un groupe d'étudiants s'entraîne actuellement à mener une cyberguerre en collaboration avec l'Armée française. Cet exercice, connu sous le nom de Cyber Humanum Est, a lieu à la base de Nancy depuis le début de la semaine. Pendant 48 heures, ces jeunes talents s'affrontent dans un scénario réaliste et intense.
Un entraînement de grande envergure
Depuis quatre ans, Cyber Humanum Est rassemble près d'une centaine d'étudiants dans un exercice d'envergure. Son objectif est de repérer les meilleurs talents dans le domaine de la cyberguerre, un domaine qui est loin d'être simple. Tout se déroule virtuellement, organisé par l'Armée française qui recrute de nombreux jeunes.
Un scénario complexe à résoudre
Les étudiants participants à l'exercice se voient attribuer un scénario qui ressemble à celui d'un film. Dans ce scénario, on découvre qu'aux Maldives, les mines de lithium sont exploitées par l'État de Cryptanga. Cependant, le permis d'exploitation arrive à échéance et un concurrent s'est mêlé de cette affaire. En parallèle, des élections locales se déroulent, créant ainsi une tension accrue entre les deux États. Pour compliquer davantage la situation, des habitants ont engagé des hackers pour mener des cyberoffensives contre le concurrent. Les étudiants doivent donc déjouer les pièges informatiques des adversaires et protéger des lieux sensibles tels que les ambassades, les systèmes de sécurité des hôpitaux et les réseaux de circulation.
Un test pour les jeunes talents
L'exercice a également pour but de repérer les jeunes talents qui pourraient intégrer l'Armée française ou le domaine de la cybersécurité. Pendant 48 heures non-stop, les étudiants s'affrontent dans un rythme soutenu. Le commandant de la base met à leur disposition 200 équipements virtuels pour mener à bien leurs missions. Cette opportunité permet également de tester la résistance des systèmes de sécurité face aux attaques, ce qui peut s'avérer utile dans le domaine de la cybersécurité.
La cyberguerre, un enjeu majeur
Durant cet exercice intense, les étudiants ont la possibilité de hacker des appareils Bluetooth, d'utiliser le dark web et de pirater des drones ainsi que des caméras de surveillance. Le but est de détecter les talents qui pourraient intégrer le ComCyber, ainsi que les futurs génies de la cybersécurité. Bien que cet exercice puisse être perçu comme un jeu, il res
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