• il y a 9 mois
La cour des comptes pointe la viabilité de la plupart des stations qui n'ont pas su anticiper le réchauffement climatique et ont continué à miser sur le ski. Et Gresse en Vercors fait son maximum pour maintenir une activité neige pour les vacanciers qui pourraient débarquer dès samedi. Le Grenoble tennis monte au filet avec 2 tournois internationaux cette semaine. Plus de 150 espoirs du tennis mondial disputent le 14ème open Engie de l'Isère qui devient un W75 et toujours en M15 le trophée de la ville de Grenoble. Un double événement qui a vu passer des champions . Et puis combien y aura t-il de classes à la rentrée 2024 en Isère ? Des ouvertures, des fermetures ? Le point sur la carte scolaire avec Patrice Gros, directeur académique de l'Isère. Et comment vont s'organiser les groupes de niveaux au collège.

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00:09 La cour des comptes pointe la non viabilité de la plupart des stations qui n'ont pas su anticiper le réchauffement climatique et ont continué à miser sur le ski.
00:16 Mais Grasson-Vercors fait de son maximum pour maintenir une activité neige pour les premiers vacanciers qui pourraient débarquer dès samedi.
00:23 Le Grenoble Tennis monte au filet avec deux tournois internationaux cette semaine. Plus de 150 espoirs du tennis mondial disputent le 14e Open Engie de l'ISER qui devient un 75 pour les femmes et toujours un 15.
00:37 Le trophée de la ville de Grenoble pour les garçons, un double événement qui a vu passer bien des champions.
00:42 Et puis combien y aura-t-il de classes à la rentrée 2024 en ISER ? Des ouvertures ? Des fermetures ?
00:48 On fera le point sur la carte scolaire avec Patrice Gros, directeur académique de l'ISER. On reviendra aussi sur le choc des savoirs qui a choqué pas mal d'enseignants mais peut-être pas dans le sens voulu.
00:58 Bonsoir à tous, ravie de vous retrouver dans ce JT du mercredi 7 février 2024. Du lundi au vendredi à partir de 18h, l'essentiel de l'actualité du Grand Grenoble.
01:10 Station Terminus, dans son rapport publié mardi, la Cour des comptes estime que le modèle économique du ski français s'essouffle.
01:18 Les investissements au tout-ski continuent sans tenir à ses comptes du réchauffement climatique.
01:23 L'instance présidée par Pierre Moscovici déplore une vue à court terme sur l'usage de la neige et de l'eau et estime que d'ici 2050, toutes les stations seront plus ou moins touchées.
01:32 Deux stations iséroises figurent parmi les dix domaines les moins vulnérables, les Deux Alpes et le Col de Porte.
01:37 La Cour des comptes préconise de mettre en place une gouvernance des stations de montagne ne relevant plus que du seul échelon communal
01:44 et la mise en place d'un fonds d'adaptation du changement climatique destiné à financer des actions de diversification et de déconstruction des installations.
01:52 Un rapport de 146 pages que vous pouvez retrouver dans son intégralité sur le site de la Cour des comptes.
01:59 Y'a qu'à Flocon, samedi ce sera le coup d'envoi des vacances d'hiver avec la zone C, Paris et Toulouse.
02:07 En attendant le retour des vrais flocons, peut-être pour ce week-end, la station de Graisson-Vercors fait tourner saison neigeur à la faveur de températures nocturnes assez fraîches.
02:16 Et même si on ne ski pas, le cadre au pied du Grand Vémont devrait satisfaire les amoureux des grands espaces et de la nature.
02:23 Cette année est un peu moins facile que les autres avec le redout, mais on est une station familiale et surtout spécialisée pour l'apprentissage du ski avec les familles.
02:33 Alors il faut savoir qu'on a pas mal d'activités. Grâce à la neige de culture, on est assuré de garder l'espace débutant qui sera toujours accessible en ski.
02:43 Et on fait notre maximum pour travailler et maintenir les pistes. On remercie tous nos dameurs.
02:48 Après, en plus du ski, on a quand même pas mal d'activités et d'animations pour petits et grands.
02:54 Donc il faut savoir que sur les prochains événements à venir, on aura quand même une journée en initiation ski de rando pour les débutants avec le département de l'ISER.
03:02 Il va y avoir le 24 février la Nordica-Taxe et des mini-Olympiades en ski de fond et des courses à deux.
03:08 Et puis après, on a pas mal d'animations, que ce soit les descentes au flambeau, on a des soirées avec DJ de 16h à 18h organisées par des associations, que ce soit Progress ou Géva.
03:19 On a les pots d'accueil, on a également aussi des constructions d'iglou, on peut faire des balades, on a des soirées neige à avalanche.
03:28 On est en train de travailler avec tous les socios professionnels. Si le redout est maintenu et qu'il n'y a pas de chute de neige,
03:34 il y en a bien sûr qui sont annoncés la semaine prochaine, on l'attend avec impatience.
03:39 Dans ces conditions, la station a également revu un peu à la baisse le prix de ses forfaits.
03:45 Il y a de l'urgo dans l'air et des pharmaciens qui s'asphyxient.
03:48 85 responsables d'officines en ISER vont devoir s'expliquer devant la justice sur des cadeaux versés par la célèbre entreprise de Sparadrap.
03:55 Pour certains, de moins de 1500 euros, pour d'autres jusqu'à 10 fois plus.
03:59 Une information révélée par France 3 qui fait suite à l'amende de plus d'un million d'euros prononcée l'an dernier contre Urgo pour infraction à la loi anti-cadeaux.
04:06 Pas de problème pour ceux pouvant servir à l'activité de l'officine, mais les cadeaux personnels auraient dû faire l'objet d'une déclaration au fisc.
04:14 Les balles sont dans le camp du Grenoble Tennis.
04:17 Le club grenoblois organise cette semaine sur ses cours de tournois internationaux.
04:22 L'Open NJ de l'ISER pour les femmes et le Trophée de la ville de Grenoble pour les hommes.
04:27 Même si quelques-unes des têtes d'affiches annoncées au départ ont finalement renoncé à y participer,
04:34 l'événement reste une occasion quasi unique de voir dans l'agglo des matchs de haut niveau avec des joueurs et surtout des joueuses susceptibles d'évoluer un jour en grand chlem Jérémy Pinard.
04:45 Le club du Grenoble Tennis prend place le temps d'une semaine sur la scène internationale.
04:50 Les huit cours endure intérieur du club reçoivent 144 sportifs féminins et masculins pour jouer deux tournois internationaux.
04:59 Une compétition féminine le 14e NJ Open de l'ISER et une compétition masculine le 6e Trophée de la ville de Grenoble.
05:06 On a 80 hommes et 64 femmes qui vont passer ici la semaine pour remporter des points qui comptent pour le circuit mondial.
05:15 Chez les joueuses c'est 75 points pour la vainqueur et chez les hommes c'est 15 points puisqu'on est sur le circuit un peu en dessous qui s'appelle le circuit futur.
05:21 C'est plutôt un circuit qui va révéler les futures pépites, les meilleurs juniors du tennis mondial.
05:26 Alors que chez les filles on est déjà sur des joueuses qui sont entre la 100 et la 200e place mondiale, qui sont déjà bien installées dans leur sport.
05:33 Cette année le tournoi féminin franchit un nouveau cap en passant de la catégorie W60 à W75.
05:41 La première fois que je suis venu c'était un tournoi qui était pour les tournois masculins 15 000 dollars et féminins 25 000 dollars.
05:48 Aujourd'hui on est sur un tournoi très très haut de gamme chez les femmes puisque c'est un tournoi 75 avec une dotation de 60 000 dollars.
05:56 Au programme de cet après-midi, un double 100% grenoblois, Antoine Berger et Rodrigo Aloura se retrouvent en phase 2,
06:03 Malo Pouleskin mais aussi Gabriel Debru, jeune prometteur du tennis français et vainqueur de Roland-Garros Junior en 2022.
06:11 Disons qu'on le connaît bien Gabriel parce qu'on s'est entraîné avec. Moi la semaine dernière j'ai tapé avec.
06:18 C'est pas comme si on découvrait quelqu'un, on connaît super bien donc je pense que ça fausse un petit peu ça.
06:24 Au cours d'un match très serré offrant un 7 à chacune des paires, Antoine et Rodrigo ont su l'emporter au jeu décisif 10 à 8.
06:31 Sortant alors de la compétition, Gabriel et Malo.
06:35 Et si certains non connus peuvent apparaître à la programmation, le Grenoble Tennis aujourd'hui ne gagne pas d'argent sur l'organisation d'un tournoi comme celui-ci.
06:42 C'est pas une histoire financière, c'est avant tout une aventure humaine, c'est passer la semaine ensemble pendant 10 jours
06:48 et avoir envie de proposer finalement aux joueurs, aux joueuses et puis aux spectateurs un spectacle de qualité et un tournoi intéressant.
06:56 Aujourd'hui, hormis Roland-Garros, le Grenoble Tennis est le seul club en France à combiner un tournoi international, femmes et hommes sur la même période.
07:05 Et l'entrée est libre, sauf à partir des demi-finales. Les réservations se font sur le site du Grenoble Tennis.
07:13 Thibaut Collet égale sa meilleure performance de la saison après deux essais.
07:18 L'Iseroy a franchi mardi la barre à 5m82 à Uppsala en Suède.
07:23 De quoi se remonter le moral après sa contre-performance à Metz où il n'avait franchi que 5m65 avec dans le viseur les championnats de France et du Monde.
07:32 Ce sera début mars.
07:34 Au tableau, nous sommes déjà au milieu de l'année scolaire et comme le temps passe très vite, c'est dès à présent qu'on prépare la suivante, notamment la carte scolaire.
07:44 C'est ce qu'on va voir avec vous, Patrice Gros. Bonsoir.
07:47 Bonsoir.
07:48 Vous êtes le directeur académique de l'Iser. Est-ce que vous pouvez nous dire déjà combien d'élèves vont faire leur rentrée dans le premier degré en 2024 ?
07:58 Oui, on a plus de 110 000 élèves qui vont faire leur entrée dans les écoles publiques de l'Iser.
08:05 Alors, en toute honnêteté, c'est une baisse par rapport à l'année dernière parce qu'on prévoit 1493 élèves de moins dans nos écoles iséroises.
08:15 C'est une baisse qui s'inscrit dans une dynamique des dix dernières années parce qu'en dix ans, on a perdu plus de 10 700 élèves en Iser.
08:23 C'est beaucoup, c'est beaucoup, mais cette baisse, bien sûr, amène forcément moins d'élèves dans nos écoles et du coup, une baisse du nombre d'élèves dans chacune des classes de l'Iser.
08:33 Est-ce qu'il y a aussi des fermetures de classes ? Quelle est la limite pour garder une classe ?
08:38 Oui, effectivement, comme toutes les années, on a des ouvertures et des fermetures de classes. Habituellement, en Iser, c'est à peu près une centaine de classes qui ferment.
08:47 Et puis tout autant d'ouvertures, bien évidemment. Cette année, ce sera à peu près 80 classes qui vont fermer dans le département. On va en ouvrir une quarantaine.
08:58 Et que deviennent les enseignants ?
09:01 Alors, en fait, les enseignants, si vous voulez, d'une année sur l'autre, on a ce qu'on appelle une balance ressources humaines, parce qu'effectivement, il y a des enseignants qui partent, d'autres qui arrivent.
09:13 Et une centaine de classes pour un département comme le nôtre, c'est assez faible par rapport au mouvement des enseignants.
09:19 Aujourd'hui, nos repères d'ouverture et de fermeture par rapport à ce qui se passait habituellement, qui était à peu près 32 élèves en école maternelle pour ouvrir et fermer,
09:29 27, 27 et demi en élémentaire, on est passé à 26 à la rentrée 2023. On va tenter de passer à 25 à la rentrée 2024.
09:39 Ce qui veut dire qu'il faudra tourner autour des 25 élèves par classe pour pouvoir observer une ouverture dans une école et de la même façon pour la fermeture.
09:48 Est-ce que ce sont des chiffres qui sont vraiment très stricts ou localement, il peut y avoir des ajustements, des discussions ?
09:55 Chaque situation est singulière. Cela étant, on essaye d'avoir une équité sur le territoire, sur des situations qui sont semblables.
10:02 Moi, mon rôle, on me donne des postes, c'est de tout dépenser les postes qui me sont octroyés en gardant une équité territoriale, équité, sur le département le disait.
10:13 Alors on était à Gresson-Vercors il y a quelques minutes. On a aussi diffusé un reportage hier sur l'école de Gresson-Vercors qui craignait de perdre une classe.
10:22 Je crois que vous pouvez les rassurer.
10:24 Oui, alors même si les décisions ne sont pas prises, bien sûr, sur Gresson-Vercors, bien sûr, les effectifs baissent.
10:31 On a quelques communes rurales, je pourrais en dire un mot, qui voient ces effectifs baisser.
10:38 Donc effectivement, les parents, les élus locaux craignaient une fermeture.
10:43 On a travaillé avec le maire parce que pour moi, le travail de dialogue et de concertation avec les élus locaux est essentiel.
10:50 Comme vous le savez, nous sommes en compétence partagée sur l'éducation de la jeunesse.
10:56 Et donc, nous avons travaillé avec le maire de la commune pour voir quels étaient les projets communaux en termes de dynamique sur ce territoire.
11:05 Il s'avère qu'il pense que les effectifs seront à la hausse à la rentrée prochaine.
11:11 Dans ce cadre-là, on a convenu avec le maire de maintenir jusqu'à la rentrée une deuxième classe à Gresson-Vercors en attendant donc la réalité.
11:23 Il y a des ajustements qui peuvent se faire tout de suite après la rentrée.
11:26 Jusqu'à début septembre, tout à fait.
11:27 Alors la ministre de l'Éducation nationale, Amélie Oudéa Castera, devant l'Assemblée nationale, a expliqué hier que si le nombre d'enfants était trop réduit,
11:34 c'est toute l'émulation de la classe et la capacité de progression qui est remise en cause.
11:38 Tous les professeurs vous le diront.
11:40 A-t-elle ajouté, est-ce que ça veut dire que ça ne marche pas le dédoublement des classes en REP ?
11:44 Alors, ce n'est pas tout à fait ça.
11:45 C'est-à-dire que selon les situations, et on a parlé d'équité tout à l'heure, on a des dispositifs particuliers dans lesquels justement un nombre réduit d'élèves s'avère efficace.
11:55 Cela étant, et moi je le dis assez simplement, une classe à moins de 10 élèves, ce n'est pas une classe.
12:01 Et peut-être qu'à un moment donné, on peut se mettre d'accord sur cela, c'est-à-dire que quand on a 12, 13, 14 élèves, on peut avoir une certaine émulation à moins de 10.
12:11 Ce n'est pas l'école, c'est autre chose.
12:13 Dans les manifestations, on entend souvent dire qu'il n'y a pas assez d'AESH, c'est des assistants de scolarité.
12:19 Alors comment aller vers plus d'inclusion ?
12:21 Alors, l'accompagnement des élèves en situation de handicap s'opère sur plusieurs dimensions.
12:28 D'abord, on a des dispositifs particuliers pour certains élèves qui en ont besoin.
12:33 À la rentrée prochaine, nous allons créer deux dispositifs ULIS dans nos écoles de l'ISER.
12:40 On va créer un dispositif de plus dans un collège grenoblois.
12:45 Donc c'est la première modalité.
12:47 La deuxième modalité, c'est l'accompagnement des élèves parce qu'ils ont besoin d'adaptation et de compensation.
12:53 Et donc l'AESH est un mode de compensation de l'handicap de l'enfant.
13:01 Aujourd'hui en ISER, on a un nombre d'AESH qui est important et qui correspond à notre nombre d'élèves en situation de handicap.
13:08 On a un travail à faire sur le maillage territorial pour pouvoir mieux accompagner ceux qui en ont le besoin et répondre aux besoins des enfants.
13:16 Et le deuxième levier, bien sûr, c'est le recrutement de ces personnels.
13:21 On a fortement amélioré notre couverture du nombre d'AESH.
13:27 On a encore un pas à faire pour la rentrée prochaine.
13:30 Vous allez aussi ouvrir un poste pour les élèves allophones, c'est-à-dire qui en arrivant ne parlent pas une autre langue que le français.
13:39 Oui, tout à fait. On a des dispositifs qui couvrent l'ensemble du territoire sur ce qu'on appelle les UPE2A,
13:46 les unités pédagogiques pour les élèves allophones arrivant à la rentrée prochaine.
13:51 On ouvre un nouveau poste dans cette dimension.
13:55 Les enseignants de collège ont manifesté pour protester contre le choc des savoirs et surtout les groupes de niveau en maths et en français
14:02 pour les 5e et les 6e qui doivent être mis en place à la rentrée.
14:05 Évidemment, je ne vais pas vous demander ce que vous en pensez, mais comment ça va se mettre en place ?
14:08 Est-ce que vous êtes en soutien des chefs d'établissement ? Ça risque d'être compliqué pour eux.
14:13 Bien entendu. Les groupes de niveau s'inscrivent dans le prologement du travail qui a été fait au niveau académique.
14:21 Madame la rectrice a validé une feuille de route académique des savoirs fondamentaux.
14:27 Et dans ce cadre-là, on travaille sur la dimension des pratiques efficaces et équitables pour l'ensemble des élèves.
14:36 Et les groupes de niveau, qui doivent répondre aux besoins des élèves, prennent cette dimension.
14:42 Il y a une complexité sur la mise en place, parce qu'on garde des classes hétérogènes dans l'ensemble des disciplines,
14:49 sauf en français ou en mathématiques, où des élèves avec des mêmes besoins vont être regroupés sur un temps donné
14:57 pour permettre qu'ils acquièrent ces compétences.
15:01 Ça sera sur toutes les heures de maths, sur toutes les heures de français ou juste sur une heure, comme il pouvait y avoir des renforts ?
15:07 Ça se fait sur l'ensemble des heures de la discipline, en français et en mathématiques, en 6e et en 5e.
15:13 Et la particularité, c'est que les enfants en plus grande fragilité vont pouvoir bénéficier de groupes à effectifs réduits, une quinzaine d'élèves.
15:20 Ce qui, normalement, devrait permettre justement d'augmenter les compétences auprès de ces élèves.
15:25 Alors certains disent que ça peut être un peu stigmatisant.
15:28 Il y a peut-être des parents d'élèves qui vont aller voir les responsables d'établissement et dire
15:32 "mais non, mais moi, mon fils, ma fille n'est pas nul, je veux changer de groupe".
15:35 Alors ce qu'il faut dire, c'est que ces groupes sont flexibles.
15:38 C'est-à-dire qu'à un moment donné, on identifie des besoins pour un élève sur un pan du programme.
15:44 Les compétences pour ces élèves sont travaillées et suite à ça, cet élève peut changer de groupe.
15:50 Et ce qui est important, c'est que l'équipe pédagogique doit, notamment en fin de trimestre,
15:54 faire un bilan de la tenue de ces groupes, de telle sorte de rendre plus flexibles justement ces groupes.
16:01 Merci beaucoup Patrice Gros.
16:03 Merci à vous.
16:04 Quelques idées de sortie du jeudi.
16:06 Le directeur de la MC2 n'oublie pas son métier de metteur en scène.
16:10 Arnaud Meunier propose cette semaine à Grenoble sa version de Candide de Voltaire.
16:13 Dans un univers scénico en couleurs qui emprunte autant aux illustrations impertinentes qu'en a fait
16:18 Joan Sfarck aux propositions graphiques de l'artiste Pierre Nouvel,
16:21 Candide nous entraîne à travers un long voyage initiatique.
16:24 En deux heures d'effervescence ininterrompue, les interprètes comptent autant qu'ils incarnent
16:29 toutes les aliénations du monde d'hier comme d'aujourd'hui.
16:34 Si on parlait aujourd'hui avec Lucille Dailly, un plateau spécial lumière et couleurs,
16:39 avec Jocelyn Choscineau, un enseignant chercheur qui nous révèle les secrets de la lumière infrarouge
16:44 pour résoudre les énigmes d'un escape game créé pour promouvoir cette technologie.
16:49 Nadine Gamay, une artiste peintre aux toiles éclatantes qui emploie l'encre d'imprimerie pour faire jaillir son inspiration.
16:54 Et avec Jean Serrois, journaliste, auteur, qui nous livre sa réflexion haute en couleurs et en relief sur le nouvel âge du kitsch.
17:02 Retour de l'actu dans une heure et en replay sur Télégrenoble.net.
17:06 Excellente soirée à tous.
17:08 [Musique]

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