Le chroniqueur royal, Bertrand Deckers, sur le choix de Charles III d'annoncer son cancer : «C'est une totale révolution»
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00:00 Ça, c'est la totale révolution.
00:01 Déjà, il y a dix jours de cela,
00:03 lorsque l'on a appris son problème à la prostate,
00:05 il a été totalement transparent.
00:07 Il a dit qu'il le faisait pour inciter les autres hommes
00:09 qui avaient ce genre de problème à se faire suivre et tester eux aussi.
00:13 Et alors, c'est un succès absolu,
00:14 puisqu'il y a plus de 1 000 % supplémentaires de personnes
00:20 qui se sont renseignées
00:21 par rapport à ces fameux mots vis-à-vis de la prostate.
00:25 Donc, fort de cela,
00:27 il semblerait que le Palais continue à communiquer
00:31 et à prononcer, en tout cas, ce redoutable mot de cancer.
00:35 Alors qu'on le sait très bien pour Georges VI,
00:37 si l'on remonte, c'était le père d'Élisabeth II,
00:39 cancer du poumon, on n'a rien su du tout.
00:42 Mais honnêtement, il y a deux ans encore,
00:44 il a fallu vraiment attendre qu'Élisabeth II soit alitée
00:47 et qu'on soit certain qu'elle n'en sorte plus
00:48 pour que le Palais commence à dire qu'en effet, il y a un léger problème.
00:51 Sous-titrage ST' 501
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