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Le résumé de toute l'actualité et des faits marquants de la journée

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00:00 De nombreux tracteurs lèvent le camp. Un à un, les barrages diminuent à travers le territoire,
00:07 notamment dans le Finistère, l'Oise et dans le Cher.
00:10 La colère des agriculteurs s'atténue en partie après les annonces de Gabriel Attal.
00:14 Les syndicats FNSEA et Jeunes agriculteurs ont appelé à la levée des barrages,
00:19 mais restent vigilants sur l'application des nouvelles mesures promis par le gouvernement.
00:23 Des mesures d'un montant total de 400 millions d'euros dans le détail, selon le ministère de l'Economie.
00:30 Cette somme inclut les 150 millions d'euros pour soulager la charge fiscale et sociale des éleveurs,
00:35 mais aussi le remboursement partiel de la taxe sur le gazole non routier,
00:39 qui représente une enveloppe de 200 millions d'euros.
00:42 Emmanuel Macron demande la mise en place d'une force européenne de contrôle sanitaire et agricole
00:48 pour éviter la concurrence déloyale entre pays membres de l'Union Européenne.
00:52 Le chef de l'Etat a échangé avec la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen.
00:56 Il a également réitéré son opposition à l'accord commercial controversé entre l'UE et les pays latino-américains du Mercosur.
01:04 Ambiance explosive à Bruxelles devant le Parlement européen ce jeudi.
01:09 Plus d'un millier d'agriculteurs de plusieurs pays se sont donnés rendez-vous en marge du sommet de l'UE.
01:14 Leur objectif ? Dénoncer les normes européennes.
01:17 Sur place, la situation a dégénéré entre manifestants et forces de l'ordre.
01:22 Bonsoir à tous, ravie de vous retrouver dans l'édition de la nuit à la une de l'actualité.
01:40 L'Oise, le Cher et le Finistère voient leur barrage diminuer ce jeudi soir.
01:45 Les agriculteurs ont décidé de lever le camp à l'appel des syndicats FNSEA et Jeunes agriculteurs.
01:50 Une décision qui intervient après les annonces de Gabriel Attal, le président de la FNSEA.
01:55 Arnaud Rousseau s'est rendu auprès des agriculteurs sur l'autoroute A6 dans l'Essonne pour réitérer ses propos.
02:01 Notre journaliste Augustin Donadieu a assisté à ces échanges.
02:05 Dernière soirée ici sur l'autoroute A6 pour ses 150 agriculteurs mobilisés depuis mardi.
02:11 Il avait promis, si le gouvernement leur apportait des réponses concrètes, il rentrerait chez eux.
02:17 Ce vendredi matin, dans la matinée, ils reprendront la direction de leur exploitation.
02:22 En attendant, il profite d'un dernier moment convivial ici au beau milieu de cette autoroute A6.
02:28 Arnaud Rousseau, le président de la FNSEA, en avant-poste dans les négociations avec le gouvernement.
02:37 Il a d'ailleurs été un petit peu auspillé par certains agriculteurs qui ne comprenaient pas pourquoi le mouvement s'arrêtait.
02:43 Il a tenu à préciser que ce mouvement ne s'arrêtait pas mais qu'il se transformait.
02:48 Nous on veut que ça marche et puis si ça ne marchait pas, on le dira et on reprendra des mesures pour faire que le message qu'on a porté,
02:56 en responsabilité, vous l'avez dit, et sans violence, puisse se poursuivre.
02:59 J'en profite pour remercier tous ceux qui nous ont soutenus depuis toutes ces semaines.
03:02 Je veux leur dire que tout ça n'est pas terminé et que finalement ce premier acte de l'immobilisation agricole va se poursuivre.
03:10 Que personne ne pense qu'on va oublier et qu'on nous prenne au sérieux et qu'on avance pour donner une perspective à l'agriculture, c'est ça qu'on souhaite.
03:17 Ces agriculteurs qui se sont d'ores et déjà donné rendez-vous, fin février à l'occasion du salon de l'agriculture.
03:23 En attendant, ils seront très attentifs à ce que les propositions, les solutions apportées par le gouvernement se traduisent en actes concrets dans leurs exploitations.
03:32 Direction l'autoroute A1, à présent à Chenevière-les-Louvres, dans le Val d'Oise où le barrage se vide peu à peu.
03:40 Certains agriculteurs ont prévu d'attendre qu'il fasse jour pour retourner dans leurs exploitations.
03:45 Notre journaliste Mickaël Dos Santos était sur place.
03:49 Ambiance festive et bon enfant ici sur l'autoroute A1 où les agriculteurs profitent de leur dernier moment, profitent de pouvoir discuter, boire leur dernier verre.
03:59 Ici sur ce point de blocage sur l'autoroute A1, avant pour beaucoup d'entre eux de rentrer chez eux.
04:05 D'ailleurs, je suis avec l'un de ceux qui va pouvoir rejoindre sa région qui est le Pas-de-Calais.
04:10 Jean-Charles Paimblanc, merci d'être avec nous sur CNews.
04:14 Objectif rempli, vous êtes satisfait, vous avez le sourire ?
04:18 Alors, le sourire peut-être pas, l'objectif pour moi il est rempli en partie.
04:23 Aujourd'hui, des annonces ont été faites, on attend les actes maintenant.
04:28 D'ici trois semaines, l'ouverture du salon de l'agriculture, je pense que c'est la date, l'ultimatum qui doit être donné au gouvernement
04:37 pour appliquer l'ensemble des annonces qui ont été faites depuis 15 jours par le Premier ministre et son gouvernement.
04:42 Lorsqu'on a échangé ici avec des agriculteurs, on sent quand même une certaine méfiance vis-à-vis de cette parole politique.
04:48 Qu'est-ce que vous attendez précisément désormais dans les prochains jours ?
04:52 On connaît tous nos politiques et donc on parle souvent de promesses et donc aujourd'hui on veut que ce soit acté.
04:58 On a une administration française qui est assez lourde, qui a des fois du mal à réagir.
05:03 Donc voilà, trois semaines, je pense que c'est un bon timing et un calendrier qui doit être donné pour l'ouverture du salon.
05:11 Vous allez pouvoir reprendre vos activités. J'imagine que votre famille aussi est heureuse de pouvoir vous retrouver.
05:17 Oui, tout à fait. 15 jours de mobilisation sur le local, dans le département et là depuis cette semaine sur l'A1.
05:25 Donc merci à l'ensemble des collègues qui ont tenu point de blocage.
05:28 Aujourd'hui le Pas-de-Calais, hier c'était le Nord et l'Oise qui est présente ici en local.
05:32 Voilà Jean-Charles Paimblanc qui va donc rejoindre la région du Pas-de-Calais, qui va rentrer chez lui,
05:37 escorté par les forces de l'ordre. Et il faut le préciser, tout s'est très bien passé sur les différents points de blocage.
05:45 Et ici notamment sur l'autoroute A1, que ce soit avec la gendarmerie ou encore la police.
05:50 Un à un, les barrages diminuent sur le territoire. Mais la vigilance reste de mise pour les syndicats et les agriculteurs
05:58 concernant l'application des nouvelles mesures promis par le gouvernement Barbara Durand.
06:03 Après plusieurs jours de blocage, certains agriculteurs et leurs tracteurs font ce jeudi demi-tour et ils rentrent chez eux.
06:10 La consigne leur a été donnée cet après-midi par la FNSEA et le président des jeunes agriculteurs, Arnaud Gaillot.
06:16 Nous avons décidé qu'à l'heure actuelle, au vu de tout ce qui avait été annoncé, à condition que très rapidement,
06:25 une note soit mise à disposition de nos réseaux sur le terrain pour avoir un écrit de tout ce qui a été dit,
06:32 pour que ça soit clair, que ça puisse être digéré. Nous considérons qu'il faut qu'on change de mode d'action
06:38 et donc nous appelons nos réseaux par les voies nationales à suspendre les blocages et à rentrer dans une nouvelle forme de mobilisation.
06:47 Alors que les barrages se lèvent progressivement un peu partout en France, sur le terrain la situation est confuse.
06:53 Sur l'autoroute A6, Pascal Vériel, secrétaire adjoint à FDSE à 77, hésite toujours à partir.
07:00 On est encore nombreux à essayer de comprendre parce que ce n'était pas toujours très clair.
07:04 Comme je vous l'ai dit, le discours du Premier ministre était plutôt clair pour nous,
07:07 mais celui des ministres qui l'ont suivi, le budget de l'agriculture et l'environnement, était beaucoup plus confus sur beaucoup de mesures.
07:13 Donc on a besoin de temps pour décrypter tout ça.
07:16 Quant à ceux qui ont levé le camp, ils préviennent.
07:19 Pour l'instant, le gouvernement a un bon discours. Maintenant, il faut qu'il le mette en place, sinon on reviendra.
07:26 On va être très vigilants parce que c'est écrit nulle part. On veut le ressentir nous sur nos exploitations d'ici les 4 à 5 mois qui viennent.
07:33 Les syndicats ont d'ores et déjà prévenu le gouvernement. Le mouvement ne s'arrête pas, il se transforme.
07:39 Le convoi d'agriculteurs partis d'Agin vers Rungis redescend vers le sud-ouest.
07:45 Un convoi composé de 150 tracteurs et 300 personnes.
07:49 Une partie avait été bloquée sur le pont de la Loire par les forces de l'ordre.
07:53 On ne va pas se battre tous les jours contre la gendarmerie ou contre qui que ce soit, a déclaré le coprésident de la coordination rurale 47.
08:00 Il passe donc la nuit à Pierrefitte-sur-Sauldre dans le Loir-et-Cher.
08:04 La crise n'est pas finie. On nous chasse de Paris et de ses alentours.
08:14 Le préfet de la zone nous a chassés de son département.
08:20 On a été escorté ce matin par plein de CRS, plein de policiers pour quitter le département le plus vite possible.
08:30 Aujourd'hui, nous sommes revenus joindre nos collègues qui n'avaient pas pu passer la Loire.
08:36 Nous sommes avec eux et demain matin, on prend la route pour Limoges.
08:41 On redescend vers chez nous. Je trouve scandaleux qu'on n'ait pas pu monter à Paris.
08:49 Les 79 agriculteurs placés en garde à vue mercredi soir ont été relâchés.
08:55 Les investigations vont se poursuivre dans le cadre de l'enquête préliminaire ouverte notamment pour dégradation du bien d'autrui en Réunion.
09:02 Les manifestants avaient pénétré en fin d'après-midi à pied une zone de stockage du marché de Rungis.
09:07 On fait le point avec Audrey Bertheau.
09:10 Pas de dégradation mais la ligne rouge a été franchie pour le préfet de police de Paris.
09:16 79 agriculteurs ont ainsi été placés en garde à vue hier soir pour avoir tenté de pénétrer dans le marché de Rungis.
09:23 Ce jeudi matin, les gardés à vue ont été relâchés.
09:27 Parmi eux, Karine Duc, agricultrice et coprésidente de la coordination rurale du Lot-et-Garonne.
09:33 Pour elle, ces interpellations sont incompréhensibles.
09:36 Il faut bien trouver un prétexte pour mettre en garde à vue.
09:39 Après, on a manifesté de façon très pacifique, aucune dégradation.
09:43 J'ai été reçu le midi à Matignon et le soir je me retrouve au commissariat en garde à vue.
09:49 Si c'est la réponse qu'on donne aux paysans de France et les paysans qui sont ici en convoi avec nous,
09:56 pour avoir uniquement des mesures et des réponses concrètes pour revenir avec sérénité sur leur ferme, c'est très grave.
10:04 Interpellés notamment pour dégradation du bien d'autrui en Réunion.
10:08 Les investigations vont se poursuivre.
10:10 Les agriculteurs interpellés risquent pour ces faits jusqu'à 75 000 euros d'amende et 5 ans d'emprisonnement.
10:17 150 millions d'euros en soutien fiscal et social aux éleveurs, c'est une annonce du Premier ministre Gabriel Attal.
10:25 Il s'est exprimé pour la troisième fois en une semaine au sujet de la colère des agriculteurs.
10:31 Des promesses comme un renforcement des lois Egalim ou encore le remboursement partiel de la taxe sur le gazole non routier.
10:38 Objectif valoriser l'alimentation et l'agriculture.
10:42 Écoutez.
10:43 Avons-nous répondu au malaise ? A l'évidence non.
10:47 Avons-nous fait des erreurs ? A l'évidence oui.
10:51 Il faut avoir la lucidité de le reconnaître.
10:54 C'est ce que j'ai fait vendredi dernier en Haute-Garonne, en annonçant l'abandon de la réforme du GNR qui ne marchait pas,
11:01 ne pouvait pas marcher, notamment parce qu'elle était complexe et pas assez juste pour les petites exploitations.
11:07 C'est ce que j'ai fait aussi s'agissant des normes qu'on a parfois laissées continuer à s'empiler,
11:13 sans penser aux agriculteurs, sans penser assez aux agriculteurs qui devaient les appliquer.
11:18 Là aussi, j'ai dit stop et j'ai lancé un travail sans précédent de simplification,
11:23 à la fois au niveau national avec dix premières normes simplifiées et supprimées dès la semaine dernière et au niveau local.
11:31 Et suite aux annonces de Gabriel Attal, le ministre de l'Economie Bruno Le Maire a pris la parole.
11:36 Le gouvernement a choisi d'accroître la pression sur les industriels et les distributeurs de l'agroalimentaire.
11:43 Des contrôles massifs des grandes chaînes de supermarchés sont prévus dans les prochains jours. On l'écoute.
11:48 Nous allons donc entrer maintenant dans une phase de contrôle massif de tous les contrats négociés,
11:55 avec un objectif, le soclage des prix des matières premières agricoles pour protéger les revenus des agriculteurs.
12:03 Très concrètement, 150 agents de la répression des fraudes sont mobilisés dans toute la France pour mener des contrôles
12:12 et infliger des sanctions lorsque cela est nécessaire.
12:15 Nous ferons des contrôles aussi bien sur les industriels que sur les chaînes de supermarchés
12:21 et les sanctions pourront s'élever jusqu'à 2% du chiffre d'affaires.
12:26 Emmanuel Macron appelle un retour au calme en déplacement à Bruxelles
12:31 et après un échange avec la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.
12:36 Le but, éviter toute concurrence déloyale entre pays membres.
12:40 Pour le président qui a demandé la mise en place d'un égalime européen,
12:44 le chef de l'État a également demandé des simplifications avant fin février pour les agriculteurs.
12:49 Plus d'informations avec notre journaliste Harold Diman.
12:53 Le dossier agricole s'est imposé à tous sous trois aspects,
12:58 comme l'explique le président Macron qui, lui, était vraiment aux avant-postes de cette négociation.
13:05 D'abord, il y a la question du Mercosur, c'est-à-dire l'accord de libre-échange avec les pays d'Amérique du Sud.
13:13 C'est bloqué pour l'instant car, selon la France,
13:17 le niveau sanitaire n'est pas assez élevé pour les produits qui seraient déversés sur le marché européen.
13:26 Ensuite, il y a l'aspect ukrainien car les poulets ukrainiens, notamment, inondent les marchés européens.
13:33 Cela va s'arrêter.
13:35 Et enfin, il y a la question de l'allègement de la paperasse
13:40 qui, bien sûr, retarde les subventions aux agriculteurs.
13:44 Cela sera réglé de manière impérative, selon Emmanuel Macron.
13:51 Et une ambiance explosive à Bruxelles ce jeudi devant le Parlement européen.
13:57 Plus d'un millier d'agriculteurs de plusieurs pays se sont donnés rendez-vous en marge du sommet de l'UE.
14:02 Leur objectif ? Dénoncer les normes européennes.
14:05 Sur place, la situation a dégénéré entre manifestants et forces de l'ordre.
14:09 Sujet de Florian Doré.
14:13 Fumigènes, pétards et canons à eau, Bruxelles est devenue l'épicentre de la colère du monde agricole.
14:19 La situation dégénère au moment où les agriculteurs tentent d'entrer dans le Parlement.
14:24 Un face-à-face qui tourne désormais à l'affrontement.
14:27 Pour chaque agriculteur présent, le message est le même.
14:30 Les agriculteurs, on est de plus en plus mis sous pression par rapport à toutes les contraintes, les normes environnementales, etc.
14:36 On nous en rajoute chaque année.
14:38 Le poids administratif dans les fermes est beaucoup trop élevé.
14:41 Elles sont imposées par des gens qui sont dans des bureaux, qui ne font même pas un jardin chez eux.
14:45 Et ils viennent nous dire à nous qui sommes en bottes, comment est-ce qu'on doit faire notre métier.
14:49 Plus d'un millier d'agriculteurs venus des quatre coins du continent se sont donnés rendez-vous pour bloquer la capitale européenne.
14:56 Des scènes de chaos sous les fenêtres des institutions alors que se tient en toile de fond le sommet européen.
15:02 Une sécurité renforcée pour l'occasion.
15:05 Pour ce délégué de jeunes agriculteurs italiens, c'est un moment clé pour se faire entendre.
15:10 Tout d'abord, nous avons décidé de venir ici pour nous joindre à d'autres jeunes agriculteurs européens afin de créer une voie unique.
15:18 Non pas contre, mais avec la coopération du Parlement européen et d'autres types de politiciens.
15:23 Parce que nous voulons sauvegarder notre tradition, nos agriculteurs, notre qualité de nourriture.
15:29 Alors que ce sommet était initialement consacré à l'Ukraine, le dossier agricole s'est invité à la table des discussions.
15:36 Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, a promis de réduire la lourdeur administrative des agriculteurs.
15:43 Restez avec nous sur CNews, tout de suite votre journal des sports.
15:48 Et on ouvre ce journal des sports avec un coup de tonnerre en Formule 1.
15:56 Lewis Hamilton quitte Mercedes et rejoint Ferrari.
16:00 Le septuple champion du monde intègrera l'écurie italienne courant en 2025.
16:04 Un nouveau départ pour l'américain après 11 années chez Mercedes.
16:07 Mathilde Brun revient sur ce transfert historique.
16:10 Il y a encore quelques mois, au moment de sa prolongation de contrat de deux ans avec Mercedes,
16:16 Lewis Hamilton criait son amour pour le constructeur allemand.
16:20 Mercedes a soutenu moi depuis que j'avais 13 ans.
16:23 C'est une longue voyage, mais nous avons toujours un boulot à terminer.
16:27 Nous sommes ensemble, nous avons beaucoup de travail à faire pour nous rendre à la frontière, mais il n'y a pas un endroit où je ne voudrais pas être.
16:37 Pourtant, c'est un tout autre scénario inattendu qui va voir le jour.
16:41 Fin 2024, Lewis Hamilton va quitter Mercedes pour rejoindre Ferrari.
16:46 Pour Mercedes, le coup est terrible.
16:50 Voir partir l'un des plus grands pilotes de l'histoire avec qui elle a déjà remporté 103 victoires relève du cataclysme,
16:55 surtout à un mois d'une nouvelle saison.
16:58 On va faire 24 Grand Prix avec Hamilton dans un garage qu'il va quitter.
17:02 Au bout d'un moment, il ne sera pas tenu informé des évolutions techniques, des décisions prises par l'écurie.
17:09 Puisque l'ambiance sera tendue, ça va être quand même assez problématique pendant 12 mois.
17:13 Pour la Scuderia, en revanche, c'est un coup de génie qu'on imagine réfléchi.
17:17 Car il faudra que Charles Leclerc proclame et numéro un cohabite avec Lewis Hamilton en recherche d'un huitième titre de champion du monde.
17:25 C'est le nom le plus mythique.
17:27 Est-ce que comme Michael Schumacher, Lewis Hamilton veut y aller, tenter de gagner, ça ferait de lui peut-être le plus grand pilote de l'histoire.
17:33 Après, ce n'est pas si facile de changer complètement d'écurie, de culture et puis se retrouver face à Charles Leclerc, qui est un bon pilote.
17:40 C'est aussi une sacrée prise de risque pour Lewis Hamilton.
17:43 Avec ce transfert fou, Mercedes devra se mettre en quête d'un deuxième pilote pour faire équipe avec George Russell.
17:49 Et les prétendants ne devraient pas manquer.
17:52 Traversons la Manche du côté de la Première Ligue en football.
17:57 Manchester United s'est fait peur.
17:59 3-2 contre les Wolves.
18:01 West Ham piétine.
18:03 1-2 contre Bournemouth.
18:05 Résumé de la soirée par Marco Maritic.
18:07 Pointé du doigt pour une sortie arrosée la semaine dernière.
18:11 Absent, coupe dimanche.
18:13 Marcus Rashford est de retour dans le 11 de Manchester United.
18:16 Un choix payant après tout juste 4 minutes.
18:18 C'est un bon centre ça avec Hoylund qui a bénéficié de l'écran de Bruno Fernandes.
18:22 Et Marcus Rashford, voilà pourquoi on le titule à Rize.
18:25 Parce que c'est un Godposter.
18:27 Marcus Rashford capable d'oublier tous ses tracas pour mieux rebondir et pour mieux fracasser le but de Jose Sa.
18:34 5e but de la saison pour l'Anglais en championnat.
18:37 Et encore en évidence quelques instants plus tard.
18:40 Ballon pour Chaud, puis Hoylund.
18:42 Sarabia réduit l'écart sur pénalty mais United reprend tout de suite 2 buts d'avance.
18:46 McTominay sur corner avant une fin de match complètement folle.
18:50 Kielman à la 85e puis Netto dans le temps additionnel ramène les Wolves à hauteur.
18:55 Avant une nouvelle folie de United.
18:57 Et si c'était les baby Red Devils qui faisaient la loi pour la fin de ce match.
19:01 Kobi Maïdou, c'est dingue ! Kobi Maïdou !
19:05 4-3, United arrache sa première victoire en Première Ligue en 2024.
19:09 Et revient à 1 point de West Ham.
19:11 Les hameurs de Calvin Phillips prêtées par Manchester City et tout sourire.
19:15 Une arrivée immédiatement bénéfique pour Bornemouth.
19:18 Attention à la perte de balle de Calvin Phillips.
19:20 Dominic Solanke permet à Bornemouth après moins de 5 minutes de mener 1-0.
19:27 13e but déjà pour Solanke.
19:30 West Ham bousculé et maintenu en vie par Alphonse Areola.
19:35 Réactif devant Semenyo.
19:37 Jusqu'à cet accrochage, Kelly sur coup doux, c'est Ward-Prosé-Galiz.
19:41 1-2, West Ham concède un 3e match nul d'affilée et perd le contact sur le top 6.
19:47 Football toujours et la fin du Mercato hivernal.
19:51 L'attaquant du PSG, Hugo Ekitike est prêté avec option d'achat à Francfort.
19:57 Il rejoint le championnat allemand où il essaiera de se relancer.
20:00 Lui qui n'a pas réussi à s'imposer dans l'attaque parisienne.
20:03 Cette saison, il n'a joué que 8 petites minutes avec le club de la capitale.
20:07 C'était le 12 août dernier.
20:09 Direction les pelouses de rugby.
20:12 Ce vendredi, le 15 de France affronte l'Irlande à Marseille lors du match d'ouverture des 6 nations.
20:18 Et ce sera sans Romain Taofi Fehnua qui a dû déclarer forfait car il est malade.
20:23 C'est le 3e forfait au poste de la 2e ligue.
20:26 Pozolo, Twilagui, 19 ans, intègrent le groupe pour pallier cette absence.
20:31 Restez bien avec nous sur CNews.
20:38 Dans un instant, un prochain journal.
20:40 De nombreux tracteurs lèvent le camp.
20:43 Un à un, les barrages diminuent à travers le territoire.
20:46 Notamment dans le Finistère, l'Oise et dans le Cher.
20:50 La colère des agriculteurs s'atténue en partie après les annonces de Gabriel Attal.
20:54 Les syndicats FNSEA et Jeunes agriculteurs ont appelé à la levée des blocages routiers.
20:59 Bonne nuit sur notre antenne.
21:00 Et à tout de suite.
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