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00:00 Emilio Nsoué, comme on dit que les vrais attaquants ne meurent jamais. L'attaquant de la Guinée
00:12 équatoriale, comme son équipe, comme sa sélection, ont dit adieu à la 34e édition à l'issue d'une
00:19 défaite concédée face à la Guinée hier en 8e de finale de la Coupe d'Afrique, mais que retenir
00:24 du passage de cet attaquant là dans cette compétition là, mais que du bonheur, que du bien. Impossible
00:30 pour nous de rester sur ce pénalty manqué par l'attaquant équatorien qui aurait pu permettre à
00:35 son équipe réduite à 10 et bien de composter son billet pour l'écart de finale, mais le destin a
00:39 décidé autrement. Le destin c'est aussi le parcours de ce joueur équatorien durant cette 34e édition,
00:46 lui qui aura inscrit en quatre matchs cinq buts et aura réussi à tordre le cou à un vieux cliché
00:52 qui lui faisait passer pour un vieux joueur, pour un vieil attaquant. Celui qu'on moquait sur
00:57 certaines chaînes, qu'on vous dit que depuis 10 ans il avait 34 ans, a donné la meilleure réponse
01:01 sur le terrain en inscrivant d'abord un triplé face à la Guinée-Bissau et un doublé face à la
01:06 Côte d'Ivoire. Oui, Emelio a tenté comme il pouvait de porter les alentours national vers
01:12 l'écart de finale, malheureusement, et bien le CIVI national a pu le décider sur un but tardif
01:17 de Mohamed Bayo suffisant au bonheur du CIVI national. Cette vidéo, c'est pour saluer,
01:24 pour reconnaître le talent de ce joueur qui a rejoint la sélection équatorginaine depuis 2014
01:31 et qui depuis est devenu un symbole, symbole de courage, d'application, symbole de combativité
01:36 tout simplement. Il aura démontré sur cette canne qu'il était grand attaquant, il fait partie des
01:42 meilleurs en Afrique. Salut, Emelio, nous le souhaitons.
01:48 [Bruit de la vidéo qui s'arrête]