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00:00 - Alors complément d'enquête ce soir justement avec Jordan Bardella.
00:03 - Un mot encore sur Mediapart.
00:05 Il fut un temps où il y avait un journal d'extrême droite qui s'appelait Minute
00:08 qui faisait aussi de temps en temps des enquêtes et quelques fois sérieuses.
00:11 Mais on ne prenait pas Minute parce que c'était d'extrême droite.
00:15 Mediapart, je peux vous dire, c'est le journal le plus haineux qui soit par rapport à Israël.
00:21 Mais d'une détestation impressemblable.
00:23 - A l'image d'Edouid Pleynel.
00:24 - Mais oui, bien sûr, c'est le chantre.
00:26 Mais ça ne gêne personne.
00:28 Je veux dire, ça ne souille pas pour autant le travail journalistique.
00:31 - Le privilège rouge.
00:32 - C'est ça que je voulais dire.
00:33 - Et Mediapart qui avait titré au lendemain de la loi immigration votée
00:37 le rassemblement national au pouvoir.
00:39 Donc évidemment.
00:41 - Mais là encore, ça ne me gêne pas.
00:43 C'est normal.
00:44 Ce qui m'ennuie, c'est que toute la presse soit alignée.
00:47 Tous les jeunes journalistes.
00:49 Mais c'est normal puisque tu as tout laissé.
00:51 Dans les écoles de journalistes, tu recrutes les jeunes gens en fonction.
00:56 - C'est une plénélisation du journalisme français.
00:59 - On s'est donné beaucoup de crédit.
01:01 - Non, non, mais évidemment.
01:03 - C'est la vérité.
01:04 - C'est la vérité.
01:05 - C'est la vérité.
01:06 - C'est la vérité.
01:07 - C'est la vérité.
01:08 - C'est la vérité.
01:09 - C'est la vérité.
01:10 - C'est la vérité.
01:11 - C'est la vérité.
01:12 - C'est la vérité.
01:13 - C'est la vérité.
01:14 - C'est la vérité.
01:15 - C'est la vérité.
01:16 - C'est la vérité.
01:17 - C'est la vérité.
01:18 - C'est la vérité.
01:19 - C'est la vérité.
01:20 - C'est la vérité.
01:21 - Complément d'enquête, c'est un coup Philippe de Villiers, un coup Jordan Bardella, un coup
01:27 Cyril Hanouna.
01:28 - Dans la diffamation totale.
01:29 Villiers c'est de la diffamation.
01:30 - Et de par Dieu.
01:31 - Et de par Dieu bien sûr.
01:32 C'est-à-dire que...
01:33 Et c'est le service public, c'est votre argent.
01:36 - C'est nous qui payons.
01:37 - C'est votre argent.
01:38 - Bien sûr.
01:39 - Et Mme Ernotte, quand Mme Rima Abdoulmalak quitte son poste, elle vient l'embrasser,
01:44 etc.
01:45 Pour une seule raison.
01:46 Pour une seule raison.
01:47 - Mme Abdoulmalak, elle a attaqué Vincent Bolloré.
01:49 - Oui.
01:50 - Ne le cherchez pas.
01:51 - Oui.
01:52 - Alors ça c'est un brevet de...
01:53 - Mais elle n'a pas...
01:54 - Avant elle était...
01:55 - Avant elle était politique.
01:56 - Elle n'était pas du tout.
01:57 - Elle a attaqué CNews et elle a attaqué le JDD.
02:00 - Mais les parlementaires français lui ont demandé d'enquêter sur les journalistes
02:05 arabophones hitlériens de France 24.
02:08 Je peux vous dire qu'elle n'a pas bougé.
02:09 - Si tu veux dans la presse française avoir une légion d'honneur, tu attaques CNews,
02:14 le JDD, Paris Match ou Europe.
02:16 - Moi je suis effrayé de ce que Mme Bolloré a dit.
02:18 - Mais vous le savez bien, écoutez, vous le savez.
02:21 - Mais ça veut donc dire qu'il y a un hold-up par un clan du service public.
02:25 - Ça c'est vrai.
02:26 - Il y a un hold-up du service public par un clan.
02:29 - Mais le directeur des programmes de France 2...
02:31 - Mais c'est M. Sidbon-Gomez, le directeur des programmes de France 2.
02:34 Il a raison.
02:35 - L'ancien responsable du plan.